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Re: one step at a time. | Mer 14 Oct 2015 - 17:50

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woori&noam

J’étais assez impatient d’entendre ce que la jeune fille avait à me dire. On avait pas mal discuté ensemble, mais en vrai, nous ne nous connaissions pas non plus tant que ça, alors avoir quelques informations en plus, ça faisait toujours plaisir. Ce que j’entendais n’était tout de même pas des plus joyeux. Mais elle avait l’air d’en parler au passé alors je supposais que son amie allait mieux maintenant, du moins je l’espérais. J’en apprenais aussi un peu plus sur ses goûts. Je n’avais aucune idée qu’elle avait fait du stylisme auparavant. Et la façon dont elle expliquait son choix de formation maintenant me faisait sourire. J’avais l’impression de découvrir une nouvelle facette d’elle qui me prouvait une fois de plus que je ne m’étais pas trompée en voulant l’inviter aujourd’hui. « J’ai toujours adoré les gens qui arrivaient à suivre leur passion, leurs envies, ... ». En effet, c’était un peu ce que j’essayais de faire moi-même, alors je ne pouvais qu’encourager ceux qui en faisait de même. « Le plus important c’est de faire ce qui nous plait, qu’importe le temps que ça doit prendre. ». Ca pouvait paraître niais, mais je le pensais sincèrement. En tout cas, bien que ce ne fut que quelques paroles échangées, ça faisait du bien de parler un peu plus de soit à l’autre. Je n’eus même pas le temps d’ajouter autre chose, que je vis Woori se lever, et je ne pus que la suivre dans son élan. Je ne voyais pas trop où elle voulait se diriger, mais vu son empressement et son engouement, ça devait forcément être quelque chose d’intéressant. Finalement, nous arrivions devant les machines à grappins. Des souvenirs associés à ces jeux me revinrent à l’esprit, notamment quand je tentais des dizaines et des dizaines de fois de récupérer des peluches pour Nina à la fête foraine de California Beach. Mais Woori semblait bien plus enjouée que moi.

Je pris sa bière qu’elle me tendit, et attendais impatient de la voir à l’œuvre. Elle avait l’air concentrée et désireuse de bien faire. Malheureusement, après deux essais, elle ne réussit pas à récupérer la moindre peluche. « Je suis sûre que ça te reviendra ! »lui répondis-je. Cependant, il me semblait que ce n’était pas suffisant et à mon tour je voulais tenter d’en récupérer une. Plus qu’une volonté d’essaie, je me disais que c’était une bonne occasion de lui offrir quelque chose–si toute fois je réussissais-. « Bon, allez, je vais m’y coller... Souhaite-moi bonne chance. » Je me mis donc face à la machine, insérai un jeton, et pris la manette pour tenter de mettre le grappin sur une de ces peluches. Malheureusement, mon premier essai fut loin d’être concluant. Je croyais avoir réussi à en attraper une mais au moment de la relever, elle glissa des mains de l’appareil. Fort de mon premier essai, je décidai tout de même de ré-essayer en insérant un second jeton. Je répétai l’opération une seconde fois puis, cette fois-ci, je n’attrapais pas seulement les oreilles de l’animal mais bien toute sa tête. Au moment de le relever et de le déplacer, il glissa légèrement mais tomba dans le bas prévu à notre effet. Je laissais donc un cri de victoire échapper de bouche, non peu fier de ce que je venais de réaliser. Je pris la machine dans le bas puis me retourna vers la demoiselle. « Je me demande bien ce que je vais en faire... » dis-je en riant, alors que c’était écrit en gros sur mon front que je comptais bien la lui offrir. « Je pense qu’elle te sera bien plus utile qu’à moi... et puis comme ça, tu penseras à moi à chaque fois que tu la verras dans ta chambre » dis-je en lui faisant un clin d’œil. Je m’approchai donc d’elle puis je lui tendis la peluche, qu’elle prit. « Je compte sur toi pour en prendre soin... ou sinon je viendrai vérifier de moi-même que tu t'en occupes bien. » dis-je en riant, tellement ce que je venais de dire me paraissait absurde. Mais je dois l’avouer, parfois, elle me faisait perdre mes moyens. J’avais en général assez confiance en moi, mais il m’arrivait aussi d’être souvent intimidé, surtout devant une fille qui me paraissait aussi jolie et qui semblait avoir assez confiance en elle. Et puis ça faisait aussi bien longtemps que je n'avais pas eût un rendez-vous posé avec une fille. Bref, j’essayais tout de même de reprendre mes moyens et d'éviter de raconter d'autres bêtises.« On peut encore tester d'autres jeux... ou bien prendre l'air, c'est comme tu veux. ». Concrètement, ça m'importait peu. Tant que j'étais avec elle et qu'on s'amusait, tout me satisfaisait.

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Re: one step at a time. | Sam 17 Oct 2015 - 22:32

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Il fallait sérieusement que Noam arrête de dire des choses qu'elle aimait, et avait besoin d'entendre. Ça la troublait qu'il réponde à son choix de carrière de façon si positive. Son idée était folle, on le lui avait souvent dit. Le marché du cosmétique était saturé par de nombreuses marques, et les innovations finissaient malheureusement par toutes se ressembler tant il ne semblait plus y avoir de propositions possibles. Et pourtant, Woori y croyait, elle voulait créer la marque la plus bio possible, inspirée des secrets de beauté des femmes du monde. Mais il était difficile de ne pas perdre le cap quand beaucoup semblaient douter de ce projet. Noam et elle ne se connaissaient pas depuis si longtemps que ça, et ils ne se connaissaient pas particulièrement bien non plus, et pourtant ce genre d'encouragements lui faisaient du bien, tout autant qu'ils la surprenaient.

Gênée par cette échange et les non-dits, elle avait fuit vers les machines à grappin. Ces machines avaient beau avoir été sa spécialité à une certaine époque, ce n'était plus le cas. Tout n'était pas comme le vélo, certaines choses s'oubliaient. Elle avait essayé trois fois, elle avait râlé, crié, juré, mais rien n'y faisait, la peluche était restait presque à sa place d'origine, la narguant de son petit air mignon. Mais la jeune femme s'était résignée, elle n'allait pas la soirée à perdre leur temps et leurs jetons. A regret elle abandonna sa quête. Elle ne s'attendait pas à voir Noam prendre le relais, elle s'attendait plus à une petite moquerie de sa part, c'est qu'elle était risible à s'acharner sur cette fichue machine. « Bon, allez, je vais m’y coller... Souhaite-moi bonne chance. » Elle le regarda avec de grands yeux et se plaça derrière lui alors qu'il se mettait face à la machine. Elle vécut le moment avec lui. Woori était entière dans son ressenti et dans ses réactions. Elle arrêta presque de respirer en le voyant attraper la peluche pour la première fois, et jura avec lui lorsqu'elle retomba platement dans la machine. Elle l'encouragea lorsqu'il tenta à nouveau, et exulta en même temps que lui lorsque la peluche tomba dans le réceptacle. Noam avait réussit.

« Je me demande bien ce que je vais en faire... » Elle le regarda avec des yeux de chat vexé, une petite moue sur les lèvres. Elle savait bien qu'il plaisantait, mais elle aimait jouer de son petit charme. « Je pense qu’elle te sera bien plus utile qu’à moi... et puis comme ça, tu penseras à moi à chaque fois que tu la verras dans ta chambre » Elle sentit le rose lui monter aux joues. Oh elle n'avait pas besoin de cette peluche pour penser à lui. Elle ne pensait pas à lui constamment, mais il lui arrivait parfois d'avoir l'image de ce beau professeur en tête et de rougir seule en sentant son corps réagir bizarrement. « Je compte sur toi pour en prendre soin... ou sinon je viendrai vérifier de moi-même que tu t'en occupes bien. » Elle attrapa la dite peluche en poussant une petite exclamation de joie et avec une petite danse de la joie, riant aux propos de Noam qu'elle ne prit évidemment pas au sérieux. Un professeur dans une chambre d'étudiante, quoi de mieux pour créer la polémique ?

« On peut encore tester d'autres jeux... ou bien prendre l'air, c'est comme tu veux. » Elle le regarda en souriant, ne sachant comment réagir. Elle tenait cette peluche contre elle, et lui n'était qu'à deux pas... Elle finit par le fixer involontairement, ou volontairement en fait, à ce moment précis, elle ne saurait dire ce qu'il se passait réellement dans sa tête. Elle était comme déconnectée. Fixée sur lui et rien d'autre autour, fixée sur le moment, l'euphorie. Et l'alcool aidant un peu aussi pour elle qui ne buvait presque plus. Elle ne saurait dire si son regard fixe le dérangeait, l'avait-il remarqué ? Et puis, après une demie seconde d'hésitation, elle fit un pas en avant et déposa ses lèvres contre celles de Noam. C'était ce genre de moments où il ne fallait pas réfléchir sinon elle reculerait. Et c'était aussi ce genre de moments qui prouvait qu'elle était moins coréenne qu'une coréenne. Ses lèvres posées sur celle du jeune homme, elle n'approfondit pas le baiser d'avantage, mais profita juste de la sensation chaude et humide de sa bouche contre la sienne. Après quelques secondes, elle se recula un peu, les joues roses. « Merci... » Murmura-t-elle dans un souffle. Elle passa sa langue sur ses lèvres, et tenta de reprendre constance, alors qu'elle mourrait juste d'envie de l'embrasser à nouveau et pas si chastement. Elle leva la peluche qu'elle avait obtenu grâce à lui. « Bambi et moi te suivons. De toute façon, je n'ai pas le droit de te dire non, alors autant que tu en profites non ? » Dit-elle d'un ton plus séducteur qu'elle ne l'aurait pensé. Mais étrangement, elle avait la sensation qu'avec lui, elle n'avait pas à feindre d'être ce qu'elle n'était pas.

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Re: one step at a time. | Lun 19 Oct 2015 - 12:24

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J’étais assez fière de moi quand même. Réussir à dompter cette machine et finir par lui offrir ce modeste cadeau qui lui faisait tout de même plaisir... je trouvais ça pas mal comme 2 en 1. Et puis, j’avais toujours été du genre à couvrir de cadeaux les nanas qui m’intéressaient ou avec qui j’avais fini par sortir (qu’importe la durée de la période), mais c’était assez dur à faire au début sans passer pour un mec bizarre ou trop intéressé. Après tout, même si ça faisait un petit moment que nous parlions par messages, on s’était très peu vu et je ne m’imaginais pas me ramener cadeaux sous les bras sans passer pour un mec chelou, et c’était bien la dernière impression que je voulais lui donner de moi. Ce sentiment de satisfaction achevé, j’étais quelque peu perdu dans mes pensées. C’est donc en émergeant finalement que je remarquai qu’elle me regardait fixement. J’avoue avoir été surpris au début, de la voir là, me regarder sans rien dire. Je ne savais pas vraiment comme le prendre et j’essayais tant bien que mal de m’imaginer ce qu’elle pouvait bien penser à ce moment là, si j’avais fait quelque chose qu’il ne fallait pas, ... Puis, je n’eus même pas le temps de plus me questionner que je la vis se rapprocher de moi pour... m’embrasser ?! Je ne pus qu’être surpris. Non pas que je doutais du fait qu’il y avait une attirance réciproque entre nous deux, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle le fasse là, maintenant. Mais ce n’est pas pour autant que je ne profitai pas de cet instant spécial. Juste ses lèvres contre les miennes, j’expérimentais à une saveur nouvelle dont j’espérai pour goûter de nouveau dans un futur proche. C’était notre premier baiser et il avait donc une signification particulière quand bien même ce ne serait qu’un flirt. Et puis j’aimais tout particulièrement le fait qu’elle soit l’investigatrice de ce baiser. J’aimais les filles audacieuses et entreprenantes et elle me prouvait une fois de plus qu’elle l’était. J’aurai aimé approfondir d’avantage ce baiser mais nous ne devrions pas nous presser inutilement, n’est-ce pas ? Bien sûr que j’en voulais plus, mais il ne servait à rien de se précipiter. Ca me faisait bien rire intérieurement de la voir rougir quelque peu, comme si elle assumait à moitié son geste. Je me contentais de sourire à ses remerciements et de rire à sa remarque. C’est vrai que j’avais un peu le sort de la journée entre les mains, et je comptais bien en profiter pour m’amuser un peu.

« Je vais tenter d’en profiter dans la mesure du raisonnable. » dis-je en affichant un sourire taquin. Je voulais m’isoler un peu de l’ambiance de l’arcade alors, le bras sur son épaule, je la guidais vers un des bancs installés en périphérie de la salle, là où il y avait légèrement moins de bruit mais où il faisait bon –contrairement à l’extérieur où il risquait de faire froid. Je la laissai s’asseoir avant de faire la même chose à mon tour. J’avais laissé une petite distance entre nous, juste assez pour pouvoir pivoter et la regarder. J’étais assez content de la tournure qu’avait prise ce rendez-vous. En y repensant, j’étais assez stressé au début, sachant que ça faisait pas mal de temps que je n’avais pas invité une fille à sortir. Draguer dans un bar et inviter une fille quelque part, c’était totalement différent et j’eus presque peur d’avoir perdu la main. « Je me dis qu’on devrait faire ça plus souvent... » commençai-je. « C’est assez difficile de te croiser à l’université sans pouvoir aller te parler tu sais. » Ca ne serait pas vraiment correct que j’aille la voir dans les couloirs et puis je me ferai charrier par plusieurs de mes collègues. « Déjà que certains profs ne prennent pas au sérieux, je ne ferrai qu’empirer la situation» dis-je en riant. Bien que l’avis de mes collègues m’importait peu, je me devais d’afficher une certaine posture tout de même. Oui, c’était l’instant fragilité, présenté par Armani Noam. Mais bizarrement, je me sentais tellement bien avec elle que je n’avais pas peur de dire ce qui me passait à l’esprit, sans aucun filtre. « Comme tu le vois, j’ai une vie bien agitée et personne pour me réconforter ! » De là, une idée me vint à l’esprit... « J’ai besoin qu’on rebooste un peu mon égo... » dis-je en me rapprochant subtilement d’elle. « Tu as carte blanche. Le petit Noam a besoin de reprendre confiance en lui. » dis-je le sourire jusqu’aux oreilles. Je prenais un malin plaisir à la taquiner, mais je comptais sur elle pour me répondre comme elle savait si bien le faire. Des compliments, une sérénade, une tirade sur la douceur de mes cheveux et la beauté de mon visage... je prenais tout !

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Re: one step at a time. | Mer 21 Oct 2015 - 11:03

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Woori s'était presque surprise par sa propre audace. Mais que c'était bon d'être audacieuse, de céder à ses envies que lui donnait Noam. Et sa réaction encouragea la jeune femme à se faire confiance, et à se comporter avec lui comme elle l'avait toujours fait. La soirée tournait peut être autrement que ce qu'ils avaient imaginé, mais c'était loin d'être déplaisant. Woori attendait toujours que les premières requêtes liées à son gage arrivent, presque avec excitation. Elle avait toujours été joueuse, et un peu mauvaise perdante, mais pour le coup, elle le vivait plutôt bien. « Je vais tenter d’en profiter dans la mesure du raisonnable. » Elle espérait bien... Son petit sourire ne quittait pas les lèvres de la jeune femme.

Elle le suivit jusqu'à un banc à l'écart du cœur de l'arcade, et s'assit en tenant sa robe pour que les fentes sur les côtés ne révèlent pas la longueur entière de ses jambes. Tournée vers lui, elle profita juste de l'instant, elle avait peur de ne plus vraiment savoir faire ce genre de choses, les rencards... Elle n'en avait pas eu un seul depuis la naissance de Yoon Woo. Mais les choses étaient encore naturelles, ou alors était-ce parce qu'il s'agissait de Noam que c'était aussi simple ? « Je me dis qu’on devrait faire ça plus souvent... » Elle hocha la tête, enthousiaste à cette idée. « C’est assez difficile de te croiser à l’université sans pouvoir aller te parler tu sais. » Oh oui... Woori ne dirait pas le nombre de fois où elle avait fait un détour avant ou après ses cours juste pour apercevoir le professeur dans les couloirs. Mais c'était stupide, ils ne pouvaient pas vraiment se parler comme ils aimeraient le faire. « Déjà que certains profs ne prennent pas au sérieux, je ne ferrai qu’empirer la situation. Comme tu le vois, j’ai une vie bien agitée et personne pour me réconforter ! » Pauvre bichette... Elle souriait doucement, elle le trouvait... Attendrissant presque. Mais amusant à la fois. « J’ai besoin qu’on rebooste un peu mon égo... Tu as carte blanche. Le petit Noam a besoin de reprendre confiance en lui. » Elle le regarda les yeux ronds, puis se mordit la lèvre réfléchissant un instant.

Une idée lui traversa l'esprit, et elle se racla la gorge doucement, tout en se redressant. « C'est bien parce que c'est toi. » Avertit-elle le beau professeur à ses côtés. Elle prit une grande inspiration et se lança. Elle se mit à chanter « Oppa Cheer Up » à renfort de aegyo et petites moues rigolotes. « Oppa himneseyo, Woori ga itjanayo, Oppa himneseyo Woori ga isseoyo » Elle lui chanta cette petite rengaine deux fois et s'arrêta en éclatant de rire, cachant son visage dans ses mains. Elle était morte de honte. C'était mignon quand Yoon Woo la lui chantait, mais pour le coup, c'était plus drôle que mignon. Elle finit par écarter ses doigts pour croiser le regard de Noam, elle ricana encore un instant et baissa ses mains finalement, en s'éclaircissant la gorge une nouvelle fois. « Ce moment doit rester entre toi et moi si quelqu'un d'autre l'apprend, je serais obligée de te tuer toi et cette personne. » Dit-elle non sans humour. Elle appuya son coude sur le dossier du banc et plaça sa tête au creux de sa main. Elle le regarda en souriant, comment ce type faisait pour l'attirer autant ? « Et puis, rien que le fait que je m'intéresse à toi devrait de donner confiance he ! » Voyant son regard perplexe elle se mit à rire. « Hey tu flirt avec une grande blogueuse beauté mon petit gars. » Ajouta-t-elle avec un mouvement dramatique de cheveux. Elle exagérait évidemment, mais elle avait du mal à révéler réellement ce qu'elle appréciait chez lui, parce qu'il y en avait beaucoup, et qu'elle se serait sentie réellement gênée, cela aurait été trop se dévoiler sans doute. Plus sérieusement elle le regarda dans les yeux. « Pour les profs je peux pas y faire grand chose, pour le reste je m'en occupe. » Sourit-elle, les joues un peu rosies par sa propre déclaration.

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