Mon coeur battait si fort, mais si fort, qu'il pourrait exploser à tout instant. Les mains de Joo Hee étaient magiques, et elle savait me faire frissonner. Je resserrai lentement mon étreinte contre elle, mon souffle brûlant s'entrechoquant avec le sien. J'avais envie d'elle. J'avais toujours eu envie d'elle depuis le premier jour où elle était arrivée au dortoir des pyobeom, et que j'avais su qu'elle serait ma colocataire. Fantasmer sur son aînée, n'était-ce pas là un pêché ? Le temps avait fait son effet, et aujourd'hui je ne regrettais pas d'avoir grandi et mûri auprès de Joo Hee. Avant elle, je n'étais qu'un pauvre puceau qui ne savait pas jouer de ses charmes. Joo Hee m'avait façonné à son image. Elle m'avait transformé et je ne savais pas si elle était fière de l'homme que j'étais devenu. J'étais probablement devenu l'homme de ses rêves, son désir le plus intense et secret. Et que jamais je ne serais l'homme d'une autre femme. Voilà peut-être aussi pourquoi je n'avais jamais réussi à m'engager aussi longtemps avec mes anciennes conquêtes. Parce que au fond, j'étais l'homme de Joo Hee.

Il était si facile de franchir les étapes avec Joo Hee. Puisqu'on se connaissait par cœur, on n'avait aucune crainte à pousser l'autre au bout du plaisir. Je l'avais débarrassée de son chandail, et maintenant je m'occupais de libérer sa poitrine de son soutien-gorge. Il glissa le long de ses bras sveltes, elle ne rechigna pas à se faire déshabiller. De toute façon, elle faisait exactement la même chose avec moi. Entre deux baisers, je l'aidais de bonne volonté et je retirai mon haut, le jetant tout comme le reste contre le sofa. Puis, ce fut au tour de nos pantalons respectifs de voler à l'autre bout de la pièce, et je tirai habilement sur l'attache de son string, redessinant par la même occasion la courbe parfaite de sa fesse. Je la collai un peu plus contre la baie-vitrée où elle rayonnait littéralement de beauté, et je descendis mon visage le long de sa jugulaire, vrillant cette dernière de baisers tendres et passionnés. Mes mains, elles, partirent s'attarder sur ses hanches, une plus curieuse se frottant volontaire entre les cuisses de Joo Hee. Mais jamais je ne forcerais les choses. Car ce ne serait pas respecter la femme que j'aimais, après tout.

Les vêtements de Joo Hee ne firent pas bien long feu sur sa peau. Autant Ji Hoon était d’un calme et d’un self-control incroyable lorsque des situations particulières arrivaient mais alors dans ces moments là, il semblait des plus pressés. En deux trois mouvements, elle se retrouvait déjà totalement nue. Non pas que cela lui déplaise, elle comptait bien faire subir le même sort à ces morceaux de tissus.

La demoiselle laissait ses mains poursuivre ses caresses sur son corps, retraçant toutes les courbes de sa musculature. Un léger sourire s’installait sur son visage alors qu’il descendait ses baisers dans son cou. Tout ce qu’elle aimait. Son rictus s’élargissait davantage alors qu’elle se disait que Ji Hoon était vraiment un très bon élève. Puis comme si il venait d’entendre ce qu’elle venait de penser, un doux soupire de plaisir s’échapper en sentant la main curieuse de Ji Hoon. Loin d’elle l’idée de l’en empêcher.

Au bout d’un moment, elle décidait de le pousser légèrement afin de se libérer de son emprise. Tenant toujours à garder un contact avec ses lèvres sur lequel elle déposait mille et un baisers, elle le guidait jusqu’à leur lit. Elle l’incita à s’y asseoir avant de s’installer sur lui, face à face. A son tour, elle venait marquer son cou doucement, laissant glisser sa main dans son dernier sous-vêtement.

Cela pourrait durer des heures. Des heures entières à se regarder, s'embrasser et s'échauffer. Nous étions particulièrement friands des préliminaires, on trouvait toujours le moyen d'attiser nos désirs respectifs et on se découvrait des sensations encore nouvelles et difficiles à expliquer. Même si nous connaissions le corps de l'autre par coeur, nous n'étions pas à l'abri de la nouveauté et c'était même plaisant que d'être surpris par ce qu'on ne s'attendait pas. Le corps de Joo Hee pouvait onduler, se frotter contre moi avec cette langueur et cette douceur particulières, je resterais toujours autant subjugué par sa plastique avantageuse. Ses jambes couraient sur des mètres et des mètres. Sa poitrine, bien qu'elle en soit très complexée, me plaisait telle qu'elle était et ses doigts étaient arachnéens, comme si elle avait fait du piano toute sa vie. Tout chez Joo Hee était grâcile, grâcieux et gratifiant. Et tout chez Joo Hee me faisait rêver.

J'étais tellement concentré par le plaisir que je souhaitais lui offrir que je n'opposais aucune résistance à quitter la baie-vitrée alors qu'elle me repoussait délicatement contre le lit. Mes talons s'entrechoquèrent avec le sommier, je basculai en arrière et je la tirai contre moi dans ma chute. Le matelas était nettement plus confortable que celui du dortoir, ça ne m'étonnait pas venant d'un hôtel de luxe. Je me sentais m'enfoncer dans ce matelas si agréable, que les baisers échauffés de Joo Hee n'en furent que plus intenses. Mes mains s'agrippaient habilement sur ses hanches, dérivant parfois sur ses fesses alors que je lui offrais des caresses érotiques. Car c'était bien ce qu'on faisait, non ? On éveillait nos instincts, on éveillait notre amour. Alors en sentant sa main froide mais douce glisser sous mon boxer, je n'en fus même pas surpris. Je levai simplement mon regard sur elle alors que je remontais une main sur son visage pour dégager ses cheveux de sa joue, et j'appuyai doucement sur ses reins pour qu'elle coller son bassin contre le mien. Ils étaient brûlants, comme si nos désirs se concentraient spécialement sur cette zone. Et j'échangeai de nouveau un regard. Un regard qui se voulait provocateur. Qu'avait-elle en tête ? Qu'allait-elle faire de moi qui était à sa merci ? Il était trop tard de toute manière, car je m'étais coincé de moi-même entre ses bras.

Faire l’amour contre la baie vitrée ne lui semblait pas tellement une bonne chose. Bien qu’ils avaient à de nombreuses reprises par la passé pratiqué ce genre de chose dans des conditions et des lieux totalement fous, cette fois-ci cela ne lui semblait pas une bonne idée. Peut-être par peur d’être carrément vue par un hélicoptère passant – peu probable – ou de voir la vitre littéralement brisée sous son poids minuscule et faire une longue chûte en tenue d’Eve lui offrant une mort certaine. Non merci. Alors elle avait guidée Ji Hoon vers le lit qu’elle estimait plus confortable. Il n’y a aucune honte à revenir aux bons vieux classiques parfois.

La brune aux cheveux récemment court avait décidé de prendre le contrôle en lui montant dessus. C’est quelque chose qu’elle appréciait plutôt bien, prendre le contrôle. Il ne fallait pas croire qu’elle acquiesçait et appliquait tout ce que demandait le président des Pyobeoms, non, mais il était certain que c’est lors de ces moments intimes qu’elle montrait le plus qu’il n’était pas le seul dominant.

Joo Hee venait glisser doucement sa main dans son boxer pour le gratifier de longues caresses langoureuses. Il n’allait pas être le seul à s’amuser de l’autre. Après avoir à nouveau embrassé doucement ses lèvres, elles longeait ses baisers sur sa mâchoire, descendant en allant dans son cou puis toujours plus bas, lentement mais sûrement, jusqu’au bas de son ventre où elle prit bien le temps d’appliquer de long baiser histoire de le faire languir. Puis finalement, après l’avoir taquiné durant de longue minutes qui durent lui paraitre une éternité, elle se décidait à abaisser doucement son dernier vêtement afin de lui accorder son plus grand péché mignon.

Plus le temps passait, et plus je m'échauffais. Mes sens s'électrifiaient. Je savourais chaque baiser, chaque caresse de la part de Joo Hee. Il fallait dire qu'elle savait attiser mon désir, tout comme moi je m'appliquais à la faire soupirer de plaisir. Mes mains expertes longeaient ses cuisses soyeuses, puis ses fesses rondes et si bien dessinées. Je la connaissais par coeur, et pourtant je prenais toujours un plaisir fou à redécouvrir chaque parcelle de son corps. Joo Hee était une réelle source d'inspiration pour moi, et je l'aimais à en crever. Je plongeai mon regard dans le sien entre deux baisers passionnés, et je tentai de sonder son esprit. Elle semblait vraiment heureuse ici, dans mes bras. Mais elle devait savoir que j'étais aussi heureux qu'elle. Ca faisait vraiment du bien d'avoir le coeur allégé, et d'être sûr des sentiments qu'on éprouvait l'un pour l'autre. Tout irait bien, n'est-ce pas ? Tout irait bien.

Je n'avais pas peur pour la suite. Avec Joo Hee, je me sentais vraiment bien et c'était toujours un réel plaisir de profiter de ses courbes enjôleuses. Je m'enivrais de son odeur parfumée si douce, de ses lèvres pulpeuses. Son corps se frottait au mien avec une langueur irrésistible. J'avais envie de Joo Hee. J'avais terriblement envie de Joo Hee. Alors, je ne protestais pas quand je l'observais ramper progressivement de plus en plus bas sur mon corps. Son visage avait quitté le mien, malheureusement, mais c'était pour un tout autre bien. Ses doigts arachnéens, précédemment enlacés dans mon boxer, venaient de me libérer de l'entrave de ce dernier, ce qui me décrocha un soupir de soulagement. Je redressai légèrement ma tête, m'appuyant sur mes coudes, puis je fixai Joo Hee qui avait une idée bien précise en tête. Un maigre sourire se dessina sur mes lèvres. Je savais ce qu'elle comptait faire, parce qu'elle était vraiment sadique quand elle s'y mettait. Joo Hee savait comment me dominer et me faire craquer. Je l'aimais et je la détestais pour ça. Je tendis un bras pour dégager ses cheveux de son visage doucereux, puis je plongeai mon regard plein d'envie sur le sien pétillant. Et advienne que pourra, je ne comptais pas m'enfuir...

Ji Hoon était cet homme qui lui offrait une confiance en elle remarquable. Rien que par son regard, il savait la rassurer et elle avait l’impression d’être une de ces fameuses merveilles du monde. Aujourd’hui, elle se sentait tellement stupide de ne pas l’avoir remarqué auparavant au même titre qu’elle se détestait de ne pas avoir compris ses sentiments plus tôt. Ils auraient pu profiter davantage ensemble en tant que couple, bien que ceci ne change pas tellement de choses entre eux. Alors comme pour rattraper le temps, elle avait décidée qu’elle donnera absolument tout ce soir, encore plus que les fois précédentes.

Les baisers de Joo Hee descendaient incroyablement bas et cela ne semblait pas déplaire au jeune homme qui ne s’y opposait en rien. Elle était certaine qu’il savait ce qu’elle avait en tête, non, elle en était tout à fait certaine. A ce moment, il était sûr qu’il préférait crever plutôt que de l’arrêter. Elle se jouait un peu de lui, durant de longues minutes dans le but de le faire languir au maximum. Si elle lui donnait ce qu’il voulait tout de suite, ce ne serai pas drôle non ? Un sourire s’installait sur son visage en l’entendant soupirer alors qu’elle lui ôtait son boxer. Finalement, elle laissait glisse sa langue longuement sur COCO en levant les yeux vers Ji Hoon pour guetter ses réactions puis y déposa de quelques baisers langoureux avant de se lancer dans le vif du sujet en le mettant en bouche. Toujours dans l’optique de le mettre à bout, elle débutait ses vas et viens lentement et doucement, prenant bien le soin de le regarder dans les yeux d’un air coquin.

Il n'y avait que Joo Hee dans mes pensées. Elle occupait chaque partie de mon cerveau étriqué, elle me faisait rêver et elle me faisait sentir vivant. Vivant et aimé. J'avais tellement de chance d'avoir enfin trouvé l'amour de ma vie. Toutes ces années à se voiler la face, à jouer aux meilleurs amis et sexfriends alors qu'en réalité, le couple nous sied le mieux. A y repenser, je me sentais stupide. Fort heureusement, la situation avait bien tourné et désormais, nous nous comprenions et nous nous aimions véritablement. J'avais envie de la couvrir de baisers, de ne jamais quitter ses bras et de lui dire ô combien de fois je ne voulais qu'elle dans ma vie. Sept ans d'ignorance, ça laissait des traces...

Le regard de Joo Hee se fit plus vif. Elle savait ce qu'elle voulait, et elle savait ce qu'elle allait faire. C'était devenu une habitude entre nous, après tout. Le sexe n'avait aucun secret pour nous. Alors, tout naturellement, je la gratifiais d'un nouveau sourire tout en remontant ma main sur le haut de sa tête, tout en tenant ses cheveux. Sa langue me faisait frissonner, et ses lèvres me faisaient vibrer. Mon dieu, j'adorais toujours autant ça. Il y avait des plaisirs simples auxquels je ne pouvais pas résister. Ceci en faisait partie, surtout quand Joo Hee y mettait toute son énergie et toute sa motivation. Mon regard ne quittait pas le sien. Mes joues s'empourpraient au fil des minutes, et mes doigts se resserraient dans ses cheveux doux et fraîchement coupés. Elle était magnifique. Joo Hee m'offrait une vue des plus époustouflantes, et je savourais chaque va-et-vient avec un plaisir non-dissimulé. Quelques soupirs brûlants s'échappaient de ma gorge. J'avais du mal à contenir ce bien-être intérieur qui grandissait en moi. Et puis il n'y avait qu'elle. Il n'y avait qu'elle dans ma tête, dans mon coeur, dans ma vie. Joo Hee était cette femme unique, idéale et parfaite que j'avais toujours attendu dans ma vie. Et maintenant qu'elle était arrivée, je refusais de la laisser partir.

Joo Hee s’appliquait. Elle voulait qu’il se souvienne à tout jamais de cette soirée, leur première nuit en tant que couple. Elle voulait marquer le coup, signifier la différence que cette galipette avait avec toutes les autres et c’était dès les préliminaires que la jeune femme voulait annoncer la couleur. Certaines femmes avait un dégoût certain de cette pratique qu’elles trouvent tout à fait répugnante mais la brune n’est pas de celle-ci. On pourrait même affirmer qu’il s’agisse du contraire. Elle aime énormément faire plaisir à Ji Hoon et tout particulièrement, dans ces moments intimes. Il n’est donc pas rare qu’elle en vienne à ce genre de pratique pour faire le bonheur de son petit ami. Elle voulait lui faire plaisir autant qu’elle l’aime. La brune retient un sourire en l’entendant soupirer de plaisir mais sa joie se laissait clairement lire dans son regard pétillant. Elle le voyait aimer de plus en plus ce qu’elle lui offrait alors elle continuait, s’amusant avec sa bouche puis parfois avec sa langue, intensifiant et accélérant le mouvement en lui jetant quelques regards de temps à autre. Ce jeu dura plusieurs longues minutes avant qu’elle ne s’en lasse. Totalement fière d’elle, elle remontait finalement vers son visage. Caressant longuement son torse nu et musclé puis frottant doucement son bassin contre le sien afin de lui signifier qu’elle n’en avait pas fini avec lui, loin de là.

Un nouveau soupir franchit mes lèvres interdites. Mon esprit s'envolait loin, si loin, que seule Joo Hee était capable de me faire redescendre sur terre. Triste paradoxe, quand on se disait que c'était elle qui me faisait littéralement planer. Je me crispais et me détendais ensuite. Le plaisir qu'elle m'offrait n'était en rien comparable à l'amour qu'elle me vouait. Je savais que je représentais beaucoup pour elle et elle me le rendait bien. Elle me le prouvait bien. Nouveau soupir. Je finis par fermer mes yeux et basculer ma tête en arrière, libérant ses cheveux de mon emprise. Ma main, chaude et moite, retomba sur le côté et dans un ultime soupir bruyant, Joo Hee mit fin à ce délicieux supplice. Je rouvris mes yeux et me rallongeai, reprenant progressivement mon souffle. Puis, je reposai mes mains sur ses hanches avant de la suivre dans ses mouvements de hanches distinctifs. Ca me plaisait encore plus maintenant que j'étais bien échauffé.

La vue que Joo Hee m'offrait me plaisait, mais j'avais tendance à vite me lasser d'un point de vue, alors il n'y eut rien d'étonnant à ce que je reprenne le contrôle de la situation en la faisant basculer sur le lit, grimpant immédiatement sur elle pour la maintenir allongée sur le matelas très confortable. Je lui offris un sourire radieux, mes mains enserrant doucement ses poignets de part et d'autre de son visage illuminé. Je me baissai, le souffle brûlant, dans son cou. Je parsemai sa peau de baisers. Mes caresses s'intensifièrent et une de mes mains s'attarda sur sa poitrine. Elle était à moi... Rien qu'à moi. Je voulais la marquer au fer blanc pour dissuader quiconque de vouloir d'approcher d'elle. Joo Hee était l'amour que j'avais toujours recherché. Mon bassin se frotta davantage contre le sien, signe indiscutable que je commençais à perdre patience. J'avais envie de la faire mienne, de la posséder et de l'aimer comme il se devait. Après un énième baiser sur sa mâchoire, j'enserrai ses cuisses de mes mains expertes, et je levai mon regard sur elle. Patient. Aimant. J'attendais un signal, juste un dont j'étais le seul à connaître, pour grimper encore plus haut de la sphère de l'amour.

Joo Hee savait déjà qu’en arrêtant, qu’elle n’allait pas attendre bien longtemps pour que les rôles soient échangés. Elle le connaissait parfaitement. Et effectivement, Ji Hoon ne tardait pas une seconde avant de prendre le dessus. Elle n’y exprimait d’ailleurs aucune opposition et se laissait faire docilement. Un sourire s’installait même sur ses lèvres alors que son regard rencontrait le sien puis elle le laissait déposer de longs baisers dans son cou. Cela ne lui déplaisait pas, au contraire. Un instant, sa main se perdait dans ses cheveux comme pour l’encourager dans ses actions tandis que la seconde glissait doucement dans son dos nu et musclé. Bien qu’elle connaisse chaque millimètres de son corps et de sa peau, elle se plaisait toujours à le toucher, le détailler, le caresser. C’est une chose dont elle ne se lassera sûrement jamais. Néanmoins, elle commençait à perdre de plus en plus patience. Elle en voulait plus, là maintenant tout de suite. Elle avait l’impression d’attendre depuis des heures et cela devenait littéralement insoutenable. Son corps et son désir étaient devenus brûlant de passion. Alors lorsque Ji Hoon semblait lui demander sa permission, Joo Hee se précipitait sur ses lèvres comme réponse. Une réponse positive, bien sûr. Quelle question !