YOU & ME : TALK. w/ keeyoung♥.
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YOU & ME : TALK. w/ keeyoung♥. | Mar 15 Déc - 23:17 Citer EditerSupprimer
ft. keeho.
Tenue + Assis, las, face à cette simple surface plane où, résidait cet objet issu de la technologie que j'affectionne tant. Depuis combien de temps, déjà ? Depuis combien de temps n'avais-je pas entendu sa voix ? Entendu ces multiples ricanements ? Partager, ces conversations sans véritablement me soucier du temps qui filait à une vitesse grand V ? Inévitablement... J'avais tenté de composer ce simple et unique numéro, mais, la simple et unique chose que je pue recueillir face à ces multiples tentatives ne semblait être que cette messagerie insupportable que me laissais sur ma faim. Non, je n'avais encore jamais osé laisser un message, ni même la moindre parole après ce « bip sonore ». Je prenais la fuite. Raccrochais bien avant. Avant la simple idée de sauter de pas et de répliquer face à ce silence que, je haïssais par-dessus tout cette absence verbale. Fierté masculine... Impossible de l'avouer à proprement parler.
Je me contentais de garder le silence, à mon tour. Arborant ces journées d'une manière des plus monotone qu'il soit ; semblable à un véritable rituel. Un trou noir, vicieux, au sein duquel je me laissais emporté. Travaillant tel un acharné en cours afin de parvenir à obtenir des notes convenables, le tout, ponctué au travers de multiples sortes en extérieur. Seul, ou, accompagné. Qu'importe. Et enfin, ce travail en tant que livreur. Peu valorisant, certes. Mais, avais-je véritablement le choix ? Je n'en avais eu guère l'occasion jusqu'à ce jour... Alors, il était inutile pour moi, à présent, de faire la fine bouche concernant ce que daignait m'offrir le présent, mélangé avec une pincée de hasard et de bon sens.
Malgré tout, cette journée semblait différente.
Levé bien trop tard, j'avais manqué à de multiples obligations. M'obligeant ainsi, à quémander une excuse des plus idiotes qu'il soit à rédiger, de la part de cette femme que j'affectionne tant. Et qui, par la même occasion, semblait capable de bien des choses afin de contenter mes propres désirs. Peut-être était-elle simplement idiote... Mais qu'importe. Au sein de mon esprit, il ne l'était pas. Loin de là. Émanait d'elle cette image maternelle et protectrice qui m'avait tant manqué. C'est donc, endossant ce simple rôle maternel qu'elle osait écrire un énième mensonge concernant mon manquement à ces multiples cours. Les joies de l'assiduité. Je ne souhaitais guère perdre des points au travers de ce fait et, c'est tout naturellement que je me permis de répliquer que, grâce à cette simple action de sa part, je me contenterais d'apporter le dîner de ce soir. Un échange convenable, je suppose.
Bien vite. Je pris donc, la fuite dans l'espoir de parvenir à mettre la main sur l'un des multiples moyens de locomotion du quartier. Dont, plus précisément : le bus. Moyen de locomotion le plus efficace pour un étudiant tel que moi. Rapide, pratique, et peu cher. C'est donc, casque glissé contre mon crâne, sac à dos emporté, une dernière politesse échangée que j'osais quitter ces lieux. « Ce soir, Bae. »
***
Une hésitation. Je me stoppais peu à peu tandis que ces ricanements se faisaient entendre. Cette voix me semblait familière, et pourtant... Je semblais hésitant. Ma « naïveté » de croire que cette jeune femme pouvait s'avérer être celle sur laquelle je souhaitais mettre la main se contentait de jouer avec moi. Ma curiosité, mes émotions, mes ressentis à l'égard de cette situation. Et pourtant. Je me retrouvais là, épiant ces jeunes femmes. Essayant de discerner les similarités. Les différences. Et ce n'est que, lorsque cette chevelure blonde fit son apparition que je ne pue retenir ce ricanement, amusé. Non. Je ne semblais pas l'être, plutôt... Une certaine frustration à l'égard de ce simple fait. « Surprise. » Ce simple et unique murmure parvint à trahir le silence au sein duquel je semblais plongé tandis que ma volonté me poussait à agir. Avancer, sans que je ne parvienne à faire quoi que ce soit contre cela. « Honey. Bien bavarde, tout à coup. »
© BANGERZ
let it burn.
Tenue + Assis, las, face à cette simple surface plane où, résidait cet objet issu de la technologie que j'affectionne tant. Depuis combien de temps, déjà ? Depuis combien de temps n'avais-je pas entendu sa voix ? Entendu ces multiples ricanements ? Partager, ces conversations sans véritablement me soucier du temps qui filait à une vitesse grand V ? Inévitablement... J'avais tenté de composer ce simple et unique numéro, mais, la simple et unique chose que je pue recueillir face à ces multiples tentatives ne semblait être que cette messagerie insupportable que me laissais sur ma faim. Non, je n'avais encore jamais osé laisser un message, ni même la moindre parole après ce « bip sonore ». Je prenais la fuite. Raccrochais bien avant. Avant la simple idée de sauter de pas et de répliquer face à ce silence que, je haïssais par-dessus tout cette absence verbale. Fierté masculine... Impossible de l'avouer à proprement parler.
Je me contentais de garder le silence, à mon tour. Arborant ces journées d'une manière des plus monotone qu'il soit ; semblable à un véritable rituel. Un trou noir, vicieux, au sein duquel je me laissais emporté. Travaillant tel un acharné en cours afin de parvenir à obtenir des notes convenables, le tout, ponctué au travers de multiples sortes en extérieur. Seul, ou, accompagné. Qu'importe. Et enfin, ce travail en tant que livreur. Peu valorisant, certes. Mais, avais-je véritablement le choix ? Je n'en avais eu guère l'occasion jusqu'à ce jour... Alors, il était inutile pour moi, à présent, de faire la fine bouche concernant ce que daignait m'offrir le présent, mélangé avec une pincée de hasard et de bon sens.
Malgré tout, cette journée semblait différente.
Levé bien trop tard, j'avais manqué à de multiples obligations. M'obligeant ainsi, à quémander une excuse des plus idiotes qu'il soit à rédiger, de la part de cette femme que j'affectionne tant. Et qui, par la même occasion, semblait capable de bien des choses afin de contenter mes propres désirs. Peut-être était-elle simplement idiote... Mais qu'importe. Au sein de mon esprit, il ne l'était pas. Loin de là. Émanait d'elle cette image maternelle et protectrice qui m'avait tant manqué. C'est donc, endossant ce simple rôle maternel qu'elle osait écrire un énième mensonge concernant mon manquement à ces multiples cours. Les joies de l'assiduité. Je ne souhaitais guère perdre des points au travers de ce fait et, c'est tout naturellement que je me permis de répliquer que, grâce à cette simple action de sa part, je me contenterais d'apporter le dîner de ce soir. Un échange convenable, je suppose.
Bien vite. Je pris donc, la fuite dans l'espoir de parvenir à mettre la main sur l'un des multiples moyens de locomotion du quartier. Dont, plus précisément : le bus. Moyen de locomotion le plus efficace pour un étudiant tel que moi. Rapide, pratique, et peu cher. C'est donc, casque glissé contre mon crâne, sac à dos emporté, une dernière politesse échangée que j'osais quitter ces lieux. « Ce soir, Bae. »
***
Une hésitation. Je me stoppais peu à peu tandis que ces ricanements se faisaient entendre. Cette voix me semblait familière, et pourtant... Je semblais hésitant. Ma « naïveté » de croire que cette jeune femme pouvait s'avérer être celle sur laquelle je souhaitais mettre la main se contentait de jouer avec moi. Ma curiosité, mes émotions, mes ressentis à l'égard de cette situation. Et pourtant. Je me retrouvais là, épiant ces jeunes femmes. Essayant de discerner les similarités. Les différences. Et ce n'est que, lorsque cette chevelure blonde fit son apparition que je ne pue retenir ce ricanement, amusé. Non. Je ne semblais pas l'être, plutôt... Une certaine frustration à l'égard de ce simple fait. « Surprise. » Ce simple et unique murmure parvint à trahir le silence au sein duquel je semblais plongé tandis que ma volonté me poussait à agir. Avancer, sans que je ne parvienne à faire quoi que ce soit contre cela. « Honey. Bien bavarde, tout à coup. »
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Re: YOU & ME : TALK. w/ keeyoung♥. | Mer 16 Déc - 14:55 Citer EditerSupprimer
Gotta feeling that I'm going under
If I quit calling you
FEAT. KEEHO
tenue ღ Dans sa poche, son smartphone lui brûlait la peau. Luttant pour ne pas répondre à chaque sonnerie. Épreuve difficile pour la demoiselle qui avait pris goût - trop peut-être, à ses appels. Comment avait-elle pu s'accrocher autant à un inconnu ? Qu'elle n'avait jamais vu. Et pourtant, qu'elle connaissait par cœur. Hormis son nom, en vérité. Ironie quand tu nous tiens. Sa voix lui manquait, elle avait tellement l'habitude de l'écouter, de s'endormir avec, que ne pas lui répondre lui brisait le cœur. Néanmoins... la Gumiho était tellement vexée - plutôt blessée en fait, qu'il se soit moqué. Quand bien même elle ne l'avait jamais vu, elle lui accordait une confiance que peu possédait avec elle. Ainsi, ses rires et ses remarques sur la situation qu'on lui avait imposé l'avait agacé, elle en avait eu les larmes aux yeux et pour montrer son mécontentement, elle lui avait raccroché au nez. Puis n'avait plus répondu.
Et cela durait depuis deux-trois jours. Une éternité en somme. Puisqu'elle avait l'habitude de l'entendre jusqu'à pas d'heure, parfois le matin. Qu'importait le moment, elle lui accordait toujours un temps de sa journée, sauf dernièrement. Parce qu'il l'avait vexé et qu'elle était prête à le lui faire payer en refusant de lui parler durant quelques temps. Et pourtant, cet été d'esprit de boude était une véritable horreur pour la belle. Elle avait tenu son téléphone toute la journée et à chaque appel, elle regardait son écran avec ce sourire niais, pour autant, elle ne répondait pas. Laissant sa messagerie s'occuper de son inconnu. Combien de fois s'était-elle fait violence pour ne pas lui répondre. Elle ne saurait pas le dire.
Au fond, elle espérait qu'il lui laisserait un message, qu'elle pourrait fondre devant sa messagerie et lui pardonner, mais voilà plusieurs jours que son espoir s'effaçait. Pour autant, elle était terriblement touchée par ses appels incessants et plus d'une fois, ça avait suffit à la convaincre de laisser tomber et décrocher. Pourtant, son pouce refusait d’obéir et encore une fois, l'appel passait sans qu'elle n'entende sa voix.
Ce matin, en se levant, elle n'était pas motivée et avoir loupé un nouvel appel l'avait démoralisé. Ainsi, elle s'était habillée sans grande envie et s'était rendue à l'université simplement parce qu'elle devait y aller. Bien sûr, la journée avait été lente et ennuyeuse. Elle avait suivit ses cours, avait mangé, mais à présent il lui manquait quelque chose. Une voix. Une voix qu'elle avait connu par erreur et qui était presque devenue vitale, à présent. Une voix qu'elle avait tantôt aimé, tantôt désiré. Une mélodie qui l'avait parfois inspiré, mais qui représentait surtout un mystère. Du suspense. Et, à présent, un vide. Ce soir, elle était décidée à lui répondre, après tout, elle pouvait l'écouter et refusait de parler. Quelle idiote elle était, pourquoi n'y avait-elle pas pensé avant ?
❄❄❄
Pressée que cette journée finisse, elle était sortie bien vite de sa classe, pourtant, une groupe de filles l'avait arrêté dans son élan. Des "amies", qu'elle s'efforçait de côtoyer pour son image, mais qui n'avait pas de grand intérêt, à cause de leur manque de personnalité. C'est d'ailleurs ce qui la faisait rire. Des petits ricanements sortant de ses lèvres, des sourires amusés et quelques paroles dites en l'air. Simplement pour meubler la conversation qui l'agaçait. Que quelqu'un la sauve, s'il vous plait. Elle s'apprêtait à rire à nouveau avant qu'elle ne se fige. Qu'elle entende ce surnom, cette voix. Elle l'aurait reconnu entre mille ... et son cœur rata battement. Puis un second tandis qu'elle se retournait, qu'elle le découvrait. C'était forcément une erreur, il n'était pas de cette université. Mais après tout, qu'est-ce qu'elle en savait. « Pardon ? » tandis que ses "amies" s'outrait de son honey et posait des questions, la jeune femme soupirait en les saluant, pour attraper rapidement le poignet du garçon et les éloigner. « Ce que vous avez dit... » détournant les yeux, d'un coup très gêné, elle ne disait rien d'autre avait d'être seuls. Pourtant, c'était bel et bien cette voix, celle qui la faisait sourire comme une adolescente. « Honey ? Mon faux numéro ? » elle connaissait déjà la réponse, c'est peut-être pour ça qu'elle devait se retenir de se jeter à ses bras. À la fois timide de le rencontrer et heureuse de mettre enfin un visage sur ces appels.
If I quit calling you
FEAT. KEEHO
tenue ღ Dans sa poche, son smartphone lui brûlait la peau. Luttant pour ne pas répondre à chaque sonnerie. Épreuve difficile pour la demoiselle qui avait pris goût - trop peut-être, à ses appels. Comment avait-elle pu s'accrocher autant à un inconnu ? Qu'elle n'avait jamais vu. Et pourtant, qu'elle connaissait par cœur. Hormis son nom, en vérité. Ironie quand tu nous tiens. Sa voix lui manquait, elle avait tellement l'habitude de l'écouter, de s'endormir avec, que ne pas lui répondre lui brisait le cœur. Néanmoins... la Gumiho était tellement vexée - plutôt blessée en fait, qu'il se soit moqué. Quand bien même elle ne l'avait jamais vu, elle lui accordait une confiance que peu possédait avec elle. Ainsi, ses rires et ses remarques sur la situation qu'on lui avait imposé l'avait agacé, elle en avait eu les larmes aux yeux et pour montrer son mécontentement, elle lui avait raccroché au nez. Puis n'avait plus répondu.
Et cela durait depuis deux-trois jours. Une éternité en somme. Puisqu'elle avait l'habitude de l'entendre jusqu'à pas d'heure, parfois le matin. Qu'importait le moment, elle lui accordait toujours un temps de sa journée, sauf dernièrement. Parce qu'il l'avait vexé et qu'elle était prête à le lui faire payer en refusant de lui parler durant quelques temps. Et pourtant, cet été d'esprit de boude était une véritable horreur pour la belle. Elle avait tenu son téléphone toute la journée et à chaque appel, elle regardait son écran avec ce sourire niais, pour autant, elle ne répondait pas. Laissant sa messagerie s'occuper de son inconnu. Combien de fois s'était-elle fait violence pour ne pas lui répondre. Elle ne saurait pas le dire.
Au fond, elle espérait qu'il lui laisserait un message, qu'elle pourrait fondre devant sa messagerie et lui pardonner, mais voilà plusieurs jours que son espoir s'effaçait. Pour autant, elle était terriblement touchée par ses appels incessants et plus d'une fois, ça avait suffit à la convaincre de laisser tomber et décrocher. Pourtant, son pouce refusait d’obéir et encore une fois, l'appel passait sans qu'elle n'entende sa voix.
Ce matin, en se levant, elle n'était pas motivée et avoir loupé un nouvel appel l'avait démoralisé. Ainsi, elle s'était habillée sans grande envie et s'était rendue à l'université simplement parce qu'elle devait y aller. Bien sûr, la journée avait été lente et ennuyeuse. Elle avait suivit ses cours, avait mangé, mais à présent il lui manquait quelque chose. Une voix. Une voix qu'elle avait connu par erreur et qui était presque devenue vitale, à présent. Une voix qu'elle avait tantôt aimé, tantôt désiré. Une mélodie qui l'avait parfois inspiré, mais qui représentait surtout un mystère. Du suspense. Et, à présent, un vide. Ce soir, elle était décidée à lui répondre, après tout, elle pouvait l'écouter et refusait de parler. Quelle idiote elle était, pourquoi n'y avait-elle pas pensé avant ?
Pressée que cette journée finisse, elle était sortie bien vite de sa classe, pourtant, une groupe de filles l'avait arrêté dans son élan. Des "amies", qu'elle s'efforçait de côtoyer pour son image, mais qui n'avait pas de grand intérêt, à cause de leur manque de personnalité. C'est d'ailleurs ce qui la faisait rire. Des petits ricanements sortant de ses lèvres, des sourires amusés et quelques paroles dites en l'air. Simplement pour meubler la conversation qui l'agaçait. Que quelqu'un la sauve, s'il vous plait. Elle s'apprêtait à rire à nouveau avant qu'elle ne se fige. Qu'elle entende ce surnom, cette voix. Elle l'aurait reconnu entre mille ... et son cœur rata battement. Puis un second tandis qu'elle se retournait, qu'elle le découvrait. C'était forcément une erreur, il n'était pas de cette université. Mais après tout, qu'est-ce qu'elle en savait. « Pardon ? » tandis que ses "amies" s'outrait de son honey et posait des questions, la jeune femme soupirait en les saluant, pour attraper rapidement le poignet du garçon et les éloigner. « Ce que vous avez dit... » détournant les yeux, d'un coup très gêné, elle ne disait rien d'autre avait d'être seuls. Pourtant, c'était bel et bien cette voix, celle qui la faisait sourire comme une adolescente. « Honey ? Mon faux numéro ? » elle connaissait déjà la réponse, c'est peut-être pour ça qu'elle devait se retenir de se jeter à ses bras. À la fois timide de le rencontrer et heureuse de mettre enfin un visage sur ces appels.
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Re: YOU & ME : TALK. w/ keeyoung♥. | Mer 16 Déc - 19:29 Citer EditerSupprimer
ft. keeho.
Tenue + Je ne pouvais que, me délecter inlassablement, de cette expression faciale que tu osais arborer en cet instant présent. Une pincée de surprise, mélangée alors, à l’incompréhension, mais aussi, l'engouement à l'égard de ces jeunes femmes qui ne cessaient de glousser, ricaner, ou bien encore, répliquer à ta place. Et ce, au vu de ce surnom quelque mieux mielleux et niais dont j'avais fait l'effort d'utiliser afin de parvenir à obtenir automatiquement ton attention. Attention, qui, en soit, fut directement tournée à mon avantage. Un sourire niché sur cette expression faciale que j'osais arborer, voilà que tu ne semblais aucunement perdre de temps face à cette situation qui semblait t'échapper. N'était-ce pas évident ? Aussi gros, que le nez sur le milieu du visage, c'était un fait qui ne demandait guère de question afin de parvenir à trouver des réponses exactes face à ces questionnements que tu daignais m'offrir après avoir pris l'initiative de me traîner hors de cette pièce. Gênée ? L'image que je renvoyais n'était peut-être pas celle que tu t'étais permis de créer au sein de ton esprit ? J'aurais souhaité en ricaner. Mais je n'en étais guère capable, actuellement. Incapable. C'était blessant, au fond. Et pourtant, je me contentais de hausser les épaules. Comme... Un certain désir de pousser davantage le mystère. Encore, quelques secondes avant que je ne parvienne à lever le voile sur cette longue attente concernant cette rencontre qui aurait très certainement dû avoir eu lieu bien avant. Mais. Aucun de nous n'avait eu véritablement le désir de découvrir autrui en dehors de ces multiples conversations téléphoniques. Par peur. Peur de découvrir ce qu'il semblait être véritablement. Mais aussi, de comprendre que, cette personne à l'intention de qui vous avez oser dévoiler ces secrets cachés n'était autre que cet idiot que vous vous permettez de croiser au travers des couloirs de cette école sans porter la moindre attention à l'égard de celui-ci.
Déglutissant difficilement. Triturant très légèrement mes doigts, voilà que mon regard osait fixer le tien sans la moindre déviance. « N'est-ce pas... Évident ? » Une question rhétorique, en soit. Qui ne méritait aucune réponse de ta part, uniquement un geste qui me démontrerait alors, que mes doutes concernant cette rencontre « fortuite » pouvaient – bien évidemment – fuir mon esprit. Je me permis, par ailleurs, de farfouiller au travers de l'une de mes poches afin de parvenir à extirper de l'une de mes poches ce simple et unique objet issu de la technologie. Oui, cet objet que j'affectionnais tant. Mais aussi... Cet objet qui semblait nous lier au travers de simples touchés glisser contre cet écran tactile. C'est donc, tout naturellement que je parvins à mettre la main sur ton numéro. « L'inconnue » ; belle appellation, n'est-elle pas ? Une douce mélodie se faisait entendre tandis que j'osais détourner l'écran de cet objet face à ta personne. Afin de te laisser distinguer l'essor de cette situation.
« Est-ce plus clair, ainsi ? »
Amusé, je ne pouvais retenir ce léger ricanement qui trahissait très certainement le sérieux de cette situation. Mais, cette expression faciale que tu daignais m'offrir ne pouvait que me faire parvenir cet état d'esprit. Et c'est avec un naturel plutôt déconcertant que je me permis d'agir : l'une de mes mains trouvant rapidement sur le haut de ton crâne. « J'aimerais éviter de devoir, envoyer paître ces jeunes femmes agissant telles des adolescentes pré-pubères plus âgées que moi, mais, je hais par-dessus tout, les regards et les ricanements qu'elles osent lancer. Par pitié. »
D'un simple coup d’œil, je parvenais à obtenir une vision plus convenable vers ce qu'il se trimait au sein de cette pièce tandis que je me contentais de leur offrir ce large sourire. Déconcertant, en soit. Mais qui s'en voulait peut-être inciter celles-ci à porter une plus grande curiosité face à ce qu'il se trimait entre nous. Après tout... Qui pouvais-je bien être ? Pour toi ? Les femmes semblables à celles-ci me portaient à croire que la gent féminine ne possédait pas que des bons côtés. Bien au contraire. Je haïssais par-dessus tout ce comportement et... Je ne comprenais guère la raison de ta présence aux côtés de celles-ci. M'étais-je trompé ? Je tentais d'espérer, que... Non.
© BANGERZ
let it burn.
Tenue + Je ne pouvais que, me délecter inlassablement, de cette expression faciale que tu osais arborer en cet instant présent. Une pincée de surprise, mélangée alors, à l’incompréhension, mais aussi, l'engouement à l'égard de ces jeunes femmes qui ne cessaient de glousser, ricaner, ou bien encore, répliquer à ta place. Et ce, au vu de ce surnom quelque mieux mielleux et niais dont j'avais fait l'effort d'utiliser afin de parvenir à obtenir automatiquement ton attention. Attention, qui, en soit, fut directement tournée à mon avantage. Un sourire niché sur cette expression faciale que j'osais arborer, voilà que tu ne semblais aucunement perdre de temps face à cette situation qui semblait t'échapper. N'était-ce pas évident ? Aussi gros, que le nez sur le milieu du visage, c'était un fait qui ne demandait guère de question afin de parvenir à trouver des réponses exactes face à ces questionnements que tu daignais m'offrir après avoir pris l'initiative de me traîner hors de cette pièce. Gênée ? L'image que je renvoyais n'était peut-être pas celle que tu t'étais permis de créer au sein de ton esprit ? J'aurais souhaité en ricaner. Mais je n'en étais guère capable, actuellement. Incapable. C'était blessant, au fond. Et pourtant, je me contentais de hausser les épaules. Comme... Un certain désir de pousser davantage le mystère. Encore, quelques secondes avant que je ne parvienne à lever le voile sur cette longue attente concernant cette rencontre qui aurait très certainement dû avoir eu lieu bien avant. Mais. Aucun de nous n'avait eu véritablement le désir de découvrir autrui en dehors de ces multiples conversations téléphoniques. Par peur. Peur de découvrir ce qu'il semblait être véritablement. Mais aussi, de comprendre que, cette personne à l'intention de qui vous avez oser dévoiler ces secrets cachés n'était autre que cet idiot que vous vous permettez de croiser au travers des couloirs de cette école sans porter la moindre attention à l'égard de celui-ci.
Déglutissant difficilement. Triturant très légèrement mes doigts, voilà que mon regard osait fixer le tien sans la moindre déviance. « N'est-ce pas... Évident ? » Une question rhétorique, en soit. Qui ne méritait aucune réponse de ta part, uniquement un geste qui me démontrerait alors, que mes doutes concernant cette rencontre « fortuite » pouvaient – bien évidemment – fuir mon esprit. Je me permis, par ailleurs, de farfouiller au travers de l'une de mes poches afin de parvenir à extirper de l'une de mes poches ce simple et unique objet issu de la technologie. Oui, cet objet que j'affectionnais tant. Mais aussi... Cet objet qui semblait nous lier au travers de simples touchés glisser contre cet écran tactile. C'est donc, tout naturellement que je parvins à mettre la main sur ton numéro. « L'inconnue » ; belle appellation, n'est-elle pas ? Une douce mélodie se faisait entendre tandis que j'osais détourner l'écran de cet objet face à ta personne. Afin de te laisser distinguer l'essor de cette situation.
« Est-ce plus clair, ainsi ? »
Amusé, je ne pouvais retenir ce léger ricanement qui trahissait très certainement le sérieux de cette situation. Mais, cette expression faciale que tu daignais m'offrir ne pouvait que me faire parvenir cet état d'esprit. Et c'est avec un naturel plutôt déconcertant que je me permis d'agir : l'une de mes mains trouvant rapidement sur le haut de ton crâne. « J'aimerais éviter de devoir, envoyer paître ces jeunes femmes agissant telles des adolescentes pré-pubères plus âgées que moi, mais, je hais par-dessus tout, les regards et les ricanements qu'elles osent lancer. Par pitié. »
D'un simple coup d’œil, je parvenais à obtenir une vision plus convenable vers ce qu'il se trimait au sein de cette pièce tandis que je me contentais de leur offrir ce large sourire. Déconcertant, en soit. Mais qui s'en voulait peut-être inciter celles-ci à porter une plus grande curiosité face à ce qu'il se trimait entre nous. Après tout... Qui pouvais-je bien être ? Pour toi ? Les femmes semblables à celles-ci me portaient à croire que la gent féminine ne possédait pas que des bons côtés. Bien au contraire. Je haïssais par-dessus tout ce comportement et... Je ne comprenais guère la raison de ta présence aux côtés de celles-ci. M'étais-je trompé ? Je tentais d'espérer, que... Non.
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Re: YOU & ME : TALK. w/ keeyoung♥. | Jeu 17 Déc - 10:51 Citer EditerSupprimer
Gotta feeling that I'm going under
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FEAT. KEEHO
tenue ღ en soit, j'étais au centre d'un tourbillon. Qui, sans aucune compassion, faisait valser les battements de mon cœur. Un état second que je ne parvenais à maîtriser, ou du moins, à comprendre. Partagée entre la surprise et la gêne. Gêne pour toutes ses heures passées en ta compagnie, seulement par téléphonie. Inédites pour moi, pour nous. Cette gêne pour tout ce que j'avais pu te dire, toute cette transparence dont j'avais fait preuve très naturellement puisque je ne t'avais pas sous les yeux et que mes secrets seraient bien gardés sans que tu ne connaisses mon identité. Mots qui avaient glissé entre nos lèvres, mais qui s'étaient toujours perdus à l'autre bout du fil. Paroles qui avaient à présent un itinéraire, un chemin précis et surtout, une arrivée nette et certaine. Cette confusion me rendait idiote, tant elle faisait tourner ma tête. Un état qui se retrouva amplifié par tes remarques ; vraies et pertinentes. Pour autant, j’espérais que tu comprennes ma position, mon ressenti. Ma gaucherie, sans la détourner, sans t'imaginer autre chose. Il fallait qu'un de nous deux garde la tête froide et reposée, pour être en mesure de comprendre les choses sans détournements. Il va s'en dire que je n'en était point capable, pas à l'heure actuelle du moins.
Puisque face à la claireté de mes propos, de mes sentiments, de ma vie, dont je t'avais fait écho durant des mois de conversations, me voilà timide de cette franchise. Etant donné, qu'à présent, tu peux aisément t'en servir. Te moquer davantage, avoir un contrôle sur moi et mon sourire réellement. Non pas simplement par écran. Et si ce contrôle me plaisait, cette faiblesse me rendait particulièrement cruche. Tu as dû le remarquer, dans les seules paroles que j'ai pu prononcer après plusieurs jours de silence. De boude. Une bouderie que je n'étais plus sûr de parvenir à contenir à présent. Tant j'étais hypnotisée par tes yeux. J'aurais fait n'importe quoi sous ce regard. Bien sûr qu'il s'agissait d'une évidence, étant donné qu'au fond, ton appellation première avait suffit à te trouver, à te comprendre, à te reconnaître. Néanmoins, le sot que j'étais avait besoin de mettre des mots sur ce que je craignais de croire. Que tu sortes ton téléphone pour preuve fût l'effet du claque. Ou d'une caresse. Douce, mais violente. Un appel à la réalité, alarme pour prévenir de l'absurdité du moment. L'inconnue. L'inconnue n'en était plus vraiment une, à présent. Et si au fond de moi, une partie s'en réjouissait, l'autre avait une anxiété soudaine. Un affolement total. Dans le bon sens du terme, une excitation foudroyante. Parce que j'avais enfin un visage, un beau visage à mettre sur le nom qui avait fait palpiter à de nombreuse reprise l'organe vital dans ma poitrine. Un choc dont tu étais responsable.
Pourtant, ma panique s'était calmée instantanément grâce à ton téléphone. Comme s'il me faisait rentrer chez moi, naturellement. Comme si, ce lien prenait vie à nouveau dans mon quotidien, mais cette fois, j'étais capable de le toucher. De te toucher. Mes yeux glissèrent de cette inconnue à tes yeux, puis de ton nez à tes lèvres. Avant qu'ils ne partent à la découverte de ton corps, j'avais ce besoin primordial de graver ta vue au sein de mon esprit, de finir un tableau. Le nôtre. Ainsi j'hochais simplement la tête à ta seconde question. Afin d'éviter une nouvelle étourderie. Maintenant, il était important que je fasse attention à ne pas te décevoir. Je m'en voudrais plus que je ne pourrais avec certaines personnes de mon entourage. Comme je te sens plus proche de moi que la plupart de mes amis. Je crois bien, même si je préférerais que ce ne soit pas le cas, avoir dû combattre quelques rougeurs à ton contact. Pourtant, nous avons vécu quelque chose de plus intime que cette main sur mon front. Soufflant pour calmer mon cœur battant et reprendre prestance, je t'offre mon plus beau sourire, celui qui te montre comme je suis ravie d'enfin pourvoir te voir. « Je crois bien qu'un enlèvement va être nécessaire Honey. Je partais tranquillement dans ma chambre afin de profiter du silence de celle-ci pour écouter ma messagerie vide de tes excuses, quand elles m'ont kidnappé dans leur cercle dépourvu de belles couleurs. Je priais au plus profond de mon être qu'on vienne à mon secours, serait-ce toi, le chevalier qui m’emmènera loin de ces bécasses ? » De toute manière, si tu me veux pour toi, il faudra le faire. Je ne prendrais jamais le risque de m'éloigner moi-même et les mettre en colère. Encore moi les humilier de cette façon, puisque j'ai bien trop peur des coups derrières, que mon père se fera une joie de m'offrir après tout ce temps d'abstinence. Et voilà là, le seul secret que tu ignores de moi.
Mes mains viennent cacher mon visage, je ne peux empêcher un certain comportement enfantin trahir mes sentiments et tandis que mes yeux sont plongés dans le noir, mes doigts s'ouvrent parfois pour te laisser prendre racine chez moi ; mais se referment aussitôt pour cause d'un embarras de ces certains soirs où je t'ai créé des désirs brutes et explicites. « Oh la la, je suis terriblement désolée de cette attitude, je ne pensais pas devenir aussi timide après tout ce que j'ai pu te dire. Laisse-moi cinq minutes, s'il te plait, que je m'habitue. Tu sais tellement de chose, que ça en est gênant, maintenant. » tu n'es pour rien dans ce comportement que j'aborde, j'ai toujours été d'un naturel craintif quant il s'agit de moi, de ce que je suis vraiment. Et tant que je ne t'avais pas en face de moi, je n'avais aucune inquiétude à savoir si je te plais ou non. Un rire franchit mes lèvres et mes yeux retrouvèrent se pétillement si propre à l'émoi qui déferlait en moi quelques secondes plus tard. « Je suis tellement contente de te... hm rencontrer n'est plus vraiment adapté, j'ai l'impression de te connaître par cœur depuis des années. alors disons que je suis vraiment ravie de te voir enfin ! » C'est comme si je me réveillais après un très long rêve. Tu me plonges dans un euphorie que j'ai du mal à assagir.
If I quit calling you
FEAT. KEEHO
tenue ღ en soit, j'étais au centre d'un tourbillon. Qui, sans aucune compassion, faisait valser les battements de mon cœur. Un état second que je ne parvenais à maîtriser, ou du moins, à comprendre. Partagée entre la surprise et la gêne. Gêne pour toutes ses heures passées en ta compagnie, seulement par téléphonie. Inédites pour moi, pour nous. Cette gêne pour tout ce que j'avais pu te dire, toute cette transparence dont j'avais fait preuve très naturellement puisque je ne t'avais pas sous les yeux et que mes secrets seraient bien gardés sans que tu ne connaisses mon identité. Mots qui avaient glissé entre nos lèvres, mais qui s'étaient toujours perdus à l'autre bout du fil. Paroles qui avaient à présent un itinéraire, un chemin précis et surtout, une arrivée nette et certaine. Cette confusion me rendait idiote, tant elle faisait tourner ma tête. Un état qui se retrouva amplifié par tes remarques ; vraies et pertinentes. Pour autant, j’espérais que tu comprennes ma position, mon ressenti. Ma gaucherie, sans la détourner, sans t'imaginer autre chose. Il fallait qu'un de nous deux garde la tête froide et reposée, pour être en mesure de comprendre les choses sans détournements. Il va s'en dire que je n'en était point capable, pas à l'heure actuelle du moins.
Puisque face à la claireté de mes propos, de mes sentiments, de ma vie, dont je t'avais fait écho durant des mois de conversations, me voilà timide de cette franchise. Etant donné, qu'à présent, tu peux aisément t'en servir. Te moquer davantage, avoir un contrôle sur moi et mon sourire réellement. Non pas simplement par écran. Et si ce contrôle me plaisait, cette faiblesse me rendait particulièrement cruche. Tu as dû le remarquer, dans les seules paroles que j'ai pu prononcer après plusieurs jours de silence. De boude. Une bouderie que je n'étais plus sûr de parvenir à contenir à présent. Tant j'étais hypnotisée par tes yeux. J'aurais fait n'importe quoi sous ce regard. Bien sûr qu'il s'agissait d'une évidence, étant donné qu'au fond, ton appellation première avait suffit à te trouver, à te comprendre, à te reconnaître. Néanmoins, le sot que j'étais avait besoin de mettre des mots sur ce que je craignais de croire. Que tu sortes ton téléphone pour preuve fût l'effet du claque. Ou d'une caresse. Douce, mais violente. Un appel à la réalité, alarme pour prévenir de l'absurdité du moment. L'inconnue. L'inconnue n'en était plus vraiment une, à présent. Et si au fond de moi, une partie s'en réjouissait, l'autre avait une anxiété soudaine. Un affolement total. Dans le bon sens du terme, une excitation foudroyante. Parce que j'avais enfin un visage, un beau visage à mettre sur le nom qui avait fait palpiter à de nombreuse reprise l'organe vital dans ma poitrine. Un choc dont tu étais responsable.
Pourtant, ma panique s'était calmée instantanément grâce à ton téléphone. Comme s'il me faisait rentrer chez moi, naturellement. Comme si, ce lien prenait vie à nouveau dans mon quotidien, mais cette fois, j'étais capable de le toucher. De te toucher. Mes yeux glissèrent de cette inconnue à tes yeux, puis de ton nez à tes lèvres. Avant qu'ils ne partent à la découverte de ton corps, j'avais ce besoin primordial de graver ta vue au sein de mon esprit, de finir un tableau. Le nôtre. Ainsi j'hochais simplement la tête à ta seconde question. Afin d'éviter une nouvelle étourderie. Maintenant, il était important que je fasse attention à ne pas te décevoir. Je m'en voudrais plus que je ne pourrais avec certaines personnes de mon entourage. Comme je te sens plus proche de moi que la plupart de mes amis. Je crois bien, même si je préférerais que ce ne soit pas le cas, avoir dû combattre quelques rougeurs à ton contact. Pourtant, nous avons vécu quelque chose de plus intime que cette main sur mon front. Soufflant pour calmer mon cœur battant et reprendre prestance, je t'offre mon plus beau sourire, celui qui te montre comme je suis ravie d'enfin pourvoir te voir. « Je crois bien qu'un enlèvement va être nécessaire Honey. Je partais tranquillement dans ma chambre afin de profiter du silence de celle-ci pour écouter ma messagerie vide de tes excuses, quand elles m'ont kidnappé dans leur cercle dépourvu de belles couleurs. Je priais au plus profond de mon être qu'on vienne à mon secours, serait-ce toi, le chevalier qui m’emmènera loin de ces bécasses ? » De toute manière, si tu me veux pour toi, il faudra le faire. Je ne prendrais jamais le risque de m'éloigner moi-même et les mettre en colère. Encore moi les humilier de cette façon, puisque j'ai bien trop peur des coups derrières, que mon père se fera une joie de m'offrir après tout ce temps d'abstinence. Et voilà là, le seul secret que tu ignores de moi.
Mes mains viennent cacher mon visage, je ne peux empêcher un certain comportement enfantin trahir mes sentiments et tandis que mes yeux sont plongés dans le noir, mes doigts s'ouvrent parfois pour te laisser prendre racine chez moi ; mais se referment aussitôt pour cause d'un embarras de ces certains soirs où je t'ai créé des désirs brutes et explicites. « Oh la la, je suis terriblement désolée de cette attitude, je ne pensais pas devenir aussi timide après tout ce que j'ai pu te dire. Laisse-moi cinq minutes, s'il te plait, que je m'habitue. Tu sais tellement de chose, que ça en est gênant, maintenant. » tu n'es pour rien dans ce comportement que j'aborde, j'ai toujours été d'un naturel craintif quant il s'agit de moi, de ce que je suis vraiment. Et tant que je ne t'avais pas en face de moi, je n'avais aucune inquiétude à savoir si je te plais ou non. Un rire franchit mes lèvres et mes yeux retrouvèrent se pétillement si propre à l'émoi qui déferlait en moi quelques secondes plus tard. « Je suis tellement contente de te... hm rencontrer n'est plus vraiment adapté, j'ai l'impression de te connaître par cœur depuis des années. alors disons que je suis vraiment ravie de te voir enfin ! » C'est comme si je me réveillais après un très long rêve. Tu me plonges dans un euphorie que j'ai du mal à assagir.
Invité
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Re: YOU & ME : TALK. w/ keeyoung♥. | Ven 18 Déc - 15:35 Citer EditerSupprimer
ft. keeho.
Tenue + « Excellent. » ; un ricanement, accompagnait alors, ces propos tandis que je tentais de cacher celui-ci lorsque je vins glisser l'une de mes mains contre le bas de mon visage. Adorable. Tes propos me rassuraient, dans un sens. Je ne semblais pas m'être trompé sur ta personne. Tu étais belle et bien celle que j'avais osé m'imaginer au sein de mon esprit. Et ce, construit au travers de mes idées et de nos multiples conversations échangés téléphoniquement, depuis déjà, plusieurs mois. D'une certaine manière... Je me maudissais d'avoir osé pousser la rencontre, j'aurais souhaité prolonger ce mystère planant au-dessus de nos personnes. En un sens, ces questionnements à l'égard de l'un, envers l'autre nous poussaient à vouloir en connaître davantage afin de sustenter notre curiosité. Malgré tout, le mystère venait de prendre fin. Et ce, au travers d'un élan de courage de ma part. « Je suppose que je n'ai pas le choix. N'est-ce pas ? » Une question rhétorique s'offrait alors, à toi, tandis que j'osais jeter un énième regard à l'intention de ces... « Bécasses » comme tu l'avais si bien employé. Je ne pouvais que, dénigrer un tel comportement de la gent féminine et pourtant, je devais me confronter à celles-ci afin de parvenir à te maintenir à mes côtés, jusqu'à notre fuite.
« Attends-moi. » Aussitôt, dit, aussitôt, me jetais-je à corps perdu au sens de cette « fosse aux lions ». Un léger sourire planté contre mes lippes, je me devais de jouer la carte de l'homme convenable afin de parvenir à fuir sans encombre, et ce, malgré le simple et unique fait que cette fuite allait très certainement pousser ces jeunes femmes à alimenter de multiples rumeurs à l'égard de nos personnes. Qu'importe. Je ressemblais à une vitesse grand V ces affaires qui semblaient t'appartenir avant que je ne puisse poursuivre à l'intention de chacun d’entre elles avant que ces voix que je n'affectionne guère parviennent à se faire entendre. « Je vous l'emprunte. Amusez-vous bien, ahah. » De quoi convenir afin de les rendre perplexes. « Qui ? Quoi ? Pourquoi ? Comment ? » Ces questions fusaient à présent au sein de leurs esprits et, me laissait – par la même occasion – l'instant nécessaire à une fuite réalisée à la perfection. En moins de temps qu'il n'en faudrait pour claquer des doigts, j'avais disparu de leurs champs de vision.
« Prête ? » Une main tendue à l'intention de ta personne, c'est au travers de ce simple échange que je me laissais t'emporter loin de ces lieux. Simplement fuir de ces regards indiscrets. Fuir de ce lieu bien trop fréquenté. Parvenir à mettre la main sur cette tranquillité. Et ainsi, convenir à échanger une conversation convenable, le tout, ponctué d'affection, l'un, à l'égard de l'autre. Tout deux... Nous partagions cette légère gêne face à cette rencontre fortuite. Prônant l'ignorance, pour ma part, tes agissements quelque peu enfantins ne pouvaient que, me décrocher ce sourire quelque peu idiot. Rare, en soit. Mais je devais bien avouer être quelque peu faible face à un tel comportement. Puisque, après tout, l'une de mes connaissances féminines possédant l'un des plus grands impacts au sein de mon quotidien agissait ainsi, parfois. Peut-être devrais-je remédier à ce problème ?
Secouant vaguement la tête de droite, à gauche, je parvenais à reporter mon attention vers l'instant présent. Et, tandis que l'extérieur s'offrait à nous, mon échine frissonnait agréablement face à cette douceur hivernale qui se frayait un chemin au travers de l'air ambiant en cette fin de journée. « J'arbore mon image de chevalier à la perfection. Je suivrais la moindre de tes directives. Je te guiderais où bon te semble-t-il judicieux de se rendre. Satisfaite ? » Ces propos, je n'avais guère l'habitude de m'exprimer de la sorte. Favorisant la vulgarité et la franchise, il est vrai que j'osais réaliser un effort quelque peu... Surhumain afin de ne pas me retrouver à user de ces habitudes verbales quelque peu mauvaises lors d'une première rencontre.
© BANGERZ
let it burn.
Tenue + « Excellent. » ; un ricanement, accompagnait alors, ces propos tandis que je tentais de cacher celui-ci lorsque je vins glisser l'une de mes mains contre le bas de mon visage. Adorable. Tes propos me rassuraient, dans un sens. Je ne semblais pas m'être trompé sur ta personne. Tu étais belle et bien celle que j'avais osé m'imaginer au sein de mon esprit. Et ce, construit au travers de mes idées et de nos multiples conversations échangés téléphoniquement, depuis déjà, plusieurs mois. D'une certaine manière... Je me maudissais d'avoir osé pousser la rencontre, j'aurais souhaité prolonger ce mystère planant au-dessus de nos personnes. En un sens, ces questionnements à l'égard de l'un, envers l'autre nous poussaient à vouloir en connaître davantage afin de sustenter notre curiosité. Malgré tout, le mystère venait de prendre fin. Et ce, au travers d'un élan de courage de ma part. « Je suppose que je n'ai pas le choix. N'est-ce pas ? » Une question rhétorique s'offrait alors, à toi, tandis que j'osais jeter un énième regard à l'intention de ces... « Bécasses » comme tu l'avais si bien employé. Je ne pouvais que, dénigrer un tel comportement de la gent féminine et pourtant, je devais me confronter à celles-ci afin de parvenir à te maintenir à mes côtés, jusqu'à notre fuite.
« Attends-moi. » Aussitôt, dit, aussitôt, me jetais-je à corps perdu au sens de cette « fosse aux lions ». Un léger sourire planté contre mes lippes, je me devais de jouer la carte de l'homme convenable afin de parvenir à fuir sans encombre, et ce, malgré le simple et unique fait que cette fuite allait très certainement pousser ces jeunes femmes à alimenter de multiples rumeurs à l'égard de nos personnes. Qu'importe. Je ressemblais à une vitesse grand V ces affaires qui semblaient t'appartenir avant que je ne puisse poursuivre à l'intention de chacun d’entre elles avant que ces voix que je n'affectionne guère parviennent à se faire entendre. « Je vous l'emprunte. Amusez-vous bien, ahah. » De quoi convenir afin de les rendre perplexes. « Qui ? Quoi ? Pourquoi ? Comment ? » Ces questions fusaient à présent au sein de leurs esprits et, me laissait – par la même occasion – l'instant nécessaire à une fuite réalisée à la perfection. En moins de temps qu'il n'en faudrait pour claquer des doigts, j'avais disparu de leurs champs de vision.
« Prête ? » Une main tendue à l'intention de ta personne, c'est au travers de ce simple échange que je me laissais t'emporter loin de ces lieux. Simplement fuir de ces regards indiscrets. Fuir de ce lieu bien trop fréquenté. Parvenir à mettre la main sur cette tranquillité. Et ainsi, convenir à échanger une conversation convenable, le tout, ponctué d'affection, l'un, à l'égard de l'autre. Tout deux... Nous partagions cette légère gêne face à cette rencontre fortuite. Prônant l'ignorance, pour ma part, tes agissements quelque peu enfantins ne pouvaient que, me décrocher ce sourire quelque peu idiot. Rare, en soit. Mais je devais bien avouer être quelque peu faible face à un tel comportement. Puisque, après tout, l'une de mes connaissances féminines possédant l'un des plus grands impacts au sein de mon quotidien agissait ainsi, parfois. Peut-être devrais-je remédier à ce problème ?
Secouant vaguement la tête de droite, à gauche, je parvenais à reporter mon attention vers l'instant présent. Et, tandis que l'extérieur s'offrait à nous, mon échine frissonnait agréablement face à cette douceur hivernale qui se frayait un chemin au travers de l'air ambiant en cette fin de journée. « J'arbore mon image de chevalier à la perfection. Je suivrais la moindre de tes directives. Je te guiderais où bon te semble-t-il judicieux de se rendre. Satisfaite ? » Ces propos, je n'avais guère l'habitude de m'exprimer de la sorte. Favorisant la vulgarité et la franchise, il est vrai que j'osais réaliser un effort quelque peu... Surhumain afin de ne pas me retrouver à user de ces habitudes verbales quelque peu mauvaises lors d'une première rencontre.
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