tenue + sac ◮ Cela faisait plus d’une demi-heure que la wonsungi dévorait, littéralement, des yeux son professeur de chinois. Heureusement, l’amphithéâtre dans lequel elle se trouvait n’était pas très grand et où qu’elle soit placée, elle n’était pas bien loin de Liang. Même si, caractériellement parlant, il l’agaçait plus qu’autre chose, physiquement parlant, c’était une toute autre histoire. Enfin, physiquement parlant, il plaisait à toutes ses élèves et Ha Ra n’échappait pas à la règle. Cependant, ce qui la différenciait de ses camarades féminines était que Liang la fixait, elle, et non une autre, même si certaines pensaient le contraire et finissaient par glousser bêtement. Ha Ra détacha cependant son regard du jeune homme quelques minutes pour se tourner vers son voisin de derrière et lui poser une question. Aussitôt qu’elle ouvrit la bouche, son nom retentit dans la pièce ainsi qu’un « vous viendrez me voir à la fin du cours. », qui ne l’étonnait plus. Il la collait bien souvent et ça en devenait même une habitude maintenant. Il attendait juste la fin du cours pour le faire. Celle-ci arriva quelques minutes après et la jeune femme rangea rapidement ses affaires pour rejoindre le chinois à son bureau. Elle attendit un moment que tous les élèves sortent pour s’adresser à lui, sans aucune gêne. « C’est devenu une habitude de me coller en fin de cours. » Constata-t-elle. « T’as que ça à faire ? » Demanda-t-elle en plongeant son regard dans le sien. Elle, en tout cas, n’avait pas que ça à faire. Elle avait des matières à réviser, des devoirs à faire, voir Sam Yong et Malee, bref, elle n'avait vraiment pas le temps d’être collé.

tenue ◮ Une heure déjà que le cours de Liang avait commencé, un cours basique comme les autres et dans le lequel ses étudiants n’étaient pas toujours très attentif à ce qu’il pouvait bien expliquer.  La grammaire chinoise ça n’avait absolument rien de sexy et c’était même totalement soporifique. Peu importe, le mannequin en plus de faire son cours, le plus normalement du monde, avait trouvé une autre activité beaucoup plus intéressante à réaliser. Cela faisait déjà un petit moment qu’il fixait Ha Ra, son élève dont le charme ne le laisser pas indifférent, bien au contraire. Si physiquement, elle était totalement désirable à ses yeux,  pour ce qui était du caractère, c’était une autre histoire. La Wonsungi était le genre de femme au fort caractère qui ne se laisse pas marcher dessus et avec Liang cela faisait toujours des étincelles. Pourtant, il ne pouvait s’empêcher de la dévorer des yeux, son regard persistant lancer un message très clair à la blonde et aujourd’hui, il avait décidé qu’elle ne s’en sortirait pas aussi facilement que les autres fois. Il attendait simplement la parfaite occasion pour lancer son plan à exécution et lorsque Hara se retourna, Liang ne tarda pas à sortir un « Mademoiselle Jung, puisque vous semblez adorer parler, vous viendrez me voir à la fin du cours. » dit-il de sa voix la plus douce et la plus sarcastique possible. Son regard plongé dans le sien, Liang la défiait littéralement et il avait particulièrement hâte que son cours se termine. Au bout d’une demi-heure, enfin, ce fut la libération et ses élèves prirent rapidement la fuite. Son cours se déroulant dans une petite salle aujourd’hui, il ne du pas attendre longtemps pour que tout le monde parte et il se retrouva rapidement seul avec Hara. Un sourire en coin se dessina sur les lèvres de Liang, sans répondre à l’agressivité de la blonde, il se leva et se dirigea vers la porte qu’il ferma à clé afin que personne ne puisse venir les déranger. Liang se retourna en la fixant, lui lançant le même regard qu’il lui avait lancé pendant presque tout le cours « Tu aimes juste beaucoup parler. » dit-il en s’approchant d’elle.

La wonsungi n’avait absolument rien noté de tout le cours, bien trop préoccupé à dévorer des yeux son professeur. Cependant, en bonne élève studieuse qu’elle était, il était tout bonnement impossible qu’elle sorte de ce cours sans… rien. Alors, la jolie blonde se tourna vers son voisin de derrière, jetant un rapide coup d’œil à sa feuille bien remplie, avant de lui demander si elle pouvait lui emprunter son cours et lui rendre dès qu’elle le croiserait. La jeune femme n’eut pas besoin de lui faire les yeux doux qu’il lui tendait déjà ses feuilles. Elle le remercia d’un sourire, sourire qui disparut bien vite quand Liang l’interpella pour lui demander de venir le voir à la fin du cours. La fin du cours arriva rapidement et Ha Ra rangea soigneusement les feuilles de son camarade dans son sac, prenant un peu son temps avant de rejoindre le jeune homme à son bureau. Aussitôt que la salle fut vide, la wonsungi s’adressa aussitôt à Liang, constatant que c’était devenu une véritable habitude de la coller en fin de cours. Alors qu’il ne répondit pas et se leva simplement pour aller fermer la porte, la jolie blonde en profita pour s’asseoir sur le bureau, se mettant à son aise, et son regard ne quittant pas une seule fois le chinois. « Pardon ? » S’indigna-t-elle. « C’était la première fois que j’ouvrais la bouche ! » Protesta-t-elle. « En plus, c’était pour demander ton cours. Comme je n’ai absolument pas suivi… à cause de toi. » Dit-elle, le dévorant toujours des yeux, un sourire malicieux se dessinant petit à petit sur sa bouche. « Bon. Quelle est ma punition cette fois-ci ? » Demanda-t-elle subitement, le fixant toujours aussi intensément.

tenue ◮ Liang avait décidé qu’aujourd’hui il allait céder à ses envies, il dévorait Hara des yeux depuis bien trop longtemps et le chinois en voulait plus. Il ne lui restait plus qu’à voir si la demoiselle était réceptive, mais sans se vanter, la façon dont la Wonsungi pouvait le fixer était exactement la même que celle de Liang, il n’avait donc pas trop de doute à ce niveau là. Il l’observait en détail, ses long cheveux lisse était relâché pour son plus grand plaisir, la demoiselle portait un jean qui moulait à merveille ses jambes à la fois fines et pulpeuse. Hara était loin d’avoir le corps de la coréenne standard, maigre avec deux baguettes en guise de jambes. Tout ce qu’il détestait. Le corps d’Hara avait des formes très intéressantes pour ses yeux et il ne comptait plus le nombre de fois ou ses yeux s’étaient attardés dessus, comme en ce moment même. « A cause de moi ? C’est intéressant... » dit-il avec un sourire en coin, plongeant son regard dans le sien, ce même regard qui était posé sur lui et qui le rendait dingue. Liang s’approcha de la jeune femme, assise sur son bureau, ce qui l’amusait beaucoup. Il se posta devant elle « Tu ne veux pas essayer de deviner ? » demanda-t-il sur un ton des plus mystérieux. Liang caressa doucement la cuisse d’Hara, remontant lentement jusqu’à ses hanches, puis sa fine taille. Le chinois colla son front contre celui de la jeune femme, leurs visages à quelques centimètres l’un de l’autre, il caressa tendrement les longs cheveux lisse de la demoiselle. « Alors ? » demanda-t-il d’une voix suave, leur proximité était telle que lorsque Liang se mit à parler, ses lèvres frôlèrent celle d’Hara.

« En quoi est-ce intéressant ? Je ne voulais pas blesser ton égo, c’est juste pour cette raison que je te regardais. Ne vas pas t’imaginer des choses, Liang. » Répondit-elle tout naturellement, en penchant légèrement la tête sur le côté, toujours ce même regard intense posé sur lui et ce sourire malicieux sur les lèvres. Elle savait qu’il ne croirait pas à ses balivernes. Il savait tout autant qu’elle pourquoi elle le regardait et de cette manière. Et ce n’était pas pour éviter de blesser son égo. Tandis qu’il s’approchait de plus en plus d’elle, Ha Ra sentait son cœur s’emballer au fur et à mesure. Elle se mordit discrètement la lèvre, gardant le silence tandis que les mains baladeuses de Liang caressaient ses hanches. La wonsungi ne quitta pas du regard les yeux du jeune homme quand il colla son front contre le sien, sentant son souffle chaud sur ses lèvres. « Alors… » Répéta-t-elle en chuchotant, ses lèvres frôlant celles de Liang, leurs visages étant si proches l’un de l’autre. La jolie blonde décolla son front de celui du chinois, agrandissant l’écart entre leurs visages. « C’est pire qu’une punition, là… » Dit-elle simplement pour le taquiner, son regard la trahissant grandement. C’était loin, vraiment très loin, d’être une punition. Elle en mourrait d’envie tout autant que lui. La wonsungi replaça une de ses longues mèches blondes derrière son oreille, ses yeux fixant toujours ceux de Liang et ses dents mordant sa lèvre inférieure de la manière la plus sexy qu’il soit.

Un sourire en coin ne quittait pas le visage de Liang, la répartit de la demoiselle était intacte et encore une fois, elle lui prouvait qu’elle n’était pas une femme docile et soumise. Et ça l’excitait, Hara n’était pas du genre à se laisser faire, la Wonsungi ne faisait pas partis des femmes capable de faire absolument tout ce que Liang pouvait leur demander avec un simple regard de braise. Non, Hara lui résistait sans arrêt et ça le rendait complètement fou. Encore une fois, la blonde jouait avec lui et ses nerfs, son visage à quelques centimètres du sien, il pouvait sentir les lèvres d’Hara frôler les siennes lorsqu’elle parlait et cela avait pour effet de l’exciter un peu plus, mais Hara ne tarda pas à se reculer légèrement, élargissant l’espace entre eux, ce qui eu pour effet de frustrer le chinois.  Hara ne laissait jamais faire et Liang l’avait oublié l’espace d’une seconde, mais il pouvait lire dans son regard qu’elle en avait autant envie que lui, et comme lui, elle était beaucoup trop fière pour l’avouer aussi facilement ce qui eu pour effet de le faire sourire. Hara était loin d’être aussi innocente qu’elle voulait bien le faire croire, la moue sexy qu’elle était entrain de faire n’avait rien de naturel et elle était clairement entrain de le provoquer. Et ça marchait à merveille, Liang sentait son intimité grandir contre Hara au point ou son pantalon était devenu inconfortable. « Tu es sûr de toi ? » dit-il d’une voix des plus sensuelles qui trahissait son excitation. Liang attrapa la télécommande qui se trouvait derrière Hara afin de baisser les stores, rapidement ils ne se retrouvèrent éclairer que par la lumière artificiel de la pièce, plus personne ne pouvait les voir, ni les déranger.  Sans prévenir, Liang agrippa les cuisses d’Hara afin de la forçant à décroiser ses jambes et il colla son bassin contre le sien. Ses yeux plongé dans les siens, il déposa ses lèvres sur celle de la blonde, il en mourrait d’envie.

La wonsungi avait décollé son front de celui de Liang, écartant son visage du sien. Non, elle ne comptait pas lui céder aussi facilement, juste le rendre encore un peu plus dingue, ce qui était réellement amusant. La jolie blonde le dévorait toujours des yeux, son regard aguicheur plongé dans le sien, tandis qu’elle mordait sa lèvre inférieure de manière sexy, chassant rapidement l’image de l’innocente Hara. Elle cherchait à le provoquer et ça semblait marcher, à merveille. « Totalement sûre. » Répondit-elle. C’était une véritable torture de se retenir. Mais, la wonsungi gardait ça précieusement pour elle, bien trop fière pour l’avouer. Le regard de la jeune femme suivait chaque fait et geste du chinois mais, il l’a surpris tout de même en attrapant subitement ses cuisses, la forçant à les décroiser, et en venant coller son bassin au sien. Ses lèvres ne tardèrent pas à rencontrer les siennes. La wonsungi agrippa la nuque de Liang de ses deux mains, l’obligeant à rester contre elle et collant par la même occasion sa poitrine contre son torse. La jolie blonde se décolla pourtant légèrement de lui presque aussitôt pour laisser place à ses mains qui venaient de quitter sa nuque pour descendre lentement contre son torse. Ses lèvres ne quittaient pas celles du chinois et sa langue ne tarda pas à se mêler à la danse. Ses mains étaient sacrément baladeuses et elles passèrent sous le sweat du professeur, ses doigts caressant ses abdominaux. Hara se laissait complètement aller à ses envies, s’étant bien trop longtemps retenu.

A peine avait-il posé ses lèvres sur celle d’Hara que Liang se sentait beaucoup mieux, comme libéré après tant de semaine où il s’était retenu, frustré de ne rien pouvoir faire avec elle. Cette fois-ci, la Wonsungi allait devenir sienne et rien ne pouvait l’en empêcher, Hara semblait totalement réceptive et cela le surpris même de voir tant de fougue chez la blonde. Liang lâcha un grognement étouffé contre les lèvres de la demoiselle lorsqu’elle colla sa poitrine contre son torse, les abdos du chinois étaient une zone particulièrement érogène. Ce n’était pas pour rien qu’il passait la plupart de son temps torse-nu lorsqu’il le pouvait et les mains baladeuses d’Hara lui arrachèrent un deuxième grognement de plaisir. Il adorait qu’elle le touche de cette façon, ça le rendait complètement fou. Ason tour, ses propres mains se faufilèrent sur le ventre d’Hara, venant attraper les boutons de sa chemise pour les défaire un à un. Ses lèvres continuaient d’embrasser celle de la blonde, avec plus de fougue, il attrape la lèvre inférieur d’Hara entre ses dents pour la mordiller légèrement, ses yeux provocateurs plongés dans les siens. Lorsqu’il eu enfin finis de défaire tout les boutons de la chemise, les mains baladeuses de Liang vinrent caresser du bout des doigts le ventre d’Hara. Il remonta légèrement ses caresses vers sa poitrine, passant au milieu de ses deux seins pour venir agripper son cou. Liang rompit son baiser afin de venir passer sa langue sur le cou de la belle, pendant que l’une de ses mains était venue se faufiler sous le soutien-gorge d’Hara, prenant l’un de ses seins en mains qu’il commença à caresser avec douceur.  

La wonsungi continuait de caresser les abdominaux de Liang, ayant bien compris que cette zone était légèrement sensible chez lui. La jolie blonde commença alors à remonter un peu plus ses mains, vers les pectoraux musclés du jeune homme, le gênant exprès dans le déboutonnage de sa chemise ce qui la fit doucement sourire. Sa bouche embrassait toujours celle du chinois, jusqu’à ce qu’il capture sa lèvre entre ses dents. Aussitôt, Hara plongea son regard aguicheur dans celui de Liang, remarquant bien la lueur de provocation. Il était aussi joueur qu’elle et elle le comprit rapidement dès qu’il frôla son ventre, remontant ses caresses vers sa poitrine et passant même sa main entre ses seins. La jolie blonde se laissait plutôt docilement faire pour l’instant, répondant à son baiser. Elle laissa échapper un léger grognement de mécontentement quand il décolla ses lèvres des siennes mais bien rapidement, un gémissement de plaisir s’échappa de ses lèvres. Hara bascula sa tête vers l’arrière, cambrant son dos tout en restant contre lui. Sa main se faufila dans ses cheveux qu’elle n’hésita pas à agripper tandis que son autre main allait se balader plus bas sur le fessier de Liang. La wonsungi tira avec peu de délicatesse les cheveux de Liang, le forçant à arrêter de torturer son cou, et alla de nouveau chercher ses lèvres qui commençaient à lui manquer cruellement. Sa main retourna caresser les abdominaux du chinois un instant avant de descendre lentement vers son intimité, un sourire coquin se dessinant sur ses lèvres.

Hara le rendait complètent fou, la demoiselle ne lui laissait même pas le loisir de déboutonner sa chemise en paix. Elle trouvait le moyen de le taquiner en allant caresser son torse, Liang grognait à la fois de mécontentement et de plaisir. Lorsqu’il eu enfin réussit, le chinois ne se gêna pas pour venir toucher son ventre du bout des doigts, sans toucher à ses seins, afin de la faire languir. Mais il ne résista pas bien longtemps et l’une de ses mains était déjà occupée à se faufiler sous son soutien gorge pour caresser son sein. Les gémissements de la belle le rendait fou de désir, Liang était si occupé à embrasser et toucher chaque parcelle du corps de la belle Hara qu’il en avait presque oublié qu'elle n’était pas du genre docile et qu’elle était aussi joueuse que lui. Ce qu’il réalisa bien vite lorsqu’il sentit les mains de la demoiselle s’approcher dangereusement de son intimité déjà bien serré dans son pantalon et qu’elle devait probablement sentir contre son bassin. Hara reprenait le dessus, le forçant à retrouver ses lèvres, il adorait qu’elle le domine de cette façon, ça l’excitait encore plus. Il aimait être surpris et avec Hara, le jeune homme était servi. Liang l’embrassait avec passion, incapable de retenir la fougue qui l’animait, sa langue jouait avec celle de la blonde pour une danse des plus endiablé. Liang retira sa main de la poitrine de la belle pour venir la faufiler dans son dos et ainsi dégrafer ce soutient gorge qui le gênait tant, il avait chaud, beaucoup trop même. A contre cœur, il rompit son baiser avec Hara, se reculant légèrement pour retirer son sweat et son t-shirt par la même occasion, dévoilant son torse nu à la belle, Liang se sentait déjà mieux. Il en profita aussi pour faire valser la chemise et le soutien-gorge de la blonde. Ne lui laissant aucun répit, Liang la fit bascule contre le bureau et il plaqua son torse nu contre celui d’Hara. Sentir sa poitrine nue contre sa zone érogène  le rendit complètement fou de désir et il ne tarda pas à reprendre sauvagement les lèvres d’Hara , faisant claquer son bassin contre le sien avec force.