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Happiness is, dancing like idiots. (boja)
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Happiness is, dancing like idiots. (boja) | Jeu 19 Nov - 11:50
La musique dans les oreilles, je déambulai dans les rues du centre-ville. J’étais en pleine forme même si je sortais à peine d’un entraînement de danse avec le crew. J’avais toujours de l’énergie à revendre mais le moteur essentiel de celle-ci était relatif à ma petite escapade presque nocturne. En fait, je faisais un gros détour pour rendre visite à ma meilleure amie. J’avais carrément eu la délicatesse de ne pas la prévenir ! Je risquais peut-être de me faire avoir ou d’arriver au mauvais moment vu ma poisse légendaire, mais j'espérais avoir une bonne étoile au moins une fois dans ma vie ! Tout sourire, il me restait seulement quelques mètres à parcourir avant de rejoindre sa demeure. Toutefois, comme un idiot, j’étais venu les mains vides. Choqué par mon impolitesse, je me mis à gesticuler en plein milieu du trottoir, laissant croire aux passants que je pourrais à tout moment frapper ma tête contre un mur. Mais heureusement, je n’étais pas non plus atteint à ce point. Je fis alors demi-tour pour acheter un petit quelque chose. Juste avant, j’avais vu plusieurs boutiques et l’une d’entre elles pourrait réussir à satisfaire mes attentes. De la nourriture …. Ou des fleurs ? Je fronçai doucement les sourcils pour me donner un air réfléchi ! Puis, au bout de plusieurs minutes, je décidai seulement d’acheter une rose rose. C’était vraiment minime mais je n’avais pas beaucoup de moyens ! Ce n’était pas non plus son anniversaire ! Alors pourquoi ???? Je me dirigeai de nouveau vers son dortoir, où je finis par arriver devant après quelques minutes. Frappant à la porte, j’affichai un sourire, tout excité : « Dongsaeng ! Ouvre-moi. » Je profitai de l'attente pour cacher la fleur derrière mon dos. J'espérais juste qu'elle soit bien dans sa chambre. Dans le cas contraire, elle pourrait repérer ma petite rose en un instant.
Happiness is, dancing like idiots.
SON BO JA & KIM JUNG HWA
La musique dans les oreilles, je déambulai dans les rues du centre-ville. J’étais en pleine forme même si je sortais à peine d’un entraînement de danse avec le crew. J’avais toujours de l’énergie à revendre mais le moteur essentiel de celle-ci était relatif à ma petite escapade presque nocturne. En fait, je faisais un gros détour pour rendre visite à ma meilleure amie. J’avais carrément eu la délicatesse de ne pas la prévenir ! Je risquais peut-être de me faire avoir ou d’arriver au mauvais moment vu ma poisse légendaire, mais j'espérais avoir une bonne étoile au moins une fois dans ma vie ! Tout sourire, il me restait seulement quelques mètres à parcourir avant de rejoindre sa demeure. Toutefois, comme un idiot, j’étais venu les mains vides. Choqué par mon impolitesse, je me mis à gesticuler en plein milieu du trottoir, laissant croire aux passants que je pourrais à tout moment frapper ma tête contre un mur. Mais heureusement, je n’étais pas non plus atteint à ce point. Je fis alors demi-tour pour acheter un petit quelque chose. Juste avant, j’avais vu plusieurs boutiques et l’une d’entre elles pourrait réussir à satisfaire mes attentes. De la nourriture …. Ou des fleurs ? Je fronçai doucement les sourcils pour me donner un air réfléchi ! Puis, au bout de plusieurs minutes, je décidai seulement d’acheter une rose rose. C’était vraiment minime mais je n’avais pas beaucoup de moyens ! Ce n’était pas non plus son anniversaire ! Alors pourquoi ???? Je me dirigeai de nouveau vers son dortoir, où je finis par arriver devant après quelques minutes. Frappant à la porte, j’affichai un sourire, tout excité : « Dongsaeng ! Ouvre-moi. » Je profitai de l'attente pour cacher la fleur derrière mon dos. J'espérais juste qu'elle soit bien dans sa chambre. Dans le cas contraire, elle pourrait repérer ma petite rose en un instant. © kerushirei
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Re: Happiness is, dancing like idiots. (boja) | Jeu 19 Nov - 12:24
Je sortai d'un de mes cours de sport, et j'étais fracassée. Non en fait je sortais d'un café où j'avais siroté une limonade bien fraîche au soleil avec quelques élèves de staps. Limonade qui m'avait gentiment été offert. Ca aurait du me détendre, mais tout ce dont j'avais besoin c'était de prendre une douche tiède et de loukoumer dans mon lit. En montant les marches jusqu'au dortoir, je détachai ma longue chevelure brune en me massant les crâne. Je les avais serré tellement fort que je m'étais offert gratuitement un mal de crâne pas possible. Stupide vie.
Grimaçant donc et endurant ce mal en silence, je marchai jusqu'à ma chambre quand j'aperçu devant ma porte un personnage familier : Jung Hwa. Il était là, le nez en l'air, à m'attendre. On aurait dit un cartoon c'était amusant. Je souris finement en apercevant la rose qu'il avait entre les mains. Puis finalement, je pris mon élan pour lui sauter sur le dos tel un koala les jambes enroulés autour de sa taille et les bras autour de sa nuque. Pris au piège, le singe.
Moi qui voulait me reposer, en compagnie de mon meilleur ami ça n'allait pas être gagné. Déposant un petit bisou sur sa joue, je restai scotchée à son dos telle une sangsue. Avec les mauvais jours que je passais, cela me réconforta un peu de le voir. Et me rendit un peu de cette bonne humeur perdue.
Happiness is, dancing like idiots.
SON BO JA & KIM JUNG HWA
Je sortai d'un de mes cours de sport, et j'étais fracassée. Non en fait je sortais d'un café où j'avais siroté une limonade bien fraîche au soleil avec quelques élèves de staps. Limonade qui m'avait gentiment été offert. Ca aurait du me détendre, mais tout ce dont j'avais besoin c'était de prendre une douche tiède et de loukoumer dans mon lit. En montant les marches jusqu'au dortoir, je détachai ma longue chevelure brune en me massant les crâne. Je les avais serré tellement fort que je m'étais offert gratuitement un mal de crâne pas possible. Stupide vie.Grimaçant donc et endurant ce mal en silence, je marchai jusqu'à ma chambre quand j'aperçu devant ma porte un personnage familier : Jung Hwa. Il était là, le nez en l'air, à m'attendre. On aurait dit un cartoon c'était amusant. Je souris finement en apercevant la rose qu'il avait entre les mains. Puis finalement, je pris mon élan pour lui sauter sur le dos tel un koala les jambes enroulés autour de sa taille et les bras autour de sa nuque. Pris au piège, le singe.
Moi qui voulait me reposer, en compagnie de mon meilleur ami ça n'allait pas être gagné. Déposant un petit bisou sur sa joue, je restai scotchée à son dos telle une sangsue. Avec les mauvais jours que je passais, cela me réconforta un peu de le voir. Et me rendit un peu de cette bonne humeur perdue.
© kerushirei
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Re: Happiness is, dancing like idiots. (boja) | Lun 23 Nov - 14:26
Le cœur meurtri, j’attendais toujours devant cette porte mais personne ne tenait à m’ouvrir. Ma patience avait des limites et pourtant la belle voulait mettre mes nerfs à rude épreuve. Bo Ja ne méritait aucun cadeau de ma part si elle s’amusait à se jouer de moi. Fronçant doucement les sourcils, je me rappelai que je pourrais toujours mettre fin à mes jours en utilisant cette belle rose. Les épines pourraient toujours me permettre de me vider de mon sang. Berk, j’étais affreusement dégueulasse. Je me collais alors une claque en guise de punition. Toutefois, celle-ci était bien ridicule comparé à celle que je venais de subir. En effet, quelques minutes après, un poids s’écrasa sur mon dos. Surpris, je lâchai un léger cri avant de poser mes mains sur les gambettes qui dépassaient. Lâchant un rire résigné à la vue de ces dernières, celui-ci devint plus amusé au fil des secondes. J’étais décidément un jeune homme peu chanceux, voire pas du tout. La belle avait clairement pu repérer ma surprise avant de se jeter sur moi comme si elle voulait arracher mes fringues ! La cochonne ! Toutefois, je ne comptais pas me plaindre, surtout après ce petit baiser sur ma joue. Souriant, je décidai de tourner les choses à mon avantage. « Tu t’es faite attendre. » fis-je remarquer tout en remontant son corps frêle. Si elle commençait à glisser, nous n’étions pas prêts d’arriver. Je fis ensuite un tour sur moi-même et ajoutai : « Merci de me faciliter la tâche ! JE VAIS POUVOIR TE KIDNAPPER SANS SUBIR AUCUNE RESISTANCE. MWAHAHA ! » Et comme si mon cri n’était suffisamment pas explicite, je me mis à courir dans les couloirs tout en portant ma meilleure amie sur le dos. Riant de bon cœur, une porte me bloqua le passage. J’arrêtai alors ma course et réclamai : « Bo Ja, tu ne vas pas rester là sans rien faire. Jungie d’amour a besoin de ton aide ! » Je ne pouvais pas tout faire. Seules les femmes étaient capables de réaliser plusieurs tâches en même temps. Et personnellement, j’en avais dans le pantalon.
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Le cœur meurtri, j’attendais toujours devant cette porte mais personne ne tenait à m’ouvrir. Ma patience avait des limites et pourtant la belle voulait mettre mes nerfs à rude épreuve. Bo Ja ne méritait aucun cadeau de ma part si elle s’amusait à se jouer de moi. Fronçant doucement les sourcils, je me rappelai que je pourrais toujours mettre fin à mes jours en utilisant cette belle rose. Les épines pourraient toujours me permettre de me vider de mon sang. Berk, j’étais affreusement dégueulasse. Je me collais alors une claque en guise de punition. Toutefois, celle-ci était bien ridicule comparé à celle que je venais de subir. En effet, quelques minutes après, un poids s’écrasa sur mon dos. Surpris, je lâchai un léger cri avant de poser mes mains sur les gambettes qui dépassaient. Lâchant un rire résigné à la vue de ces dernières, celui-ci devint plus amusé au fil des secondes. J’étais décidément un jeune homme peu chanceux, voire pas du tout. La belle avait clairement pu repérer ma surprise avant de se jeter sur moi comme si elle voulait arracher mes fringues ! La cochonne ! Toutefois, je ne comptais pas me plaindre, surtout après ce petit baiser sur ma joue. Souriant, je décidai de tourner les choses à mon avantage. « Tu t’es faite attendre. » fis-je remarquer tout en remontant son corps frêle. Si elle commençait à glisser, nous n’étions pas prêts d’arriver. Je fis ensuite un tour sur moi-même et ajoutai : « Merci de me faciliter la tâche ! JE VAIS POUVOIR TE KIDNAPPER SANS SUBIR AUCUNE RESISTANCE. MWAHAHA ! » Et comme si mon cri n’était suffisamment pas explicite, je me mis à courir dans les couloirs tout en portant ma meilleure amie sur le dos. Riant de bon cœur, une porte me bloqua le passage. J’arrêtai alors ma course et réclamai : « Bo Ja, tu ne vas pas rester là sans rien faire. Jungie d’amour a besoin de ton aide ! » Je ne pouvais pas tout faire. Seules les femmes étaient capables de réaliser plusieurs tâches en même temps. Et personnellement, j’en avais dans le pantalon. © kerushirei
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Re: Happiness is, dancing like idiots. (boja) | Mer 9 Déc - 17:56
J'affichai un large sourire, ris même, en entendant son petit cri de femmelette. Une demoiselle en détresse, attaquée par le méchant scorpion que je suis. Je le serrai un peu dans mes bras, et picora sa joue de baisers pour lui montrer à quelle point j'étais contente de le voir ici. Quel petit cachottier, décidément. Enfin un petit cachottier qui savait me faire plaisir, précisons. Je gigotais tellement que je sentais mon corps s'affaler entièrement sur lui, glissant comme un vieille chose molle et gluante. C'était franchement grotesque à voir, une grosse larve. Mais avant que je puisse me réajuster correctement, Jung Hwa fit un volte face innattendu – comme à peu près toute les choses qu'il entreprend. Ce type, est aussi téméraire qu'un lapin on ne sait jamais comment va être sa réaction, ce qu'il va faire, ou même ce qu'il va dire. Il faut rester sur ses gardes, on ne sait jamais les pulsions où les idées qui pourraient lui traverser l'esprit. Je suis habituée, je l'avoue. Mais quand on dort dans la même pièce, je continue à garder un œil ouvert : mieux vaut prévenir que guérrir.
Et donc, de façon toute aussi inattendue, il se mit à galoper en beuglant à travers les couloirs. Je sentais, mais je sentais si fort, qu'il allait nous arriver un accident. Je sentais qu'il ne contrôlait pas ses virages, j'avais l'impression d'être sur la Route Arc en Ciel dans Mario Kart voyez vous : vous roulez, vous faîtes le dingue mais vous savez que vous allez vous ramasser à un moment donné. Je nichai alors mon visage dans son cou pour essayer de protéger mes neurones quand il se stoppa net. J'ouvris un œil, puis deux. Non, on était toujours en vie. Tous les deux. Mais je le vis fixer la porte, comme si un super pouvoir allait lui permettre de l'ouvrir. Il dut abandonner l'idée étant donné qu'il me confia la tâche. Je lui adresse un petite moue puis regarde la poignée. Laissez moi vous raconter.
Dans un premier temps, je tends le bras histoire d'avoir un peu d'espoir. Mais non. The thing is, que mon ami avait l'air déterminé à ne pas bouger d'un pouce et à me faire galérer bien comme il faut. De ce fait, je m'avachis sur lui pour qu'il se penche, courbant son dos et sa tête. A cet instant, plié à 90°, Jung Hwa aurait pu posé comme table basse chez Ikea. Et c'était parfait parce que je pus glisser en avant, rabattre ma main sur la poignée d'un coup sec...
Et m'exploser au sol par la même occasion. Oui oui. Je venais de me ramasser de façon lamentable, quittant son dos confortable pour me retrouver la tête la première par terre et les fesses en l'air. Je vous avoue avoir connue des moments moins humiliants mais bon. La prochaine fois, on évitera la Route Arc en Ciel.
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SON BO JA & KIM JUNG HWA
J'affichai un large sourire, ris même, en entendant son petit cri de femmelette. Une demoiselle en détresse, attaquée par le méchant scorpion que je suis. Je le serrai un peu dans mes bras, et picora sa joue de baisers pour lui montrer à quelle point j'étais contente de le voir ici. Quel petit cachottier, décidément. Enfin un petit cachottier qui savait me faire plaisir, précisons. Je gigotais tellement que je sentais mon corps s'affaler entièrement sur lui, glissant comme un vieille chose molle et gluante. C'était franchement grotesque à voir, une grosse larve. Mais avant que je puisse me réajuster correctement, Jung Hwa fit un volte face innattendu – comme à peu près toute les choses qu'il entreprend. Ce type, est aussi téméraire qu'un lapin on ne sait jamais comment va être sa réaction, ce qu'il va faire, ou même ce qu'il va dire. Il faut rester sur ses gardes, on ne sait jamais les pulsions où les idées qui pourraient lui traverser l'esprit. Je suis habituée, je l'avoue. Mais quand on dort dans la même pièce, je continue à garder un œil ouvert : mieux vaut prévenir que guérrir.Et donc, de façon toute aussi inattendue, il se mit à galoper en beuglant à travers les couloirs. Je sentais, mais je sentais si fort, qu'il allait nous arriver un accident. Je sentais qu'il ne contrôlait pas ses virages, j'avais l'impression d'être sur la Route Arc en Ciel dans Mario Kart voyez vous : vous roulez, vous faîtes le dingue mais vous savez que vous allez vous ramasser à un moment donné. Je nichai alors mon visage dans son cou pour essayer de protéger mes neurones quand il se stoppa net. J'ouvris un œil, puis deux. Non, on était toujours en vie. Tous les deux. Mais je le vis fixer la porte, comme si un super pouvoir allait lui permettre de l'ouvrir. Il dut abandonner l'idée étant donné qu'il me confia la tâche. Je lui adresse un petite moue puis regarde la poignée. Laissez moi vous raconter.
Dans un premier temps, je tends le bras histoire d'avoir un peu d'espoir. Mais non. The thing is, que mon ami avait l'air déterminé à ne pas bouger d'un pouce et à me faire galérer bien comme il faut. De ce fait, je m'avachis sur lui pour qu'il se penche, courbant son dos et sa tête. A cet instant, plié à 90°, Jung Hwa aurait pu posé comme table basse chez Ikea. Et c'était parfait parce que je pus glisser en avant, rabattre ma main sur la poignée d'un coup sec...
Et m'exploser au sol par la même occasion. Oui oui. Je venais de me ramasser de façon lamentable, quittant son dos confortable pour me retrouver la tête la première par terre et les fesses en l'air. Je vous avoue avoir connue des moments moins humiliants mais bon. La prochaine fois, on évitera la Route Arc en Ciel.
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Re: Happiness is, dancing like idiots. (boja) | Lun 21 Déc - 21:51
Tirer profit d’une situation n'était pas relativement habituel chez moi. Je n’étais pas vraiment doué pour obtenir ce que je voulais mais une lumière avait fait tilt dans ma tête aujourd’hui. Voir ma meilleure amie me donnait toujours des ailes même si on se ressemblait sur peu de points. Nos différences ne renforçaient que notre belle amitié. Et donc, sans aucune hésitation, je m’étais mis à courir dans le couloir dans le but de sortir de ce vilain dortoir. Je voulais m’amuser avec Bo Ja dans un endroit bien plus unique. Bon, pour l’instant, je n’avais aucune idée précise quant à notre future destination mais je ne m’inquiétais pas. En effet, j’avais un certain instinct à ce sujet. Toutefois, mon esprit n’avait pas pris en compte le risque de cette course de cheval improvisée. Le dada avait un obstacle d’envergure juste devant lui. Et malheureusement, il ne pouvait pas se servir de ses pattes pour le sauter ou pour simplement ouvrir la porte. Oui, un humain ferait une telle chose… Mais, je n’avais pas la possibilité de le faire étant donné que j’avais une jolie dame sur mon dos. Les coutumes m’obligeraient à faire preuve de galanterie mais cela serait synonyme de chute. Je ne voulais pas que l’étudiante se fasse mal aux fesses par ma faute. Me penchant alors vers l’avant, je laissai la demoiselle prendre les choses en mains en lui donnant toute ma confiance. Malheureusement, ma foi fut trop lourde pour les épaules frêles de Bo Ja. Alors que sa main baissa la poignée de la porte avec beaucoup de passion, la jeune femme décida de l’imiter en chutant vers l’avant. Je ne l’avais pas vu venir mais vraiment pas ! Je n’avais fait aucun geste pour contribuer à tel spectacle, aucun rodéo. RIEN. Je regardai alors mon amie par terre, la bouche entrouverte par la surprise. Voilà pourquoi nous nous entendions bien au final: tout deux stupides et maladroits. D’ailleurs, ceci fut une nouvelle fois confirmée par mon inaction. En effet, j’étais tellement surpris que j’en oubliais les politesses. Vous savez, cette chute tellement inattendue qu’on ne savait même pas comment réagir. Toutefois, mon naturel revint vite au galop – pas de mauvaise blague – puisque je me mis à rire pendant quelques secondes. « Oh putain. » lâchai-je entre deux rires sans oublier de tendre ma main vers elle pour enfin lui montrer mon soutien. Je finis par demander d’un ton plus sérieux : « Tu vas bien ? Pas de bobo ? » Je m’accroupis légèrement pour l’aider à se relever correctement. « J’crois qu’on va arrêter les enfantillages. J’avais oublié que tu pouvais marcher toute seule. » Plaisantai-je.
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SON BO JA & KIM JUNG HWA
Tirer profit d’une situation n'était pas relativement habituel chez moi. Je n’étais pas vraiment doué pour obtenir ce que je voulais mais une lumière avait fait tilt dans ma tête aujourd’hui. Voir ma meilleure amie me donnait toujours des ailes même si on se ressemblait sur peu de points. Nos différences ne renforçaient que notre belle amitié. Et donc, sans aucune hésitation, je m’étais mis à courir dans le couloir dans le but de sortir de ce vilain dortoir. Je voulais m’amuser avec Bo Ja dans un endroit bien plus unique. Bon, pour l’instant, je n’avais aucune idée précise quant à notre future destination mais je ne m’inquiétais pas. En effet, j’avais un certain instinct à ce sujet. Toutefois, mon esprit n’avait pas pris en compte le risque de cette course de cheval improvisée. Le dada avait un obstacle d’envergure juste devant lui. Et malheureusement, il ne pouvait pas se servir de ses pattes pour le sauter ou pour simplement ouvrir la porte. Oui, un humain ferait une telle chose… Mais, je n’avais pas la possibilité de le faire étant donné que j’avais une jolie dame sur mon dos. Les coutumes m’obligeraient à faire preuve de galanterie mais cela serait synonyme de chute. Je ne voulais pas que l’étudiante se fasse mal aux fesses par ma faute. Me penchant alors vers l’avant, je laissai la demoiselle prendre les choses en mains en lui donnant toute ma confiance. Malheureusement, ma foi fut trop lourde pour les épaules frêles de Bo Ja. Alors que sa main baissa la poignée de la porte avec beaucoup de passion, la jeune femme décida de l’imiter en chutant vers l’avant. Je ne l’avais pas vu venir mais vraiment pas ! Je n’avais fait aucun geste pour contribuer à tel spectacle, aucun rodéo. RIEN. Je regardai alors mon amie par terre, la bouche entrouverte par la surprise. Voilà pourquoi nous nous entendions bien au final: tout deux stupides et maladroits. D’ailleurs, ceci fut une nouvelle fois confirmée par mon inaction. En effet, j’étais tellement surpris que j’en oubliais les politesses. Vous savez, cette chute tellement inattendue qu’on ne savait même pas comment réagir. Toutefois, mon naturel revint vite au galop – pas de mauvaise blague – puisque je me mis à rire pendant quelques secondes. « Oh putain. » lâchai-je entre deux rires sans oublier de tendre ma main vers elle pour enfin lui montrer mon soutien. Je finis par demander d’un ton plus sérieux : « Tu vas bien ? Pas de bobo ? » Je m’accroupis légèrement pour l’aider à se relever correctement. « J’crois qu’on va arrêter les enfantillages. J’avais oublié que tu pouvais marcher toute seule. » Plaisantai-je. © kerushirei
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