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the sunny girl & the clumsy giant
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the sunny girl & the clumsy giant | Dim 5 Fév - 10:49
L’échine courbée, les yeux perdus dans le fond de son casier, la grande asperge tente de se rappeler. Il reste là, à chercher dans sa pauvre mémoire mais y’a rien qui lui vient. L’écran dans sa tête grésille, il a perdu le contact avec là-haut. Et il bouge plus. Comme s’il s’arrêtait d’exister juste le temps de se rappeler. Il lui suffirait pourtant de jeter un œil à son téléphone pour savoir si c’est aujourd’hui ou non que l’entrainement de basket est annulé, si c’est ce soir qu’il doit retrouver son frère à son restau. Ou si c’est un autre jour. Il lui suffirait juste de sortir l’appareil de sa poche et de fouiller un peu et il saurait. Mais il est parti tellement loin, tellement ailleurs qu’il y pense même pas. Il pense plus à rien le grand benêt. Il fait plus rien, comme si dans son monde à lui, le temps s’était figé alors que derrière lui, les étudiants fourmillent dans les couloirs, se dépêchent de changer d’amphi ou de rejoindre leurs amis, ne se préoccupant aucunement du géant maladroit avec la tête sur la lune, les pieds sur terre.
Junho, c’est un spécialiste pour ça. Être là physiquement alors que son âme est déjà partie très loin, elle est rentrée au soleil, s’est perdue entre les vagues. Et quand il revient à lui le gars de la campagne, il comprend pas toujours ce qui lui arrive. Mais quand il s’aperçoit que y’a plus un bruit, pas un chat qui traîne dans les couloirs, ça percute d’un coup et il se dit qu’il est dans la merde. Il referme alors la porte de son casier d’un coup sans se soucier de ce qui en sort, s’il corne un livre ou si son doigt est resté sur le chemin juste pour l’emmerder. La douleur vive dans son doigt le déconnecte avec l’ailleurs. « Oh putain de merde, fils de pute ! ». Le grand garçon voudrait bien hurler sa mère mais elle est loin sa mère. Elle lui tirerait probablement l'oreille pour avoir proféré de telles injures. Alors il marmonne entre ses dents serrées, il se recroqueville sur lui-même, vérifie quand même que son pouce est encore attaché au reste de sa main et retient ses larmes. Surtout qu’il vient de s’apercevoir qu’une paire de grands yeux curieux/effrayés regarde la scène depuis le début. Elle est peut-être aveugle et sourde ... du moins il espère un peu.
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rin & junho
L’échine courbée, les yeux perdus dans le fond de son casier, la grande asperge tente de se rappeler. Il reste là, à chercher dans sa pauvre mémoire mais y’a rien qui lui vient. L’écran dans sa tête grésille, il a perdu le contact avec là-haut. Et il bouge plus. Comme s’il s’arrêtait d’exister juste le temps de se rappeler. Il lui suffirait pourtant de jeter un œil à son téléphone pour savoir si c’est aujourd’hui ou non que l’entrainement de basket est annulé, si c’est ce soir qu’il doit retrouver son frère à son restau. Ou si c’est un autre jour. Il lui suffirait juste de sortir l’appareil de sa poche et de fouiller un peu et il saurait. Mais il est parti tellement loin, tellement ailleurs qu’il y pense même pas. Il pense plus à rien le grand benêt. Il fait plus rien, comme si dans son monde à lui, le temps s’était figé alors que derrière lui, les étudiants fourmillent dans les couloirs, se dépêchent de changer d’amphi ou de rejoindre leurs amis, ne se préoccupant aucunement du géant maladroit avec la tête sur la lune, les pieds sur terre. Junho, c’est un spécialiste pour ça. Être là physiquement alors que son âme est déjà partie très loin, elle est rentrée au soleil, s’est perdue entre les vagues. Et quand il revient à lui le gars de la campagne, il comprend pas toujours ce qui lui arrive. Mais quand il s’aperçoit que y’a plus un bruit, pas un chat qui traîne dans les couloirs, ça percute d’un coup et il se dit qu’il est dans la merde. Il referme alors la porte de son casier d’un coup sans se soucier de ce qui en sort, s’il corne un livre ou si son doigt est resté sur le chemin juste pour l’emmerder. La douleur vive dans son doigt le déconnecte avec l’ailleurs. « Oh putain de merde, fils de pute ! ». Le grand garçon voudrait bien hurler sa mère mais elle est loin sa mère. Elle lui tirerait probablement l'oreille pour avoir proféré de telles injures. Alors il marmonne entre ses dents serrées, il se recroqueville sur lui-même, vérifie quand même que son pouce est encore attaché au reste de sa main et retient ses larmes. Surtout qu’il vient de s’apercevoir qu’une paire de grands yeux curieux/effrayés regarde la scène depuis le début. Elle est peut-être aveugle et sourde ... du moins il espère un peu.
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Re: the sunny girl & the clumsy giant | Lun 13 Fév - 14:16
La musique dans les oreilles, rin contemple l'entrée principale de l'université et essais de ne pas être impressionnée. pas comme si elle venait pour la première fois, elle était déjà venue voir son frère ou rapporter quelque chose à ses soeurs, mais là... c'est son dossier d'inscription qu'elle à en main, le dossier qui va être analysé dans tout les sens pour savoir si elle peut avoir la bourse. elle voulait le donner elle-même en main propre à son frère, lui faire la surprise. cachée dans son grand pull noir, elle tire un peu sur ses manches, inspire un grand coup puis se glisse dans la foule de monde qui se dirige vers l'entrée, paniquant un peu à l'idée de finir à l'autre bout de la destination voulue. Puis ça rate pas parce que malgré le hip hop des années 9à qui devait la faire se sentir invincible et assez grande pour ne pas avoir peur du bâtiment, rin finis par se perdre et se retrouve dans des couloirs qu'elle à jamais vu. En plus ça se presse dans tout les sens et de ce qu'elle entend, les cours vont bientôt reprendre. Alors elle se met à courir un peu et croit retrouver son chemin mais fait que se perdre d'avantage.
Alors comment dire, la p'tite rin elle craque et tape du pied par terre en s'arrêtant dans un coin, laissant passer ce qui semble être une équipe entière de cheerleader, toutes plus grandes et bien foutues les unes que les autres, elle qui fait dix centimètres de moins que tout le monde. La gamine fait la moue et regarde autour d'elle avec ce regard de phoque désespérée qu'elle réserve aux grandes occasions. Mais c'est la qu'une vision la trouble. Rin plisse les yeux pour regarder la grande (grande) personne de type masculin, classe idole carte rare qui brille et tout du nom de byun jun ho, ex-leader des EMPTY, droit devant elle devant ce qui semble être son casier. Dans un réflexe purement inutile, rin viens cacher sa bouche de ses deux mains et ses yeux s'écarquillent un peu alors qu'elle réalise que c'est bel et bien lui. Et elle retiens un cri quand il referme son casier sur son pouce et cri, râle, se recroqueville. Rin elle ose même plus bouger, complètement omnibulée par la scène, elle sait pas si elle ose s'approcher ou pas, puis finalement quand le regard du garçon rencontre celui de la plus jeune, elle sursaute un peu et se précipite vers lui en lui demandant « Est-ce que ça va?! Oh mon dieu tu doit avoir trop mal! » bravo rin, très perspicace. « euh, euh... tu veux de l'eau?! » Dans un élan de rinisation, la petite attrape la main blessée de junho et souffle sur son pouce jusqu'à calculer ce qu'elle est en train de faire, écarquille à nouveau les yeux en grand en regardant la main en question, puis redresse brusquement la tête, peut-être un peu trop brusquement parce qu'elle croit, à la douleur qu'elle ressent, s'être cognée... contre lui ? « Oh je suis désolée, euh, pardon! »
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rin & junho
La musique dans les oreilles, rin contemple l'entrée principale de l'université et essais de ne pas être impressionnée. pas comme si elle venait pour la première fois, elle était déjà venue voir son frère ou rapporter quelque chose à ses soeurs, mais là... c'est son dossier d'inscription qu'elle à en main, le dossier qui va être analysé dans tout les sens pour savoir si elle peut avoir la bourse. elle voulait le donner elle-même en main propre à son frère, lui faire la surprise. cachée dans son grand pull noir, elle tire un peu sur ses manches, inspire un grand coup puis se glisse dans la foule de monde qui se dirige vers l'entrée, paniquant un peu à l'idée de finir à l'autre bout de la destination voulue. Puis ça rate pas parce que malgré le hip hop des années 9à qui devait la faire se sentir invincible et assez grande pour ne pas avoir peur du bâtiment, rin finis par se perdre et se retrouve dans des couloirs qu'elle à jamais vu. En plus ça se presse dans tout les sens et de ce qu'elle entend, les cours vont bientôt reprendre. Alors elle se met à courir un peu et croit retrouver son chemin mais fait que se perdre d'avantage. Alors comment dire, la p'tite rin elle craque et tape du pied par terre en s'arrêtant dans un coin, laissant passer ce qui semble être une équipe entière de cheerleader, toutes plus grandes et bien foutues les unes que les autres, elle qui fait dix centimètres de moins que tout le monde. La gamine fait la moue et regarde autour d'elle avec ce regard de phoque désespérée qu'elle réserve aux grandes occasions. Mais c'est la qu'une vision la trouble. Rin plisse les yeux pour regarder la grande (grande) personne de type masculin, classe idole carte rare qui brille et tout du nom de byun jun ho, ex-leader des EMPTY, droit devant elle devant ce qui semble être son casier. Dans un réflexe purement inutile, rin viens cacher sa bouche de ses deux mains et ses yeux s'écarquillent un peu alors qu'elle réalise que c'est bel et bien lui. Et elle retiens un cri quand il referme son casier sur son pouce et cri, râle, se recroqueville. Rin elle ose même plus bouger, complètement omnibulée par la scène, elle sait pas si elle ose s'approcher ou pas, puis finalement quand le regard du garçon rencontre celui de la plus jeune, elle sursaute un peu et se précipite vers lui en lui demandant « Est-ce que ça va?! Oh mon dieu tu doit avoir trop mal! » bravo rin, très perspicace. « euh, euh... tu veux de l'eau?! » Dans un élan de rinisation, la petite attrape la main blessée de junho et souffle sur son pouce jusqu'à calculer ce qu'elle est en train de faire, écarquille à nouveau les yeux en grand en regardant la main en question, puis redresse brusquement la tête, peut-être un peu trop brusquement parce qu'elle croit, à la douleur qu'elle ressent, s'être cognée... contre lui ? « Oh je suis désolée, euh, pardon! »
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Re: the sunny girl & the clumsy giant | Mar 14 Fév - 10:24
Le grand benêt, il est tellement dans son monde qu’il en oublie le reste. Il en oublie que ses grandes jambes sont collés au sol, dans un autre univers, avec des gens, le temps qui avance tandis que sa tête, à l’abri dans sa petite bulle, est à des années lumières, loin, très loin. Trop loin pour les autres. Étourdi, maladroit. Ça n’aide pas vraiment la grande asperge qu’il est. Il est tellement heureux de ne plus avoir de caméras autour de lui, qui le suivent H24 pour capturer le moindre de ses mouvements ou plutôt, de ses gamelles. Parce que des gamelles, il en a eu. Tellement qu’on les retrouve toutes dans une vidéo de cinq minutes. Oui, cinq minutes de bleus, de bosses, de petites frayeurs, de rencontres un peu trop personnelles avec le sol ou une porte. Alors là, il est content que personne ne soit là, qu’il soit tout seul pour admirer le carnage. Enfin ça, c’est dans sa bulle. Parce que quand la bulle éclate, y’a cette petite lueur derrière lui, ces deux grands yeux, cette petite tête brune dans ce pull noir un peu trop grand. Il est pas tout seul non. Mais il a tellement mal qu’il s’en fiche pas mal d’avoir été vu. Il s’en veut juste un peu d’avoir proférer autant de jurons devant une fille.
« Je … je suis désolé je – ». Il a pas le temps d’en dire davantage que la demoiselle se trouve à ses côtés, tout près de lui, sa grande main dans celle de la jeune fille. Ca le ferait presque rire de voir qu’il pourrait enfermer ses petits doigts dans le creux de sa paume. Elle est toute petite, qu’il se dit le géant, sans penser l’ombre d’une seconde que c’est lui qui est trop grand. Et puis y’a un moment où plus personne ne bouge, tout le monde oublie de respirer. Et puis ça repart dans un hoquet collectif. La jeune femme relève la tête vers lui et il croit entendre ses dents s’entrechoquer. Pas étonnant, à une telle proximité, le choc était inévitable. Mais il s’inquiète pas pour lui. « Oh merde, ça va ? J’suis désolé c’est d’ma faute ! ». Il sait pas trop quoi faire de ses mains, il sait pas trop quoi faire tout court. Alors il se met à rire. « J’crois qu’on est bon pour finir à l’infirmerie tous les deux ... ». Il se relève sur ses deux guibolles, aidant la jeune fille à faire de même. Puis il remarque le dossier qu’elle garde précieusement contre elle. « Oh tu dois peut-être aller quelque part ? Tu veux que j’t’accompagne ? C’est la moindre des choses après c’que je t’ai fait … ».
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Le grand benêt, il est tellement dans son monde qu’il en oublie le reste. Il en oublie que ses grandes jambes sont collés au sol, dans un autre univers, avec des gens, le temps qui avance tandis que sa tête, à l’abri dans sa petite bulle, est à des années lumières, loin, très loin. Trop loin pour les autres. Étourdi, maladroit. Ça n’aide pas vraiment la grande asperge qu’il est. Il est tellement heureux de ne plus avoir de caméras autour de lui, qui le suivent H24 pour capturer le moindre de ses mouvements ou plutôt, de ses gamelles. Parce que des gamelles, il en a eu. Tellement qu’on les retrouve toutes dans une vidéo de cinq minutes. Oui, cinq minutes de bleus, de bosses, de petites frayeurs, de rencontres un peu trop personnelles avec le sol ou une porte. Alors là, il est content que personne ne soit là, qu’il soit tout seul pour admirer le carnage. Enfin ça, c’est dans sa bulle. Parce que quand la bulle éclate, y’a cette petite lueur derrière lui, ces deux grands yeux, cette petite tête brune dans ce pull noir un peu trop grand. Il est pas tout seul non. Mais il a tellement mal qu’il s’en fiche pas mal d’avoir été vu. Il s’en veut juste un peu d’avoir proférer autant de jurons devant une fille. « Je … je suis désolé je – ». Il a pas le temps d’en dire davantage que la demoiselle se trouve à ses côtés, tout près de lui, sa grande main dans celle de la jeune fille. Ca le ferait presque rire de voir qu’il pourrait enfermer ses petits doigts dans le creux de sa paume. Elle est toute petite, qu’il se dit le géant, sans penser l’ombre d’une seconde que c’est lui qui est trop grand. Et puis y’a un moment où plus personne ne bouge, tout le monde oublie de respirer. Et puis ça repart dans un hoquet collectif. La jeune femme relève la tête vers lui et il croit entendre ses dents s’entrechoquer. Pas étonnant, à une telle proximité, le choc était inévitable. Mais il s’inquiète pas pour lui. « Oh merde, ça va ? J’suis désolé c’est d’ma faute ! ». Il sait pas trop quoi faire de ses mains, il sait pas trop quoi faire tout court. Alors il se met à rire. « J’crois qu’on est bon pour finir à l’infirmerie tous les deux ... ». Il se relève sur ses deux guibolles, aidant la jeune fille à faire de même. Puis il remarque le dossier qu’elle garde précieusement contre elle. « Oh tu dois peut-être aller quelque part ? Tu veux que j’t’accompagne ? C’est la moindre des choses après c’que je t’ai fait … ».
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Re: the sunny girl & the clumsy giant | Ven 24 Mar - 11:46
Pendant un instant tout était figé, ils étaient là, à se regarder dans le blanc des yeux, et l'instant d'après tout explose pour laisser place à leur maladresse commune. Oh, ils sont beaux la ua milieu du couloir à exploser de rire. Rin attrape la main en question pour s'aider à se relever et fait de grand yeux en mesurant le nombre de centimètres en plus que le garçon à, par rapport à sa toute petite taille. « On est vraiment pas doués ! » D'un geste nerveux, rin remet une de ses mèches en place, sentant le rouge sur ses joues malgré toute l'extravagance dont elle peut faire preuve dans certaines situations. Discrètement, elle vérifie son dossier avant de relever la tête vers le garçon en rigolant « Oh euh, ouais! enfin non tu as rien fait voyons ! Je doit aller m'inscrire. » La jeune recule d'un petit pas et regarde à droite, puis à gauche, fait la moue puis finis par regarder le garçon à nouveau avec une mine toute désolée « J'avoue je veux bien que tu m'aides à trouver le bureau de yeo raon... je me suis encore paumée, je sais pas comment je vais faire si je suis prise c'est dingue c'est beaucoup trop grand ! » Et la voila qui s'exprime à nouveau avec ses petits bras et ses grands yeux, familière et enfantine qu'elle est. Puis comme si elle s'en était rendu compte, elle rapproche un peu ses deux pieds, se tiens un peu mieux et racle sa gorge en mode non-t'as-rien-vu. « ça va ton doigt ? il faut aller le soigner de toute façon! »
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rin & junho
Pendant un instant tout était figé, ils étaient là, à se regarder dans le blanc des yeux, et l'instant d'après tout explose pour laisser place à leur maladresse commune. Oh, ils sont beaux la ua milieu du couloir à exploser de rire. Rin attrape la main en question pour s'aider à se relever et fait de grand yeux en mesurant le nombre de centimètres en plus que le garçon à, par rapport à sa toute petite taille. « On est vraiment pas doués ! » D'un geste nerveux, rin remet une de ses mèches en place, sentant le rouge sur ses joues malgré toute l'extravagance dont elle peut faire preuve dans certaines situations. Discrètement, elle vérifie son dossier avant de relever la tête vers le garçon en rigolant « Oh euh, ouais! enfin non tu as rien fait voyons ! Je doit aller m'inscrire. » La jeune recule d'un petit pas et regarde à droite, puis à gauche, fait la moue puis finis par regarder le garçon à nouveau avec une mine toute désolée « J'avoue je veux bien que tu m'aides à trouver le bureau de yeo raon... je me suis encore paumée, je sais pas comment je vais faire si je suis prise c'est dingue c'est beaucoup trop grand ! » Et la voila qui s'exprime à nouveau avec ses petits bras et ses grands yeux, familière et enfantine qu'elle est. Puis comme si elle s'en était rendu compte, elle rapproche un peu ses deux pieds, se tiens un peu mieux et racle sa gorge en mode non-t'as-rien-vu. « ça va ton doigt ? il faut aller le soigner de toute façon! »Invité
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Re: the sunny girl & the clumsy giant | Mer 29 Mar - 11:18
Et il rigole le grand benêt parce que c’est vrai, ils ont l’air ridicule à rester là, au beau milieu du couloir, leurs iris disparaissant dans les éclats de rire. « Si mes parents avaient dû m’appeler autrement, je pense qu’ils auraient choisi maladroit », qu’il avoue à la jeune fille. Il a toujours été comme ça lui, à s’emmêler les pieds dans tout et n’importe quoi, surtout dans tout, y compris ses propres pieds. Il a pas besoin de quelqu’un d’autre, des blagues de ses frères pour se retrouver parterre ou se retrouver avec des bleus partout. C’est ce qui fait son charme qu’on lui répète souvent. Sa mère elle, se demande toujours pourquoi elle l’a fait si grand s’il est pas capable de marcher sans se manger une porte. Si elle avait été là, elle aurait probablement soupiré, lasse de voir son grand garçon finir avec le doigt bleu. Et elle lui aurait aussi tiré l’oreille pour avoir juré devant une demoiselle.
« J’suis vraiment désolé, j’avais pas vu que t’étais là … sinon j’aurai pas dit autant de gros mots ». Il se gratte la nuque, le rouge teint ses joues. Il s’excuse mais il peut pas la laisser comme ça la petite, toute seule dans ces grands couloirs où lui aussi s’est perdu tant de fois (et continue à se perdre). Mais ce qu’elle cherche, il sait où le trouver parce qu’il a fait le chemin jusqu’à ce bureau il y a quelques jours. Retour à la vie université oblige, l’armée c’est fini ! « C’est pas pour te décourager mais ça fait trois ans que j’suis là et j’me perds encore pour aller à la bibliothèque … mais comme t’as pu le voir, j’suis pas vraiment un exemple pour ce genre de chose. Et pour d’autres choses », qu’il dit de son immense sourire. « Mais je sais où est le bureau, j’t’y emmène ! ». Et il invite à la suivre en oubliant les pulsations de son pouce qui hurle à la douleur. Mais il a connu pire. Vraiment pire. « T’en fais pas, je survivrai. Au pire, il me reste encore neuf doigts ! ». Mais en vrai, il aimerait bien garder les dix. Mais c’est pas grave, ça peut attendre. Il aura un gros bleu, un bandage histoire de s’assurer qu’il se cognera pas encore une fois au même endroit et ça ira. Il a connu pire.
« Première année alors ? Tu t’inscris en quoi ? ». Et il est curieux Junho, il l’a toujours été. On oublie parfois qu’avec son mètre quatre-vingt-neuf, ça reste un môme.
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rin & junho
Et il rigole le grand benêt parce que c’est vrai, ils ont l’air ridicule à rester là, au beau milieu du couloir, leurs iris disparaissant dans les éclats de rire. « Si mes parents avaient dû m’appeler autrement, je pense qu’ils auraient choisi maladroit », qu’il avoue à la jeune fille. Il a toujours été comme ça lui, à s’emmêler les pieds dans tout et n’importe quoi, surtout dans tout, y compris ses propres pieds. Il a pas besoin de quelqu’un d’autre, des blagues de ses frères pour se retrouver parterre ou se retrouver avec des bleus partout. C’est ce qui fait son charme qu’on lui répète souvent. Sa mère elle, se demande toujours pourquoi elle l’a fait si grand s’il est pas capable de marcher sans se manger une porte. Si elle avait été là, elle aurait probablement soupiré, lasse de voir son grand garçon finir avec le doigt bleu. Et elle lui aurait aussi tiré l’oreille pour avoir juré devant une demoiselle. « J’suis vraiment désolé, j’avais pas vu que t’étais là … sinon j’aurai pas dit autant de gros mots ». Il se gratte la nuque, le rouge teint ses joues. Il s’excuse mais il peut pas la laisser comme ça la petite, toute seule dans ces grands couloirs où lui aussi s’est perdu tant de fois (et continue à se perdre). Mais ce qu’elle cherche, il sait où le trouver parce qu’il a fait le chemin jusqu’à ce bureau il y a quelques jours. Retour à la vie université oblige, l’armée c’est fini ! « C’est pas pour te décourager mais ça fait trois ans que j’suis là et j’me perds encore pour aller à la bibliothèque … mais comme t’as pu le voir, j’suis pas vraiment un exemple pour ce genre de chose. Et pour d’autres choses », qu’il dit de son immense sourire. « Mais je sais où est le bureau, j’t’y emmène ! ». Et il invite à la suivre en oubliant les pulsations de son pouce qui hurle à la douleur. Mais il a connu pire. Vraiment pire. « T’en fais pas, je survivrai. Au pire, il me reste encore neuf doigts ! ». Mais en vrai, il aimerait bien garder les dix. Mais c’est pas grave, ça peut attendre. Il aura un gros bleu, un bandage histoire de s’assurer qu’il se cognera pas encore une fois au même endroit et ça ira. Il a connu pire.
« Première année alors ? Tu t’inscris en quoi ? ». Et il est curieux Junho, il l’a toujours été. On oublie parfois qu’avec son mètre quatre-vingt-neuf, ça reste un môme.
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Re: the sunny girl & the clumsy giant | Mar 25 Avr - 18:56
Elle rigole à sa remarque la jeune, les joues un peu teintées de roses. Elle remarque son joli nez et la lueur dans ses yeux, son beau sourire puis le rouge sur sa peau. « c'est pas si grave que ça d'être maladroit! y'as pire comme défaut hé... » Elle aurait pu lui fair eune liste des jolies qualités qu'il possède mais elle serait passée pour une folle alors elle s'est bien retenue de le faire. ils finissent par bouger dans les couloirs tout en discutant, rin qui lève la tête vers le grand géant de temps en temps, mais regarde pas mal à travers les grandes fenêtres de l'université « tu sais j'suis un vrai buldozer alors les jurons ...! » qu'elle dit en pouffant de rire. ça se voit de toute façon, rin à reçu une belle éducation mais son frère s'exaspère encore de sa façon de parler ou de se tenir. trop hyperactive, trop pleine d'énergie, pas souvent dans la retenue. Voyez-vous-même, elle qui triture ses manches pour essayer de tenir en place et qui essais de ne marcher que sur les dalles noires et pas les blanches. Ils discutent et marchent en même temps, tentent de ne pas se perdre tout les deux. rin relève le nez avec grand sourire vers lui, les étoiles dans les yeux. « je m'inscrit en staps ! y'as que dans ça que je suis vraiment douée et puis j'adore le sport. Le reste ça m'intéresses pas trop... » Elle sautille un peu sur place, les mains derrière son dos avec son classeur calée sous son bras, et regarde autour d'elle avec curiosité. « et toi alors, qu'est-ce que tu fais comme études ? » là encore, elle s'est retenue de dire "comme t'es plus à l'armée et que empty... voilà...", en se mordant l'intérieur de la joue. tais-toi, rin, tais-toi!
Par on ne sait quel miracle, ils arrivent au bureau de raon qu'elle reconnais enfin, et elle ne laisse pas le temps à junho de lui répondre avant de dire « Ahhh! tu as trouvé ! bien joué oppa ! » Et voilà le retour de la rin familière... Elle trottine jusqu'à la porte, se met sur la pointe des pieds pour vérifier qu'il n'y ai personne ne regardant par la toute petite fenêtre, se tourne vers junho en le pointant du doigt « je donne ça à mon frère j'en ai pour quatre secondes et après on va à l'infirmerie, d'accord ? je t'accompagne ! » elle hoche la tête comme pour les convaincre tout les deux puis ouvre la porte en trombe et entre dans le bureau en beuglant « oppaaaa! j'ai mon dossier t'as vu je suis venue ! je peux pas rester je doit accompagner byun jun ho à l'infirmerie ! elle sautille sur place et mime à son frère, dos à jun ho pour pas qu'il la voit byun jun ho! empty! le leader! opppaaaaaaaa! puis reprend sur un ton normal je t'attend après tu me ramènes en rentrant ? » Elle fait le tour du bureau de son frère comme si ils étaient à la maison et claque un bisous sur sa joue avant de ressortir aussi vite qu'elle était rentrée, ignorant tel une diva les jurons et les plaintes de son grand frère, refermant la porte derrière elle en faisant un grand sourire malicieux à jun ho « il m'adore, même s'il râle... on y va ? Du coup pardon! tu fais quoi toi comme études ? »
the sunny girl & the clumsy giant
rin & junho
Elle rigole à sa remarque la jeune, les joues un peu teintées de roses. Elle remarque son joli nez et la lueur dans ses yeux, son beau sourire puis le rouge sur sa peau. « c'est pas si grave que ça d'être maladroit! y'as pire comme défaut hé... » Elle aurait pu lui fair eune liste des jolies qualités qu'il possède mais elle serait passée pour une folle alors elle s'est bien retenue de le faire. ils finissent par bouger dans les couloirs tout en discutant, rin qui lève la tête vers le grand géant de temps en temps, mais regarde pas mal à travers les grandes fenêtres de l'université « tu sais j'suis un vrai buldozer alors les jurons ...! » qu'elle dit en pouffant de rire. ça se voit de toute façon, rin à reçu une belle éducation mais son frère s'exaspère encore de sa façon de parler ou de se tenir. trop hyperactive, trop pleine d'énergie, pas souvent dans la retenue. Voyez-vous-même, elle qui triture ses manches pour essayer de tenir en place et qui essais de ne marcher que sur les dalles noires et pas les blanches. Ils discutent et marchent en même temps, tentent de ne pas se perdre tout les deux. rin relève le nez avec grand sourire vers lui, les étoiles dans les yeux. « je m'inscrit en staps ! y'as que dans ça que je suis vraiment douée et puis j'adore le sport. Le reste ça m'intéresses pas trop... » Elle sautille un peu sur place, les mains derrière son dos avec son classeur calée sous son bras, et regarde autour d'elle avec curiosité. « et toi alors, qu'est-ce que tu fais comme études ? » là encore, elle s'est retenue de dire "comme t'es plus à l'armée et que empty... voilà...", en se mordant l'intérieur de la joue. tais-toi, rin, tais-toi!Par on ne sait quel miracle, ils arrivent au bureau de raon qu'elle reconnais enfin, et elle ne laisse pas le temps à junho de lui répondre avant de dire « Ahhh! tu as trouvé ! bien joué oppa ! » Et voilà le retour de la rin familière... Elle trottine jusqu'à la porte, se met sur la pointe des pieds pour vérifier qu'il n'y ai personne ne regardant par la toute petite fenêtre, se tourne vers junho en le pointant du doigt « je donne ça à mon frère j'en ai pour quatre secondes et après on va à l'infirmerie, d'accord ? je t'accompagne ! » elle hoche la tête comme pour les convaincre tout les deux puis ouvre la porte en trombe et entre dans le bureau en beuglant « oppaaaa! j'ai mon dossier t'as vu je suis venue ! je peux pas rester je doit accompagner byun jun ho à l'infirmerie ! elle sautille sur place et mime à son frère, dos à jun ho pour pas qu'il la voit byun jun ho! empty! le leader! opppaaaaaaaa! puis reprend sur un ton normal je t'attend après tu me ramènes en rentrant ? » Elle fait le tour du bureau de son frère comme si ils étaient à la maison et claque un bisous sur sa joue avant de ressortir aussi vite qu'elle était rentrée, ignorant tel une diva les jurons et les plaintes de son grand frère, refermant la porte derrière elle en faisant un grand sourire malicieux à jun ho « il m'adore, même s'il râle... on y va ? Du coup pardon! tu fais quoi toi comme études ? »
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Re: the sunny girl & the clumsy giant | Dim 30 Avr - 18:30
Il peut pas s’empêcher d’écarquiller les yeux grands comme deux bols de riz quand la jeune femme se compare à une bulldozer. C’est vrai quoi, elle est toute petite, toute menue et elle a l’air vraiment trop mignonne. Il est persuadé que s’il éternue trop fort, il l’enverra à l’autre bout du couloir (bon peut-être pas non plus mais Junho a l’imagination un peu trop florissante). Il l’imagine encore moins déverser des flots d’injures, le grand benêt, il est sûr qu’il peut voir des étoiles et des pâquerettes sortir de sa bouche à chaque fois qu’elle parle. Mais les apparences sont trompeuses, Junho le sait. Lui, il a l’air d’une armoire à glace alors qu’en fait, c’est juste une grande asperge maladroite avec le sourire soleil. Alors peut-être qu’elle en cache des choses dans son petit corps. Et puis quand elle lui parle de ses études, il se demande si c’est possible d’avoir les yeux qui s’ouvrent encore plus. « T’aimes quoi comme sport ? Attends, laisse-moi deviner ! ». Il la regarde un temps avant de déclarer : « L’athlétisme ? J’te vois bien en athlétisme ». Lui c’est pas difficile de savoir quel club il a rejoint. Suffit de lever les yeux vers lui. « J’suis en arts et spectacles, option théâtre mais j’retape ma troisième année ». Sa descente aux enfers puis l’armée l’ont poussé à laisser ses études de côté pour un moment mais il a promis à ses parents qu’il tiendrait bon jusqu’à son diplôme. Il aime ce qu’il fait mais il est pas fait pour les études. Mais il est pas sûre qu’elle l’est entendu, elle a l’air trop prise par ce qui se passe tout autour d’eux.
Les deux arrivent finalement à destination et sans aucun autre dégât. Le mot « oppa » l’a toujours fait rire alors quand la jeune fille le prononce, il rigole à nouveau. « Je t’avais dit que je retrouverai le chemin ! ». Content d’avoir accompli sa mission, il s’apprête à lui dire au revoir quand elle lui demande de l’attendre. Il a même pas le temps de riposter, de lui dire qu’elle a pas besoin de faire ça pour lui qu’elle a déjà disparu derrière la porte comme une tornade. Alors il reste là, se balançant d’avant en arrière sur ses pieds. Mais y’a un truc qui lui échappe pas, malgré la porte fermée, c’est que la petite, elle connait son prénom. Pourtant, il est sûr qu’il lui a jamais dit. Du moins pas aujourd’hui. Est-ce qu’il l’a déjà rencontré ? Peut-être, il en a croisé des gens dans sa vie. Alors quand elle ressort après avoir déposé son dossier à son frère, il peut pas s’empêcher d’afficher une mine curieuse. Et puis comme il a aucun filtre, la question sort toute seule : « Comment tu connais mon prénom ? J’me souviens pas te l’avoir dit tout à l’heure ni t’avoir rencontré avant. Enfin peut-être que c’est ça mais j’en ai pas souvenir … ». Puis ça lui arrive comme s’il venait d’être frappé par la foudre. Il s’arrête dans son avancée pour se planter face à elle, la banane aux lèvres : « Tu serais pas une fan des EMPTY ? ».
the sunny girl & the clumsy giant
rin & junho
Il peut pas s’empêcher d’écarquiller les yeux grands comme deux bols de riz quand la jeune femme se compare à une bulldozer. C’est vrai quoi, elle est toute petite, toute menue et elle a l’air vraiment trop mignonne. Il est persuadé que s’il éternue trop fort, il l’enverra à l’autre bout du couloir (bon peut-être pas non plus mais Junho a l’imagination un peu trop florissante). Il l’imagine encore moins déverser des flots d’injures, le grand benêt, il est sûr qu’il peut voir des étoiles et des pâquerettes sortir de sa bouche à chaque fois qu’elle parle. Mais les apparences sont trompeuses, Junho le sait. Lui, il a l’air d’une armoire à glace alors qu’en fait, c’est juste une grande asperge maladroite avec le sourire soleil. Alors peut-être qu’elle en cache des choses dans son petit corps. Et puis quand elle lui parle de ses études, il se demande si c’est possible d’avoir les yeux qui s’ouvrent encore plus. « T’aimes quoi comme sport ? Attends, laisse-moi deviner ! ». Il la regarde un temps avant de déclarer : « L’athlétisme ? J’te vois bien en athlétisme ». Lui c’est pas difficile de savoir quel club il a rejoint. Suffit de lever les yeux vers lui. « J’suis en arts et spectacles, option théâtre mais j’retape ma troisième année ». Sa descente aux enfers puis l’armée l’ont poussé à laisser ses études de côté pour un moment mais il a promis à ses parents qu’il tiendrait bon jusqu’à son diplôme. Il aime ce qu’il fait mais il est pas fait pour les études. Mais il est pas sûre qu’elle l’est entendu, elle a l’air trop prise par ce qui se passe tout autour d’eux.Les deux arrivent finalement à destination et sans aucun autre dégât. Le mot « oppa » l’a toujours fait rire alors quand la jeune fille le prononce, il rigole à nouveau. « Je t’avais dit que je retrouverai le chemin ! ». Content d’avoir accompli sa mission, il s’apprête à lui dire au revoir quand elle lui demande de l’attendre. Il a même pas le temps de riposter, de lui dire qu’elle a pas besoin de faire ça pour lui qu’elle a déjà disparu derrière la porte comme une tornade. Alors il reste là, se balançant d’avant en arrière sur ses pieds. Mais y’a un truc qui lui échappe pas, malgré la porte fermée, c’est que la petite, elle connait son prénom. Pourtant, il est sûr qu’il lui a jamais dit. Du moins pas aujourd’hui. Est-ce qu’il l’a déjà rencontré ? Peut-être, il en a croisé des gens dans sa vie. Alors quand elle ressort après avoir déposé son dossier à son frère, il peut pas s’empêcher d’afficher une mine curieuse. Et puis comme il a aucun filtre, la question sort toute seule : « Comment tu connais mon prénom ? J’me souviens pas te l’avoir dit tout à l’heure ni t’avoir rencontré avant. Enfin peut-être que c’est ça mais j’en ai pas souvenir … ». Puis ça lui arrive comme s’il venait d’être frappé par la foudre. Il s’arrête dans son avancée pour se planter face à elle, la banane aux lèvres : « Tu serais pas une fan des EMPTY ? ».
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Re: the sunny girl & the clumsy giant | Lun 15 Mai - 12:34
Rin, c’est un peu comme un chien. Elle est incapable de se concentrer plus de cinq minutes sur la même chose, écoute tout ce qui se passe autour d’elle et change de sujet en une fraction de secondes. en plus de son hyper-activité, c’est sur qu’elle à aussi des troubles de l’intention. Mais quand on parle de sport, rin est là pour afficher un énorme sourire et sautiller sur place, trop contente. « comment t’as deviné ??? oui je suis en athlétisme, enfin c’est ma spécialité. d’ailleurs je me suis inscrite dans le club de natation et tir à l’arc, mais j’ai vu que quelqu’un voulait monter un club d’athlétisme, je vais devoir en quitter un des deux pour pouvoir m’inscrire! »
Puis s’en suis le carnage qu’est la petite dernière Yeo dans le bureau de son frère, avant que rin ne croise le regard curieux de jun ho, qui la fait directement rougir. Il la regarde, elle, droit dans les yeux. Instinctivement, elle baisse un peu la tête en relevant ses grands yeux pleins d’étoiles et d’innocence vers lui comme si elle allait se faire gronder. pas grondée non, mais grillée ça c’est sur ! Au nom de EMPTY, elle ouvre un peu plus grand ses yeux avec surprise et plaque ses deux mains sur sa bouche, bouge d’un pied à l’autre avant de faire un petit bond vers lui avec des grands gestes. « oui j’avoue tou! je sais qui tu es et je connais EMPTY… si tu savais ce que j’ai fait pour venir à vos concerts! vous étiez super! et cette classe sur scène oppa… » alors elle repose sa main sur sa bouche, rigole un peu avant de se balancer de gauche à droite, le rouge aux joues. « je t’admire, jun ho-oppa »
the sunny girl & the clumsy giant
rin & junho
Rin, c’est un peu comme un chien. Elle est incapable de se concentrer plus de cinq minutes sur la même chose, écoute tout ce qui se passe autour d’elle et change de sujet en une fraction de secondes. en plus de son hyper-activité, c’est sur qu’elle à aussi des troubles de l’intention. Mais quand on parle de sport, rin est là pour afficher un énorme sourire et sautiller sur place, trop contente. « comment t’as deviné ??? oui je suis en athlétisme, enfin c’est ma spécialité. d’ailleurs je me suis inscrite dans le club de natation et tir à l’arc, mais j’ai vu que quelqu’un voulait monter un club d’athlétisme, je vais devoir en quitter un des deux pour pouvoir m’inscrire! » Puis s’en suis le carnage qu’est la petite dernière Yeo dans le bureau de son frère, avant que rin ne croise le regard curieux de jun ho, qui la fait directement rougir. Il la regarde, elle, droit dans les yeux. Instinctivement, elle baisse un peu la tête en relevant ses grands yeux pleins d’étoiles et d’innocence vers lui comme si elle allait se faire gronder. pas grondée non, mais grillée ça c’est sur ! Au nom de EMPTY, elle ouvre un peu plus grand ses yeux avec surprise et plaque ses deux mains sur sa bouche, bouge d’un pied à l’autre avant de faire un petit bond vers lui avec des grands gestes. « oui j’avoue tou! je sais qui tu es et je connais EMPTY… si tu savais ce que j’ai fait pour venir à vos concerts! vous étiez super! et cette classe sur scène oppa… » alors elle repose sa main sur sa bouche, rigole un peu avant de se balancer de gauche à droite, le rouge aux joues. « je t’admire, jun ho-oppa »
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Re: the sunny girl & the clumsy giant | Dim 21 Mai - 9:29
Junho lui, il était toujours content de rencontrer des fans, de prendre des photos avec ou de leur signer des autographes. C’était dans sa nature de bon vivant, de garçon bien élevé pour rendre fier ses parents. Même si humble, ça le faisait toujours un peu rougir quand on le sollicitait, qu’on lui rappelait qu’il était plus le petit gars de la campagne, mais un jeune homme dont le visage a été de nombreuses fois affiché sur d’immenses panneaux ou magazines. Il a l’habitude qu’on le reconnaisse dans la rue mais c’est pas pour autant que c’est plus facile maintenant. Avec le temps, on l’avait un peu oublié, lui qui était parti à l’armée mais ça met de la joie dans son petit palpitant de voir qu’on se souvient toujours de lui, ça lui rappelle les bons moments passés avec les autres. Et le voilà qu’il rigole fort le grand bonhomme, heureux d’entendre la jeune fille lui parler de tout ça, rigole aussi un peu de gêne quand elle l’appelle oppa. « Ça m’fait plaisir de voir que y’a encore des gens qui nous suivent ». main sur la nuque, il a ce tic qui revient à chaque fois qu’il sait plus où cacher son mètre quatre-vingt-dix. Et puis, il se dit que malgré les emmerdes, Rin fait partie de celle qui lui en tiendront jamais rigueur. « Désolé d’avoir tout quitté du jour au lendemain … ». Parce que c’est un peu de sa faute si le groupe s’est finit. Mais il est perdu entre le sentiment d’avoir fait ce qu’il fallait et les remords. Il oublie ça et aborde ce sourire trop grand, même pour lui. « Alors c’était qui ton préféré ? Attends, je devine. J’ai réussi une fois alors … Hiro ? Ou Akira ? L’un des deux en tout cas ! ». Le revoilà plongé dans ses années sur le devant de la scène, avec son autre famille.
the sunny girl & the clumsy giant
rin & junho
Junho lui, il était toujours content de rencontrer des fans, de prendre des photos avec ou de leur signer des autographes. C’était dans sa nature de bon vivant, de garçon bien élevé pour rendre fier ses parents. Même si humble, ça le faisait toujours un peu rougir quand on le sollicitait, qu’on lui rappelait qu’il était plus le petit gars de la campagne, mais un jeune homme dont le visage a été de nombreuses fois affiché sur d’immenses panneaux ou magazines. Il a l’habitude qu’on le reconnaisse dans la rue mais c’est pas pour autant que c’est plus facile maintenant. Avec le temps, on l’avait un peu oublié, lui qui était parti à l’armée mais ça met de la joie dans son petit palpitant de voir qu’on se souvient toujours de lui, ça lui rappelle les bons moments passés avec les autres. Et le voilà qu’il rigole fort le grand bonhomme, heureux d’entendre la jeune fille lui parler de tout ça, rigole aussi un peu de gêne quand elle l’appelle oppa. « Ça m’fait plaisir de voir que y’a encore des gens qui nous suivent ». main sur la nuque, il a ce tic qui revient à chaque fois qu’il sait plus où cacher son mètre quatre-vingt-dix. Et puis, il se dit que malgré les emmerdes, Rin fait partie de celle qui lui en tiendront jamais rigueur. « Désolé d’avoir tout quitté du jour au lendemain … ». Parce que c’est un peu de sa faute si le groupe s’est finit. Mais il est perdu entre le sentiment d’avoir fait ce qu’il fallait et les remords. Il oublie ça et aborde ce sourire trop grand, même pour lui. « Alors c’était qui ton préféré ? Attends, je devine. J’ai réussi une fois alors … Hiro ? Ou Akira ? L’un des deux en tout cas ! ». Le revoilà plongé dans ses années sur le devant de la scène, avec son autre famille. Contenu sponsorisé