Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Dim 18 Oct - 20:05 Citer EditerSupprimer
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Lun 19 Oct - 15:06 Citer EditerSupprimer
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 22 Oct - 17:07 Citer EditerSupprimer
tenue De la tendresse, de belles paroles, des gestes doux et attentionnés. tout ce qu'elle s'abstenait généralement de faire, une perte de temps, une erreur et pourtant c'est ce qu'elle faisait, ce qu'elle avait envie de continuer de faire. ses mains savonnant son jeune cadet, elle ne peut s'empêcher de sourire. elle est satisfaite, rien que ça. il n'y a rien à ajouter à cela, pas d'explications. juste une sensation, un sentiment, un état d'esprit. elle n'a jamais pris de douches à deux auparavant, disons que pour elle, une douche se devait d'être rapide. puis, elle ne s'aimait pas les cheveux mouillés. et pourtant, pourtant elle se sentait à l'aise, elle n'avait pas honte, elle n'était pas gênée, elle était tout simplement jang yun na, la jeune coréenne qui venait tout juste de coucher avec ryu jun, son cadet. elle rit délicatement à ses paroles, c'est mignon, c'est nouveau. le genre d'attention dont elle n'est guère habitué, mais elle ne s'en plaindrait guère. pour lui, elle voulait bien endosser le surnom tigresse. les minutes passent et les rôles s'échangent. ses doigts se promenant le long de son corps arrivent encore à la faire frémir, à croire qu'elle n'était guère rassasié l'eau s'écoulant sur son visage, elle en profite pour se laver rapidement les cheveux, ils sont de toute manière déjà bien trop mouillées. le reste de son corps ? elle l'offre à jun, elle lui permet de la savonner, de la caresser. elle souffle de plaisir chaque fois qu'il embrasse son cou et au fond, elle se demande bien comment elle réagira le lendemain, lorsque le rêve prendra fin. c'était comme attendre son anniversaire pendant un an pour réaliser après celui-ci qu'il fallait de nouveau attendre une nouvelle année. elle ne voulait pas attendre aussi longtemps de nouveau, et pourtant elle savait bien qu'elle le devrait. pour lui, mais surtout pour elle.
l'eau cesse enfin de couler et c'est toujours aussi perdue dans ses pensées, qu'elle se laisse trainer vers les placards, se saisissant instinctivement de la serviette qu'il lui tend. elle aurait pu s'allonger sur un lit tel quel. elle se sentait tellement bien qu'elle en était incroyablement lente, préférant contempler son cadet plutôt que de sécher ses cheuveux. c'est donc naturellement qu'elle ne put s'empêcher de lâcher un petit soupir de soulagement lorsqu'il entreprit de lui sécher les cheveux. elle ne s'était jamais imaginé qu'il puisse agir de la sorte et cela avait le don de la frustrer. était-il ainsi avec toutes les femmes ? rejetant la pointe de jalousie qui tentait de s'emparer d'elle, la jeune étudiante ferma les yeux, le laissant s'occuper d'elle, savourant le moment présent. lorsque la serviette vint se poser sur son visage c'est naturellement qu'elle ouvrit les yeux et tout aussi naturellement qu'elle lâcha un hoquet de surprise lorsque celle-ci rejoignit le sol, dévoilant à quelques centimètres d'elle, le visage de son amant. ses douces lèvres pulpeuses, ses yeux taquins et se sourire qui la faisait à présent tant craquer. sans même avoir le temps de réagir, il venait embrasser sa joue et sans même avoir le temps de réagir, son coeur ratait un battement, incapable de respirer, ses joues s'empourprant aussi rapidement que n'avait été le baiser. depuis quand embrassait-on une femme que l'on venait de baiser, sur la joue ? n'était-ce pas un geste doux réservé à une petite amie ? à une amie ? à à ---
« Putain tu sais ce qu’il faut après une bonne baise ? De la bonne bouffe. » écarquillant les yeux, elle lâchait un petit "mmh ?" le regardant filer hors de la salle de bain, nu comme un vers. profitant de son absence pour s'assenner une légère claque, la jeune asiatique tentait de reprendre ses esprits, bien conscience qu'un état pareil n'était excusable que si forte consommation d'alcool il y avait eu, ce qui en soit n'était guère le cas. elle quittait donc la salle de bain après avoir récupéré ses sous-vêtements. enroulée dans sa serviette, toujours nue en dessous de celle-ci, elle ne put s'empêcher de scruter les couloirs, à la recherche d'un quelconque signe de présence humaine . en soit elle espérait sincérement qu'il n'y ai aucune caméra de surveillances. ce genre de choses ne prenant guère de temps à faire le tour du campus. jang yun na avait le feu aux fesses du moins suffisamment pour se faire prendre par une panthère. non décidément, non, elle ne pouvait pas se faire prendre, et elle se jura de lui demander plus tard, lorsqu'elle porterait des vêtements. " merci " murmurra t'elle quelque peu gênée lorsque jun, de retour, lui tendis un t-shirt. elle aimait sa manière de la taquiner, cette manière de lui faire comprendre qu'elle lui plaisait sans tomber ni dans le brusque ni dans le niais. elle aimait le regard qu'il posait sur elle, ni vulgaire ni trop entiché. tout autant qu'elle aimait cette manière nonchalante de la faire sienne, de lui arracher sa serviette, la mettant à nue dans ce lieu public tout en la rassurant silencieuse sur l'absence d'élèves au sein des couloirs. elle avait beau être gênée par son geste, elle ne put s'empêcher de lui adresser un grand sourire, le nez plissé , les yeux rieurs avant de ne filement enfiler ses sous vêtements glissant sa tête puis ses bras dans le t-shirt que le jeune homme lui avait donné. " tu les vois suffisamment comme ça ?" s'amusa t-elle à lui demander tout en remuant légérement son petit popotin, se mordillant la lèvre inférieure, taquine. " dommage je suis sûre que ces murs sont confortables, peut-être la prochaine fois alors ? " parce que prochaine fois il y aurait, elle le savait de tout son être quand bien même cela n'aurait guère été préférable. le suivant dans la cuisine des panthères, elle affichait un petit sourire le dévorant du regard tandis qu'il fouillait les placards. elle ne pouvait le nier, cet homme lui plaisait, du moins il n'y avait aucun doute à avoir sur la partie physique de sa personne. il était bien déssiné, suffisamment musclé pour qu'elle se sente en sécurité dans ses bras et qu'elle puisse savourer sa force lors de leurs ébats, plus grand qu'elle et dieu ce qu'elle aimait cela. même après une douche, elle adorait la manière que ses cheveux avaient de se coiffer, naturel et désinvolte. se rapprochant du jeune homme, elle grimaça en appercevant les friandises, des snickers, des bonbons, des cookies, des nounours en gélatines. tout ce dont elle rafollait et tout ce que jusque là elle s'était faite violence de ne pas manger à moins de ne se faire vomir par la suite. car c'était ce qui avait alimenter son obésité toute ses années et ce qui, la rendrait de nouveau ainsi si elle en abusait. déglutissant silencieusement, elle reportait son regard sur le planning, éclatant soudainement de rire à la remarque du jeune homme. " tête en l'air va ! " lui ébouriffant rapidement les cheveux, elle s'emparait de quelques une des poches qu'il tenait dans ses bras avant de ne rajouter. " je préfère les nouilles mais ça devrait faire l'affaire, puis de toute manière je n'ai pas trop faim. je suis déjà bien rassasié après tout ce sport." ô oui, elle était bien, elle se sentait même très bien et n'éprouvait pas le besoin de manger bien que la gourmandise, elle, avait fait son appartition. s'emparant de la main libre du jeune homme, elle entreprit de le tirer vers la chambre qu'il avait énuméré, entrouvant la porte pour la refermer aussitôt " oups mauvaise chambre. " en plus de voler la bouffe voici maintenant qu'elle entrait dans les chambres des autres élèves. " 2.4, ah c'est là !" s'exclamait-elle tout en riant, tandis qu'elle lâchait la main du jeune homme, ouvrant la porte, allumant la lumière puis se jetant sur le lit, les quatre fers en l'air. ses doigts s'évertuant d'ouvrir un paquet de bonbons en gélatine. " tu as faim bébé ? " roulant délicatement sur elle même, elle adoptait une position allongé sur le ventre, les jambes en l'air, le regard ancré dans le sien. elle avait, elle aussi, trouvé le nouveau surnom de son cadet. le seul surnom qu'elle s'autoriserait. " et si tu venais chercher ton dû ? " lui lançant un clin d'oeil, elle glissait l'une des sucreries entre ses douces lèvres avant de se relever , se dirigeant délicatement vers lui. elle était bien trop joueuse pour l'attendre patiemment sur le lit, bien trop joueuse pour ne pas faire le premier pas. et c'est donc délicatement qu'elle venait frotter son nez au sien, attendant patiemment qu'il ne vienne s'emparer du petit ourson en gélatine coincée entre ses douces lèvres pulpeuses. puis lorsqu'il s'y risqua enfin, elle inséra la friandise dans sa bouche, suçotant délicatement celle-ci avant de ne lancer un clin d'oeil au jeune homme, taquine. " tu es bien trop lent bébé. serais-tu fatigué ? " un petit rire cristallin quittait alors ses douces lèvres tandis qu'elle se dirigeait de nouveau vers le lit, se laissant tomber sur celui-ci, mais adoptant cette fois, une position assise. pour mieux le voir, pour mieux le charier.
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue De la tendresse, de belles paroles, des gestes doux et attentionnés. tout ce qu'elle s'abstenait généralement de faire, une perte de temps, une erreur et pourtant c'est ce qu'elle faisait, ce qu'elle avait envie de continuer de faire. ses mains savonnant son jeune cadet, elle ne peut s'empêcher de sourire. elle est satisfaite, rien que ça. il n'y a rien à ajouter à cela, pas d'explications. juste une sensation, un sentiment, un état d'esprit. elle n'a jamais pris de douches à deux auparavant, disons que pour elle, une douche se devait d'être rapide. puis, elle ne s'aimait pas les cheveux mouillés. et pourtant, pourtant elle se sentait à l'aise, elle n'avait pas honte, elle n'était pas gênée, elle était tout simplement jang yun na, la jeune coréenne qui venait tout juste de coucher avec ryu jun, son cadet. elle rit délicatement à ses paroles, c'est mignon, c'est nouveau. le genre d'attention dont elle n'est guère habitué, mais elle ne s'en plaindrait guère. pour lui, elle voulait bien endosser le surnom tigresse. les minutes passent et les rôles s'échangent. ses doigts se promenant le long de son corps arrivent encore à la faire frémir, à croire qu'elle n'était guère rassasié l'eau s'écoulant sur son visage, elle en profite pour se laver rapidement les cheveux, ils sont de toute manière déjà bien trop mouillées. le reste de son corps ? elle l'offre à jun, elle lui permet de la savonner, de la caresser. elle souffle de plaisir chaque fois qu'il embrasse son cou et au fond, elle se demande bien comment elle réagira le lendemain, lorsque le rêve prendra fin. c'était comme attendre son anniversaire pendant un an pour réaliser après celui-ci qu'il fallait de nouveau attendre une nouvelle année. elle ne voulait pas attendre aussi longtemps de nouveau, et pourtant elle savait bien qu'elle le devrait. pour lui, mais surtout pour elle.
l'eau cesse enfin de couler et c'est toujours aussi perdue dans ses pensées, qu'elle se laisse trainer vers les placards, se saisissant instinctivement de la serviette qu'il lui tend. elle aurait pu s'allonger sur un lit tel quel. elle se sentait tellement bien qu'elle en était incroyablement lente, préférant contempler son cadet plutôt que de sécher ses cheuveux. c'est donc naturellement qu'elle ne put s'empêcher de lâcher un petit soupir de soulagement lorsqu'il entreprit de lui sécher les cheveux. elle ne s'était jamais imaginé qu'il puisse agir de la sorte et cela avait le don de la frustrer. était-il ainsi avec toutes les femmes ? rejetant la pointe de jalousie qui tentait de s'emparer d'elle, la jeune étudiante ferma les yeux, le laissant s'occuper d'elle, savourant le moment présent. lorsque la serviette vint se poser sur son visage c'est naturellement qu'elle ouvrit les yeux et tout aussi naturellement qu'elle lâcha un hoquet de surprise lorsque celle-ci rejoignit le sol, dévoilant à quelques centimètres d'elle, le visage de son amant. ses douces lèvres pulpeuses, ses yeux taquins et se sourire qui la faisait à présent tant craquer. sans même avoir le temps de réagir, il venait embrasser sa joue et sans même avoir le temps de réagir, son coeur ratait un battement, incapable de respirer, ses joues s'empourprant aussi rapidement que n'avait été le baiser. depuis quand embrassait-on une femme que l'on venait de baiser, sur la joue ? n'était-ce pas un geste doux réservé à une petite amie ? à une amie ? à à ---
« Putain tu sais ce qu’il faut après une bonne baise ? De la bonne bouffe. » écarquillant les yeux, elle lâchait un petit "mmh ?" le regardant filer hors de la salle de bain, nu comme un vers. profitant de son absence pour s'assenner une légère claque, la jeune asiatique tentait de reprendre ses esprits, bien conscience qu'un état pareil n'était excusable que si forte consommation d'alcool il y avait eu, ce qui en soit n'était guère le cas. elle quittait donc la salle de bain après avoir récupéré ses sous-vêtements. enroulée dans sa serviette, toujours nue en dessous de celle-ci, elle ne put s'empêcher de scruter les couloirs, à la recherche d'un quelconque signe de présence humaine . en soit elle espérait sincérement qu'il n'y ai aucune caméra de surveillances. ce genre de choses ne prenant guère de temps à faire le tour du campus. jang yun na avait le feu aux fesses du moins suffisamment pour se faire prendre par une panthère. non décidément, non, elle ne pouvait pas se faire prendre, et elle se jura de lui demander plus tard, lorsqu'elle porterait des vêtements. " merci " murmurra t'elle quelque peu gênée lorsque jun, de retour, lui tendis un t-shirt. elle aimait sa manière de la taquiner, cette manière de lui faire comprendre qu'elle lui plaisait sans tomber ni dans le brusque ni dans le niais. elle aimait le regard qu'il posait sur elle, ni vulgaire ni trop entiché. tout autant qu'elle aimait cette manière nonchalante de la faire sienne, de lui arracher sa serviette, la mettant à nue dans ce lieu public tout en la rassurant silencieuse sur l'absence d'élèves au sein des couloirs. elle avait beau être gênée par son geste, elle ne put s'empêcher de lui adresser un grand sourire, le nez plissé , les yeux rieurs avant de ne filement enfiler ses sous vêtements glissant sa tête puis ses bras dans le t-shirt que le jeune homme lui avait donné. " tu les vois suffisamment comme ça ?" s'amusa t-elle à lui demander tout en remuant légérement son petit popotin, se mordillant la lèvre inférieure, taquine. " dommage je suis sûre que ces murs sont confortables, peut-être la prochaine fois alors ? " parce que prochaine fois il y aurait, elle le savait de tout son être quand bien même cela n'aurait guère été préférable. le suivant dans la cuisine des panthères, elle affichait un petit sourire le dévorant du regard tandis qu'il fouillait les placards. elle ne pouvait le nier, cet homme lui plaisait, du moins il n'y avait aucun doute à avoir sur la partie physique de sa personne. il était bien déssiné, suffisamment musclé pour qu'elle se sente en sécurité dans ses bras et qu'elle puisse savourer sa force lors de leurs ébats, plus grand qu'elle et dieu ce qu'elle aimait cela. même après une douche, elle adorait la manière que ses cheveux avaient de se coiffer, naturel et désinvolte. se rapprochant du jeune homme, elle grimaça en appercevant les friandises, des snickers, des bonbons, des cookies, des nounours en gélatines. tout ce dont elle rafollait et tout ce que jusque là elle s'était faite violence de ne pas manger à moins de ne se faire vomir par la suite. car c'était ce qui avait alimenter son obésité toute ses années et ce qui, la rendrait de nouveau ainsi si elle en abusait. déglutissant silencieusement, elle reportait son regard sur le planning, éclatant soudainement de rire à la remarque du jeune homme. " tête en l'air va ! " lui ébouriffant rapidement les cheveux, elle s'emparait de quelques une des poches qu'il tenait dans ses bras avant de ne rajouter. " je préfère les nouilles mais ça devrait faire l'affaire, puis de toute manière je n'ai pas trop faim. je suis déjà bien rassasié après tout ce sport." ô oui, elle était bien, elle se sentait même très bien et n'éprouvait pas le besoin de manger bien que la gourmandise, elle, avait fait son appartition. s'emparant de la main libre du jeune homme, elle entreprit de le tirer vers la chambre qu'il avait énuméré, entrouvant la porte pour la refermer aussitôt " oups mauvaise chambre. " en plus de voler la bouffe voici maintenant qu'elle entrait dans les chambres des autres élèves. " 2.4, ah c'est là !" s'exclamait-elle tout en riant, tandis qu'elle lâchait la main du jeune homme, ouvrant la porte, allumant la lumière puis se jetant sur le lit, les quatre fers en l'air. ses doigts s'évertuant d'ouvrir un paquet de bonbons en gélatine. " tu as faim bébé ? " roulant délicatement sur elle même, elle adoptait une position allongé sur le ventre, les jambes en l'air, le regard ancré dans le sien. elle avait, elle aussi, trouvé le nouveau surnom de son cadet. le seul surnom qu'elle s'autoriserait. " et si tu venais chercher ton dû ? " lui lançant un clin d'oeil, elle glissait l'une des sucreries entre ses douces lèvres avant de se relever , se dirigeant délicatement vers lui. elle était bien trop joueuse pour l'attendre patiemment sur le lit, bien trop joueuse pour ne pas faire le premier pas. et c'est donc délicatement qu'elle venait frotter son nez au sien, attendant patiemment qu'il ne vienne s'emparer du petit ourson en gélatine coincée entre ses douces lèvres pulpeuses. puis lorsqu'il s'y risqua enfin, elle inséra la friandise dans sa bouche, suçotant délicatement celle-ci avant de ne lancer un clin d'oeil au jeune homme, taquine. " tu es bien trop lent bébé. serais-tu fatigué ? " un petit rire cristallin quittait alors ses douces lèvres tandis qu'elle se dirigeait de nouveau vers le lit, se laissant tomber sur celui-ci, mais adoptant cette fois, une position assise. pour mieux le voir, pour mieux le charier.
made by pandora.
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 22 Oct - 18:21 Citer EditerSupprimer
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue
Elle n’a rien des autres filles. Ni se côté farouche, ni ce côté innocent. Elles ne trouvent pas sexy en agissant comme une petite princesse. Non ma Noona est une femme libre, qui assume ses formes et qui en jouent pour me rendre dingue. Je m’en fou qu’elle ait pu coucher avec la moitié de l’université, qu’elle se traine une rumeur de slut, ou de coincée. Je me moque bien de ce qu’on pourrait dire sur elle et de ce qu’on peut penser d’elle. Moi ce que je vois ce sont ses yeux rieurs qui croisent les miens, c’est son sourire malicieux et gourmand, quand je frôle ses hanches, moi je n’entends que son rire et ses gémissements de plaisir qu’elle ne retient pas. Je me fou de son passé, de ce qu’elle a pu faire, ou de ce qu’elle pouvait être, aujourd’hui elle est la femme qui me rend dingue. Celle qui me donne toujours envie de lui plaisir, le genre de femme qui peut vous mener du bout de sa baguette. Elle sait me faire rager, autant que me faire plaisir. Elle sait me faire plaisir autant qu’elle sait me frustrer. Elle joue avec mes nerfs comme si j’étais son jouet préféré, et moi … moi je donnerais tout ce que j’ai pour être son jouet. Qu’elle me mette à genoux. Qu’elle fasse de moi ce qu’elle veut si elle me laisse la toucher, si elle me laisse caresser son corps. Si elle me laisse coucher avec elle je suis prêt à tout accepter d’elle. Je ne demande pas grand-chose, juste son attention pour une nuit, juste son désir, juste son regard brûlant, juste qu’elle crève d’envie de se perdre dans mes bras. Non, je ne demande rien de plus, pas de sentiments, pas de rendez-vous, sauf si elle le souhaite, je veux juste qu’elle m’embrasse et qu’on se foute du reste. Qu’elle écarte les cuisses et que ça soit la plus belle chose qui soit. Ma Noona n’a rien de vulgaire, elle joue de ses formes, de ses charmes, mais elle connait la limite, elle n’est pas de celle qui montre leur culotte sous des jupes trop courtes, elle, elle tease, avec une délicatesse qui ferait frémir n’importe qu’elle saint. Son petit cul qu’elle agite sous mon nez, tout comme son sourire quand elle m’ébouriffe les cheveux me rendent niais. Je la regarde comme si c’était la dernière des merveilles de ce monde. Je la suis non sans lorgner sur le bas de son t-shirt qui s’amuse à frôler ses fesses dès qu’elle marche. Un sourire en coin ourle mes lèvres alors que je m’accroche à sa main. Je ris quand elle se trompe de chambre et je pense à Jin Hyun et Kelea qui n’ont pas du comprendre ce qu’il se passait. J’entrais rapidement dans la chambre, l’observant se coucher sur les lits si féline. J’approche doucement, nouant un peu plus l’élastique de mon pantalon qui glissait sur mes hanches.
Et la voilà à jouer avec moi avec son air de féline innocente et pourtant prête à me dévorer. Je ferme les yeux à la façon qu’elle a de frotter son nez contre le mien, l’odeur du bonbon taquinant mes narines. Je frémis en voulant l’embrasser mais elle m’échappe et avale ce bonbon qu’elle prend soin de suçoter avant. Torture. Je serre les dents avant de grimper sur le lit. Je mentirais si je disais que je détestais cette façon qu’elle avait de m’appeler bébé. Ça me plait, beaucoup trop pour que je vienne lui dire d’arrêter. Je sais que demain je serais Jun, alors j’en profitais ce soir. Passant une main dans ma nuque je grimpe sur le lit à mon tour en venant m’adosser au mur. A moitié avachi, j’avais choisis cette position exprès pour qu’elle puisse admirer mes abdominaux naissant dont j’étais si fier. Calvin se fouterait très certainement de moi s’il me voyait faire là. Je passais un bras sous la tête pour me maintenir et le regardait en lorgnant sur ses cuisses nues. Passant ma langue sur mes lèvres pour les humidifier je finis par me relever pour m’asseoir en face d’elle. Passant une de ses mèches derrière son oreille je lui souris avant de fourrer un nounours dans ma bouche et de lui dire. « Je ne suis pas lent … j’aime juste quand tu m’allumes. » et c’était vrai. Je savourais chacun de ses regards langoureux, chacune de ses caresses, de ses frôlements. Mordillant ma lèvre je me penchais doucement pour avaler quelque bonbon. Déglutissant je la fixais, trouver quoi dire me semblait soudain difficile, parce qu’en réalité j’avais envie d’apprendre à la connaitre, et j’avais peur qu’elle me rit au nez. Je n’étais pas encore habitué à cette Yun Na qui riait en me regardant et qui m’appelait bébé. Me redressant je changeais de place pour cacher mon malaise et vient me blottir dans son dos. « Je préfère cette position c’est plus facile pour te ploter. » ricanais-je. Mensonge. Mais ce n’était pas évident de pouvoir la regarder dans les yeux. Glissant mes lèvres à son cou et sa nuque, je mordillais sa peau fine, alternant avec des bonbons.
Je ne sais pas si c’était à présent mon âge qui me bloquait ou si finalement Yun Na m’impressionnait plus que je ne voulais me l’avouer, mais je me sentais timide, osant à peine lui poser les questions qui tournait dans ma tête, alors fermant les yeux au moment où je tournais son visage vers moi, je déposais un baiser sur sa mâchoire et murmura « Pourquoi tu n’aimes pas que je t’appelle Noona … ? S’il le faut j’en aurais qu’une, je n’en ai qu’une … et ça me plait de t’appeler comme ça … » ça a un effet aphrodisiaque sur moi. Dès que je pense à elle et que je l’appelle Noona j’ai comme un excès de libido qui me retourne le bas ventre. Mes doigts se glissent sur son ventre et remonte doucement jusqu’au-dessous de ses seins que je frôle. J’aime son corps putain. Je me penche en arrière l’entrainant avec moi, me calant contre le mur, remontant une jambe à côté d’elle, comme pour la serrer dans l’étau de mes cuisses. Le paquet de bonbon a porté de main je lui en donne un, avant de venir lui voler et l’embrasser à nouveau. Me reculant en laissant nos lèvres collées le plus longtemps possible je viens passer mon pouce sur sa joue avant de murmurer malgré moi « Putain je ne sais pas ce que tu m’as fait mais c’est la première fois que je reste aussi longtemps avec une fille avec laquelle je viens de coucher. » La fixant et craignant qu’elle ne me prenne pour un mec à ses pieds complètement amoureux, j’ajoute « Faut croire que t’es plus douée que les autres. » avec un ricanement qui se veut taquin et pour changer de sujet glisse ma main sous sa culotte et pour lui caresser son intimité d’un doigt assuré « Tu sais bien te servir de ça en tout cas. » et remontant cette même main jusqu’à ses lèvres caressa ses lèvres « Et ça aussi … » Je souris en coin avant de fourrer un nounours en chocolat entre mes lèvres avec insolence. Je déposais des baisers dans son cou tout en continuant de mâcher et releva la tête en m’exclamant soudain « Au fait Noona, tu fais quoi comme études ? » Ouais, commençons par les bases après tout. Elle avait déjà dû me le dire, mais c’est le genre d’info que j’oublie le plus souvent.
made by pandora.
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Ven 23 Oct - 17:26 Citer EditerSupprimer
tenue il la faisait rire. il n'avait pas ce côté je m'en foutiste des hommes qui avaient finis leur petite affaire, il ne l'avait pas raccompagné dehors pour la mettre dans un taxi et ne plus jamais lui donner de nouvelles à moins de ne vouloir remettre les couverts. il rigolait avec elle, il la taquinait, il s'intéressait sincèrement à sa personne et ce depuis le boulot. tout comme elle, elle ne l'avait jamais réellement perçu comme un homme de plus. parce qu'il avait eu cette caractéristique particulière qui lui avait donné envie de le séduire, de se jouer de lui, de l'attirer à elle. lui et pas un autre. c'était pour lui qu'elle était aller en club ce soir, pour lui qu'elle s'était faire jolie et quand bien même l'opportunité de rentrer avec un autre homme ce serait présenté, elle ne l'aurait pas prise. alors oui, elle était heureuse, sur ce lit, les jambes croisées , un ours en géltine en bouche. sourire taquin dessinée sur ses lèvres, détaillant son amant, curieuse de voir quel tournant prendrait le reste de la nuit. car elle en était sûre, il était déjà bien trop tard pour manger des confiseries et chahuter comme il le faisait. mais elle s'en moquait, comme de l'an deux mille. elle était heureuse.
elle le regarde la rejoindre sur le lit tout en fourrant quelques bonbons entre ses lèvres. elle a l'impression de retomber en enfance, de ne pas avoir besoin de réfléchir, de pouvoir agir naturellement sans se demander quel réaction il aurait face à ses propos. le temps d'un instant elle s'autorise même à loucher sur les abdos du jeune homme, sentant ses pomettes s'empourprer pour la millième fois de la nuit. ce n'était pourtant pas la première fois qu'elle voyait un homme bien foutu, des abdos, des pectoraux, des biceps cela était fréquent, pourtant la manière qu'il avait de se positionner, ses abdos tout juste saillant et ce sourire sur ses lèvres. ça suffisait à la faire craquer. mâchouillant légèrement, elle se pince les lèvres lorsqu'il affirme adoré qu'elle l'allume. il a de la répartie, il sait comme parler aux femmes et elle adore ça car si il le faut elle continuera à l'allumer encore et encore juste pour pouvoir voir se sourire se dessiner sur ses lèvres.
le silence s'installe entre eux, seul leur regard communiquant. elle ne sait pas réellement ce qu'elle pourrait lui dire, l'allumer semblant soudainement tellement plus simple que d'aborder un sujet qualifié de normal et c'est donc dans un faible soupir de soulagement qu'il se positionne dans son dos, lui offrant son torse pour oreiller. comme si une connection s'était installé entre eux. il embrasse sa mâchoire et elle ne saurait pourquoi mais elle frémit de bonheur, comme si ce plein d'attention lui était si fraîcement plaisant. il est mignon, elle ne l'avait jamais perçu de la sorte, kang jun, celui qu'elle avait tant allumé n'avait rien de mignon mais celui qui l'enlançait à présent l'était, et elle devait avoué qu'elle aimait cela. sa question la fit rire et elle refusa d'un hôchement de tête d'y répondre immédiatement. parce qu'elle le lui avait déjà dis; des noonas il y en avait bien trop pour qu'elle accepte qu'il l'appelle ainsi. entrouvrant la bouche elle tente de s'emparer du bonbon qu'elle lui tente avant de ne se retrouver une nouvelle fois contre ses lèvres, un nouveau baiser, pleins de douceur. et c'est contre son plein gré qu'elle se refuse à l'approfondir, elle ne veut pas passer la nuit à copuler, elle veut en savoir un peu plus. avant demain, avant qu'il ne la repousse, comme ils le font tous. sa tête appuyé contre son torse, elle remercie le ciel qui ne puisse guère voir l'expression de son visage face à ses paroles. elle est gênée, elle ne l'est que très rarement certes mais cette fois-ci, elle se sent légérement gênée, partagée entre le désir de croire les compliments qu'il lui adressait ou de ne les prendre pour de simples et belles paroles qu'il radotait à toutes les meufs avec qui il couchait. sa main frôlant son intimité lui arrache un petit cri de surprise alors qu'elle referme ses lèvres sur le doigt qu'il a porté à celles-ci. tu poses trop de questions bébé. lâche t'elle délicatement tout en s'emparant d'une énième friandise. elle disait cela sur le ton de la plaisanterie, car en soit, elle voulait elle aussi en savoir plus sur son jeune cadet, beaucoup plus. une question de posée, une question que je pose ok ? lui demande t-elle tout en tourant délicatement la tête pour venir poser ses lèvres contre les siennes comme pour celer le pacte. en vrai, elle aime juste le goût de ses lèvres, la sensation de ses lèvres se pressant contre les siennes et ce sentiment de bien être. je ne veux pas que tu m'appelles noona car je suis sure que je ne suis pas la première que tu appelles ainsi, n'est-ce pas. réponse une + question une. oui tout était une question d'estime de soi, ce besoin constant d'être unique, de ne pas être une femme de plus, une noona de plus. c'était l'un de ses plus grand défauts, celui de toujours vouloir être différente aux yeux de tous, refuser toute comparaison, ne guère vouloir entendre parler d'autres femmes. je ne suis pas douée, j'ai juste un très bon amant et j'en suis relativement reconnaissante elle était modeste et extrêmement douce, cela ne lui ressemblait pas réellement mais disons qu'elle se sentait trop bien pour vouloir essayer d'agir différemment quand bien même cela aurait été nécessaire. du bout des doigts elle vient tracer des petits ronds sur les mollets du jeune homme, délicatement, subtilement. je suis en arts plastiques, appliqués, désign'. j'aime beaucoup peindre, en particulier des. elle se stoppe, pensive, affichant une légère moue boudeuse. en soit elle n'est pas sûre que ce soit une bonne chose de lui dire ce qu'elle aime peindre, de peur qu'il ne la juge ou qu'il ne finisse par croire toutes les rumeurs qui circuelent sur elle. se tournant légèrement vers le jeune homme, elle cligne des yeux tout en reniflant légèrement avant de murmurer timidement. des nus. car c'était ce qu'elle aimait le plus. dessiné le corps de l'être humain sous tout ses aspects, offrir à autrui la beauté d'une nudité, là où toute superficialité disparraissait. et toi ? s'empressait-elle de lui demander, relativement gênée d'avoir avouer ce qu'elle aimait le plus dans ses études quand bien même cela ne deviendrait jamais son métier. faudrait-il encore qu'elle sache ce qu'elle voulait devenir. reportant de nouveau son attention sur la jambe du jeune homme, elle reprend ses carresses, pensive. elle se sent bien là. il ne faudrait surtout pas que cela change. pas tout de suite. d'ailleurs, mmh ça te prend souvent de ramener des filles chez toi ? enfin dans le dortoir. fin tu vois ce que je veux dire. elle en était extrêmement curieuse, sûrement bien trop qu'il ne l'aurait fallus. cela ne la regardait guère, elle en avait conscience et cela ne jouerait d'ailleurs pas en sa faveur. ils n'étaient qu'amants, rien de plus rien de moins right ?
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue il la faisait rire. il n'avait pas ce côté je m'en foutiste des hommes qui avaient finis leur petite affaire, il ne l'avait pas raccompagné dehors pour la mettre dans un taxi et ne plus jamais lui donner de nouvelles à moins de ne vouloir remettre les couverts. il rigolait avec elle, il la taquinait, il s'intéressait sincèrement à sa personne et ce depuis le boulot. tout comme elle, elle ne l'avait jamais réellement perçu comme un homme de plus. parce qu'il avait eu cette caractéristique particulière qui lui avait donné envie de le séduire, de se jouer de lui, de l'attirer à elle. lui et pas un autre. c'était pour lui qu'elle était aller en club ce soir, pour lui qu'elle s'était faire jolie et quand bien même l'opportunité de rentrer avec un autre homme ce serait présenté, elle ne l'aurait pas prise. alors oui, elle était heureuse, sur ce lit, les jambes croisées , un ours en géltine en bouche. sourire taquin dessinée sur ses lèvres, détaillant son amant, curieuse de voir quel tournant prendrait le reste de la nuit. car elle en était sûre, il était déjà bien trop tard pour manger des confiseries et chahuter comme il le faisait. mais elle s'en moquait, comme de l'an deux mille. elle était heureuse.
elle le regarde la rejoindre sur le lit tout en fourrant quelques bonbons entre ses lèvres. elle a l'impression de retomber en enfance, de ne pas avoir besoin de réfléchir, de pouvoir agir naturellement sans se demander quel réaction il aurait face à ses propos. le temps d'un instant elle s'autorise même à loucher sur les abdos du jeune homme, sentant ses pomettes s'empourprer pour la millième fois de la nuit. ce n'était pourtant pas la première fois qu'elle voyait un homme bien foutu, des abdos, des pectoraux, des biceps cela était fréquent, pourtant la manière qu'il avait de se positionner, ses abdos tout juste saillant et ce sourire sur ses lèvres. ça suffisait à la faire craquer. mâchouillant légèrement, elle se pince les lèvres lorsqu'il affirme adoré qu'elle l'allume. il a de la répartie, il sait comme parler aux femmes et elle adore ça car si il le faut elle continuera à l'allumer encore et encore juste pour pouvoir voir se sourire se dessiner sur ses lèvres.
le silence s'installe entre eux, seul leur regard communiquant. elle ne sait pas réellement ce qu'elle pourrait lui dire, l'allumer semblant soudainement tellement plus simple que d'aborder un sujet qualifié de normal et c'est donc dans un faible soupir de soulagement qu'il se positionne dans son dos, lui offrant son torse pour oreiller. comme si une connection s'était installé entre eux. il embrasse sa mâchoire et elle ne saurait pourquoi mais elle frémit de bonheur, comme si ce plein d'attention lui était si fraîcement plaisant. il est mignon, elle ne l'avait jamais perçu de la sorte, kang jun, celui qu'elle avait tant allumé n'avait rien de mignon mais celui qui l'enlançait à présent l'était, et elle devait avoué qu'elle aimait cela. sa question la fit rire et elle refusa d'un hôchement de tête d'y répondre immédiatement. parce qu'elle le lui avait déjà dis; des noonas il y en avait bien trop pour qu'elle accepte qu'il l'appelle ainsi. entrouvrant la bouche elle tente de s'emparer du bonbon qu'elle lui tente avant de ne se retrouver une nouvelle fois contre ses lèvres, un nouveau baiser, pleins de douceur. et c'est contre son plein gré qu'elle se refuse à l'approfondir, elle ne veut pas passer la nuit à copuler, elle veut en savoir un peu plus. avant demain, avant qu'il ne la repousse, comme ils le font tous. sa tête appuyé contre son torse, elle remercie le ciel qui ne puisse guère voir l'expression de son visage face à ses paroles. elle est gênée, elle ne l'est que très rarement certes mais cette fois-ci, elle se sent légérement gênée, partagée entre le désir de croire les compliments qu'il lui adressait ou de ne les prendre pour de simples et belles paroles qu'il radotait à toutes les meufs avec qui il couchait. sa main frôlant son intimité lui arrache un petit cri de surprise alors qu'elle referme ses lèvres sur le doigt qu'il a porté à celles-ci. tu poses trop de questions bébé. lâche t'elle délicatement tout en s'emparant d'une énième friandise. elle disait cela sur le ton de la plaisanterie, car en soit, elle voulait elle aussi en savoir plus sur son jeune cadet, beaucoup plus. une question de posée, une question que je pose ok ? lui demande t-elle tout en tourant délicatement la tête pour venir poser ses lèvres contre les siennes comme pour celer le pacte. en vrai, elle aime juste le goût de ses lèvres, la sensation de ses lèvres se pressant contre les siennes et ce sentiment de bien être. je ne veux pas que tu m'appelles noona car je suis sure que je ne suis pas la première que tu appelles ainsi, n'est-ce pas. réponse une + question une. oui tout était une question d'estime de soi, ce besoin constant d'être unique, de ne pas être une femme de plus, une noona de plus. c'était l'un de ses plus grand défauts, celui de toujours vouloir être différente aux yeux de tous, refuser toute comparaison, ne guère vouloir entendre parler d'autres femmes. je ne suis pas douée, j'ai juste un très bon amant et j'en suis relativement reconnaissante elle était modeste et extrêmement douce, cela ne lui ressemblait pas réellement mais disons qu'elle se sentait trop bien pour vouloir essayer d'agir différemment quand bien même cela aurait été nécessaire. du bout des doigts elle vient tracer des petits ronds sur les mollets du jeune homme, délicatement, subtilement. je suis en arts plastiques, appliqués, désign'. j'aime beaucoup peindre, en particulier des. elle se stoppe, pensive, affichant une légère moue boudeuse. en soit elle n'est pas sûre que ce soit une bonne chose de lui dire ce qu'elle aime peindre, de peur qu'il ne la juge ou qu'il ne finisse par croire toutes les rumeurs qui circuelent sur elle. se tournant légèrement vers le jeune homme, elle cligne des yeux tout en reniflant légèrement avant de murmurer timidement. des nus. car c'était ce qu'elle aimait le plus. dessiné le corps de l'être humain sous tout ses aspects, offrir à autrui la beauté d'une nudité, là où toute superficialité disparraissait. et toi ? s'empressait-elle de lui demander, relativement gênée d'avoir avouer ce qu'elle aimait le plus dans ses études quand bien même cela ne deviendrait jamais son métier. faudrait-il encore qu'elle sache ce qu'elle voulait devenir. reportant de nouveau son attention sur la jambe du jeune homme, elle reprend ses carresses, pensive. elle se sent bien là. il ne faudrait surtout pas que cela change. pas tout de suite. d'ailleurs, mmh ça te prend souvent de ramener des filles chez toi ? enfin dans le dortoir. fin tu vois ce que je veux dire. elle en était extrêmement curieuse, sûrement bien trop qu'il ne l'aurait fallus. cela ne la regardait guère, elle en avait conscience et cela ne jouerait d'ailleurs pas en sa faveur. ils n'étaient qu'amants, rien de plus rien de moins right ?
made by pandora.
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Ven 23 Oct - 22:05 Citer EditerSupprimer
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue
J’aurais pu lui demander un milliard de questions, j’avais un million d’idée qui fusait dans mon esprit mais c’est cette question qui m’est venu. Sans savoir pourquoi. Peut-être qu’ainsi je pourrais mieux me la représenter dans son quotidien. L’imaginer bosser, l’imaginer rester tard le soir à se concentrer sur son cours. C’était peut-être soudain plus intéressant que de simplement l’imaginer nue chaque fois qu’elle marchait devant moi. Comme si maintenant que je l’avais vu dans son entièreté je pouvais avoir tout le loisir de deviner qui elle était, autrement qu’en Noona irrésistible. Je ricane à sa remarque mais ne dit rien. Si je parle trop c’est juste que je suis soudain stressé, et je pensais que si je n’avais pas à croiser son regard ça ira mieux. C’était plus facile comme ça. Je n’avais qu’à me concentrer sur sa voix ou ses lèvres qu’elle tend vers moi. Je les embrasse d’ailleurs sans qu’elle n’ait à réclamer et caresse son ventre distraitement. J’attrape un bonbon que j’enfourne dans ma bouche en me calant un peu mieux contre le mur. Elle veut jouer à un jeu ? Ca me va. Je souris en coin et l’écoute en mâchonnant distraitement. Je joue avec ses cheveux un brin mouillé. Je retrousse mon nez sans trop comprendre pourquoi ça la dérange tant que ça que j’ai pu appeler d’autres filles Noona avant elle. Grattant ma nuque je renifle doucement en acquiesçant simplement. Si elle n’aime pas ça, aussi étrange soit son raisonnement j’acceptais. J’avais toujours été le plus jeune de la bande, c’était naturel pour moi d’appeler les filles que je fréquentais Noona, et je ne m’intéressais que rarement aux filles de mon âge. Même au pieu il faut les traites comme des princesses. Leur première fois est importante et blablabla, ce genre de conneries. Je préférais de loin celles avec plus d’expérience, celles qui savaient comment prendre leur pied. Mais j’évitais ces femmes trop vieilles qui cherchaient la jeunesse dans les bras de jeune homme. Les 5 ans qui me séparaient de Yun Na était la principale chose qui me plaisait chez elle. Et ce soir je comptais bien allonger ma liste et découvrir la véritable Yun Na, qui sait … peut-être qu’elle serait capable de me plaire. Savoir qu’elle me considère comme un bon amant, me fait sourire, ça booste l’égo, et pendant une seconde je me surprends à la serrer un peu plus contre moi. Je le relâche le plus distraitement possible, je fais même semblant de prendre un nounours en chocolat alors que je n’aime pas ça. Mais ça me donne au moins une excuse pour cacher mon geste. Ce n’est pas que je n’assume pas me montrer tactile avec elle, mais embrasser sa nuque c’est une chose, la serrer contre moi dans une étreinte c’est autre chose …
Me forçant à avaler le nounours en chocolat je me mets à rire doucement « Oh je vois, tu es du genre à bosser tard sur un projet, à dessiner et te retrouver avec du noir sur le visage. » Sans savoir pourquoi je l’imaginais devant son grand chevalet, table de dessin, portant mes fringues et dessinant avec un air concentré que je trouverais forcément mignon. Je laissais mon imagination vaqué quand elle suspendit sa phrase en la coupant de façon abrupte. Je fronçais les sourcils en baissant mon regard vers elle. De nus ? Pourquoi est-ce qu’elle se stoppait pour me dire ça ? Le rouge que je pouvais deviner sur ses joues d’où j’étais me fit sourire. Je ricane légèrement et m’apprête à la taquiner quand elle change de sujet, deux fois. J’hausse les épaules. « Non ça dépend. Le plus souvent je vais chez elles. Sinon je fais mon truc là où je suis. Mais la plus part veulent un lit. Donc je vais là où c’est plus pratique. Rarement ici. voir pas du tout. Et chez moi c’est compliqué vu que j’ai un coloc et qu’on partage la même chambre. » Et le même lit mais ce n’était pas forcément une information capital. En plus elle risquerait de se méprendre sur la nature de notre relation. C’était juste que deux étudiants avec peu de revenu on avait fait au mieux pour avoir un toit et de quoi manger tous les jours. Alors partager un lit avec mon meilleur ami n’avait rien d’affolant. Mais les rares fois où j’ai pu le mentionner les filles m’int regardé comme si j’étais soudain peu digne d’intérêt ou alors subitement gay. Elles sont connes, elles sont connes je peux rien faire pour elle. « Sinon je suis en staps. Je me suis spécialisé en boxe. » Mais je dois avouer que ça me plait moyen. « En réalité c’est juste que je sais pas quoi foutre de ma vie. Je suis bon en sport alors je fais ça mais ça me plait pas spécialement … fait je m’épanouis pas on va dire. Je le fais parce que je dois faire un truc mais me faire casser la gueule tous les quatre matins ça comment à me saouler. » Je n’avais pas honte de le dire, quel mec décent aimerait arriver en cours pour se prendre une dérouiller avant les cours d’anglais. Je commençais à saturer mais je n’avais pas la moindre idée de ce qui me faisait envie. « Mais je dois continuer d’assister au cours, je suis boursier alors forcément … Je n’ai pas envie de tout repayer. » Bizarrement je m’étais mis à parler naturellement, comme si j’expliquais simplement ma situation sans chercher à l’impressionner ou avoir peur de ce qu’elle pouvait penser de moi. Après tout, si ces infos-là la dégoutaient de moi, c’est que je perdais mon temps avec elle. « Je ne suis pas souvent dans le dortoir, et quand j’y suis c’est souvent pour faire les courses, enfin, Calvin et moi on se serre un peu de bouffe quand vraiment c’est la dèche à l’appart’ » je souris en agitant le paquet de gâteau. « Comme ce petit paquet actuellement. Mais entre nous tu n’as pas envie d’une putain de pizza ? Je crève la dalle, ce n’est pas trois bonbons qui vont me caler. » Soupirais-je en sortant mon téléphone de ma poche de jogging. Appuyant sur 1, ma touche préférée, j’appelais le numéro enregistré et tomba sur ma pizzeria préféré. J’en commandais deux, deux pour quatre personnes. J’avais faim. La gardant contre moi et alors que l’homme prenait ma commande je glissais mon nez dans le creux de son cou et murmura « Je préfère prévoir large, j’en ai pas fini avec toi. » ce n’était qu’un murmure suave et rauque qui se perdait dans ses cheveux. « Ouais, je suis toujours là. Non pas là, mais au dortoir Pyo, zone ouest. Ouais voilà ici. » Après de brève explication je raccrochais et fini par lui dire « D’ici 20 min ça arrive Noo… Jun Na. » Embrassant le creux de sa main je repensais à ce qu’elle a dit « Tu me dessineras ? Genre à poil tout ça. » lui demandais-je avec un manque flagrant de diplomatie et tact, un naturel tranchant qui faisait mon charme pas vrai ?
made by pandora.Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Jeu 29 Oct - 9:33 Citer EditerSupprimer
tenue
Elle regrettait d'hors et déjà d'avoir posé cette question pour la simple et bonne raison que la réponse ne pouvait que lui déplaire. toutes femmes étaient semblables sur ce point là, toujours à espérer être unique et différente. L'idée même qu'il y ai pu y avoir qui que ce soit d'autres avant elle, lui déplaisant fortement. c'est donc tout en pinçant les lèvres qu'elle l'écoutait lui expliquer qu'il ne ramenait que rarement des femmes dans sa chambre préférant copuler chez elles ou sur place, qu'importe où il pouvait bien se trouver. elle était satisfaite qu'il ne puisse guère percevoir l'expression de son visage, cette expression extrêmement insatisfaite voir légèrement énervée. le simple fait de l'imaginer au lit avec une autre femme la mettant de mauvaise humeur, elle qui jusque là, était d'extrême bonne humeur. en soit elle n'appréciait pas le fait de se sentir aussi possessif envers le jeune cadet bien que la multitude d'orgasme qu'il lui avait procuré puisse être la raison d'un tel ressentis. elle ne voulait tout bonnement pas qu'il se comporte de la même manière avec une autre, parce qu'il était SON cadet, SON jouet, SON amant. et quand bien même il n'y avait rien de sérieux là dedans, elle ne pouvait se soumettre à l'idée qu'il ne savoure les courbes d'une autre femme. le nez plissait, les lèvres pincées elle lachait un léger "je vois." grognon avant de se perdre dans le silence. elle n'était pas jalouse, elle n'aimait juste pas cela, c'était bien distinct non ?
Engloutissant de nouveaux quelques confiseries, elle se surprit à l'écouter attentivement, soudainement curieuse de ce qu'il faisait dans la vie. il était comme elle, il étudiait à défaut de ne savoir que faire de sa vie, il étudiait ce qu'il aimait plutôt que de n'étudier quelque chose de plus utiles proffessionnellement parlant et par la même occasion bien plus ennuyeux. elle n'était pas bien surprise qu'il soit en staps, yunna avait toujours eu un faible pour les sportifs, ces personnes motivés de manière presque démesuré qui savait repousser les limites quitte à se prendre des coups pour mieux se relever. la seule différence c'est que lui était boursier lorsque la jeune femme, elle, se reposait sur les économies de son doux paternel, suffisamment aisée pour lui offrir tout ce dont elle désirait en passant par sa chirurgie esthétique. d'ailleurs comme réagirait son cadet si il venait à l'apprendre ? expirant délicatement elle ne put s'empêcher de sourire se rendant compte de l'idiotie de sa pensée. il ne le saurait jamais, comme tous les autres d'ailleurs. pourquoi le lui dévoilerait-elle alors qu'ils n'étaient que de simples amants ? " je suis sûre que tu fais partis de ces gens qui mangent tout ce qu'ils veulent et qui ne prennent même pas un gramme ! je te hais ryu jun !" lui lançant un faux regard noir, elle affichait une doux moue boudeuse avant de ne croquer dans un bonbon qu'elle prenait bien soin d'éventrer. ô oui elle était jalouse, parce qu'elle savait d'hors et déjà que ces quelques friandises lui vaudraient une semaine de sport intensifs et de diet. elle manquait d'ailleurs de s'étouffer lorsqu'il parla de pizza. depuis combien de temps n'en avait-elle pas mangé ? trois ans, peut-être quatre à moins qu'il ne s'agisse de cinq ans. ô oui elle était sûre de ne pas en avoir mangé depuis qu'elle avait commencé son programme intensif, la dernière fois qu'elle en avait mangé une, elle devait dépassé les 115kilos. Reposant les friandises qu'elle avait en main, elle déglutissait légèrement perdue entre le fait de lui demander de ne pas en commander ou justement le solliciter de le faire. elle en mourrait d'envie mais sentait d'hors et déjà les remords s'emparaient d'elle. le lendemain serait probablement douloureux et elle sentait d'hors et déjà l'envie de se faire vomir pour se libérer de toute cette mal bouffe. " je. oh!" il était déjà au téléphone, il avait d'hors et déjà commandé et le sourire qui s'était dessiné sur son visage angélique lui enleva toute envie de lui couper la parole. il était heureux , cela se voyait sur son visage et elle ne voulait en rien gâcher ce moment même si cela signifiait qu'elle devrait affronter ses démons plus tard. " tu n'en as pas finis avec moi ? mmh vraiment ? " un doux rire cristallin s'échappait de ses lèvres alors qu'elle tournait son visage vers lui, lui adressant un petit clin d'oeil, sa langue glissée entre ses dents. elle ne demandait que cela ! elle ne voulait pas en finir avec lui, elle ne voulait pas que cette nuit prenne fin.
« D’ici 20 min ça arrive Noo… Jun Na. » écarquillant des yeux, elle éclatait soudainement de rire, se retournant de manière définitive, les jambes croisées , assise désormais face à lui. " jun na ? tu nous donnes un petit surnom de couple ou bien ? " maladresse, lapsus , langue qui fourche, elle n'en avait aucune idée mais elle trouvait cela extrêmement mignon voir relativement enfantin. c'est donc en posant ses lèvres sur les siennes qu'elle riait de plus belle avant de n'ajouter. " tu voudrais vraiment que je te dessine ? pour cela il faudra que tu m'accordes un peu plus de ton temps, tu sais c'est long de dessiner quelqu'un, puis tu n'auras pas le droit d'être habillé, je veux tout voir, tout détailé !" pour appuyé ses mots elle parcourus le corps du jeune homme du bout des doigts, sa nuque, ses pectoraux puis ses abdominaux avant de ne venir s'arrêter sur le dessus de son boxer, carressant du bout du pouce son sexe au repos. comment pouvait-elle refuser de le voir à nouveau.
Sautant hors du lit, aborant un immense sourire, elle tournoyer sur elle même persuadé que cela éviterait que la gêne ne s'installe entre eux. elle n'assumait pas toujours ses gestes et ses paroles, ses pomettes s'emprouprant que trop souvent. " je vais chercher les pizzas et en même temps ramasser mes vêtements qui doivent trainer un peu partout dans les couloirs ! tu devrais te reposer un peu je suis sûre que tu vas en avoir besoin !" et voici qu'elle quittait la chambre tout en sautillant. c'était ainsi qu'agissait yunna lorsqu'elle sentait que la situation s'apprêtait à devenir gênante, bien qu'elle aimait séduire elle n'en restait pas moins timide par moment et l'excuse de la pizza lui semblait propice. elle n'eût d'ailleurs aucun mal à mettre la main sur ses vêtements ainsi que sur sa veste qui contenait son petit porte monnaie duquel elle sortait un gros billet. la nuit était froide du moins elle l'était en dehors du dortoir des pyobeoms, où elle attendait patiemment le livreur. Celui-ci ne tarda d'ailleurs pas à arriver, les yeux écarquillés lorsqu'il se retrouva en face de la jeune étudiante relativement peu couverte. la faute de son amant. c'est donc quelques bégaiements plus tard qu'elle remerciait le livreur d'un clin d'oeil avant de ne se précipiter dans les couloirs, ses vêtements sur un bras, les pizzas tenus par l'autre. elle huma l'odeur des pizzas à maintes reprises, salivant presqu'à l'idée de redécouvrir le goût qu'avaient celles-ci. " tu aurais du voir la tête du livreur, j'ai limite cru qu'il allait saigner du nez ! " lançait-elle en riant tout en pénétrant dans la chambre, balançant ses vêtements dans un coin de celle-ci avant de se diriger vers son amant auquel elle tendit les pizzas. " tada, le buffet est arrivé bébé, à ton honneur !" comme pour appuyer ses mots, son ventre se mit à gargouiller lui arrachant une légère grimace. visiblement les sucreries n'étaient guère suffisantes lorsqu'il s'agissait d'assagir son appétit.
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue
Elle regrettait d'hors et déjà d'avoir posé cette question pour la simple et bonne raison que la réponse ne pouvait que lui déplaire. toutes femmes étaient semblables sur ce point là, toujours à espérer être unique et différente. L'idée même qu'il y ai pu y avoir qui que ce soit d'autres avant elle, lui déplaisant fortement. c'est donc tout en pinçant les lèvres qu'elle l'écoutait lui expliquer qu'il ne ramenait que rarement des femmes dans sa chambre préférant copuler chez elles ou sur place, qu'importe où il pouvait bien se trouver. elle était satisfaite qu'il ne puisse guère percevoir l'expression de son visage, cette expression extrêmement insatisfaite voir légèrement énervée. le simple fait de l'imaginer au lit avec une autre femme la mettant de mauvaise humeur, elle qui jusque là, était d'extrême bonne humeur. en soit elle n'appréciait pas le fait de se sentir aussi possessif envers le jeune cadet bien que la multitude d'orgasme qu'il lui avait procuré puisse être la raison d'un tel ressentis. elle ne voulait tout bonnement pas qu'il se comporte de la même manière avec une autre, parce qu'il était SON cadet, SON jouet, SON amant. et quand bien même il n'y avait rien de sérieux là dedans, elle ne pouvait se soumettre à l'idée qu'il ne savoure les courbes d'une autre femme. le nez plissait, les lèvres pincées elle lachait un léger "je vois." grognon avant de se perdre dans le silence. elle n'était pas jalouse, elle n'aimait juste pas cela, c'était bien distinct non ?
Engloutissant de nouveaux quelques confiseries, elle se surprit à l'écouter attentivement, soudainement curieuse de ce qu'il faisait dans la vie. il était comme elle, il étudiait à défaut de ne savoir que faire de sa vie, il étudiait ce qu'il aimait plutôt que de n'étudier quelque chose de plus utiles proffessionnellement parlant et par la même occasion bien plus ennuyeux. elle n'était pas bien surprise qu'il soit en staps, yunna avait toujours eu un faible pour les sportifs, ces personnes motivés de manière presque démesuré qui savait repousser les limites quitte à se prendre des coups pour mieux se relever. la seule différence c'est que lui était boursier lorsque la jeune femme, elle, se reposait sur les économies de son doux paternel, suffisamment aisée pour lui offrir tout ce dont elle désirait en passant par sa chirurgie esthétique. d'ailleurs comme réagirait son cadet si il venait à l'apprendre ? expirant délicatement elle ne put s'empêcher de sourire se rendant compte de l'idiotie de sa pensée. il ne le saurait jamais, comme tous les autres d'ailleurs. pourquoi le lui dévoilerait-elle alors qu'ils n'étaient que de simples amants ? " je suis sûre que tu fais partis de ces gens qui mangent tout ce qu'ils veulent et qui ne prennent même pas un gramme ! je te hais ryu jun !" lui lançant un faux regard noir, elle affichait une doux moue boudeuse avant de ne croquer dans un bonbon qu'elle prenait bien soin d'éventrer. ô oui elle était jalouse, parce qu'elle savait d'hors et déjà que ces quelques friandises lui vaudraient une semaine de sport intensifs et de diet. elle manquait d'ailleurs de s'étouffer lorsqu'il parla de pizza. depuis combien de temps n'en avait-elle pas mangé ? trois ans, peut-être quatre à moins qu'il ne s'agisse de cinq ans. ô oui elle était sûre de ne pas en avoir mangé depuis qu'elle avait commencé son programme intensif, la dernière fois qu'elle en avait mangé une, elle devait dépassé les 115kilos. Reposant les friandises qu'elle avait en main, elle déglutissait légèrement perdue entre le fait de lui demander de ne pas en commander ou justement le solliciter de le faire. elle en mourrait d'envie mais sentait d'hors et déjà les remords s'emparaient d'elle. le lendemain serait probablement douloureux et elle sentait d'hors et déjà l'envie de se faire vomir pour se libérer de toute cette mal bouffe. " je. oh!" il était déjà au téléphone, il avait d'hors et déjà commandé et le sourire qui s'était dessiné sur son visage angélique lui enleva toute envie de lui couper la parole. il était heureux , cela se voyait sur son visage et elle ne voulait en rien gâcher ce moment même si cela signifiait qu'elle devrait affronter ses démons plus tard. " tu n'en as pas finis avec moi ? mmh vraiment ? " un doux rire cristallin s'échappait de ses lèvres alors qu'elle tournait son visage vers lui, lui adressant un petit clin d'oeil, sa langue glissée entre ses dents. elle ne demandait que cela ! elle ne voulait pas en finir avec lui, elle ne voulait pas que cette nuit prenne fin.
« D’ici 20 min ça arrive Noo… Jun Na. » écarquillant des yeux, elle éclatait soudainement de rire, se retournant de manière définitive, les jambes croisées , assise désormais face à lui. " jun na ? tu nous donnes un petit surnom de couple ou bien ? " maladresse, lapsus , langue qui fourche, elle n'en avait aucune idée mais elle trouvait cela extrêmement mignon voir relativement enfantin. c'est donc en posant ses lèvres sur les siennes qu'elle riait de plus belle avant de n'ajouter. " tu voudrais vraiment que je te dessine ? pour cela il faudra que tu m'accordes un peu plus de ton temps, tu sais c'est long de dessiner quelqu'un, puis tu n'auras pas le droit d'être habillé, je veux tout voir, tout détailé !" pour appuyé ses mots elle parcourus le corps du jeune homme du bout des doigts, sa nuque, ses pectoraux puis ses abdominaux avant de ne venir s'arrêter sur le dessus de son boxer, carressant du bout du pouce son sexe au repos. comment pouvait-elle refuser de le voir à nouveau.
Sautant hors du lit, aborant un immense sourire, elle tournoyer sur elle même persuadé que cela éviterait que la gêne ne s'installe entre eux. elle n'assumait pas toujours ses gestes et ses paroles, ses pomettes s'emprouprant que trop souvent. " je vais chercher les pizzas et en même temps ramasser mes vêtements qui doivent trainer un peu partout dans les couloirs ! tu devrais te reposer un peu je suis sûre que tu vas en avoir besoin !" et voici qu'elle quittait la chambre tout en sautillant. c'était ainsi qu'agissait yunna lorsqu'elle sentait que la situation s'apprêtait à devenir gênante, bien qu'elle aimait séduire elle n'en restait pas moins timide par moment et l'excuse de la pizza lui semblait propice. elle n'eût d'ailleurs aucun mal à mettre la main sur ses vêtements ainsi que sur sa veste qui contenait son petit porte monnaie duquel elle sortait un gros billet. la nuit était froide du moins elle l'était en dehors du dortoir des pyobeoms, où elle attendait patiemment le livreur. Celui-ci ne tarda d'ailleurs pas à arriver, les yeux écarquillés lorsqu'il se retrouva en face de la jeune étudiante relativement peu couverte. la faute de son amant. c'est donc quelques bégaiements plus tard qu'elle remerciait le livreur d'un clin d'oeil avant de ne se précipiter dans les couloirs, ses vêtements sur un bras, les pizzas tenus par l'autre. elle huma l'odeur des pizzas à maintes reprises, salivant presqu'à l'idée de redécouvrir le goût qu'avaient celles-ci. " tu aurais du voir la tête du livreur, j'ai limite cru qu'il allait saigner du nez ! " lançait-elle en riant tout en pénétrant dans la chambre, balançant ses vêtements dans un coin de celle-ci avant de se diriger vers son amant auquel elle tendit les pizzas. " tada, le buffet est arrivé bébé, à ton honneur !" comme pour appuyer ses mots, son ventre se mit à gargouiller lui arrachant une légère grimace. visiblement les sucreries n'étaient guère suffisantes lorsqu'il s'agissait d'assagir son appétit.
made by pandora.
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Mar 3 Nov - 22:08 Citer EditerSupprimer
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue
Cette femme était vraiment belle. Que ce soit son sourire, son regard, son corps. Elle m’envoute si facilement que s’en est déconcertant. J’aimerais pouvoir jouer avec elle. Lui montrer que je m’en fou si jamais elle m’ignore dans les couloirs, j’aimerais qu’elle pense que je me moque de savoir si elle va s’envoyer en l’air avec quelqu’un d’autre mais la vérité c’est que ça me rend dingue. J’en deviens possessif, moi qui n’est jamais été jaloux. Je finis par poser sur cette femme, une marque que j’aimerais voir indélébile. La simple idée de sortir avec elle et lui être fidèle me fait flipper et me dégouterais presque, mais la savoir dans les bras d’un autre me déplait. A cette idée je fronce le nez et secoue la tête. Autant se contenter de ce qu’elle a avec moi. Et comme elle a dit, si maintenant j’ai envie de sexe je sais où la trouver, elle sait aussi où me trouver. Je n’arrive pas à m’empêcher de l’embrasser dans la nuque. Sa peau sous mes doigts, ses cheveux mouillés, son parfum délicat qui chatouille mes narines me rendent dingue. Je ricane à sa remarque « Ouais je bouffe ce que je veux, et regarde, je n’ai pas un pète de graisse. » Bien que ça n’ait pas toujours té comme ça. Mais pendant ma cure et après j’avais fini par compenser l’envie du manque et les habitudes par le sport. J’évacuais ma frustration de cette façon. J’avais fini par devenir accroc au sport, et même si je n’avais pas le torse des plus musclés, j’avais un bon petit cul et des jambes musclés. J’avais besoin de ça, de sentir l’adrénaline monter en moi. J’ai besoin du sport comme une drogue, alors la bouffe finissait par ne plus être un souci. Je compensais chaque fois que j’allais en cours. Mes mains caressaient distraitement son corps je souris. J’ai encore envie d’elle et je compte bien profiter encore de son corps ce soir. Passant mon appel rapidement je ne me rends même pas compte de mon lapsus. Je mets quelque secondes avant de réaliser et rougirait presque. J’hausse les épaules en grattant ma nuque avant de lui dire « Bah au moins t’as un surnom personnalisé qui m’appartient. » je lève mon regard que j’ancre au sien avec un sérieux déconcertant. Son rire me laisse un gout sucré dans la bouche et j’esquisse un sourire en coin en détournant les yeux. Je frissonne en sentant sa caresse du bout des doigts sur mon corps jusqu’à frôler mon sexe au repos. Je mordille ma lèvre inférieure et acquiesce « Tout ce que tu voudras ma tigresse. Tu pourras détailler autant que tu veux. Toucher et utiliser l’œuvre d’art que je suis. » Plaisantais-je baissant mon regard sur ses doigts fins. Faut que je pense à autre chose et mordille ma lèvre en la laissant filer chercher la pizza.
Je la trouve mignonne et sans que je n’aie pu réaliser, elle vient de réussir à m’arracher des gens de … rendez-vous en tête en tête. On pourra dire professionnel. Mais je savais très bien qu’on finira toujours par coucher ensemble, parce que putain, elle ne pourra pas juste se contenter de me dessiner à poil et me laisser repartir chez moi. Je me laisse retomber en arrière sur le dos et soupire en fixant le plafond. « Putain tu fou quoi Jun sérieux … » Pourquoi je restais là, à bouffer de la pizza avec elle alors que j’avais eu ce que je voulais. Passant un bras sous ma tête pour me caler, je fixais le plafond de la chambre en mordillant ma lèvre. Le plat de ma paume massant mon torse je tentais de chasser ces pensées de ma tête. Mon téléphone se met à vibrer et je le prends distraitement de ma poche avant de voir le nom d’une fille de ma classe s’afficher. Elle s’est mis en tête qu’elle arriverait à me mettre dans son lit et parce que ça m’amuse je lui laisse croire qu’elle a ses hanches avant de la repousser comme toujours. Je laisse sonner sans décrocher et passe en mode silencieux. Elle finira par se lasser. L’écran s’allume à nouveau et une photo d’elle en petite tenue apparait sur l’écran. Je ricane et décide de le laisser en évidence pour quand Yun Na reviendra. Je vais voir dans quel état ça l’a met. Mais avant ça je veux pouvoir bouffer ma pizza. Laissant les appels s’accumuler sur mon tel et le mms s’afficher je finis par relever la tête quand ma Noona entre dans la pièce. Je souris à la vue des pizzas et de sa tenue toujours aussi sexy. Je ricane quand elle me parle du livreur. « Pauvre tâche. » me moquais-je comme si je n’étais pas le premier à baver sur la jolie demoiselle en face de moi. « Mais je comprends pourquoi. » susurrais-je en caressant ses cuisses nues. Je me prends une part de pizza en m’asseyant en tailleur avant de la rouler en deux pour en faire un roulé à la pizza. Il mord de gros morceaux et mâche longuement. « Putain ch’est trop bon ! » articulais-je difficilement en mangeant. Je la regarde manger à son tour en veillant à ce que mon tel soit bien mis entre nous deux. Je l’ai déposé discrètement en prenant ma part de pizza.
Faisant mine d’avoir besoin d’un mouchoir alors que ma bouche est propre, je me lève. « Attends je vais nous chercher des mouchoirs ! » Je me penche, glisse mon visage dans son cou pour l’embrasser et lui murmure « Je reviens ma tigresse » je m’éclipse rapidement de la chambre avant de rire, je prends mon temps, espérant que cette fille appel à nouveau. Dans la cuisine j’attrape des mouchoirs et de la mayonnaise pour en mettre sur ma part de pizza. Putain mélange de gros porc mais tellement bon. Je me hisse sur le plan de travail pour attendre un peu, mes jambes battant dans le vide. Je ne le sais pas encore mais mon téléphone vibre à nouveau, le prénom de cette fille s’affiche. Le MMS qui va avec quand elle raccroche au bout d’une sonnerie. Jun ?! Pourquoi tu m’ignores comme ça ! Tu pourrais au moins me dire non si tu ne veux pas me voir … j’ai mis une tenue sexy rien que pour toi. Viens. Avec une tonne de smiley que je ne saurais comprendre. Elle insiste, elle laisse passer une petite minute puis rappelle longuement pour être sûr que je décroche un jour. Elle aussi conne qu’en manque. Cette fille est tarée. Jugeant avoir laissé assez de temps je reviens dans la chambre et, les mouchoirs et la mayo sous le bras, entre dans la chambre « C’est bon j’ai tout. »
made by pandora.
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Sam 21 Nov - 16:22 Citer EditerSupprimer
tenue
Alors c'était ça d'être heureuse ? De se faire plaisir sans avoir à réfléchir au lendemain, prendre son pied dans tout les sens du terme sans penser aux répercussions ? Elle est dans cette état euphorique indescriptible, ce sentiment de pouvoir être elle même sans craindre de n'être jugé. Le sourire aux lèvres c'est un sourire dessiné sur ses lèvres qu'elle rejoint son amant, déposant les pizzas sur ce lit qui n'est guère le leur. elle ne s'est guère permise une telle enfreinte à son régime depuis des années et pourtant ce soir elle ne ressent aucun regrets à le faire. s'asseyant en tailleur aux côtés de son cadet, elle l'observe, amusée. elle ne l'a jamais vu agir ainsi, pour tout dire il n'y a jamais eu qu'entre eux, qu'un jeu de séduction. mais cette nouvelle facette du jeune homme l'amuse, il semble soudainement bien plus jeune qu'il n'en a l'air, roulant un morceau de pizza en deux avant de ne l'engouffrer entre ses lèvres. son ventre gargouille de nouveau, sa main s'emparant à son tour d'un morceau de pizza qu'elle s'empresse de rouler en deux, imitant à merveille son cadet. une grosse bouchée, et la voici qui soupire de plaisir face à l'afflux de saveurs qui se déverse dans sa bouche. un délice. pourquoi s'en être privé depuis tant d'année, pourquoi ne pas y avoir succombé plus tôt ? elle qui auparavant en manger si souvent, s'enfermant chez elle devant une bonne série à l'américaine afin de déguster ce met si simple et pourtant si délectable. un sacrifice pour un bien, elle en était certaine, tout autant qu'elle savait qu'elle le regretterait demain. mais pas aujourd'hui, aujourd'hui elle voulait en profiter, savourer. le portable du jeune homme attire son attention, il vibre entre eux deux mais elle est rapidement rattrapé par sa faim, croquant de nouveau dans son morceau de pizza tout en jetant des regards amusés au jeune homme. insu se moquera probablement d'elle lorsqu'elle lui racontera, à moins qu'il se soit jalouse qu'elle eût partagé une pizza avec un autre que lui. et cette pensée la faisait sourire de nouveau léchant sa lèvre supérieur de sorte à retirer le surplus de sauce tomate qui s'y était accumulé. elle devait avoir l'air d'une affamé, d'une jeune femme n'ayant guère mangé depuis des jours, et au fond, elle s'en moquait. son amant semblait prendre tout autant de plaisir qu'elle dans la dégustation de cette pizza, supprimant ainsi tout sentiment de gêne chez la jeune blondinette. elle lâcha un petit "mmh" bloqué par l'abondance de nourriture qu'elle avait en bouche lorsqu'il l'informait aller chercher des mouchoirs. une bonne idée lorsque l'on voyait l'état de ses doigts ainsi que de ses lèvres. une vraie petite cochonne mais dieu ce que c'était bon, presqu'aussi bon que le sexe avec jun.
elle frissonne lorsqu'il embrasse sa nuque avant de le regarder quitter la chambre, ses yeux pétillants, heureuse à souhait. l'after sexe. Si seulement on l'avait prévenus , si seulement on lui avait dis à quel point cela était plaisant, sans aucun doute s'y serait-elle prise bien plus tôt. en un temps trois mouvements, elle a déjà finis sa part, mâchouillant le peu qu'il en reste tout en soupirant de plaisir. elle se laisse tomber sur le lit, fixant le plafond tout en léchant délicatement le bout de ses doigts. elle aurait bien entendu pu se prendre un nouvelle part et la dévorer bien avant qu'il se soit revenus, mais elle préfère ralentir la cadence, donner le temps à son estomac d'accumuler les calories, chose dont il n'était plus habitué depuis longtemps. une vibration, puis une deuxième et une troisième. elle fixe le téléphone du jeune homme qui ne semble guère vouloir s'arrête de vibrer, l'écran n'ayant guère le temps de s'éteindre entre chaque appel. cinq vibration, six puis rapidement dix, douze, quinze. elle cligne des yeux, pinçant les lèvres. la curiosité est un vilain défaut, elle en a conscience. pourtant elle ne peut s'empêcher de quitter des yeux le petit appareil. une photo s'affiche, mais elle est bien trop loin pour pouvoir voir de quoi il s'agit. et si elle y jetait un coup d'oeil, par simple curiosité, histoire d'en savoir plus sur son amant ? puis cela pourrait être important. d'ailleurs qui pourrait bien appeler autant sans raisons concrètes ? et si sa mère avait eu un accident, ou son père, ou sa soeur, qu'en savait-elle ? se redressant sur le lit, les jambes croisées en tailleurs, elle jette un coup d’œil vers la porte. elle ne voudrait pas qu'il la surprenne, qu'il la prenne pour une psychopathe obsédée au point de l'espionner. une énième vibration, ses petits doigts se referme sur le téléphone, sans pour autant regarder l'écran de celui-ci. elle pèse le pour et le contre. après tout ce ne sont pas ses affaires. elle n'aimerait probablement pas qu'il regarde son téléphone alors pourquoi le ferait-elle ?
mais elle est curieuse, ni une ni deux elle a déjà posé son regard sur l'écran du téléphone, sur cette photo dénudée d'une autre jeune femme. elle cligne des yeux, déglutissant difficilement. c'est qui cette pétasse, elle est laide comme un thon en plus. lâche t'elle sans même réaliser qu'elle vient de le prononcer à voix haute, son regard se posant rapidement sur la porte de la chambre avant de reporter son attention sur l'écran illuminé du téléphone. venir chez elle ? pour ? elle serre les dents, expirant bruyamment tout en relâchant l'iphone sur le lit. il n'y a aucune raison pour qu'elle se mette dans un état pareil, cela ne la regarde d'ailleurs pas. et pourtant, elle ne peut s'empêcher de plisser les yeux, pinçant ses lèvres, les bras croisés sous sa poitrine. elle est vexée, touchée en plein dans sa fierté. elle sait très bien qu'il voit d'autres femmes tout comme elle voit d'autres hommes, et pourtant son côté possessif semble vouloir pointer le bout de son nez. cela lui couperait presque l'appétit si seulement le doux nectar des deux pizzas n'avaient de cesse de venir titiller son odorat. « C’est bon j’ai tout. » elle sursaute, positionnant rapidement ses bras le long de son buste. comme si elle avait été prise sur le fait accomplis, elle baisse les yeux, une expression neutre dessiné sur son doux visage. mmh je pensais y aller de toute manière. lâche t'elle précipitamment en se relevant, quittant ainsi le lit pour se diriger vers ses vêtements qu'elle avait balancé au sol quelques minutes auparavant. elle ne sait pas réellement ce qu'il lui prend mais elle n'est plus d'humeur à manger de la pizza avec son cadet, ni même à rire ou à se renvoyer en l'air avec celui. tu devrais jeter un coup d'oeil à ton téléphone, il n'a fait que vibrer. de quoi couper l'appétit à n'importe qui. elle faisait référence à la photo, chose qu'il ne pouvait d'ailleurs guère savoir. retirant le t-shirt qu'il lui avait prêté, elle le pose délicatement sur le lit, ses petits seins à l'air libre. elle prend tout de même son temps, au fond elle aimerait pouvoir voir sa réaction en voyant la photo en question, voir si il allait se précipiter chez cette pute ou la supplier de rester avec lui. elle passe une jambe dans sa robe, puis une seconde. elle ne compte pas remettre son soutien gorge, à quoi bon, elle devra de toute manière le retirer pour dormir. j'espère que ce n'est pas trop grave au moins, car vu le nombre d'appels que tu as reçus ça à l'air trèèèèès important. elle insiste sur le très, peut être un peu trop même, son agacement clairement palpable dans sa voix. yunna est trop exigeante, trop possessive , trop peu confiante aussi, sûrement trop pour pouvoir ignorer ce genre de chose. elle finit par enfiler son short, se dandinant légèrement sur place pour y loger son petit popotin puis passant une main dans sa douce chevelure avant de se tourner de nouveau vers son jeune cadet. ses seins toujours à nus, ses petits tétons tendus et ce surement à cause de l'air conditionné qui se diffuse dans la chambre. elle se baisse délicatement, s'empare de sa veste qu'elle enfile délicatement, fermant un bouton, puis un second. " tu peux m'aider pour celui-ci, j'ai toujours du mal avec ce bouton. " disons simplement qu'elle veut se venger de ce qu'il n'a guère fait en lui offrant une dernière fois la vue de sa généreuse poitrine. une poitrine bien plus plaisante que celle qui s'est affichée quelques minutes plus tôt sur son portable.
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue
Alors c'était ça d'être heureuse ? De se faire plaisir sans avoir à réfléchir au lendemain, prendre son pied dans tout les sens du terme sans penser aux répercussions ? Elle est dans cette état euphorique indescriptible, ce sentiment de pouvoir être elle même sans craindre de n'être jugé. Le sourire aux lèvres c'est un sourire dessiné sur ses lèvres qu'elle rejoint son amant, déposant les pizzas sur ce lit qui n'est guère le leur. elle ne s'est guère permise une telle enfreinte à son régime depuis des années et pourtant ce soir elle ne ressent aucun regrets à le faire. s'asseyant en tailleur aux côtés de son cadet, elle l'observe, amusée. elle ne l'a jamais vu agir ainsi, pour tout dire il n'y a jamais eu qu'entre eux, qu'un jeu de séduction. mais cette nouvelle facette du jeune homme l'amuse, il semble soudainement bien plus jeune qu'il n'en a l'air, roulant un morceau de pizza en deux avant de ne l'engouffrer entre ses lèvres. son ventre gargouille de nouveau, sa main s'emparant à son tour d'un morceau de pizza qu'elle s'empresse de rouler en deux, imitant à merveille son cadet. une grosse bouchée, et la voici qui soupire de plaisir face à l'afflux de saveurs qui se déverse dans sa bouche. un délice. pourquoi s'en être privé depuis tant d'année, pourquoi ne pas y avoir succombé plus tôt ? elle qui auparavant en manger si souvent, s'enfermant chez elle devant une bonne série à l'américaine afin de déguster ce met si simple et pourtant si délectable. un sacrifice pour un bien, elle en était certaine, tout autant qu'elle savait qu'elle le regretterait demain. mais pas aujourd'hui, aujourd'hui elle voulait en profiter, savourer. le portable du jeune homme attire son attention, il vibre entre eux deux mais elle est rapidement rattrapé par sa faim, croquant de nouveau dans son morceau de pizza tout en jetant des regards amusés au jeune homme. insu se moquera probablement d'elle lorsqu'elle lui racontera, à moins qu'il se soit jalouse qu'elle eût partagé une pizza avec un autre que lui. et cette pensée la faisait sourire de nouveau léchant sa lèvre supérieur de sorte à retirer le surplus de sauce tomate qui s'y était accumulé. elle devait avoir l'air d'une affamé, d'une jeune femme n'ayant guère mangé depuis des jours, et au fond, elle s'en moquait. son amant semblait prendre tout autant de plaisir qu'elle dans la dégustation de cette pizza, supprimant ainsi tout sentiment de gêne chez la jeune blondinette. elle lâcha un petit "mmh" bloqué par l'abondance de nourriture qu'elle avait en bouche lorsqu'il l'informait aller chercher des mouchoirs. une bonne idée lorsque l'on voyait l'état de ses doigts ainsi que de ses lèvres. une vraie petite cochonne mais dieu ce que c'était bon, presqu'aussi bon que le sexe avec jun.
elle frissonne lorsqu'il embrasse sa nuque avant de le regarder quitter la chambre, ses yeux pétillants, heureuse à souhait. l'after sexe. Si seulement on l'avait prévenus , si seulement on lui avait dis à quel point cela était plaisant, sans aucun doute s'y serait-elle prise bien plus tôt. en un temps trois mouvements, elle a déjà finis sa part, mâchouillant le peu qu'il en reste tout en soupirant de plaisir. elle se laisse tomber sur le lit, fixant le plafond tout en léchant délicatement le bout de ses doigts. elle aurait bien entendu pu se prendre un nouvelle part et la dévorer bien avant qu'il se soit revenus, mais elle préfère ralentir la cadence, donner le temps à son estomac d'accumuler les calories, chose dont il n'était plus habitué depuis longtemps. une vibration, puis une deuxième et une troisième. elle fixe le téléphone du jeune homme qui ne semble guère vouloir s'arrête de vibrer, l'écran n'ayant guère le temps de s'éteindre entre chaque appel. cinq vibration, six puis rapidement dix, douze, quinze. elle cligne des yeux, pinçant les lèvres. la curiosité est un vilain défaut, elle en a conscience. pourtant elle ne peut s'empêcher de quitter des yeux le petit appareil. une photo s'affiche, mais elle est bien trop loin pour pouvoir voir de quoi il s'agit. et si elle y jetait un coup d'oeil, par simple curiosité, histoire d'en savoir plus sur son amant ? puis cela pourrait être important. d'ailleurs qui pourrait bien appeler autant sans raisons concrètes ? et si sa mère avait eu un accident, ou son père, ou sa soeur, qu'en savait-elle ? se redressant sur le lit, les jambes croisées en tailleurs, elle jette un coup d’œil vers la porte. elle ne voudrait pas qu'il la surprenne, qu'il la prenne pour une psychopathe obsédée au point de l'espionner. une énième vibration, ses petits doigts se referme sur le téléphone, sans pour autant regarder l'écran de celui-ci. elle pèse le pour et le contre. après tout ce ne sont pas ses affaires. elle n'aimerait probablement pas qu'il regarde son téléphone alors pourquoi le ferait-elle ?
mais elle est curieuse, ni une ni deux elle a déjà posé son regard sur l'écran du téléphone, sur cette photo dénudée d'une autre jeune femme. elle cligne des yeux, déglutissant difficilement. c'est qui cette pétasse, elle est laide comme un thon en plus. lâche t'elle sans même réaliser qu'elle vient de le prononcer à voix haute, son regard se posant rapidement sur la porte de la chambre avant de reporter son attention sur l'écran illuminé du téléphone. venir chez elle ? pour ? elle serre les dents, expirant bruyamment tout en relâchant l'iphone sur le lit. il n'y a aucune raison pour qu'elle se mette dans un état pareil, cela ne la regarde d'ailleurs pas. et pourtant, elle ne peut s'empêcher de plisser les yeux, pinçant ses lèvres, les bras croisés sous sa poitrine. elle est vexée, touchée en plein dans sa fierté. elle sait très bien qu'il voit d'autres femmes tout comme elle voit d'autres hommes, et pourtant son côté possessif semble vouloir pointer le bout de son nez. cela lui couperait presque l'appétit si seulement le doux nectar des deux pizzas n'avaient de cesse de venir titiller son odorat. « C’est bon j’ai tout. » elle sursaute, positionnant rapidement ses bras le long de son buste. comme si elle avait été prise sur le fait accomplis, elle baisse les yeux, une expression neutre dessiné sur son doux visage. mmh je pensais y aller de toute manière. lâche t'elle précipitamment en se relevant, quittant ainsi le lit pour se diriger vers ses vêtements qu'elle avait balancé au sol quelques minutes auparavant. elle ne sait pas réellement ce qu'il lui prend mais elle n'est plus d'humeur à manger de la pizza avec son cadet, ni même à rire ou à se renvoyer en l'air avec celui. tu devrais jeter un coup d'oeil à ton téléphone, il n'a fait que vibrer. de quoi couper l'appétit à n'importe qui. elle faisait référence à la photo, chose qu'il ne pouvait d'ailleurs guère savoir. retirant le t-shirt qu'il lui avait prêté, elle le pose délicatement sur le lit, ses petits seins à l'air libre. elle prend tout de même son temps, au fond elle aimerait pouvoir voir sa réaction en voyant la photo en question, voir si il allait se précipiter chez cette pute ou la supplier de rester avec lui. elle passe une jambe dans sa robe, puis une seconde. elle ne compte pas remettre son soutien gorge, à quoi bon, elle devra de toute manière le retirer pour dormir. j'espère que ce n'est pas trop grave au moins, car vu le nombre d'appels que tu as reçus ça à l'air trèèèèès important. elle insiste sur le très, peut être un peu trop même, son agacement clairement palpable dans sa voix. yunna est trop exigeante, trop possessive , trop peu confiante aussi, sûrement trop pour pouvoir ignorer ce genre de chose. elle finit par enfiler son short, se dandinant légèrement sur place pour y loger son petit popotin puis passant une main dans sa douce chevelure avant de se tourner de nouveau vers son jeune cadet. ses seins toujours à nus, ses petits tétons tendus et ce surement à cause de l'air conditionné qui se diffuse dans la chambre. elle se baisse délicatement, s'empare de sa veste qu'elle enfile délicatement, fermant un bouton, puis un second. " tu peux m'aider pour celui-ci, j'ai toujours du mal avec ce bouton. " disons simplement qu'elle veut se venger de ce qu'il n'a guère fait en lui offrant une dernière fois la vue de sa généreuse poitrine. une poitrine bien plus plaisante que celle qui s'est affichée quelques minutes plus tôt sur son portable.
made by pandora.
Invité
Invité
Re: es que yo sin ti y tú sin mi dime quién puede ser feliz +18 | Sam 21 Nov - 23:53 Citer EditerSupprimer
yo sin ti y tú sin mi
dime quién puede ser feliz
tenue
Je jubile. C’est vrai, je jubile, je crève d’envie de rire aussi et de lui crier surprise, je t’ai bien eu ! J’ai envie de la voir rager, encore et encore, et elle me donne le meilleur des spectacles. Je fais mine d’être surpris, d’être perdu, quand elle se relève brusquement, changeant d’humeur alors qu’elle me dit qu’elle veut y aller. Et moi je fais semblant de ne pas comprendre, mordant ma langue pour ne pas me mettre à sourire et trahir mon petit jeu. Oh Jung Yun Na tu es tellement parfaite revêtu de cette jalousie que tu exprimes. La seule présence d’une fille, pourtant loin d’ici, et tu te mets en rogne. Est-ce parce que tu ne me veux que pour toi ? Mon corps, ma pensée, mon attention. Je ne dois voir que toi pas vrai ? Si seulement tu pouvais le réaliser : je suis à toi, au moins pour la nuit, le reste on s’en fou ça reviendra bien trop vite pour qu’on puisse s’en soucier. C’est bien trop facile de te tester, c’est bien trop jouissif de jouer avec toi. J’ai envie de sauter du lit et de t’embrasser, parce que tu gonfles mon égo, parce que tu donnes un coup de fouet à ma fierté et parce que tu me rassures. Mais ce dernier point je ne suis pas encore capable de l’assumer. Assumer que tu n’es pas juste un coup d’un soir, que tu me plais, que tu me plais vraiment, que ma victoire de ce soir, n’est, je l’espère, pas éphémère. Si j’assumais ces paroles je me rendrais compte à quel point je suis pathétique. Que cette fille, qui est pour moi la fille la plus sublime de cette ville, je serais prêt à lui courir après s’il le fallait. Encore et encore. Mais je l’avouerais pas, je préfèrerais me dire que je rencontre juste son chemin à nouveau, par hasard, après l’avoir attendu deux heures. C’était mieux ainsi. Alors je savourais ma victoire, celle qui consiste à la voir crever de jalousie parce qu’une fille, plutôt jolie et carrément chaude, m’a envoyé des photos coquines. Je continue de manger ma pizza sans pouvoir retenir mon sourire maintenant. La voir se rhabiller est presque aussi bandant que de la voir se mettre nu, parce que je sais qu’elle va rester. Parce que je sais qu’elle finir par se remettre nu devant moi, cette poitrine que je connais maintenant parfaitement mais que je rêve de découvrir, encore et encore.
Quand elle fait mine d’avoir du mal à reboutonner sa veste j’attrape mon téléphone en suçotant chacun de mes doigts et m’avance vers elle. Je lis les sms, je regarde les photos qu’elle m’a envoyé avec un air neutre, sans grand intérêt d’ailleurs. Je finis par tout effacer même si j’ai plus l’air de donner l’impression que je lui réponds et fini par tendre le téléphone sous le nez de Yun Na. « Les putes dans son genre ça m’intéresse pas. » lâchais-je simplement avant de retirer ma batterie pour jeter mon tel sur un des lits vide. Je l’attire brusquement à moi en la tenant par les hanches et savoure son regard provoquant et orageux. Je passe une main dans le blond de ses cheveux avec de la glisser à sa nuque. Je souris insolent en croisant son regard. Elle comptait vraiment partir de cette façon ? Pour une simple histoire de mms cochons ? N’a-t-elle jamais reçu de sms douteux, d’un homme aux pensées impures, au mauvais moment ? C’est vrai que j’ai poussé la chose en ma faveur. Voulant jouer avec ses nerfs parce que c’est plus fort que moi. Nous avions passé des mois à jouer tous les deux, je ne voulais pas qu’on perde tout ça pour une histoire vulgaire de sexe. C’était ma façon à moi d’entretenir la flamme. De garder ce qu’on avait pour être sûre qu’elle revienne. J’attrape cette veste qu’elle veut que je boutonne mais au lieu de la boutonne comme elle me l’a demandé, je l’arrache subitement en faisant sauter les deux boutons et la fait glisser le long de ses bras. « La seule chose importante ce soir c’est toi. » Je taquine son téton durci du bout du doigt en prenant un air innocent « Oh mais c’est quoi ça ? » Je me mets à sourire, le genre de sourire auquel elle ne pourra pas résister et viens l’embrasser sans lui demander son avis. J’en ai envie et je veux qu’elle reste, autant l’occuper. Cette poitrine qu’elle m’offre surement pour me rappeler qu’elle vaut mieux que n’importe quelle photo sexy … « Je veux que tu restes » murmurais-je en reculant vers le lit libre le plus proche en caressant son dos de mes paumes brûlantes. Je l’éloigne de la porte l’entraine avec moi. On n’a pas besoin de se prendre la tête ce soir, on peut juste profiter. Tombant à la renverse je la serre contre moi et la garde prisonnière dans mon étau. Si je pouvais l’avouer, je dirais que j’ai encore envie d’elle. C’est bien d’ailleurs pour ça que je la bascule sous moi et que je m’allonge sur son ventre. Je me glisse, assez bas, pour pouvoir embrasser son cou, ses clavicules et mordiller ses seins que je sais sensible. Je relève la tête vers Yun Na sans cesser de jouer avec ses tétons que je fais rouler entre mes doigts et tout en embrassant sa peau entre ses seins je murmure dans un souffle « Reste toute la nuit avec moi … » ce qui sous entendait, outre une nouvelle partie de jambe en l’air, qu’elle reste dormir avec moi. N’est-ce pas trop ? Sûrement, mais c’était aussi une façon à la fois subtile et claire, qu’elle méritait sa place entre mes bras pour la nuit. Pour demain on verra. Mais cette nuit … elle ne serait pas qu’un vulgaire plan baise que je renvois chez elle une fois que j’ai eu ce que je voulais.
made by pandora.
Contenu sponsorisé
Page 3 sur 3 • 1, 2, 3