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two baby girls in dangerous states

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two baby girls in dangerous states | Sam 4 Fév - 18:04
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La soirée battait son plein ce vendredi. Teresa avait embarqué son amie dans une soirée étudiante auxquelles elle ne devrait normalement pas participer. Mais la kazakhe avait besoin de se changer les idées et d’oublier toute cette pression psychologique qui pesait sur elle à chaque instant où elle croisait le regard de son bourreau. Pourtant elle s’était découverte une attirance pour la relation que les deux jeunes adultes s’étaient construit petit à petit. Enfin elle n’était rien comparé à l’amitié solide et indestructible qu’unissait la libraire et liren. Elles s’étaient rencontrées par hasard alors que teresa trainait dans les bars une nuit bien fraiche, et que cette perle brune était dans le coin. Elle n’avait pas hésité à l’aborder, dans le but au départ de la draguer, avant de voir l’ambiguïté non partagée se transformer cependant en un attachement féroce et puissant. Elles étaient un peu comme deux copines qui n’étaient pas destinées à se connaitre mais qui pourtant, partageaient tout, même parfois des compliments et des baisers qui avaient le don d’enflammer ces messieurs. Teresa aimait la relation qu’elle avait réussi à créer avec liren et ne s’en détacherait pour rien au monde, c’était justement pour cette raison qu’elle avait proposé à l’asiatique seule de sortir ce soir. Les verres s’enchainaient tout comme la playlist du DJ qui était un peu bas de gamme. Mais peu importait, puisque l’amusement était là. La métisse riait aux éclats, attirant quelques regards sur elle malgré le boucan de la soirée. Les heures passaient, et la belle alternait entre boissons et agitation sur la piste de danse, tenant la main de son amie pour l’entrainer avec elle « - ça va faire bien trois heures qu’on est là et tu es toujours aussi belle. Dis-moi quel est ton secret. » murmura la libraire au creux de l’oreille de son joyaux qu’elle tenait discrètement par la taille. Teresa, elle, sentait quelques mèches se coller sur un front bien trop bouillant pour pouvoir tenir le coup. Heureusement que l’ivresse la faisait encore tenir debout alors que le gong approchait les 2 heures. Elle n’avait plus l’habitude de sortir aussi tard et de terminer la tête dans les choux même si elle tenait bien l’alcool. La kazakhe se recula alors légèrement pour s’éventer avant de souffler « - j’ai besoin de prendre l’air je crois. » geignit la jeune femme en se recourbant sur elle-même comme si elle était prise d’une douleur au niveau de l’estomac. Espérons que liren l’emmène en balade nocturne au bord du fleuve parce qu’elle n’avait pas envie de rentrer maintenant et de penser aux aléas de son quotidien.
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Re: two baby girls in dangerous states | Lun 20 Fév - 22:25
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Les soirées, comme de nombreux autres jeunes de ton âge, tu aimais ça, mais tu les aimais encore plus quand elle se faisait en compagnie de ta moitié, ton âme sœur au féminin, ta femme tout simplement comme tu l'avais renommé sur ton portable. Non, tu n'étais pas lesbienne, ni même bi, mais Teresa était pour toi ce que l'eau était pour les fleurs, un élément vital qui sans elle, ta vie serait sûrement fade. Finalement, tu es heureuse qu'elle est tentée de draguer, même si ça à complètement foiré quand elle a compris que tu n'étais tout bonnement pas de ce bord. Même si parfois tu te laissais aller à quelques baisers, rien de bien méchant et totalement innocent. Juste histoire de bien rire en voyant ces hommes s’enflammer en vous regardant ou bien une manière aussi de faire fuir les gros lourdingues.

Tu souriais, te déhanchant au rythme de la musique, presque en collée serrée avec ta chère amie Teresa. Tu te mis à rire à cette sa question... Comme si elle avait besoin  de savoir ça ? Entre vous deux, la libraire était très certainement la plus belle, même la plus belle de toute la boîte. « C'est plutôt à toi de me donner ton secret. »  Elle était terriblement sexy et dégageait quelque chose de captivant qui ne pouvait laisser indifférent les hommes, d'où les nombreux regards posés sur elle depuis leurs arrivées. Des regards dignes de prédateurs complètement ignorant que cette proie sera tout bonnement intouchable tant que tu étais là et puis même sans ça Teresa pouvait être une femme redoutable.

Tu t'arrêtas doucement de danser alors que ton ami se plia sur elle-même semblant mal. Elle avait besoin d'air. Tu t'approchas d'elle et lui pris sa main pour l'emmener loin de ses quatre murs où la chaleur devenait étouffante de minutes en minutes. Une fois dehors, tu te retournas pour la regarder. « Ça va mieux ? » L'air était frais, mais cela restait plutôt agréable. « Tu as bu un verre de trop je crois. » Ou peut-être deux, en tout cas une chose est sûre elle avait bu beaucoup que toi qui avait décidé pour une fois d'être raisonnable et ne pas devenir un boulet pour la personne qui t'accompagnait. Quoique bizarrement quand tu étais avec Teresa, tu étais tout simplement euphorique et rien de plus. Pas aussi énervant que tu pouvais l'être avec tes autres amis.
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Re: two baby girls in dangerous states | Mer 22 Fév - 17:05
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La jeune femme étouffait, et bien qu’elle souhaitait profiter de cette soirée en compagnie de liren, elle ne pouvait plus tenir une seconde de plus enfermée entre ces murs. L’alcool lui donnait un effet de tambour dans la tête accompagné de ses insupportables hauts le cœur. La kazakhe se laissa alors guider par son amie qui la sauva, une fois de plus, des griffes de la maladie ou de l’indigestion. Une fois à l’extérieure, la belle fut frappée de plein fouet par l’air frais qui restait néanmoins supportable très facilement. Elle posa sa main sur un des murs et pencha son buste vers l’avant en essayant de caller sa respiration sur une cadence plus lente et tranquille. Elle sourit alors « - je crois aussi. Mais leur tequila sunrise est tellement bonne que je ne compte plus le nombre que je m’enfile. » avoua teresa qui se tint légèrement les cheveux alors qu’un des vigiles de la boite se dirigea vers les deux femmes pour demander simplement si tout allait bien. La brune se redressa aussitôt avant de hausser une épaule « - ça va merci, mais je pense qu’on va rentrer quand même. » elle se tourna vers liren et attrapa à son tour sa main pour l’éloigner du club avant d’arpenter les rues, perchée dans ses grosses baskets de sport tout sauf élégantes. « - tu sais ce que j’ai envie de faire ? » elle regarda un peu partout avant de souffler « - il parait que la vue de la rivière han est magnifique à cette heure-ci. » la ténébreuse coula un regard vers sa compagne avant d’afficher un sourire discret pour l’intimer à y aller. Elles seraient bien là, à longer l’eau qui refléterait alors les feux de la ville et les silhouettes de deux jeunes femmes qui se perdent dans cette palette noiraude. Et puis, c’était quelque chose que teresa voulait partager avec liren ; un de ces moments paisibles où l’on peut autant se livrer à une confession douce ou douloureuse, que rester silencieuse devant le spectacle nocturne de séoul. Ce soir, la libraire était éméchée mais détendue, étouffant parfois quelques rires alcoolisés quand elle croisait le regard d’autres étudiants qui venaient de faire la bringue toute la nuit, s’étant fait alors virer par les voisins du dessous. Et ses doigts manucurés restaient accrochés à ceux de l’asiatique comme pour ne pas la perdre. Finalement, leurs pas les conduire bientôt au bord de l’eau. « - parfois je regrette d’avoir quitté la fac. » glissa la belle, tandis qu’elle retirait ses chaussures.
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Re: two baby girls in dangerous states | Dim 5 Mar - 18:00
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Tu ne pus t'empêcher de rire face aux paroles de ton amie. C'est vrai leur tequila sunrise était très bonne, voir même excellente, mais ce soir tu t'étais limitée qu'à deux verres seulement, un grand exploit pour toi qui pourtant tout comme Teresa enfilait les verres les uns derrières les autres. Tu t'étais pour une fois montrée sage. Toujours une main dans son dos pour la tapoter un peu, elle regarda le vigile venir vers elle et n'eut pas vraiment le temps de dire quoique ce soit que la magnifique brune à ses côtés prit la parole. Un simple sourire, un petit mouvement de tête pour saluer poliment, tu l'as regarda alors qu'elle te prenait la main tout en de demandant de deviner son envie. Chose que tu n'eus pas le temps de faire non plus, puisqu'elle te donna la réponse. « Allons y ! Direction le fleuve Han. » dis-tu tout en pointant le doigt en l'air dans une direction complètement au pif. Main dans la main, les deux amies ne tardèrent pas à arriver près du fleuve et longer le bord de l'eau quelques minutes puis à s'arrêter. « Parce que tu ne peux pas me voir tous les jours ? » Un large sourire sur les lèvres, tu aimais de tant à autres te vanter, du moins le faire exprès pour taquiner les personnes autour de toi, en faisait de toi une personne essentielle à leur vie. « Si tu regrettes, essaye de revenir, je pense qu'il y a bien un moyen pour que tu puisses retourner à la fac. » Il y avait toujours une solution à tout, le problème était que bien souvent il était difficile de les trouver ou de les mettre en action. À ton tour, tu enlevas tes chaussures, une paire de bottine noir à talon fin, très classe qui se mariait parfaitement avec le reste de ta tenue dont seul ton haut apportait un peu de couleur dans celle-ci. Pied à plat, tu soupiras d'aise... « Ça fait du bien d'être à nouveau à plat. » Non, tu n'avais pas particulièrement mal au pied, mais toutes femmes qui avaient déjà porté des talons qu'ils soient très hauts ou même moyens, pouvait comprendre le bien fou que ça faisait de les enlever. Tu t'assis, au bord de l'eau pour y laisser tes pieds trempés tout en les remuant doucement. Tes lèvres s'étirèrent en un joli sourire, qui te rendait mignonne comme aimait le dire ta mère, ce petit sourire enfantin qui ne laissait apparaître que tes deux petites dents de devant, comme un petit lapin. 
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Re: two baby girls in dangerous states | Dim 12 Mar - 17:01
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Il faisait bon ce soir. teresa aimait les nuits où l’on avait pas besoin de s’encombrer d’une veste ou d’un manteau, surtout pour aller s’amuser dans les boites de nuit. Rien n’était plus galère et compliqué que de devoir s’organiser pour ne pas être obligée de surveiller sans cesse les affaires. C’était compliqué. Surtout quand on avait facilement un coup dans le nez comme la kazakhe. Elle sortait donc rarement seule, mais ça lui arrivait oui. Ce fut d’ailleurs comme ça qu’elle rencontra seyun, et elle ne savait pas s’il était de bon augure ou non. le plus grand stress de la jeune femme était de bien s’amuser et de retrouver une soirée gâchée par un vol ou une perte ; et pourtant, elle avait perdu maintes fois son téléphone, mais il fallait croire que la chance était souvent avec elle dans ces cas-là. Soit elle le retrouvait, soit on le lui redonnait. Peut-être était-ce son charisme qui jouait ? elle ne sut jamais ; trop heureuse de revoir son bien, trop en colère pour répondre quoique ce soit. Elle ne prenait plus son téléphone désormais, se contentant de monnaie et de ses clés ; mais le souci était le même. où mettre son trousseau lorsqu’on porte un bustier ? peu importait de se poser la question maintenant, alors que deux amies prenaient l’air après une soirée où leurs oreilles avaient sifflé, et où leurs pieds avaient claqué le sol plusieurs centaines de fois. débarrassée de ses chaussures, l’orientale inspecta son amie avant de sourire en coin. « - elles sont trop belles tes pompes. » ricana la ténébreuse : elle avait dit cette phrase peut-être une dizaine de fois depuis le début de la nuit. Elle avait oublié. L’étrangère s’installa à son tour près de liren et laissa également trainer ses pieds dans l’eau fraiche de ce cours d’eau. Elle pensait. Soupirait. Songeait. Retourner à l’université ? et pour quoi faire ? elle était perspicace comme demoiselle, mais les études n’étaient pas faites pour elle. et l’examen d’entrée à la yonsei était compliqué. Elle fit tressauter une épaule avant de secouer la tête « - je ne peux pas revenir comme ça. Déjà parce que je ne sais pas quoi faire, en plus parce que j’ai ma librairie que j’ai construite avec ma sueur et mon boulot. Je ne peux pas décider de la léguer, de la vendre, et de toute façon je ne peux pas étudier et bosser en même temps. Mon pauvre cerveau ne le supporterait pas. » elle s’arrêta un moment avant de prendre quelques mèches de cheveux de liren et de commencer à faire des petites nattes pour se distraire « - et puis, c’est pas le taffe qui me manque à la fac, c’est l’ambiance, voir des étudiants partout. Dis-moi qui, entre 20 et 30 ans souhaite entrer dans une boutique qui vend des bouquins ? » plaisanta la belle. « - à part toi bien sûr, mais ça c’est parce que tu es la meilleure. »
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Re: two baby girls in dangerous states | Mer 15 Mar - 21:07
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« Elles sont trop belles tes pompes. » Ohhh combien de fois tu avais entendu cette phrase depuis le début de la soirée que tu avais passé avec la belle. Sûrement plus d'une vingtaine de fois… Petit rire s'échappant de tes fines lèvres, tu lui proposas : « Tu les veux ? » Ça ne te dérangeais pas de lui filer tes talons, ce n'est pas comme si tu étais en rupture de chaussures. Tu faisais partie de ces gens qui étaient de total shoes addict avec toute une collection de chaussure de divers genres allant des baskets jusqu'au talon de plus de douze centimètres. Une paire de plus ou une paire de moins quelle importance ? En plus, ce n'est pas comme si tu allais les donner à n'importe qui. Teresa était ta wife et elle méritait de tel présent, en plus vous chaussiez la même pointure, il n'y avait donc aucun problème. Puis ça te faisait réellement plaisir de les lui offrir si elle les voulait vraiment.
Débarrasser de tes échasses, tu te rapprochas de l'eau pour venir t'asseoir au bord et laisser tremper tes pieds légèrement endoloris par les heures où tu avais dansé. Tu l'écoutas sagement, gardant un doux sourire sur les lèvres. C'est vrai pourquoi devait-elle revenir étudier alors qu'elle avait déjà son petit commerce, sa librairie où tu aimais t'abandonner quelques heures pour lire et la voir. « Tsss… J'avoue je suis la meilleure.. » dis-tu tout en riant quelques secondes avant de reprendre. « Tu sais des jeunes de vingt et trente ans passionnés et amoureux des livres, il en existe. » Même beaucoup plus que ce qu'on croyait. Il suffisait d'aller à la bibliothèque et voir tous ces jeunes, un livre ouvert en main complètement épris par ce qu'ils étaient en train lire. « Ils n'ont juste pas connaissance de ta librairie… Tu veux que je te fasse de la pub, afin que tu puisses voir de beaux étudiants ou jeunes trentenaire ? » Large sourire amusée collée sur les lèvres, tu étais réellement sincère quand tu lui proposas de lui faire de la pub pour sa librairie. Tu avais envie que pour ta wife tout fonctionne comme sur des roulettes et qu'elle mène une belle vie sans soucis. « Laisse-moi faire, dans moins de trois jours, tu verrais de la fraîcheur dans ta librairie. »
Continuant à balancer tes pieds, les yeux fermés pour apprécier la fraîcheur de la nuit caressant ta frimousse heureuse du moment présent qui se passait. « Ton commerce marche, même si tu n'as pas de jeunots qui pointent le bout de leur nez ? »
 
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Re: two baby girls in dangerous states | Jeu 16 Mar - 14:33
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Teresa s’offusqua un moment sous la proposition généreuse de son amie. Elle avait elle aussi l’habitude de donner ou prêter les choses, alors qu’on lui propose subitement une paire de chaussures qui ont dû coûter très chers, elle ne savait pas trop. Elle leva alors le menton quand elle fut assise pour inspecter de plus près les trésors avant de secouer ses cheveux épais « - je ne vais pas te priver de telles merveilles ! mais, on peut trouver un arrangement. » les yeux de la kazakhe se plissèrent sous sa malice naturelle avant de souffler « - tu pourrais me les prêter contre quelque chose, tu sais ? on serait usufruitière des vêtements qu’on se prête. » elle avait appris ce mot en coréen il y avait quelques jours, et, bien qu’elle savait pertinemment ce qu’il voulait dire, c’était amusant de sortir ce genre de termes alors qu’elle se trouvait plutôt éméchée. Teresa laissa sa respiration se perdre dans le froid et le chaos tranquille de la nuit qui s’offrait aux deux jeunes femmes. La libraire afficha un sourire quelque peu gênée « - je n’en sais rien, je suis certaine qu’il y en a, des jeunes qui aiment lire, mais, je pense juste qu’ils sont en voie de disparition. » la brune humecta ses lèvres avant de regarder liren, les sourcils haussés sous sa seconde suggestion, décidément, elle en avait de bonnes idées ce soir l’asiatique « - ce serait super. Mais j’aurai l’impression de t’exploiter un peu non ? si tu veux je peux te rémunérer si tu fais la baronne pour moi ? » ; « - je te fais confiance alors. » conclut teresa en voyant la certitude et la confiance de son amie. Elle haussa alors une épaule sous sa question « - ça marche, plutôt bien même, c’est calme, petit, charmant. C’est vrai que depuis que je me suis séparée de raï je consacre beaucoup plus de temps à mon travail. » évidemment que liren avait été au courant de l’histoire qu’il y avait eu entre le Armani et l’orientale. Elle releva légèrement le dos pour attacher ses cheveux, ne cessant de les toucher comme un sale réflexe « - il m’obsédait tellement sans le vouloir que les journées de boulot étaient longues. Je l’attendais des heures, je vérifiais pour voir si le bruit de dehors ne provenait pas de sa moto. Mais maintenant que c’est terminé c’est vrai que, j’essaie de l’oublier et de tuer le temps en innovant. Je ne sais pas si ça marche, mais je continue. » le souvenir de ce don juan dans son cœur, était toujours douloureux, malgré les semaines, malgré les mois. Elle l’avait aimé et lui avait été loyale jusqu’à ne plus parvenir à tenir la cadence ; c’était mieux comme ça, mais il manquait à teresa un petit souffle de vie désormais.
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Re: two baby girls in dangerous states | Dim 19 Mar - 0:03
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« Tsss.. Idiote. Si je te les propose ça me fait plaisir, puis ce n’est pas comme si j’étais en pénurie. » Ça c’est sûr, d’ailleurs tu en avais une telle collection que  tu ne pouvais pas toutes les ramener dans ta chambre au dortoir des Sango. « Puis si tu veux quelques choses dans ma garde de robe, tu peux te servir. » Elle n’avait aucune obligation de lui prêter quelque chose en retour pour pouvoir lui emprunter quelques choses. « Tout ce qui est à moi et à ma femme aussi. » dis-tu en riant tout en étant sérieuse dans tes paroles. « Et j’en ferais de même.  » Teresa était une très belle femme qui savait parfaitement s’apprêter et tu avais déjà vu de nombreuses pièces qu’elle avait déjà porté qui t’avaient plu. Certaines que tu lui emprunterais peut-être un jour.

Ta wife semblait un peu dubitative et dans le fond, elle n'avait pas tort. Avec l'avancée de la technologie, le papier laissait de plus en plus place à l'électronique à ton plus grand damn. Pour toi la technologie prenait trop de place, elle remplaçait beaucoup trop d'élément dans votre vie qui n'en avait pas besoin. « Tu ne m'exploites pas, ça me fait plaisir. » Sinon, tu ne l'aurais pas proposé. En tout cas, tu comptais bien augmenter sa clientèle de petits étudiants.

Naturellement, tu lui demandas comment son commerce fonctionnait, elle te répondit bien et enchaîna en évoquant Raï, son ex. Ton sourire s’atténua et tu regardas tes pieds se balançant doucement dans l’eau. Il était toujours difficile de trouver les mots pour réconforter une personne quand il était question de peine de cœur. Tu te doutais que le cœur de ton amie ne l’avait pas entièrement effacé, ce qui prouvait qu’elle l’avait aimé sincèrement. Doucement tes bras entourèrent ton ami, pour lui donner un câlin que tu espérais réconfortant. Tu n’étais pas douée avec les mots et tu le savais, c’est d’ailleurs pourquoi tu ne préférais pas ouvrir la bouche par peur de blesser sans le vouloir. « Tu sais que je serais toujours là pour toi. Si tu as besoin de te changer les idées, n’hésite pas à m’appeler ou même si tu as juste envie de parler. Je serais là pour t’écouter. » dis-tu tout en lui caressant les cheveux et te détachant un peu d’elle. « On rentre ? Je te propose de venir dormir à la maison pour ce soir ça te dit ? » Vu l’heure, rentrer au dortoir était bien trop tard et puis depuis le fleuve, la maison de ton beau-père n’était pas loin. Tu te levas, aidant la demoiselle à tes côtés à se lever. Tu essuyas un coup tes pieds avant de mettre tes talons, une fois chaussée, tu te retournas vers elle. « On y va ? »

 
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Re: two baby girls in dangerous states | Lun 27 Mar - 13:35
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Teresa afficha un sourire conquis. Elle connaissait très bien la générosité de son amie, mais elle n’avait pas vraiment l’habitude qu’on lui propose ouvertement de lui passer quelques vêtements ou accessoires. Elle scruta les chaussures avant de se mettre à rire « - oh mes chéries, je prendrais soin de vous. » dit la kazakhe un peu éméchée alors qu’elle se reposait les pieds dans l’eau. Liren et elle étaient comme des âmes-sœurs et jouaient beaucoup là-dessus même si pour la brune ça avait été un peu plus que ça à une époque. Elle savait pertinemment qu’elles n’iraient jamais plus loin que la simple plaisanterie. Et puis, il y avait ses fantômes du passé qui ne cessaient de ressurgir. Les cheveux charbons de la métisse se glissèrent sur son épaule alors qu’elle haussa les sourcils. Comment faire pour que sa librairie prenne encore plus d’ampleur. Elle eut soudain une idée « - et si, j’organiserai une fête, par exemple dans une salle, où les places seraient vendus dans l’université uniquement ? par exemple, on pourrait autoriser un nombre max de personnes ? peut-être que ça ferait de la bonne pub et puis on aime tellement s’amuser. » ça serait une occasion en plus de faire la fête surtout.

Raï. Un nom qui avait encore le don de la faire frissonner. De la faire sourire parfois. Puis pleurer aussi. Les sentiments s’étaient considérablement atténués mais n’avaient pas disparu. Et ça n’était pas sa première peine de cœur. Ce garçon avait été un second souffle de vie. Une échappatoire. Loin de la ville. Loin de la vie de simples mortels. Teresa avait cru pour un temps, dur comme fer, qu’elle avait été élevée à un stade beaucoup plus impressionnant que celui de la simple vendeuse et serveuse. Mais tout ça n’avait été que de la poussière. Là. Les deux tourtereaux passionnés, l’un destructeur, l’autre plein d’espoir. Perchés sur une moto, roulant de nuit, roulant de jour. parfois la belle lui demandait de s’arrêter pour qu’elle puisse observer le paysage devant elle. elle avait voyagé jadis du kazakhstan jusqu’à séoul, mais elle n’était plus sortie de sa capitale depuis deux ans. Teresa se redressa sans répondre, affichant simplement un sourire, tapotant ses cuisses pour retirer la possible saleté. Elle s’empara de sa paire de chaussures, préférant rester pieds nus. « - allons y oui. » elle commença à marcher alors. Et de loin on pouvait apercevoir, les deux poupées s’aventurer dans la nuit noire, la main de l’orientale attrapant celle de liren, comme un réflexe rassurant.
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Re: two baby girls in dangerous states | Sam 1 Avr - 14:56
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« Ça pourrait être une bonne idée ! » Organiser une fête tout en faisant de la pub pour sa librairie pouvait être une bonne solution pour emmener un peu plus de jeune client dans la boutique de la magnifique kazakhe. Petit sourire en coin tout en lui donnant un léger petit coup de coude, tu ajoutas : « Tu pourras user de tes charmes pour les appâter. » Quoique même sans en jouer, ta femme n’allait très certainement pas laisser indifférents les étudiants de ton université. Elle était magnifique et avec ce petit côté exotique, elle pouvait attirer les coréens où même autre nationalité.

Il se faisait tard, il était temps pour vous de rentrer. Tu proposas à Teresa de rentrer avec toi. Non au dortoir des Sango, mais chez ton beau-père et ta mère. Tu connaissais le code d’entrée du portail et n’avait donc pas besoin de réveiller ta mère pour rentrer. Main dans la main, vous avanciez tranquillement en direction de la demeure familiale. Au bout d’un certain moment, tu t’arrêtas et tu regardas les pieds nus de ton ami. Tu lui lâchas la main et tu te posas devant elle accroupit. « Monte sur mon dos. Il y a pas mal de bris de verre qui traîne par ici. » Tu en savais quelque chose pour avoir vu plus d’une personne bourrée ou des jeunes exploser des bouteilles en verre dans les environs. Des personnes qui se fichaient de blesser les autres avec leur saleté. Ce genre de personnes que tu ne supportais absolument pas et contre lesquelles tu avais tendance à te prendre le chou. Tu continuas à avancer, plus qu’à quelques mètres de chez toi, mais bien vite sortant d’une ruelle perpendiculaire à celle que vous aviez emprunté, un type vous barra la route. « Bonsoir mes jolies. » Tu l’ignoras, te décalant pour passer à sa droite, mais il suivit ton mouvement pour continuer à te barrer le chemin. Avant qu’il n’ouvre la bouche pour déblatérer très certainement des conneries, tu pris la parole sans la moindre once de sympathie dans ta voix. « Dégage ! » Tu voulais avancer à nouveau en l’évitant, mais il te repoussa par l’épaule. « Ouhhh c’est que vous faîtes peur. » Sous-estimé son adversaire ou plutôt ses adversaires était une très mauvaise chose. Surtout vous sous-estimé et ce type allait vite s’en rendre compte et sûrement s’en mordre les doigts par la suite.
 
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Re: two baby girls in dangerous states | 
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