Tenue x

Glissant doucement de la peau de Jae à la peau de Bom Chan je retrouve mon sourire carnassier et cette envie furieuse de la posséder. Je voulais la faire gémir, la faire crier plus fort que mon frère ait pu le faire. Et la voir si docile, si soumise, si amoureuse de lui me donnait des ailes dans le dos. Ça me poussait à en faire plus, beaucoup plus. J’étais prêt à prendre cette femme, à la tromper, à la posséder contre son gré sans même qu’elle le sache. Oh oui j’étais prêt à abandonner cette douceur pour lui faire connaitre le véritable orgasme. A lui faire connaitre ce plaisir intense. La serrant dans mes bras je la pénètre avec une lenteur torturante. Je me demande si elle saurait faire la différence entre lui et moi. Si mon frère est aussi bien gaulé que moi. Une fois que je suis totalement en elle, et qu’elle m’attise avec ses suppliques et ses regards je me force à ne pas la tarauder de coup de bassin trop violent trop rapidement. Je veux que la plaisir monte lentement et qu’elle se rende compte de qui je suis. Son visage crispé de plaisir me rend fou et son corps si prêt à me recevoir est un supplice. Elle est si étroite et à la fois si mouillée que s’en est indécent. Lâchant un soupire rauque je me mets à bouger en elle. D’abord lentement puis j’accélère de plus en plus, souriant victorieux quand elle me dit je t’aime jae. Putain, elle n’y voit que du feu, c’est tellement bon. Cette supercherie prend une tournure que je n’aurais jamais imaginée, mais bon sang je prends mon pied. Je la soulève de la table et l’emmène avec moi dans un endroit plus confortable. Je traverse le couloir ouvrant toutes les portes une à une avant de finalement trouver la chambre. Je souris. Mettant un pied dans la chambre je claque la porte derrière nous et la plaque à nouveau la porte avant de la faire glisser doucement. « Tourne toi. » ordonnais-je soudain sans plus aucune once de douceur. La forçant à faire face à la porte je la fais se pencher en avant en écrasant sa poitrine contre le bois. Mes deux mains sur ses hanches je la pénètre d’un coup sec et la taraude rapidement de plusieurs coups fort et puissant, faisant claquer nos peaux. Je ne résiste pas à l’envie de lui mettre une fessée et ma main vin rougir plusieurs fois sa peau si fine. Je bute en elle plusieurs fois et l’oblige à soulever une jambe pour mieux la pénétrer. J’ai envie de l’entendre crier et gémir. Appuyant sur sa tête pour l’obligée à rester pencher je tiens sa jambe sur mon bras et la pilonne de plus en plus. Doucement ma main qui tenait sa jambe glisse le long de la cuisse pour venir lui taquiner cette boule de chaire pour lui faire venir son orgasme avec plus de force.

Tenue x

Mes coups de bassins se font de plus en plus forts et je ne réfléchis même plus à ce que je dois faire, à ce que je devrais faire. Je ne sais pas comment se comporte mon frère, je ne sais pas ce qu’il a l’habitude de faire, je n’ai pas envie de réfléchir, je n’ai pas envie de savoir, je me perds dans mon plaisir. J’ai envie de jouir en elle mais je veux pouvoir en profiter avant. Je veux pouvoir continuer de voir son visage, de l’entendre crier et jurer de plaisir. Je peux lui faire ce que je veux, elle se lâche, elle se laisse aller, son corps tout entier me réclame et je compte bien lui donner ce qu’elle désire. Venant embrasser son épaule je dévore sa nuque de baiser en la pressant contre moi. Je la redresse un peu plus et la plaque contre mon dos. Une main entre ses cuisses, l’autre lui tirant le bout de ses seins durcis. Je tire, je roule, je meurtrie son téton avec un plaisir malsain, assez pour qu’elle prenne encore plus son pied. Je me retire brusquement d’elle pour l’emmener vers le lit et la soulève pour la faire tomber dessus. « Tu prends ton pied ? » grognais-je de plaisir en venant l’embrasser fougueusement. Je ne contrôle plus rien, ni mes gestes, ni mon plaisir montant. Je veux juste qu’elle ait un putain d’orgasme, un de ceux qu’elle retiendra toute sa vie. Je soulève ses jambes pour la faire rouler sur le côté et me love en culière dans son dos. J’agrippe une de ses fesses que je soulève pour avoir plus facilement accès à son intimité. Je mordille sa nuque et attrape sa main pour qu’elle puisse la serrer et alors que je donne mon premier coups de bassin je presse mon corps contre le sien. Je la fais se cambrer pour qu’elle m’offre son corps dans son entièreté. « Soit prête à jouir. » Je la taraudais de coups de bassin à nous couvrir de sueurs, nos deux corps se faisait plus qu’un, et la violence qui nous habitait était si torride que j’en crispais les draps entre mes doigts. Après de longue minute et la sentant sur le point de venir je me retire d’elle à nouveau, crevant sous ses gémissements de frustration et la roula sur le dos pour la surplomber. Je vins l’embrasser en le pénétrant à nouveau. Buttant en elle plus facilement je ne pus empêcher un sourire d’ourler mes lèvres alors que nos hanches roulaient l’une contre l’autre. « cri plus fort … » lui intimais-je et pour rendre la scène encore plus parfaite je lâchais d’une voix suave et rauque qui les faisait toute craquer «  Je t’aime tellement … » mensonge. Mensonge si puissant que j’y croyais moi aussi. Si tu savais jolie demoiselle …

Tenue x

Y a des choses de mon passé que je voudrais pouvoir oublier. Il y a des choses que j’aimerais pouvoir effacer. Ce n’est pas vraiment comme si j’avais des regrets, ou des remords, mais y a ce genre de choses, ces choix que j’ai pu faire, ces actes que j’ai pu commettre, qui font de moi ce monstre à qui je fais face tous les matins. Le genre d’homme qu’on montre du doigt, qu’on épit sur son passage et qu’on fuit autant qu’on admire. Je suis ce genre d’homme sans limites qu’on accuse de tous les maux, et ça me plait, je mentirais si je disais l’inverse, mais ça me plait, ça me plait de voir qu’on peut avoir peur de moi. Qu’on me regarde, sans savoir, sans oser, qu’on s’image un tas de choses sur moi, qu’on pense avoir vu le pire de moi sans se douter que le exécrable est à venir.  Je suis détestable, mais on m’aime. Je fais tout pour. L’amour, la haine, la limite est si fine qu’on s’y perd. Et j’aime m’y perdre. L’amour pour elle, la haine pour moi. je baisse mon regard sur les courbes de son corps et la caresse du bout des doigts. Lin Yao. Qui l’aurait cru … ? Une certaine rage boue en moi en imaginant mon frère se foutre de ma gueule comme il l’a fait. Finalement on n’est pas si différent. Un sourire mauvais ourle mes lèvres alors que mes doigts se perdent sur son corps que je caresse longuement. Sa peau pulpeuse sous mes doigts me parait si douce. Son corps si chaud, est couvert d’une fine pellicule de sueur que je trouve dangereusement sexy. Sang langage cru, de femme qui se moque de tout me plait. Je lâche un ricanement en me retenant de venir l’embrasser. J’ai toujours rêvé de coucher avec elle. Quand bien même je pouvais être en couple. Elle est toujours restée une sorte de fantasme. Un ange déchu parmi les immondices qu’on pouvait voir dans ces squats. Comment ce connard a-t-il pu la garder pour lui…? Je suis à la fois surpris, fasciné et en colère contre lui. Elle ne sait même pas qui je suis et pourtant … baissant mon regard sur les griffures que je distingue à peine je secoue la tête pour la faire taire « J’ai adoré … ça prouve au moins que t’es pris ton pied » murmurais-je dans le creux de son oreille en venant embrasser sa mâchoire, caressant ses fesses doucement. Je lui assène d’ailleurs une fessée en souriant « Tu devrais faire ça plus souvent … c’est carrément torride. » assurais-je alors que mes doigts viennent se glisser entre ses cuisses. Elle est humide, toujours humide et je glisse un doigt en elle en entrouvrant les lèvres « C’est tellement chaud en toi, et t’es tellement étroite … » je me doutais que c’était loin d’être le discours que lui tiens mon frère d’habitude, mais j’aime ce genre de phrases indécentes et qui ne se murmurent que dans l’intimité d’un couple. La basculant sur le dos, je vins embrasser sa poitrine, son ventre, frôlant ses tatouages du bout des doigts en les dévorant du regard. Je glisse à son bas ventre, disparaissant sous la couette. Sans pudeur et sans gêne, je perds ma langue sur son intimité, juste pour faire durer son plaisir. Est-ce qu’il prend le temps de s’occuper d’elle comme ça ? Ou bien se contente-t-il de se lever pour aller prendre une douche ? je ricane en continuant mes coups de langues tortueuse.

Tenue x

Elle semblait si surprise de voir que son Jae pouvait lui faire l’amour comme ça. Pourquoi s’en étonner ? Je me doutais bien que mon frère n’était pas une bête au lit, mais de là à ce que la base, selon moi, quand on partageait le lit d’une femme ne soit pas fait me laissait pantois. Ce mec devrait vraiment être une merde au lit. Agiter son engin pour quelques vas et viens pour faire venir sa femme restait pathétique à mes yeux. Embrassant l’intimité de cette femme sans aucune pudeur je m’acharnais à lui donner autant de plaisir que j’étais capable de lui en donner en une soirée. Il fallait qu’elle réalise que plus Jae ne sera capable de la combler comme je venais de le faire. Et moi j’appréciais bien trop l’instant pour me soucier des conséquences. Elle semblait être devenue une femme soumise, qui acceptait les remarques négligentes de mon frère. Ses remarques à elles me font sourire et je le vois bien qu’elle est heureuse et qu’elle semble s’épanouir davantage ce soir. Mes coups de langues bien précis savent où laper pour la faire se cambrer encore plus. Je vire la couette d’un geste large et relève juste on regard vers elle en la regardant se cambrer sous le plaisir. Je caresse son ventre de ma paume chaude et tire sur un de ses seins en continuant de la dévorer avec mes lèvres. Elle est faite pour le sexe et le plaisir … il n’y a qu’à voir la façon que son corps à se bouger contre mes lèvres et le creux de ses reins si indécent … quand je suis certain qu’elle a fini de jouir je remonte doucement sur son pubis que j’embrasse, puis son bas ventre, son ventre et vient mordiller ses seins avant de lui voler un long baiser où nos langues jouent un balais sensuel. Je ris doucement contre ses lèvres sans savoir lui expliquer pourquoi. Je me redresse et m’assoit à côté d’elle sur le lit en faisant craquer ma nuque comme une mauvaise habitude que j’ai d’elle. Je m’étire un instant avant de tomber sur le dos en soupirant « Ça fait une éternité que je n’ai pas autant pris mon pieds » laissais-je échapper malgré moi. Mais dans le fond ça me faisait marrer de laisser quelques indices, quelques phrases incohérentes qui feraient surtout passer mon frère pour un bâtard. « Mais ne t’inquiète pas mon amour, j’ai juste voulu me lâcher ce soir … » je ricanais intérieurement et cacha mon sourire mauvais derrière ma main que je passais sur le bas de mon visage. « J’ai la dalle putain. J’espère que j’ai pas tout ruiné en tirant sur la nappe tout à l’heure. » M’amusais-je à lancer au hasard, retrouvant mon langage châtier et mon attitude insolente.