Never learned your lesson...
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Never learned your lesson... | Sam 5 Nov 2016 - 10:32 Citer EditerSupprimer
You say you a gangsta, that don't impress me none. You say you a gangsta, ain't seen a thing you done. I do it all myself, I ain't gettin' help.From no one, from no one. Yeah, I'm young, twenty-four, living in a crazy world. But I know the difference between a man and a herb. You frontin' like you got it, claim they hittin' on your .wallet
Never learned your lesson, ain't even gonna question
J'ai toujours su au fond de moi que la vie allait m'offrir un cadeau empoisonné. On ne peut vivre notre vie jour par jour sans se soucier de ce qui nous entoure. L'ignorance ou le courage, peu importe ! Elle nous apporte sur des routes bien périlleuses. Hélasse une fois le premier pas entamé, nous pouvons plus y échapper. C'est alors que nous devions affronter les sorts qu'elle nous réserve. Un mystère rempli de malice anodine ou commune.
C’est donc avec désagrément que je quittais le dortoir de mes panthères d’amour. Pour n’y sortir ni vus ni connu. Il était venu temps de répondre présence à se macaque démembrer. Lui qui se croyait tout permis ! Je ne cessais de me dire que cet homme avait besoin de compasser un certain petit problème pour agir cette manière. Bien que cette idée me plaise, je connais la vérité ! Une vérité qui m’a gâché mon arrivée à l’université et qui me détruit encore. Comment dire, la prochaine fois qu’un inconnu cri à l’aide, je continuerais mon chemin sans jamais m’arrêter. Qu’il soit en danger ou non ! L’entraide de nuit, je passe à vie. Il est hors de question que j’intervienne pour me retrouver dans la même situation.
Marcher vers l’arrêt d’autocars me parut une éternité. Comment apprécier une sortie nocturne quand la raison est ennuyeuse. Je regardais mon téléphone en relisant le dernier message qui s’affichait ‘’ viens au XX rue X et soit là avant onze heures vingt !’’. Le pire, je relut encore et encore en restant fixée sur la signature PJ. Sa signature qui ne rendait pas le message plus élégant. Il pouvait mettre sa PJ où je pense. Au moins, il pourrait marcher comme un pingouin pour quelques jours. Ça serait bien marrant de voir un tel spectacle s’afficher à moi. Je pourrais enfin glousser de rire sur sa personne.
Je levais les yeux pour regarder l’autobus arriver en retard comme toujours. Je soupirais en imaginant la crise que j’allais avoir sur mon retard. Je souriais au chauffeur en glissant ma carte. Tandis que mon regard balayait les emplacements de libre. Je m’assois au centre où je ne serais pas dérangé. Dans ce moment de solitude, je m’accote contre la paroi de la vitre pour me perdre dans le paysage défilant. Il n’y a pas à dire la Corée du Sud est d’une beauté. Au grand jamais, je veux quitter ce pays. Je comprends les immigrants de vouloir vivre aux États-Unis même-ci il n’y a rien de génial ! Je ressens la même chose, mais pour un pays bien différent.
Les logements, les commerces, les appartements défilaient si vite que mes yeux ne purent retenir que quelques noms. C’était bien dommage surtout pour les commerces. Je suis peut-être atteint du trouble de magasinage compulsif. Est-ce grave ? Non, si tu es fortuné ! Dans mon cas, je devais sortir mon argent de ma cachette ! Surtout que mon style vestimentaire ne vient pas d’ici, mais du Japon. Moi qui voulais m’habiller plus avec des vêtements d’ici…je vais rester avec ma ligne.
Mon téléphone me sort rapidement de ma visite sur la lune. Je sursaute et regardais un peu partout. Je fais bien rire trois lycéennes. Je sors de ma poche mon portable et regardais mon message ‘’en retard de 10 minutes. On règlera ça ce soir. PS’’. Mon cœur se serra. Est-ce que mon sort durera plus longtemps. Je crois déjà avoir payé ma dette. Il est beau de rêver. Au moins, j’ai appris une leçon : Thea n’aide plus de purs inconnus.
Je me levais et fis sonner l’alarme en tirant sur la corde. Je me dirige vers la sortit en examinant les adolescentes qui parle des chanteurs coréens. Très peau pour moi. Je n’aime déjà pas la musique pop de chez moi alors celle d’ici non plus. Je suis plus jazz et country.
Je débarquais de l’autobus en me dirigeant rapidement ers le bâtiment en question. Le vigile me demandait ma carte. Je soupirais de mécontentement. Moi et mon visage d’enfant ! Je ne suis pas habillé en uniforme du collège ni du lycée alors, est-ce normal que ça me fâche ? Oui ! Certes, je ne mesure que 1m52 mais je ne suis pas une gamine !
Il me rendit ma carte en enfichant un sourire rempli de signification. Un haut de cœur m’apparut. Je le contournais rapidement avant de laisser mes tripes et boyaux sur lui. En rentrant, un de ses hommes de main m’apportait au fond du bar dans une chambre privé. Tien, tien monsieur a vraiment besoin de nounou ? La porte s’ouvrir sur une pièce que je n’apprécierais jamais.
‘’D’accord, je suis en retard, mais ce n’est pas évidant de venir en autobus plus je ne suis pas à pied non plus ! J’aurais aussi pu marcher, mais tu aurais accueillis mon petit minois que le matin dans de petites heures ! Dis-je rapidement, et je ne suis pas désolé ! J’aurais bien aimé rester étendue dans mon lit.’’
Je laissais cette dernière phrase sortir en me laissant tomber sur le divan de cuir. Amusant ou non, mais ce bar avait plus de belle fille et d’homme d’affaires qui voulait boire et chanter. Je passais ma jambe droite sur ma gauche. Hors de question que je m’assois comme un homme alors que ma robe est toujours courte. Je croisais mes bras en lui souriant.
‘’Alors ? Monsieur PS…’’
C’est donc avec désagrément que je quittais le dortoir de mes panthères d’amour. Pour n’y sortir ni vus ni connu. Il était venu temps de répondre présence à se macaque démembrer. Lui qui se croyait tout permis ! Je ne cessais de me dire que cet homme avait besoin de compasser un certain petit problème pour agir cette manière. Bien que cette idée me plaise, je connais la vérité ! Une vérité qui m’a gâché mon arrivée à l’université et qui me détruit encore. Comment dire, la prochaine fois qu’un inconnu cri à l’aide, je continuerais mon chemin sans jamais m’arrêter. Qu’il soit en danger ou non ! L’entraide de nuit, je passe à vie. Il est hors de question que j’intervienne pour me retrouver dans la même situation.
Marcher vers l’arrêt d’autocars me parut une éternité. Comment apprécier une sortie nocturne quand la raison est ennuyeuse. Je regardais mon téléphone en relisant le dernier message qui s’affichait ‘’ viens au XX rue X et soit là avant onze heures vingt !’’. Le pire, je relut encore et encore en restant fixée sur la signature PJ. Sa signature qui ne rendait pas le message plus élégant. Il pouvait mettre sa PJ où je pense. Au moins, il pourrait marcher comme un pingouin pour quelques jours. Ça serait bien marrant de voir un tel spectacle s’afficher à moi. Je pourrais enfin glousser de rire sur sa personne.
Je levais les yeux pour regarder l’autobus arriver en retard comme toujours. Je soupirais en imaginant la crise que j’allais avoir sur mon retard. Je souriais au chauffeur en glissant ma carte. Tandis que mon regard balayait les emplacements de libre. Je m’assois au centre où je ne serais pas dérangé. Dans ce moment de solitude, je m’accote contre la paroi de la vitre pour me perdre dans le paysage défilant. Il n’y a pas à dire la Corée du Sud est d’une beauté. Au grand jamais, je veux quitter ce pays. Je comprends les immigrants de vouloir vivre aux États-Unis même-ci il n’y a rien de génial ! Je ressens la même chose, mais pour un pays bien différent.
Les logements, les commerces, les appartements défilaient si vite que mes yeux ne purent retenir que quelques noms. C’était bien dommage surtout pour les commerces. Je suis peut-être atteint du trouble de magasinage compulsif. Est-ce grave ? Non, si tu es fortuné ! Dans mon cas, je devais sortir mon argent de ma cachette ! Surtout que mon style vestimentaire ne vient pas d’ici, mais du Japon. Moi qui voulais m’habiller plus avec des vêtements d’ici…je vais rester avec ma ligne.
Mon téléphone me sort rapidement de ma visite sur la lune. Je sursaute et regardais un peu partout. Je fais bien rire trois lycéennes. Je sors de ma poche mon portable et regardais mon message ‘’en retard de 10 minutes. On règlera ça ce soir. PS’’. Mon cœur se serra. Est-ce que mon sort durera plus longtemps. Je crois déjà avoir payé ma dette. Il est beau de rêver. Au moins, j’ai appris une leçon : Thea n’aide plus de purs inconnus.
Je me levais et fis sonner l’alarme en tirant sur la corde. Je me dirige vers la sortit en examinant les adolescentes qui parle des chanteurs coréens. Très peau pour moi. Je n’aime déjà pas la musique pop de chez moi alors celle d’ici non plus. Je suis plus jazz et country.
Je débarquais de l’autobus en me dirigeant rapidement ers le bâtiment en question. Le vigile me demandait ma carte. Je soupirais de mécontentement. Moi et mon visage d’enfant ! Je ne suis pas habillé en uniforme du collège ni du lycée alors, est-ce normal que ça me fâche ? Oui ! Certes, je ne mesure que 1m52 mais je ne suis pas une gamine !
Il me rendit ma carte en enfichant un sourire rempli de signification. Un haut de cœur m’apparut. Je le contournais rapidement avant de laisser mes tripes et boyaux sur lui. En rentrant, un de ses hommes de main m’apportait au fond du bar dans une chambre privé. Tien, tien monsieur a vraiment besoin de nounou ? La porte s’ouvrir sur une pièce que je n’apprécierais jamais.
‘’D’accord, je suis en retard, mais ce n’est pas évidant de venir en autobus plus je ne suis pas à pied non plus ! J’aurais aussi pu marcher, mais tu aurais accueillis mon petit minois que le matin dans de petites heures ! Dis-je rapidement, et je ne suis pas désolé ! J’aurais bien aimé rester étendue dans mon lit.’’
Je laissais cette dernière phrase sortir en me laissant tomber sur le divan de cuir. Amusant ou non, mais ce bar avait plus de belle fille et d’homme d’affaires qui voulait boire et chanter. Je passais ma jambe droite sur ma gauche. Hors de question que je m’assois comme un homme alors que ma robe est toujours courte. Je croisais mes bras en lui souriant.
‘’Alors ? Monsieur PS…’’
©Pando
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Re: Never learned your lesson... | Sam 12 Nov 2016 - 19:31 Citer EditerSupprimer
Never learned your lesson...
pyo jaxson & murakami thea
Le mois d'octobre viens tout juste de commencer , d'habitude je ne reçois aucun appel de la mafia, mais aujourd'hui tout est différent, les raisons : une fille nous avait vues lorsqu'on demandait la taxe à une personne. Je lui ai pris son numéro histoire de voir ce qu'on pouvait faire, j'avais appelé mon père pour qu'il m'aide à prendre une décision. On peut dire que c'est une protection, je ne voulais pas que la jeune femme balance toutes les informations à la police, alors au lieu de la ligoter et de la balancer dans l'océan, nous allons voir si elle pouvait travailler pour nous. Je lui ai donc envoyé un message pour lui dire l'heure, la rue et le bâtiment et surtout qu'elle évite d'être en retard puisque ça me fout bien en rogne lorsqu'on ne respecte pas un horaire spécifique.
D'habitude, nous allions dans les commerces récupérer les taxes, c'est une chose illégale puisque c'est considéré comme du racket, alors que c'est une protection, nous devions faire vivre la mafia. Un chauffeur est venu me chercher avec une belle voiture de couleur noire, vitre teintée et j'en passe. Il fallait se faire discret. Il m'emmena donc au bar pour que je puisse rencontrer la jeune femme en question, je devais lui dire si je l'a tuais ou si elle pouvait m'être utile. A vrai dire, je n'ai pas envie de tuer quelqu'un aujourd'hui, alors on va éviter de faire quelque chose qui peut salir la chambre où j'allais l'accueillir. Cette chambre est une sorte de bureau, je sais que beaucoup de personnes pensent que je fricote avec des demoiselles, alors que je fais du business, je n'ai plus le temps pour faire n'importe quoi avec n'importe qui.
Une fois arrivée sur les lieux, je vais dans la salle où je vais recevoir la demoiselle. L'heure tourne et j'en avais marre de l'attendre. Elle est en retard et dieu sait que je déteste ça. La prochaine fois, je vais la chercher par la peau du cul, chez elle, qu'il y ait son père ou sa mère, je m'en fiche. J'en profite pour voir toute la paperasse qu'il me restait à faire. Est-ce qu'il y a des taxes à récupérer ? Est-ce que les prostituées se font assez de bénéfices ? C'est assez compliqué de faire toutes ses choses et le pire dans tout ça, c'est les contrats que d'autres mafia nous propose de faire à leur place. Certains veulent qu'on exécute une personne qui les dérange ou un traître, d'autres veulent qu'on règle les histoires de gang, mais je ne voulais pas m'occuper de leurs affaires. Ça ne me regarde pas et ça ne regarde pas la mafia de mon père biologique.
Le temps passe et la porte de la chambre privée s'ouvre. Mon regard se porte sur la demoiselle qui venait d'arriver. « Quand on rentre, on dit bonjour au lieu d'essayer de se justifier. » Lançai-je froidement. Je n'ai pas le temps d'écouter les bêtises qu'elle allait me raconter puisque de toute façon, je n'allais pas la croire. Elle s'installe sur le divan et je l'a regarde attentivement avant de m'asseoir à côté d'elle. « La dernière fois, tu as vu quelque chose que tu ne devais pas voir. » Je sors une cigarette et je l'allume. « Je voulais savoir si tu veux travailler pour nous, il faut voir si tu peux être fidèle pour éviter que tu parles de nous à la police. »
D'habitude, nous allions dans les commerces récupérer les taxes, c'est une chose illégale puisque c'est considéré comme du racket, alors que c'est une protection, nous devions faire vivre la mafia. Un chauffeur est venu me chercher avec une belle voiture de couleur noire, vitre teintée et j'en passe. Il fallait se faire discret. Il m'emmena donc au bar pour que je puisse rencontrer la jeune femme en question, je devais lui dire si je l'a tuais ou si elle pouvait m'être utile. A vrai dire, je n'ai pas envie de tuer quelqu'un aujourd'hui, alors on va éviter de faire quelque chose qui peut salir la chambre où j'allais l'accueillir. Cette chambre est une sorte de bureau, je sais que beaucoup de personnes pensent que je fricote avec des demoiselles, alors que je fais du business, je n'ai plus le temps pour faire n'importe quoi avec n'importe qui.
Une fois arrivée sur les lieux, je vais dans la salle où je vais recevoir la demoiselle. L'heure tourne et j'en avais marre de l'attendre. Elle est en retard et dieu sait que je déteste ça. La prochaine fois, je vais la chercher par la peau du cul, chez elle, qu'il y ait son père ou sa mère, je m'en fiche. J'en profite pour voir toute la paperasse qu'il me restait à faire. Est-ce qu'il y a des taxes à récupérer ? Est-ce que les prostituées se font assez de bénéfices ? C'est assez compliqué de faire toutes ses choses et le pire dans tout ça, c'est les contrats que d'autres mafia nous propose de faire à leur place. Certains veulent qu'on exécute une personne qui les dérange ou un traître, d'autres veulent qu'on règle les histoires de gang, mais je ne voulais pas m'occuper de leurs affaires. Ça ne me regarde pas et ça ne regarde pas la mafia de mon père biologique.
Le temps passe et la porte de la chambre privée s'ouvre. Mon regard se porte sur la demoiselle qui venait d'arriver. « Quand on rentre, on dit bonjour au lieu d'essayer de se justifier. » Lançai-je froidement. Je n'ai pas le temps d'écouter les bêtises qu'elle allait me raconter puisque de toute façon, je n'allais pas la croire. Elle s'installe sur le divan et je l'a regarde attentivement avant de m'asseoir à côté d'elle. « La dernière fois, tu as vu quelque chose que tu ne devais pas voir. » Je sors une cigarette et je l'allume. « Je voulais savoir si tu veux travailler pour nous, il faut voir si tu peux être fidèle pour éviter que tu parles de nous à la police. »
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Re: Never learned your lesson... | Mar 22 Nov 2016 - 12:38 Citer EditerSupprimer
Never learned your lesson...
Je me suis toujours dis que la vie cachait en elle de drôle de tournure inétendue. Celle qu'on ne peut détourner que par la force du temps sans vraiment comprendre la liaison de la compréhension. Ce n'est donc avec aucun étonnement que les paroles de mon futur patron ne me blessent. Il aurait été celui que j'aurais bien aimé ne pas croiser lors de mon arriver au sol sud-coréen. Il aurait été mieux pour ma propre personne de continuer mon chemin comme une fille bien sage. Mais, le contraire se fit. Moi et ma recherche d'énergie combative. Non ! Moi et ma recherche d'adrénaline. Elle qui est apparue lorsque je franchis le bar.
Ces premières paroles me fit sourire. Comment pouvais-je répondre à une personne ayant un égo encombrant. « On ne dit pas bonjour à une personne qui vous fait venir pour vous faire chanter ! Et d'ailleurs ! Je me justifiais comme je le veux ! Point final ! » Oui ! On joue pour ma vie, mais celle-ci me plaisait déjà qu'à moitié alors peu importe. Je changeais de position afin d'être mieux assise. J'étais choqué d'être en ce moment assis sur la banquette. Je perdais un temps fou pour mes études.
Je l'écoutais sagement ses paroles qui me firent rouler des yeux. Il allait vraiment me proposer un truc. J'espérais au fond de moi qui n'allait pas me demander de vendre mon corps. Je ne me voyais pas vêtue d'une tenue inappropriée me baladant sur le tertiaire. Balançant mes fesses de gauche à droite pour de charmer la gante masculine. Il m'aurait fallu une augmentation mammaire, des plateformes plus hautes que la norme, des fesses bien rondes en autre me transformer en Kardashian.
Je le regardais allumer sa cigarette. Je soupirais ennuyer de voir ce bout de tabac allumer devant mes yeux. Je n'avais qu'une envie de la prendre et de l'éteindre contre son front. Il aurait été agréable de le voir souffrir un peu, mais dommage aussi. Je souriais froidement en penchant la tête vers mon épaule. Je me replaçais droitement en riant. « Vous avez peur qu'une gamine telle que moi aille parler à la police ? Je ne suis pas si folle ! J'aurais simplement oublié...donc je peux partir et ne plus jamais revenir ? » Dis-je avec ma mine innocente. Je croisais mes bras contre ma poitrine en le provoquant du regard. Mon moi intérieur trouvait la situation plutôt comique, mais ma conscience me disait de me taire. « Vous aimeriez quoi ? Vous allez me dire de faire la rue ? Il n'y a pas un homme qui voudrait de mon corps ! Il manque un peu de courbe pour être baisable. » Dis-je souriant. Après tout j'avais raison…du moins pour le moment.
FICHE PAR STILLNOTGINGER.
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Re: Never learned your lesson... | Dim 4 Déc 2016 - 20:16 Citer EditerSupprimer
Never learned your lesson...
pyo jaxson & murakami thea
A peine arrivée qu'elle me casse déjà les couilles. Je ne l'a fais chanter, je fais une protection pour que ma mafia exerce son métier en paix. Je soupire d'agacement avant de sortir mon neuf millimètres pour le poser sur la petite table. Je veux bien être gentil pendant quelques minutes, mais à un moment, elle va éviter de me saouler sinon je vais lui faire un autre trou pour qu'on puisse lui faire une triple pénétration ou peut-être une quadruple si on compte la bouche. Je demande à un homme de main de ramener du thé pour moi et la demoiselle afin qu'on puisse discuter tranquillement comme des adultes, mais je pense que ça va très vite finir dans un duel verbal. Je n'aime pas les petites meufs qui commencent à ouvrir leur gueule dès le début alors que je demande un simple bonjour.
« On n'a pas peur qu'une gamine comme toi ouvre sa gueule, on veut tout simplement être discret et éviter de te tuer. » Dis-je en remettant mon costume correctement. Elle devrait quand même réfléchir avant de parler. Elle pense vraiment que je veux la foutre sur le trottoir ? On a suffisamment de prostituée à notre disposition, alors ce n'est pas pour remettre une autre, elle risquerait d'empiéter sur le territoire d'une salariée, et je ne voulais pas entendre quelqu'un se plaindre. « Tu vas faire mieux que ça. » Je laisse un peu de suspens, je prends la tasse de thé que mon collègue m'a ramené puis je l'a regarde droit dans les yeux. « Tu penses quoi d'être ma secrétaire ? » Demandai-je en souriant.
J'ai une petite idée derrière la tête, je lui propose un bon petit métier avec un bon salaire, mais il va y avoir quelque chose derrière notre contrat. Je vais réfléchir un temps soit peu à ce que je peux mettre à mon avantage dans son contrat. « Tu es d'accord ? » Je viens reprendre ma tasse de thé pour boire une gorgée. Va-t-elle accepté ? Il faut mieux pour elle qu'elle accepte sinon elle risque de passer un mauvais quart d'heure. « Dit moi tout de suite la réponse sinon je vais devoir faire quelque chose de ton joli corps. » Il faut l'intimider pour qu'elle soit d'accord avec ce qu'on lui propose sinon on va être obligé de faire quelque chose de son cadavre, et j'ai la flemme de l'enterrer dans une forêt ou de le balancer dans un lac.
« On n'a pas peur qu'une gamine comme toi ouvre sa gueule, on veut tout simplement être discret et éviter de te tuer. » Dis-je en remettant mon costume correctement. Elle devrait quand même réfléchir avant de parler. Elle pense vraiment que je veux la foutre sur le trottoir ? On a suffisamment de prostituée à notre disposition, alors ce n'est pas pour remettre une autre, elle risquerait d'empiéter sur le territoire d'une salariée, et je ne voulais pas entendre quelqu'un se plaindre. « Tu vas faire mieux que ça. » Je laisse un peu de suspens, je prends la tasse de thé que mon collègue m'a ramené puis je l'a regarde droit dans les yeux. « Tu penses quoi d'être ma secrétaire ? » Demandai-je en souriant.
J'ai une petite idée derrière la tête, je lui propose un bon petit métier avec un bon salaire, mais il va y avoir quelque chose derrière notre contrat. Je vais réfléchir un temps soit peu à ce que je peux mettre à mon avantage dans son contrat. « Tu es d'accord ? » Je viens reprendre ma tasse de thé pour boire une gorgée. Va-t-elle accepté ? Il faut mieux pour elle qu'elle accepte sinon elle risque de passer un mauvais quart d'heure. « Dit moi tout de suite la réponse sinon je vais devoir faire quelque chose de ton joli corps. » Il faut l'intimider pour qu'elle soit d'accord avec ce qu'on lui propose sinon on va être obligé de faire quelque chose de son cadavre, et j'ai la flemme de l'enterrer dans une forêt ou de le balancer dans un lac.
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