Quando la donna vuole, il diavolo l'aiuta || KEEKUEN
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Quando la donna vuole, il diavolo l'aiuta || KEEKUEN | Lun 13 Fév - 13:11 Citer EditerSupprimer
♦♦♦ l'Italie lui manquait. beaucoup, beaucoup trop. elle n'avait pas envie de craquer dès maintenant et abandonner tout ce qu'elle avait prévu, elle n'avait pas envie de laisser gagner son père, en aucun cas. alors elle n'allait pas rentrer tout de suite, elle allait se battre et récupérer ce qui lui revenait de droit, à présent. mais le pays chaud lui manquait vraiment et elle trouva une bonne excuse pour une soirée là-bas. elle pouvait partir maintenant et revenir demain matin. c'était tout à fait envisageable, pourtant elle hésitait encore la jeune femme, parce qu'elle avait peur de ne pas prendre le billet du retour ; et ça aurait été problématique. surtout qu'elle avait dit à jae in qu'elle passerait le lendemain à la boite.
kee young ne savait plus,
plus du tout ce qu'elle devait faire.
partagée entre le désir d'y retourner et d'y rester et celui de revenir après une nuit. en tout cas, elle était persuadée que seule ; elle n'y arriverait pas. assurément. alors la solution lui semblait claire, elle devait y aller avec quelqu'un qui ne lui ferait pas rater l'avion du lendemain. et puis, elle s'engageait à payer le billet ... qui refuserait une escapade ? elle savait que n'importe quel jaune dirait oui, vu leur sens aiguë de l'aventure. hors, il est vrai qu'à l'heure actuelle, son entourage était plus fermé que par le passé. il y a pleins de personne qu'elle n'osait pas encore voir, à nouveau. parce qu'elle était partie longtemps et qu'elle se disait qu'on avait du la remplacer.
hors, chez les loups, il y avait une fille à qui elle tenait plus que tout. et qui la suivrait sans poser de question. surtout si elle lui promettait une virée shopping à Milan avec un budget presque illimité. ainsi, elle se dirigea vers la chambre de son amie et y entra sans plus de cérémonie ((et c'était bien la seule avec qui elle se permettait d'agir ainsi)). ouvrant sa page de réservation, la neugdae adressait une immense sourire à son amie la plus porche. « une nuit à Milan, ça te tente ? » et elle restait là, avec ses lèvres tirées et son immense fierté à l'inviter dans cette ville de rêve pour une future styliste. elle attendait un oui, pour préparer sa valise et lui expliquer le pourquoi du comment.
kee young ne savait plus,
plus du tout ce qu'elle devait faire.
partagée entre le désir d'y retourner et d'y rester et celui de revenir après une nuit. en tout cas, elle était persuadée que seule ; elle n'y arriverait pas. assurément. alors la solution lui semblait claire, elle devait y aller avec quelqu'un qui ne lui ferait pas rater l'avion du lendemain. et puis, elle s'engageait à payer le billet ... qui refuserait une escapade ? elle savait que n'importe quel jaune dirait oui, vu leur sens aiguë de l'aventure. hors, il est vrai qu'à l'heure actuelle, son entourage était plus fermé que par le passé. il y a pleins de personne qu'elle n'osait pas encore voir, à nouveau. parce qu'elle était partie longtemps et qu'elle se disait qu'on avait du la remplacer.
hors, chez les loups, il y avait une fille à qui elle tenait plus que tout. et qui la suivrait sans poser de question. surtout si elle lui promettait une virée shopping à Milan avec un budget presque illimité. ainsi, elle se dirigea vers la chambre de son amie et y entra sans plus de cérémonie ((et c'était bien la seule avec qui elle se permettait d'agir ainsi)). ouvrant sa page de réservation, la neugdae adressait une immense sourire à son amie la plus porche. « une nuit à Milan, ça te tente ? » et elle restait là, avec ses lèvres tirées et son immense fierté à l'inviter dans cette ville de rêve pour une future styliste. elle attendait un oui, pour préparer sa valise et lui expliquer le pourquoi du comment.
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Re: Quando la donna vuole, il diavolo l'aiuta || KEEKUEN | Lun 13 Fév - 14:23 Citer EditerSupprimer
♦♦♦ Mari-Kuen était en plein processus de création. Son atelier officiel était sa chambre, dans l'appartement familial, mais elle avait aussi aménagé une petite part de sa chambre chez les neugdae. Et puis ses colocataires ne pouvaient pas se plaindre, ils cohabitaient avec une future grande artiste, ils pourraient s'en vanter dans le futur, ça avait un prix ! Elle écoutait les Brown Eyed Girls, Wave à tue-tête, et arrangeait sa dernière œuvre d'art. Une belle robe, blanche, très longue, incrustée de perles. Qui avait coûté cher, oh combien cher. Mais elle était pour quelqu'un. C'était une commande, parce que oui, Mari-Kuen commençait à recevoir des commandes, rien que ça. L'avantage d'être dans une université de bourges aka la Yonsei.
Elle essayait de se faire un nom. Ce n'était pas chose facile, il y avait énormément de concurrence, puis surtout, elle n'avait pas l'argent de participer à certains événements, d'avoir des sièges au premier rang aux défilés, de participer à la fashion week en étant parmi les invités d'honneur. Puis elle devait s'occuper de son père, ramener de l'argent à la maison pour qu'ils puissent vivre convenablement, car il n'était pas toujours en état de travailler. Sa vie n'était pas aussi rose qu'on pourrait le croire. Et dire qu'il y a à peine huit ans, ils habitaient dans une maison aux allures de palais et l'argent n'était pas même un sujet de discussion. Que la vie pouvait être cruelle, parfois. D'ailleurs, à cette époque, tout le monde l'avait lâchée. Plus d'amis, plus rien. … Mais Kee Young était restée. La seule, à être restée. Elle avait cherché sa nouvelle adresse, était venue lui rendre visite régulièrement, lui avait proposé souvent de sortir ensemble et... Huit ans plus tard, elles sont toujours aussi inséparables. Sûrement était-elle celle qui la connaissait le mieux, et devant laquelle elle ne faisait aucun faux-semblant. Ou alors, elle la perçait à jour. Impossible de lui cacher quoi que ce soit.
Alors même si elle était en train de travailler, elle laissa ce qu'elle avait à faire pour reporter son attention sur elle dès qu'elle entra. « … T'es sérieuse ?! Une nuit à Milan ? TOUS FRAIS PAYES EN PLUS ?! Fuck la robe, je m'en occuperai après. » Elle lança un baiser volant vers le tissu qu'elle avait dans les mains – parce que ses créations étaient ses bébés, et qu'elle venait de lui dire fuck, mais son but n'était pas de la vexer alors, autant éclaircir la situation dès maintenant... oui, elle leur parlait comme à des êtres humains, no comment – avant de l'étendre consciencieusement sur le lit puis de sauter sur Kee Young. « ON Y VA ! ALLEZ ! TOUT DE SUITE ! »
Elle essayait de se faire un nom. Ce n'était pas chose facile, il y avait énormément de concurrence, puis surtout, elle n'avait pas l'argent de participer à certains événements, d'avoir des sièges au premier rang aux défilés, de participer à la fashion week en étant parmi les invités d'honneur. Puis elle devait s'occuper de son père, ramener de l'argent à la maison pour qu'ils puissent vivre convenablement, car il n'était pas toujours en état de travailler. Sa vie n'était pas aussi rose qu'on pourrait le croire. Et dire qu'il y a à peine huit ans, ils habitaient dans une maison aux allures de palais et l'argent n'était pas même un sujet de discussion. Que la vie pouvait être cruelle, parfois. D'ailleurs, à cette époque, tout le monde l'avait lâchée. Plus d'amis, plus rien. … Mais Kee Young était restée. La seule, à être restée. Elle avait cherché sa nouvelle adresse, était venue lui rendre visite régulièrement, lui avait proposé souvent de sortir ensemble et... Huit ans plus tard, elles sont toujours aussi inséparables. Sûrement était-elle celle qui la connaissait le mieux, et devant laquelle elle ne faisait aucun faux-semblant. Ou alors, elle la perçait à jour. Impossible de lui cacher quoi que ce soit.
Alors même si elle était en train de travailler, elle laissa ce qu'elle avait à faire pour reporter son attention sur elle dès qu'elle entra. « … T'es sérieuse ?! Une nuit à Milan ? TOUS FRAIS PAYES EN PLUS ?! Fuck la robe, je m'en occuperai après. » Elle lança un baiser volant vers le tissu qu'elle avait dans les mains – parce que ses créations étaient ses bébés, et qu'elle venait de lui dire fuck, mais son but n'était pas de la vexer alors, autant éclaircir la situation dès maintenant... oui, elle leur parlait comme à des êtres humains, no comment – avant de l'étendre consciencieusement sur le lit puis de sauter sur Kee Young. « ON Y VA ! ALLEZ ! TOUT DE SUITE ! »
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Re: Quando la donna vuole, il diavolo l'aiuta || KEEKUEN | Lun 13 Fév - 15:05 Citer EditerSupprimer
♦♦♦ kee young était attachée aux apparences, elle ne s'en était jamais cachée ; mais elle tenait davantage à ses amitiés et si son père lui avait interdit de reprendre contact avec la famille Byeon, la neugdae n'en avait fait qu'à sa tête et n'avait jamais pu se résigner à lâcher cette amie d'enfance qu'elle affectionnait tant. alors, quand, à son retour et arrivée chez les loups, elle avait vu qu'elles étaient toutes les deux dans le même dortoir... la joie avait été sincère, réelle et elles étaient encore plus proches que dans le passé. plus inséparables que n'importe qui. la jeune femme tenait énormément à la seconde et cela l'avait amusé un temps, que leur ambition soit la même. elle s'était dit que c'était le destin, et même si kee avait changé de chemin, elle avait promis d'être toujours toujours là pour elle. alors c'était si naturel pour la jaune de l'inviter elle et pas une ou un autre. et c'était d'autant plus naturel qu'elle savait déjà que son amie répondra vite et positivement. ainsi, elle rangea son smartphone dans sa poche, prête à l'aider à faire son sac. le sien étant déjà prêt. « très ! et bien sûr, je t'invite, de toute façon j'ai déjà payé le billet et on ira chez moi là-bas. puis j'ai déjà prévenu certaines boutiques de notre arrivée. » elle avait beaucoup de compte de fidélité prenium et de réseau dans le milieu au vu de son passé, ça n’avait pas été très compliqué pour elle, de faire tout ça. et puis ça lui faisait vraiment plaisir de l'emmener pour des petites escapades comme ça, mari-kuen le méritait après tous les efforts qu'elle fournissait.
en réceptionnant la brune, la blonde offrit un câlin à la demoiselle. et un baiser sur le front, avec le temps, kee était devenue assez tactile et surtout très protectrice avec kuen et elle ne s'en cachait pas vraiment, à l'heure d'aujourd'hui. « super ! je savais que je pouvais compter sur toi ! prend un sac avec une tenue de soirée, on va assister à un défilé. » de sa propre marque, celle qu'elle avait lancé avant de s'en aller. et si elle n'en était plus qu'une partenaire, son ami venait régulièrement lui donner des nouvelles des lancements de cette dernière. « tu as quinze minutes, après on part, je prend la voiture. on décolle dans deux heures princesse. » et elle était tout aussi excitée que semblait l'être mari-kuen, dans sa tête.
en réceptionnant la brune, la blonde offrit un câlin à la demoiselle. et un baiser sur le front, avec le temps, kee était devenue assez tactile et surtout très protectrice avec kuen et elle ne s'en cachait pas vraiment, à l'heure d'aujourd'hui. « super ! je savais que je pouvais compter sur toi ! prend un sac avec une tenue de soirée, on va assister à un défilé. » de sa propre marque, celle qu'elle avait lancé avant de s'en aller. et si elle n'en était plus qu'une partenaire, son ami venait régulièrement lui donner des nouvelles des lancements de cette dernière. « tu as quinze minutes, après on part, je prend la voiture. on décolle dans deux heures princesse. » et elle était tout aussi excitée que semblait l'être mari-kuen, dans sa tête.
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Re: Quando la donna vuole, il diavolo l'aiuta || KEEKUEN | Lun 13 Fév - 15:55 Citer EditerSupprimer
♦♦♦ Il était question de shopping, de voyage à l'étranger, et tout était déjà payé par Kee Young – parce qu'elle savait combien elle était riche et elle pauvre – alors, refuser ? Impossible. En temps normal, elle n'aurait pas refusé de toute manière parce qu'il s'agissait de Kee Young. Mais là, elle avait encore moins de raisons de lui dire non. Impossible. C'était un cadeau tombé du ciel. Son sourire s'agrandit alors qu'elle recevait un petit baiser sur le front, à la manière des enfants. « Un défilé ? Oh .my.god. » Le moment ou jamais de prendre une tonne de photos, de distribuer des cartes de visite, et de se faire un max de pub. Pour le coup, elle n'allait porter que des tenues qu'elle avait fait elle-même, à Milan. Sa tenue actuelle pour le trajet, une autre tenue de rechange pour le shopping ou si jamais elle avait besoin de se changer, et enfin... La fameuse tenue pour la soirée. Blanche, pantalon + pull mais pas n'importe quel pull, pas n'importe quel pantalon, pas n'importe quelles chaussures. Le tout était signé Byeon Mari-Kuen. Enfin, à part les chaussures, mais elle les avait customisées elle-même, c'était tout comme, non ?
« Faut juste que j'appelle notre voisine, qu'elle garde un œil sur mon père. Je ne peux pas trop le laisser seul son surveillance. » Pas besoin d'inventer un mensonge avec elle, elle était au courant de tout et ne connaissait que trop bien sa situation familiale. Alors qu'elle regardait dans la chambre, si elle n'avait rien oublié, elle parlait au même moment à la grand-mère qui habitait dans l'appartement juste en face du leur, pour aller de temps en temps chez eux, voir si tout allait bien, et pourquoi pas dîner avec lui. « C'est bon ! Tout est prêt ! On y go ? » Petite valise sous la main, et les voilà en route. Sûrement qu'il lui faudrait acheter un sac là-bas. Car s'il était question de boutiques de luxe, surtout avec Kee Young, elle avait intérêt à faire son stock, elle n'aurait pas l'occasion de s'approvisionner en produits du genre avant un bon moment. « Et pourquoi ce retour si soudain en Italie ? Le pays te manque déjà, c'est ça ? » Parce que si Mari-Kuen ne pouvait rien cacher à Kee Young, l'inverse était aussi vrai.
« Faut juste que j'appelle notre voisine, qu'elle garde un œil sur mon père. Je ne peux pas trop le laisser seul son surveillance. » Pas besoin d'inventer un mensonge avec elle, elle était au courant de tout et ne connaissait que trop bien sa situation familiale. Alors qu'elle regardait dans la chambre, si elle n'avait rien oublié, elle parlait au même moment à la grand-mère qui habitait dans l'appartement juste en face du leur, pour aller de temps en temps chez eux, voir si tout allait bien, et pourquoi pas dîner avec lui. « C'est bon ! Tout est prêt ! On y go ? » Petite valise sous la main, et les voilà en route. Sûrement qu'il lui faudrait acheter un sac là-bas. Car s'il était question de boutiques de luxe, surtout avec Kee Young, elle avait intérêt à faire son stock, elle n'aurait pas l'occasion de s'approvisionner en produits du genre avant un bon moment. « Et pourquoi ce retour si soudain en Italie ? Le pays te manque déjà, c'est ça ? » Parce que si Mari-Kuen ne pouvait rien cacher à Kee Young, l'inverse était aussi vrai.
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Re: Quando la donna vuole, il diavolo l'aiuta || KEEKUEN | Lun 13 Fév - 17:04 Citer EditerSupprimer
♦♦♦ elle n'ignorait pas les projets de la jeune louve. elle savait que mari-kuen voulait être styliste, lancée sa marque ((comme elle l'avait fait en arrivant à Milan)) et que lui proposer un défilé était un cadeau qu'elle ne pouvait pas refuser. après tout, être vu dans ce genre d’événement ne pouvait que booster son début de carrière, si elle faisait des connaissances là-bas, elle serait plus assurée pour la suite de son parcours. c'était certain. et kee young tenait suffisamment à elle pour faire office de piston, elle ne le cachait même pas et l'invitait à chaque occasion qui se présentait à elle. elle lui devait bien ça, à son petit rayon de soleil. « et en catégorie VIP princesse, des places de première qualité, tu vas adorer. » elles seraient photographiées, à assurément, ainsi leur tenue, leur coiffeur, leur maquillage, tout serait analysé. elles se devaient d'être parfaites. la blonde avait sa garde de robe, dans la ville italienne, de ce fait elle se concentra plus sur le sac de son amie et ne pouvait s'empêcher de complimenté chaque tenues apportées. mari-kuen avait du talent, c'était indéniable. elle avait hâte de la voir les porter.
« vasy appelle, je range ça. » elle connaissait la situation et savait que c'était important, qu'elle s'occupe de son père. et contrairement à sa famille, la neugdae soutenait la jeune femme. vraiment, c'était important que tout se passe au mieux pour elle, malgré toutes ses galères. et quand elles furent prêtes toutes les deux, quand les deux femmes sortirent de la chambre, kee young attrapa les clés de sa voiture une fois sur le parking de l'université. ce n'est qu'une fois installée qu'elle répondit à sa question avec un rire doux. « si seulement tu savais à quel point la vie là-bas me manque. » la tranquillité, loin de son père, de sa mère, suivant les cours qui lui plaisaient, travaillant avec des gens qu'elle connaissait. elle n'avait aucun soucis en Italie, tout était beau. propre, sa vie lui convenait, loin de la Corée. mais elle devait rester, pour son grand père et sa cousine, alors en démarrant, elle reprenait la parole en quittant les bâtiments de la Yonsei. « le défilé, c'est celui de Blanc & Eclare. une collection inédite pour la saint valentin. » bien qu'elle avait laisser sa marque à un ami très proche, elle était toujours liée à celle-ci en tant que créatrice. et ne manquait aucun événement.
« vasy appelle, je range ça. » elle connaissait la situation et savait que c'était important, qu'elle s'occupe de son père. et contrairement à sa famille, la neugdae soutenait la jeune femme. vraiment, c'était important que tout se passe au mieux pour elle, malgré toutes ses galères. et quand elles furent prêtes toutes les deux, quand les deux femmes sortirent de la chambre, kee young attrapa les clés de sa voiture une fois sur le parking de l'université. ce n'est qu'une fois installée qu'elle répondit à sa question avec un rire doux. « si seulement tu savais à quel point la vie là-bas me manque. » la tranquillité, loin de son père, de sa mère, suivant les cours qui lui plaisaient, travaillant avec des gens qu'elle connaissait. elle n'avait aucun soucis en Italie, tout était beau. propre, sa vie lui convenait, loin de la Corée. mais elle devait rester, pour son grand père et sa cousine, alors en démarrant, elle reprenait la parole en quittant les bâtiments de la Yonsei. « le défilé, c'est celui de Blanc & Eclare. une collection inédite pour la saint valentin. » bien qu'elle avait laisser sa marque à un ami très proche, elle était toujours liée à celle-ci en tant que créatrice. et ne manquait aucun événement.
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Re: Quando la donna vuole, il diavolo l'aiuta || KEEKUEN | Lun 13 Fév - 18:23 Citer EditerSupprimer
♦♦♦ Catégorie VIP. Gosh, elle savait vraiment comment la brosser dans le sens du poil, Kee Young. Ce genre d'occasion, ça ne se présentait que quelques fois dans une année. Et puis, elle savait que son amie allait en profiter pour la pistonner, pour lui faire passer la meilleure journée possible, avant de rentrer le lendemain. Alors elle était d'autant plus surexcitée. Son père ne lui en tiendrait pas rigueur, elle lui avait envoyé un message pour tout lui expliquer tout en lui promettant de l'appeler une fois à Milan. Et la grand-mère avait promis de tout prendre en charge jusqu'à son retour, en lui demandant surtout de bien s'amuser. Puis, une fois la valise prête, une fois elle-même prête, les voilà parties. Bon sang, dire que dans quelques heures à peine, elles seraient à l'étrangler. Kee Young avait vécu là-bas, donc sûrement qu'elle connaissait le pays comme sa poche. Son père lui avait dit que lui aussi avait pensé l'envoyer étudier à l'étranger, à l'époque. Lorsqu'ils étaient encore riches. Une fois pauvres, ce n'était évidemment plus d'actualité. Elle l'enviait un peu d'ailleurs. La Corée était un pays très beau, mais où on privilégiait le groupe au détriment de l'individu. Et à force, cela pouvait devenir pesant, très pensant. Même si Mari-Kuen était définitivement du genre à ne pas s'en soucier.
« Si jamais t'as envie de faire un break... Je sais que ce n'est pas l'Italie ni l'étranger, mais tu peux toujours passer à la maison. Et y rester autant que tu peux. Même une semaine, même plus. » Elle lui sourit, avant de reporter son regard sur la route. Puis de grimacer. « Beurk. Marre de la Saint-Valentin. Je crois que je vais me déguiser en grande faucheuse et aller terroriser les couples tellement j'en ai marre de cette fête. » Entre autres parce qu'elle lui rappelait que toutes ses relations étaient constamment un échec. Elle rit un peu. « Mais, j'ai hâte de voir la collection ! C'est pas trop dur de laisser quelqu'un d'autre s'en charger ?» Mari-Kuen avait une relation presque « fusionnelle » avec ses créations. Alors laisser sa marque à quelqu'un... Ca ne devait pas être une mince affaire. Du moins pour elle, ça ne le serait pas.
« Si jamais t'as envie de faire un break... Je sais que ce n'est pas l'Italie ni l'étranger, mais tu peux toujours passer à la maison. Et y rester autant que tu peux. Même une semaine, même plus. » Elle lui sourit, avant de reporter son regard sur la route. Puis de grimacer. « Beurk. Marre de la Saint-Valentin. Je crois que je vais me déguiser en grande faucheuse et aller terroriser les couples tellement j'en ai marre de cette fête. » Entre autres parce qu'elle lui rappelait que toutes ses relations étaient constamment un échec. Elle rit un peu. « Mais, j'ai hâte de voir la collection ! C'est pas trop dur de laisser quelqu'un d'autre s'en charger ?» Mari-Kuen avait une relation presque « fusionnelle » avec ses créations. Alors laisser sa marque à quelqu'un... Ca ne devait pas être une mince affaire. Du moins pour elle, ça ne le serait pas.
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Re: Quando la donna vuole, il diavolo l'aiuta || KEEKUEN | Mer 8 Mar - 14:54 Citer EditerSupprimer
♦♦♦ il y avait une telle relation entre les deux qu'elle savait pertinemment ce qui lui ferait plaisir et ce qui ne lui ferait pas plaisir. elle connaissait ses rêves et ses ambitions, ainsi que son talent. mari était douée, elle en était persuadée, son passé lui permettait de voir ces choses-là, c'était normal pour elle de savoir quand quelqu'un arriverait à ses fins ; surtout dans ce domaine. et elle était bien décidée à l'aider, tout du moins, lui faire rencontrer le plus de monde possible. c'était son amie et elle était prête à tout pour l'encourager. c'est pour cette raison qu'elle avait décidé de l'emmener elle et pas une autre. parce qu'elle savait à 3000% que ce voyage d'une nuit lui serait bénéfique. et kee young en était fière. réellement même.
et elle ne pu s'empêcher de lui sourire. d'apprécier cette tendresse et cette attention dans ses paroles. la louve en était particulièrement touchée, parce qu'elle savait qu'en cas de galère, elle pourrait indéniablement compter sur elle. « c'est adorable princesse, j'y penserais en premier si j'ai besoin, je te le promet. on passera des nuits blanches à manger des marshmallow. » et un léger rire quittait ses lèvres. un rire qui s'accentua avec la réponse de la demoiselle. au contraire d'elle, kee young aimait la saint valentin ((pour le chocolat, le vin)) et les dessous en satin. « que t'a-t-elle fait pour que tu l'as déteste à ce point ? » la curiosité était réelle, mais elle ne pouvait pas s'en empêcher ; elle voulait tout savoir, tout savoir en ce qui la concernait. parce qu'elle la considérait comme son amie la plus proche, et la plus importante. « j'ai vu les ébauches et j'ai participé à quelques créations de celle-ci, je pense que ça te plaira. » non elle en était persuadée et elle ne reprit la parole qu'à la fin de sa question, avec le plus grand des sérieux. « il y a un an, j'en aurais été incapable, c'était le projet de toute ma vie, hors je me suis rendue compte que cette passion n'était pas aussi dévorante que mon nouveau but. en vérité, je pense que ce n'est pas dur pour moi de la voir entre les mains d'un autre car je connais plus que bien cette personne et que je sais que malgré tout, rien ne sera réaliser sans mon accord. » au fond, malgré son abandon, elle garda une grosse part de responsabilité dans cette marque, qu'elle aimait plus que tout, mais le temps était pressé et elle ne pouvait se permettre de lui donner tout le sien. quand bien même elle aimait blanc & eclare.
et elle ne pu s'empêcher de lui sourire. d'apprécier cette tendresse et cette attention dans ses paroles. la louve en était particulièrement touchée, parce qu'elle savait qu'en cas de galère, elle pourrait indéniablement compter sur elle. « c'est adorable princesse, j'y penserais en premier si j'ai besoin, je te le promet. on passera des nuits blanches à manger des marshmallow. » et un léger rire quittait ses lèvres. un rire qui s'accentua avec la réponse de la demoiselle. au contraire d'elle, kee young aimait la saint valentin ((pour le chocolat, le vin)) et les dessous en satin. « que t'a-t-elle fait pour que tu l'as déteste à ce point ? » la curiosité était réelle, mais elle ne pouvait pas s'en empêcher ; elle voulait tout savoir, tout savoir en ce qui la concernait. parce qu'elle la considérait comme son amie la plus proche, et la plus importante. « j'ai vu les ébauches et j'ai participé à quelques créations de celle-ci, je pense que ça te plaira. » non elle en était persuadée et elle ne reprit la parole qu'à la fin de sa question, avec le plus grand des sérieux. « il y a un an, j'en aurais été incapable, c'était le projet de toute ma vie, hors je me suis rendue compte que cette passion n'était pas aussi dévorante que mon nouveau but. en vérité, je pense que ce n'est pas dur pour moi de la voir entre les mains d'un autre car je connais plus que bien cette personne et que je sais que malgré tout, rien ne sera réaliser sans mon accord. » au fond, malgré son abandon, elle garda une grosse part de responsabilité dans cette marque, qu'elle aimait plus que tout, mais le temps était pressé et elle ne pouvait se permettre de lui donner tout le sien. quand bien même elle aimait blanc & eclare.
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