T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina}
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T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Mar 14 Fév - 23:34 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
Ce sac là, sur la table du café, il m'appelle. Cinq minutes que je le fixe mais que je n'ai toujours pas bougé. J'ai vu la prioritaire rentrer à l'intérieur, elle va en ressortir d'une minute à l'autre c'est sûr... Elle ne va tout de même pas laisser son sac ici. Mais je ne sais pas si c'est une bonne idée, je ne suis pas le meilleur des voleurs, loin de là même. Jae Sun et moi avons beau grimpé partout, il reste tout de même le voleur de la bande. Moi il m'arrive que des merdes, que des boulettes, j'arrive à avoir ce que je veux une fois sur dix mais ça m'empêche pas d'essayer. Peut-être que ce sac contient assez d'argent pour nous manger pendant des jours et des jours... Ou même, carrément pour m'acheter un instrument de musique, allez savoir! Les copains vont être fiers de moi si je le ramène. Bon allez. Discrétos -enfin, façon zinzin- je m'approche de la table, regardant tout autour de moi mais surtout à l'intérieur du café. Mais au moment où je dépose ma main sur le sac, prêt à courir, j'entends la voix de la femme en question, elle crie et à mon avis, elle vient de me prendre en flag... Et merde ! J'agrippe le sac avant de me mettre à courir. La fuite. Je suis doué pour ça au moins. Je traverse un parc sans m'arrêter, j'accélère même, je ne sais même pas si la femme me suit encore mais lorsque je tourne la tête pour vérifier, la sangle du sac se prend dans un arbuste. Résultat ? Il m'échappe des mains. « Merde, merde ! » Je tente de le rattraper vite fait bien fait mais la femme arrive vers moi, je me contente donc de faire quelques pas en arrière, laissant le sac au sol et près d'elle. J'ai beau être rapide, là, il est impossible pour moi d'aller le récupérer sans qu'elle me choppe. C'est bien beau de savoir courir, faire des acrobaties et j'en passe mais si c'est pour perdre le sac d'une manière aussi débile... Pourquoi ça n'arrive qu'à moi ça, déjà ? « J'allais te le rendre, hein ! » lui lancé-je tandis qu'elle récupère son sac. Il est beau ce mensonge tiens, mais que voulez-vous que je lui dise ? J'ai foiré mon coup, ça va, ça arrive à tout le monde... Surtout à moi. Bizarrement.
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Mer 15 Fév - 11:11 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
Journée off. Pas de ménage à faire, pas de pervers à servir, pas de sourire à plastifier sur mon visage pour être la bonne petite gourde pour laquelle je me fais passer tous les jours. J’enlève tout, l’uniforme, le tablier, le masque. Il n’y a plus que Mei Na, la gamine qui vient d’ailleurs. Après avoir vagabondé dans les rues sans buts précis, sans envies réelles, je me suis arrêtée à la terrasse d’un café. Pourquoi ici ? J’en sais rien. Je me suis posée là, à une table sans savoir vraiment pourquoi. Peut-être que je voulais savoir ce que c’était de faire comme les autres filles de mon âge qui après une journée shopping entre amies, s’arrêtent autour d’un café ou d’un verre pour se raconter les derniers ragots ou vanter les qualités de leurs merveilleux petits amis. Mais quand j’entends ricaner un peu plus loin derrière moi et que je me retourne pour apercevoir une bande de pots de peintures sur échasses, je me dis que finalement non, je suis très bien comme je suis et que je suis bien contente de pas faire partie de ces bandes de pouffiasses. Je souris contre le bord de mon gobelet et finis par détourner mon attention vers l’allée grouillante de monde. Les gens sont ennuyants, s’enlisent dans leur traintrain quotidien et si un jour je deviens comme ça, promis, je retourne sur le pont et cette fois-ci, je me louperais pas. Au moment où je pense à ça, je sais pas ce qu’il m’arrive, si mes dents se sont subitement mises à fuir mais j’ai réussi à me renverser du café sur mon manteau. « Et merde », sifflais-je les dents serrées. Et bien évidemment, pas de serviettes. Je soupire énervée et me rends à l’intérieur pour chercher de quoi essuyer ma connerie, laissant mes affaires au cas où un couple de petits cons chercherait à me piquer ma place.
J’ai à peine le temps de revenir que je vois un gars, les cheveux d’une couleur bizarre près de ma table. Mais c’est pas ça qui m’a fait hurler. Je m’en carre totalement de sa dégaine mais sa main sur la lanière de mon sac, ça, je m’en fous pas du tout. « HEY TOI ! ». Je crois qu’il s’attendait pas à être pris sur le fait, vu la tête d’abruti qu’il tire en m’apercevant. Il aurait pu se tirer maintenant et on en aurait plus parler. Mais non, ce petit con a cru bon d’embarquer mon sac à main et de s’enfuir avec. « MAIS ! ». Sans perdre une seconde de plus, je me mets à le poursuivre, poussant sans remords les gens sur mon passage. Putain il court vite ce con et – il est croisé avec un singe ou quoi ?! Que pour l’agilité alors parce que niveau intelligence, on a dû loupé cette étape dans sa fabrication. Il finit par s’embourber dans un parc, dans un cul-de-sac, mon bien s’agrippant dans une branche. « TOI ! », hurlais-je en récupérant mon sac. Je me rends compte à présent à quel point je suis essoufflée par la course et j’arrive plus trop à m’exprimer, j’en ai carrément oublié mon coréen car la seule chose qui sort de ma bouche c’est : « KISAMA ». Et là, y’a plus qu’un flot d’injures en japonais qui me vient. « Tu te prends pour qui hein ? T’as qu’à bosser comme tout le monde si t’as besoin d’argent espèce d’enfoiré ! ». J’ai une pulsion qui me vient et je cherche pas à la réprimer. La lanière tenue fermement entre mes doigts, je lui assène un coup de sac sur le coin de la tronche.
J’ai à peine le temps de revenir que je vois un gars, les cheveux d’une couleur bizarre près de ma table. Mais c’est pas ça qui m’a fait hurler. Je m’en carre totalement de sa dégaine mais sa main sur la lanière de mon sac, ça, je m’en fous pas du tout. « HEY TOI ! ». Je crois qu’il s’attendait pas à être pris sur le fait, vu la tête d’abruti qu’il tire en m’apercevant. Il aurait pu se tirer maintenant et on en aurait plus parler. Mais non, ce petit con a cru bon d’embarquer mon sac à main et de s’enfuir avec. « MAIS ! ». Sans perdre une seconde de plus, je me mets à le poursuivre, poussant sans remords les gens sur mon passage. Putain il court vite ce con et – il est croisé avec un singe ou quoi ?! Que pour l’agilité alors parce que niveau intelligence, on a dû loupé cette étape dans sa fabrication. Il finit par s’embourber dans un parc, dans un cul-de-sac, mon bien s’agrippant dans une branche. « TOI ! », hurlais-je en récupérant mon sac. Je me rends compte à présent à quel point je suis essoufflée par la course et j’arrive plus trop à m’exprimer, j’en ai carrément oublié mon coréen car la seule chose qui sort de ma bouche c’est : « KISAMA ». Et là, y’a plus qu’un flot d’injures en japonais qui me vient. « Tu te prends pour qui hein ? T’as qu’à bosser comme tout le monde si t’as besoin d’argent espèce d’enfoiré ! ». J’ai une pulsion qui me vient et je cherche pas à la réprimer. La lanière tenue fermement entre mes doigts, je lui assène un coup de sac sur le coin de la tronche.
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Jeu 16 Fév - 21:12 Citer EditerSupprimer
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Mei Na & Jae Won
Bon ça va, ça arrive, je n'ai pas vu l'arbuste. Mais quand même la loose ! J'étais à deux doigts de l'avoir ! Non parce qu'une fois chopé, je me faufile partout, c'est rare que l'on me rattrape... Mais à croire que ce n'est pas si simple avec toutes les conneries que je fais. Alors, pris de panique, je lui avoue que j'allais lui rendre. Ce n'est pas vrai et ça, nous le savons tous les deux mais que voulez-vous que je lui dise, moi ? C'est bon, je me suis chié, c'est pas de ma faute. Mes yeux s'écarquillent lorsqu'elle se met à m'insulter, en japonais mais c'est mal tombé... Je parle japonais, alors je m'exclame « Eh ! Ce n'est pas très gentil ça tu vois. » C'est vrai que de voler un sac, c'est plus gentil, Jaewon... Non mais quand même. Pas besoin de m'insulter, je n'arrive pas à voler un pauvre sac. Les seules choses que j'arrive à voler sont des choses plutôt... Inutile. Mais au moins, j'y arrive parfois ! Là j'aurais aimé pouvoir ramener du fric, mais bon, j'ai rêvé. « Tu te prends pour qui hein ? T’as qu’à bosser comme tout le monde si t’as besoin d’argent espèce d’enfoiré ! » Et je n'ai même pas le temps de rétorquer, qu'elle me donne un coup de sac. Par réflexe, je me protège avec les mains mais bien trop tard... Je me recule de quelques pas. « Eh stop ! » Non mais ça va aller oui ! Bosser comme tout le monde... J'aimerais. Mais je ne garde jamais mes jobs. Et puis, j'aimerais bien voir comment ils feraient s'ils étaient orphelins et qu'ils avaient grandi dans un cirque tenu par un violeur, du jour au lendemain, se retrouvant dans une profonde merde ! Je n'ai même pas pu continuer mes études ! J'ai eu la vie que j'ai eu, c'est comme ça... Mais si seulement j'étais « comme tout le monde » aussi... Et sans perdre une seconde de plus je me mets à courir vers un arbre, je grimpe rapidement sur une énorme branche en hauteur afin qu'elle ne puisse plus me donner un seul coup de sac. « Arrête de me frapper ! » lui dis-je cette fois-ci en japonais, la regardant depuis ma pauvre branche. Elle doit sûrement vouloir me donner une bonne leçon mais c'est inutile, je recommencerai... Je recommencerai puisque je n'ai pas le choix.
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Sam 1 Avr - 14:16 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
Comme si me renverser du café dessus suffisait pas, fallait en plus qu’on tente de me voler mon sac ! Je dis bien tenter parce que ce con a même pas été capable de le faire correctement. Je me serai bien proposé de lui montrer comment on fait en général mais un, je suis pas aussi généreuse que ça (voire pas du tout) et de deux, il avait qu’à se trouver une autre proie. Surtout que y’en avait pleins des gourdasses pour ça, y’en avait tout un tas derrière moi ! Tant pis pour lui, il avait choisi la mauvaise cible. S’il pensait en plus que j’allais partir sans rien dire après avoir récupéré mon sac, il se foutait le doigt dans l’œil, jusqu’au cul. D'habitude, je suis plutôt le genre à tout garder à l'intérieur, même la colère. Mais là, rien que de le voir avec sa stupide couleur de cheveux, le volcan s'allume et j'arrive plus à le calmer. Faut que ça pète et tant pis pour sa gueule. Moi j'ai dû me démerder toute seule sans avoir eu besoin de voler alors lui aussi il a qu'à faire pareil !
J’arrive finalement à le coincer dans un parc. Enfin c’est plutôt lui qui se coince tout seul, moi j’avais juste eu à lui courir après et à le laisser se prendre à son propre piège. Encore un signe qu’il était vraiment con. J’finis par l’engueuler comme un poisson pourri, à lui dire tout ce que je pense et même s’il me comprend, j’en ai carrément rien à cirer. Il méritait de pas pouvoir me répondre. Sauf que … « Tu parles jap en plus de ça ? ». Ah bah finalement, il avait tout compris. Je m’arrête un temps puis je me dis que c’est encore mieux s’il arrive à comprendre. « Justement si t’es jap, tu comprends quand je te dis que t’es un petit con ! ». Nouveau coup de sac pour que ça rentre un peu plus dans sa cervelle inexistante. Et plus il se plaint, plus il s’en mange. Je pensais pas avoir autant envie de me défouler mais voilà, c’était tomber sur lui. Le karma est une pute comme on dit. Puis il se met à grimper comme un singe pour s’échapper. « Redescends ! ». Mais il me regarde avec ses yeux de chien battu (ce qu’il est), pas tout à fait prêt à coopérer. « Couille molle ! ».
J’arrive finalement à le coincer dans un parc. Enfin c’est plutôt lui qui se coince tout seul, moi j’avais juste eu à lui courir après et à le laisser se prendre à son propre piège. Encore un signe qu’il était vraiment con. J’finis par l’engueuler comme un poisson pourri, à lui dire tout ce que je pense et même s’il me comprend, j’en ai carrément rien à cirer. Il méritait de pas pouvoir me répondre. Sauf que … « Tu parles jap en plus de ça ? ». Ah bah finalement, il avait tout compris. Je m’arrête un temps puis je me dis que c’est encore mieux s’il arrive à comprendre. « Justement si t’es jap, tu comprends quand je te dis que t’es un petit con ! ». Nouveau coup de sac pour que ça rentre un peu plus dans sa cervelle inexistante. Et plus il se plaint, plus il s’en mange. Je pensais pas avoir autant envie de me défouler mais voilà, c’était tomber sur lui. Le karma est une pute comme on dit. Puis il se met à grimper comme un singe pour s’échapper. « Redescends ! ». Mais il me regarde avec ses yeux de chien battu (ce qu’il est), pas tout à fait prêt à coopérer. « Couille molle ! ».
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Mer 5 Avr - 21:21 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
Bah ouais, tu parles le Japonais, t'es Japonais donc bon ! Mais pas besoin de t'insulter non plus, bien qu'elle a tous les droits, t'as quand même essayé de la voler mais bon... Elle a récupéré son sac, non ? Tu t'es foiré, ça arrive. Alors oui, tu comprends quand elle te dit que tu es un petit con, pour le coup elle n'a pas tout à fait tort... T'es con, tu t'es planté tout seul, tu avais une chance de pouvoir t'enfuir avec mais non, tu es tombé, comme un débile. De toute façon tu n'as pas le temps de répliquer qu'elle te redonne un coup de sac, tu tentes de te protéger du mieux possible, ouais parce qu'un coup de sac, ça peut faire mal quand même ! T'es un peu doudouche, même si tu le nies, ça... Instinct de survie (et non tu n'exagères jamais) tu grimpes dans un arbre, t'es assez agile pour grimper un peu partout et tu dois bien l'avouer, ça te sauve parfois, elle t'ordonne de redescendre. « Non tu me frappes ! » cries-tu, indigné. Non mais tu n'es pas non plus maso, hein, tu sais très bien que si tu redescends de là, elle te frappera encore. Tu tentes le tout pour le tout, tu lui fais les yeux de chiens battus, espérant qu'elle prenne pitié, tu parles... « Couille molle ! » Tu fronces les sourcils, presque vexé de ce que tu viens d'entendre. Tu n'as pas de répartie mais ça ne t'empêche pas d'essayer, tu veux toujours avoir le dernier mot même si tu te ridiculises. « Euh, non ! » t'exclames-tu, non tu n'es pas une couille molle ! Ça n'a rien à voir, alors tu tentes de te défendre, comme si ta dignité venait d'être mise en jeu. « Ça n'a rien à voir, j'ai la peau qui marque c'est tout ! » Bah oui, non mais tu ne vas tout de même pas te jeter dans la gueule du loup. Alors tu restes sur cette grosse branche d'arbre, ta main prenant appui sur le tronc, tu regardes rapidement autour d'elle. « Tu vas appeler les flics ? » lui demandes-tu mais avant même qu'elle ait le temps de répondre, tu ajoutes. « Fais pas ça hein, je préfère encore redescendre et que tu me termines. » Tu veux bien te sacrifier pour le coup... Tu vas encore finir en garde à vue, les orphelins viendront te chercher sans grande surprise puisque tu n'arrives pas à voler tout seul, toi. « Pis t'as l'air sympa, bon d'accord tu gueules, tu frappes... Mais il y a de quoi, je ne vais pas mentir. Tu as raison d'être en colère. » Clairement, marcher dans son sens pourrait t'aider, enfin c'est ce que tu penses... « Mais bon vois le bon côté des choses, t'as récupéré ton sac. Au final, tout va bien dans le meilleur des mondes ! » Tu te fous de la gueule du monde, Jae Won...
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Mer 19 Avr - 16:06 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
C’est bien la première fois de ma vie qu’on tentait de me chourer mon sac. Faut dire que, vu d’où je venais, c’était plutôt les gamines dans mon genre qu’on surprenait avec les mains dans les poches des plus riches pour leur piquer leur porte-monnaie ou le premier objet de valeur qu’on trouvait sur eux. Mais c’est un vice auquel je ne m’étais jamais essayé, ni à un autre. Je ne voulais pas qu’on me jette dans une case comme les autres filles, celles qui deviennent des prostitués ; seulement bonnes à vendre leur corps car personne ne leur avait dit qu’elles pouvaient aussi bien se servir de leur cerveau, ou celles qui se font engrossées par le premier venu et finissent mère célibataire à dix-sept ans et y’a celles qui s’échappent dans la drogue et l’alcool, et atterrissent à la morgue avant d’avoir atteint les vingt printemps.
Alors que ce petit con ose foutre ses pattes sur mon sac à moi, ça me surprenait autant que ça m’énervait. Il avait pas vu que j’avais rien sur moi qui pourrait lui rapporter du fric ? Pas même le truc que j’ai sur le dos, ce vieux truc que j’avais trouvé dans une friperie. J’avais pas de bijou, pas de sac ou chaussures de marque, j’avais même pas de quoi remplir mon portefeuille parce que tout mon fric, je le mettais de côté pour payer ma première année de fac. C’est que ça coûtait un bras. Si y’avait un top des voleurs, il ferait même pas partie du classement. Il est bon qu’à se faire prendre ou à s’enfuir. « Oh pauvre petit chou », lui répondais-je en prenant une voix faussement mielleuse et compatissante. Avant d’enlever ce masque. « J’en ai rien à foutre, tu le mérites ! ». Et voilà qu’il se met à chouiner, me suppliant presque de pas appeler les flics. Ils en feraient quoi les flics ? Ils vont lui rire au nez et repartir parce qu’il vaut même pas la peine d’être foutu en taule. Avec ses vieilles techniques de retournement de situation. Il me prend pour qui lui ? Dommage pour lui, il est pas tombé sur la bonne personne pour boire ses paroles cul-sec. « Mais oui et je fais des cacas papillons. Non mais sérieux, réfléchis deux secondes avant de parler ! Tu me voles mon sac et tu crois que je vais te laisser repartir comme si on était les meilleurs amis du monde ? Mais va te faire foutre ! En plus de pas avoir voler, t’es con. Tu serais même pas capable de voler la sucette d’un gosse, c’est toi qui te mettrait à chialer ». Énervée ? Moi ? Oh non, juste un peu. « La prochaine fois, apprends à repérer tes cibles, ça t’évitera de te faire émasculer comme là ! ».
Alors que ce petit con ose foutre ses pattes sur mon sac à moi, ça me surprenait autant que ça m’énervait. Il avait pas vu que j’avais rien sur moi qui pourrait lui rapporter du fric ? Pas même le truc que j’ai sur le dos, ce vieux truc que j’avais trouvé dans une friperie. J’avais pas de bijou, pas de sac ou chaussures de marque, j’avais même pas de quoi remplir mon portefeuille parce que tout mon fric, je le mettais de côté pour payer ma première année de fac. C’est que ça coûtait un bras. Si y’avait un top des voleurs, il ferait même pas partie du classement. Il est bon qu’à se faire prendre ou à s’enfuir. « Oh pauvre petit chou », lui répondais-je en prenant une voix faussement mielleuse et compatissante. Avant d’enlever ce masque. « J’en ai rien à foutre, tu le mérites ! ». Et voilà qu’il se met à chouiner, me suppliant presque de pas appeler les flics. Ils en feraient quoi les flics ? Ils vont lui rire au nez et repartir parce qu’il vaut même pas la peine d’être foutu en taule. Avec ses vieilles techniques de retournement de situation. Il me prend pour qui lui ? Dommage pour lui, il est pas tombé sur la bonne personne pour boire ses paroles cul-sec. « Mais oui et je fais des cacas papillons. Non mais sérieux, réfléchis deux secondes avant de parler ! Tu me voles mon sac et tu crois que je vais te laisser repartir comme si on était les meilleurs amis du monde ? Mais va te faire foutre ! En plus de pas avoir voler, t’es con. Tu serais même pas capable de voler la sucette d’un gosse, c’est toi qui te mettrait à chialer ». Énervée ? Moi ? Oh non, juste un peu. « La prochaine fois, apprends à repérer tes cibles, ça t’évitera de te faire émasculer comme là ! ».
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Mar 16 Mai - 19:27 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
C'est ton tribunal là, tu prends cher. T'es toujours posé sur ta petite branche, là, tu comptes pas descendre parce que comme tu l'as si bien dit, t'as la peau qui marque. Enfin presque... T'es une petite nature que quand ça t'arrange, évidemment. La jeune femme te plaint, ironiquement bien entendu, tu n'es pas débile non plus, ce qui a le don de te faire lever les yeux au ciel. M'enfin, sa voix faussement mielleuse disparaît très bien lorsqu'elle reprend la parole pour t'engueuler, comment ça tu le mérites ? Oh ça va, elle a récupéré son sac, non ? T'as pas fait exprès ! (Cette excuse est naze, mais c'est ce que tu tentes de te répéter, c'est magique, ça fonctionne toujours) « Bon et t'as fini de gueuler là ? » Alors là, qu'est-ce que tu essayes de faire ? Si tu veux l'énerver davantage, tu es sur la bonne voie... T'es vraiment un boulet toi.
« Mais oui et je fais des cacas papillons. Non mais sérieux, réfléchis deux secondes avant de parler ! Tu me voles mon sac et tu crois que je vais te laisser repartir comme si on était les meilleurs amis du monde ? Mais va te faire foutre ! En plus de pas avoir voler, t’es con. Tu serais même pas capable de voler la sucette d’un gosse, c’est toi qui te mettrait à chialer. » Et tu l'observes, les sourcils froncés. Bordel t'as même pas le temps d'en placer une, elle te déglingue. « La prochaine fois, apprends à repérer tes cibles, ça t’évitera de te faire émasculer comme là ! » Et toi, t'as toujours pas bougé de ton arbre. T'es pas suicidaire non plus, t'es pas totalement con. Mais elle t'assassine là, comment ça c'est toi qui te mettrait à chialer si tu volerais la sucette d'un gosse ? « Alors déjà je vole pas les enfants, ça se fait trop pas. Et tu connais rien de ma vie, ok ? » Ok c'était un détail que tu n'étais pas censé relevé mais t'es Zinzin, faut pas trop t'en demander. « C'est méchant de dire ça, vraiment. Ça me blesse. » T'es un garçon gentil toi, mais t'es chiant. Bordel que t'es chiant. « Je comprends tout à fait ton mécontentement mais je suis désolé, encore une fois. » Une autre technique, en espérant que ça fonctionne. « Est-ce que je peux descendre ? » Ou plutôt : est-ce que tu as toujours envie de me tuer ? Elle est conne ta question, tu le vois très bien. Tu ne sais pas comment tu vas réussir à te sortir de cette merde encore... Mais tu le feras comme d'habitude.
« Mais oui et je fais des cacas papillons. Non mais sérieux, réfléchis deux secondes avant de parler ! Tu me voles mon sac et tu crois que je vais te laisser repartir comme si on était les meilleurs amis du monde ? Mais va te faire foutre ! En plus de pas avoir voler, t’es con. Tu serais même pas capable de voler la sucette d’un gosse, c’est toi qui te mettrait à chialer. » Et tu l'observes, les sourcils froncés. Bordel t'as même pas le temps d'en placer une, elle te déglingue. « La prochaine fois, apprends à repérer tes cibles, ça t’évitera de te faire émasculer comme là ! » Et toi, t'as toujours pas bougé de ton arbre. T'es pas suicidaire non plus, t'es pas totalement con. Mais elle t'assassine là, comment ça c'est toi qui te mettrait à chialer si tu volerais la sucette d'un gosse ? « Alors déjà je vole pas les enfants, ça se fait trop pas. Et tu connais rien de ma vie, ok ? » Ok c'était un détail que tu n'étais pas censé relevé mais t'es Zinzin, faut pas trop t'en demander. « C'est méchant de dire ça, vraiment. Ça me blesse. » T'es un garçon gentil toi, mais t'es chiant. Bordel que t'es chiant. « Je comprends tout à fait ton mécontentement mais je suis désolé, encore une fois. » Une autre technique, en espérant que ça fonctionne. « Est-ce que je peux descendre ? » Ou plutôt : est-ce que tu as toujours envie de me tuer ? Elle est conne ta question, tu le vois très bien. Tu ne sais pas comment tu vas réussir à te sortir de cette merde encore... Mais tu le feras comme d'habitude.
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Sam 20 Mai - 18:41 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
« Non j’ai pas fini, espèce de taré ! ». Je suis plutôt du genre à garder mon calme d’habitude. Quand on reste de marbre devant les gens, ça les énerve, ça les déstabilise, les intimide et j’avoue apprécier ce genre de torture. Voir les yeux s’écarquiller d’angoisse, les sourcils se froncer d’incompréhension. J’aimais voir les gens perdre de leur contenance. Mais pas de perdre la mienne devant les autres. Or, c’est ce qui est en train de se passer, dans ce parc. Ce gosse me met tellement en rogne depuis le haut de son arbre que je serai prête à aller le chercher moi-même. Quand je m’énerve, c’est surtout seule, chez moi, dans mon coin parce que j’ai pas besoin de faire l’étalage des jurons qui me passent habituellement par la tête. Avec le boulot que je fais, c’était même interdit bien que l’envie de gifler ces pervers avait démangé ma main plus d’une fois. Mais à ce petit con, je lui dois rien, il me rapportera pas de frics alors passer mes nerfs sur lui, au pire il fera dans son froc mais y’aura pas de préjudices. Sur sa santé mentale et son ego de mâle (aussi inexistant qu’il soit), peut-être.
Alors je freine rien, je coupe pas le robinet et laisse le flot couler. Mais voilà qu’il trouve le culot de me répondre. Il devrait plutôt me supplier de pas le balancer dans un trou ou de lui refaire sa belle gueule. Il est mignon mais ça, ça marche pas avec moi. Plus il parle, plus j’ai envie de le frapper mais je le fais pas, j’écoute à moitié en croisant les bras et levant les yeux au ciel quand ça me semble approprier, histoire de lui faire croire qu’il a toute mon attention. Et puis j’ai une idée qui me vient, soufflée par lui mais bon ça, je lui dirai pas, il serait pas capable de comprendre de toute façon. Il me demande s’il peut descendre alors je fais mine de réfléchir avant de capituler (pour de faux). « Ok, on est quittes. Je te laisse descendre ». Au début il se méfie alors je recule un peu, les mains levés au ciel, lui laissant la place de descendre et quand il a ses deux petits pieds de fouine à terre, BOUM ! nouveau coup de sac et je le choppe par le col de sa veste. « Ecoute moi bien petit con, t’essaies encore une fois de me voler ou si je revois ta tête, je te brise les os un par un ».
Alors je freine rien, je coupe pas le robinet et laisse le flot couler. Mais voilà qu’il trouve le culot de me répondre. Il devrait plutôt me supplier de pas le balancer dans un trou ou de lui refaire sa belle gueule. Il est mignon mais ça, ça marche pas avec moi. Plus il parle, plus j’ai envie de le frapper mais je le fais pas, j’écoute à moitié en croisant les bras et levant les yeux au ciel quand ça me semble approprier, histoire de lui faire croire qu’il a toute mon attention. Et puis j’ai une idée qui me vient, soufflée par lui mais bon ça, je lui dirai pas, il serait pas capable de comprendre de toute façon. Il me demande s’il peut descendre alors je fais mine de réfléchir avant de capituler (pour de faux). « Ok, on est quittes. Je te laisse descendre ». Au début il se méfie alors je recule un peu, les mains levés au ciel, lui laissant la place de descendre et quand il a ses deux petits pieds de fouine à terre, BOUM ! nouveau coup de sac et je le choppe par le col de sa veste. « Ecoute moi bien petit con, t’essaies encore une fois de me voler ou si je revois ta tête, je te brise les os un par un ».
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Jeu 8 Juin - 17:38 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
Bon ok tu l'as bien compris, t'es mal barré là. Tu ne sais pas comment tu vas te sortir de là. La jeune femme n'a pas l'air de vouloir te lâcher, oh elle a tous les droits, tu as manqué de la voler mais quand même... T'en as marre de rester dans ton arbre. En plus tu commences à avoir mal aux mains à cause des branches. Peut-être qu'elle a d'autres soucis dans sa vie aussi, et c'est toi qui se prend toute sa haine dans la gueule, ça reste une possibilité après tout... Mais tu ne peux pas te plaindre, là, t'es pas en bonne position pour négocier quoi que ce soit. Mais même dans ce genre de circonstances, tu ne peux t'empêcher de faire ton Zinzin... C'est bien ça le problème, tu fais ton Zinzin H24 même lorsque tu ferais mieux de te faire tout petit. Ouais, tu trouves le culot de lui répondre et pourtant, ce n'est pas dans le but de la chercher bien au contraire, non non, c'est juste que tu ne sais pas t'y prendre.
Bon au moins, t'as l'étrange sensation qu'elle t'écoute. Elle a l'air de se calmer... Elle qui t'insultait de tous les noms et qui voulait te tuer. Alors tu finis par lui demander si tu peux descendre, c'est une question risquée mais surtout débile, elle va forcément te répondre positivement... Elle n'attend que ça, t'en coller une ! Et quand elle le fait, tu l'analyses, tu restes même immobile et silencieux un court instant comme si le simple fait de ne pas parler pouvait t'aider à comprendre son petit manège. C'est quoi le plan merdique là ? Bon, tu es peut-être parano... Alors quand tu la vois se reculer, levant innocemment les mains en l'air, tu te décides alors à te laisser tomber. Bon au pire, qu'est-ce que tu risques ? Un coup de sac ? T'y es habitué non ? Et BOUM, pas manqué... Le coup de sac! Elle vient même t'attraper par le col. « Ecoute moi bien petit con, t’essaies encore une fois de me voler ou si je revois ta tête, je te brise les os un par un » Tu as ce réflexe de fermer les yeux au cas où l'envie lui prenait de t'en coller une -et tu sais qu'elle en a envie, en fait, tu ne sais pas ce qui la retient- « Je sais que j'ai l'air con comme ça mais crois-moi que je vais te laisser tranquille maintenant ! » Ouais, t'as l'air con comme ça mais tu n'es pas débile à ce point. Juste débile au point de tomber en pleine course poursuite après un vol, c'est rien du tout. « Désolé... » Tu lui adresses une légère moue, ça serait l'énerver encore plus si tu lui demandais de te lâcher non ? Pour une fois, tu ferais peut-être mieux de la fermer... Tu ne peux pas mourir si jeune, t'as même pas vu Bon Jovi en concert. « Et tu ne me reverras même plus c'est promis ! » Enfin ça ce n'est pas dit... Tu traînes partout et surtout là où il faut pas.
Bon au moins, t'as l'étrange sensation qu'elle t'écoute. Elle a l'air de se calmer... Elle qui t'insultait de tous les noms et qui voulait te tuer. Alors tu finis par lui demander si tu peux descendre, c'est une question risquée mais surtout débile, elle va forcément te répondre positivement... Elle n'attend que ça, t'en coller une ! Et quand elle le fait, tu l'analyses, tu restes même immobile et silencieux un court instant comme si le simple fait de ne pas parler pouvait t'aider à comprendre son petit manège. C'est quoi le plan merdique là ? Bon, tu es peut-être parano... Alors quand tu la vois se reculer, levant innocemment les mains en l'air, tu te décides alors à te laisser tomber. Bon au pire, qu'est-ce que tu risques ? Un coup de sac ? T'y es habitué non ? Et BOUM, pas manqué... Le coup de sac! Elle vient même t'attraper par le col. « Ecoute moi bien petit con, t’essaies encore une fois de me voler ou si je revois ta tête, je te brise les os un par un » Tu as ce réflexe de fermer les yeux au cas où l'envie lui prenait de t'en coller une -et tu sais qu'elle en a envie, en fait, tu ne sais pas ce qui la retient- « Je sais que j'ai l'air con comme ça mais crois-moi que je vais te laisser tranquille maintenant ! » Ouais, t'as l'air con comme ça mais tu n'es pas débile à ce point. Juste débile au point de tomber en pleine course poursuite après un vol, c'est rien du tout. « Désolé... » Tu lui adresses une légère moue, ça serait l'énerver encore plus si tu lui demandais de te lâcher non ? Pour une fois, tu ferais peut-être mieux de la fermer... Tu ne peux pas mourir si jeune, t'as même pas vu Bon Jovi en concert. « Et tu ne me reverras même plus c'est promis ! » Enfin ça ce n'est pas dit... Tu traînes partout et surtout là où il faut pas.
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Re: T'énerves pas, j'rigolais. {ft. meina} | Jeu 8 Juin - 20:21 Citer EditerSupprimer
T'énerves pas, j'rigolais.
Mei Na & Jae Won
Il avait vraiment de la chance qu’on soit dans un lieu public et que j’avais pas vraiment prévu de finir ma vie en taule, sinon je lui aurai encastré la tronche dans l’arbre. Tellement qu’un écureuil le prendrait pour l’un des siens. Je suis pas du genre violente, pas envers les autres mais faut croire que c’était un jour sans. Pourtant, c’était mon jour off, je me sentais … bien. Enfin je crois. Mais bref, j’étais pas là pour faire la rétrospective de mon état mais plutôt là pour lui passer l’envie de recommencer. Je sais que je peux intimider quand je veux, malgré ma petite taille et mon visage de poupée fragile. Mais les gens se trompent souvent, j’ai aucun scrupule à blesser les autres, à les rendre misérables, à écraser jusqu’à leur dernier espoir. Et lui là, ce microbe, j’espère qu’il comprendra. Choppé par le col, je le tire à ma hauteur pour que mon regard soit aligné au sien, pour qu’il s’imagine pas que je fais ça sans le penser mais je suis plus que sérieuse. Il a de la chance dans son malheur, j’aurai pu être une psychopathe ou même armé et c’est pas avec des coups de sac qu’il aurait fini, ça aurait direct au cimetière. Il avait eu chaud à son derrière. Je le vois, il est pas bien le gamin mais tant mieux, ça lui apprendra ! « T’as intérêt parce que je te jure que si je revois, je te fais la peau ! ». Et quand il s’excuse, j’ai envie de rire. Parce que je lui faisais vraiment peur mais aussi parce que cette situation, elle est ridicule. J’avoue que j’aurai pu le laisser partir après avoir récupéré mon sac … mais non. Tant pis pour toi petit voleur !
« J’espère bien que t’es désolé ! Va te trouver un boulot, y’a pleins de petites boutiques merdiques qui prennent les paumés dans ton genre ». J’finis par le lâcher puis remets mes cheveux derrière mon épaule. La désinvolture à l’état pur. « Et t’en fais pas, si t’oublies, je te rappellerai notre conversation d’aujourd’hui ». Je tourne les talons avant de revenir sur mes pas pour lui foutre un énième coup de sac sur le bras. Ok ça c’était gratuit, j’abuse un peu. Et je me tire de là sans me retourner vers lui mais je sais qu’il est déjà parti. Cours Forest, cours !
« J’espère bien que t’es désolé ! Va te trouver un boulot, y’a pleins de petites boutiques merdiques qui prennent les paumés dans ton genre ». J’finis par le lâcher puis remets mes cheveux derrière mon épaule. La désinvolture à l’état pur. « Et t’en fais pas, si t’oublies, je te rappellerai notre conversation d’aujourd’hui ». Je tourne les talons avant de revenir sur mes pas pour lui foutre un énième coup de sac sur le bras. Ok ça c’était gratuit, j’abuse un peu. Et je me tire de là sans me retourner vers lui mais je sais qu’il est déjà parti. Cours Forest, cours !
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