LAS VEGAS BABY ♦ Kwanrong4ever
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LAS VEGAS BABY ♦ Kwanrong4ever | Lun 28 Sep - 22:02 Citer EditerSupprimer
Offrir un voyage à Las Vegas au nouveau chef du gang qu'il avait pillé dans son enfance. Voilà une drôle d'idée. Heureusement que Shirong savait très bien garder les secrets, aussi son secret était particulièrement bien caché et jamais il n'oserait admettre à Kwang Ho son passé. Après tout, sa tête était mise à prix non ? Mais bon, peut-être pourrait-il se faire pardonner en offrant au coréen, au jeune mafieux, une place dans un avion en première place direction la ville de ses rêves : Las Vegas. L'argent ? De l'argent volé aux femmes, bien entendu... Et surtout, Kwang Ho n'avait rien a payé pour ce voyage, tout était de la poche de l'escroc. Pas mal pour un cadeau, mais n'allez pas croire qu'ils ont une suite de luxe : une chambre avec lit double suffira amplement à ces deux énergumènes.
Kwang Ho, malgré son statut mafieux ou "dangereux" était loin d'être un homme effrayant aux yeux de l'aîné du duo, si bien qu'il prenait un malin plaisir à passer du temps en sa compagnie. C'est aussi après une proposition -voir limite un défis- qu'ils avaient fini par débarquer à Vegas. Cap ou pas cap d'aller à Vegas ? Cap. Les défis, il ne refuse pas. C'est pourquoi ce crétin de Shirong était assis, depuis 24 heures, sur ce tabouret, devant une machine à sous, les yeux vitreux de fatigue, incapable de dire désormais s'il fait jour ou nuit. Dormir ? JAMAIS. Vegas, c'est la ville ou on ne dort jamais, d'ailleurs, cela faisait bien la 256ème fois qu'il tirait sur le levier en attendant de voir le Jackpot lui annoncer sa richesse imminente. Si ça continue, je vais sur la machine d'a côté, grommelle t-il à Kwang Ho qui vient d'apparaître dans son champ de vision. Ça va comme tu veux ? dit-il d'un ton las, presque désespéré.... Jusqu'à ce qu'un tintement retentisse rendant ses yeux globuleux fixant désormais cette fichue machine,.. SURPRISE MOTHERFUCKER.
Kwang Ho, malgré son statut mafieux ou "dangereux" était loin d'être un homme effrayant aux yeux de l'aîné du duo, si bien qu'il prenait un malin plaisir à passer du temps en sa compagnie. C'est aussi après une proposition -voir limite un défis- qu'ils avaient fini par débarquer à Vegas. Cap ou pas cap d'aller à Vegas ? Cap. Les défis, il ne refuse pas. C'est pourquoi ce crétin de Shirong était assis, depuis 24 heures, sur ce tabouret, devant une machine à sous, les yeux vitreux de fatigue, incapable de dire désormais s'il fait jour ou nuit. Dormir ? JAMAIS. Vegas, c'est la ville ou on ne dort jamais, d'ailleurs, cela faisait bien la 256ème fois qu'il tirait sur le levier en attendant de voir le Jackpot lui annoncer sa richesse imminente. Si ça continue, je vais sur la machine d'a côté, grommelle t-il à Kwang Ho qui vient d'apparaître dans son champ de vision. Ça va comme tu veux ? dit-il d'un ton las, presque désespéré.... Jusqu'à ce qu'un tintement retentisse rendant ses yeux globuleux fixant désormais cette fichue machine,.. SURPRISE MOTHERFUCKER.
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Re: LAS VEGAS BABY ♦ Kwanrong4ever | Mar 6 Oct - 0:05 Citer EditerSupprimer
Il serait assez grossier de ma part de dire que j’étais assez dubitatif quant à cette virée à Las Vegas. Voyage offert, cours ratés -sans la moindre culpabilité, soyons deux minutes honnête-, c’est d’un œil septique que j’observais mon aîné du coin de l’œil durant la moitié du trajet en direction des States. j’étais grossier, mais ça n’était une surprise pour quiconque, et de plus, dubitatif par cette proposition des plus étranges. Wu Shirong était de ceux...ehrm…à vrai dire, j’avoue avec une certaine honte, que j’n’arrivais vraiment pas à le cerner. D’abord ce voyage, puis le partage d’un lit. Pas que dormir aux côtés d’un gars me déplaisais plus que cela, pourtant, il ne semble pas assez me respecter en tant que "chef de gang" pour me permettre de baisser ma garde, comme si l’étiquette, monstre, collé sur mon front depuis tant d’années lui était invisible.
C’est ainsi que, jambes croisées, dos et coudes appuyés contre le comptoir, un sourire charmeur fendait mes lèvres devant les quelques donzelles m’entourant, envieuses, sans doutes de s’taper un étranger. Un Coréen, de surcroit. J’ai l’air d’une idole de K-pop ou comment ça s’passe ?! Concentrant davantage ma vue sur leurs corps sublimes, glissant peu à peu sur mon poto de vacances, je perdais goûts à ses femelles, tout autant qu’envers leurs attouchements incessants. Une claque sèche et vive sur la main d’une d’entre elles avant que je ne vienne tenir compagnie à l’autre Wonsungi aux cernes aussi noires que celles d’un panda. « Si ça continue, je vais sur la machine d'a côté ». Pauvre chaton. Un rire gras m’échappe avant que je ne pose mes mains sur ses épaules « Cherche pas, t’as la chkoumoune en toi, vieux ! T’as mal baisé une sorcière qui t’as lancé un truc vaudou ou j’sais pas quoi, t’as vu ! ». Joignant le geste à la parole, j’agite mes doigts tout en louchant « Ça va comme tu veux ? ». J’bois, fume, et, l’instant précédent, une nana m’a foutu une main là où ça fait du bien, pourquoi ça n’irait pas ? « Les femmes sont des cochonnes, ici ! Muy Caliente. Elles ont jamais vu un Coréen dans leur vie ou quoi ? Ah, et j’ai joué 5€, gagné 30….et j’viens de tout perdre ». Tch. ô désespoir face à ma malchance plus qu’évidente aux jeux de casino jusqu’à ce que, pour m’enfoncer d’autant plus, un tintement provenant de la machine de l’autre ne vienne crier à m’en arracher les tympans « Euuuuuh……..WHAT ! Pourquoi toi tu gagne et moi nan ? Wesh ! »
C’est ainsi que, jambes croisées, dos et coudes appuyés contre le comptoir, un sourire charmeur fendait mes lèvres devant les quelques donzelles m’entourant, envieuses, sans doutes de s’taper un étranger. Un Coréen, de surcroit. J’ai l’air d’une idole de K-pop ou comment ça s’passe ?! Concentrant davantage ma vue sur leurs corps sublimes, glissant peu à peu sur mon poto de vacances, je perdais goûts à ses femelles, tout autant qu’envers leurs attouchements incessants. Une claque sèche et vive sur la main d’une d’entre elles avant que je ne vienne tenir compagnie à l’autre Wonsungi aux cernes aussi noires que celles d’un panda. « Si ça continue, je vais sur la machine d'a côté ». Pauvre chaton. Un rire gras m’échappe avant que je ne pose mes mains sur ses épaules « Cherche pas, t’as la chkoumoune en toi, vieux ! T’as mal baisé une sorcière qui t’as lancé un truc vaudou ou j’sais pas quoi, t’as vu ! ». Joignant le geste à la parole, j’agite mes doigts tout en louchant « Ça va comme tu veux ? ». J’bois, fume, et, l’instant précédent, une nana m’a foutu une main là où ça fait du bien, pourquoi ça n’irait pas ? « Les femmes sont des cochonnes, ici ! Muy Caliente. Elles ont jamais vu un Coréen dans leur vie ou quoi ? Ah, et j’ai joué 5€, gagné 30….et j’viens de tout perdre ». Tch. ô désespoir face à ma malchance plus qu’évidente aux jeux de casino jusqu’à ce que, pour m’enfoncer d’autant plus, un tintement provenant de la machine de l’autre ne vienne crier à m’en arracher les tympans « Euuuuuh……..WHAT ! Pourquoi toi tu gagne et moi nan ? Wesh ! »
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Re: LAS VEGAS BABY ♦ Kwanrong4ever | Lun 19 Oct - 20:32 Citer EditerSupprimer
27 ans. 27 ans, c'est 5 ans de plus que 22 ans, l'âge de Kwang Ho,... Et en 5 ans, tellement de choses ont évoluées que par moment, Shirong se sent vieux.... Si vieux qu'il se courbe sur sa chaise, un frisson parcourant son échine. Ce qui le choque toujours autant chez Kwang Ho ? Outre le fait que type soit complètement bizarre, c'est principalement son langage. Avec le temps et la patience, l'aîné avait réussi à passer outre avec deux solutions : comprendre ou prétendre. Plus question de demander le sens, au risque de passer pour un papy.
Solution ? Faire comme si tout allait bien, hocher la tête positivement et digne de Perceval, répondre convaincu : « C'est pas faux. » après tout, si les paroles étaient incompréhensible avec ces expressions sorties du trou du cul du monde, Kwang Ho à la décence de faire des gestes parfois pouvant être très mal interprété, comme à l'instant, si bien que, malgré son attitude de mec cool, Shirong n'a pas l'air bien rassuré en le fixant. Quand on parle de Vaudou, en général, lui il pense à In Ha et son groupe, pas à une sorcière étrange. Néanmoins il rigole à la remarque de son acolyte, quoique, quelque peu déçu de voir ce dernier dépenser si peu d'argent. 5 petits euros dans un casino de Vegas ? For Real?
Shirong entre-ouvre la bouche, mais se fait couper par cette fichue machine qui lui annonce une belle cagnotte bien supérieur à ce qu'il osait espérer et énormément plus imposante que les misérables 5 euros de Kwang Ho. Entre étonnement, surprise, incapacité de réagir, il se voit désormais submergé de remarques et accosté par de nombreuses donzelles en chaleur. « Keep it cool, ladies ! » Son anglais est immonde, mais il faut bien gérer la situation à cet instant précis... Tentant malgré lui de parler à Kwang Ho malgré le brouhaha ambiant, Shirong décide alors une autre solution : hurler en coréen pour couvrir le bruit ambiant soudain qui le berçait précédemment. « Tu m'étonnes qu'elles sont cochonne. Il parait qu'ils filment des films plutôt X dans certaines suites de certains hôtels... ! Hé !!! » Il pousse une exclamation à l'instant ou une paire de nibards (ou plutôt un très très beau décolleté) viennent se poser entre son acolyte et lui, faisant entrouvrir la bouche un instant de Shirong. Un instant plus tard, il reprend ses esprits, pose sa main sur ses fesses pour la faire reculer... Mais surtout... surtout pour l'éloigner du butin ! « Kwang Ho ! » reprend il en hurlant comme un demeuré. « Chope notre butin. Je sens que la moule ici n'est pas fraîche, et surtout... » Il fait une grimace à l'instant ou elle s'assoit sur ses genoux, le faisant aussitôt regretté d'avoir mis une main sur ce fessier. « Très intéressée ! »
Solution ? Faire comme si tout allait bien, hocher la tête positivement et digne de Perceval, répondre convaincu : « C'est pas faux. » après tout, si les paroles étaient incompréhensible avec ces expressions sorties du trou du cul du monde, Kwang Ho à la décence de faire des gestes parfois pouvant être très mal interprété, comme à l'instant, si bien que, malgré son attitude de mec cool, Shirong n'a pas l'air bien rassuré en le fixant. Quand on parle de Vaudou, en général, lui il pense à In Ha et son groupe, pas à une sorcière étrange. Néanmoins il rigole à la remarque de son acolyte, quoique, quelque peu déçu de voir ce dernier dépenser si peu d'argent. 5 petits euros dans un casino de Vegas ? For Real?
Shirong entre-ouvre la bouche, mais se fait couper par cette fichue machine qui lui annonce une belle cagnotte bien supérieur à ce qu'il osait espérer et énormément plus imposante que les misérables 5 euros de Kwang Ho. Entre étonnement, surprise, incapacité de réagir, il se voit désormais submergé de remarques et accosté par de nombreuses donzelles en chaleur. « Keep it cool, ladies ! » Son anglais est immonde, mais il faut bien gérer la situation à cet instant précis... Tentant malgré lui de parler à Kwang Ho malgré le brouhaha ambiant, Shirong décide alors une autre solution : hurler en coréen pour couvrir le bruit ambiant soudain qui le berçait précédemment. « Tu m'étonnes qu'elles sont cochonne. Il parait qu'ils filment des films plutôt X dans certaines suites de certains hôtels... ! Hé !!! » Il pousse une exclamation à l'instant ou une paire de nibards (ou plutôt un très très beau décolleté) viennent se poser entre son acolyte et lui, faisant entrouvrir la bouche un instant de Shirong. Un instant plus tard, il reprend ses esprits, pose sa main sur ses fesses pour la faire reculer... Mais surtout... surtout pour l'éloigner du butin ! « Kwang Ho ! » reprend il en hurlant comme un demeuré. « Chope notre butin. Je sens que la moule ici n'est pas fraîche, et surtout... » Il fait une grimace à l'instant ou elle s'assoit sur ses genoux, le faisant aussitôt regretté d'avoir mis une main sur ce fessier. « Très intéressée ! »
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Re: LAS VEGAS BABY ♦ Kwanrong4ever | Dim 25 Oct - 2:10 Citer EditerSupprimer
Shirong est vieux ! L’aîné de nous deux et pas toujours à même de comprendre ce que j’pouvais dire mais avec le temps, et bien, on fait avec. Faut dire qu’à part, ma paranoïa légendaire pour ses propositions douteuses comme m’offrir ce voyage à Vegas, il était plutôt cool comme gars. Un papy gâteau, j’dirais non sans un rire narquois. Et, putain comme j’aurais aimé l’avoir comme papy, le mec ! Seriously ! Nan parce qu’mon sale con de grand-père m’aurait jamais envoyé à Las Vegas pour m’éclater sans contrepartie ! Tch. L’argent, les belles Américaines et…sa machine qui gueule. Encore heureux que j’ai pu apprendre couramment l’Anglais sinon, j’aurais rien pigés aux propos plus que douteux de ces cruches venant se dandiner sous le regard de mon papy.
« Ah ouai ?! Rah putain, j’veux qu’on ramène une Américaine avec nous ! Je veux qu’on en ramène une et… », J’arque un sourcil devant la guenon qui vient se loger entre lui et moi, me coupant de ce fait dans l’élan de ma phrase, pour venir assoir son gros cul sur les cuisses du vieux. Aya ! Pour une fois que j’allais dire un truc censé ! « Wesh, gros tas ! Dégage de ses jambes ! T’as entendu, la vache ?! Bouge de dessus de mon Shirongui ! », gueulais-je dans un anglais parfait, à l’encontre de la dinde qui, quelques minutes plutôt, venait nous déranger et dans un élan d’obéissance, je pousse les gens pour choper ce qui nous revient de droit. M’enfin, ce qui lui appartient. Mais, il m’a invité donc, par déduction, ce qui est à lui, est à moi. C’est comme le mariage, c’tte connerie là. Puis, j’suis the King, bordel ! Et, j’ai envie de faire frouti-frouta, moi !
« Bouge ton cul, papy ou j’me casse avec tout ça ! ». L’observant un instant, toujours en train de tenter de se débarrasser de l’autre gourdasse, je m’approche lentement pour venir lui rouler une galoche et un rire sardonique m’échappe lorsque qu’elle s’éloigne, écœurée « Bah voilà, c’pas si dur de les faire fuir, Shirou ». De plus, le mec a eu l’droit au patin d’sa life, c’est un honneur que j’lui fais !
« Ah ouai ?! Rah putain, j’veux qu’on ramène une Américaine avec nous ! Je veux qu’on en ramène une et… », J’arque un sourcil devant la guenon qui vient se loger entre lui et moi, me coupant de ce fait dans l’élan de ma phrase, pour venir assoir son gros cul sur les cuisses du vieux. Aya ! Pour une fois que j’allais dire un truc censé ! « Wesh, gros tas ! Dégage de ses jambes ! T’as entendu, la vache ?! Bouge de dessus de mon Shirongui ! », gueulais-je dans un anglais parfait, à l’encontre de la dinde qui, quelques minutes plutôt, venait nous déranger et dans un élan d’obéissance, je pousse les gens pour choper ce qui nous revient de droit. M’enfin, ce qui lui appartient. Mais, il m’a invité donc, par déduction, ce qui est à lui, est à moi. C’est comme le mariage, c’tte connerie là. Puis, j’suis the King, bordel ! Et, j’ai envie de faire frouti-frouta, moi !
« Bouge ton cul, papy ou j’me casse avec tout ça ! ». L’observant un instant, toujours en train de tenter de se débarrasser de l’autre gourdasse, je m’approche lentement pour venir lui rouler une galoche et un rire sardonique m’échappe lorsque qu’elle s’éloigne, écœurée « Bah voilà, c’pas si dur de les faire fuir, Shirou ». De plus, le mec a eu l’droit au patin d’sa life, c’est un honneur que j’lui fais !
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Re: LAS VEGAS BABY ♦ Kwanrong4ever | Mar 3 Nov - 21:10 Citer EditerSupprimer
Kwang Ho dans un magasin de jouet à grandeur humaine ? C'est limite le cas quand il déclare vouloir ramener une américaine en Corée du Sud, quoique l'idée n'est pas la meilleur qui soit. Shirong a un peu peur des étrangères pour être honnête car elles ne sont pas aussi docile qu'il le souhaiterait. Scandale criez-vous ? C'est juste un mâle dominant lorsqu'il ne fuit pas les conflits.
Et puis voilà, le jour et la nuit. Le coréen enjoué qui tout à coup aboie un truc en anglais qu'il ne comprend pas car Shirong et l'anglais, ça fait 30. Agacé, il se titille l'anus sur sa chaise, observant Kwang Ho obéir sans se faire prier. Comme quoi, quand il est question d'argent on reconnait les amis hein ! Il a presque envie de grimacer, outré, quoiqu'il aurait fait la même, mais tout de même. L'inviter à bouger son cul le papy au risque de le voir partir avec son argent. Rectification. Leurs argent. Alors qu'il continue de se débattre, non seulement pour se débarrasser de Paris Millestonnes, mais aussi pour courir après Kwang Ho qui est prêt à partir avec le butin, il se contente d'ouvrir la bouche prêt à ronchonner avant que quelqu'un saisisse son visage pour fourer sa langue dans sa bouche. WHAT? Même avec les yeux grands ouverts, il n'arrive pas à croire ce qu'il voit. Son "protégé" lui voler ce baiser. SI ON PEUT APPELER CA UN BAISER EN PLUS ! Au fond de sa tête, la musique de smallville retenti. Somebody saaaaaaaaaaaaave meeeeee. Et puis, il est lâché, libéré, d'un poid et d'un baiser, ignorant totalement la réflexion de son acolyte qui vient de violer son honneur. Tu viens de me faire passer pour ton mec ? Ses yeux grands ouverts fixant le vide laisse croire que le type est heureux de sa victoire, mais non. en fait il semble perdu, abasourdi, noyé dans ses pensées qui se bousculent. Tu te rend compte qu'on ramènera jamais d'américaine avec ça mon pote ? Il sait que Kwang Ho est heureux du gain mais tout de même l'embrasser ocmme ça un peu de retenu ?
Une nouvelle fois, alors qu'il lève son fessier et se met en marche avec un peu d'argent dans sa main, il s'arrête, ouvre grand la bouche 5 secondes sans qu'un mot ne sorte et puis... Comment on peut prouver que cet argent est nous légalement? Genre pour toujours, pas qu'à Vegas. Genre partager ça à vie. Sa tête pivote au ralenti, limite un mec possédé pour fixer le plus jeune avant d’acquiescer convaincu de cette idée qu'il n'exprime pas. Allons fêter ça au bar ! Et sans attendre, il part direction du bar, sachant pertinemment que son acolyte n'est jamais contre une virée avec des cocktails à disposition.
Et puis voilà, le jour et la nuit. Le coréen enjoué qui tout à coup aboie un truc en anglais qu'il ne comprend pas car Shirong et l'anglais, ça fait 30. Agacé, il se titille l'anus sur sa chaise, observant Kwang Ho obéir sans se faire prier. Comme quoi, quand il est question d'argent on reconnait les amis hein ! Il a presque envie de grimacer, outré, quoiqu'il aurait fait la même, mais tout de même. L'inviter à bouger son cul le papy au risque de le voir partir avec son argent. Rectification. Leurs argent. Alors qu'il continue de se débattre, non seulement pour se débarrasser de Paris Millestonnes, mais aussi pour courir après Kwang Ho qui est prêt à partir avec le butin, il se contente d'ouvrir la bouche prêt à ronchonner avant que quelqu'un saisisse son visage pour fourer sa langue dans sa bouche. WHAT? Même avec les yeux grands ouverts, il n'arrive pas à croire ce qu'il voit. Son "protégé" lui voler ce baiser. SI ON PEUT APPELER CA UN BAISER EN PLUS ! Au fond de sa tête, la musique de smallville retenti. Somebody saaaaaaaaaaaaave meeeeee. Et puis, il est lâché, libéré, d'un poid et d'un baiser, ignorant totalement la réflexion de son acolyte qui vient de violer son honneur. Tu viens de me faire passer pour ton mec ? Ses yeux grands ouverts fixant le vide laisse croire que le type est heureux de sa victoire, mais non. en fait il semble perdu, abasourdi, noyé dans ses pensées qui se bousculent. Tu te rend compte qu'on ramènera jamais d'américaine avec ça mon pote ? Il sait que Kwang Ho est heureux du gain mais tout de même l'embrasser ocmme ça un peu de retenu ?
Une nouvelle fois, alors qu'il lève son fessier et se met en marche avec un peu d'argent dans sa main, il s'arrête, ouvre grand la bouche 5 secondes sans qu'un mot ne sorte et puis... Comment on peut prouver que cet argent est nous légalement? Genre pour toujours, pas qu'à Vegas. Genre partager ça à vie. Sa tête pivote au ralenti, limite un mec possédé pour fixer le plus jeune avant d’acquiescer convaincu de cette idée qu'il n'exprime pas. Allons fêter ça au bar ! Et sans attendre, il part direction du bar, sachant pertinemment que son acolyte n'est jamais contre une virée avec des cocktails à disposition.
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Re: LAS VEGAS BABY ♦ Kwanrong4ever | Mar 17 Nov - 20:17 Citer EditerSupprimer
C’est son regard mi-outré, mi-choqué, lorsque je détache ma langue de la sienne, qu’il m’apparaît comme évident que lui rouler une galoche était l’une des meilleures décisions d’ma vie ! Premier baiser échangé entre lui et moi, m’enfin, disons avec plus de précisions, qu’il s’agissait là, de la première fois durant laquelle, je tentais les fossiles. Pour certains, embrasser des vieux est un fantasme –Et j’continue à croire que c’est l’cas de Perceval et ses histoires de merdes avec des viocs. Ils frétillent et vibrent rien qu’à l’effleurement de cette pensée, et bien que ceci ne soit pas mon cas, tout au contraire, je n’aurais pu, pour rien au monde, ne pas tenter de fourrer ma langue dans la bouche de mon aîné.
Et, c’est d’un tel comique, qu’un rire gras m’échappe tandis qu’il ne cessait de m’observer de cet air ahuri que j’affectionnais tant. J’en aurais presque pu lui mettre la main au cul, tiens. Huhuh. « Te faire passer pour mon mec, te faire passer pour mon mec », répétais-je, roulant des yeux avant de poursuivre, un rictus aux lèvres « Et alors ? Ne soit pas si choqué, baby, c’était pour la bonne cause ». Pourtant, j’arque un sourcil quand ce con m’annonce qu’on pourra pas ramener de gonzesses. Hmpfs. Loin de moi l’idée de penser les Américaines cochonnes –enfin, si- mais les films gays dans l’genre de pride et la cage aux folles ont percutés le succès, de fait, j’pense pas que la majorité refusera une partie d’baise avec deux pseudo-gays. « Faut pas exagérer, mec ! Selon des statistiques, beaucoup de meufs regardent des pornos gays ». C’est d’un ton professionnellement fin, que j’affirme sans hésitations ceci, sans pour autant, détenir de réelles preuves sur la question. J’aime les maths et les femmes –les mecs aussi, d’ailleurs-, ça suffit à faire de moi, un expert en la matière pour déterminer c’genre de chose. Mecs ou meufs, j’ai toujours eu du succès. Serial lover mais célibatard dans l’âme, j’suis le genre brun distant et froid auquel, toutes les meufs craques dans ces séries niaiseuses. Arrogant, moi ? Si peu.
M’enfin, ceci n’était pas important dans l’instant. L’important, c’était de trouver une idée, réponse à ce que l’vieux m’avait demandé. Comment l’dépenser ? « Putes et alcool ? ». Il semblait comme l’exorciste, au mieux, la gueule de Godzilla avec ses yeux écarquillés comme des poissons. « Arrête d’me fixer comme ça, mec ! ». Avant de suivre le mot bar, prononcé par le gueux. « ON VA BOIRE ? PUTAIN ! ». C’est tout en gueulant comme un demeuré que j’le devance pour m’assoir au comptoir, réclamant au barman, deux verres du whisky le plus cher qu’il pouvait avoir « Levons nos verres, mon cher fossile ! A notre richesse ! Aux putes ! A l’alcool ! Et….et je sais pas » Avant de porter le liquide à mes lèvres, buvant cul sec.
Et, c’est d’un tel comique, qu’un rire gras m’échappe tandis qu’il ne cessait de m’observer de cet air ahuri que j’affectionnais tant. J’en aurais presque pu lui mettre la main au cul, tiens. Huhuh. « Te faire passer pour mon mec, te faire passer pour mon mec », répétais-je, roulant des yeux avant de poursuivre, un rictus aux lèvres « Et alors ? Ne soit pas si choqué, baby, c’était pour la bonne cause ». Pourtant, j’arque un sourcil quand ce con m’annonce qu’on pourra pas ramener de gonzesses. Hmpfs. Loin de moi l’idée de penser les Américaines cochonnes –enfin, si- mais les films gays dans l’genre de pride et la cage aux folles ont percutés le succès, de fait, j’pense pas que la majorité refusera une partie d’baise avec deux pseudo-gays. « Faut pas exagérer, mec ! Selon des statistiques, beaucoup de meufs regardent des pornos gays ». C’est d’un ton professionnellement fin, que j’affirme sans hésitations ceci, sans pour autant, détenir de réelles preuves sur la question. J’aime les maths et les femmes –les mecs aussi, d’ailleurs-, ça suffit à faire de moi, un expert en la matière pour déterminer c’genre de chose. Mecs ou meufs, j’ai toujours eu du succès. Serial lover mais célibatard dans l’âme, j’suis le genre brun distant et froid auquel, toutes les meufs craques dans ces séries niaiseuses. Arrogant, moi ? Si peu.
M’enfin, ceci n’était pas important dans l’instant. L’important, c’était de trouver une idée, réponse à ce que l’vieux m’avait demandé. Comment l’dépenser ? « Putes et alcool ? ». Il semblait comme l’exorciste, au mieux, la gueule de Godzilla avec ses yeux écarquillés comme des poissons. « Arrête d’me fixer comme ça, mec ! ». Avant de suivre le mot bar, prononcé par le gueux. « ON VA BOIRE ? PUTAIN ! ». C’est tout en gueulant comme un demeuré que j’le devance pour m’assoir au comptoir, réclamant au barman, deux verres du whisky le plus cher qu’il pouvait avoir « Levons nos verres, mon cher fossile ! A notre richesse ! Aux putes ! A l’alcool ! Et….et je sais pas » Avant de porter le liquide à mes lèvres, buvant cul sec.
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