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es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Mer 23 Sep - 6:17 Citer EditerSupprimer
tenue La frustration. C'était la seule raison pour laquelle elle s'était emparé de l'anatomie de son jeune cadet, la seule raison pour laquelle elle avait resserré ses doigts autour de l'objet de ses désirs. Son portable l'importait peu, pour tout dire, elle s'en moquait royalement. La jeune blondinette était ce genre de femme qui ne se concentrait que sur une chose à la fois, en l’occurrence ce qu'elle avait désiré toute la soirée et n'avait eu aucun mal à obtenir. Cet homme, qui a lui seul arrivait à la mettre hors d'elle. Elle en frémissait, ses jambes tremblotantes tandis qu'elle tentait tant bien que mal de reprendre ses esprits. Les mains qu'il avait posé sur son petit cul galbé, le malaxant sensuellement, la rendait dingue. Elle le voulait d'hors et déjà en elle, elle qui s'était promise de dominer son cadet. Elle n'était pas ainsi habituellement, à vrai dire il était rare qu'un homme lui plaise autant. Était-ce cette sensation d'interdit qui l'excitait autant ? Cette impression d'être bien plus vieille que lui, cette envie de lui apprendre ce que le mot sexe signifiait, même si en soi, elle savait parfaitement qu'il n'était pas novice en la matière. Elle avait cette envie de tout accélérer mais avait peur de ne guère pouvoir apprécié chaque seconde qu'il lui offrirait. Elle ne sait pas ce qu'il fait sur son téléphone, elle s'en moque royalement, elle finira bien par le savoir. Plus tard, beaucoup plus tard. Pour le moment elle apprécie chacune de ses caresses, en profitant bien plus qu'elle ne le lui en fait profiter. Elle a toujours ce petit côté d'aînée insatisfaite.
Elle lève délicatement les yeux vers lui, comme émergeant difficilement d'un rêve. " hongjoon ? on s'en fous. " parce qu'elle ne voulait guère interrompre ce moment, encore moins entendre parler d'un homme qui n'avait de cesse de l'importuner. et d'un côté, elle aimait voir son cadet répondre pour elle, comme si il marquait son territoire, signalant qu'elle lui appartenait et que quiconque tenterait de l'approcher aurait à faire à lui. Elle lui appartient. Pas un seul moment elle ne cherche à se retirer de son étreinte, pas un seul moment elle ne le repousse ni ne le stop, pas un seul moment elle ne retire sa douce main de son entrejambe. Elle fond sous ses baisers, se tortillant légèrement pour ne guère flancher sous le feu qui l'embrase. Elle aime ses douces lèvres contre son cou, elle aime son souffle qui vient subtilement caresser sa peau. elle en veut plus toujours plus et c'est donc naturellement qu'elle caresse l'entrejambe du jeune, sentant son sexe se gonfler entre ses doigts fins. Elle gémit légèrement marquant ainsi l'excitation qu'il procure en elle. il est si proche et pourtant si loin. « Le premier qui embrasse l’autre a perdu. » elle soupire de mécontentement, elle qui aimait tant jouer avec lui, n'avait pourtant à présent plus envie d'attendre, ni même de flirter, elle le voulait ici et maintenant. même si cela ne rentrait pas dans ses mœurs, même si elle se sentait atrocement facile et qu'il n'aurait guère été faux que de la qualifier d'allumeuse. elle ne voulait pas qu'il lui échappe, que ce jeu dure encore des lustres. elle retire sa main de son entre jambe et voici qu'il vient caler son érection entre ses cuisses nues tout en la plaquant de nouveau contre le mur lui arrachant un léger grognement. Ses lèvres frôlant les siennes ne font qu’accentuer sa frustration et c’est en fermant les yeux la tête en arrière, ses doux baisers courant le long de son cou, qu’elle tente en vain de se ressaisir.
Nombreuses sont les idées qui lui passent par la tête, et toutes semblent plus mauvaises les unes que les autres, parce que quand bien même elle serait extrêmement excitée par le jeune homme, elle ne voulait pas pour autant tomber dans l’obscénité en faisant ces choses dans une ruelle crasseuse. Pourtant ce n’était guère l’envie qui lui manquait, l’envie de l’entendre gémir lorsqu’elle enroulerait sensuellement sa langue autour de son sexe durcit. Elle secoue délicatement la tête, elle doit se reprendre, du moins suffisamment pour ne pas craquer de la sorte, pas ici, pas comme ça. Ses yeux tentent de rejoindre ceux du jeune homme, elle a besoin de voir son visage, besoin de voir son expression, de comprendre ce qu’il attend d’elle. Lorsqu’elle arrive enfin à plonger son regard dans le sien c’est après un léger hoquet qu’elle s’adresse à lui, une main venue se poser sur la joue du jeune homme qu’elle caresse délicatement du bout de son pouce. « ça fait beaucoup trop longtemps que j’en ai envie et ce n’est pas tes petits jeux de gamin qui m’arrêteront, jun. » parce qu’elle se moquait bien de perdre, elle ne perdait rien, elle avait tout à gagner que ce soit seulement ce soir ou les jours à venir. Il n’est pas beaucoup plus grand qu’elle, surtout avec les talons aiguilles qu’elle porte, elle n’a donc aucun mal à venir poser son nez contre le sien. Lentement doucement, elle pose ses lèvres timides sur les siennes. Elle ne peut plus attendre, elle ne veut plus attendre. Un baiser d’abord timide, léger, limpide puis elle intensifie la pression de ses lèvres contre les siennes tandis que ses bras s’enroulent autour de la nuque du jeune homme. Elle aime son parfum, le goût de ses lèvres, la sensation que cela lui procure, les papillonnements dans son bas ventre. Elle est bien trop timide pour oser ouvrir les yeux, elle a beau se la jouer, yunna n’est pas bien différente des autres femmes, elle sait apprécier un simple baiser sans avoir à regarder son partenaire. Sa langue vient délicatement caresser la lèvre inférieure de son partenaire, comme pour lui demander l’autorisation d’aller plus loin, d’approfondir le baiser. L’une de ses mains, elle, en a profité pour aller se glisser sous le t-shirt du jeune homme, pour y découvrir avec surprise, le corps agréablement sculpté de celui-ci. Elle fait rouler sensuellement son têton droit entre ses fin doigts tandis qu’elle passe enfin la barrière de ses lèvres, rejoignant dans un frisson, la langue de son jeune cadet. Un baiser sensuel, envoûtant, un baiser tellement désirée qu’elle a du mal à ne pas l’accélérer. Parce qu’elle désire en profiter autant qu’elle en veut plus.
« et mec, faut trop que je pisse sa mère j’ai gavé bu, je vais te pisser les fontaines du niagara. » Dans un sursaut, la jeune femme se détache de son cadet, rabattant ses mains le long de son corps alors qu’elle tourne la tête vers les inconnus qui pénètrent au sein de l’impasse. Elle se sent rougir, gênée, embarrassée mais surtout frustrée d’avoir été coupé dans un moment pareil. « yen a qui se font plaisir ici à ce que je vois. » elle déglutit, ne sachant guère où se mettre. C’était la principale raison de son refus de flirter dans un lieu public, le regard d’autrui, les réflexions, puis les rumeurs, les on-dit. Relevant la tête vers son partenaire, elle cligne légèrement des yeux pour se réhabituer à l’obscurité des lieux puis murmure à son oreille pour qu’il soit le seul à pouvoir l’entendre. « tu n’as pas plus privé que cette ruelle ? » Non, Yunna ne perdait pas le nord, elle n’était pas prête à mettre fin à cette soirée, pas maintenant, pas ainsi. Pas après toutes les sensations qu’il avait réussis à lui procurer, pas après ce baiser, pas après ces caresses.
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tenue La frustration. C'était la seule raison pour laquelle elle s'était emparé de l'anatomie de son jeune cadet, la seule raison pour laquelle elle avait resserré ses doigts autour de l'objet de ses désirs. Son portable l'importait peu, pour tout dire, elle s'en moquait royalement. La jeune blondinette était ce genre de femme qui ne se concentrait que sur une chose à la fois, en l’occurrence ce qu'elle avait désiré toute la soirée et n'avait eu aucun mal à obtenir. Cet homme, qui a lui seul arrivait à la mettre hors d'elle. Elle en frémissait, ses jambes tremblotantes tandis qu'elle tentait tant bien que mal de reprendre ses esprits. Les mains qu'il avait posé sur son petit cul galbé, le malaxant sensuellement, la rendait dingue. Elle le voulait d'hors et déjà en elle, elle qui s'était promise de dominer son cadet. Elle n'était pas ainsi habituellement, à vrai dire il était rare qu'un homme lui plaise autant. Était-ce cette sensation d'interdit qui l'excitait autant ? Cette impression d'être bien plus vieille que lui, cette envie de lui apprendre ce que le mot sexe signifiait, même si en soi, elle savait parfaitement qu'il n'était pas novice en la matière. Elle avait cette envie de tout accélérer mais avait peur de ne guère pouvoir apprécié chaque seconde qu'il lui offrirait. Elle ne sait pas ce qu'il fait sur son téléphone, elle s'en moque royalement, elle finira bien par le savoir. Plus tard, beaucoup plus tard. Pour le moment elle apprécie chacune de ses caresses, en profitant bien plus qu'elle ne le lui en fait profiter. Elle a toujours ce petit côté d'aînée insatisfaite.
Elle lève délicatement les yeux vers lui, comme émergeant difficilement d'un rêve. " hongjoon ? on s'en fous. " parce qu'elle ne voulait guère interrompre ce moment, encore moins entendre parler d'un homme qui n'avait de cesse de l'importuner. et d'un côté, elle aimait voir son cadet répondre pour elle, comme si il marquait son territoire, signalant qu'elle lui appartenait et que quiconque tenterait de l'approcher aurait à faire à lui. Elle lui appartient. Pas un seul moment elle ne cherche à se retirer de son étreinte, pas un seul moment elle ne le repousse ni ne le stop, pas un seul moment elle ne retire sa douce main de son entrejambe. Elle fond sous ses baisers, se tortillant légèrement pour ne guère flancher sous le feu qui l'embrase. Elle aime ses douces lèvres contre son cou, elle aime son souffle qui vient subtilement caresser sa peau. elle en veut plus toujours plus et c'est donc naturellement qu'elle caresse l'entrejambe du jeune, sentant son sexe se gonfler entre ses doigts fins. Elle gémit légèrement marquant ainsi l'excitation qu'il procure en elle. il est si proche et pourtant si loin. « Le premier qui embrasse l’autre a perdu. » elle soupire de mécontentement, elle qui aimait tant jouer avec lui, n'avait pourtant à présent plus envie d'attendre, ni même de flirter, elle le voulait ici et maintenant. même si cela ne rentrait pas dans ses mœurs, même si elle se sentait atrocement facile et qu'il n'aurait guère été faux que de la qualifier d'allumeuse. elle ne voulait pas qu'il lui échappe, que ce jeu dure encore des lustres. elle retire sa main de son entre jambe et voici qu'il vient caler son érection entre ses cuisses nues tout en la plaquant de nouveau contre le mur lui arrachant un léger grognement. Ses lèvres frôlant les siennes ne font qu’accentuer sa frustration et c’est en fermant les yeux la tête en arrière, ses doux baisers courant le long de son cou, qu’elle tente en vain de se ressaisir.
Nombreuses sont les idées qui lui passent par la tête, et toutes semblent plus mauvaises les unes que les autres, parce que quand bien même elle serait extrêmement excitée par le jeune homme, elle ne voulait pas pour autant tomber dans l’obscénité en faisant ces choses dans une ruelle crasseuse. Pourtant ce n’était guère l’envie qui lui manquait, l’envie de l’entendre gémir lorsqu’elle enroulerait sensuellement sa langue autour de son sexe durcit. Elle secoue délicatement la tête, elle doit se reprendre, du moins suffisamment pour ne pas craquer de la sorte, pas ici, pas comme ça. Ses yeux tentent de rejoindre ceux du jeune homme, elle a besoin de voir son visage, besoin de voir son expression, de comprendre ce qu’il attend d’elle. Lorsqu’elle arrive enfin à plonger son regard dans le sien c’est après un léger hoquet qu’elle s’adresse à lui, une main venue se poser sur la joue du jeune homme qu’elle caresse délicatement du bout de son pouce. « ça fait beaucoup trop longtemps que j’en ai envie et ce n’est pas tes petits jeux de gamin qui m’arrêteront, jun. » parce qu’elle se moquait bien de perdre, elle ne perdait rien, elle avait tout à gagner que ce soit seulement ce soir ou les jours à venir. Il n’est pas beaucoup plus grand qu’elle, surtout avec les talons aiguilles qu’elle porte, elle n’a donc aucun mal à venir poser son nez contre le sien. Lentement doucement, elle pose ses lèvres timides sur les siennes. Elle ne peut plus attendre, elle ne veut plus attendre. Un baiser d’abord timide, léger, limpide puis elle intensifie la pression de ses lèvres contre les siennes tandis que ses bras s’enroulent autour de la nuque du jeune homme. Elle aime son parfum, le goût de ses lèvres, la sensation que cela lui procure, les papillonnements dans son bas ventre. Elle est bien trop timide pour oser ouvrir les yeux, elle a beau se la jouer, yunna n’est pas bien différente des autres femmes, elle sait apprécier un simple baiser sans avoir à regarder son partenaire. Sa langue vient délicatement caresser la lèvre inférieure de son partenaire, comme pour lui demander l’autorisation d’aller plus loin, d’approfondir le baiser. L’une de ses mains, elle, en a profité pour aller se glisser sous le t-shirt du jeune homme, pour y découvrir avec surprise, le corps agréablement sculpté de celui-ci. Elle fait rouler sensuellement son têton droit entre ses fin doigts tandis qu’elle passe enfin la barrière de ses lèvres, rejoignant dans un frisson, la langue de son jeune cadet. Un baiser sensuel, envoûtant, un baiser tellement désirée qu’elle a du mal à ne pas l’accélérer. Parce qu’elle désire en profiter autant qu’elle en veut plus.
« et mec, faut trop que je pisse sa mère j’ai gavé bu, je vais te pisser les fontaines du niagara. » Dans un sursaut, la jeune femme se détache de son cadet, rabattant ses mains le long de son corps alors qu’elle tourne la tête vers les inconnus qui pénètrent au sein de l’impasse. Elle se sent rougir, gênée, embarrassée mais surtout frustrée d’avoir été coupé dans un moment pareil. « yen a qui se font plaisir ici à ce que je vois. » elle déglutit, ne sachant guère où se mettre. C’était la principale raison de son refus de flirter dans un lieu public, le regard d’autrui, les réflexions, puis les rumeurs, les on-dit. Relevant la tête vers son partenaire, elle cligne légèrement des yeux pour se réhabituer à l’obscurité des lieux puis murmure à son oreille pour qu’il soit le seul à pouvoir l’entendre. « tu n’as pas plus privé que cette ruelle ? » Non, Yunna ne perdait pas le nord, elle n’était pas prête à mettre fin à cette soirée, pas maintenant, pas ainsi. Pas après toutes les sensations qu’il avait réussis à lui procurer, pas après ce baiser, pas après ces caresses.
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 24 Sep - 3:30 Citer EditerSupprimer
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue
Je ris de la voir soupirer comme elle le fait. Elle en serait presque trop mignonne. Etait-elle aussi frustrée que ça ? J’aime jouer avec ses nerfs, et son visage si angélique est si expressif que je peux devenir sans aucun mal ce à quoi pense ma Noona … et je me délecte de la voir aussi réceptive. Elle a abandonné toutes les règles auxquelles on se contenait depuis le début. Elle baisse les armes, pour en sortir de nouvelles, et me rendre plus accroc à son regard, à ses lèvres, à la façon qu’elle a de vouloir dominer notre partie. Elle crève d’envie de me posséder, et je le sens à la façon qu’elle a de caresser mon entre jambe. J’étouffe un soupire satisfait en serrant les dents. Ça serait con de me laisser trop aller et de perdre le contrôle maintenant. Sa mine contrarié et son visage presque boudeur pourrait me faire craquer. Mais la seule chose que je veux c’est qu’elle vienne me chercher. Qu’elle vienne chercher ce qu’elle veut. Et ce qu’elle veut se trouve si près d’elle que c’est totalement indécent de la torturer de cette façon. Mais ça me plait, ça me plait tellement. La douceur dont elle fait preuve me surprend presque. Mais je la laisse faire, je la laisse guider. Sa voix n’est qu’un faible murmure que je n’entends même pas. Je veux qu’elle m’embrasse. Qu’elle approche, qu’elle cède. Son nez contre le mien me fait sourire, de ce sourire arrogant, de ce sourire de gamin fier sur le point d’avoir sa récompense. Mes mains s’agrippent à ses fesses que je presse pour coller son bassin au mien, plus si on le peut. Son souffle se mêle au mien et j’ai du mal à réaliser qu’elle va m’embrasser. Je n’ai pas arrêté d’y penser dès l’instant où je l’ai vue. Je n’ai pas arrêté d’imaginer le goût qu’elle pouvait avoir, si fine, si douce. J’en ai touché d’autres, je me suis occupé, en attendant qu’elle daigne me regarder, j’en ai goûté quelques-unes. Assez pour me demander si elles avaient les mêmes goûts que celles de Yun Na, mais je dois me rendre à l’évidence, aucune ne peut égaler Noona. Retenant mon souffle comme un collégien s’apprêtant à donner son premier baiser je la laisse venir d’abord timidement, puis avec un peu plus d’audace. Putain, c’est encore plus dément que je ne l’aurais. Ma main se glisse sur sa joue. Elle me parait si petite dans le creux de ma paume. Je laisse sa langue venir taquiner ma lèvre avec un plaisir certain, et il ne m’en faut pas plus pour que sa jumelle la rejoigne. Je lis nos langues sensuellement, caressant ses fesses avec envies. Putain c’est tellement délicieux … j’en frissonne. Je ne sais pas combien de temps on reste là, à s’embrasser, à se bouffer les lèvres avec envie. J’ai l’impression de succomber dès l’instant où je la sens me pincer le téton. C’est qu’elle veut jouer maintenant ? Je m’apprêtais à la soulever par les cuisses et la plaquer contre le mur quand un mec débarque complètement ivre mort pour venir pisser à côté de nous. Je souffle de frustration en m’écartant de lui, dans la mesure du possible, s’il pouvait éviter de me salir les pompes j’apprécierais. Je tourne mon visage vers Yun Na quand elle me demande si j’ai un coin plus discret … Je ne peux retenir un sourire amusé et me penche vers elle pour lui voler un baiser. « Bien sûr. » j’attrape sa main et la sort rapidement de cette ruelle. Je ne suis qu’à deux pâtés de maisons de chez moi. Une chance. Enfin … de chez ma tante à vrai dire. Elle m’a interdit de refoutre les pieds chez elle mais elle est en vacances et ma cousine est en sortie scolaire je ne sais où. L’appartement était donc vide et moi j’avais un joli double qui pendait à mes clés et qui n’attendait que moi. Y avait sûrement plus glamour que la chambre d’ami de ma tante dans laquelle j’ai dormi pendant un an, mais c’était ça ou le dortoir. Et je savais que mes colocs allaient sûrement m’arracher la tête si je ramenais une fille et je savais surtout que Yun Na refuserait de coucher avec moi si on se trouvait à 2 mètres de mes colocs. Mais j’hésitais sur la tournure de la soirée en fouillant dans mes poches. Putain, je n’ai pas mes clés. Je n’ai que le badge des pyo. Fait chier. Me stoppant net sur le trottoir. Je me tournais vers elle l’air paumé. « J’ai pas mes clés. Et il n’y a personne chez moi. » lui expliquais-je … croisant son regard je m’insultais mentalement et craignant que l’excitation ne retombe je l’attrapais soudain par la taille et la plaqua contre mon torse. « Mais je vais trouver une solution. Ça te dit de visiter le dortoir Pyobeom. » Souriais-je en coin. « J’aurais de quoi te satisfaire là-bas. » Parce que nous avions trois chambres de libre, dont deux avec un grand lit double … c’était là que j’allais trouver le calme et la tranquillité dont nous avions besoin. Zieutant autour de nous les passants qui sortaient de boite ou de soirées je glissais ma main dans le creux de ses reins en évitant ses fesses, pour lui montrer que j’avais retenu la leçon. « Pas en public c’est ça ? » la frustrais-je en frôlant ses lèvres d’un baiser volé. Je reculais avec un sourire arrogant et joueur et l’attira jusqu’à l’arrêt de bus. J’avais repérer le véhicule de loin et ce n’était surement pas le moyen de locomotion auquel elle s’attendait mais c’était moins cher que le taxi. L’attirant à moi je la plaquais face l’une des barres et me glissa dans son dos. Mes mains dans sur les siennes, j’agissais comme tout ça c’était normal, comme si dégager sa nuque pour l’embrasser était normal. Je jouais avec le feu. Pas en public. Et pourtant c’était mon bassin que je collais innocemment à ses fesses. Les gens étaient tous trop occupés à dormir, ou rire, ou rester entre eux pour se rendre compte de mon manège. Pressé contre elle sans être étouffant, je fais glisser le bout de mes doigts le long de ses avant-bras. J’ai envie de lui arracher des frissons. « Tu n’as pas trop froid ? » lui susurrais-je dans le creux de l’oreille face à sa tenue courte. Je glisse ma paume chaude sur son ventre nu en souriant, exagérant les secousses du bus je fais mine de trébucher sur elle pour venir me saisir d’un sein. Je le presse dans ma paume sans ménagement avant de me redresser l’air de rien. Je vais lui faire aimer les trajets en bus. Relâchant toute prise sur elle j’appuie sur le bouton pour finalement descendre du bus. L’air frais me fait un bien fou et ces 15 minutes de trajets m’ont paru délicieuses. La torturée est un vrai plaisir. Je me tourne vers elle en lui montrant la maison dans laquelle les Pyo et moi-même habitons. « Bienvenu chez les Pyobeom Mademoiselle. » je tire légèrement sur mon jean pour ne plus être aussi à l’étroit et regarde autour de nous. « Il n’y a plus personne pas vrai ? » lui demandais-je comme si j’attendais son approbation. « Alors approche … » murmurais-je en mordillant sa lèvre inférieure. Je l’embrasse à nouveau sans plus attendre en la faisant reculer jusqu’à la porte contre laquelle je passe mon badge distraitement. Il me faut trois essais avant de pouvoir déverrouiller la porte. Et pas une seule seconde je n’ai lâché ses lèvres. Pas une seule.
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 24 Sep - 12:09 Citer EditerSupprimer
tenue Elle sourit timidement lorsqu’il s’empare de sa main. Elle n’est pas habitué, d’habitude ce n’est jamais comme cela. Biensûr, elle n’est pas aussi facile qu’elle peut le laisser sous-entendre et ses partenaires beaucoup moins nombreux qu’on pourrait le penser mais cela ne change rien au fait qu’il agit différemment. Il est doux, attentionnée, il n’a pas l’air de la percevoir tel une femme banale, une énième femme, une femme d’un soir, une femme pour laquelle il n’a aucun respect. Peut-être était-ce sa manière d’agir, peut-être était-il simplement un gentleman que ce soit dans ses relations sérieuses ou non sérieuses et peut-être ne devrait-elle pas se réjouir pour si peu, elle qui en soit, ne désirait à l’origine qu’une partie de jambe en l’air. Elle le suit silencieusement, appréciant la chaleur que lui procure la main qui tient la sienne. Elle ne réagit même pas lorsqu’il semble avoir perdu ses clés. Il y a tellement de lieux qui sauraient les accueillir qu’elle ne s’inquiète pas pour la tournure que prendra leur soirée. Le dortoir des pyobeoms ne lui semble pas être le lieu adéquate, mais ici dans cette ruelle, logé dans les bras de son cadet, elle n’a pas envie de faire la difficile. Il a cette facilité à l’embarrasser en retournant ses mots contre elle, entrainant ainsi un léger rougissement de ses pommettes. Son excitation la rend probablement plus faible aux charmes du jeune homme, c’est ce qu’elle se force à croire lorsqu’il glisse l’une de ses mains dans le creux de ses reins évitant ses fesses prétextant ne pas vouloir la toucher plus en public. Ils ont beaux être entourés, elle ne se sent pas pour autant mal à l’aise, elle a même cette petite satisfaction d’être celle qui se trouve à ses côtés, de pouvoir montrer aux autres jeunes femmes qu’il n’est ce soir, pas libre. Elle se laisser voler un énième baiser, elle en deviendrait presque accro, si le lieu lui permettait d’en réclamer plus.
Elle ne prenait pas souvent le bus, il fallait avouer qu’elle préférait le confort d’un taxi à l’odeur nauséabonde d’un bus emplie de personnes ivres et pourtant elle arrivait à présent à trouver cela excitant. Appuyé contre l’une des barres, son cadet ayant collé son bassin à son petit cul galbé tandis qu’il parsème son cou de baisers frivoles. Pas en public. Cela résonne dans sa tête, et pourtant elle n’a guère envie de le repousser, bien trop concentré à apprécier la moindre de ses caresses. Elle ne sait pas exactement combien de temps il leur est nécessaire pour se rendre au dortoir et pour tout dire elle n’y pense même pas. Les papillonnements n’ont jamais cessés, ils n’ont d’ailleurs de cesse de s’amplifier, sa main jouant sur son petit ventre tandis qu’il s’empare nonchalamment de son sein et ce encore une fois avec cette discrétion perturbante. Ses jambes, elles, n’ont de cesse de trembler. Il la rend folle, folle de désir et c’est presque dans un soupir de soulagement qu’ils descendent enfin du bus. La brise est fraîche et elle ne saurait dire si c’est-elle qui la fait trembler ou l’excitation qui s’est emparé d’elle. « Alors approche … » Il ne lui en faut pas plus pour qu’elle ne se glisse délicatement contre le jeune homme, répondant presqu’automatiquement à son baiser. C’est comme si ses lèvres lui avaient manqué, son souffle se mêlant de nouveau au sien. Cela n’a plus rien d’un baiser timide, réservé et maladroit. Ils savent tous les deux ce qu’ils veulent à présent et elle n’est pas prête à le lâcher. De ses petites dents elle vient mordiller sa lèvre inférieure, tandis que ses mains avides ce sont de nouveaux glissés sous son t-shirt. Si elle le pouvait, elle le supplierait de la prendre, ici même, contre la porte du dortoir des pyobeoms. Elle le veut en elle, depuis le tout premier jour, depuis la première fois qu’elle a croisé son regard, depuis qu’elle a compris qu’il était sur la même longueur d’onde qu’elle.
Lorsque la porte s’ouvre enfin, c’est avec avidité qu’elle s’empare de son col, pénétrant au sein du dortoir et ce, sans jamais arrêter de l’embrasser. Elle percute un meuble tout en essayant de lui retirer son t-shirt, et n’en peut déjà plus de voir autant de tissus sur lui, elle le veut nu, elle veut pouvoir l’admirer, le toucher, le caresser, l’embrasser, le savourer. « où – sont – les – douches ? » arrive-t-elle enfin à lui demander entre deux baisers. Débarrassé du t-shirt du jeune homme, elle se détache délicatement de lui, sa main se glissant dans la sienne tandis qu’elle admire silencieusement son torse. Il est beau, affreusement beau. Sa main libre vient délicatement savourer les contours de ses pectoraux alors qu’elle se débarrasse de ses talons aiguilles, se retrouvant désormais bien plus petite, suffisamment petite pour pouvoir poser ses lèvres humides sur l’un des têton du jeune homme qu’elle entreprend de déguster du bout de la langue avant de ne le mordiller sensuellement. Elle prend des risques, elle en a conscience. N’importe lequel des élèves de la fratrie pourrait pénétrer dans les couloirs à n’importe quel moment, et pourtant c’est en se détachant de nouveau de lui qu’elle retire son haut, offrant à la vue de son cadet, sa poitrine à peine caché par son soutien-gorge. Son short taille haute ne tarde pas non plus à rejoindre le sol, alors que son regard plongé dans le sien ne cesse de le dévorer. Ses vêtements abandonnaient au sol et n’ayant pour cacher son corps que de simples et légers morceaux de tissus c’est en prenant sa main qu’elle l’entraînait dans les couloirs, persuadé que les douches ne devaient guère se trouver bien loin. Il lui fallait se débarrasser du peu de vêtements qu’il lui restait, son petit string déjà bien trop humidifié par l’excitation qu’il lui procurait.
Elle pénètre dans une grande pièce que seule la lune illumine, lui dévoilant une multitude de pommeaux de douche. Et c’est tout en relâchant la main du jeune homme qu’elle s’empresse de verrouiller la porte de celle-ci avant de n’aller déclencher l’un des pommeaux de douche. Elle aurait très bien pu filer dans une chambre, l’une de ses chambres inoccupé que possédait tout dortoirs de yonsei, mais yunna était beaucoup trop porté sur l’hygiène pour accepter d’avoir des rapports sans avoir pu effectuer une légère toilette au préalable. Cela avait beau ne pas être sérieux, elle ne pouvait cependant pas s’empêcher de vouloir lui plaire de a à z, que ce soit son apparence, son odeur, ses compétences, sa voix, son regard. Elle dégrafe délicatement son soutien-gorge sans pour autant le retirer, se rapprochant de nouveau du jeune homme. La situation aurait pu être gênante, si et seulement si elle n’avait pas désiré cela depuis plusieurs mois. Cet homme la rendait folle, tellement qu’elle était prête à tout pour pouvoir se donner à lui et ce, le temps d’une soirée. Maintenant qu’ils étaient enfin tous les deux, dans un lieu bien plus privé, il lui était hors de question de ne pas en profiter. Ses yeux plongés dans les siens, elle s’humecte la lèvre inférieure tandis qu’elle déboutonne le pantalon du jeune homme du bout des doigts. Il saura retirer le peu de vêtements qu’il lui reste elle n’en doute pas, mais là maintenant, elle n’a pas besoin de lui retirer ses chaussures ni même complètement son pantalon pour s’emparer du fruit de ses désirs. Faisant tomber le pantalon sur les chevilles du jeune homme, elle s’arrête subitement, ses doigts fins immobiles en suspens face au caleçon du jeune homme. Alors c’est ça de désirer autant un homme ? Les choses lui paraissent subitement bien trop facile quand bien même elle ne l’aurait guère désiré et c’est donc rapidement mais délicatement qu’elle embrasse le sexe durcit du jeune homme et ce par-dessus son caleçon avant de se retirer. Elle veut qu’il la désire autant qu’elle ne le désire même si cela signifie qu’elle devra se faire violence et patienter avant de ne l’obtenir en elle. Sensuellement, elle se dirige vers le pommeau de douche enclenché, retirant son soutien-gorge de sorte à lui dévoiler sa poitrine généreuse et ses tétons gonflés par l’excitation. Son string rejoint rapidement le sol avant qu’elle ne finisse par se glisser sous le jet d’eau, son regard brûlant posé sur lui tandis qu’elle savoure la chaleur de l’eau qui s’insinue entre ses seins qu’elle s’est mise à toucher avidement. « Enlève tes vêtements, je veux le voir. » Oui, elle voulait pouvoir enfin voir son sexe durcis par l’excitation, pouvoir enfin le sentir contre sa peau nue, l’empoigner, le sucer avant de ne l’acceuillir en elle. « ne me fais pas attendre, jun. »
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue Elle sourit timidement lorsqu’il s’empare de sa main. Elle n’est pas habitué, d’habitude ce n’est jamais comme cela. Biensûr, elle n’est pas aussi facile qu’elle peut le laisser sous-entendre et ses partenaires beaucoup moins nombreux qu’on pourrait le penser mais cela ne change rien au fait qu’il agit différemment. Il est doux, attentionnée, il n’a pas l’air de la percevoir tel une femme banale, une énième femme, une femme d’un soir, une femme pour laquelle il n’a aucun respect. Peut-être était-ce sa manière d’agir, peut-être était-il simplement un gentleman que ce soit dans ses relations sérieuses ou non sérieuses et peut-être ne devrait-elle pas se réjouir pour si peu, elle qui en soit, ne désirait à l’origine qu’une partie de jambe en l’air. Elle le suit silencieusement, appréciant la chaleur que lui procure la main qui tient la sienne. Elle ne réagit même pas lorsqu’il semble avoir perdu ses clés. Il y a tellement de lieux qui sauraient les accueillir qu’elle ne s’inquiète pas pour la tournure que prendra leur soirée. Le dortoir des pyobeoms ne lui semble pas être le lieu adéquate, mais ici dans cette ruelle, logé dans les bras de son cadet, elle n’a pas envie de faire la difficile. Il a cette facilité à l’embarrasser en retournant ses mots contre elle, entrainant ainsi un léger rougissement de ses pommettes. Son excitation la rend probablement plus faible aux charmes du jeune homme, c’est ce qu’elle se force à croire lorsqu’il glisse l’une de ses mains dans le creux de ses reins évitant ses fesses prétextant ne pas vouloir la toucher plus en public. Ils ont beaux être entourés, elle ne se sent pas pour autant mal à l’aise, elle a même cette petite satisfaction d’être celle qui se trouve à ses côtés, de pouvoir montrer aux autres jeunes femmes qu’il n’est ce soir, pas libre. Elle se laisser voler un énième baiser, elle en deviendrait presque accro, si le lieu lui permettait d’en réclamer plus.
Elle ne prenait pas souvent le bus, il fallait avouer qu’elle préférait le confort d’un taxi à l’odeur nauséabonde d’un bus emplie de personnes ivres et pourtant elle arrivait à présent à trouver cela excitant. Appuyé contre l’une des barres, son cadet ayant collé son bassin à son petit cul galbé tandis qu’il parsème son cou de baisers frivoles. Pas en public. Cela résonne dans sa tête, et pourtant elle n’a guère envie de le repousser, bien trop concentré à apprécier la moindre de ses caresses. Elle ne sait pas exactement combien de temps il leur est nécessaire pour se rendre au dortoir et pour tout dire elle n’y pense même pas. Les papillonnements n’ont jamais cessés, ils n’ont d’ailleurs de cesse de s’amplifier, sa main jouant sur son petit ventre tandis qu’il s’empare nonchalamment de son sein et ce encore une fois avec cette discrétion perturbante. Ses jambes, elles, n’ont de cesse de trembler. Il la rend folle, folle de désir et c’est presque dans un soupir de soulagement qu’ils descendent enfin du bus. La brise est fraîche et elle ne saurait dire si c’est-elle qui la fait trembler ou l’excitation qui s’est emparé d’elle. « Alors approche … » Il ne lui en faut pas plus pour qu’elle ne se glisse délicatement contre le jeune homme, répondant presqu’automatiquement à son baiser. C’est comme si ses lèvres lui avaient manqué, son souffle se mêlant de nouveau au sien. Cela n’a plus rien d’un baiser timide, réservé et maladroit. Ils savent tous les deux ce qu’ils veulent à présent et elle n’est pas prête à le lâcher. De ses petites dents elle vient mordiller sa lèvre inférieure, tandis que ses mains avides ce sont de nouveaux glissés sous son t-shirt. Si elle le pouvait, elle le supplierait de la prendre, ici même, contre la porte du dortoir des pyobeoms. Elle le veut en elle, depuis le tout premier jour, depuis la première fois qu’elle a croisé son regard, depuis qu’elle a compris qu’il était sur la même longueur d’onde qu’elle.
Lorsque la porte s’ouvre enfin, c’est avec avidité qu’elle s’empare de son col, pénétrant au sein du dortoir et ce, sans jamais arrêter de l’embrasser. Elle percute un meuble tout en essayant de lui retirer son t-shirt, et n’en peut déjà plus de voir autant de tissus sur lui, elle le veut nu, elle veut pouvoir l’admirer, le toucher, le caresser, l’embrasser, le savourer. « où – sont – les – douches ? » arrive-t-elle enfin à lui demander entre deux baisers. Débarrassé du t-shirt du jeune homme, elle se détache délicatement de lui, sa main se glissant dans la sienne tandis qu’elle admire silencieusement son torse. Il est beau, affreusement beau. Sa main libre vient délicatement savourer les contours de ses pectoraux alors qu’elle se débarrasse de ses talons aiguilles, se retrouvant désormais bien plus petite, suffisamment petite pour pouvoir poser ses lèvres humides sur l’un des têton du jeune homme qu’elle entreprend de déguster du bout de la langue avant de ne le mordiller sensuellement. Elle prend des risques, elle en a conscience. N’importe lequel des élèves de la fratrie pourrait pénétrer dans les couloirs à n’importe quel moment, et pourtant c’est en se détachant de nouveau de lui qu’elle retire son haut, offrant à la vue de son cadet, sa poitrine à peine caché par son soutien-gorge. Son short taille haute ne tarde pas non plus à rejoindre le sol, alors que son regard plongé dans le sien ne cesse de le dévorer. Ses vêtements abandonnaient au sol et n’ayant pour cacher son corps que de simples et légers morceaux de tissus c’est en prenant sa main qu’elle l’entraînait dans les couloirs, persuadé que les douches ne devaient guère se trouver bien loin. Il lui fallait se débarrasser du peu de vêtements qu’il lui restait, son petit string déjà bien trop humidifié par l’excitation qu’il lui procurait.
Elle pénètre dans une grande pièce que seule la lune illumine, lui dévoilant une multitude de pommeaux de douche. Et c’est tout en relâchant la main du jeune homme qu’elle s’empresse de verrouiller la porte de celle-ci avant de n’aller déclencher l’un des pommeaux de douche. Elle aurait très bien pu filer dans une chambre, l’une de ses chambres inoccupé que possédait tout dortoirs de yonsei, mais yunna était beaucoup trop porté sur l’hygiène pour accepter d’avoir des rapports sans avoir pu effectuer une légère toilette au préalable. Cela avait beau ne pas être sérieux, elle ne pouvait cependant pas s’empêcher de vouloir lui plaire de a à z, que ce soit son apparence, son odeur, ses compétences, sa voix, son regard. Elle dégrafe délicatement son soutien-gorge sans pour autant le retirer, se rapprochant de nouveau du jeune homme. La situation aurait pu être gênante, si et seulement si elle n’avait pas désiré cela depuis plusieurs mois. Cet homme la rendait folle, tellement qu’elle était prête à tout pour pouvoir se donner à lui et ce, le temps d’une soirée. Maintenant qu’ils étaient enfin tous les deux, dans un lieu bien plus privé, il lui était hors de question de ne pas en profiter. Ses yeux plongés dans les siens, elle s’humecte la lèvre inférieure tandis qu’elle déboutonne le pantalon du jeune homme du bout des doigts. Il saura retirer le peu de vêtements qu’il lui reste elle n’en doute pas, mais là maintenant, elle n’a pas besoin de lui retirer ses chaussures ni même complètement son pantalon pour s’emparer du fruit de ses désirs. Faisant tomber le pantalon sur les chevilles du jeune homme, elle s’arrête subitement, ses doigts fins immobiles en suspens face au caleçon du jeune homme. Alors c’est ça de désirer autant un homme ? Les choses lui paraissent subitement bien trop facile quand bien même elle ne l’aurait guère désiré et c’est donc rapidement mais délicatement qu’elle embrasse le sexe durcit du jeune homme et ce par-dessus son caleçon avant de se retirer. Elle veut qu’il la désire autant qu’elle ne le désire même si cela signifie qu’elle devra se faire violence et patienter avant de ne l’obtenir en elle. Sensuellement, elle se dirige vers le pommeau de douche enclenché, retirant son soutien-gorge de sorte à lui dévoiler sa poitrine généreuse et ses tétons gonflés par l’excitation. Son string rejoint rapidement le sol avant qu’elle ne finisse par se glisser sous le jet d’eau, son regard brûlant posé sur lui tandis qu’elle savoure la chaleur de l’eau qui s’insinue entre ses seins qu’elle s’est mise à toucher avidement. « Enlève tes vêtements, je veux le voir. » Oui, elle voulait pouvoir enfin voir son sexe durcis par l’excitation, pouvoir enfin le sentir contre sa peau nue, l’empoigner, le sucer avant de ne l’acceuillir en elle. « ne me fais pas attendre, jun. »
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 24 Sep - 15:42 Citer EditerSupprimer
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 1 Oct - 10:34 Citer EditerSupprimer
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 1 Oct - 15:05 Citer EditerSupprimer
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Ven 2 Oct - 18:40 Citer EditerSupprimer
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Ven 2 Oct - 20:54 Citer EditerSupprimer
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Lun 5 Oct - 9:43 Citer EditerSupprimer
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Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Lun 5 Oct - 15:40 Citer EditerSupprimer
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