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Des petits riens qui font un tout
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Des petits riens qui font un tout | Mar 20 Oct - 10:21 Citer EditerSupprimer
Des petits rien qui font un tout
"Qu'est ce que je vous sert ..."
Des petits rien qui font un tout
Ft Hwang Luna
"Qu'est ce que je vous sert ..."
14h30. L'heure du bonheur pour moi. Après la folie du service du midi, le calme reprenait sa place dans le bar. J'aimais bien ce bar. Si je n'y travaillais pas comme serveur, j'y viendrais surement pour me reposer et me vider la tête. L'ambiance était chaleureuse et pas prise de tête. Tout ce que j'aime.
Alors que je restais assis devant la caisse enregistreuse, mon regard balaya la salle. A peine quatre clients était présent. Un étudiant qui, devant son ordi allumé, avait la tête dans ses bouquins et demandait, régulièrement, à ce qu'on remplisse sa tasse de café. A quelques tables de lui se trouve un couple qui discute à mi voix. Il se regarde avec envie et, par moment, leur mains se frôlent à côté de leur chocolat viennois. Je ne m'attarde pas. La dernière cliente se trouve à l'autre bout du bar. C'est une vieille dame qui lit le journal du jour, son chien dormant tranquillement à ses pieds. C'est une habituer des lieux et son chien est sage comme une image alors le patron lui autorise de rentrer.
Je suis sortie de mes pensées par le bruit de la porte d'entrée. Je me redresse pour accueillir la nouvelle arrivante et la reconnait de suite. C'est une étudiante qui vient très régulièrement ici. J'ignore son nom mais elle vient tout le temps s'asseoir au bar, à côté de la caisse et il nous arrive de parler. Au début, je n'étais pas très causant mais avec le temps je fais des progrès. Et puis elle est tellement mignonne alors ça me fait plaisir de la voir régulièrement. Je me lève du tabouret et lui adresse un sourire de bienvenue en lui demandant:"Bonjour, qu'est ce que je vous sers aujourd'hui?"
Alors que je restais assis devant la caisse enregistreuse, mon regard balaya la salle. A peine quatre clients était présent. Un étudiant qui, devant son ordi allumé, avait la tête dans ses bouquins et demandait, régulièrement, à ce qu'on remplisse sa tasse de café. A quelques tables de lui se trouve un couple qui discute à mi voix. Il se regarde avec envie et, par moment, leur mains se frôlent à côté de leur chocolat viennois. Je ne m'attarde pas. La dernière cliente se trouve à l'autre bout du bar. C'est une vieille dame qui lit le journal du jour, son chien dormant tranquillement à ses pieds. C'est une habituer des lieux et son chien est sage comme une image alors le patron lui autorise de rentrer.
Je suis sortie de mes pensées par le bruit de la porte d'entrée. Je me redresse pour accueillir la nouvelle arrivante et la reconnait de suite. C'est une étudiante qui vient très régulièrement ici. J'ignore son nom mais elle vient tout le temps s'asseoir au bar, à côté de la caisse et il nous arrive de parler. Au début, je n'étais pas très causant mais avec le temps je fais des progrès. Et puis elle est tellement mignonne alors ça me fait plaisir de la voir régulièrement. Je me lève du tabouret et lui adresse un sourire de bienvenue en lui demandant:"Bonjour, qu'est ce que je vous sers aujourd'hui?"
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Re: Des petits riens qui font un tout | Sam 24 Oct - 0:46 Citer EditerSupprimer
Durant toute la matinée, j’ai dû essayer des tonnes et des tonnes de tenues différentes pour qu’on me les retoucher afin de pouvoir poser pour la nouvelle collection au thème de l’élégance et du paradis. Ce thème lui plait vraiment, les couleurs sont douces, la matière du tissus est très agréable au touché et le décor est épuré. Par la suite, on est allé manger dans un restaurant français tous ensemble en profitant pour discuter. Il y avait ma mère, un de mes frères, des employés et moi-même. Néanmoins j’ai encore du mal à discuter avec un groupe de personne malgré deux ans dans le métier.
Une fois le repas fini, tout le monde devait retourner travailler donc j’ai proposé d’aller au bar habituel pas loin de l’entreprise de ma mère si jamais on avait besoin de moi pour quoique ce soit. Après tout, j’avais dans mon sac mon carnet à dessin, des crayons, une gomme et tout l’attirail complet pour passer le temps même si je savais que j’allais sûrement voir le jeune serveur avec qui je discute souvent. Il est tout simplement adorable puis il a l’air tout à fait normal comparé aux hommes qui viennent me parler en général.
Au moment où j’ai poussé la porte et je suis rentrée, je scrutais les alentours. J’envie automatiquement le couple d’amoureux, chanceux d’avoir rencontré l’âme sœur. Pour elle, c’est impossible, j’étais condamnée à me marier sans amour à moins d’un miracle. Les mariages arrangés sont parfois problématiques et une contrainte même quand tu le sais depuis toujours. Probablement à cause des idéaux romantiques qu’on se fait à travers les contes de fées. Je dois me rendre à l’évidence que jamais j’aurai cela dans ma vie. Je soupire avant de sourire en essayant de rester optimiste puis je me dirige vers le contour afin de m’asseoir tout près du charmant serveur. On discute de tout et de rien assez fréquemment.
A ce moment-là, mon sourire s’étire quand j’entends sa voix et j’en oublie tous mes ennuis. Je pose mon sac et je remets ma robe discrètement de lui répondre.
« Bonjour, j’aimerai un caramel macchiato, s’il vous plait. Merci. »
Je prince mes lèvres avec mes dents doucement et je continue ma phrase.
« Comment allez-vous aujourd’hui ? Vous vous en sortez avec vos études ? Ce n’est pas trop dur ? »
Elle sait à quel point la médecine est un domaine difficile vu que sa vraie mère était un médecin et elle lui a enseigné quelques bases en particulier la médecine chinoise. Je sors de mon sac mon bloc de dessin et je commence à griffonner tout ce que je vois dont Kyu Ji afin de me détendre.
Une fois le repas fini, tout le monde devait retourner travailler donc j’ai proposé d’aller au bar habituel pas loin de l’entreprise de ma mère si jamais on avait besoin de moi pour quoique ce soit. Après tout, j’avais dans mon sac mon carnet à dessin, des crayons, une gomme et tout l’attirail complet pour passer le temps même si je savais que j’allais sûrement voir le jeune serveur avec qui je discute souvent. Il est tout simplement adorable puis il a l’air tout à fait normal comparé aux hommes qui viennent me parler en général.
Au moment où j’ai poussé la porte et je suis rentrée, je scrutais les alentours. J’envie automatiquement le couple d’amoureux, chanceux d’avoir rencontré l’âme sœur. Pour elle, c’est impossible, j’étais condamnée à me marier sans amour à moins d’un miracle. Les mariages arrangés sont parfois problématiques et une contrainte même quand tu le sais depuis toujours. Probablement à cause des idéaux romantiques qu’on se fait à travers les contes de fées. Je dois me rendre à l’évidence que jamais j’aurai cela dans ma vie. Je soupire avant de sourire en essayant de rester optimiste puis je me dirige vers le contour afin de m’asseoir tout près du charmant serveur. On discute de tout et de rien assez fréquemment.
A ce moment-là, mon sourire s’étire quand j’entends sa voix et j’en oublie tous mes ennuis. Je pose mon sac et je remets ma robe discrètement de lui répondre.
« Bonjour, j’aimerai un caramel macchiato, s’il vous plait. Merci. »
Je prince mes lèvres avec mes dents doucement et je continue ma phrase.
« Comment allez-vous aujourd’hui ? Vous vous en sortez avec vos études ? Ce n’est pas trop dur ? »
Elle sait à quel point la médecine est un domaine difficile vu que sa vraie mère était un médecin et elle lui a enseigné quelques bases en particulier la médecine chinoise. Je sors de mon sac mon bloc de dessin et je commence à griffonner tout ce que je vois dont Kyu Ji afin de me détendre.