t a l k t o m e
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t a l k t o m e | Jeu 2 Fév - 14:56 Citer EditerSupprimer skyla
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yon
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yon
we are these parts separated ages ago.
song -- un coup il dit oui, un coup il dit non. un coup il rit, puis d'un coup il pète les plombs. peu importe qui il est vraiment, de toute façon elle le connaît par cœur. ce n'est pas une question qu'elle s'est posée quand elle l'a rencontré. trop occupée à se noyer dans le bleu de ses yeux, à se protéger des coups que lui infligeait ses regards tantôt assassins, tantôt doux. il oscillait toujours entre deux états, entre deux extrêmes. instable, et dépendant de son instabilité. mais ce n'est pas une question qu'elle s'est posée. peut-être est-elle folle, inconsciente. il n'y a que les fous, pour aimer les fous après tout. ils sont cet androgyne, que les Dieux éclatèrent dans le monde. comme un seul être, divisé. et maintenant c'est comme si ils étaient à nouveau « un ».
habillée de sa nuisette en satin, elle s'approcha lentement de cet âme sœur, occupée à la cuisine. c'était un de ces soirs où des pulsions communes les avaient forcé à se retrouver. ils trouvaient en l'autre cette sauvagerie et cette douceur qui participaient à une symbiose parfaite. même quand ils n'avaient rien à se dire, rien à se donner, la présence de l'autre avec quelque chose de rassurant. comme pour se rappeler que l'autre n'est jamais loin.
elle attrapa ashvin en enroulant ses bras autour de son dos musclé puis lui sourit malicieusement avant de poser ses lèvres pulpeuses sur la bouche sensuelle de cet amant, amour. restant d'abord silencieuse elle écarte une mèche de cheveux blonde pour mieux s'apercevoir de la contrariété logée dans son regard. Il pouvait jouer l'être humain modèle quand ça le chantait, mais c'était presque insultant de faire semblant face à celle pour qui aucun de ses rictus n'a de secrets.
« qu'est ce qui ne va pas ? »demanda-t-elle soucieuse et sincère. la succube n'avait sincèrement aucune idée de ce qui pouvait lui causer x tourment.s. sa main s'aventura sur la nuque tendue du caucasien en se rapprochant un peu de lui. sans réponse de sa part elle poursuit simplement. « ca fait longtemps que je ne t'ai pas vu.» yon prononça ses mots comme si elle venait de réaliser la chose. c'est vrai ça. Pourquoi ? « tu m'as manqué. je t'ai manqué ? » non pas que ces niaises questions lui soit reconnues, ni même que la réponse lui soit inconnue, mais cela l'obligera sans doute à dire quelque chose. qui sait ?
habillée de sa nuisette en satin, elle s'approcha lentement de cet âme sœur, occupée à la cuisine. c'était un de ces soirs où des pulsions communes les avaient forcé à se retrouver. ils trouvaient en l'autre cette sauvagerie et cette douceur qui participaient à une symbiose parfaite. même quand ils n'avaient rien à se dire, rien à se donner, la présence de l'autre avec quelque chose de rassurant. comme pour se rappeler que l'autre n'est jamais loin.
elle attrapa ashvin en enroulant ses bras autour de son dos musclé puis lui sourit malicieusement avant de poser ses lèvres pulpeuses sur la bouche sensuelle de cet amant, amour. restant d'abord silencieuse elle écarte une mèche de cheveux blonde pour mieux s'apercevoir de la contrariété logée dans son regard. Il pouvait jouer l'être humain modèle quand ça le chantait, mais c'était presque insultant de faire semblant face à celle pour qui aucun de ses rictus n'a de secrets.
« qu'est ce qui ne va pas ? »demanda-t-elle soucieuse et sincère. la succube n'avait sincèrement aucune idée de ce qui pouvait lui causer x tourment.s. sa main s'aventura sur la nuque tendue du caucasien en se rapprochant un peu de lui. sans réponse de sa part elle poursuit simplement. « ca fait longtemps que je ne t'ai pas vu.» yon prononça ses mots comme si elle venait de réaliser la chose. c'est vrai ça. Pourquoi ? « tu m'as manqué. je t'ai manqué ? » non pas que ces niaises questions lui soit reconnues, ni même que la réponse lui soit inconnue, mais cela l'obligera sans doute à dire quelque chose. qui sait ?
CODAGE PAR AMIANTE
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Re: t a l k t o m e | Ven 3 Mar - 17:31 Citer EditerSupprimer ash - yon
we are these parts separated ages ago.
song -- A la base, tout devait être simple, la peinture se dessinait d’elle-même à chaque moment passé ensemble ; simple, évident même, ils ne s’étaient jamais vraiment posé de questions. Ils n’avaient jamais mis de mots sur leur relation tantôt voluptueuse tantôt inaudible, et il n’y avait jamais réellement songé. Parce que, pour lui, tout était bien clair, pour lui, tout était en accord. Le russe ne pensait pas avoir besoin de mettre un nom, une discussion à ce qu’il ressentait à l’intérieur parce qu’il était juste comme ça, Ashvin, il cherchait pas à comprendre grand-chose, il se laissait vivre. Ils étaient juste comme ça, à laisser le temps faire les choses, à se laisser bercer par l’union de deux âmes complémentaires. Simple, évident.
C’est ce qu’il croyait au fond, c’est ce à quoi il pensait, debout devant le plan de travail à noircir ses poumons de son air toxique. Un verre de Golden Blue qu’il avait trouvé dans un des placards, servi, mis en évidence, il pensait à certains mots, à certaines images qu’il arrivait à parfaitement imaginer. Troublant, presque effrayant, il avait gardé son calme, calme, silencieux même, il semblait obnubilé par sa concentration. Parce qu’il tentait d’embrumer les images qui tournaient en boucle dans son esprit, celles qui auraient pu défier sa prise de contrôle, son calme.
Et puis, il finit par se retourner en entendant les pas félins et légers s’approcher de lui. La cigarette écrasée contre la pierre du cendrier, il feignit un sourire, un baiser, comme si tout allait. Mais la belle le déchiffrait mieux que personne, troublant, presque effrayant. Il la scrutait de ses prunelles claires, irritées, pourtant remplies de tout l’amour qu’il pouvait lui porter. Cachant la tristesse qu’il ne s’autorisait à ressentir, il la prit contre lui, fermement, comme pour se prouver à lui-même qu’elle ne partirait pas, qu’elle était là, à lui, pour lui ; à tout jamais.
« Bien sûr que tu m’as manqué. » il savait parler, Ashvin, manier les mots pour les retourner à son avantage et bien que sincère, son regard tiquait à la manière d’un menteur. Il n’avait pas pourtant pas menti, il disait vrai mais au fond de lui, le menteur, il savait que ce n’était pas lui. « Je t’ai tant manqué que tu as préféré replonger dans les vices de ton passé ? » comme s'il la jugeait, énigmatique, il attrapa la main de son âme-sœur, sans quitter ses yeux des siens, il attrapa sa main pour l’apporter à ses lèvres charnues et l’embrasser sans rien ajouter.
C’est ce qu’il croyait au fond, c’est ce à quoi il pensait, debout devant le plan de travail à noircir ses poumons de son air toxique. Un verre de Golden Blue qu’il avait trouvé dans un des placards, servi, mis en évidence, il pensait à certains mots, à certaines images qu’il arrivait à parfaitement imaginer. Troublant, presque effrayant, il avait gardé son calme, calme, silencieux même, il semblait obnubilé par sa concentration. Parce qu’il tentait d’embrumer les images qui tournaient en boucle dans son esprit, celles qui auraient pu défier sa prise de contrôle, son calme.
Et puis, il finit par se retourner en entendant les pas félins et légers s’approcher de lui. La cigarette écrasée contre la pierre du cendrier, il feignit un sourire, un baiser, comme si tout allait. Mais la belle le déchiffrait mieux que personne, troublant, presque effrayant. Il la scrutait de ses prunelles claires, irritées, pourtant remplies de tout l’amour qu’il pouvait lui porter. Cachant la tristesse qu’il ne s’autorisait à ressentir, il la prit contre lui, fermement, comme pour se prouver à lui-même qu’elle ne partirait pas, qu’elle était là, à lui, pour lui ; à tout jamais.
« Bien sûr que tu m’as manqué. » il savait parler, Ashvin, manier les mots pour les retourner à son avantage et bien que sincère, son regard tiquait à la manière d’un menteur. Il n’avait pas pourtant pas menti, il disait vrai mais au fond de lui, le menteur, il savait que ce n’était pas lui. « Je t’ai tant manqué que tu as préféré replonger dans les vices de ton passé ? » comme s'il la jugeait, énigmatique, il attrapa la main de son âme-sœur, sans quitter ses yeux des siens, il attrapa sa main pour l’apporter à ses lèvres charnues et l’embrasser sans rien ajouter.
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