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les rois du monde (ashvin)

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les rois du monde (ashvin) | Jeu 5 Jan - 22:05
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les rois du monde
hana & ashvin


Il est impérieux, ce besoin, presque douloureux, bien trop dur pour ce corps détruit par le manque, pour cet esprit rongé par le besoin. Par l’alcool. Et ce soir-là elle se retient pas, quitte le dortoir avec empressement, ne pense qu’à cette bouteille vide, cachée dans son armoire, qu’à ces bouteilles qu’elle a fini, a oublié de changer, ce stock qu’elle n’a pas pensé à renouveler. Et pourtant elle en a besoin, de sa dose, tellement une droguée en manque (une alcoolique en manque). Alors pour une fois elle abandonne, s’abandonne, passe devant le combini sans s’arrêter, se dirige vers ce bar dans lequel elle va quelques fois, sans jamais trop consommer, sans jamais trop abuser (pas en public, pas sous le regard des autres). Mais ce soir-là elle veut, ce soir-là elle en a besoin, c’est pas vraiment réfléchi, plutôt instinctif. C’est son corps qui prend le contrôle, l’esprit embrumé par le manque, par le besoin, pas l’envie – et le désir suprême de sentir le liquide couler le long de sa gorge, brûler sa peau, brûler son âme, et enfin apaiser son cœur. Alors elle pousse la porte sans vraiment en prendre conscience, se glisse dans le bâtiment, parcourt les alentours de son regard enfiévré. Elle hésite un instant à rejoindre le barman, commander, consommer, oublier. Mais ses yeux accrochent une silhouette vaguement familière, s’y arrêtent un instant pour examiner, laisser à son cerveau le temps d’y penser, peser le pour et le contre. Et finalement elle s’avance, passe une main dans ses cheveux, tente de reprendre contenance. Et c’est finalement drapée de son arrogance qu’elle s’assoit délicatement sur la chaise et toise son vis-à-vis, les yeux luisant d’une pincette de provocation. « Paie-moi un verre. » Pas vraiment une question, plutôt un ordre, un ordre assumé qui n’attend aucune réponse, aucune protestation. Elle le connaît un peu Ashvin, Hana, surtout parc qu'il est le frère de Jihoon, surtout parce qu'ils ont dû en passé du temps, "en famille". Mais elle le connaît pas plus, sait pas vraiment comment il va réagir, devine bien que l’obéissance n’est pas dans son habitude. Il est pas comme les autres, Ashvin, elle le sait, le voit dans son regard – elle les reconnait les soumis, Hana, reconnait aussi ceux qui ne le sont pas. Mais elle peut pas s’en empêcher, pourtant, elle toujours si autoritaire, elle qui ne supporte pas qu’on aille à l’encontre de sa volonté. Et puis au fond cette peur infime mais bien présente, celle de boire seule sous les regards scrutateurs, moqueurs, des jugements qui vont se former, la ravager.

Alors elle lève la tête, le regarde lui, attentivement, son visage pâle, ses cheveux qui le sont tout autant. Il a le goût du danger, Ashvin, et peut-être qu’elle aime ça. « Paie-moi un verre et je t’honorerai de ma présence. » Elle réitère son ordre, les yeux dans les yeux, y ajoute une promesse, un infime honneur (qu’elle désire peut-être un peu). Paie-moi un verre, tu verras, que tous les deux on peut être beaux, un peu bancals, mais surtout beaux. Paie-moi un verre et tu verras, que tous les deux on peut devenir les rois du monde.

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Re: les rois du monde (ashvin) | Ven 3 Mar - 17:19
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les rois du monde
hana & ashvin


Le liquide lui brûlait les lèvres comme l’âme, caressant ses vices et ses douleurs. Le russe souriait presque seul, de son sourire à lui, de ce sourire qui parlait au danger, à ce qui défiait la convenance. Son regard divaguait, saluait certaines, glissait parfois sur leurs courbes. Ça le faisait rire, le blond, ça le faisait aimer sa solitude mensongère, comme pour se prouver à lui-même que son masque construit par la force était réel. Ca le confortait dans ses idées, dans ce qu’il savait faire de mieux. Alors, il souriait, Ash, il admirait de ses yeux voilés par le mensonge empoisonné et il buvait, Ash, il buvait seul et beaucoup pour s’enfoncer un peu plus dans son empire bancal. L’alcool était son fidèle allié, prêt à tout, surtout à lui et son âme en flammes, parce qu’il en voulait Ash, il criait à l’adrénaline, il buvait à s’en faire tourner la tête, à tomber dans les bas des uns et des autres. Il riait, il souriait, il parlait beaucoup souvent, surtout pour ne rien dire, avant tout pour se la ramener, pour être le centre d’intérêt. Il aimait autant se cacher pour admirer, pour observer ou pour réfléchir (il réfléchissait beaucoup Ashvin, beaucoup plus que c’qu’il pourrait l’avouer) que de se montrer, de monter sur les tables à crier, ivre, juste pour montrer à tous ce qu’il est (ce qu’il semble être).

Glisse-toi à côté de moi, n’aie pas peur, tu verras. Glisse-toi à côté de moi, tu verras, comme ça peut être beau, comme ça peut être grand, un peu fou parfois.

Y avait rien de doux en lui, toujours brute, toujours à l’affut, les mains et le sang crispés. Comme partagé entre deux eaux, partagé entre deux mondes, il avait appris à contrôler l’équilibre de la balance et merci le Golden Blue. Parce que son verre lui faussait les idées, l’amenait une nuit sur deux dans chaque monde pour savourer secrètement les mille matières de ses vices. Et sans s’en rendre compte, le cercle vicieux ne se fatiguait pas, lui. Il continuait, Ashvin, sans limite, sans gêne et sans peur. Il tourna même à peine le regard lorsque la jeune femme à la voix qu’il aurait reconnue entre mille lui brisa son silence perfide. « T’as pas eu besoin de ça pour t’asseoir à côté de moi. » Seulement à ses derniers mots, il daigna la regarder, cassant ses rêves de courbes féminines de la soirée. Un claquement de doigts. Un regard. « La même chose. » Un signe désignant son verre, et son attention se tourna à nouveau sur l’intruse. « Par contre quand on boit avec moi, on boit dans le même verre. » Ce sourire encore, espiègle-joueur, presqu’à la lueur enfantine, amusée, comme si son intérêt se redessinait dans ses prunelles claires. Joue avec moi. « A moins que ce soit pas assez conventionnel pour toi. » La critique de la culture qui lui parcourait pourtant le sang, il aimait tant jouer sur ses différences qu’il en oubliait son savoir vivre. « Qu’est-ce que tu fais ici si tard ? » Hana avait toujours été intrigante, semblait intéressante sous ses charmes de princesse au repas de famille (qu’ils disaient), semblait-il qu’une occasion se présentait.

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Re: les rois du monde (ashvin) | Sam 25 Mar - 21:09
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hana & ashvin


ça fait longtemps qu’elle s’y sent plus à sa place Hana, dans sa famille. elle a son frère qu’elle aime, son cousin qu’elle déteste – mais ils sont tous beaucoup trop différents d’elle, tous beaucoup trop loin. sauf ashvin. parce qu’elle sent la sauvagerie dans son odeur, perçoit la violence dans ses prunelles qui luisent, étincellent sous les néons. et ce soir plus que tout, elle perçoit qu’elle a raison, qu’il est différent des autres, ashvin. qu’il est différent aussi, et que peut-être c’est ce qui les rapproche, peut-être ce qui les réunit, leur fait croire qu’ils sont semblables dans le fond – dans cette famille qui ne leur ressemble pas. alors elle lève la tête sous la provocation, redresse son dos, maintient princier, maintient de reine, le regard ancré dans le sien. « Tu me prends pour qui ? » parce qu’ils ne tombent jamais dans l’oreille d’un sourd, les défis, avec hana. avide d’émotions fortes, avide de sensations, elle est prête à toutes les folies. elle plonge la tête la première hana, quitte à perdre la tête, à perdre le cœur, à perdre l’âme également. elle a plus rien hana, pourtant capable de donner chaque miette au jeu. éternelle joueuse, qui sait qu’un jour elle en mourra, qui aime bien ça, savoure cette idée avec cette envie malsaine qui imprègne ses pensées.

et elle le sait hana, qu’ashvin est peut-être pas si différent,
elle le sait hana, qu’ashvin est peut-être comme elle finalement.

« Je suis pas une faible, j’accepte les règles du jeu. » Sourire provocant, la main qui s’envole, vient bousculer ses cheveux, mèches glissées derrière l’épaule, en un geste harmonieux, empli de cette grâce calculée, qui ne laisse rien au hasard. « Et toi, qu’est-ce que tu fais ici si tard, cousin ? J’espère que Jihoon n’est pas au courant. » Nouveau sourire, petit défi. Et le venin à nouveau instiller, à l’encontre de cette homme qu’elle déteste, sans trop savoir pourquoi, sûrement par pulsion, sûrement parce qu’elle sent son mépris, sent sa haine à lui, qui ne fait que renforcer la sienne. jihoon le coincé, jihoon l’handicapé, jihoon qu’elle a entrepris de détruire à chacune de leurs rencontres, le poison qui se dilue lentement dans son organisme à lui. et quand finalement sa boisson arrive, sa main glisse sur la table, ses doigts courent sur le verre, l’attrape, l’enserre, alors qu’elle l’approche de sa bouche, lèvres entrouvertes. et le liquide qui coule dans sa gorge, tête légèrement penchée en arrière. elle avale plusieurs gorgées, sans se soucier de la brûlure, ignorant le goût amer, le goût acide de cette boisson qui lui dévore l’âme et le corps. et puis dans un claquement, elle le repose sur la table, vient de sa serviette frotter délicatement ses lèvres, qui s’illuminent d’un nouveau sourire. sourire plus vicieux, sourire victorieux. « Tu disais quoi ? Qu’on devait boire dans le même faire ? » et d’un geste du poignet, repousse le verre dans sa direction, alors que son regard dévie, s’échoue quelque part, sûrement nulle part, promenade improvisée à la ronde. « J’espère que t’as une bonne descente, qu’on passe à autre chose, parce que même de l'huile de moteur serait sûrement meilleur que ça. » Elle sent déjà l’alcool qui s’imprime dans son organisme, atteint son cerveau, réchauffe son âme, alors que ses prunelles reviennent vers le blond. défi à peine masquée, de celle qui veut le voir bourrer avant elle, l’accueillerait comme une victoire, promesse qu’elle pourrait elle-même se lâcher. et elle attrape la carte, la survole à peine, sait déjà quoi commander et y arrête son choix, le doigt posé dans la région des shots.

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Re: les rois du monde (ashvin) | Ven 21 Avr - 16:11
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Elle pensait que son sort en était jeté, qu’elle l’avait piégé, ça se voyait au fond de ses yeux, au fond de son âme qu’elle criait à bouffer chaque regard pour se sentir plus grande, plus forte encore qu’elle pensait l’être. Alors ça le faisait rire, Ashvin, ça le faisait sourire en apparence, sourire un peu trop grand (comme à chaque fois), trop moqueur, trop provocateur. Mais il trouvait ça risible, de la voir chercher à tout prix le goût du risque, le goût de la peine et au fond, il était juste pareil, à se cramer les veines d’un liquide trop chaud, trop douloureux mais bien trop bon à la fin. Lui, il gaspillait pas son énergie dans les mots inutiles, il préférait de loin jouer de son regard fiévreux et de ses sourires malins jusqu’à se moquer ouvertement de la jeune femme face à lui, à rire un peu trop de ses mots accompagnés de son geste de princesse-pimbêche pas tout à fait drôle, dans le fond. Surtout là pour le prendre de haut, lui, et ses sous-entendus, lui, et ses préjugés. Pour autant, sa question rhétorique l’avait aussi fait sourire (en fait, son sourire ne le quittait que très rarement) parce qu’elle lui semblait vouloir prouver qu’elle était pas si différente de lui, mais surtout différente de ceux avec qui elle partageait son sang.

Brûle-toi avec moi, tombe avec moi,
Fais-toi mal, et relève-toi,
Tant qu’on reste là,
Tant que nous deux, ça se finit pas.


Il en attendait pas moins d’elle, qu’elle accepte puis qu’elle le défie à son tour, la hargneuse, qu’elle lui montre, à lui, qu’elle est beaucoup plus que ce qu’il sous-entend. « C’pas comme s’il avait son mot à dire. » C’est pas comme si n’importe qui avait son mot à dire. Trop indépendant, trop sûr de lui, il en avait que faire de l’avis des autres et il finit les dernières gorgées de son verre, détaché, lointain de ce monde perfide et sans intérêt. Ashvin, il savait pas trop pourquoi Hana détestait tant son cousin, Ashvin, il voulait pas trop savoir non plus, pensait un peu savoir mais s’en foutait surtout beaucoup. Parce qu’il avait plus important à penser, à s’occuper, que les querelles de famille. Surtout que Jihoon, c’était pas le frère avec lequel il s’entendait le plus mais même sans le sang, Jihoon restait Jihoon.

Et il sourit à nouveau, le russe, il sourit encore en voyant la jeune femme se précipiter sur le verre à peine arrivé, l’engloutir jusqu’à la moitié, avaler le liquide amer et déroutant sous ses yeux grimaçant sous la brûlure qu’elle semblait ne pas sentir. Ca le faisait sourire, Ash, parce qu’elle voulait faire la grande, parce qu’elle voulait jouer à l’homme. Et sans réponse, sans regard, il prit le verre entre ses longs doigts avant de l’apporter à ses lèvres pour en finir le contenu restant. Un soupire passa ses lèvres, comme si la liqueur lui faisait du bien, comme si rien n’avait plus d’importance que le chemin tracé par sa douce brûlure qui blessait un peu plus son âme à chaque gorgée. « Même avec l’avance que j’ai sur toi, ça devrait le faire. » regard profond, poigne de fer, il la mit au défi, la belle, de jouer à l’homme encore plus, encore mieux, avec son corps frêle et son lancer de cheveux majestueux. La princesse avait choisi de construire son royaume bancal pour s’effondrer aux pieds d’Ash, pour qu’il la regarde, victorieux, portant ses attributs avec fierté (glorieux, eux aussi, sexistes, surtout). Alors, il décida de lui laisser sa chance, de lui prouver qu’elle était pas si différente que sa démence, juste pour jouer, juste pour l’amuser.

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Re: les rois du monde (ashvin) | Sam 6 Mai - 11:26
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Hana c’est… Hana c’est la violence dans les mots, violence dans le cœur aussi ; Hana c’est la dureté, le tranchant d’une lame, sous le masque somptueux, luxueux, la peau de velours, et les gestes gracieux. Hana, c’est le liquide ambré qui coule dans sa gorge, l’acidité de l’alcool, la férocité des sentiments qui tournoient, qui tournoient, interrompus pourtant, anesthésiés – remplacés par le brouillard, ce brouillard si caractéristique, celui qu’elle recherche et qu’elle attend, celui auquel elle pense, sans cesse, sans trêve. Parce qu’elle ne vit plus que pour ça, Hana, ne vit plus que la douce torpeur alcoolisée, celle qui lui fait tout oublier, même sa propre existence. Celle qui lui fait croire qu’elle est en vie, qui lui montre un bonheur artificiel, créé de toute pièce – et qui lui appartient pourtant, l’espace de quelques instants, quelques heures, une nuit entière. Elle s’invente des vies, Hana, s’invente des vies quand personne n’est là pour lui rappeler la sienne.

Et elle tombe Hana, elle tombe sans interruption, ne sait pas se rattraper – n’a nulle part où se rattraper. Elle n’a que des démons, Hana, les boulets qui la font plonger, qui la détruisent un peu plus, participent à sa descente aux enfers.
Et pourtant elle s’en plaint pas Hana ( et pourtant elle aime ça Hana ).

Elle a le goût du risque Hana, elle a le goût du défi Hana, le goût de l’alcool aussi, le goût de la brûlure. Et c’est de son regard froid, qu’elle se permet de toiser Ashvin, laisser son regard courir sur son sourire, son air provocant. « Même avec l’avance que j’ai sur toi, ça devrait le faire.Continue de le penser. » Parce qu’elle est comme ça Hana, n’accepte pas la défaite, refuse de perdre contre quiconque. Hana, elle est pas faible, Hana, elle est forte ; plus forte que les hommes, plus forte que sa famille, plus forte qu’Ash, avec son air fier et victorieux. Avec cette expression qu’elle a envie de lui arracher, de faire disparaître à jamais. Hana, elle apprécie Ashvin autant qu’elle le déteste – Hana, elle déteste Ashvin autant qu’elle l’aime, complexité de sentiments, qui n’aboutissent pourtant qu’à une chose : elle veut gagner. Ou peut-être veut-elle au fond surtout qu’il perde. Mais le résultat est le même, elle veut s’en tirer victorieuse, glorieuse, elle qui ne courbe l’échine devant rien ni personne, elle qui a besoin de montrer à tout le monde sa supériorité, pour se le prouver à elle-même.

Elle lève la main, appelle une serveuse, commande une tournée de shot, de son ton princier, accompagné du regard froid comme la glace. Elle incite pas aux questions, Hana, préfère même que la jeune femme ne tarde pas, s’empresse de partir. Parce qu’elle est pas censées être là, Hana, parce que personne ne doit savoir. Mais elle est pas seule, non, elle est pas seule – au moins les gens penseront qu’elle n’est là que pour accompagner son camarade. Chaque seconde en compagnie d’Ash entache un peu plus sa réputation ; pourtant il est son cousin par adoption, n’a pas eu la chance de choisir sa famille. Elle se rassure, la princesse. « Qu’est-ce que tu faisais tout seul ici, cousin ? T’as pas tes clochards avec toi ? » Cette bande qu’elle méprise, qu’elle abhorre – qui la fascine un peu pourtant, elle qui s’y refuse néanmoins. Elle est pas comme ça Hana, ne veut pas être comme ça. C’est une reine Hana, pas un rebu. « A la tienne ? » Le regard provocant, alors qu’elle lève le verre à shot jusqu’à sa bouche, avance son contenu d’une traite. Visage de marbre, aucune expression ; pourtant il coule le long de sa gorge, le liquide destructeur, brûle tout sur son passage. Mais elle est déjà perdue, la princesse, coincée dans la spirale infernale de ses vices.

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Re: les rois du monde (ashvin) | 
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