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sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care
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sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Ven 24 Fév - 23:14 Citer EditerSupprimer
nom : sialov. prénom : aegir tarjei. âge : 22 ans. date et lieu de naissance : août 94, quelques minutes avant l’arrivée de son frère, les deux enfants d’or apparus comme une malédiction dans la steppe urbaine de russie. origines : non il ne fera jamais mention de vodka. Il a des origines russes. nationalité : russe et coréenne depuis peu. cursus universitaire : master de géographie. métier : s’occuper de ashvin est un boulot à plein temps très mal payé. orientation sexuelle : bisexuel à tendance hétérosexuel cependant. classe sociale : modeste voire délicate. code du règlement : Ok par iMked. tu veux t'investir ? student pour l’instant, nous verrons bien plus tard
sialov tarjei aegir
be closed to your fears, so get closer to me
débrouillard (★★★✰✰) | silencieux (★★★✰✰) | protecteur (★★★✰✰) | discret (★★★✰✰) | méthodique (★★★✰✰) |
mélancolique (★★★★✰) | apaisant (★★★✰✰) | insensible (★★★✰✰) | fraternel (★★★✰✰) | calculateur (★★★✰✰) |
Rumour has it... Il y aurait eu des rumeurs d’inceste entre les frères sialov (f – arrêtez de fantasmer sur des clones) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Il est beau le loup doré qui se promène entre les murs de l’université, cachant un grand mal derrière des yeux attentifs, dissimulant une faiblesse derrière la puissance des mots. Aegir, dieu de la tempête du cataclysme dans la mythologie scandinave, il est bien amusant de constater qu’il est tout l’inverse de ce qui le nomme, de ce qui constitue une grande part de son identité. Car le mortel n’est pas fougueux, il n’est pas ce genre de nerveux à taper du poing sur le mur à chaque contrariété. Il n’est pas comme son frère, et c’est certainement la raison pour laquelle ils s’aiment autant. Leur différence. Aegir est différent des autres, c’est pourquoi parfois ils ne se comprennent pas. Mais c’est un garçon tolérant et pacifique. Il ne cherche pas le conflit ; déjà parce que ce n’est pas du tout son genre et en plus parce que son état de santé ne le lui permet pas. Aegir le puissant est fragile, ses os se brisent sous un coup trop violent mais il y a encore des choses qu’il peut faire contrairement à ceux arrivés dans un stade grave et avancé de la maladie. Il peut courir, il peut sauter, mais il n’a pas le droit de se cogner ou de prendre un coup. Il ne peut s’écrouler que psychologiquement et, si avant ce poison lui dévorait l’échine, aujourd’hui il arrive petit à petit à vivre avec. Si vous voyez Aegir alors, vous le penserez froid et sûr de lui, une affirmation appuyée par ce visage blanc et cette attractivité qu’il exerce sur les autres. Mais son physique ne fait pas tout. Il est amoureux des mots, du vocabulaire, de la grammaire, qu’il manie avec autant d’adresse que de simplicité. Aegir est de ces personnes qui ne vivent qu’à travers les promesses sans véritablement agir, ce qui lui a parfois valu les foudres de femmes qui attendaient de lui qu’il agisse « comme un homme ». Mais le blond est un homme, un homme qui montre sa maturité derrière un côté réfléchi et non belliqueux, qui s’occupe de celles et ceux qui ont accepté de partager une part d’intimité avec lui. Il séduit, plait, déçoit et trompe à travers ces mots. Aegir est loyal. Depuis longtemps il a appris l’importance de s’entourer, et de s’entourer bien. Il peut facilement se débrouiller seul, mais pour sa propre sécurité il aime savoir que des personnes sont là pour lui et inversement. Son frère est le premier garçon dont il s’est occupé, le premier enfant qu’il a choyé, il sut très tôt qu’il aurait besoin de lui toute sa vie. Alors l’ainé reste là, ramasse quelque fois les pots cassés de son sang, mais jamais il ne lui a fait la menace que s’il ne cessait pas ses conneries, il l’abandonnerait. Aegir ne ment, et se remet très facilement en question, alors oui, il l’engueule son frangin, mais il sera toujours en train de couvrir ses arrières. Il est fidèle aussi auprès de ses amis, ceux qui lui ont tendu la main comme ceux qui ont abusé de cette froideur et de cette gentillesse. Aegir n’est pas un méchant garçon, parfois il devient fou. Parfois il craque. Parfois il pousse et parfois il crie. Déverse sa colère dans des paroles agressives et surdimensionnées. Car si la plupart du temps, le garçon sait se contrôler, il vient toujours un moment où il n’a plus la force. C’est un être humain. |
This is my story
aegirson
Il glissait ses phalanges sur les yeux de son petit frère. Lui, gardait les pupilles bien ouvertes. Observant la violence contre qui il faisait face. Ecoutant des sanglots mêlés à des insultes ; attentif à la cruauté, marqué par la détresse. Il dissimulait les bleuets de son cadet, secouait et caressait sa blondeur naturelle en silence. Tout irait bien qu’il disait : il suffisait simplement de grandir vite. Trop vite. Aegir était né quelques minutes avant Ashvin et pourtant, on eut dit qu’il avait attrapé le symptôme de Button ; naitre adulte mais sans rajeunir. Le prince des tempêtes n’a ni connu l’innocence, ni connu l’égarement dans une adolescence tumultueuse. Il n’a ni évolué, ni changé. Il est seulement resté comme ça à affronter tout d’un regard critique, les mots charmeurs et les coups absents. Mais quelques fois, dans ses rares gestes, il attrapait la main de son jumeau et l’emportait loin de la réalité, assis dans ce parc toute la journée à parler en alignant quelques mots maladroits.
Bientôt il fallut emmener Ashvin loin de la maison pour lui faire oublier, et parfois le gronder de son esprit belliqueux. Petit et déjà si rempli de haine. L’on pouvait comprendre pourquoi. Reste. Pour maman, pour peut-être un futur plus propice, meilleur et paisible. Aegir n’y croyait pas vraiment, mais il voulait au moins que son frère lutte. Il ne pouvait pas être assez fort pour deux ce gosse, son courage était trop souvent mis à rude épreuve, son corps ne supportait plus toute cette bestialité : il était fragile, mais son mental était d’acier. Lorsque sa mère se retrouvait seule, il se trainait, mauvais marcheur, vers ses cuisses violettes, grimpait dessus et posait ses mains sur ses épaules ; et déjà ses yeux étaient froids, déjà son regard était fermé à toute opportunité. Désillusionné. Enfant sans rêves. Pourtant il disait à sa matrone qu’il l’aimait, qu’il ne voulait pas qu’elle soit « triste ». Et il regardait Ash, et il se sentait une âme de protecteur et de leader avec lui. Aegir ne pesait ni son amour pour son frère, ni l’influence qu’il pouvait avoir sur lui déjà si jeune.
Les yeux meurtris et le cœur anéanti. Il se tenait là, en habit noir, debout, il regardait la fin d’un début de vie désastreux mais il ne voulait pas se rendre à l’évidence que plus jamais il n’entendrait le son de Lullaby sortir de la gorge si claire et si serrée de sa mère. Elle les avait quittés pour toujours, et lui, il ne pouvait pas la ramener, elle avait été dérobée par son bourreau. Aegir s’était trouvé plutôt fort et courageux jusque-là mais il avait échoué et s’était rapidement rendu compte qu’il n’avait rien fait pour arranger réellement les choses : comment le pouvait-il ? Il n’était pas assez mûr pour tout comprendre, pas assez fort pour s’interposer : il ne le sera jamais. Aegir rêvait de courir dans de grandes prairies, rouler dans l’herbe, hurler sa peine, railler sa liberté ; mais il ne le pouvait pas. Lorsqu’il changea à contre cœur son nom de naissance pour un autre, on venait de lui détecter l’un des symptômes de la maladie qui rendait les os aussi fragiles que des brindilles. Le gosse avait eu de la chance dans son malheur cependant ; il n’était qu’à un niveau bas de ce calvaire qui n’évoluerait dans la gravité que s’il se mettait à faire « n’importe quoi ». Moon : la lune, le croissant qui s’épaissit un temps avant de disparaitre et qui renait, sans cesse, qui gravite seul autour d’une planète qui le regarde à peine. Ash et Aegir étaient restés ensemble dans l’épreuve, ils entameraient donc ensemble leur renaissance.
Les fibres d’un nouveau pays le touchaient, d’une nouvelle culture le hantaient. Aegir d’un naturel conventionnel avait refusé pour la première fois de renoncer à ses vraies racines. Avec l’aide d’Ash et de Jihoon il avait cependant appris à parler une langue inconnue, mais jamais il ne put respecter coutumes et traditions. Il ne pouvait, c’était trop outrageant pour la mémoire de sa défunte mère. Il avait réussi, cependant, à aimer une autre femme, à la respecter, à l’aider autant qu’elle, le soutenait. Aegir, doux contraste entre la puissance d’un nom et la fragilité d’un corps. Une maladie qu’il dissimule du mieux qu’il peut. Des moqueurs, et pourtant il assumait : il n’était pas chétif, seulement mal en point depuis des années. Pourtant il est amoureux. Amoureux d’une sensualité qu’il préfère bien souvent regarder, qu’essayer bien que ça lui aille à merveille. Les femmes, parfois les garçons. Mais il a peur de ne pas pouvoir suivre la cadence, alors il se contente souvent de charmer par ses mots : et c’est Ashvin qui les attrape toutes, qui peut les satisfaire de sa force. On préfère bien souvent le tumultueux au sage, le dorée à l’argenté, la passion à l’amour. La nuit et le jour.
Un jour Aegir partit. Il retourna en Russie puisqu’il n’en pouvait plus. Il avait besoin de laisser son sang sur le rivage et de se retrouver dans ses racines. Ô il l’aimait son frère, un peu trop même. Il ne réfléchissait plus vraiment lorsque quelque chose le concernait si bien qu’il avait pris l’habitude de ramasser ses pots cassés. Le truc c’est qu’il pourrait mourir pour lui. Arriva alors le seul moment de sa vie où il avait besoin de se retrouver seul sur sa terre. Ce fut au moment de cette escale qu’il tomba sur cette perle orientale, la seule avec qui il osa affronter la maladie dans les moments les plus intimes de son début d’existence. Une idylle. Une idylle intense qui prit fin le jour où l’appel fraternel retentit. Il ne resta que quelques mois, avant de repartir dans la capitale sud-coréenne, laissant alors son péché sur la terre enneigée. Et aujourd’hui encore il pense à elle, cette femme grâce à qui il a pris de l’assurance. Il la retrouvera il en est certain même si elle semble déjà faire partie de son passé.
S’il y a une chose qu’Aegir a appris durant toutes ces années c’est bien que toutes les larmes ne sont pas un mal.
Bientôt il fallut emmener Ashvin loin de la maison pour lui faire oublier, et parfois le gronder de son esprit belliqueux. Petit et déjà si rempli de haine. L’on pouvait comprendre pourquoi. Reste. Pour maman, pour peut-être un futur plus propice, meilleur et paisible. Aegir n’y croyait pas vraiment, mais il voulait au moins que son frère lutte. Il ne pouvait pas être assez fort pour deux ce gosse, son courage était trop souvent mis à rude épreuve, son corps ne supportait plus toute cette bestialité : il était fragile, mais son mental était d’acier. Lorsque sa mère se retrouvait seule, il se trainait, mauvais marcheur, vers ses cuisses violettes, grimpait dessus et posait ses mains sur ses épaules ; et déjà ses yeux étaient froids, déjà son regard était fermé à toute opportunité. Désillusionné. Enfant sans rêves. Pourtant il disait à sa matrone qu’il l’aimait, qu’il ne voulait pas qu’elle soit « triste ». Et il regardait Ash, et il se sentait une âme de protecteur et de leader avec lui. Aegir ne pesait ni son amour pour son frère, ni l’influence qu’il pouvait avoir sur lui déjà si jeune.
Les yeux meurtris et le cœur anéanti. Il se tenait là, en habit noir, debout, il regardait la fin d’un début de vie désastreux mais il ne voulait pas se rendre à l’évidence que plus jamais il n’entendrait le son de Lullaby sortir de la gorge si claire et si serrée de sa mère. Elle les avait quittés pour toujours, et lui, il ne pouvait pas la ramener, elle avait été dérobée par son bourreau. Aegir s’était trouvé plutôt fort et courageux jusque-là mais il avait échoué et s’était rapidement rendu compte qu’il n’avait rien fait pour arranger réellement les choses : comment le pouvait-il ? Il n’était pas assez mûr pour tout comprendre, pas assez fort pour s’interposer : il ne le sera jamais. Aegir rêvait de courir dans de grandes prairies, rouler dans l’herbe, hurler sa peine, railler sa liberté ; mais il ne le pouvait pas. Lorsqu’il changea à contre cœur son nom de naissance pour un autre, on venait de lui détecter l’un des symptômes de la maladie qui rendait les os aussi fragiles que des brindilles. Le gosse avait eu de la chance dans son malheur cependant ; il n’était qu’à un niveau bas de ce calvaire qui n’évoluerait dans la gravité que s’il se mettait à faire « n’importe quoi ». Moon : la lune, le croissant qui s’épaissit un temps avant de disparaitre et qui renait, sans cesse, qui gravite seul autour d’une planète qui le regarde à peine. Ash et Aegir étaient restés ensemble dans l’épreuve, ils entameraient donc ensemble leur renaissance.
Les fibres d’un nouveau pays le touchaient, d’une nouvelle culture le hantaient. Aegir d’un naturel conventionnel avait refusé pour la première fois de renoncer à ses vraies racines. Avec l’aide d’Ash et de Jihoon il avait cependant appris à parler une langue inconnue, mais jamais il ne put respecter coutumes et traditions. Il ne pouvait, c’était trop outrageant pour la mémoire de sa défunte mère. Il avait réussi, cependant, à aimer une autre femme, à la respecter, à l’aider autant qu’elle, le soutenait. Aegir, doux contraste entre la puissance d’un nom et la fragilité d’un corps. Une maladie qu’il dissimule du mieux qu’il peut. Des moqueurs, et pourtant il assumait : il n’était pas chétif, seulement mal en point depuis des années. Pourtant il est amoureux. Amoureux d’une sensualité qu’il préfère bien souvent regarder, qu’essayer bien que ça lui aille à merveille. Les femmes, parfois les garçons. Mais il a peur de ne pas pouvoir suivre la cadence, alors il se contente souvent de charmer par ses mots : et c’est Ashvin qui les attrape toutes, qui peut les satisfaire de sa force. On préfère bien souvent le tumultueux au sage, le dorée à l’argenté, la passion à l’amour. La nuit et le jour.
Un jour Aegir partit. Il retourna en Russie puisqu’il n’en pouvait plus. Il avait besoin de laisser son sang sur le rivage et de se retrouver dans ses racines. Ô il l’aimait son frère, un peu trop même. Il ne réfléchissait plus vraiment lorsque quelque chose le concernait si bien qu’il avait pris l’habitude de ramasser ses pots cassés. Le truc c’est qu’il pourrait mourir pour lui. Arriva alors le seul moment de sa vie où il avait besoin de se retrouver seul sur sa terre. Ce fut au moment de cette escale qu’il tomba sur cette perle orientale, la seule avec qui il osa affronter la maladie dans les moments les plus intimes de son début d’existence. Une idylle. Une idylle intense qui prit fin le jour où l’appel fraternel retentit. Il ne resta que quelques mois, avant de repartir dans la capitale sud-coréenne, laissant alors son péché sur la terre enneigée. Et aujourd’hui encore il pense à elle, cette femme grâce à qui il a pris de l’assurance. Il la retrouvera il en est certain même si elle semble déjà faire partie de son passé.
S’il y a une chose qu’Aegir a appris durant toutes ces années c’est bien que toutes les larmes ne sont pas un mal.
About me
Je suis...
immortan joe
ici votre maitre sprouts qui vous parle. Me revoilà encore pour jouer le jumeau de ashvin tout spécialement pour ma krona du love , j’espère que vous le trouverez aussi intéressant que son frère, et aussi aimez le, sinon vous aurez deux fois plus d’ennuis je vous envoie du love mes sprouties
lucky blue smith
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Ven 24 Fév - 23:15 Citer EditerSupprimer
TÊTE DE BITE DE FDP OHLALA
fais-moi l'amour
TU T'ES FAIT DÉSIRER WALAH COMMENT JE T'ATTENDAIS MÊME PLUScomment je t'aimeon va s'amuser ohlala - ça va être beau, ça va être puissant, ça va être sialov, ça va être nous mamama
t'es moche
mais je t'aime un peu
askedjfhgz
jpp
jsuis en pls
FAB TWINtwinSPROUTS
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Ven 24 Fév - 23:22 Citer EditerSupprimer
cc
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Sam 25 Fév - 3:08 Citer EditerSupprimer
:nabilla: :nabilla: :nabilla: :nabilla: :nabilla: :nabilla: :nabilla:
CA Y EST J'AI MA DOUBLE DOSE DE FRANGINS JVM PTN LES JUMEAUX Z'ETES SI BEAUX
Courage pour ta fiche ma Ade Jtm
CA Y EST J'AI MA DOUBLE DOSE DE FRANGINS JVM PTN LES JUMEAUX Z'ETES SI BEAUX
Courage pour ta fiche ma Ade Jtm
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Sam 25 Fév - 11:16 Citer EditerSupprimer
salut toi
double de dose de bg rien que pour nos yeux
tu fais du bien à mes rétines (et à autre chose mais on garde ça pour plus tard
rebienvenue à toi et amuse toi bien avec ce nouveau bb
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Sam 25 Fév - 11:48 Citer EditerSupprimer
REBIENVENUE AVEC CE BG
fighting dude
fighting dude
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Sam 25 Fév - 15:01 Citer EditerSupprimer
Re bienvenue à toi
Comme mère nature a été généreuse de faire un tel bg en double
Bon courage pour ta fiche
Comme mère nature a été généreuse de faire un tel bg en double
Bon courage pour ta fiche
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Sam 25 Fév - 15:29 Citer EditerSupprimer
rebienvenue à toi
bon courage pour ta fiche
bon courage pour ta fiche
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Sam 25 Fév - 16:50 Citer EditerSupprimer
Re-bienvenue avec ce beau blond
Vous en avez pas marre d'avoir des perso badass ? hein ! Bon on s'en plaindra pas c'est bon pour nos yeux
Vous en avez pas marre d'avoir des perso badass ? hein ! Bon on s'en plaindra pas c'est bon pour nos yeux
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Re: sialov aegir + cry baby cry baby, 'cause i don't fuckin' care | Dim 26 Fév - 0:38 Citer EditerSupprimer
Déjà qu'un c t cho,mtnt on m'en colle un deuxième .
Vingt dieux
Aller salut et bienvenue
Vingt dieux
Aller salut et bienvenue
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