BECAUSE I CAN
Invité
Invité
BECAUSE I CAN | Jeu 26 Jan - 18:32 Citer EditerSupprimer
because i can
Qui est-ce qui a bien pu balancer ?
Un soupir t’échappe. Il n’y a rien de bien grave mais la situation est ennuyeuse. Tu aimerais bien pouvoir mettre la main sur celui qui a parlé de l’endroit où se déroulent tes petites activités du soir, histoire de régler quelques petites choses entre vous ; cela va te faire perdre plusieurs heures de ton précieux temps et tu n’es pas du genre à apprécier les imprévus de ce genre.
Tu regardes les bâtiments passer les uns après les autres, éclairant de leurs néons les rues encore animées malgré l’heure nocturne. Si tu en crois la discussion des deux hommes en uniforme à l’avant, vous n’allez pas tarder à arriver. Un autre soupir t’échappe, alors que tu ne peux pas faire beaucoup plus qu’attendre, et puis finalement, tu finis par arriver à destination.
C’est finalement après un interrogatoire qui te paraît interminable qu’ils te permettent de passer un coup de fil. La tonalité d’attente sonne et tu tapotes du pied, pressé de pouvoir partir. Ça a été difficile de les convaincre que tu n’étais sur place que par hasard mais tu es doué pour cacher tes véritables intentions et pensées et visiblement, ça t’a aidé. Après tout, qu’est-ce qu’un fils de bonne famille ferait dans ce genre de trou à rat ? Ton statut joue en ta faveur et c’est certainement pour ça que tu réussis à t’en tirer avec autant de facilité.
Tu commences à t’impatienter quand on décroche enfin le téléphone à l’autre bout du fil. Tu entends que ce n’est pas la messagerie et parles aussitôt, croisant le regard en face de toi du policier qui semble très attentif à ce que tu vas dire. « C’est Jihwan. Il y a eu un malentendu et je suis au commissariat. J’ai besoin que tu viennes me chercher, maintenant. » Tu raccroches aussitôt, ne laissant pas l’occasion à l’appel de se prolonger : tu sens qu’il y aura protestation sinon. « Quelqu'un arrive. » lances-tu au policier d’un air serein. Il hoche la tête et te montre le banc où tu peux attendre. Un reniflement de dédain t’échappe quand tu vois que tu dois t’asseoir entre un ivrogne et un homme habillé en femme. Résigné, tu soupires pour la énième fois de la soirée et t’assois à contrecœur pour attendre. Tu sais qu’elle va venir.
because i can
SIAN x JIHWAN
Qui est-ce qui a bien pu balancer ?
Un soupir t’échappe. Il n’y a rien de bien grave mais la situation est ennuyeuse. Tu aimerais bien pouvoir mettre la main sur celui qui a parlé de l’endroit où se déroulent tes petites activités du soir, histoire de régler quelques petites choses entre vous ; cela va te faire perdre plusieurs heures de ton précieux temps et tu n’es pas du genre à apprécier les imprévus de ce genre.
Tu regardes les bâtiments passer les uns après les autres, éclairant de leurs néons les rues encore animées malgré l’heure nocturne. Si tu en crois la discussion des deux hommes en uniforme à l’avant, vous n’allez pas tarder à arriver. Un autre soupir t’échappe, alors que tu ne peux pas faire beaucoup plus qu’attendre, et puis finalement, tu finis par arriver à destination.
C’est finalement après un interrogatoire qui te paraît interminable qu’ils te permettent de passer un coup de fil. La tonalité d’attente sonne et tu tapotes du pied, pressé de pouvoir partir. Ça a été difficile de les convaincre que tu n’étais sur place que par hasard mais tu es doué pour cacher tes véritables intentions et pensées et visiblement, ça t’a aidé. Après tout, qu’est-ce qu’un fils de bonne famille ferait dans ce genre de trou à rat ? Ton statut joue en ta faveur et c’est certainement pour ça que tu réussis à t’en tirer avec autant de facilité.
Tu commences à t’impatienter quand on décroche enfin le téléphone à l’autre bout du fil. Tu entends que ce n’est pas la messagerie et parles aussitôt, croisant le regard en face de toi du policier qui semble très attentif à ce que tu vas dire. « C’est Jihwan. Il y a eu un malentendu et je suis au commissariat. J’ai besoin que tu viennes me chercher, maintenant. » Tu raccroches aussitôt, ne laissant pas l’occasion à l’appel de se prolonger : tu sens qu’il y aura protestation sinon. « Quelqu'un arrive. » lances-tu au policier d’un air serein. Il hoche la tête et te montre le banc où tu peux attendre. Un reniflement de dédain t’échappe quand tu vois que tu dois t’asseoir entre un ivrogne et un homme habillé en femme. Résigné, tu soupires pour la énième fois de la soirée et t’assois à contrecœur pour attendre. Tu sais qu’elle va venir.
made by pandora.
Invité
Invité
Re: BECAUSE I CAN | Jeu 23 Fév - 2:15 Citer EditerSupprimer
because i can
tenue + un hoodie avec fermeture éclair sur le devant | Tu clignes des yeux, complètement à l’ouest. Tu entends la sonnerie de ton portable à quelques centimètres de ton visage. En plissant les yeux, tu arrives à voir que c’est un appel d’un numéro inconnu et, un instant, tu te dis que tu pourrais simplement te rendormir et laisser passer. Tu tends toutefois les doigts et appuies sur l’écran, portant le téléphone à ton oreille, poussant un faible « mh » en guise de réponse. Tes yeux s’ouvrent une nouvelle fois quand tu entends la voix de Jihwan, te redressant presque directement dans ton lit. Tu veux protester, lui dire d’aller se faire foutre et de trouver un autre bouche trou, que tu n’es pas là que pour le sortir à chaque fois de la merde, mais il a déjà raccroché. Tu lances ton téléphone sur ton lit en poussant un nouveau soupir, tendant un bras pour attraper un hoodie, que tu enfiles lâchement par-dessus ta nuisette. Tu as à peine le temps de reprendre ton portable et les clés de ta voiture que tu es en chemin vers le commissariat.
Qu’a-t-il bien pu faire cette fois? Tu te poses cette question comme si la situation était fréquente, mais c’était la première fois que ça se rendait aussi loin. La musique à fond, les cheveux en bataille, tu roules bien plus rapidement que la limite de vitesse permise. Tu ralentis lorsque tu arrives près du commissariat. Une arrestation c’est suffisant, pour ce soir. Tu gares la voiture devant le poste et en sors, te dirigeant à l’intérieur, t’assurant que ton hoodie camouffle le plus possible ton accoutrement peu approprié à la situation. Un policier t’arrête, puis te dirige exactement où se trouve le colis que tu viens chercher. Tu poses une main sur ta hanche dès que tu arrives près du Gumiho, un air épuisé collé au visage. « Grouille. On n’a pas toute la nuit. » Tes prunelles se posent tour à tour sur Jihwan, l’ivrogne qui te regarde comme si tu étais un bout de viande, et l’homme-femme qui envie presque ta tenue aussi révélatrice que la sienne. Tu attrapes ton aîné par le poignet et le tires jusqu’à voiture, lui glissant les clés entre les doigts. « Tu conduis. J’ai manqué heurter un piéton en venant sauver ton beau cul. » Tu lui offres un sourire forcé, ouvrant la portière côté passager, te calant dans le siège, rabattant ta capuche sur ta tête. « Tu sais que je te déteste vraiment? » Tu siffles ces mots entre tes dents, toi-même peu convaincue de la véracité de ces paroles. Au fond, tu l’aimes plus que tout. Tu ne veux juste pas te l’avouer.
because i can
SIAN x JIHWAN
tenue + un hoodie avec fermeture éclair sur le devant | Tu clignes des yeux, complètement à l’ouest. Tu entends la sonnerie de ton portable à quelques centimètres de ton visage. En plissant les yeux, tu arrives à voir que c’est un appel d’un numéro inconnu et, un instant, tu te dis que tu pourrais simplement te rendormir et laisser passer. Tu tends toutefois les doigts et appuies sur l’écran, portant le téléphone à ton oreille, poussant un faible « mh » en guise de réponse. Tes yeux s’ouvrent une nouvelle fois quand tu entends la voix de Jihwan, te redressant presque directement dans ton lit. Tu veux protester, lui dire d’aller se faire foutre et de trouver un autre bouche trou, que tu n’es pas là que pour le sortir à chaque fois de la merde, mais il a déjà raccroché. Tu lances ton téléphone sur ton lit en poussant un nouveau soupir, tendant un bras pour attraper un hoodie, que tu enfiles lâchement par-dessus ta nuisette. Tu as à peine le temps de reprendre ton portable et les clés de ta voiture que tu es en chemin vers le commissariat.
Qu’a-t-il bien pu faire cette fois? Tu te poses cette question comme si la situation était fréquente, mais c’était la première fois que ça se rendait aussi loin. La musique à fond, les cheveux en bataille, tu roules bien plus rapidement que la limite de vitesse permise. Tu ralentis lorsque tu arrives près du commissariat. Une arrestation c’est suffisant, pour ce soir. Tu gares la voiture devant le poste et en sors, te dirigeant à l’intérieur, t’assurant que ton hoodie camouffle le plus possible ton accoutrement peu approprié à la situation. Un policier t’arrête, puis te dirige exactement où se trouve le colis que tu viens chercher. Tu poses une main sur ta hanche dès que tu arrives près du Gumiho, un air épuisé collé au visage. « Grouille. On n’a pas toute la nuit. » Tes prunelles se posent tour à tour sur Jihwan, l’ivrogne qui te regarde comme si tu étais un bout de viande, et l’homme-femme qui envie presque ta tenue aussi révélatrice que la sienne. Tu attrapes ton aîné par le poignet et le tires jusqu’à voiture, lui glissant les clés entre les doigts. « Tu conduis. J’ai manqué heurter un piéton en venant sauver ton beau cul. » Tu lui offres un sourire forcé, ouvrant la portière côté passager, te calant dans le siège, rabattant ta capuche sur ta tête. « Tu sais que je te déteste vraiment? » Tu siffles ces mots entre tes dents, toi-même peu convaincue de la véracité de ces paroles. Au fond, tu l’aimes plus que tout. Tu ne veux juste pas te l’avouer.
made by pandora.