Wen Yi échangeait leurs places et Calvin ne ripostait en rien. Il adorait par-dessus quand elle prenait les commandes, entreprenait des choses et montrait que elle aussi, elle savait y faire. Elle était bien loin de cette jeune femme douce et fragile qui rougissait déjà à peine sa main chaude ayant caressé sa cuisse. Il l’aura vue sous toutes ses coutures, dans tous ses états et il l’avait aimée de toutes ces façons. Jamais il ne l’avait brusquée. Il avait laissé les choses faire naturellement, selon ses plaisirs et ses envies. Elle n’a jamais été celle qu’on ne se gène pas pour salir, pour qui il n’y a aucun respect et uniquement avec laquelle on fait seulement son affaire. Wen était douce, délicieuse et unique. Incomparable, la meilleure jusqu’alors. C’est avec un plaisir non dissimulé qu’il la regardait ôter difficilement sa ceinture avec une impatience remarquable. Que va-t-elle faire ? Comment ? A-t-elle eut d’autres hommes après lui ? Sûrement, mais il ne voulait nullement penser à ce sujet qui fâche. Cela serait stupide de se relancer dans une guerre surtout dans ces moments là, non ?

Ses mains se posaient délicatement sur ses fesses quand elle parvient finalement à ses fins. Son commentaire le fit sourire un instant avant qu’il ne se lance dans un baiser totalement fougueux. La sentir répondre doucement à son envie faisait frissonner chaque centimètre de sa peau. Ses caresses sur ses fesses se faisaient beaucoup plus pressantes. Il aimait ce qu’elle lui faisait et il voulait lui faire comprendre. Ainsi, il la pressait un peu plus contre lui, embrassant doucement sa machoire et passant jusqu’à son cou. Un instant il eut l’idée de le marquer mais la réalité le rattrapait bien vite : elle n’était plus sienne et ne le sera sûrement plus jamais. Alors plutôt que de marquer son cou, il déplaçait ses caresses sur son ventre et descendant doucement mais sûrement jusqu’à passer sous sa culotte rejoindre son intimité. Pourquoi devrait-il être le seul à en profiter ?