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Ain't got no choice w/ raison ♥
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Ain't got no choice w/ raison ♥ | Mar 22 Nov - 12:30
C'était une belle journée qui commençait à nouveau en ce samedi matin. Non pas dans le sens où il faisait beau, à vrai dire, je n'étais véritablement certain de l'humeur du ciel, mais il ne me semblait pas que le soleil soit venu nous honorer de sa présence. Je supposais plutôt un ciel gris. Il avait beau ne pas pleuvoir ou faire un temps radieux, cela ne m'avait point empêché d'emporter avec moi mon parapluie de couleur noire. La météo pouvait se révéler aisément changeante ici, et grâce à lui je ne serais pas surpris ni par l'un ni par l'autre. Si le ciel venait à pleurer, je serais ainsi protégé de l'averse et si l'astre des jours se décidait à illuminer nos existences de ses doux rayons, ceux-ci ne feraient aucun mal à ma peau. Sans oublier que les nuages ont été nombre de fois de faux amis qui m'ont bien souvent trompé. Il arrive qu'ils soient bien plus clairs et fins qu'on ne les imagine, et ne pouvant déterminer de mes propres yeux leur densité, il valait mieux pour moi prévenir que guérir. Je me soucie de toute manière peu de ce que pourront penser les passants qui me verront arborer un parapluie alors même qu'il ne pleut pas, je ne suis plus à une différence près.
J'ai décidé d'aller dans un magasin de jouer pour voir si certains jeux-vidéos sont moins chers que dans les magasins spécialisés. J'avais l'impression de me faire arnaquer et même si j'ai énormément d'argent, j'aimerais pouvoir économiser un maximum. Aujourd'hui, j'ai décidé de ne pas prendre un chauffeur pour me rendre au centre commercial, je ne voulais pas effrayer les citoyens de cette ville. Une fois que j'arrive devant l'énorme commerce, je me dirige directement au magasin de jouer. Au loin, je pouvais apercevoir beaucoup de monde mais à l'entrée de l'établissement, j'aperçois un petit garçon qui est en train de pleurer parce qu'il ne retrouve pas sa maman. Je me suis mis à son niveau en lui disant qu'il n'avait rien à craindre, qu'on allait retrouver sa génitrice et que je le récompenserai s'il était sage.
Il avait arrêté de pleurer au bout de quelques minutes, je ne sais pas si sa mère lui a appris les bonnes manières, mais une chose est sûre, c'est qu'il commençait à me suivre. Généralement, on apprend aux enfants qu'ils ne devaient pas partir avec des inconnus et fort heureusement pour lui, j'allais me promener dans le magasin de jouet. Je fus surpris du comportement de garçon, alors en m'accroupissant, je lui annonce qu'il pouvait prendre les jouets qu'il souhaitait avoir. Je ne voulais pas qu'il abuse de ma générosité, mais au moins, il évitera de penser qu'on l'a abandonné. Je pense qu'il va pouvoir remplir son coffre à jouet avec tout ce qu'il avait choisi. Nous partons à la caisse, et comme promis, je lui achète les jouets pour son bon comportement. Je le vois partir avec les cadeaux que je venais de lui faire pour se mettre en face d'une jeune femme. « C'est vous la mère du petit ? » Il fallait tout de même demander si c'était bien elle, je ne voulais pas le laisser avec une inconnue.
Ain't got no choice
jaxson & raina
C'était une belle journée qui commençait à nouveau en ce samedi matin. Non pas dans le sens où il faisait beau, à vrai dire, je n'étais véritablement certain de l'humeur du ciel, mais il ne me semblait pas que le soleil soit venu nous honorer de sa présence. Je supposais plutôt un ciel gris. Il avait beau ne pas pleuvoir ou faire un temps radieux, cela ne m'avait point empêché d'emporter avec moi mon parapluie de couleur noire. La météo pouvait se révéler aisément changeante ici, et grâce à lui je ne serais pas surpris ni par l'un ni par l'autre. Si le ciel venait à pleurer, je serais ainsi protégé de l'averse et si l'astre des jours se décidait à illuminer nos existences de ses doux rayons, ceux-ci ne feraient aucun mal à ma peau. Sans oublier que les nuages ont été nombre de fois de faux amis qui m'ont bien souvent trompé. Il arrive qu'ils soient bien plus clairs et fins qu'on ne les imagine, et ne pouvant déterminer de mes propres yeux leur densité, il valait mieux pour moi prévenir que guérir. Je me soucie de toute manière peu de ce que pourront penser les passants qui me verront arborer un parapluie alors même qu'il ne pleut pas, je ne suis plus à une différence près.J'ai décidé d'aller dans un magasin de jouer pour voir si certains jeux-vidéos sont moins chers que dans les magasins spécialisés. J'avais l'impression de me faire arnaquer et même si j'ai énormément d'argent, j'aimerais pouvoir économiser un maximum. Aujourd'hui, j'ai décidé de ne pas prendre un chauffeur pour me rendre au centre commercial, je ne voulais pas effrayer les citoyens de cette ville. Une fois que j'arrive devant l'énorme commerce, je me dirige directement au magasin de jouer. Au loin, je pouvais apercevoir beaucoup de monde mais à l'entrée de l'établissement, j'aperçois un petit garçon qui est en train de pleurer parce qu'il ne retrouve pas sa maman. Je me suis mis à son niveau en lui disant qu'il n'avait rien à craindre, qu'on allait retrouver sa génitrice et que je le récompenserai s'il était sage.
Il avait arrêté de pleurer au bout de quelques minutes, je ne sais pas si sa mère lui a appris les bonnes manières, mais une chose est sûre, c'est qu'il commençait à me suivre. Généralement, on apprend aux enfants qu'ils ne devaient pas partir avec des inconnus et fort heureusement pour lui, j'allais me promener dans le magasin de jouet. Je fus surpris du comportement de garçon, alors en m'accroupissant, je lui annonce qu'il pouvait prendre les jouets qu'il souhaitait avoir. Je ne voulais pas qu'il abuse de ma générosité, mais au moins, il évitera de penser qu'on l'a abandonné. Je pense qu'il va pouvoir remplir son coffre à jouet avec tout ce qu'il avait choisi. Nous partons à la caisse, et comme promis, je lui achète les jouets pour son bon comportement. Je le vois partir avec les cadeaux que je venais de lui faire pour se mettre en face d'une jeune femme. « C'est vous la mère du petit ? » Il fallait tout de même demander si c'était bien elle, je ne voulais pas le laisser avec une inconnue.
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Re: Ain't got no choice w/ raison ♥ | Sam 26 Nov - 1:19
Je profitais de mon jour de congé pour me rendre à cette boutique de jouets qui m’était si cher depuis mon arrivée à Séoul. C’était ici que j’avais trouvé le réconfort que j’avais eu besoin à l’époque où je n’étais encore qu’une gamine avec un bébé. La patronne avait pris soin de moi, au point que je la considère comme une seconde mère, ou plutôt, comme la mère que j’aurais toujours voulu avoir. Douce, bienveillante et délicate. Par la suite, je m’y étais faite une amie irremplaçable avec le temps. Et puis, avec Noel qui pointerait le bout de son nez dans moins d’un mois, je voulais gâter mon petit bonhomme qui faisait de moi le plus heureuse des mamans. Ce petit être qui avait toujours les yeux pétillant d’admiration face aux beautés de cette saison. La ville commençait doucement à se revêtir de ses décorations lumineuses qui l’embellissait chaque jour un peu plus. Je crois que j’avais gardé cette même âme d’enfant, toute aussi charmée que mon fils âgé de six ans. Telle mère, tel fils. Avec un peu de chance, cette année, la neige nous recouvrait de son large manteau blanc. Ce serait tellement sublime ! Pour l’heure, le soleil était au rendez-vous, amorçant une journée ensoleillée.
Main dans la main, la gaité collée au sourire naissant sur nos lèvres, nous nous rendions en famille au magasin de jouet. Quand le pas de la porte fut franchi, je regrettais presque d’avoir eu la même idée que tous ces gens. Une foule montre grouillait telle des fourmis désordonnées entre les différents rayons. Autant de monde dans un même endroit m’avait toujours fait stresser, notamment à cause de mon passé. J’étais devenue méfiante, surveillant sans cesse mes arrières l’air de rien. Loin de me reposer sur mes lauriers, ce n’était pas parce qu’il ne s’était rien passé ces dernières, cette histoire devenue un mauvais souvenir, que la menace n’était plus réelle. Ces gens-là ne vous oubliaient jamais vraiment.
Je resserrais ma poigne autour des petits doigts de mon enfant. « Reste près de moi, Alexei. » je le tirais à ma suite, ma prunelle de mes yeux. Il me fallut quelques minutes pour trouver mon amie dans tout ce monde, qui travaillait sur place, prenant justement sa pause. Je souris instantanément à sa vue. Plaquant un baiser sur sa joue en guise de bonjour, je lâchais un bref instant Alexei. Quand je me retournais pour lui assigner de faire la même chose, il avait quitté mon champ de vision. La panique me labourait soudainement le ventre. Je regardais en tous sens à sa recherche. Sans succès. Je n’arrivais plus à le voir. Ma raison de vivre avait disparue. « ALXEI ? OU ES TU ? » Hurlais-je soudain alors que mon amie m’attrapait par les épaules essayant de me rassurer. Alors que j’avais déjà fait au moins une dizaine de fois le tour du rayon, poussant les gens au passage, elle parvint à me convaincre que la meilleure solution était de retourner à l’accueil et l’appeler dans le micro.
De longues minutes s’écoulèrent avant que je le vois enfin courir vers moi, un grand sourire aux lèvres. Je me mis accroupis pour être à sa hauteur et le réceptionnée dans mes bras, soudainement soulagée. Je n’avais pas encore remarqué la quantité de jouet qu’il avait ramené de son aventure dans le magasin. Apres un moment tendre, je l’attrapais par les épaules plus sévères, lui montrant le regard dur que j’avais à son égard, malgré tout l’amour que je pouvais lui donner. « Ne me fais plus jamais ca Alexei, tu sais que c’est dangereux de partir seul avec autant de monde. Tu aurais pu te perdre. » Il me regardait avec sa mine de chien battu, bien conscient qu’il avait fait une bêtise, mais assez intelligent pour tenter de m’adoucir avec sa bouille d’ange. Ce qui avait toujours tendance à réussir. Je soupirais, lui ébouriffant les cheveux. « Il n’y a pas de mal pour cette fois, mais ne me fait plus de pareilles frayeurs. » il secouait la tête, séchant des larmes de crocodiles avant de me dire sur un ton espiègle, pensant que le temps de la dispute était terminé : « Maman, tu as vu ce que le monsieur m’a acheté ? » Je fronçais les sourcils face aux jeux qu’il me tendait. Des jeux que je ne pouvais me payer, ne serait-ce qu’un me coutait la peau des fesses. Alors pourquoi un inconnu lui aurait acheté cela ? « Quel monsieur, Alex ? » demandais-je avec incompréhension alors qu’il me montrait un étranger du doigt. Je me redressais vivement, me plaçant instinctivement entre le nouveau venu et mon fils. « Oui et vous ? Puis-je savoir ce qui vous êtes ? » Réclamais-je sur un ton plus que méfiant.
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jaxson & raina
Je profitais de mon jour de congé pour me rendre à cette boutique de jouets qui m’était si cher depuis mon arrivée à Séoul. C’était ici que j’avais trouvé le réconfort que j’avais eu besoin à l’époque où je n’étais encore qu’une gamine avec un bébé. La patronne avait pris soin de moi, au point que je la considère comme une seconde mère, ou plutôt, comme la mère que j’aurais toujours voulu avoir. Douce, bienveillante et délicate. Par la suite, je m’y étais faite une amie irremplaçable avec le temps. Et puis, avec Noel qui pointerait le bout de son nez dans moins d’un mois, je voulais gâter mon petit bonhomme qui faisait de moi le plus heureuse des mamans. Ce petit être qui avait toujours les yeux pétillant d’admiration face aux beautés de cette saison. La ville commençait doucement à se revêtir de ses décorations lumineuses qui l’embellissait chaque jour un peu plus. Je crois que j’avais gardé cette même âme d’enfant, toute aussi charmée que mon fils âgé de six ans. Telle mère, tel fils. Avec un peu de chance, cette année, la neige nous recouvrait de son large manteau blanc. Ce serait tellement sublime ! Pour l’heure, le soleil était au rendez-vous, amorçant une journée ensoleillée. Main dans la main, la gaité collée au sourire naissant sur nos lèvres, nous nous rendions en famille au magasin de jouet. Quand le pas de la porte fut franchi, je regrettais presque d’avoir eu la même idée que tous ces gens. Une foule montre grouillait telle des fourmis désordonnées entre les différents rayons. Autant de monde dans un même endroit m’avait toujours fait stresser, notamment à cause de mon passé. J’étais devenue méfiante, surveillant sans cesse mes arrières l’air de rien. Loin de me reposer sur mes lauriers, ce n’était pas parce qu’il ne s’était rien passé ces dernières, cette histoire devenue un mauvais souvenir, que la menace n’était plus réelle. Ces gens-là ne vous oubliaient jamais vraiment.
Je resserrais ma poigne autour des petits doigts de mon enfant. « Reste près de moi, Alexei. » je le tirais à ma suite, ma prunelle de mes yeux. Il me fallut quelques minutes pour trouver mon amie dans tout ce monde, qui travaillait sur place, prenant justement sa pause. Je souris instantanément à sa vue. Plaquant un baiser sur sa joue en guise de bonjour, je lâchais un bref instant Alexei. Quand je me retournais pour lui assigner de faire la même chose, il avait quitté mon champ de vision. La panique me labourait soudainement le ventre. Je regardais en tous sens à sa recherche. Sans succès. Je n’arrivais plus à le voir. Ma raison de vivre avait disparue. « ALXEI ? OU ES TU ? » Hurlais-je soudain alors que mon amie m’attrapait par les épaules essayant de me rassurer. Alors que j’avais déjà fait au moins une dizaine de fois le tour du rayon, poussant les gens au passage, elle parvint à me convaincre que la meilleure solution était de retourner à l’accueil et l’appeler dans le micro.
De longues minutes s’écoulèrent avant que je le vois enfin courir vers moi, un grand sourire aux lèvres. Je me mis accroupis pour être à sa hauteur et le réceptionnée dans mes bras, soudainement soulagée. Je n’avais pas encore remarqué la quantité de jouet qu’il avait ramené de son aventure dans le magasin. Apres un moment tendre, je l’attrapais par les épaules plus sévères, lui montrant le regard dur que j’avais à son égard, malgré tout l’amour que je pouvais lui donner. « Ne me fais plus jamais ca Alexei, tu sais que c’est dangereux de partir seul avec autant de monde. Tu aurais pu te perdre. » Il me regardait avec sa mine de chien battu, bien conscient qu’il avait fait une bêtise, mais assez intelligent pour tenter de m’adoucir avec sa bouille d’ange. Ce qui avait toujours tendance à réussir. Je soupirais, lui ébouriffant les cheveux. « Il n’y a pas de mal pour cette fois, mais ne me fait plus de pareilles frayeurs. » il secouait la tête, séchant des larmes de crocodiles avant de me dire sur un ton espiègle, pensant que le temps de la dispute était terminé : « Maman, tu as vu ce que le monsieur m’a acheté ? » Je fronçais les sourcils face aux jeux qu’il me tendait. Des jeux que je ne pouvais me payer, ne serait-ce qu’un me coutait la peau des fesses. Alors pourquoi un inconnu lui aurait acheté cela ? « Quel monsieur, Alex ? » demandais-je avec incompréhension alors qu’il me montrait un étranger du doigt. Je me redressais vivement, me plaçant instinctivement entre le nouveau venu et mon fils. « Oui et vous ? Puis-je savoir ce qui vous êtes ? » Réclamais-je sur un ton plus que méfiant.
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Re: Ain't got no choice w/ raison ♥ | Dim 4 Déc - 16:34
Je regarde la jeune femme un peu de travers pour lui faire comprendre que ça ne sert à rien de gronder son enfant. Ce n'est pas de sa faute s'il est émerveillé par les jouets qu'il y a dans ce magasin et je pense qu'il évitera de partir n'importe où avec tous les jouets que je venais de lui offrir. « Je suis Pyo Jaxson, j'ai vu votre fils pleurer devant le magasin. » Je m'incline légèrement puis je reprends. « Je lui ai promis de retrouver sa maman et de lui acheter des jouets s'il arrêtait de pleurer. » Elle n'avait pas à s'inquiéter, elle n'avait pas besoin de me rembourser, j'ai assez d'argent pour faire vivre plusieurs personnes dans un appartement. Merci papa de me mettre de l'argent sur mon compte ainsi que le salaire que tu me verses. Je suis content de voir la jeune femme rassurée d'avoir pu retrouver son fils. « Je tiens à préciser que je ne suis pas un pédophile, c'est très rare que j'offre des cadeaux. »
Fort heureusement, je n'avais pas mes gardes du corps. Elle aurait très vite compris que je suis membre d'une organisation criminelle, et je suppose qu'elle aurait appelé la police pour prévenir que nous étions dans un magasin. J'ai bien fait d'avoir dit à mes collègues de faire ce qu'ils voulaient, je ne voulais pas qu'on soit dans le pétrin à cause d'un gosse. D'ailleurs, j'envie la jeune femme d'avoir un enfant, je voulais être papa avant que mon ex femme ai un accident. Malheureusement la vie l'a décidé autrement. Je m'accroupis légèrement et je viens ébouriffer les cheveux du petit garçon. « Occupe toi bien de ta maman et soi-sage ! » Je lui fais un sourire avant de lui pincer la joue. « Et si, tu as un gros problème, tu cries '' tonton jax '' et je viendrai à ta rescousse d'accord ? » Il me demande de lui promettre, alors je le fais en croisant mon petit doigt et le sien.
Je me relève puis je regarde la demoiselle droit dans les yeux : « Je suppose que vous allez me demander comment me contacter pour me rembourser, alors voici ma carte. » Je lui donne, mais dès qu'on va se voir, je vais lui dire que ça ne sert à rien de me donner de l'argent, je l'ai fait par plaisir. « Prenez soin de votre enfant s'il vous plaît. » Je fais un petit sourire, et je me retourne pour aller voir les jeux vidéos qui pouvaient m'intéresser, mais je fus interpeller par l'enfant qui me retient la jambe pour pas me laisser partir. « Qu'est-ce qui se passe ? Ce n'est pas ta mère ? » Je lance un regard noir à la femme en question avant de me rapprocher d'elle avec son enfant.
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Je regarde la jeune femme un peu de travers pour lui faire comprendre que ça ne sert à rien de gronder son enfant. Ce n'est pas de sa faute s'il est émerveillé par les jouets qu'il y a dans ce magasin et je pense qu'il évitera de partir n'importe où avec tous les jouets que je venais de lui offrir. « Je suis Pyo Jaxson, j'ai vu votre fils pleurer devant le magasin. » Je m'incline légèrement puis je reprends. « Je lui ai promis de retrouver sa maman et de lui acheter des jouets s'il arrêtait de pleurer. » Elle n'avait pas à s'inquiéter, elle n'avait pas besoin de me rembourser, j'ai assez d'argent pour faire vivre plusieurs personnes dans un appartement. Merci papa de me mettre de l'argent sur mon compte ainsi que le salaire que tu me verses. Je suis content de voir la jeune femme rassurée d'avoir pu retrouver son fils. « Je tiens à préciser que je ne suis pas un pédophile, c'est très rare que j'offre des cadeaux. »Fort heureusement, je n'avais pas mes gardes du corps. Elle aurait très vite compris que je suis membre d'une organisation criminelle, et je suppose qu'elle aurait appelé la police pour prévenir que nous étions dans un magasin. J'ai bien fait d'avoir dit à mes collègues de faire ce qu'ils voulaient, je ne voulais pas qu'on soit dans le pétrin à cause d'un gosse. D'ailleurs, j'envie la jeune femme d'avoir un enfant, je voulais être papa avant que mon ex femme ai un accident. Malheureusement la vie l'a décidé autrement. Je m'accroupis légèrement et je viens ébouriffer les cheveux du petit garçon. « Occupe toi bien de ta maman et soi-sage ! » Je lui fais un sourire avant de lui pincer la joue. « Et si, tu as un gros problème, tu cries '' tonton jax '' et je viendrai à ta rescousse d'accord ? » Il me demande de lui promettre, alors je le fais en croisant mon petit doigt et le sien.
Je me relève puis je regarde la demoiselle droit dans les yeux : « Je suppose que vous allez me demander comment me contacter pour me rembourser, alors voici ma carte. » Je lui donne, mais dès qu'on va se voir, je vais lui dire que ça ne sert à rien de me donner de l'argent, je l'ai fait par plaisir. « Prenez soin de votre enfant s'il vous plaît. » Je fais un petit sourire, et je me retourne pour aller voir les jeux vidéos qui pouvaient m'intéresser, mais je fus interpeller par l'enfant qui me retient la jambe pour pas me laisser partir. « Qu'est-ce qui se passe ? Ce n'est pas ta mère ? » Je lance un regard noir à la femme en question avant de me rapprocher d'elle avec son enfant.
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Re: Ain't got no choice w/ raison ♥ | Mer 1 Fév - 2:35
Le regard que cet homme me lance alors que je réprimande mon fils ne m’échappe pas, comme si il était contre cette idée. Mais qui était-il pour me dire ce que je pouvais faire ou non avec mon enfant ? Il ne connaissait rien de mon passé et du danger qui pesait sur nous. Il ne connaissait pas ce qu’était l’inquiétude de voir son fils disparaitre et de s’imaginer les pires horreurs de ne pas le voir réapparaitre. Il ne pouvait pas comprendre cette peur qui me lasserait le ventre à chaque fois. Il était plutôt mal placé pour me faire une quelconque leçon. Je lui rendis son regard aussi assassin que le sien. J’étais peut etre une femme, mais il ne fallait pas se méprendre sur ce point. Je lui demandais néanmoins son nom, juste au cas où. Je m’inclinais plus par reflexe que par politesse. Ces commodités asiatiques, j’étais encore loin d’y être habitué malgré que j’habite en Corée ces dernières années. Je m’accrochais un peu plus à mon gamin, en l’entendant m’avouer qu’il avait trouvé mon fils en plus. Ca n’avait rien d’étonnant pour un enfant se retrouver seul au milieu d’une foule d’étrangers. Je reculais d’un pas, quelque peu méfiante envers l’individu prénommé Jaxson. « Je vous remercie de m’avoir ramené mon fils et de lui avoir acheté tout cela, bien que un jouet aurait largement suffit. Je vous rembourserais dès que possible pour votre générosité. » Je restais polie, mais méfiante. On n’était jamais assez prudent. Je fus tenté de tirer Alexeï vers l’arrière alors que l’homme entrepris de lui ébouriffer les cheveux et lui apprenait à l’appeler tonton en cas de danger. Pour qui se prenait-il ? Quelle audace mal placée ! Il était si confiant de s’être fait accepté si vite. Il pourrait bien vite déchanter. J’étais resté silencieuse et calme face à tout ce cirque, ne reprenant la parole qu’à l’instant même où il me tendit une carte où le contacter. « Merci, j’essayerais de faire au plus vite. Je n’aime guère être endetté envers quelqu’un. » Je m’inclinais à nouveau avant de soutenir le regard qu’il me lançait, loin d’avoir peur de quoi que ce soit. Je faillis le gifler en l’entendant me demander de prendre soin de mon enfant alors que ca faisait huit longues années que je le faisais déjà. Et je pouvais me vanter de ne pas m’en sortir si mal que ca par rapport à d’autre femme de mon âge. J’avais rarement vu quelque me faire perdre mon calme de la sorte. Moi qui suis normalement d’un tempérament calme et joyeux. Voilà qui venait tout chambouler. Néanmoins, je gardais bien de lui cracher mon venin à la figure, me contentant dans le fixer alors qu’il s’éloignait. J’étais soulagé, un point venait de s’enlever de mes épaules. Ce fut de courte durée car pour une raison inexplicable, Alexei s’écartait de moi et se mit à courir après le jeune homme pour s’accrocher à sa jambe, le suppliant presque de sa voix tremblante. « Tonton Jax, sauve ma maman stp, met la en sécurité. Tu as dit que je pouvais t’appeler en cas de danger alors je le fais, s’il te plait, aide nous. » Le temps que je me rende compte de ce qu’il faisait, il était trop tard. J’accourus jusqu’à cet enfant effronté que j’attrapais dans mes bras, l’arrachant à cette jambe qu’il tenait. « Alexei, veux-tu te taire ? Qu’est que j’ai dit à propos de cela ? On en a déjà parlé ! Tu ne peux pas faire ca. » le grondais-je mi- colère, mi- paniquée. Je m’inclinais encore une fois face au neugdae, à croire que je ne faisais que cela aujourd’hui. « Je m’excuse pour cela, mon fils ne sait pas ce qu’il raconte. »
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jaxson & raina
Le regard que cet homme me lance alors que je réprimande mon fils ne m’échappe pas, comme si il était contre cette idée. Mais qui était-il pour me dire ce que je pouvais faire ou non avec mon enfant ? Il ne connaissait rien de mon passé et du danger qui pesait sur nous. Il ne connaissait pas ce qu’était l’inquiétude de voir son fils disparaitre et de s’imaginer les pires horreurs de ne pas le voir réapparaitre. Il ne pouvait pas comprendre cette peur qui me lasserait le ventre à chaque fois. Il était plutôt mal placé pour me faire une quelconque leçon. Je lui rendis son regard aussi assassin que le sien. J’étais peut etre une femme, mais il ne fallait pas se méprendre sur ce point. Je lui demandais néanmoins son nom, juste au cas où. Je m’inclinais plus par reflexe que par politesse. Ces commodités asiatiques, j’étais encore loin d’y être habitué malgré que j’habite en Corée ces dernières années. Je m’accrochais un peu plus à mon gamin, en l’entendant m’avouer qu’il avait trouvé mon fils en plus. Ca n’avait rien d’étonnant pour un enfant se retrouver seul au milieu d’une foule d’étrangers. Je reculais d’un pas, quelque peu méfiante envers l’individu prénommé Jaxson. « Je vous remercie de m’avoir ramené mon fils et de lui avoir acheté tout cela, bien que un jouet aurait largement suffit. Je vous rembourserais dès que possible pour votre générosité. » Je restais polie, mais méfiante. On n’était jamais assez prudent. Je fus tenté de tirer Alexeï vers l’arrière alors que l’homme entrepris de lui ébouriffer les cheveux et lui apprenait à l’appeler tonton en cas de danger. Pour qui se prenait-il ? Quelle audace mal placée ! Il était si confiant de s’être fait accepté si vite. Il pourrait bien vite déchanter. J’étais resté silencieuse et calme face à tout ce cirque, ne reprenant la parole qu’à l’instant même où il me tendit une carte où le contacter. « Merci, j’essayerais de faire au plus vite. Je n’aime guère être endetté envers quelqu’un. » Je m’inclinais à nouveau avant de soutenir le regard qu’il me lançait, loin d’avoir peur de quoi que ce soit. Je faillis le gifler en l’entendant me demander de prendre soin de mon enfant alors que ca faisait huit longues années que je le faisais déjà. Et je pouvais me vanter de ne pas m’en sortir si mal que ca par rapport à d’autre femme de mon âge. J’avais rarement vu quelque me faire perdre mon calme de la sorte. Moi qui suis normalement d’un tempérament calme et joyeux. Voilà qui venait tout chambouler. Néanmoins, je gardais bien de lui cracher mon venin à la figure, me contentant dans le fixer alors qu’il s’éloignait. J’étais soulagé, un point venait de s’enlever de mes épaules. Ce fut de courte durée car pour une raison inexplicable, Alexei s’écartait de moi et se mit à courir après le jeune homme pour s’accrocher à sa jambe, le suppliant presque de sa voix tremblante. « Tonton Jax, sauve ma maman stp, met la en sécurité. Tu as dit que je pouvais t’appeler en cas de danger alors je le fais, s’il te plait, aide nous. » Le temps que je me rende compte de ce qu’il faisait, il était trop tard. J’accourus jusqu’à cet enfant effronté que j’attrapais dans mes bras, l’arrachant à cette jambe qu’il tenait. « Alexei, veux-tu te taire ? Qu’est que j’ai dit à propos de cela ? On en a déjà parlé ! Tu ne peux pas faire ca. » le grondais-je mi- colère, mi- paniquée. Je m’inclinais encore une fois face au neugdae, à croire que je ne faisais que cela aujourd’hui. « Je m’excuse pour cela, mon fils ne sait pas ce qu’il raconte. » Code by kerushirei
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Re: Ain't got no choice w/ raison ♥ | Lun 13 Fév - 7:55
Je m'en fiche d'être remboursé ou de ne pas l'être. Je venais de faire plaisir à un enfant, je n'avais pas besoin de récupérer mon argent, je l'ai gaspillé pour une bonne cause. Cela aurait été différent pour des mafieux. Ils auraient dû me rembourser en moins de vingt-quatre heures et s'ils ne venaient pas avec l'argent, le montant de la dette augmente au fur et à mesure des minutes. Je ne veux pas que la demoiselle se sente obligée de me rembourser, mais si elle souhaitait le faire, ça sera avec plaisir. « Remboursez-moi quand vous le pouvez. Pour l'instant, occupez-vous des choses plus importantes. J'ai le temps. » Elle devait plutôt s'occuper de sa petite famille et d'elle, ils devaient manger convenablement et dormir dans une maison avec du chauffage. J'ai suffisamment d'argent pour être tranquille pendant des années. Je me suis incliné légèrement pour m'en aller, mais très vite son fils est venu me retenir en disant « Tonton Jax, sauve ma maman stp, met la en sécurité. Tu as dit que je pouvais t'appeler en cas de danger alors je le fais, s'il te plait, aide nous. » J'ai été très surpris lorsqu'il a commencé à dire ça. Je n'ai pas très bien compris, je me suis inquiété, j'ai cru que ce n'était pas sa mère, alors j'ai regardé la jeune femme avec un regard glacial. Je suis sceptique, et curieux, je ne sais pas ce qu'il voulait me dire, mais sa mère commença à s'excuser pour l'attitude de son garçon. « Ce n'est pas grave. » J'étais curieux de savoir ce qu'il voulait me dire, j'étais prêt à écouter les problèmes de cette personne, mais visiblement, elle n'allait rien me dire. « Si vous êtes vraiment en danger comme votre fils vient de le dire, je vous prie de me téléphoner. » Je venais de donner un ordre à cette personne. A vrai dire, j'avais un mauvais pressentiment.. Un enfant ne dit pas ça à un inconnu. Je suis quelqu'un qui déteste l'injustice et si des personnes voulaient leur faire du mal, je suis prêt à régler le soucis en deux minutes. On va se passer des détails, mais les personnes qui s'en prennent à une mère et à son enfant risquent de finir enterrer vivant. Je suis un mafieux avec de la logique, je fais ce métier contre ma volonté, alors si je peux aider quelqu'un, je le ferai. Il est vrai que ça ne me fera pas passer pour un héros, mais je n'ai pas besoin d'en être un. Je veux pouvoir avoir bonne conscience en aidant cette petite famille. « Je me fiche que vous le preniez bien ou mal, mais s'il faut vous protéger, je le ferai. J'ai assez d'influence pour dire stop à certaines personnes. » Elle va très certainement me prendre pour le fils du premier ministre, mais ce n'est pas du tout le cas. L'organisation criminelle de mon père sera d'accord pour intervenir dans les affaires de cette demoiselle. Je ne connais pas le terrain, il risque d'être glissant, mais nous n'avions pas peur de finir entre les mains du diable.
Ain't got no choice
jaxson & raina
Je m'en fiche d'être remboursé ou de ne pas l'être. Je venais de faire plaisir à un enfant, je n'avais pas besoin de récupérer mon argent, je l'ai gaspillé pour une bonne cause. Cela aurait été différent pour des mafieux. Ils auraient dû me rembourser en moins de vingt-quatre heures et s'ils ne venaient pas avec l'argent, le montant de la dette augmente au fur et à mesure des minutes. Je ne veux pas que la demoiselle se sente obligée de me rembourser, mais si elle souhaitait le faire, ça sera avec plaisir. « Remboursez-moi quand vous le pouvez. Pour l'instant, occupez-vous des choses plus importantes. J'ai le temps. » Elle devait plutôt s'occuper de sa petite famille et d'elle, ils devaient manger convenablement et dormir dans une maison avec du chauffage. J'ai suffisamment d'argent pour être tranquille pendant des années. Je me suis incliné légèrement pour m'en aller, mais très vite son fils est venu me retenir en disant « Tonton Jax, sauve ma maman stp, met la en sécurité. Tu as dit que je pouvais t'appeler en cas de danger alors je le fais, s'il te plait, aide nous. » J'ai été très surpris lorsqu'il a commencé à dire ça. Je n'ai pas très bien compris, je me suis inquiété, j'ai cru que ce n'était pas sa mère, alors j'ai regardé la jeune femme avec un regard glacial. Je suis sceptique, et curieux, je ne sais pas ce qu'il voulait me dire, mais sa mère commença à s'excuser pour l'attitude de son garçon. « Ce n'est pas grave. » J'étais curieux de savoir ce qu'il voulait me dire, j'étais prêt à écouter les problèmes de cette personne, mais visiblement, elle n'allait rien me dire. « Si vous êtes vraiment en danger comme votre fils vient de le dire, je vous prie de me téléphoner. » Je venais de donner un ordre à cette personne. A vrai dire, j'avais un mauvais pressentiment.. Un enfant ne dit pas ça à un inconnu. Je suis quelqu'un qui déteste l'injustice et si des personnes voulaient leur faire du mal, je suis prêt à régler le soucis en deux minutes. On va se passer des détails, mais les personnes qui s'en prennent à une mère et à son enfant risquent de finir enterrer vivant. Je suis un mafieux avec de la logique, je fais ce métier contre ma volonté, alors si je peux aider quelqu'un, je le ferai. Il est vrai que ça ne me fera pas passer pour un héros, mais je n'ai pas besoin d'en être un. Je veux pouvoir avoir bonne conscience en aidant cette petite famille. « Je me fiche que vous le preniez bien ou mal, mais s'il faut vous protéger, je le ferai. J'ai assez d'influence pour dire stop à certaines personnes. » Elle va très certainement me prendre pour le fils du premier ministre, mais ce n'est pas du tout le cas. L'organisation criminelle de mon père sera d'accord pour intervenir dans les affaires de cette demoiselle. Je ne connais pas le terrain, il risque d'être glissant, mais nous n'avions pas peur de finir entre les mains du diable.Code by kerushirei
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