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T'es partout, ma parole. - Lena

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T'es partout, ma parole. - Lena | Dim 11 Oct - 2:42
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Assis au bar, je buvais une bière à même la bouteille, observant la foule qui s’exhibait dans le bar. Je mentirais si je disais que je m’amusais. Je n’avais pas encore trouvé de nouveau jouet avec lequel m’amuser. Aucun n’était digne de mon intérêt. Un peu déçu, j’étais accoudé au bar, ne trouvant rien de mieux que de me souler. Noriko avait une répétition avec son groupe ce soir. Ami m’avait envoyé balader sec et je n’avais pas discuté, bien que je fusse curieux de savoir ce qu’elle avait bien pu avoir de prévu pour m’envoyer voir ailleurs. Etre rembarré par sa propre meilleure amie…. Quelle honte ! Et quant à Kelea, elle était en soirée en le frangin. Je me retrouvais donc seul, personne avec qui jouer. Achevant ma bière d’une traite, la reposant sur le bar d’un geste brusque, j’étais prêt à partir à la chasse. Avec un peu de chance, je tomberais sur une proie intéressante. Il ne me fallut pas longtemps pour apercevoir une jeune femme me faire du rentre dedans assez ouvertement. Je n’étais en généralement pas attiré par ce genre de femmes, mais il me fallait du neuf. Du nouveau de temps en temps ne faisait pas de mal, et puis c’était toujours mieux que rien. Je répondis à son sourire, jouant les mecs conquis. Elle approchait de moi d’elle-même alors que je pénétrais sur la piste de danse. Je soupirais intérieurement. C’était trop facile. Aucun défi à relever. Sincèrement, ca ne m’amusait pas. A défaut, elle allait me divertir le temps de quelque heure dans sa voiture, l’arrière-boutique, les toilettes ou la ruelle sombre… Qu’importe. Je prenais et je jetais. Alors l’endroit m’importait peu. Elle se mit à se déhancher tout contre moi sans aucune retenue, passant une main dans ses cheveux, collant son bassin contre moi. Je faillis éclater de rire, mais je la laissais faire. Je passais une main autour de sa taille, l’encourageant à faire mieux que ca alors que je me mettais à bouger sur la musique. Elle se tournait soudain pour etre dos à moi, se mettant à remuer du popotin, descendant jusqu’au sol avant de remonter lentement pour que je sente bien la moindre passerelle de son corps qui me touchait. Ok. J’étais un mec. Et par la même occasion, je n’étais pas indiffèrent à ce qu’elle me faisait là. Mais sincèrement, si je voulais une pute, j’irais juste m’en payer une vous ne croyez pas ? S’il y avait bien quelque chose que je détestais, c’était les filles faciles. Elles étaient bonnes qu’à baiser, et indigne de mon intérêt. Je dansais distraitement, cherchant déjà une nouvelle proie quand elle susurrait à mon oreille qu’elle aimerait que l’on discute dans un endroit plus calme. Déjà, elle me tirait par la main à travers la foule. Ce fut plus rapide que je le pensais. Tant mieux, je n’aurais pas à supporter ses jérémiades plus longtemps. A cet instant, la seule chose qui me traversait l’esprit était de me demander quel lieu elle allait choisir. Rapidement, je reconnus la porte des toilettes. Quelle classe ! Je soupirais presque exaspéré. Je n’avais aucune envie sentir la pisse ce soir, surtout qu’on était qu’en début de soirée. Je lui proposais plutôt l’arrière-boutique, et elle en fut ravie, gênée de ne pas y avoir pensé elle-même. Je pénétrais dans la pièce, jetant un œil derrière nous pour être certain de ne pas être suivi.


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Re: T'es partout, ma parole. - Lena | Jeu 15 Oct - 16:19
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+Tenue Une clope au bec je discutais à l'extérieur avec un mec que je venais à peine de rencontrer. Il m'avait offert un sourire, un verre et enfin une belle proposition. Ses mots étaient doux et prometteurs à mes oreilles. J'étais vraiment du genre à rentrer avec lui ce soir s'il se montrait entreprenant. Ses mains baladeuses n'en finissaient pas de me caresser. Il avait l'art et la manière. Il avait commencé par mon dos et chemin faisant ses mains étaient pressées contre mes fesses. Ça ne me gênait aucunement et me laissant faire, un petit sourire satisfait ornait mes lèvres tandis qu'il n'en finissait pas de me complimenter. L'argument facile. Le petit quelque chose qui lui assurait toute mon attention. Il savait y faire, aucun doute là dessus. Mes mains posées contre ses épaules, enlaçant parfois son cou quand nos lèvres s’effleuraient quand la tentation était trop forte, je commençais à me perdre dans ses yeux. Et pourtant. Même si la soirée avait bien commencé, un visage qui me semblait familier venait tout bonnement de me sortir de ce moment agréable. Penchant la tête sur le côté en n'écoutant plus qu'à moitié mon bel inconnu, je fronçais légèrement les sourcils en mettant un nom sur ce visage. NAKAMURA KAZUYA. Mordant ma lèvre alors que mon passé refaisait surface comme un tsunami ô combien dévastateur, mon cœur se serra dans ma poitrine tellement fort que je ne pu empêcher un couinement de forcer le barrage de mes lèvres. Inquiet, le bel apollon me posa quelques questions auxquelles je n'avais pas vraiment envie de répondre. Qu'est ce que j'avais ? Juste un pincement au cœur..

Prétextant une envie pressante, je laissais là ce bel homme qui semblait déçu.. mais pas assez pour ne pas offrir un sourire à la première femme qui passait par là. Haussant un sourcil en le voyant manœuvrer la belle avec une facilité déconcertante, je soupirais et m'en allais retrouver le trouble fait qui m'avait fait manquer une belle occasion. Décidément, moi qui croyais que tout était terminé. J'étais pourtant assez idiote pour me sentir obligée de le confronter. Je le suivais comme incapable de rester dans mon coin en l'ignorant tout simplement. Curieuse de savoir ce qu'il faisait avec la petite pimbêche qui ne se gênait pas pour l'emmener dans un endroit plus tranquille, je restais pourtant assez discrète pour qu'il ne me regarde pas. Une fois qu'il eu passé la porte, un choix s'offrait à moi. Aller boire ou le suivre. Peut être que pour une fois la solution vodka et gueule de bois n'était pas une si mauvaise idée pourtant mon corps en avait décidé autrement. Passant à mon tour la porte, je n'étais plus vraiment discrète alors que plus un son n'était audible. Mes talons claquaient et mes breloques tintaient comme des petites clochettes. Les mains sur mes hanches, un air de défi dans les yeux. « Tiens.. je savais bien que je connaissais cette tête. » Jugeant d'un air sévère voir carrément hautain la pimbêche qui croyait avoir une chance avec lui, je pouffais de rire. «T'es sérieux ? T'as pas trouvé mieux que ce thon là .. » Une main sur mes lèvres, je ne retenais plus mon sale caractère. J'étais une garce comme on en faisait plus. « Excuse moi ma chérie mais .. vraiment tu t'es sapé comme un sac. Et t’appelles ça se maquiller ? Tu sais Halloween c'est pas pour tout de suite encore, t'as le temps ! »




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Re: T'es partout, ma parole. - Lena | Lun 19 Oct - 19:38
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Elle me poussa contre le mur du fond à peine entrée dans la pièce, faisant tomber des boites vides au passage, pour finir par se jeter sur moi pour un baiser tout feu tout flamme. C’était qu’elle avait des tendances nympho la petite. Je souris, presque amusé. Je dis bien presque parce que je m’ennuis déjà. Une fille qui se laissait faire aussi facilement, ca n’avait aucun intérêt. J’avais déjà démontré plus d’une fois mes préférences pour les femmes à forte tête, qui cède difficilement, qui n’ont pas peur de me tenir tête. La jeune femme qui me tripotait de haut en bas n’avait rien de tout cela. Elle voulait juste baiser, et je ne pourrais même pas la voir pleurer quand je la jetterais après avoir tiré mon coup, vu que c’était aussi ce qu’elle désirait. Vraiment aucun intérêt. J’avais voulu lui laissé une chance, mais elle l’avait loupé. La seule récompense que je pouvais en tirer, c’était de la peloter comme bon me semblait sans que ca passe pour un viol. Elle n’y allait pas de main morte. Elle était déjà entrain d’enlever mon t-shirt quand des pas à talons se firent entendre derrière nous. Elle ne s’arrêta pas pour autant, jetant mon habit sur le sol crasseux, un sourire victorieux sur les lèvres, les yeux pétillant devant ce qu’elle découvrait de mon torse. Bien que flatter, je jetais un regard par-dessus son épaule quand une voix familière nous interpelait. Lena. Je faillis éclater de rire, mais je me retins, pensant que ca pouvait être mal placé. Notez que je faisais preuve de retenue, en temps normal, je ne me serais pas gênée. « je me demandais combien de temps tu allais mettre avant de débarquer. Je ne peux décidemment pas être tranquille une soirée sans que tu me colles au cul ! » Déclarais-je sur le même ton qu’elle alors que j’avais envie de rire. « Tu ne vois pas que tu déranges ? » lançais-je d’un coup, plus sérieux. La pouffe que j’étais près à me taper quelques minutes auparavant, pris une posture plus fière en l’entende de mes mots, prenant de l’assurance, convaincu que je voulais dégager la sango. Comme si j'allais faire bouger mon ex. Si je la laissais me parler de la sorte, c'était que je tenais un minimum à elle, sinon je l'aurais déjà gifler depuis longtemps. Alors à quoi pensait cette greluche ? que j'allais la passer devant une femme qui avait partagé un beau de ma vie ? Jamais. « Tu ne m’entends pas quand je te parles ? » Restant immobile, fixant Lena, elle n’avait pas l’air de vouloir partir. « Tu dégages, putain ? » finis-je par lui hurler dans les oreilles, la poussant violemment vers la sortir. Elle me fixait de ses grands yeux effarés, comme si elle avait été trahit. Là, elle commençait à avoir un peu d’intérêt à mon égard. Mais c’était trop tard. Elle partit en nous insultant, me lançant un doigt d’honneur par la porte avant de partir. « Bon débarras. » soupirais-je en ramassant ma chemise que je secouais, fronçant les sourcils, me demandant si je la remettais ou non avec cette crasse collant apres.

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Re: T'es partout, ma parole. - Lena | Ven 23 Oct - 16:54
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+Tenue « je me demandais combien de temps tu allais mettre avant de débarquer. Je ne peux décidément pas être tranquille une soirée sans que tu me colles au cul ! » Un sourire amusé étirait mes lèvres alors que je décidais de ne pas répondre, préférant garder la pose. Jugeant d'un œil sévère cette pimbêche qui prenait de l'assurance, je n'étais pas le moins du monde anxieuse quant à l'issue de ce petit jeu. Je connaissais bien Kazuya pour savoir qu'il n'allait pas me jeter. Elle part contre n'avait pas cette chance. Levant une main vers mon visage pour observer ma manucure comme si je n'en avais absolument rien à faire de ce qui se passait devant moi, je sursautais en entendant le japonais s'exciter. « Tu dégages, putain ? »  Le regard que cette pouffe lui jeta m’emplis d'une certaine fierté car j'avais gagné haut la main. Agitant mes petits doigts comme pour ajouter un peu plus d'huile sur le feu, je faisais une petite moue d'enfant. « Bye bye.. » Ajoutant un petit « looser » alors qu'elle me tournait le dos, je passais une main dans mes cheveux. Décidément, quand on se retrouvait ensemble, on ne pouvait plus cacher notre vraie nature. « Bon débarras. » Les insultes qu'elle nous jeta glissèrent sur moi tandis que je m'approchais d'un pas décidé vers Kazuya. Ramassant sa chemise, il la secoua devant moi et j'émis un mouvement de recul, la main en avant, un air de dégoût sur le visage. Il était sérieux. Ma belle robe neuve n'avait pas envie de croiser la route de la saleté qui tâchait sa chemise bonne pour le linge sale. « Non mais oublie.. elle est dégueulasse ta chemise. » Pinçant l'arrête de mon nez, je soupirais longuement, une main sur ma hanche. «Tu peux me dire ce que tu foutais avec cette pouffe ? Tu peux pas tomber aussi bas.. MON EX ne peut pas s'abaisser à ça quand même ? » Tirant sur sa main pour qu'il lâche sa chemise, je passais habilement mes bras autour de son cou, un air amusé sur le visage « Et non tu ne peux pas être tranquille bébé. Tu sais bien que quand je suis dans les parages tu ne peux pas être tranquille. Tu ne peux pas m'ignorer, ni m'éviter. C'est comme ça. Je croyais qu'à force tu avais fini par te faire à l'idée. » Okay, il n'était que mon ex' mais cette relation qu'on avait eu continuait de nous lier l'un à l'autre. Il m'était impossible de ne pas aller à son contact comme il lui était impossible de ne pas aller au contact du mien. Mes lèvres à quelques centimètres des siennes, mon cœur battait déjà fort dans ma poitrine. Mais j'émettais tout de même un mouvement de recul. Le fixant de mes yeux cernés de noir, je pouvais sentir son parfum. Il était comme toujours enivrant. « Tu m'offres un verre ? » Déroulent lentement mes bras, je faisais glisser mes mains froides contre son torse chaud et palpitant. « Après tout, j'ai perdu ma chance de me faire baiser par un beau brun à cause de toi. Alors .. c'est la moindre des choses. » Une moue de bébé sur les lèvres, je dessinais un cercle autour de l'un de ses tétons comme incapable de ne pas le toucher d'une façon intime.



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Re: T'es partout, ma parole. - Lena | Sam 31 Oct - 0:14
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Recevoir des insultes ou des gifles d’étrangères étaient devenu une habitude chez moi. Un petit jeu qui me faisait bien rire. Ce n’était qu’un bref désagrément face à la réaction que je parvenais à avoir de leur part. J’en faisais maintenant facilement abstraction. Je ricanais en voyant Lena s’approcher de moi avec son air de degout en voyant ma chemise sale. Elle était du même avis que moi, j’avais pris le risque de jeter mon habit sur le sol pour rien au final. Je riais de plus bel en observant son geste, ce pincement de nez. « N’exagère pas non plus. Cet endroit est plus propre que les toilettes et au moins, ca ne sent pas mauvais. » Toujours dans l’extrême. Pour tout, et toujours. J’arquais un sourcil d’amusement en l’entendant prononcer le mot ex de cette manière. D’une certaine façon, il était vrai que c’était le cas, bien qu’on ne pouvait pas vraiment qualifier ce que l’on était l’un pour l’autre aujourd’hui. « Tu peux parler avec ton pervers aux mains baladeuses. Ne viens pas me dire que tu ne pouvais pas trouver mieux qu’un type qui bz tout ce qui bouge. » Comment je le savais ? Pour la même manière qu’elle le savait pour moi. je l’avais repéré bien avant qu’elle ne me voit. Je me demandais juste à quel moment elle allait lâcher son apollon pour venir m’enquiquiner. « On est d’accord pour dire qu’il n’y avait pas grand-chose de valable à pécher ce soir. » lâchais-je simplement comme si c’était normal. Apres une histoire comme la nôtre, c’était difficile de trouver mieux ou du moins, l’équivalent. Pour ma part, il avait fallu le temps pour que je l’accepte, mais une femme me plaisait. Je n’étais pourtant pas prêt de jeter tout en l’air au risque de la perdre. Tomber amoureux de sa propre sœur, n’était pas une chose aisé à montrer au grand jour. Alors jusqu’à nouvel ordre, je faisais comme si de rien était. Je levais mon regard sur la sango quand elle me tira par la main, me faisant lâcher la prise sur mon vêtement qui retrouvait sa place sur le sol grade. Je le suivis des yeux, fronçant les sourcils. « Dommage. Je l’aimais bien. » Mon attention à nouveau sur la jeune femme qui venait de se rapprocher dangereusement de moi, je souris un brin provocateur. « C’est vrai qu’il difficile de se débarrasser de toi. » entre ce que je disais et ce que je pensais, il y avait un vrai monde. Je la mettais au défi de dégager de ma vie. Et si elle le faisait, il y avait des risques de subir les conséquences. En somme, je n’avais aucune envie qu’elle disparaisse du jour au lendemain. Elle pouvait bien me coller au cul autant qu’elle le désirait. Je sentais sous souffle sur ma peau, ses lèvres si proches de miennes. Je résistais pourtant à l’envie de les embrasser, passant mes mains sur ses hanches par habitude. Je la laissais se décoller de moi presque à contre cœur, grognant de mécontentement. Je frissonnais en sentant ses mains froides sur ma peau chaude. Je m’en saisis des miennes, les serrant brusquement, penchant la tête sur le côté. « Tu es gelée. » Ce n’était qu’une constatation. Je n’attendais pas vraiment une réponse. Je souris à sa proposition de boire un verre. « Justement, j’avais besoin d’une nouvelle distraction. » lâchais-je un sourire mauvais sur les lèvres. « Il ne te méritait pas de toute manière. » rajoutais-je tout en fronçant les sourcils. « D’ailleurs tu ne devrais pas coucher avec le premier venu. Tu n’es pas une trainée que je sache. » Je n’avais jamais mâché mes mots et surtout pas avec lena, pour dire ce que je pensais, que ce soit cash ou non. Je lâchais ses mains pour agripper à nouveau ses hanches dans un geste brusque, collant son bassin au mien, le regard soudainement devenu froid. « Compris ? »

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Re: T'es partout, ma parole. - Lena | 
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