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LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco
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LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco | Jeu 3 Nov - 20:10 Citer EditerSupprimer
nom : lowe. prénom : jun soo, même si ça fait tâche à côté d’un nom de famille non-coréen, c’est comme ça qu’il s’appelle. âge : 24 ans. date et lieu de naissance : 29 Janvier 1992 à Jeju-do. origines : coréen - canadien. nationalité : coréenne. cursus universitaire : 5 ème année de STAPS. métier : patron du blue lagoon. orientation sexuelle : hétérosexuel. classe sociale : moyenne de lui-même avec sa bourse + son taff. code du règlement : je suis le code :russe : . tu veux t'investir ? jeongals u know
J’aurais voulu vous parler de ma naissance, comme tous les autres, mais pour tout vous avouer je ne m’en souviens pas. Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai vu le jour le 29 Janvier 1992 dans un petit village de Corée du Sud en bord de mer. J’étais un gros bébé de 5 kilos 100 d’après les photos, les documents et d’après ma mère. Souvent, mon beau-père s’amuse à dire qu’il aimerait en pêcher des comme ça tous les jours. Moi ça me fait pas trop rire, j’suis pas un thon.
Mes souvenirs commencent davantage lorsque mon père est partie. Cette grande ombre rassurante aux grands yeux et à la veste en cuir qui semblait m’aimer, et ma mère aussi. Mais les vies sages ne sont pas pour lui, il était sauvage, impulsif avec ce besoin constant de voyager, partir, voir d’autres choses. Je ne pense pas avoir été la chaine qui l’a poussé à rester bien sagement en Corée du Sud quelques temps et aujourd’hui, je ne peux lui reprocher d’avoir essayé. Beaucoup pensent que je lui cherche des excuses, lui trouve des raisons et que j’ai été aveuglé, mais je n’ai que faire de leurs avis.
En attendant, j’avais ces cadeaux, ces coups fils qui me signifiaient qu’il m’aimait puis plus tard, ses visites régulières. Pour autant manquer de la présence physique d’un paternel. Très vite, mon beau père est arrivé. Avec des yeux tirés comme ceux de ma mère, cette présence bienveillante. Je ne l’ai pas rejeté, parce que j’étais trop jeune et parfois je me demande ce qu’il y en aurait été si il serait arrivé plus tard. Mais penser ainsi, remettrait en cause l’arrivée de Jun Ho, né de leur union. Aussi minuscule que j’étais, je ressens encore cette jalousie me fouetter le cœur quand mes parents venaient s’occuper de ce marmot. Il débarque comme une fleur de cerisier qui tombe sur le béton, on lui donne mes jouets, il vole ma mère et cet homme que je peux appeler papa sans qu’il le soit réellement. Non, Jun Ho était insupportable étant bambin. Heureusement, le temps passe et Jun Ho s’avère être un super copain. Un copain un peu chiant, qui n’est pas toujours d’accord sur les jeux et qui fait exprès de dire que je l’ai frappé en pleurant alors que c’est pas vrai. Mais il est toujours là, du matin au soir, même la nuit. Il me fait rire, on fait des bêtises ensembles et je crois que si il ne serait pas la je me serai fait chier.
J’ai six ans lorsque les deux autres sont arrivés. Je me souviens encore de mes yeux écarquillés face aux deux bébés qui dorment tranquillement. On dirait des poupées, ils ont la peau douce. « La prochaine fois il y en aura trois ? » Ma voix innocente d’enfant s’adresse à ma mère et elle me regarde en riant. Elle passe sa main frêle sur mon visage en riant et je ferme les yeux. Elle sent bon. A cette époque, je ne m’en rends pas compte mais la venue de ses deux nouveaux bébés augmente considérablement mes responsabilités. Deux nouveaux bébés ça veut dire expliquer deux fois plus de bêtises à faire, surveiller deux bébés en plus, protéger deux enfants en plus, se battre contre deux fois plus de personnes qui pourraient les embêter et j’en passe encore. Tant de problèmes … Mais déjà à cette époque là j’étais à la hauteur, je me sentais à la hauteur.
Je sens les lèvres de ma mère sur mon front, j’ai dix-sept ans. « Tu veux que je t’aide ? » Je ne lui laisse même pas le temps de me répondre que le savon frotte déjà mes mains puis une fois celles-ci propres, je commence à couper les légumes. Ma tenue de Baseball tout droit venue des Etats-Unis colle encore à ma peau légèrement humide par l’effort. « On a gagné maman. » Lui racontais-je en affichant un sourire immense. « C’est parce que tu es le meilleur, tu es mon fils. » Nos rires s’emmêlent et se mêlent au bruit des couteaux tranchants les légumes. J’ai trois passions dans la vie : le baseball, les voyages et la cuisine. Si j’ai acquis les deux premières par le biais de mon père qui se montre de plus en plus présent, m’enlevant à chaque vacances pour partir à l’autre bout du monde, ma mère m’a transmise la sienne malgré elle. A force de la voir préparer les repas je me sentais curieux. Moi aussi, je voulais manier les couteaux, mélanger les saveurs et dresser de jolies assiettes et surtout, ça fonctionne vraiment bien avec les filles. La cuisine est une sorte d’art, une passion calme en opposition avec le sport si énergique qu’est le baseball. Un mélange surprenant, comme ce caractère bien trempé qui s’est développé, c’est tout moi.
Souvent, j'ai l'impression d'être le jour et la nuit. Je semble être formé de contradiction, je suis difficile à prendre et surtout, à comprendre. Parfois je suis bien, je ris et je parle avec les autres tout naturellement puis dans la seconde qui suit, dès le premier mot ou premier geste maladroit, je me retrouve dans une colère noire. Cela arrive rarement avec ma famille car j'essaye toujours de me contrôler mais avec les autres, c'est plus compliqué. Je n'ai aucune obligation de filtre dans mes paroles et un respect largement moins élevé. Je me sens comme un maître jedi qui sombre du côté obscure de la force. Je ne réfléchis pas trop mais surtout trop tard, je ne semble pas prendre beaucoup de recul et c'est toujours à chaud que je réagis. Et puis, je suis incapable de retenir mes mots sanglants. Il n'y a que dans la haine et la colère que je ne sais pas faire semblant. N'essayez pas de me comprendre, j'ai du mal à le faire même moi.
J’ai le cœur serré, j’ai presque la larme à l’œil tant je suis heureux mais je ne laisse rien paraître. « Bravo tête d’œuf ! » Je frappe le bras de Jun Ho en lui offrant un rire joyeux agrémenté d’un sourire immense. Je me sens si fier de lui, si ému qu’il ait réussi son casting mais je préfère me couper les deux bras plutôt que de lui dire. Depuis quand le grand gaillard maintenant tatoué (malgré la désapprobation de ma mère mais avec celle de mon paternel) montre l’amour qu’il porte à son petit frère ? Il n’a pas besoin de le savoir, il doit s’en douter. « On va encore devoir se supporter même à la capitale on dirait, j’ai eu ma bourse. » Je lui ébouriffe les cheveux pour accentuer encore plus ma lourdeur avec ce sourire idiot inscrit sur le visage et je jette un regard discret à ma mère. Elle aussi est fière, mais si inquiète. Je la revois encore, me prendre à part quand Jun Ho est revenu avec cette fameuse carte pour me supplier de le suivre, de veiller sur lui. Je n’étais pas trop emballé à l’idée de suivre de longues études même si le chant de la ville m’a appelé. Jun Ho était assez grand non ? A peine cette idée m’eut traversé l’esprit que cet idiot se prenait une porte en pleine poire. Cet idiot avait besoin de moi. Le soir même, ma demande de bourse était envoyée.
Et me voilà aujourd’hui, dans cet amphithéâtre immense à écouter attentivement le professeur. Jamais je n’aurai imaginé que suivre des études me plairait. C’est vrai, je ne suis pas de ceux qui adorent les bouquins et encore moins d’étudier. Mon truc à moi, c’est partir découvrir de nouvelles choses et non pas rester le cul sur une chaise. Mais cette fois-ci c’était différent, c’était du sport. Mêlé à sa passion, cela s’avérait être une véritable vocation tant pour les matières pratiques et théoriques. Pour autant, je ne suis pas devenu une grosse tête. Non, mon caractère impulsif et bagarreur mais tout de même agréable ne l’a pas quitté. La seule qui ait changé en ma personne, c’est ma méfiance. Aujourd’hui avec la notoriété de Jun Ho, je craint que des personnes mal intentionnées veuillent du mal à mon frère, tentent de me soumettre des informations ou tentent de devenir mon ami pour de mauvaise raison. Alors je reste prudent et guette les faits et gestes de chacun. Je pourrai m’inquiéter un peu moins depuis qu’il est parti à son service militaire, mais c’est réellement plus fort que moi. Je ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose, ni à lui, ni aux jumeaux. Ils ne sont pas qu’une partie de ma vie comme il en est de notre sang, ils sont toute ma vie.
Lowe Jun Soo
yeah i'm pretty but i'm loco
DRÔLE (★★★✰✰) | TÊTU (★★★★✰) | INTELLIGENT (★★★★✰) | IMPULSIF (★★★★★) | CONFIANT (★★✰✰✰) |
ARROGANT (★★★★✰) | PASSIONNE (★★★★✰) | GROSSIER (★★★✰✰) | AFFECTUEUX (★★★★★) | MEFIANT (★★★★★) |
Rumour has it... il aurait été casté comme son frère mais lui, aurait été recalé - faux, jun soo n'a aucun talent pour la musique et le sait, il ne s'y ai donc jamais tenté. Survole l'avatar, petit coquin. | My character byun jun ho ( petit (demi) frère) –Jun Soo ? Un bon grand frère ? Non, c’est le pire de tous ! Il a toujours été horrible avec moi, il a passé les dix-huit premières années de ma vie à me torturer, à m’humilier. C’était un cauchemar de vivre avec lui, j’me cachais dès que j’avais le malheur de le croiser dans le couloir. Il a fait de ma vie un enfer ! Tout ça parce que j’avais des centimètres de plus que lui ! C’pas ma faute s’il a rétréci au lavage ! En fait j’déconne. Jun Soo, il m’en a fait faire des conneries, on s’en est tapés des punitions à cause de tout ça mais pour tous les fous rires et les secrets partagés, je changerai rien. Même pas la fois où il m’a fait sauter du toit pour atterrir dans la piscine. C’est un grand frère casse-cou, un peu chiant avec ses blagues reloues mais c’est mon grand frère. Si vous passez une mauvaise journée, suffit d’aller le voir, il aura toujours une blague ou deux pour vous faire tordre de rire. Puis il a toujours été là pour moi, pour me soutenir, m’accompagner dans ce parcours un peu fou. Et je sais que quoiqu’il arrive, il sera toujours là pour moi. C’est mon grand frère quoi ! byun jun hee ( petite (demie) sœur) – Jun Soo est un peu stricte avec moi. Il ne veut pas trop me laisser sortir tard le soir même si les parents acceptent et que je suis majeur. Il dit que je ne connais pas les types de dehors et que je suis mieux à la maison. Cela ne sert à rien de discuter avec lui, il est aussi têtu qu’une mule alors je ne réplique pas, lorsqu’il est fâché on a toujours l’impression qu’il est prêt à vous foutre un coup mais il ne l’a jamais fait, du moins à aucun membre de cette famille. Mais il n’est pas que ça Jun Soo, il a plus de bon que de mauvais. Il me fait énormément rire parfois, j’ai l’impression qu’il est près à tout pour me faire sourire. Et puis, il est aussi très attentif : il me fait des soupes lorsque je suis malade, même si il râle il m’amène au cinéma regarder des films d’amours, il me réconforte lorsque je suis triste et surtout, il n’oublie jamais mon cadeau d’anniversaire. Combien de ses meufs ont pu me jalouser? Evidemment qu'il faisait très attention à elle, Jun Soo il fait semblant mais c'est un gars attentionné en réalité, mais elles n'en ont jamais eu autant. Lorsque j’y repense, il est aussi très proche des garçons aussi, on rit beaucoup tous les trois mais je crois vraiment que je suis sa préférée. *rire* camarade de classe et ami – La première fois que je l’ai vu, je ne savais pas trop quoi penser. Déjà, je me demandais si il parlait coréen parce que son visage met un peu de doutes. Et puis, il semblait ouvert aux autres mais dans un autre sens, au contraire un peu réservé. Il vous sourit mais son regard semble dénoncer une certaine méfiance, un peu comme si il craignait que vous veniez mettre tout sans dessus dessous dans sa vie, celle de ses proches. Je crois que son premier instinct est la protection. Mais au fil du temps ça va, cela s’estompe. Cette lueur le quitte, son sourire se fait plus grand, ses blagues plus nulles et il se découvre alors très vite. Mais il faut méfier de son rire, il est plutôt impulsif. Il part au quart de tours et si les menaces, les mots durs, ne fonctionnent pas il n’hésite pas à devenir violent. De toute façon, vous le saurez immédiatement si il ne peut pas vous encadrer, ça se voit à sa manière de vous parler, il est sec et puis, son regard digne des plus grand tueurs ne pourra vous échapper. De plus, il vous cherchera sûrement, constamment et sans répit, il s'amusera de vous voir sortir de ses gonds par ses soins. En fait,Jun Soo c’est le genre de type qui est aussi blanc que noir,qui sait se montrer aussi gentil que parfaitement exécrable. Il n’a peur de rien, ni de personne. anonyme – Ouais ce mec est taré dans sa tête ! Une fois, je sais plus quand mais je vous jure sur la tête d’un dromadaire que c’est arrivé ! Je voulais aller me poser tranquille, sans pression tu connais pis je l’ai bousculé sans faire exprès lui et une meuf. J’ai senti son regard scarface sur moi, pendant dix secondes j’ai eu l’impression d’être la cible d’une armée entière. Il m’a demandé si j’avais pas oublié quelque chose alors normal, j’ai cherché dans mes poches et j’ai dit non. Et là BIM. Le gars m’a foutu un gros coup de boule. J’ai rien eu le temps de comprendre que j’étais déjà au sol. LE GARS M’AVAIT NIQUER L’ARCADE. Nan, je vous jure, ce gars c’est un grand malade. beau-père – Mon premier, enfin, le premier enfant de ma femme mais vous savez, il est comme mon fils, est très pudique sur le plan de ses sentiments. Il aime chaque membre de la famille mais je crois qu’il préfèrerait se jeter à la mer plutôt que de le dire. Alors il le démontre par le biais de divers substitues, surtout avec ses frères : avec eux il est davantage question de bagarres, de chamailleries et de taquineries. Au contraire avec les femmes de sa vie, soit sa sœur et sa mère bien sûr, tout est beaucoup plus doux, plus attentionné. C’est un bon garçon qui ne sait parler d’amour, ni de ses sentiments réellement. Il ne m’a pas rejeté lorsque je suis arrivé : je craignais une rebellion durant son adolescence mais il n’en fut rien. C’est comme si il avait compris que je n’étais pas un ennemi, une personne qui veut son bien. Bien sûr, je ne remplacerai jamais son père et je ne le veux pas : ils partent bien trop souvent en voyage ensemble pour qu’il puisse disparaitre à ses yeux. Jun Soo fait la part des choses. Malgré les apparences et ce côté impulsif destructeurs, il est une personne très censée. |
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citation de ton choix
J’aurais voulu vous parler de ma naissance, comme tous les autres, mais pour tout vous avouer je ne m’en souviens pas. Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai vu le jour le 29 Janvier 1992 dans un petit village de Corée du Sud en bord de mer. J’étais un gros bébé de 5 kilos 100 d’après les photos, les documents et d’après ma mère. Souvent, mon beau-père s’amuse à dire qu’il aimerait en pêcher des comme ça tous les jours. Moi ça me fait pas trop rire, j’suis pas un thon.
Mes souvenirs commencent davantage lorsque mon père est partie. Cette grande ombre rassurante aux grands yeux et à la veste en cuir qui semblait m’aimer, et ma mère aussi. Mais les vies sages ne sont pas pour lui, il était sauvage, impulsif avec ce besoin constant de voyager, partir, voir d’autres choses. Je ne pense pas avoir été la chaine qui l’a poussé à rester bien sagement en Corée du Sud quelques temps et aujourd’hui, je ne peux lui reprocher d’avoir essayé. Beaucoup pensent que je lui cherche des excuses, lui trouve des raisons et que j’ai été aveuglé, mais je n’ai que faire de leurs avis.
En attendant, j’avais ces cadeaux, ces coups fils qui me signifiaient qu’il m’aimait puis plus tard, ses visites régulières. Pour autant manquer de la présence physique d’un paternel. Très vite, mon beau père est arrivé. Avec des yeux tirés comme ceux de ma mère, cette présence bienveillante. Je ne l’ai pas rejeté, parce que j’étais trop jeune et parfois je me demande ce qu’il y en aurait été si il serait arrivé plus tard. Mais penser ainsi, remettrait en cause l’arrivée de Jun Ho, né de leur union. Aussi minuscule que j’étais, je ressens encore cette jalousie me fouetter le cœur quand mes parents venaient s’occuper de ce marmot. Il débarque comme une fleur de cerisier qui tombe sur le béton, on lui donne mes jouets, il vole ma mère et cet homme que je peux appeler papa sans qu’il le soit réellement. Non, Jun Ho était insupportable étant bambin. Heureusement, le temps passe et Jun Ho s’avère être un super copain. Un copain un peu chiant, qui n’est pas toujours d’accord sur les jeux et qui fait exprès de dire que je l’ai frappé en pleurant alors que c’est pas vrai. Mais il est toujours là, du matin au soir, même la nuit. Il me fait rire, on fait des bêtises ensembles et je crois que si il ne serait pas la je me serai fait chier.
J’ai six ans lorsque les deux autres sont arrivés. Je me souviens encore de mes yeux écarquillés face aux deux bébés qui dorment tranquillement. On dirait des poupées, ils ont la peau douce. « La prochaine fois il y en aura trois ? » Ma voix innocente d’enfant s’adresse à ma mère et elle me regarde en riant. Elle passe sa main frêle sur mon visage en riant et je ferme les yeux. Elle sent bon. A cette époque, je ne m’en rends pas compte mais la venue de ses deux nouveaux bébés augmente considérablement mes responsabilités. Deux nouveaux bébés ça veut dire expliquer deux fois plus de bêtises à faire, surveiller deux bébés en plus, protéger deux enfants en plus, se battre contre deux fois plus de personnes qui pourraient les embêter et j’en passe encore. Tant de problèmes … Mais déjà à cette époque là j’étais à la hauteur, je me sentais à la hauteur.
Je sens les lèvres de ma mère sur mon front, j’ai dix-sept ans. « Tu veux que je t’aide ? » Je ne lui laisse même pas le temps de me répondre que le savon frotte déjà mes mains puis une fois celles-ci propres, je commence à couper les légumes. Ma tenue de Baseball tout droit venue des Etats-Unis colle encore à ma peau légèrement humide par l’effort. « On a gagné maman. » Lui racontais-je en affichant un sourire immense. « C’est parce que tu es le meilleur, tu es mon fils. » Nos rires s’emmêlent et se mêlent au bruit des couteaux tranchants les légumes. J’ai trois passions dans la vie : le baseball, les voyages et la cuisine. Si j’ai acquis les deux premières par le biais de mon père qui se montre de plus en plus présent, m’enlevant à chaque vacances pour partir à l’autre bout du monde, ma mère m’a transmise la sienne malgré elle. A force de la voir préparer les repas je me sentais curieux. Moi aussi, je voulais manier les couteaux, mélanger les saveurs et dresser de jolies assiettes et surtout, ça fonctionne vraiment bien avec les filles. La cuisine est une sorte d’art, une passion calme en opposition avec le sport si énergique qu’est le baseball. Un mélange surprenant, comme ce caractère bien trempé qui s’est développé, c’est tout moi.
Souvent, j'ai l'impression d'être le jour et la nuit. Je semble être formé de contradiction, je suis difficile à prendre et surtout, à comprendre. Parfois je suis bien, je ris et je parle avec les autres tout naturellement puis dans la seconde qui suit, dès le premier mot ou premier geste maladroit, je me retrouve dans une colère noire. Cela arrive rarement avec ma famille car j'essaye toujours de me contrôler mais avec les autres, c'est plus compliqué. Je n'ai aucune obligation de filtre dans mes paroles et un respect largement moins élevé. Je me sens comme un maître jedi qui sombre du côté obscure de la force. Je ne réfléchis pas trop mais surtout trop tard, je ne semble pas prendre beaucoup de recul et c'est toujours à chaud que je réagis. Et puis, je suis incapable de retenir mes mots sanglants. Il n'y a que dans la haine et la colère que je ne sais pas faire semblant. N'essayez pas de me comprendre, j'ai du mal à le faire même moi.
J’ai le cœur serré, j’ai presque la larme à l’œil tant je suis heureux mais je ne laisse rien paraître. « Bravo tête d’œuf ! » Je frappe le bras de Jun Ho en lui offrant un rire joyeux agrémenté d’un sourire immense. Je me sens si fier de lui, si ému qu’il ait réussi son casting mais je préfère me couper les deux bras plutôt que de lui dire. Depuis quand le grand gaillard maintenant tatoué (malgré la désapprobation de ma mère mais avec celle de mon paternel) montre l’amour qu’il porte à son petit frère ? Il n’a pas besoin de le savoir, il doit s’en douter. « On va encore devoir se supporter même à la capitale on dirait, j’ai eu ma bourse. » Je lui ébouriffe les cheveux pour accentuer encore plus ma lourdeur avec ce sourire idiot inscrit sur le visage et je jette un regard discret à ma mère. Elle aussi est fière, mais si inquiète. Je la revois encore, me prendre à part quand Jun Ho est revenu avec cette fameuse carte pour me supplier de le suivre, de veiller sur lui. Je n’étais pas trop emballé à l’idée de suivre de longues études même si le chant de la ville m’a appelé. Jun Ho était assez grand non ? A peine cette idée m’eut traversé l’esprit que cet idiot se prenait une porte en pleine poire. Cet idiot avait besoin de moi. Le soir même, ma demande de bourse était envoyée.
Et me voilà aujourd’hui, dans cet amphithéâtre immense à écouter attentivement le professeur. Jamais je n’aurai imaginé que suivre des études me plairait. C’est vrai, je ne suis pas de ceux qui adorent les bouquins et encore moins d’étudier. Mon truc à moi, c’est partir découvrir de nouvelles choses et non pas rester le cul sur une chaise. Mais cette fois-ci c’était différent, c’était du sport. Mêlé à sa passion, cela s’avérait être une véritable vocation tant pour les matières pratiques et théoriques. Pour autant, je ne suis pas devenu une grosse tête. Non, mon caractère impulsif et bagarreur mais tout de même agréable ne l’a pas quitté. La seule qui ait changé en ma personne, c’est ma méfiance. Aujourd’hui avec la notoriété de Jun Ho, je craint que des personnes mal intentionnées veuillent du mal à mon frère, tentent de me soumettre des informations ou tentent de devenir mon ami pour de mauvaise raison. Alors je reste prudent et guette les faits et gestes de chacun. Je pourrai m’inquiéter un peu moins depuis qu’il est parti à son service militaire, mais c’est réellement plus fort que moi. Je ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose, ni à lui, ni aux jumeaux. Ils ne sont pas qu’une partie de ma vie comme il en est de notre sang, ils sont toute ma vie.
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TOUJOURS LA MÊME :bago:
Célébrité prise
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Re: LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco | Jeu 3 Nov - 20:10 Citer EditerSupprimer
JE SUIS PAS AVEC LE BON COMPTE MAIS PUTAIN MALLAU T ABUSES WESH
Yindee nos disputes vont en être que plus acharnée
putain t'a toujours le don pour trouver des males qui font mouiller :bang:
JE SUIS PAS AVEC LE BON COMPTE MAIS PUTAIN MALLAU T ABUSES WESH
Yindee nos disputes vont en être que plus acharnée
putain t'a toujours le don pour trouver des males qui font mouiller :bang:
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Re: LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco | Jeu 3 Nov - 20:11 Citer EditerSupprimer
LES FEMMES DE MA VIE
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Re: LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco | Jeu 3 Nov - 20:19 Citer EditerSupprimer
Fais gaffe à ce que tu dis toi è_é !
Je vais te marrave !
Mon Jun Soo ! Reboot parfait de la perfection !
Le Jun Soo 1.0 était déjà perf' mais alors là le 2.0 jpp tmtc !
Je suis comme une ouf depuis tout à l'heure jpp à cause de toi :(
Je vais de voir te rajouter un tatouage sinon on va vouloir te voler :(
Un truc genre "propriété de Yindee" ou un truc du genre jsp encore !
T'es parfait, tu me rends fragile ToT
Kwon Camille a écrit:Yindee nos disputes vont en être que plus acharnée
Fais gaffe à ce que tu dis toi è_é !
Je vais te marrave !
Mon Jun Soo ! Reboot parfait de la perfection !
Le Jun Soo 1.0 était déjà perf' mais alors là le 2.0 jpp tmtc !
Je suis comme une ouf depuis tout à l'heure jpp à cause de toi :(
Je vais de voir te rajouter un tatouage sinon on va vouloir te voler :(
Un truc genre "propriété de Yindee" ou un truc du genre jsp encore !
T'es parfait, tu me rends fragile ToT
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Re: LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco | Jeu 3 Nov - 20:26 Citer EditerSupprimer
:bago: :bago: :bago: :bago:
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Re: LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco | Jeu 3 Nov - 20:26 Citer EditerSupprimer
je le fais pour toi yindee le tatoo si tu veux
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Re: LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco | Jeu 3 Nov - 20:43 Citer EditerSupprimer
OMMMG TU VIENS DE ME KIILLLEERR MAIS OMMMMGG
:dead:
je baaavvee ce mec est . . . OWAHHAHAH !!!!
non mais
what
je suis
choquéééééééééééééééeee
par tant de beautééééééééééé
pfppfpfpfpfppff
tu viens de refaire ma journée :P
:dead:
je baaavvee ce mec est . . . OWAHHAHAH !!!!
non mais
what
je suis
choquéééééééééééééééeee
par tant de beautééééééééééé
pfppfpfpfpfppff
tu viens de refaire ma journée :P
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Re: LOWE JUN SOO ⌛ i'm pretty but i'm loco | Jeu 3 Nov - 20:45 Citer EditerSupprimer
je reviens avec dambi parce que je suis une thug dans ma tete
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