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Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied
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Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 2:54 Citer EditerSupprimer
nom : Cha. prénom : Ilhoon. âge : 26. date et lieu de naissance : 18/09 à Incheon. origines : Coréen. nationalité : Coréen. cursus universitaire : marketing avorté. métier : producteur, auteur-compositeur. orientation sexuelle : hétéro. classe sociale : aisé. code du règlement : ok by shadow. tu veux t'investir ? Les citizens ♥
Cha Ilhoon
Un jour, ça ira
Déterminé (★★★✰✰) | râleur (★★★✰✰) | travailleur (★★★✰✰) | angoissé (★★★✰✰) | idéaliste (★★★✰✰) |
têtu (★★★★✰) | ambitieux (★★★✰✰) | renfermé (★★★✰✰) | juste (★★★✰✰) | solitaire (★★★✰✰) |
Rumour has it... On dit qu'il est alcoolique et dépressif (F, il l'était) • On dit qu'il a aimé un homme (V, une femme dans un corps d'homme en réalité) • On dit qu'il était moche avant (V) • On dit qu'il déteste l'obésité (V, il a un souci avec ça) • On dit qu'il veut devenir un chanteur célèbre (F) • On dit qu'il a eu une relation avec une chanteuse américaine (V) • On dit que son chat le détestait (V) • On dit qu'il n'aime pas manger (V) • On dit que c'est un patron pas terrible (F) • On dit qu'il est grande gueule (V, mais ça dépend) • On dit qu'il est un homme à femme (V, mais il est calme depuis sa dernière rupture) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Il a un passé d'alcoolique, il est sobre depuis quelques mois • Ses parents ont essayé de l'escroquer plus d'une fois en faisant croire que l'un deux étaient morts • Il a follement aimé une femme qui était transsexuelle • Il lutte contre l'anorexie depuis toujours. Ce qui le maintient, c'est son envie d'avoir un beau corps, alors il cumule les milkshake protéinés • Il est connu sous le nom de scène de INK et sa boite de production indépendante s'appelle INKinYourVeins, son studio le INK(+)VIBES • Il ne produit pas encore d'artistes comme le font la YG, SM et FNC, un jour, sans doute. Non, lui, il s'ajoute à eux et travaille avec les artistes des autres boites • Il est connu et reconnu dans son domaine • Il joue du piano et de la guitare avec un peu de batterie • Il voulait devenir chanteur • Il poste parfois des covers pour le plaisir • Il a un chien, Hachiko, un akita inu qui s'est imposé à lui un soir de tempête. Il avait un chat aussi, trouvé dans la rue, Sultan, qui le détestait tout en l'aimant un peu quand même et qui a fini par rester avec son ex-copine • C'est le genre de mec à aimer les défis, le sport, les engueulades, le sexe sauvage, les passions, mais qui est peu expressif • C'est une boule d'angoisse pour beaucoup de choses • Il déteste se montrer faible • Il n'a jamais cessé de demander des nouvelles de Myung à Jaehwan • Au fond, il n'a jamais tourné la page. |
This is my story
it's the circle of life
On dit souvent, et à tort, qu'on ne contrôle rien dans sa vie. On appelle ça Destin, Hasard, Parents, Société. C'est juste parfaitement faux à vrai dire. Petit, j'étais persuadé que tous mes malheurs étaient dû à un mauvais karma. La voisine avait un chat noir, mon père laissait une échelle en place pour réparer le toit qui fuyait constamment, et on avait pas d'autre choix que de passer en dessous, et j'avais dû briser je-ne-sais-plus combien de miroir sans le vouloir vraiment. Alors un jour, j'ai peint le chat de la voisine en blanc, il n'a pas apprécié, elle non plus. J'ai poussé l'échelle sans savoir que mon père était sur le toit, et lorsqu'il a voulu descendre, il est tombé comme un pigeon sur le sol, et j'ai arrêté de vouloir des miroirs dans ma chambre et ne regardait plus vraiment celui de la salle de bain, du coup, j'allais à l'école mal coiffé et avec des restes de nourritures coincés entre les dents. J'ai mis encore ça sur le compte de la poisse qui ne pouvait, décemment pas, disparaître si vite.
Vers 12 ans, j'ai commencé à rêver plus qu'à vivre. Je voulais devenir beau, riche, célèbre, un chanteur, un danseur, un acteur, tout à la fois, tout séparément. Alors au bout d'un an à penser que j'arrivais danser, chanter comme une casserole, je me suis présenté à diverses auditions sans le dire à mes parents. Ils n'y auraient rien compris. Un ouvrier qui a manqué son grand rêve de devenir militaire à cause d'une scoliose trop prononcée, une mère au foyer qui a loupé sa vie en restant cantonnée à la maison parce qu'elle n'avait pas le courage de faire autre chose. Ils n'ont jamais vraiment été de bons modèles. On m'a rit au nez, littéralement. « Aigo, aigo, aigo ! Tu pensais vraiment que tu arriverais à quelque chose ? Va prendre des cours de sport plutôt ! Et arrête de manger des Ramens. » J'adorais les Ramens, je détestais le sport, mais j'étais en colère qu'elle me balance une vérité aussi méchante sur moi-même sans même prendre des gants. J'ai détesté cette femme au plus haut point, avant de commencer à l'admirer quelques mois plus tard.
Elle fut la seule à me dire clairement les choses. Les autres m'ignoraient ou brodaient ça gentiment. « Nous pensons que ça ne va pas le faire, mais n'abandonne pas ! » Ils me souriaient hypocritement et tournaient les talons comme si je n'avais jamais existé. Mais pendant plusieurs années, j'ai toujours mis ça sur le compte d'autre chose. La poisse, la génétique, les autres, les parents, les boites de prod.
Puis vint le moment d'avoir mon diplôme. J'avais une assez bonne note sans avoir rien foutu de prodigieux. Ça ne m'ouvrait pas les portes des grandes universités, et à vrai dire, j'en avais marre des systèmes scolaires. Marre de Incheon, marre de moi et de ma vie. Je n'avais pas des idées suicidaires pour autant hein ! Non, j'ai juste eu enfin le coup de pied au cul que j'attendais depuis longtemps. Après une petite vie faite de suite d'échec, j'ai commencé à changer. D'abord du footing pour m'affiner, puis une nourriture plus équilibrée. J'ai pu avoir un premier travail, et un second. J'ai trouvé une place dans une petite colocation. Une chambre minuscule, un futon sur le sol, pas de douche et juste un toilette, une cuisine constamment sale et mal rangée. Pourtant, j'ai aimé vivre avec les gars. Ils étaient drôles, losers dans l'âme, un qui faisait des études pour devenir chirurgien esthétique dans le but de voir des belles femmes souvent, l'autre voulant devenir journaliste pour pouvoir interviewer des gens importants. Ils avaient des rêves loufoques, mais des rêves quand même et faisaient de leurs mieux pour les suivre.
J'ai envoyé des textes à une boite de production, celle de la femme qui avait été trop crue, recevant alors des éloges, une envie de me rencontrer, de donner mes textes à des artistes. INK est né.
A 20 ans, j'ai rejoint l'armée pour deux ans. Je voulais que ça soit vite fait. J'ai pris sur moi. J'avais encore de l'embonpoint, rien de très sexy et je flottais encore dans cette vie d'errance. J'ai appris la discipline, le sport comme drogue et le dépassement de soi. J'ai eu l'envie, furieuse, de devenir enfin quelqu'un. Contrairement à beaucoup, j'ai aimé mon moment à l'armée. J'étais un bon élément et lorsque je suis sorti, j'étais transformé. Musclé, je me tenais droit, fier, et plus jamais, je n'ai baissé le regard face à quelqu'un.
Je n'avais pas cessé d'écrire. Je suis sorti de là avec trois carnets remplis de chansons et je suis retourné à la boite montrer mon travail. Je voulais une augmentation, plus de considération, travailler réellement avec les artistes, devenir plus qu'un nom. Je n'ai pas lâché et pendant trois mois, tous les jours, j'ai renouvelé ma demande, encore et encore. Jusqu'à ce que ça arrive vraiment.
Plusieurs mois plus tard, dans un magasin, une femme est venue me voir, la gérante, me proposant de me donner autant de vêtements que je voulais si j'acceptais de devenir le nouveau visage de la marque. Je l'ai regardé longuement, posé mes conditions comme si j'y connaissais quoi que ce soit et elle a accepté. Je suis resté avec eux pendant une année avant d'être démarché par une agence de mannequina.
Mais mes rêves ne faisaient que grandir. J'ai pu voir l'envers de chaque décor. J'ai appris à jouer de la guitare, du piano, écrire, transcrire les mélodies que j'avais en tête et qui iraient le mieux avec mes textes. Arranger. Produire. J'ai pu tout voir, tout comprendre, tout faire. Mais il me manquait un petit quelque chose. Alors, j'ai repris les bancs de l'école pour Yonsei afin d'avoir un diplôme en management et Anglais. Il y a trois mois, j'ai déposé le nom pour la boite de production que je suis en train de monter.
J'ai l'impression d'être sur des montagnes russes qui ne font que grimper. On me dit souvent que la chute sera dure, mais elle n'arrivera juste pas. Pourquoi ? Parce que je crois en moi.
Durant l'année 2016, j'ai vraiment voulu me lancer. Je ne voulais plus juste avoir un nom, je voulais une entreprise, alors je me suis développé. Je suis aussi tombé amoureux pour la première fois de ma vie. C'était comme de renaître un peu plus. J'avais le sentiment que tout irait bien que rien ne pouvait venir gâcher ça. En réalité, je fus mon propre ennemi. La peur de l'échec, la peur d'aimer l'autre, la peur des regards extérieur, la peur des on-dits, la peur de trop de choses.
Plus j'angoissais, plus l'alcool devenait un allié inévitable, mais nocif. Plus j'avais peur de l'aimer, moins j'arrivais manger. Myung était une femme comme on pourrait en rêver. Belle, charismatique, sensuelle, capricieuse, chieuse, forte, têtue, précieuse. Elle avait autant de côté énervants que d'adorabilité en elle. Vraiment, j'aurai voulu faire ma vie avec elle... Mais elle avait ce truc qui me faisait peur. Ce truc qui me repousser. Ce sexe qui était encore en elle et qui m'empêchait de la toucher et l'aimer pleinement. Parce que je ne veux pas aimer un homme. Parce que ce n'est pas dans ma nature. Mais j'étais dingue de la femme qu'elle essayait d'être, qu'elle était au fond d'elle et qu'elle allait devenir. Seulement, entre l'instant présent et le moment futur, l'attente devenait lourde. A être honnête, j'ai été blessant. Et puis finalement, elle s'est rendue compte que quelqu'un d'autre savait l'aimer entièrement qu'elle soit un homme, une femme, les deux. Il faisait ce que j'étais incapable de faire. Est-ce que je l'aime.... aimais moins que lui pour autant ? Non.
Myung m'a sauvé la vie, de bien des façon, elle m'a aidé à changer et devenir meilleur sur bien des points. C'est sans doute pour ça qu'elle reste importante dans une partie de ma tête et de mon coeur. Mais les pages se tournent, n'est-ce pas ? On doit tous faire avec.
Vers 12 ans, j'ai commencé à rêver plus qu'à vivre. Je voulais devenir beau, riche, célèbre, un chanteur, un danseur, un acteur, tout à la fois, tout séparément. Alors au bout d'un an à penser que j'arrivais danser, chanter comme une casserole, je me suis présenté à diverses auditions sans le dire à mes parents. Ils n'y auraient rien compris. Un ouvrier qui a manqué son grand rêve de devenir militaire à cause d'une scoliose trop prononcée, une mère au foyer qui a loupé sa vie en restant cantonnée à la maison parce qu'elle n'avait pas le courage de faire autre chose. Ils n'ont jamais vraiment été de bons modèles. On m'a rit au nez, littéralement. « Aigo, aigo, aigo ! Tu pensais vraiment que tu arriverais à quelque chose ? Va prendre des cours de sport plutôt ! Et arrête de manger des Ramens. » J'adorais les Ramens, je détestais le sport, mais j'étais en colère qu'elle me balance une vérité aussi méchante sur moi-même sans même prendre des gants. J'ai détesté cette femme au plus haut point, avant de commencer à l'admirer quelques mois plus tard.
Elle fut la seule à me dire clairement les choses. Les autres m'ignoraient ou brodaient ça gentiment. « Nous pensons que ça ne va pas le faire, mais n'abandonne pas ! » Ils me souriaient hypocritement et tournaient les talons comme si je n'avais jamais existé. Mais pendant plusieurs années, j'ai toujours mis ça sur le compte d'autre chose. La poisse, la génétique, les autres, les parents, les boites de prod.
Puis vint le moment d'avoir mon diplôme. J'avais une assez bonne note sans avoir rien foutu de prodigieux. Ça ne m'ouvrait pas les portes des grandes universités, et à vrai dire, j'en avais marre des systèmes scolaires. Marre de Incheon, marre de moi et de ma vie. Je n'avais pas des idées suicidaires pour autant hein ! Non, j'ai juste eu enfin le coup de pied au cul que j'attendais depuis longtemps. Après une petite vie faite de suite d'échec, j'ai commencé à changer. D'abord du footing pour m'affiner, puis une nourriture plus équilibrée. J'ai pu avoir un premier travail, et un second. J'ai trouvé une place dans une petite colocation. Une chambre minuscule, un futon sur le sol, pas de douche et juste un toilette, une cuisine constamment sale et mal rangée. Pourtant, j'ai aimé vivre avec les gars. Ils étaient drôles, losers dans l'âme, un qui faisait des études pour devenir chirurgien esthétique dans le but de voir des belles femmes souvent, l'autre voulant devenir journaliste pour pouvoir interviewer des gens importants. Ils avaient des rêves loufoques, mais des rêves quand même et faisaient de leurs mieux pour les suivre.
Losers, mais modèles quand même.
J'ai envoyé des textes à une boite de production, celle de la femme qui avait été trop crue, recevant alors des éloges, une envie de me rencontrer, de donner mes textes à des artistes. INK est né.
A 20 ans, j'ai rejoint l'armée pour deux ans. Je voulais que ça soit vite fait. J'ai pris sur moi. J'avais encore de l'embonpoint, rien de très sexy et je flottais encore dans cette vie d'errance. J'ai appris la discipline, le sport comme drogue et le dépassement de soi. J'ai eu l'envie, furieuse, de devenir enfin quelqu'un. Contrairement à beaucoup, j'ai aimé mon moment à l'armée. J'étais un bon élément et lorsque je suis sorti, j'étais transformé. Musclé, je me tenais droit, fier, et plus jamais, je n'ai baissé le regard face à quelqu'un.
Je n'avais pas cessé d'écrire. Je suis sorti de là avec trois carnets remplis de chansons et je suis retourné à la boite montrer mon travail. Je voulais une augmentation, plus de considération, travailler réellement avec les artistes, devenir plus qu'un nom. Je n'ai pas lâché et pendant trois mois, tous les jours, j'ai renouvelé ma demande, encore et encore. Jusqu'à ce que ça arrive vraiment.
Plusieurs mois plus tard, dans un magasin, une femme est venue me voir, la gérante, me proposant de me donner autant de vêtements que je voulais si j'acceptais de devenir le nouveau visage de la marque. Je l'ai regardé longuement, posé mes conditions comme si j'y connaissais quoi que ce soit et elle a accepté. Je suis resté avec eux pendant une année avant d'être démarché par une agence de mannequina.
Mais mes rêves ne faisaient que grandir. J'ai pu voir l'envers de chaque décor. J'ai appris à jouer de la guitare, du piano, écrire, transcrire les mélodies que j'avais en tête et qui iraient le mieux avec mes textes. Arranger. Produire. J'ai pu tout voir, tout comprendre, tout faire. Mais il me manquait un petit quelque chose. Alors, j'ai repris les bancs de l'école pour Yonsei afin d'avoir un diplôme en management et Anglais. Il y a trois mois, j'ai déposé le nom pour la boite de production que je suis en train de monter.
J'ai l'impression d'être sur des montagnes russes qui ne font que grimper. On me dit souvent que la chute sera dure, mais elle n'arrivera juste pas. Pourquoi ? Parce que je crois en moi.
Et puis en réalité, elle est arrivée.
Durant l'année 2016, j'ai vraiment voulu me lancer. Je ne voulais plus juste avoir un nom, je voulais une entreprise, alors je me suis développé. Je suis aussi tombé amoureux pour la première fois de ma vie. C'était comme de renaître un peu plus. J'avais le sentiment que tout irait bien que rien ne pouvait venir gâcher ça. En réalité, je fus mon propre ennemi. La peur de l'échec, la peur d'aimer l'autre, la peur des regards extérieur, la peur des on-dits, la peur de trop de choses.
Plus j'angoissais, plus l'alcool devenait un allié inévitable, mais nocif. Plus j'avais peur de l'aimer, moins j'arrivais manger. Myung était une femme comme on pourrait en rêver. Belle, charismatique, sensuelle, capricieuse, chieuse, forte, têtue, précieuse. Elle avait autant de côté énervants que d'adorabilité en elle. Vraiment, j'aurai voulu faire ma vie avec elle... Mais elle avait ce truc qui me faisait peur. Ce truc qui me repousser. Ce sexe qui était encore en elle et qui m'empêchait de la toucher et l'aimer pleinement. Parce que je ne veux pas aimer un homme. Parce que ce n'est pas dans ma nature. Mais j'étais dingue de la femme qu'elle essayait d'être, qu'elle était au fond d'elle et qu'elle allait devenir. Seulement, entre l'instant présent et le moment futur, l'attente devenait lourde. A être honnête, j'ai été blessant. Et puis finalement, elle s'est rendue compte que quelqu'un d'autre savait l'aimer entièrement qu'elle soit un homme, une femme, les deux. Il faisait ce que j'étais incapable de faire. Est-ce que je l'aime.... aimais moins que lui pour autant ? Non.
Myung m'a sauvé la vie, de bien des façon, elle m'a aidé à changer et devenir meilleur sur bien des points. C'est sans doute pour ça qu'elle reste importante dans une partie de ma tête et de mon coeur. Mais les pages se tournent, n'est-ce pas ? On doit tous faire avec.
About me
Je suis...
Ton Pseudo
Saku's, 27, ancienne membre, monbébémemanquaitsesliensetsonhistoired'amouraussi, du love sur vous ♥
Célébrité prise
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>KIM YOUJIN ( YOUJIN, KNK)</upper></taken> ✎ <lower>cha ilhoon</lower>
Supprimez le code inutile ♥
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 3:01 Citer EditerSupprimer
ALORS LA
ALORS LA
ALORS LAAAAAAAAAAAAAAA
ALORS LA
ALORS LAAAAAAAAAAAAAAA
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 3:10 Citer EditerSupprimer
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 3:11 Citer EditerSupprimer
RE BIENVENUE
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 3:31 Citer EditerSupprimer
Han merci beaucoup vous trois :blink:
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 3:39 Citer EditerSupprimer
re ♥
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 3:42 Citer EditerSupprimer
Merci ♥
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 4:39 Citer EditerSupprimer
Wonderland is straight right
Ta fiche est validée !
Tu l'as fait ! Tu as réussi ! Bravo
Coucou ! Si tu lis ce message de love c'est que ta fiche m'a fait tourner dans le vide :04:
Bienvenue surTa première mission, si tu l'acceptes, c'est de POSTER TON ACTIVITÉ RP pour qu'on puisse bien s'assurer que tu bootyshakes avec nous suffisamment régulièrement pour pas qu'on se sente trop paro sans toi... Ensuite t'auras le droit d'aller te chercher quelques potos ICI mais n'attends pas que les gens viennent te proposer de faire boum boum boum. Si tu viens à eux c'est encore mieux ! Vaut mieux que tu passes PAR LÀ aussi, c'est pour ton bien ! Et tu peux aussi nous montrer ta vie sur ton GNS avec les photos que t'as prises sur ton TÉLÉPHONE trop stylé. Et si t'es trop timide pour demander le numéro du canon qui était juste en face de toi en cours, tu peux le faire anonymement sur TWITTER ! Maintenant que t'es en règle, tu peux aller FLOODER comme le fifou que tu es.SHAKE THE WORLD et plus précisément chez lescitizens !
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 4:39 Citer EditerSupprimer
C'EST QUE TU T'ES FAIS DÉSIRER !!!
J'espère que tu vas mieux ♥
Re bienvenue :D
J'espère que tu vas mieux ♥
Re bienvenue :D
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Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Dim 11 Déc - 5:02 Citer EditerSupprimer
Nunaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ♥
Suni : Merci pour la validation ♥
Suni : Merci pour la validation ♥
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