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    :: Défouloir :: 2015

es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18

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es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Ven 4 Sep - 9:21
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yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz


tenue Ses talons claquent délicatement contre le sol tandis qu'elle s'avance dans l'entrée de la discothèque suivis de près par quelques étudiantes de sa fratrie rencontrés en début d'année à l'université. Carte d'identité entre ses doigts fins c'est en lançant un regard complice à l'agent de sécurité, visiblement habitué de voir cette tignasse blonde pâle au XS, qu'elle pénètre au sein de la discothèque et ce, sans avoir à passer par la case paiement. Il faut avouer que la douce asiatique ramène fréquemment des comparses, des femmes tout aussi charmantes et appréciées des jeunes coréens qui fréquentent l'établissement. Elle n'est pas venue par hasard, il est d'ailleurs rare qu'elle se rende en discothèque sans raison précise, elle n'est pas une fêtarde, les discothèques ne sont donc guère son lieu de prédilection. Non, lorsque cette jeune coréenne se joins à la folie nocturne du XS c'est toujours pour une bonne raison. Parfois pour un dj occidental, parfois pour une soirée bien spéciale, d'autre pour un anniversaire mais ce soir, elle est venue pour une personne bien précise. Une personne qui ne l'attends sûrement guère, une personne qu'elle a rencontré il y a quelques mois ici même. Son jouet, son petit amusement personnel, un de ces homme qu'il est bon de faire tourner en bourrique quand bien même il ne s'en rendrait même pas compte. Parce que la jeune étudiante est sûre de pouvoir passer une bonne soirée si elle croise le chemin de ce jeune asiatique, même si en soit cela ne signifie guère que lui passera une bonne soirée.

Quelques pas et la voici d'hors et déjà accoudée au bar, a commander un mojito. Une femme se doit de boire quelques choses de plus raffiné qu'une simple vodka ou qu'une bière comme le font la plupart des minettes déjà bien trop amochée pour se souvenir de leur soirée le lendemain. Ses camarades l'ont suivis, sourire aux lèvres, faisant un repérage détaillé des jeunes hommes présent dans la discothèque. Des chasseuses, des noona à la recherche d'un petit jeune à se passer sous la dent, ce qui n'était guère le cas de la jeune blonde, elle n'était pas en discothèque pour flirter, elle y était pour s'amuser, pour rire à en pleurer et faussement s'énerver si cela l'était nécessaire. Croisant délicatement les jambes, elle fait mine de parler à l'une de ses comparses tandis que ses yeux examinent délicatement la salle, à la recherche de son regard ténébreux. Le bouche à oreille, les réseaux sociaux, c'est ainsi qu'elle a appris qu'il serait au XS ce soir, et c'est aussi pour cela qu'elle n'a pas hésité une seule seconde à s'y rendre. La blondinette avait besoin de se divertir, elle avait besoin de se moquer, de s'amuser, de taquiner, chose qu'elle n'aimait guère faire avec n'importe qui.

Yunna fait plus jeune que son âge, elle en a bien conscience et parfois elle en est reconnaissante, cela lui permet de faire la gamine sans même que l'on vienne la juger pour son manque de maturité. Après tout, elle a quoi ? 18ans ? S'emparant délicatement de son mojito, elle porte la paille à ses lèvres, sirotant subtilement. Où est-il ? En soit cela pourrait presque la tracasser, après tout si il ne se montrait pas, sa soirée deviendrait soudainement bien ennuyeuse, à moins de ne trouver une autre tête de turc. Ses camarades lui proposent de venir danser chose qu'elle rejette en douceur, danser pour qu'il ne soit guère là pour le voir n'a aucun intérêt, et les hommes présent dans la discothèque n'attirent guère son intérêt lui ôtant ainsi l'envie de se trémousser sur la piste. " jun, jun, jun où es-tu mon tout doux" murmure t'elle entre ses lèvres avant de ne faire claquer sa langue contre son palet. elle le sait, si elle ne le voit pas elle sera de mauvaise humeur, suffisamment pour se montrer désagréable envers autrui. yunna a besoin de son joujou, elle a besoin de se défouler, là, maintenant, tout de suite !

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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Ven 4 Sep - 12:55
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tenue
Allongé dans un lit je faisais des ronds de fumée avec la fumée de ma cigarette. Les draps à côté de moi s’agitent et je baisse à peine mon regard. Une main soutenant ma tête, je perds mon regard sur les voluptés de fumée. Je frémis en sentant l’air frais du ventilateur venir taquiner ma peau. La fumée se dissipe rapidement et j’en recrache doucement après avoir tiré une latte. Il est encore tôt, assez pour avoir le temps de rentrer chez moi me préparer. Ce soir je sors. Ce soir je m’amuse. Un sourire aux lèvres je baisse mon regard sur mon téléphone pour regarder l’actu de mes comptes sociaux. Rien de bien intéressant si ce n’est quelques beautés qui auront le privilège de finir dans mon lit un jour. Je soupire en m’étirant et m’assoit nonchalamment sur le rebord du lit. Je frotte ma nuque et zieute par-dessus mon épaule quand je sens des doigts fins et manucuré se perdre sur la peau de mon dos. « Tu restes pas ce soir ? » Sa voix me fatigue, elle ne peut pas s’empêcher de prendre des intonations aigue comme si ça pouvait la rajeunir. « Non, je dois bosser pour mon exam de demain. » En soit c’est vrai, j’ai un exam, mais j’ai largement le temps d’aller étudier demain matin en rentrant. Quoi de mieux qu’une nuit blanche pour être au max de ses capacités. Elle se relève et vient se coller à moi. Je peux sentir sa poitrine s’écraser contre ma peau. Je reste quelques secondes impassible alors qu’elle tente de me faire rester en passant une main sur mon torse, descendant à mon ventre avec une pointe de taquinerie. Ce n’est que lorsqu’elle frôle mon entre jambe que je me relève en riant. « Allez arrête, je dois rentrer. » Je me penchais vers elle enfilant mon jean rapidement et embrasse sa joue. « On se voit en cours. » elle affiche une moue déçue mais se laisse retomber sur le lit en affichant clairement son humeur maussade. Et je dois avouer que de la voir comme ça me donne encore plus envie de fuir. Et je ne mets que quelques secondes pour foutre le camp. Je rejoins rapidement une bande de potes avec qui je traine depuis que je suis à l’université. Et forcé de voir que je suis encore le plus jeune de la bande. Mais j’ai menti sur mon âge. Pour eux j’ai 19 ans, presque 20 et ça ne dérange absolument pas de mentir comme ça. Qui voudrait trainer avec un gosse de 17 ans hein ? Et j’ai toujours fait plus vieux que mon âge. Et j’en aurais bientôt 18. Je ne mens pas vraiment, j’améliore la réalité dirons-nous. Prenant rapidement une douche chez mon pote, je ressors habillé comme il se doit pour aller en boite.
 
On la rejoint rapidement, tous dans une même voiture. Je n’ai toujours pas le droit de conduire, mais je le fais quand j’y suis obligé. Jusqu’ici je ne me suis jamais fait prendre. Et heureusement. Grace à des connaissances, on rentre rapidement dans le club et moi je me contente de suivre et de profiter de ces passes droits que m’offre l’avantage de faire partie d’une bande d’amis. L’ambiance est électrique. « Putain Yun Na est terriblement canon ce soir. » Lâchant un de mec du groupe que j’apprécie sans plus. Je n’avais pas besoin de sa remarque pour le constater. J’avais à peine foutue mes pieds dans le club que j’avais été attiré comme un aimant vers ses courbes. Je grognais malgré moi en direction du mec, c’était typiquement le genre de gars qui avait une tête chercheuse à la place de la teub, et qui ne pouvait s’empêcher de baver sur une fille à peu près bien foutu. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi. Elle était franchement fade et la seule chose qu’on pouvait lui concéder c’était son petit cul. Mais ses gros yeux globuleux me piquaient les yeux avant même de pouvoir les apercevoir. Je pourrais passer des heures à lister ses défauts mais ils se décidèrent à aller prendre une table. Je n’avais pas insisté ni même tenter de les dissuader d’aller là-bas. Après tout j’avais une tête de con à qui je voulais contrer les plans. Juste parce que sa gueule d’abruti ne me revenait j’allais lui casser ses plans avec miss arrogante. C’est d’ailleurs avec un sourire mauvais au coin des lèvres que je m’approchais de la bondinette. J’étais enfin motivé pour quelque chose, et j’avais trouvé ma proie idéale pour passer une excellente soirée. J’avais hâte de voir les ailes de son nez se retrousser d’agacement et d’entendre sa langue tiquer contre ses dents alors qu’elle me jetterait un regard noir qui me fera rire.
 
Elle seule sait si bien les jeter.  Je foule le sol du club alors que mon regard fouille la foule dont les corps se pressent les uns contre les autres. C’est étrange cette faculté que j’ai de toujours pouvoir la repérer sans effort. Elle est là, de dos, et je vois sa chevelure blonde lui glisser dans le creux des reins. La forme de ses vêtements si courts souligne sa silhouette. Et ses talons lui donnent quelques centimètres de plus non négligeable et surtout de longues jambes à tomber. Mais je préfère encore crever que de lui dire. Je fends la foule sans perdre un instant et me dirige au bar pour me prendre un verre avant d’aller la trouver. « Putain merde ça va ?! » Lui lançais-je en guise de bonjour en prenant une mine surprise. « Tu veux que j’aille cherche le mec qui t’as volé tes vêtements ou tu les as juste perdu en cours de route ?! » Je m’accoude à ses côtés en veillant à ce que le bizut de service nous voit. Je ricane avant de porter mon verre à mes lèvres détaillants son corps sans gêne. Y avait franchement plus dégueulasse à regarder. Elle est même carrément bonne comme ça. Un sourire moqueur aux lèvres ; je levais mon regard vers la piste où les danseurs semblaient entrer dans une transe indécente qui rendait leur corps moite de sueur. Écœurant. Je reportais mon attention sur elle « Tu peux le dire tu sais … que t’es contente de me voir. »
 

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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Mer 9 Sep - 7:39
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tenue
Elle aurait aimé glisser une fine cigarette entre ses douces lèvres toutes juste humectées d'un léger coup de langue. Demander au barman de l'allumer pour elle, puis tirer une grande bouffée de ce doux poison avant de ne recracher subtilement la fumée tapotant la cigarette sur le bord d'un cendrier pour en faire tomber la cendre. Pourtant elle n'en ferait rien, elle ne fumait pas et ce n'était guère à défaut d'avoir essayé, plus d'une fois. Elle aimait la sensation que cela lui procurait, elle en aimait même le goût pour tout avouer, mais si il y avait bien une chose qui l'empêchait d'en devenir accro c'était l'allure que cela lui donnait. Vulgaire, traîné. C'est d'ailleurs ainsi qu'elle percevait la majorité des fumeuses qu'il lui arrivait de croiser. Il n'y avait rien de séduisant dans une femme qui fumait, sans compter l'haleine qui s'y associait. Portant ses lèvres à son cocktail, la jeune asiatique cligne délicatement des yeux, parcourant la foule une énième fois du regard. Elle commence d'hors et déjà à s'ennuyer, regrettant presque d'avoir suivis ses camarades. Il n'est pas là et ne viendra probablement pas, la faute aux réseaux sociaux qu'elle a tendance à bien trop croire. Plongeant sa main dans son petit sac, elle en sort délicatement son téléphone portable. Cela fait à peine une heure qu'elle est accoudée au bar et voici qu'elle en a déjà marre, l'envie de rejoindre le confort de son petit lit au sein des sango s'emparant de plus en plus d'elle.

Un petit signe de la main et la voici qui recommande un verre, elle en a conscience cela n'est pas raisonnable mais quitte à être en discothèque autant en profiter ne serait-ce qu'un minimum, l'idée même de se retrouver avec un homme collé à son petit cul la répugnant, danser n'était plus envisageable, si encore cela l'avait été auparavant. elle n'a d'ailleurs jamais compris cela, le flirt elle aimait le savourer à l'abris des regards, danser coller à un homme au milieu d'une centaine de personnes, se faire tripoter puis galocher aux yeux de tous ... non décidément ce n'était pas son délire, elle avait probablement trop de respect pour elle ou était bien trop sauvage pour oser le dévoiler aux yeux de tous. A cette idée, elle ne put s'empêcher de sourire, yunna la sauvage, ô oui depuis sa perte de poids flagrante, il fallait avouer qu'elle l'était devenue, une vraie nymphomane, mais tout en discrétion, attention.

« Putain merde ça va ?! » arquant délicatement un sourcil, la jeune blondinette se laissait pivoter sur son petit tabouret, prête à faire face au probable inconnu qui avait su troubler sa tranquillité. « Tu veux que j’aille cherche le mec qui t’as volé tes vêtements ou tu les as juste perdu en cours de route ?! » Alors que son cerveau peinait à assimiler toutes les informations qui s'offraient à elle, la jeune coréenne ne put s'empêcher d'afficher un grand sourire, le genre de sourire satisfait, comblé, assouvis. Il était là. Et il lançait les hostilités sans même qu'elle n'ai eu à le faire en première. Que demander de plus, malgré l'attente, elle avait finis par avoir ce qu'elle désirait et ce, livrer sur un plateau d'argent. Alors à la question "ça va ?", la jeune femme n'avait qu'une envie, hurler que oui, qu'elle avait de quoi s'occuper pour la soirée, de quoi faire mumuse, de quoi décompresser pleinement. Ravalant son sourire, la voici qui l'ignorait préférant se replonger dans son cocktail, hors de questions de lui montrer à quel point sa présence en ces lieux l'importait. parce qu'en soit c'était bien pour sa tête d'adolescent puéril qu'elle était venu, et ça elle ne l'admettrait jamais. " t'es trop jeune pour pouvoir me regarder de la sorte jun, tu devrais au moins respecter ta noona même si nous n'avons soit disant que trois ans de différence. " dix-neuf ans, plus jeune, et plus teigneux que les hommes qu'elle fréquentait. Elle se demandait encore ce qui lui plaisait dans la compagnie du jeune homme, le fait d'être plus vieille ? d'en jouer ? de le sermonner et de le faire tourner en bourrique ? quoiqu'il en soit elle se permettait des choses qu'elle n'aurait guère faite avec un homme plus vieux, yunna respectait ses aînés mais certainement pas ses cadets. " et, mais d'ailleurs comment tu as fait pour rentrer ? 16ans c'est pas un peu jeune pour fréquenter les discothèques ?" elle croise subtilement son regard, un air faussement curieuse dessiné sur son doux visage. elle jubile, intérieurement, elle en rirait presque de manière sadique. Elle aimait se sentir dominante quand bien même elle ne l'était guère, elle avait juste besoin de ce genre d'échange, elle avait besoin d'avoir du répondant, elle ne voulait ni être soumise ni avoir affaire à un soumis. c'est pour cela qu'elle appréciait sa compagnie, parce qu'il lui procurait autant d'émotions toutes plus divergentes les unes que les autres, et que cela lui rappelait à quel point elle était belle et bien vivante. Cela lui rappelait le passé, lorsqu'autrui ne prenait guère de gants, lorsque les hommes étaient extrêmement franc et direct envers la rondouillette qu'elle était, qu'ils n'étaient pas aveuglés par un physique plaisant en devenant niais à en vomir. Il lui rappelait la yunna obèse qu'elle avait été, celle qui avait du répondant, celle qui agissait bien au delà de ce que mère nature lui avait donné et ne jugé guère autrui sur le physique mais bel et bien sur l'attitude et le caractère. "je suis ravie !" de te voir jun. "et à toi, je t'ai manqué ?" lui demande t-elle tout en clignotant des yeux. ô oui dis moi à quel point noona t'es indispensable et peut-être t'accordera t-elle encore plus d'attention que tu n'en as déjà.
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 10 Sep - 3:48
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tenue

« Ta noona ? »  Lui fis-je remarquer un sourire en coin. C’est qu’elle assume maintenant ? Je le savais qu’elle cherchait désespérément à m’appartenir. Et la voilà qui se trahit. Je ris en buvant une gorgée de mon verre. Comme à son habitude elle aime se foutre de moi quand à mon âge. Si elle savait vraiment, je crois qu’elle ne perdrait pas son temps à jouer à ce petit jeu avec moi. ça lui plait juste de savoir que j’ai 19 ans. Qu’elle est plus vieille, qu’elle domine. Elle pense avoir le contrôle avec ça, comme si son âge pouvait apporter quelques choses de plus. J’ai jamais vraiment été un gamin, j’ai grandi plus vite que les autres, et à 16 je faisais déjà face à des situations que même des gens comme Jun Na ne pourrait pas supporter. Elle me faisait rire à chercher de quoi me faire rager, elle en serait presque mignonne. Si tentait de croire qu’on pouvait distinguer quelque chose de mignon derrière tous ces coups de bistouri qu’elle a donné à son visage. Je pouvais la trouver belle, surtout quand elle ne se maquillait pas comme une pute prête à faire le trottoir. Mais putain je pouvais bien l’avouer j’adorais quand elle portait des fringues trop courtes pour la décence coréenne. Il faut arrêter de croire que le cliché de la fille douce et parfaite ça nous attire. Nous ce qu’on veut c’est une femme sexy. Une femme qui sache mettre en valeur son corps. Ce même genre de femme qui doit connaitre le kamasutra par cœur et qui vous fait prendre votre pied. Mais c’est aussi généralement ce genre de femme qu’on n’épouse pas. Non ; on préfère épouser la coincée, celle que nos parents aiment. Celle qu’on force à se débrider avec le temps. Mais je préférais largement le genre de Jun Na, celle qui n’ont pas froid aux yeux et qui s’assument. Un sourire marqué en coin je tourne mon visage vers elle. Si elle m’a manqué. J’attrape soudain son poignet et l’attire à moi pour la coller au comptoir. Je me presse contre elle et approchent dangereusement mes lèvres des siennes. « Ce n’est pas l’âge qui définit un homme babydoll. » lui murmurais-je à l’oreille. Je revins près d’elle et croisa son regard avant de lui dire « Tu me manqueras peut-être le jour où j’arriverai à retenir ton prénom. » Je ricane avant de déposer un baiser sur sa joue. Juste pour la faire fulminer, parce qu’elle est sexy quand elle me regarde avec son regard noir. Je me recule rapidement et finis cul sec mon verre. « Je suis pas venue pour discuter. Viens danser. » Attrapant sa main fermement je tirais fermement vers la foule où je l’entrainais de force. J’avais envie de la voir bouger. Qu’elle me rende fou. Qu’elle joue avec moi. Qu’elle me fasse comprendre que je ne l’aurais jamais. Assez pour que je puisse lui montrer qu’elle a tort. Mais ça voudrait reconnaitre que je la veux. J’avais besoin d’action avec elle. Sinon je risquais de faire une connerie en la fixant avec son air de petite garce innocente. Putain elle me donnait sérieusement chaud. Elle donnerait chaud à n’importe qui. Réchauffé par la situation, l’alcool et ma Noona je me mis à danser sans la toucher, en la regardant, plein de défis. Allez … approche bébé.
 

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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 10 Sep - 10:02
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tenue Oui, sa noona. Elle s'en donnait l'exclusivité et ne tenait pas réellement à voir une autre femme plus âgé lui tourner autour. C'était son jouet, son défouloir, il lui permettait de souffler, de se relaxer, il lui permettait même les réflexions sans pour autant que cela ne prennent de mauvaises ampleurs. Peu d'hommes accepteraient les réflexions d'une femme tel que la jeune blondinette, considéreraient-ils cela déplacé, irrespectueux, immature, vulgaire ? Pourtant c'était ainsi qu'elle était, ainsi qu'elle aimait parler, qu'elle aimait se comporter et il suffisait simplement de la prendre tel qu'elle était, après tout elle avait d'hors et déjà changé d'apparence, elle n'allait pas non plus modifier sa personnalité, n'est-ce pas. peut-être était-ce pour cela qu'elle ressentait le besoin de fréquenter cet homme, peut-être parce qu’elle était plus libre de ses mouvements, de ses paroles, qu'elle n'avait pas besoin d'adopter une attitude qui n'était guère sienne pour dialoguer avec celui-ci, enfin si il s'agissait bel et bien là d'une conversation, elle qualifierait cela plus, d'une échange, une échange de pics, de réflexions, pour savoir qui aurait le dernier mot, qui gagnerait. Perdue dans ses pensées, la jeune blondinette a tout juste le temps de laisser un petit cri d'étonnement s'échapper d'entre ses fines lèvres lorsque son cadet la plaque contre le comptoir. Elle n'a pas eu le temps d'anticiper son action, à vrai dire elle n'aurait jamais songé qu'il puisse être aussi rapide, dire qu'elle aimait flirter et qu'il passait direct au contact physique, un peu décevant tiens. Quoiqu'il en soit, ses lèvres à quelques centimètres des siennes, ne la laissait guère insensible. Plus jeune mais loin de ressemble à un adolescent en pleine puberté. C'est fou ce que ses traits fins et son côté tout juste majeur l'attirait, à croire qu'elle se plairait à ravir dans la peau d'une couguar. Peut-être en avait-elle était une dans une vie antérieure qui sait. « Tu me manqueras peut-être le jour où j’arriverai à retenir ton prénom. » elle déglutit difficilement, heurté dans sa fierté. Il marque un point et cela lui est douloureux, parce que la jeune sango n'aime pas perdre, elle n'aime pas non plus que l'on prenne le dessus et la domine de la sorte. Elle le fusille du regard, prête à répliquer mais encore une fois il ne lui laisse pas le temps, encore une fois elle a l'impression d'être plus jeune que lui et elle n'aime pas ça. si c'est ce qu'elle voulait, elle fréquenterait un homme plus vieux, ce qu'elle veut c'est être la seule à décider et rien qu'à cette pensée elle se sent immature, une vraie gamine qui veut reprendre le contrôle de son jouet favoris. Il traîne sur la piste de danse et elle ne réplique pas, elle aurait probablement du le faire, retirer son bras de son emprise et se réinstaller sur son petit tabouret, commander un énième mojito, mais sans lui ce ne serait pas drôle et il ne resterait sans aucun doute pas au bar toute la soirée. il veut qu'elle danse, elle a l'impression que la situation se renverse, qu'elle devient le petit joujou. Ses amies lui lancent des regards emplies de complicité, elles doivent sûrement se dire que la jeune blondinette ne perd pas de temps et pourtant. il a beau se mouvoir, elle reste stoïque, yunna se moquait précédemment des personnes qui se dandinaient les uns contre les autres mélangeant leurs sueurs sur un rythme déjanté. Ce n'est pas ce qu'elle compte faire, elle se respecte bien trop pour cela. Alors elle se contente de le fixer, bras croisés contre sa poitrine, un sourcil arqué. Une expression dubitatif dessiné sur son doux visage, est-ce la seule chose qu'il ai à lui offrir, ce que tous les hommes sont actuellement capable de faire au sein de cette discothèque ? penchant délicatement la tête en arrière, elle inspire délicatement avant de ne laisser la musique s'emparait de son corps. elle n'est pas une grande danseuse mais l'on ne saurait dénigrer son sens du rythme, elle remue son popotin juste suffisamment pour que cela puisse se calquer au rythme de la musique, bouge délicatement la tête de sorte à ce que même ses cheveux mouvent en parfaite adéquation avec son corps. elle ne compte pas en faire plus, elle ne compte pas non plus se rapprocher de lui et encore moins passer ses mains contre son propre corps comme le font de nombreuses femmes. parce qu'elle est unique et qu'il est temps qu'il s'en rende compte. cette femme se respecte jun. elle se permet néanmoins de lui lancer un petit clin d'oeil, un sourire taquin dessiné sur ses lèvres. Elle ne paie aucune attention aux autres clients de la discothèque, elle s'en moque royalement, elle n'est là que pour son propre plaisir, rien d'autre. " c'est tout ? " prononce t'elle lentement, persuadé qu'il ne pourra pas l'entendre mais qu'il saura probablement lire sur ses lèvres. parce qu'elle n'a pas l'attention de venir se coller à lui, poser ses lèvres prés de son oreille et murmurer ces quelques mots. chaque chose en son temps, si elle désirait aller vite elle se serait contenter de lui proposer d'aller directement chez elle, elle ne s'embêterait guère à jouer à leur petit jeux mais justement c'est ce qu'elle aime, le titiller. " tu danses ?" elle se décale soudainement, surprise par le groupe d'inconnu qui s'est rapproché d'eux. Le soucis c'est qu'elle n'était pas seule avec son cadet, et qu'une jeune femme dansant seule pouvait en attirer d'autre tout comme une jeune homme dansant seul pouvait attirer d'autres femmes quoi que plus rare. d'un geste de la main elle refuse gentiment la proposition d'un des jeunes hommes, et ce sans un regard. elle sait ce qu'elle veut et utiliser autrui pour se jouer de son jeune cadet n'était pas dans ses plans, trop facile, trop puéril. ce qu'elle voulait, elle savait l'obtenir d'elle même. dis jun tu vas rester loin longtemps ?

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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 10 Sep - 16:27
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tenue

Cette ambiance électrique m’était étrangère. Moi qui pourtant étais habitué au club, je ne voyais qu’une seule et unique source d’amusement ce soir. La seule qui pourrait m’exciter et me faire frémir. La seule qui pourrait me faire passer une bonne soirée. Frôlant la haine et l’attirance. Je ne pouvais pas le nier, elle me plaisait, elle me plaisait beaucoup. Et si un jour j’en avais l’occasion je crois que je la mettrais dans mon lit. Rien qu’à voir son regard je sais qu’elle est douée. Parce qu’elle sait comment m’attiser, elle sait comment m’allumer en toute discrétion. Rien n’est vulgaire chez elle. Tout est subtil. Si subtil que je pourrais baver devant elle. Elle me rend dingue mais je refuse de me l’avouer. Ça voudrait dire qu’elle a du pouvoir sur moi. Et c’est bien là le genre de pouvoir que je me refuse. Je préfère dominer le jeu, le contrôler, jouer avec elle, et subir ses attaques avec plaisir, mais jamais, non, jamais au grand jamais, la laisser avec le dessus trop longtemps. Un sourire au coin je lève mon regard vers la table que mes amis squattent et je peux voir le regard noir de celui qui bave littéralement sur Yun Na. Elle est trop bien pour lui. Elle perdrait son temps avec ce genre de mec. Il a beau avoir 5 ans de plus que moi, et être ce qu’on pourrait appeler le mâle frôlant la perfection, il n’est rien de moins qu’un putain de précoce qui se croit capable de sauter tout ce qui bouge. Sauf qu’on a un souci, il joue sur le même terrain que moi. Mais j’ai l’avantage, l’avantage que Yun Na me connaisse, m’ait remarqué. L’avantage qu’elle accepte de perdre son temps avec moi. je la regarde danser, légèrement, comme si la musique autour de nous n’existait plus. Plus rien n’existe dans notre bulle pour dire vrai. Elle m’attire à elle avec une facilité déconcertante. Je mentirais si je disais que je ne voulais pas la toucher. Frôler son corps qui se bouge si sensuellement sur cette musique, avec légèreté. Je souris en m’approchant alors qu’un groupe de mec se poste à côté d’elle. J’aime la façon si simple, si naturelle qu’elle a de les dégager. Comme s’ils n’étaient rien, rien de plus que des nuisibles sans trop d’importance. Elle avait des airs de garce, de femme trop sûre d’elle, ce genre de femme qui sait ce qu’elle veut, qui place la barre haute, le genre de femme que tout le monde rêve d’avoir, d’égaler mais que peu de personnes peuvent approcher. Je me glisse contre elle, me servant de mon corps pour faire barrière. Je ne fais pas franchement le poids face à ces mecs que je décide d’ignorer mais j’ai plus important à faire quand mes doigts glissent sur la peau nue de son ventre. Un des mecs me tapote sur l’épaule, mais je l’ignore royalement, trop concentré à fixer le regard de Yun Na. Nos souffles se mêlent tant je suis près. Je souris en coin en la pressant contre moi. Elle est convoitée. Elle est désirée. Mais ce soir elle est à moi. Je grogne à nouveau quand le mec tente de me retourner mais rapidement ses potes l’embarquent plus loin, nous laissant un peu tranquille. Je ricane en glissant une main sur ses fesses. Ça n’a rien de vulgaire. Ça n’a rien de déplacé. Je ne fais qu’admirer ses courbes. Son corps me rend fou, et ca lui ferait trop plaisir de le voir. Je presse sa fesse dans ma paume pour en savourer la fermeté et le moelleux. J’ai surement la gueule du mec qui vient de toucher un cul pour la première fois, où un gamin qui vient d’avoir le meilleur cadeau du monde. Elle a le meilleur cul que j’ai été d’amené de voir et toucher. Et elle peut le voir à mon regard brillant et mon sourire satisfait. J’attends la baffe pour tout avouer. J’attends qu’elle me repousse. Qu’elle fasse la fille mystérieuse, prude, la fille qui ne laisse pas n’importe qui la toucher. J’ai presque envie qu’elle me malmène et qu’elle me mette à joue. Si seulement elle me permettait de lui embrasser le ventre. Elle saura ce qui vaut le coup. Plaquant son bassin au mien je viens de lui demander en tentant de couvrir la musique. « Ton petit cul c’est naturel ou tu l’as refait aussi ?! » le silicone lui va bien mais j’avoue que je serais déçu s’il était faux. Un cul pareil putain … ça ferait bander un saint. Et moi j’étais bien peu de choses devant ses courbes. Glissant une main dans ses nuques je dansais contre elle avec cette pointe de possessivité qui pointé le bout de son nez. « T’es belle. » articulais-je silencieusement en la regardant. Je pouvais bien me permettre un écart et lui faire un compliment. Si seulement je pouvais continuer de toucher son cul aussi longtemps que je le voulais.
 

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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 17 Sep - 13:03
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tenue Elle ne comprenait pas ce principe qu'avaient les hommes, et certaines femmes, de vouloir séduire une personne d'ors et déjà accompagnée. N'était-ce guère de l'auto-mutilation, du masochisme à l'état pur, 99% de chance de se faire refouler, tout autant de se voir humilier. Elle avait bien conscience qu'il s'agissait pour certains d'un challenge, pour elle, il ne s'agissait que d'une pulsion irréfléchie, immature, puéril. 7,35 milliards d'êtres humains sur terre, bien plus de choix qu'il n'en faudrait pour être satisfait et pourtant, pourtant il y avait encore des personnes qui préféraient butiner le pollen des autres. Parce que oui, ce soir elle était sienne, et seulement sienne. La jeune blondinette ne jouait pas sur plusieurs tableaux, elle ne supportait pas cela. Depuis l'instant même où elle avait décidé de mettre les pieds dans cette discothèque, elle savait qu'elle ne verrait que par une seule et unique personne. Son cadet. Il n'était pas question de sentiments, elle n'était pas là pour se prendre la tête d'ailleurs c'était bien pour cela qu'elle s'était tourner vers lui, elle savait qu'elle n'aurait guère besoin de trop penser. Elle ne voulait qu'une chose, évacuer le stress, se changer les idées et avoir l'exclusivité totale. Parce que même lorsque cela n'était guère sérieux, la jeune coréenne ne supportait guère qu'il y ai une troisième personne dans sa relation, une autre figurante. Alors même pour quelques heures, quelques minutes, il fallait que ce ne soit qu'elle, personne d'autre. Cela n'irait pas que dans un sens, elle saurait lui rendre la pareil, ne voir que par lui , ne se consacrer qu'à sa personne et dieu ce qu'elle en avait envie.

Elle aime sa manière d'agir. Il n'a guère mis longtemps à se rapprocher, encore moins à poser délicatement ses mains sur elle, et elle aime la manière qu'il a de la toucher avec cette once de désir mais sans pour autant lui manquer de respect. Elle ne voit que lui, c'est toujours ainsi avec yunna, lorsqu'elle désire quelque chose, elle ne voit que par celle-ci, qu'importe ce qui peut bien se dérouler autour d'elle. La manière qu'il a de grogner pour montrer qu'elle est sienne l'excite. La distance qui les sépare est bien trop fine, il ne lui suffirait que d'un pas pour pouvoir enfin savourer le doux parfum de ses lèvres, chose qu'elle ne ferait pas, pas en public. Il ricane et elle en fait de même. La main qu'il a posé sur son doux petit popotin ne la dérange guère, du moins elle ne fera pas la fausse outrée pour le moment. Qu'il savoure, qu'il en veuille plus, parce qu'elle peut lui offrir bien plus que son petit cul dissimulé derrière tant de tissus. Ce petit cul qui lui a demandé tant de travail, tant de sport, tant de sacrifices. Il faut dire qu'il ne faisait pas cette taille avant et n'avait pas non plus le même toucher. Rien que d'y penser elle en aurait presque la nausée, la yunna d'avant la dégoûte autant qu'elle lui manque. C'est pour cela qu'elle s'intéresse à des hommes comme jun, parce qu'il ne voudra jamais rien de sérieux avec elle et qu'il ne sera donc jamais nécessaire de lui avouer toute la vérité. Parce qu'un homme comme lui n'aurait jamais posé un seul regard sur kang yun na, contrairement à jang yun na. Peut-être s'en serait-il moqué, il avait bien la tête à l'emploi. Et c'est pour cela qu'elle ne regrettait rien, ni même ses interventions, ni même les concessions qu'elle avait eu à faire et encore moins toutes les dépenses en crèmes miracles et produits en tout genre qui lui avait permis certes difficilement mais certainement d'obtenir le corps qu'elle avait aujourd'hui. Il plaque son bassin au sien et malgré l'excitation, elle se dit que peut-être tout cela est bien trop facile. Elle n'aime pas réfléchir mais elle aime se faire désirer, parce qu’elle aime le regard qu'un homme qui la désire réellement peut poser sur elle, elle aime partager le lit d'un homme qui veut faire ses preuves, lui montrer à quel point il peut être bon avec elle, à quel point il peut la satisfaire et c'est ce qu'elle veut qu'il lui prouve, qu'il lui montre qu'il peut satisfaire sa noona tout comme le font quotidiennement ses hyungs.

Elle ne relève pas sa réflexion, nombreux sont ceux qui pensent qu'elle est passé sous le bistouris, elle en est elle même l'auteur des rumeurs. Et quand bien même il doutait de l'authenticité de son petit cul, il finirait bien par s'en rendre compte de lui même. Collé délicatement contre lui, elle effectue un léger mouvement de bassin, histoire de venir délicatement et subtilement frôler son entrejambe. Puis elle se détache, un sourire aux lèvres, s'emparant de sa main baladeuse qu'elle replace le long du corps du jeune homme. " je le sais dongsaeng, tu n'es pas le premier à me le dire. la prochaine fois essaie de garder tes mains à leur place ça évitera d'écourter notre soirée. " Elle adopte une expression plus sérieux, quand bien même elle a apprécié voir extrêmement aimé ce contact, il est hors de question qu'elle ne l'admette et encore moins qu'elle ne le permette de nouveau, pas en public, jamais en public. S'éloignant délicatement, elle passe une main dans sa chevelure tout en soupirant. Elle a chaud, et cela n'a rien à voir avec la température ambiante de la discothèque, c'est bien plus que cela. mais elle ne peut pas se permette d'être aussi direct, pourquoi la prendrait-il ? une nymphomane, la nymphomane qu'elle était. Faisant demi-tour sur elle même, elle se dirige sûre d'elle même vers le jeune homme avant de ne porter ses lèvres à son oreille. " ne fais plus jamais ça. plus jamais en public. " puis elle repart, un sourire aux lèvres. Elle n'est pas une femme facile, elle ne l'a jamais été mais encore une fois. Elle le veut. C'est pour lui qu'elle est venue ce soir. Elle pourrait avoir peur qu'il ne la prenne pour une femme facile, une femme à hommes mais en soit elle s'en moque bien. Il n'y a pas de sentiments entre eux, juste une histoire de noona et de son dongsaeng. deux personnes qui cherchent tant bien que mal à se connaître en passant par des procédés différents. Elle ne veut pas réfléchir, elle veut simplement suivre ses envies et si il n'est pas prêt à les suivre alors elle fera sans lui.

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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Mar 22 Sep - 0:50
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tenue


Je n’aime pas quand elle s’éloigne de moi, et ça se voit à ma lèvre que je lève en grognant. Merde. J’ai envie de rester contre elle. Et tant pis si elle gagne le jeu. Elle est ma tentation. Et je ne suis qu’un pauvre mortel à ses pieds. Elle est mon pêché, celui qu’on convoite et qu’on attise d’un simple regard. Elle m’attire, et elle le sait. Quand elle danse, quand elle ondule son corps contre le mien, j’ai envie de l’emmener ailleurs. Le contact de ses fesses sous mes mains me font perdre les pédales et elle aurait pu me demander n’importe quoi que j’aurais tout donné. Mais elle s’éloigne. Et je ne m’empêcher de lorgner sur la cambrure de ses reins. Son short si court lui donne des airs de fille qui n’a pas froid aux yeux, et moi je me régale. Rien dans son attitude ne pourrait la qualifier de vulgaire ou de traînée, mais putain elle sait comment m’allumer. Et je ne suis qu’une mèche de dynamite qui n’attend que son regard pour s’embraser. Sa démarche et si fluide, ses jambes si longue sur cette paire de talons haut. Elle est parfaite et dans sa perfection, elle en fait tourner des têtes. Et moi je m’applique à ce qu’elle ne voit que moi, que de notre petit jeu, elle devienne accroc. They talking about a fantasy. They making up a fantasy that can’t control you and me. J’ai chaud, j’ai envie de la posséder. Ce jeu qui nous brule fini par me consumer. Des jours, des semaines, peut-être des mois qu’on joue au même jeu. Dès l’instant où j’ai posé mon regard sur elle j’ai su que je voulais la mettre dans mon lit. Pour une nuit. Pour plusieurs. Je n’en sais rien, mais j’ai envie de goûter aux joies du sexe avec elle. Mais elle me repousse, sans cesse, comme si c’était sa façon à elle de prendre son pied. Elle adore ça, me voir revenir sans cesse. Me voir ramper à ses pieds. Elle joue à la princesse, celle qu’on convoite tous. Mais elle ne se rend même plus compte que c’est elle qui m’attire. De mes gestes elle en a le contrôle, de mon désir elle a le pouvoir. Je respire son parfum, surement imaginaire, qui me chatouille le nez quand je fixe sa chevelure blonde se balancer dans son dos. Elle m’hypnotise et sa démarque m’attire comme un papillon vers la lumière. Elle fait demi-tour et sous la surprise je n’ose plus bouger. Elle revient vers moi, si près que je peux sentir son corps frôler le mien. Sa remarque me fait sourire et son air félin davantage. Avant qu’elle ne m’échappe totalement je l’attrape par le poignet et la tire derrière moi, je glisse ma main jusqu’à la sienne pour ne pas lui faire mal, et sort à l’air frais, ce même air qui me frappe de plein fouet à m’en piquer la peau. Rapidement je contourne le bâtiment et l’emmène à l’arrière de cette ruelle que je ne connais que trop bien. La plaquant contre le mur avec force et contrôle je me colle à elle en plaçant mes avant-bras au-dessus de sa tête. Appuyé ainsi contre le mur il n’y a pas beaucoup d’espace entre nous. Voir même aucun. Et je reste là, à le fixer, un sourire fier sur le visage. Elle parait si petite entre mes bras, mais ses talons rattrapent le coup. Je glisse une main sur ses hanches et susurre tout bas. «  On n’est pas en publique là. » je la provoque, un brin amusé, en glissant mes lèvres à son oreille. Ma main remonte le long de ses côtes sans vraiment la toucher, je ne fais que la frôler et mon regard se baisser vers son décolleté. Miam. C’est alors que j’aperçois un objet … qui me plait bien. J’ai jamais compris les filles et leur manie de glisser leur téléphone dans leur soutient gorge. Je l’attrape rapidement, fourrant ma main dans cet endroit qui me vaudra surement une gifle et je pars en courant dans l’autre sens. Je prends juste de l’avance. Ce n’était en rien prémédité. J’aurais juste pu lui proposer mon numéro, ou demander le sien. Mais ça n’aurait pas été aussi marrant. Usant de ma grande taille pour ne pas qu’elle me rattrape ni attrape son téléphone je compose rapidement mon numéro pour m’appeler. Me stoppant au bout de la ruelle sans issu, malheureusement, je me contente de lever le bras haut pour être sûr de pouvoir m’appeler avant qu’elle ne débarque pour me casser la gueule. Rude changement d’ambiance, je vous l’accorde.

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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Mar 22 Sep - 5:37
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tenue Elle avait espérée qu'il la rattrape, elle avait même été jusqu'à prier intérieurement pour que ce soit le cas. Parce qu'elle en était folle de ce mec, elle n'aurait su poser le doigt sur ce qui lui plaisait exactement. En soi, des hommes beaux et charmants ce n'était pas réellement ce qu'il manquait et elle aurait pu en avoir bien d'autres. Mais il y avait bien plus, il y avait ce petit truc qui faisait qu'il était bien plus intéressant que n'importe quel autre, qu'il lui plaisait beaucoup plus que n'importe quel homme qu'elle avait pu se taper jusque là. Et autant dire qu'elle se damnerait rien que pour pouvoir être sienne le temps d'une nuit, d'une heure. Depuis combien de temps le connaissait-elle ? Quelques mois ? Moins d'un an ?

Toujours le même petit jeu, ce jeu du chat et de la souris, ce jeu du ' fuis moi je te suis, suis moi je te fuis.' Autant dire qu'elle n'en pouvait plus, elle aimait jouer mais ce qu'elle aimait encore plus c'était gagner, obtenir ce qu'elle désirait et au fond elle espérait bien que ces mois n'avaient guère été vain. Il ne fallut pas plus de quelques petits pas pour qu'il ne la rattrape, pas plus de quelques petites minutes pour qu'elle ne se retrouve dehors, l'air frais caressant délicatement sa peau, tandis que son coeur tambourinait frénétiquement dans sa poitrine. Il la plaque contre le mur et seul un petit gémissement de surprise s'échappe d'entre ses fines lèvres. Elle est surprise, surprise et excitée, incroyablement excitée. Parce qu’il la contrôle, parce qu'il la fait sienne. Parce qu'elle ne veut plus bouger, qu'elle est même prête à se soumettre si cela signifie qu'il lui accordera ne serait-ce qu'un minimum d'importance. Ses lèvres s'étendent dans un doux sourire lorsqu'il mentionne le fait qu'ils ne soient guère en public. Que sous-entendant-il ? L'idée même qu'il veuille la prendre violemment contre ce mur l'excite autant qu'elle ne l'effraie. Parce qu'elle n'est pas ce genre de femme, parce que même si cette idée est incroyablement tentante, elle ne veut pas lui donner cette image, elle ne veut pas être perçu telle une traînée de bas étage. elle veut qu'il lui accorde de l'importance, qu'il colle ses lèvres aux siennes dans un baiser aussi doux que violent. Qu'il la caresse comme il ne l'a jamais fait à quiconque. Parce qu'elle a ce défaut de toujours vouloir être unique. Différente.

Puis il la prend par surprise, littéralement. Elle n'a guère le temps de réagir face à cette main vulgairement plongé dans son décolleté qu'il est déjà partis, un peu plus loin et qui plus est avec son portable entre les mains. Elle est décontenancé, pour tout avouer elle ne comprend pas réellement la situation ni le pourquoi du comment. Elle qui pensait l'atmosphère sensuel, se retrouver à présent la bouche ouverte, choquée et étonné de voir son partenaire prendre ses jambes à son cou. Était-il ivre ? Elle ne l'avait pourtant pas vu boire, enfin du moins quasiment pas. Ou alors était-ce du au fait qu'il soit plus jeune ? Yunna n'avait jamais été dans ce genre de situation, généralement les hommes qu'elle fréquentait s'occupaient de tout, de a à z. Il l'emmenait à l'hôtel sans avoir à passer par la case flirt. Alors pour le coup, elle était réellement perdue.

Les bras croisés contre sa poitrine, elle se décollait enfin du mur, effectuant quelques petits pas, lentement en direction du jeune homme. Son téléphone ? Elle n'avait rien à cacher, bien qu'elle fût extrêmement surprise de le voir l'utiliser. Qu'avait-il par la tête ? A quoi pensait-il, pour oser casser un tel moment ? Peut-être n'était-il en réalité pas intéressé par elle, peut-être était-ce un traquenard ? Peut-être comptait-il poster des messages sur son gns. " jun, c'est quoi ce délire ? tu m'expliques ! " Sa voix était sèche quoique légèrement tremblante. Elle qui n'aimait guère réfléchir, voilà qu'il lui offrait matière à réflexion. Enfin arrivé à sa hauteur, elle levait les bras tentant de se positionner sur la pointe des pieds pour récupérer son petit portable. En vain. " mais sérieux il te prend quoi là ? t'as péter un câble ou bien ? " l'agacement se sentait dans sa voix tout comme la frustration, celle de ne guère s'être faite prendre par le jeune homme. Cette déception d'avoir tant désirée une chose qu'elle finissait par ne pas avoir. Ce soir, elle assumait son côté nymphomane et encore plus cette frustration sexuelle, c'est donc nonchalamment qu'elle s'emparait des testicules du jeune homme et ce par dessus son pantalon, sans trop serré. Elle se surprenait elle-même, ce n'était d'ailleurs pas dans ses habitudes d'agir de la sorte et elle aurait aisément pu s'en sortir avec une plainte pour attouchement à caractère sexuel mais en soi, elle doutait qu'il s'en plaigne. " tu as deux choix jun, soit noona te broie les noisettes soit elle en prendra extrêmement soin. " collant sa poitrine contre le torse du jeune homme, elle venait caresser du bout des doigts de sa main libre, la fine lèvre inférieure du jeune homme. Son regard plongé dans le sien, elle sentait de nouveau le feu s'emparer d'elle tandis que sa main relâchait délicatement les parties intimes du jeune homme, se contentant simplement d’exercer une légère pression sur celles-ci. En plus d'être jeune et insouciant, il semblait bien monté, de quoi émoustiller un peu plus la jeune femme.
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Mar 22 Sep - 11:24
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Elle arrive en prenant son temps, s’avançant vers moi comme si de rien n’était, les bras croisés, gonflant sa poitrine. Je ne vais pas m’en plaindre, ça m’offre une vision exquise. Je finis par raccrocher ayant largement eu le temps de m’appeler. Je ne sors pas vraiment mon téléphone, j’ai trop peur qu’elle se venge, même si entre nous, elle n’a l’air de vouloir qu’une chose. Je la laisse venir s’emparer de mon entre jambe en lâchant un petit cri de surprise avant de rire en m’adossant au mur. Il me faut au moins ça pour tenir le choc qu’est Jun Na. Je serre les dents devant son air de diablesse gourmande. Putain il ne faut pas qu’elle bouge, là je suis bien, sa poitrine écrasée contre mon torse, et sa main qui chatouille cette zone sensible de mon corps. Je baisse mon visage vers elle, elle parait soudain plus grande, comme si son aura prenait plus de place. Je passe une main sur sa joue, un geste bien délicat face à la chaleur du moment. Je lui souris amusé avant de passer mes deux bras autour de son cou pour pouvoir pianoter sur son téléphone dans son dos. Non pas que j’ai quelque chose à lui cacher sur ce que je fais sur son téléphone, mais c’est bien plus pratique comme ça. Passant mon regard par-dessus sa tête je zieute sur l’écran qui s’allume faiblement et j’affiche soudain un air mauvais, un air ravi, un air conquis. Mon regard croise celui de Noona à nouveau alors que je murmure « Noona … prends en soin … » ma main libre viens caresser ses hanches lentement en glissant à nouveau sur ses fesses. J’ai le droit. Elle me l’a dit elle-même. Pas en public. Et je ne vois personne à part nous dans cette ruelle. Je masse doucement ses fesses avec un certain plaisir. J’imagine déjà avoir le droit de pouvoir y toucher peau à peau. Sans vêtement. Je frissonne à cette pensée et ce qu’elle tient entre ses doigts fins durcit légèrement. Je n’en ai même pas honte. Elle me cherche. Elle sait ce qu’elle veut, et ce qu’elle veut elle le tient entre ses doigts. On ne va pas se mentir plus longtemps. On se veut, on se désir. Et je la vois, là, à me regarder. Collé si près de moi que ça en devient indécent. Et moi je la laisse faire. Glissant mon bras dans le creux de ses reins comme si c’était la chose la plus normale qui soit. Mon regard se reporte sur son écran. Elle reçoit un sms d’un mec, je ne sais pas d’où il sort et je m’en contre fou. Il lui demande ce qu’elle fait. Si elle est occupée. S’ils peuvent se voir. Trois sms sans même attendre qu’elle ne réponde. Ça pue le dalleux à plein nez. Ce genre de mec qui veut juste pouvoir la sauter dans un coin et la baiser comme une putain de poupée gonflable. « Tu m’en veux pas si je réponds à un certain Hong Joon ? » Lui demandais-je malicieusement. Au vu de leur conversation sms il avait l’air d’être un mec lourd qui parlait souvent dans le vent avec elle. Tant mieux. Elle est occupée. C’est simple. C’est clair. Et la réponse je m’en fou. Je verrouille son téléphone et m’apprête à le ranger là où elle cachait avant de lever mon regard vers elle. J’affiche un petit sourire insolent avant de raffermir ma prise sur elle pour l’attirer plus à moi encore. Mes lèvres viennent se perdre dans son cou et sur le haut de sa poitrine à la place du téléphone. Ce dernier je le glisse dans la poche arrière de son jean, en profitant au passage pour la caresser. Je soupire contre sa peau, juste pour réveiller ses instincts. « Noona… » Gémissais-je d’une voix faible, d’une voix calculée, je remonte mes baisers à sa mâchoire dont je suis la courbe doucement. Nos lèvres sont si proche de se toucher. Si proche que s’en est frustrant. « Le premier qui embrasse l’autre a perdu. » murmurais-je contre ses lèvres, les frôlant et les touchant avec indécence. J’ai envie de jouer avec elle, je ne veux pas qu’on se contente de s’envoyer en l’air. Faut que ça soit magique. Faut que ça soit unique. Faut qu’elle s’en souvienne. Et si on crève sous la tentation, et si on crève sous la frustration, ça ne sera que meilleur. Mon rire fait écho sur ses lèvres et j’inverse nos positions en la plaquant contre le mur à nouveau. « T’as envie de moi pas vrai ? » murmurais-je en pressant mon bassin, bien réveillé, contre le sien. J’ai juste envie de l’entendre dire. Comme un doux son mélodieux et un putain de plaisir pour mon égo. Je glisse ma main à sa joue à nouveau pour qu'elle bascule la tête en arrière, assez pour que je puisse venir lui dévorer le cou de baiser brûlant qui attisent, j'en suis persuadée, les picotement de son bas ventre. 
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