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BUY IT BRO, BUY IT. w/ ji hoon.
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Re: BUY IT BRO, BUY IT. w/ ji hoon. | Sam 28 Nov - 20:52 Citer EditerSupprimer ft. jihoon&jiro.
Passer de simple connaissance récurrente au sein d'une quelconque, au début d'une douce amitié ? Usé de votre savoir-faire, un café, des discussions, et enfin, échangez vos numéros de téléphone respectifs. Voici donc les règles pour y parvenir ? Je ne me gênerais pas pour appliquer celle-ci ultérieurement en compagnie d'une toute autre personne si cela s'avère être véritablement efficace. C'est donc, tout naturellement que j'offrais un sourire à l'égard de ta personne lorsque tu osais énoncer le simple fait que tu permettrait de m'envoyer un message lorsque cette sortie si agréable prendrait fin. En parlant de fin... J'osais jeter un regard à l'intention de cette montre surplombant mon poignet afin de jeter un simple coup d’œil vers l'heure exacte qu'il était actuellement. Pourquoi, diable, le temps passe-t-il si vite lorsque vous semblez trouver un véritable intérêt à l'égard de l'instant présent ? Oui, pourquoi ?
Un léger soupir traversait mes lippes avant que je ne puisse de nouveau me permettre de balayer ma chevelure vers l'arrière de mon crâne. Une énième gorgée de ce fin liquide si amer parcourant ma cavité buccale tandis que je me voyais déjà quitter rapidement ces lieux afin de vaquer à mes obligations professionnelles. J'aurais souhaité obtenir la capacité de stopper le temps il y a bien longtemps de cela, mais, ces mythes si désirables n'étaient que, source ultime, de nos imaginations si débordantes. « Qui sais, peut-être que, d'ici là, j'aurais moi aussi quelqu'un qui m'accompagnera, ainsi, ta chère et tendre se sentira moins seule, ah, ah. » Une légère plaisanterie, qui, au fond, voulait en dire bien plus qu'elle ne pouvait le faire entendre. Il est vrai que, d'un simple regard à l'intention de mon répertoire, je pouvais rassembler un bon nombre de jeunes femmes qui souhaiteraient m'accompagner en ces lieux, mais, loin de là l'idée que celles-ci puissent faire bonne figure... Bien au contraire. La plupart d'entre elles n'avaient été que de simples rencontres sans véritablement porter un grand intérêt à l'égard de celles-ci. Un échange, une discussion, des numéros volants çà et là tandis que nous n'y avions prêté qu'une infime attention. Et alors, lorsque l'un de nous se sent véritablement seul, il ose faire appel à l'autre. Ridicule, n'est-ce pas ? Je dénigrais moi-même ces actes. Et pourtant... Je me voyais à accepter cela, parfois. Quel idiot.
« Mon Cher Ji Hoon, ne m'en veux pas, mais. Après ces longues minutes qui m'ont paru semblables à quelques secondes, le temps défile si vite et mes obligations vont me pousser à retourner à la boutique plus vite que prévu. Tu ne m'en veux pas, hein ? » Question rhétorique, en soi. Je doute que tu puisses agir d'une manière si enfantine, au moins, que cela ne soit uniquement afin de me taquiner ou, simplement me faire culpabiliser à l'égard de cette soudaine décision que je venais de prendre. Enfin, décision... Obligation, surtout. Je me permettais donc, de rassembler rapidement mes affaires afin de parvenir à regagner cette image impeccable et nette. Réajustant vulgairement cette simple veste que je portais de peur que l'air estival ne puisse nous abandonner une nouvelle fois. Je me redressais. Cigarette glissée contre l'arrière de l'une de mes oreilles. Un énième réconfort afin de parvenir à retrouver ce travail que j'affectionne, malgré tout. « Hé, au fait. Je veux connaître la réaction de Joo Hee, ne m'oublie pas. Histoire que je puisse être fier d'avoir trouvé la robe adéquate, ou non. »
© BANGERZ
baby, i'm preying on you tonight.
tenue + « Can't read my poker face. »
Passer de simple connaissance récurrente au sein d'une quelconque, au début d'une douce amitié ? Usé de votre savoir-faire, un café, des discussions, et enfin, échangez vos numéros de téléphone respectifs. Voici donc les règles pour y parvenir ? Je ne me gênerais pas pour appliquer celle-ci ultérieurement en compagnie d'une toute autre personne si cela s'avère être véritablement efficace. C'est donc, tout naturellement que j'offrais un sourire à l'égard de ta personne lorsque tu osais énoncer le simple fait que tu permettrait de m'envoyer un message lorsque cette sortie si agréable prendrait fin. En parlant de fin... J'osais jeter un regard à l'intention de cette montre surplombant mon poignet afin de jeter un simple coup d’œil vers l'heure exacte qu'il était actuellement. Pourquoi, diable, le temps passe-t-il si vite lorsque vous semblez trouver un véritable intérêt à l'égard de l'instant présent ? Oui, pourquoi ?
Un léger soupir traversait mes lippes avant que je ne puisse de nouveau me permettre de balayer ma chevelure vers l'arrière de mon crâne. Une énième gorgée de ce fin liquide si amer parcourant ma cavité buccale tandis que je me voyais déjà quitter rapidement ces lieux afin de vaquer à mes obligations professionnelles. J'aurais souhaité obtenir la capacité de stopper le temps il y a bien longtemps de cela, mais, ces mythes si désirables n'étaient que, source ultime, de nos imaginations si débordantes. « Qui sais, peut-être que, d'ici là, j'aurais moi aussi quelqu'un qui m'accompagnera, ainsi, ta chère et tendre se sentira moins seule, ah, ah. » Une légère plaisanterie, qui, au fond, voulait en dire bien plus qu'elle ne pouvait le faire entendre. Il est vrai que, d'un simple regard à l'intention de mon répertoire, je pouvais rassembler un bon nombre de jeunes femmes qui souhaiteraient m'accompagner en ces lieux, mais, loin de là l'idée que celles-ci puissent faire bonne figure... Bien au contraire. La plupart d'entre elles n'avaient été que de simples rencontres sans véritablement porter un grand intérêt à l'égard de celles-ci. Un échange, une discussion, des numéros volants çà et là tandis que nous n'y avions prêté qu'une infime attention. Et alors, lorsque l'un de nous se sent véritablement seul, il ose faire appel à l'autre. Ridicule, n'est-ce pas ? Je dénigrais moi-même ces actes. Et pourtant... Je me voyais à accepter cela, parfois. Quel idiot.
« Mon Cher Ji Hoon, ne m'en veux pas, mais. Après ces longues minutes qui m'ont paru semblables à quelques secondes, le temps défile si vite et mes obligations vont me pousser à retourner à la boutique plus vite que prévu. Tu ne m'en veux pas, hein ? » Question rhétorique, en soi. Je doute que tu puisses agir d'une manière si enfantine, au moins, que cela ne soit uniquement afin de me taquiner ou, simplement me faire culpabiliser à l'égard de cette soudaine décision que je venais de prendre. Enfin, décision... Obligation, surtout. Je me permettais donc, de rassembler rapidement mes affaires afin de parvenir à regagner cette image impeccable et nette. Réajustant vulgairement cette simple veste que je portais de peur que l'air estival ne puisse nous abandonner une nouvelle fois. Je me redressais. Cigarette glissée contre l'arrière de l'une de mes oreilles. Un énième réconfort afin de parvenir à retrouver ce travail que j'affectionne, malgré tout. « Hé, au fait. Je veux connaître la réaction de Joo Hee, ne m'oublie pas. Histoire que je puisse être fier d'avoir trouvé la robe adéquate, ou non. »
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Re: BUY IT BRO, BUY IT. w/ ji hoon. | Dim 29 Nov - 15:51 Citer EditerSupprimer
Buy it bro, buy it
ft. Moon Ji Hoon & Zhang Jiro
After the gates of prophecies A million light years away from me Straight for the eye of destiny Reaching the point of tears. ▬ WOODKID
Le temps passait à une vitesse, quand on appréciait le moment présent. C'était frustrant. C'étaient toujours les choses qu'on savourait le plus qui devaient être courtes. Ephémères. Jiro avait brisé cette si belle harmonie, ce début d'une amitié prometteuse, mais je ne lui en voulais pas. Son travail l'attendait, je ne pouvais que le comprendre. Il se leva. Je le suivis du regard, sans me dévisser de la banquette, alors que mes doigts se resserraient sur le gobelet fumant. J'étais triste. Un peu déçu aussi. Mais sa boutique ne pouvait pas attendre, surtout quand il s'agissait d'un magasin de luxe. J'imaginais déjà ses collègues de travail le juger du regard pour avoir pris la liberté de caler sa pause à cet instant précis. Comme il le voulait. Je secouai ma tête et me levai à mon tour de la table, laissant pour l'occasion le gobelet à sa place, pour l'instant. « Ne t'en fais pas, le travail n'attend pas. Nous aurons d'autres occasions de nous voir. » lui fis-je avec un petit sourire, pour le détendre et le rassurer. Je me permis ensuite de poser ma main sur son épaule, en accolade sympathique, puis je pris mon gobelet, mon précieux sac, et je marchai à ses côtés pour quitter le café.
La brise légère de l'extérieur fouetta ma joue, et je plissai les yeux pour m'habituer aux rayons du soleil. Je ne perdis pas de temps pour remettre mes lunettes de soleil sur le nez. Jiro tripotait légèrement la cigarette coincée derrière son oreille. Je l'observai. Je ne fumais pas, et je n'en étais pas mécontent. La cigarette était source de problèmes, j'étais bien satisfait de ne pas avoir plongé dedans. Tout comme l'alcool ne faisait pas partie de mon quotidien. Oh bien sûr, je m'étais déjà mis à l'envers plusieurs fois, mais je ne tenais tellement pas l'alcool que j'avais décidé de ne pas en boire souvent. Jiro buvait-il aussi de l'alcool ? Comme tout jeune de notre âge, j'imaginais que oui. J'agitai légèrement le sac pour attirer l'attention du vendeur dessus. « Tu seras le premier au courant, Jiro. Merci encore pour tes précieux conseils, je suis certain que cette robe lui plaira. » Il en fallait peu pour faire plaisir à Joo Hee, en même temps. Mais j'étais surtout anxieux de la façon dont laquelle elle me pardonnerait, ou pas. J'étais le centre du problème, la robe n'était là que pour faire joli. Je me mordis la lèvre, légèrement inquiet, mais je chassai bien vite cette idée de ma tête et je m'écartai de quelques pas. « Bon... Je vais rentrer alors. Je t'enverrai le message en arrivant. »
La brise légère de l'extérieur fouetta ma joue, et je plissai les yeux pour m'habituer aux rayons du soleil. Je ne perdis pas de temps pour remettre mes lunettes de soleil sur le nez. Jiro tripotait légèrement la cigarette coincée derrière son oreille. Je l'observai. Je ne fumais pas, et je n'en étais pas mécontent. La cigarette était source de problèmes, j'étais bien satisfait de ne pas avoir plongé dedans. Tout comme l'alcool ne faisait pas partie de mon quotidien. Oh bien sûr, je m'étais déjà mis à l'envers plusieurs fois, mais je ne tenais tellement pas l'alcool que j'avais décidé de ne pas en boire souvent. Jiro buvait-il aussi de l'alcool ? Comme tout jeune de notre âge, j'imaginais que oui. J'agitai légèrement le sac pour attirer l'attention du vendeur dessus. « Tu seras le premier au courant, Jiro. Merci encore pour tes précieux conseils, je suis certain que cette robe lui plaira. » Il en fallait peu pour faire plaisir à Joo Hee, en même temps. Mais j'étais surtout anxieux de la façon dont laquelle elle me pardonnerait, ou pas. J'étais le centre du problème, la robe n'était là que pour faire joli. Je me mordis la lèvre, légèrement inquiet, mais je chassai bien vite cette idée de ma tête et je m'écartai de quelques pas. « Bon... Je vais rentrer alors. Je t'enverrai le message en arrivant. »
© Gasmask
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Re: BUY IT BRO, BUY IT. w/ ji hoon. | Dim 29 Nov - 17:07 Citer EditerSupprimer ft. jihoon&jiro.
Dire que le temps jouait contre nous n'était guère un mensonge.
Aussitôt, avais-je enfilé cette veste, que, aussitôt, nous nous étions permis de rejoindre l'extérieur. Des rayons du soleil semblant bel et bien persistant tandis que l'air frais de l'hiver osait se frayer, à son tour, un chemin. Nous étions alors, partagés entre ces deux faits totalement distincts qui nous poussaient à réfléchir durant une longue demie-heure, chaque matin, à la façon dont nous allons nous habiller. Ne pas craindre le froid, sans être trop couvert. Quel dilemme que voilà. Et pourtant. C'est donc tout naturellement que l'une de mes mains vint machinalement frotter mes bras avant que je ne puisse me permettre de m'abandonner, à nouveau, au creux de ce sentiment si agréable qui pouvait m'offrir la nicotine. Inspirant lourdement cette dogue douce sans véritablement me soucier des conséquences que cela pourrait engendrer sur mon être, je n'en avais que faire. Contrairement à certains, qui, osaient dénigrer la moindre source de « bonheur » que cela pouvait provoquer à l'égard de personne telle que moi. Je comprenais, bien évidemment, ceux qui refusaient de jouer avec cela, mais de là à énoncer la simple idée que la mort se trouvait au bout de ces mégots n'étaient que balivernes.
« Je retiens, si je ne suis pas le premier, je t'en voudrais, attention. » Une douce menace en l'air, énoncé sur le ton de la plaisanterie tandis que nous parvenions déjà, à rejoindre la devanture de la boutique. Le temps ne pouvait-il pas jouer en notre faveur ? Je maudissais celui-ci intérieurement tandis que tu osais faire quelques pas en arrière, tout en énonçant le simple fait que tu devais à ton tour fuir afin de vaquer à tes propres occupations. Je ne pouvais alors, pas m'empêcher de m'avancer de ta personne afin de t'offrir cette accolade plutôt masculine et sincère qui s'en voulait être un remerciement concernant cette après-midi fort agréable que j'avais pu passer à tes côtés. « Si je n'ai pas de messages, je vais sombrer dans une tristesse sans nom, je m'en remets à toi. » Un ricanement glissé au travers de mes lippes et voilà que chacun de nous tournait les talons afin de parvenir à ce lieu qui semblait nous attendre. D'un simple détour, je parvenais à cette porte menant vers l'arrière-boutique et voilà qu'après quelques secondes d'hésitation, j'osais de nouveau faire mon apparition sous les regards plutôt satisfaits et soulagés de mes collègues. Je pouvais discerner, au brouhaha, qu'une horde de clients venaient de se réfugier au sein de la bâtisse et que, mon aide n'allait pas être de refus, bien au contraire. Je pris donc l'initiative d'agir rapidement afin de parvenir à offrir mon aide auprès de ces jeunes femmes débordées, un soulagement, une habitude, un sourire, le tour était joué. La journée, quant à elle, loin d'être finie.
© BANGERZ
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tenue + « Can't read my poker face. »
Dire que le temps jouait contre nous n'était guère un mensonge.
Aussitôt, avais-je enfilé cette veste, que, aussitôt, nous nous étions permis de rejoindre l'extérieur. Des rayons du soleil semblant bel et bien persistant tandis que l'air frais de l'hiver osait se frayer, à son tour, un chemin. Nous étions alors, partagés entre ces deux faits totalement distincts qui nous poussaient à réfléchir durant une longue demie-heure, chaque matin, à la façon dont nous allons nous habiller. Ne pas craindre le froid, sans être trop couvert. Quel dilemme que voilà. Et pourtant. C'est donc tout naturellement que l'une de mes mains vint machinalement frotter mes bras avant que je ne puisse me permettre de m'abandonner, à nouveau, au creux de ce sentiment si agréable qui pouvait m'offrir la nicotine. Inspirant lourdement cette dogue douce sans véritablement me soucier des conséquences que cela pourrait engendrer sur mon être, je n'en avais que faire. Contrairement à certains, qui, osaient dénigrer la moindre source de « bonheur » que cela pouvait provoquer à l'égard de personne telle que moi. Je comprenais, bien évidemment, ceux qui refusaient de jouer avec cela, mais de là à énoncer la simple idée que la mort se trouvait au bout de ces mégots n'étaient que balivernes.
« Je retiens, si je ne suis pas le premier, je t'en voudrais, attention. » Une douce menace en l'air, énoncé sur le ton de la plaisanterie tandis que nous parvenions déjà, à rejoindre la devanture de la boutique. Le temps ne pouvait-il pas jouer en notre faveur ? Je maudissais celui-ci intérieurement tandis que tu osais faire quelques pas en arrière, tout en énonçant le simple fait que tu devais à ton tour fuir afin de vaquer à tes propres occupations. Je ne pouvais alors, pas m'empêcher de m'avancer de ta personne afin de t'offrir cette accolade plutôt masculine et sincère qui s'en voulait être un remerciement concernant cette après-midi fort agréable que j'avais pu passer à tes côtés. « Si je n'ai pas de messages, je vais sombrer dans une tristesse sans nom, je m'en remets à toi. » Un ricanement glissé au travers de mes lippes et voilà que chacun de nous tournait les talons afin de parvenir à ce lieu qui semblait nous attendre. D'un simple détour, je parvenais à cette porte menant vers l'arrière-boutique et voilà qu'après quelques secondes d'hésitation, j'osais de nouveau faire mon apparition sous les regards plutôt satisfaits et soulagés de mes collègues. Je pouvais discerner, au brouhaha, qu'une horde de clients venaient de se réfugier au sein de la bâtisse et que, mon aide n'allait pas être de refus, bien au contraire. Je pris donc l'initiative d'agir rapidement afin de parvenir à offrir mon aide auprès de ces jeunes femmes débordées, un soulagement, une habitude, un sourire, le tour était joué. La journée, quant à elle, loin d'être finie.
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