I'M ALREADY TIRED. w/ ji soo.
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I'M ALREADY TIRED. w/ ji soo. | Mer 18 Nov - 0:21 Citer EditerSupprimer ft. jisoo&jiro.
Pourquoi moi ? Pourquoi pas un autre ? Oui, pourquoi pas un autre ? C'est ce que j'aurais tant souhaité pouvoir exprimer à l'intention de cette femme bien plus âgée que ma personne. Et pourtant, voilà que ma simple et unique réponse face à ses propos peu agréable fut... Un simple hochement de tête. Ridicule, en soit. Je me maudissais intérieurement sans parvenir à faire quoi que ce soit contre cela. Après tout, cette femme possédant un rang bien plus élevé que celui de simple employé que je pouvais tenir à l'heure actuelle. Je me devais, donc, d’acquiescer face aux moindres caprices de cette femme. Aussi étranges et peu agréables pouvaient-ils être. Quel calvaire que voilà. Me coller une simple enfant aux baskets. Devoir guider celle-ci au travers de cette journée. Lui expliquer chaque fait, chaque pourquoi, du comment, et bien plus encore. Semblable à un professeur de maternelle, voilà que ce rôle allait me coller à la peau, aujourd'hui...
C'est donc, tout naturellement, que je m’octroyais une énième pause. Un énième réconfort auprès de la machine à café avant que l'heure de ma « mort » ne puisse s'afficher contre l'horloge surplombant le mur principal de la boutique. Gobelet en plastique au creux de mes mains. Cette douche chaleur parvenait à faire frémir mon échine d'une manière fort agréable tandis que je marmonnais un bon nombre de propos en prenant soin d'utiliser cette langue que j'affectionnais tant : le Chinois. Fort utile, en soit. Personne ne parvenait à discerner le moindre mot. Personne ne semblait comprendre ce que j'osais balbutier. Personne. Bien heureusement pour moi, d'ailleurs. Mais enfin... Un corps frêle vint se frayer un chemin au travers de mon champ de vision. Une chevelure blonde glissant délicatement contre ses épaules. Un air candide scotché sur son faciès. Voilà qui était fort surprenant et peu semblable à la clientèle habituée, pourtant, je ne pouvais nier le simple fait d'avoir une tendre faiblesse pour les jeunes femmes asiatiques possédant une douce blondeur surplombant le haut de leur crâne. Faiblesse, quand tu nous tiens, alors.
J'osais vulgairement abandonner ce gobelet afin de prendre soin de l’accueil de cette jeune femme, mais, quelqu'un fut bien plus rapide. Aussi surprenant cela pouvait-il être. La simple et unique réaction qui parvint à se glisser sur mon faciès fut : la surprise. Le destin jouait-il avec moi ? Vicieux, qu'il était. Je venais d'obtenir un ascenseur émotionnel des plus déconcertant qu'il soit. Et c'est à présent un sentiment de mécontentement qui s'emparait de ma personne et je ne pouvais que m'en mordre les doigts. « Zhang Jiro, enchanté. » Furent donc les seules et uniques paroles qui parvinrent à traverser mes lippes lorsque l'identité de la jeune femme fut révélée. Mon tourment psychotique, venait d'elle. Cette journée ennuyeuse, allait venir d'elle.
Désespoir. Quand tu nous tiens.
« Je suppose que vous avez des questions, n'est-ce pas ? Je suis, apparemment, à votre entière disposition pour cette journée, à vous d'en faire bon usage afin de parfaire vos connaissances dans le domaine. Je vous avoue favoriser l'idée de poursuivre mon travail plutôt que d'aider une jeune femme telle que vous à en découvrir d'avantage, mais... Qu’importe. N'est-ce pas ? »
© BANGERZ
baby, i'm preying on you tonight.
tenue + « I don't care. I really don't care. »
Pourquoi moi ? Pourquoi pas un autre ? Oui, pourquoi pas un autre ? C'est ce que j'aurais tant souhaité pouvoir exprimer à l'intention de cette femme bien plus âgée que ma personne. Et pourtant, voilà que ma simple et unique réponse face à ses propos peu agréable fut... Un simple hochement de tête. Ridicule, en soit. Je me maudissais intérieurement sans parvenir à faire quoi que ce soit contre cela. Après tout, cette femme possédant un rang bien plus élevé que celui de simple employé que je pouvais tenir à l'heure actuelle. Je me devais, donc, d’acquiescer face aux moindres caprices de cette femme. Aussi étranges et peu agréables pouvaient-ils être. Quel calvaire que voilà. Me coller une simple enfant aux baskets. Devoir guider celle-ci au travers de cette journée. Lui expliquer chaque fait, chaque pourquoi, du comment, et bien plus encore. Semblable à un professeur de maternelle, voilà que ce rôle allait me coller à la peau, aujourd'hui...
C'est donc, tout naturellement, que je m’octroyais une énième pause. Un énième réconfort auprès de la machine à café avant que l'heure de ma « mort » ne puisse s'afficher contre l'horloge surplombant le mur principal de la boutique. Gobelet en plastique au creux de mes mains. Cette douche chaleur parvenait à faire frémir mon échine d'une manière fort agréable tandis que je marmonnais un bon nombre de propos en prenant soin d'utiliser cette langue que j'affectionnais tant : le Chinois. Fort utile, en soit. Personne ne parvenait à discerner le moindre mot. Personne ne semblait comprendre ce que j'osais balbutier. Personne. Bien heureusement pour moi, d'ailleurs. Mais enfin... Un corps frêle vint se frayer un chemin au travers de mon champ de vision. Une chevelure blonde glissant délicatement contre ses épaules. Un air candide scotché sur son faciès. Voilà qui était fort surprenant et peu semblable à la clientèle habituée, pourtant, je ne pouvais nier le simple fait d'avoir une tendre faiblesse pour les jeunes femmes asiatiques possédant une douce blondeur surplombant le haut de leur crâne. Faiblesse, quand tu nous tiens, alors.
J'osais vulgairement abandonner ce gobelet afin de prendre soin de l’accueil de cette jeune femme, mais, quelqu'un fut bien plus rapide. Aussi surprenant cela pouvait-il être. La simple et unique réaction qui parvint à se glisser sur mon faciès fut : la surprise. Le destin jouait-il avec moi ? Vicieux, qu'il était. Je venais d'obtenir un ascenseur émotionnel des plus déconcertant qu'il soit. Et c'est à présent un sentiment de mécontentement qui s'emparait de ma personne et je ne pouvais que m'en mordre les doigts. « Zhang Jiro, enchanté. » Furent donc les seules et uniques paroles qui parvinrent à traverser mes lippes lorsque l'identité de la jeune femme fut révélée. Mon tourment psychotique, venait d'elle. Cette journée ennuyeuse, allait venir d'elle.
Désespoir. Quand tu nous tiens.
« Je suppose que vous avez des questions, n'est-ce pas ? Je suis, apparemment, à votre entière disposition pour cette journée, à vous d'en faire bon usage afin de parfaire vos connaissances dans le domaine. Je vous avoue favoriser l'idée de poursuivre mon travail plutôt que d'aider une jeune femme telle que vous à en découvrir d'avantage, mais... Qu’importe. N'est-ce pas ? »
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Re: I'M ALREADY TIRED. w/ ji soo. | Mar 1 Déc - 15:47 Citer EditerSupprimer
I don't want to be there,
I'm sorry...
Jiro ✧ Ji Soo
Tenue ♦ L’odeur du cuir neuf la rendait malade, la vitre de la voiture ouverte, elle respirait l’air à l’extérieur, ou plutôt le pot d’échappement des autres voitures. Ji Soo avait pourtant bien dit qu’elle n’avait pas besoin d’une nouvelle voiture, mais rien n’était assez bien pour la princesse qu’elle était aux yeux de son père. Ji Soo n’aimait pas ça et elle avait du se battre pour ne pas que son père lui paye un nouveau chauffeur. Mr.Cho était très bien, elle le connaissait depuis longtemps, assez pour le considérer comme une sorte d’oncle, mais elle était toujours gênée lorsqu’il devait l’amener là ou son père lui disait de se rendre. Elle avait l’impression que tout cela était très exagéré, depuis qu’elle étudiait à Yonsei. Ji Soo avait prit l’habitude des transports en commun et de la marche, et pendant un temps, elle en avait oublié son statut d’héritière. Un statut qu’elle a toujours eu du mal à assumer et cela même si son père ne cessait de dire qu’elle rayonnait comme un soleil, il n’était pas très objectif. Jouer les poupées parfaites avec aisance et prestance devant un auditoire, ce n’était pas difficile, la plupart de sa vie avait été dédié à cet art. Elle ferma la vitre lorsqu’ils entrèrent dans le parking sous-terrain. Récupérant son sac, un petit soupir lui échappa et les paroles réconfortante du chauffeur la firent se sentir mieux en quelques secondes, ça ne serait peut être pas si horrible que ça. Ses espoirs s’évaporèrent très vite, à mesure qu’elle s’approchait de la boutique que le groupe gérait, elle entendait les vendeuses ou les clients murmurer en la fixant, certains responsables vinrent la saluer avec beaucoup trop d’enthousiasme pour être réellement spontané. Son arrivée avait été prévue, préparé, chacun faisait de son mieux pour attirer son attention de la manière la plus discrète possible. Ji Soo n’était pas à l’aise dans ce genre d’environnement, mais ne laissait rien paraître, souriant poliment en inclinant légèrement la tête pour les saluer. La boutique était encore loin. Ji Soo préféra prendre les devants en demandant à ce que chacun retourne à son travail. Sa demande en surpris plus d’un, mais elle précisa qu’elle était ici pour apprendre et qu’elle était donc une stagiaire comme les autres. Elle n’avait pas besoin qu’on lui déroule le tapis rouge, c’était ridicule et ça ne ferait qu’enfler l’ambiance tendu qui régnait dans le hall. Sa demande se fit avec un sourire, mais sa voix ne laissait pas de place à la discussion. Lorsqu’elle se retrouva seule, Ji Soo se dirigea vers la boutique, situé dans un centre commercial, petit mais réputé pour ses boutiques de luxe dont la plupart était géré par sa famille. Lorsqu’elle vit le devant de celle dans laquelle elle avait rendez-vous, Ji Soo inspira un grand coup avant de rentrer. Comme elle s’y attendait, la jeune femme eu à peine le temps de poser un pied à l’intérieur que déjà quelqu’un l’avait reconnue et avait accouru jusqu’à elle. Rapidement son regard se posa sur la personne qui serait en charge de lui apprendre comment fonctionnait une boutique, il était grand, les cheveux ébène, un visage particulier, mais parfait pour ce genre de boutique. « Hwa Ji Soo, enchantée. » répondit-elle en s’inclinant pour le saluer, il était désormais son supérieur. Ji Soo fut surprise par ses paroles, c’était bien la première fois qu’un employé était aussi direct avec elle et étrangement, ça ne la dérangeait pas. « Je suis vraiment désolé de vous faire perdre votre temps, je ferais de mon mieux pour apprendre rapidement et ne pas trop vous déranger. » Elle lui sourit maladroitement, après tout, elle non plus n’avait pas demandé à être ici. « Pour vous dire la vérité, je ne connais rien à la gestion d’une boutique, je suis plutôt du genre à connaitre comment sont fabriquer les vêtements que comment les vendre. » Ji Soo ne voulait vraiment pas être un poids pour lui, elle se doutait bien qu’on ne lui avait pas demandé son avis sur s’il voulait oui ou non lui enseigné. « On commence par quoi ? » demanda-t-elle, légèrement curieuse. Après tout, quitte à apprendre, autant avoir un minimum d’intérêt pour la chose, le temps passerait plus vite.
© Starseed
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Re: I'M ALREADY TIRED. w/ ji soo. | Mar 1 Déc - 17:33 Citer EditerSupprimer ft. jisoo&jiro.
Hwa Ji Soo, ou, tout autre. Peu m'importait. La seule et unique chose que j'osais retenir concernant l'identité de cette jeune femme était l'idée que, si j'osais véritablement la traiter vulgairement, mon rôle au sein de cette boutique serait très certainement remis en question avant que je ne puisse définitivement passer le pas de cette porter sans pouvoir de nouveau parvenir à endosser le rôle de vendeur. Quelle ironie du sort que, cette « éducation » concernant les moindres aspects d'une direction de boutique, ou, du rôle de vendeur me soit délesté. Qu'avais-je donc fait pour mériter ce véritable calvaire ? Oui, qu'avais-je bien pu faire ? Un soupir traversait mes lippes tandis que j'osais glisser chacune de mes mains au creux des poches de ce jean que je portais. Traînant quelque peu des pieds, voilà que les questions fusaient sans que je ne puisse faire quoi que ce soit contre cela. La chère et tendre progéniture du grand manitou ne connaissait donc rien en ce qui concerne la vente ? Ni, même, la gestion ? Elle creusait sa propre tombe, cette pauvre petite. Osais-je penser tandis, qu'un simple et unique sourire s'emparait de mes lippes. Usant de ce masque empli d'hypocrisie que j'affectionnais tant afin de parfaire l'image professionnelle que je pouvais entretenir à l'égard de chacun des clients, je me permettais de t'inciter à me suivre, d'un simple coup de tête.
« La question du dérangement, ou non, n'est pas à se poser Mademoiselle Hwa. Vous dérangez mon travail en tant que vendeur. Mais, que puis-je faire contre cela ? Autant rendre ma présence à vos côtés utile. Leçon numéro une : chaque chose, à sa place. Je suppose que vous pouvez le voir, malgré les regards portés à l'égard de votre personne, chaque vêtement, chaussures, accessoires, vendeuses possède une place prédéfinie. » Que pouvais-je bien apprendre, au fond ? J'avais moi-même créer mon expérience au travers de ces longs mois passés à travailler au sein de cette boutique. La technique n'était rien, comparée à la pratique. C'est un fait irrévocable. Mais, pouvais-je véritablement jeter ce petit agneau dans la fosse aux lions sans l'avoir préparée ? Hésitant, j'osais m'abaisser afin de parvenir à glisser mon visage à la même hauteur que le tien. Dos courbé, c'est après avoir démontré un groupe de jeunes femmes du regard que j'osais murmurer : « Vous savez, tout ne s'apprend pas. J'aimerais bien voir de quoi vous êtes capable afin de jauger le taux d'espoir que je peux avoir en vous. » Un ricanement ponctuant ces propos, je ne pris même pas le temps d'attendre une réaction de ta part, je te poussais à agir.
« Mesdames. Permettez-moi de vous interrompre ; mademoiselle Hwa, une novice dans l'âme se dois de vous offrir son aide. N'hésitez pas à la torturer, et, si besoin, je ne serais pas loin. » Un simple clin d’œil ponctuait ces propos énoncés tandis que j'osais fuir à mon tour, après m'être permis d'énoncer un « courage » au creux de l'une de tes oreilles.
Je ne resterais pas loin. Je me contenterais d'observer avant que la situation ne puisse déraper. J'avais dans l'optique de te torturer, aussi. Mais cela, devait rester entre moi, et mes idées quelque peu... Mauvaises.
© BANGERZ
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tenue + « I don't care. I really don't care. »
Hwa Ji Soo, ou, tout autre. Peu m'importait. La seule et unique chose que j'osais retenir concernant l'identité de cette jeune femme était l'idée que, si j'osais véritablement la traiter vulgairement, mon rôle au sein de cette boutique serait très certainement remis en question avant que je ne puisse définitivement passer le pas de cette porter sans pouvoir de nouveau parvenir à endosser le rôle de vendeur. Quelle ironie du sort que, cette « éducation » concernant les moindres aspects d'une direction de boutique, ou, du rôle de vendeur me soit délesté. Qu'avais-je donc fait pour mériter ce véritable calvaire ? Oui, qu'avais-je bien pu faire ? Un soupir traversait mes lippes tandis que j'osais glisser chacune de mes mains au creux des poches de ce jean que je portais. Traînant quelque peu des pieds, voilà que les questions fusaient sans que je ne puisse faire quoi que ce soit contre cela. La chère et tendre progéniture du grand manitou ne connaissait donc rien en ce qui concerne la vente ? Ni, même, la gestion ? Elle creusait sa propre tombe, cette pauvre petite. Osais-je penser tandis, qu'un simple et unique sourire s'emparait de mes lippes. Usant de ce masque empli d'hypocrisie que j'affectionnais tant afin de parfaire l'image professionnelle que je pouvais entretenir à l'égard de chacun des clients, je me permettais de t'inciter à me suivre, d'un simple coup de tête.
« La question du dérangement, ou non, n'est pas à se poser Mademoiselle Hwa. Vous dérangez mon travail en tant que vendeur. Mais, que puis-je faire contre cela ? Autant rendre ma présence à vos côtés utile. Leçon numéro une : chaque chose, à sa place. Je suppose que vous pouvez le voir, malgré les regards portés à l'égard de votre personne, chaque vêtement, chaussures, accessoires, vendeuses possède une place prédéfinie. » Que pouvais-je bien apprendre, au fond ? J'avais moi-même créer mon expérience au travers de ces longs mois passés à travailler au sein de cette boutique. La technique n'était rien, comparée à la pratique. C'est un fait irrévocable. Mais, pouvais-je véritablement jeter ce petit agneau dans la fosse aux lions sans l'avoir préparée ? Hésitant, j'osais m'abaisser afin de parvenir à glisser mon visage à la même hauteur que le tien. Dos courbé, c'est après avoir démontré un groupe de jeunes femmes du regard que j'osais murmurer : « Vous savez, tout ne s'apprend pas. J'aimerais bien voir de quoi vous êtes capable afin de jauger le taux d'espoir que je peux avoir en vous. » Un ricanement ponctuant ces propos, je ne pris même pas le temps d'attendre une réaction de ta part, je te poussais à agir.
« Mesdames. Permettez-moi de vous interrompre ; mademoiselle Hwa, une novice dans l'âme se dois de vous offrir son aide. N'hésitez pas à la torturer, et, si besoin, je ne serais pas loin. » Un simple clin d’œil ponctuait ces propos énoncés tandis que j'osais fuir à mon tour, après m'être permis d'énoncer un « courage » au creux de l'une de tes oreilles.
Je ne resterais pas loin. Je me contenterais d'observer avant que la situation ne puisse déraper. J'avais dans l'optique de te torturer, aussi. Mais cela, devait rester entre moi, et mes idées quelque peu... Mauvaises.
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