Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind
Invité
Invité
Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 14:19 Citer EditerSupprimer
nom : Wang 王, en mandarin, ça signifie "Roi", même si je ne ressemble en rien à une demoiselle bien éduquée qui descendrait d'une famille royale. prénom : Bao Hai 宝海, ou "Trésor des mers" ... on se demande bien ce que mes parents ont fumés pour trouvé un prénom aussi stupide... on m'appelle plus souvent par mon surnom BaoBei 宝贝 si tu sais pas ce que ça veut dire faut chercher âge : 23 ans, ça parait peu, mais c’est déjà 23 ans de trop. date et lieu de naissance : le 18 septembre 1994, à Jiufen, Taïwan. origines : Taïwanaise et Coréenne. nationalité : Taïwanaise. cursus universitaire : STAPS, le sport il n’y a que ça de vrai. métier : Barmaid au Babylon. orientation sexuelle : Hétéro en majorité, mais les défis sont fait pour être relevés, alors si tu me plait bien, je ferais une exception . classe sociale : Fauchée comme les blés. code du règlement : ok by shadow tu veux t'investir ? J’pense que le bleu m’irait bien
*** Every child begins the world again ***
Je gambadais, du haut de mes quatre ans, je ne marchais pas, je ne courrais pas, je gambadais, trottinant joyeusement d’un bout à l’autre du petit appartement dans lequel je vivais avec ma mère. Je ne comprenais pas les larmes qui mouillaient ses joues du matin au soir. Je ne savais pas pourquoi celui qu’on me demandait d’appeler papa était parti. Ce n’est que bien plus tard que j’ai appris qu’il avait préféré les instants charnels d’une femme plus jeune à la routine d’un foyer. J’étais coincée avec ma génitrice, celle qui me reprochait d’avoir brisé sa vie et son couple. Et pourtant, elle ne m’a jamais abandonné. Elle aurait peut-être mieux fait. J’imaginais que rejoindre un orphelinat aurait été plus simple, moins dut psychologiquement. Mais elle n’en a rien fait. Au fond, je pense qu’elle m’aimait, mais elle n’avait pas appris à le montrer correctement. Et malheureusement elle m’inculquait à son tour ces comportements. En grandissant je rêvais de plus, je ressentais ce manque d’amour qui compressait ma poitrine, et j’avais décidé que je serais différente. Et même si je n’avais pour amis, que des délinquants, même si j’étais garçon manqué, je ne manquerais pas d’amour. J’irais le chercher, quitte à me battre. Je pense qu’à ce moment j’ignorais ce que cela impliquait, que de donner sans compter pouvait me détruire.
*** Who told you to love ? ***
Le lycée, ce champ de bataille, cette guerre de tous les instants. J’avais mon Hai Ze à mes côtés, mais ça ne suffisait pas. Je ne m’entendais pas avec les pimbêches qui empruntaient les mêmes couloirs, mais depuis quelques temps, j’avais trouvé l’amour. Un garçon pour qui je donnais tout. Chaque jour passé avec lui était comme un miracle, j’étais aimée pour ce que j’étais et j’en étais comblée. Et pourtant… J’avais grandi en pensant que je ne serais pas comme mes parents, que j’arriverais à trouver quelqu’un qui saurait me comprendre et que je chérirais pour l’éternité. Mais avec lui ma vie a pris un tournant. Ils étaient loin les premiers jours romantiques, ceux dont je me languissais en sortant de cours. Il m’amenait des roses, déclarait son amour pour moi presque quotidiennement et ouvertement, il m’appelait sa « femme ». Puis un jour, tout a changé. Je n’étais plus suffisante, je n’étais plus assez belle, assez intéressante. Je ne faisais pas assez comme les autres filles, je n’étais pas assez féminine, ni dévouée. Les humiliations pleuvaient. J’appréhendais chaque jour, et pourtant, je l’aimais. J’aurais dû fuir. J’aurais pu me remettre de ces faux semblants, j’aurais pu me relever après des insultes et des reproches. Nous étions proches, et comme tous les couples nous avions des moments intimes. Il avait arrêté de demandé. Vous pensez que ça se passe dans une ruelle sombre, par un parfait inconnu ? Vous avez tort. Le lit conjugal est la pire des prisons, quelques fois sous la contrainte physique, d’autre sous la pression psychologique, il prenait, sans demander, sans se soucier de mon être qu’il brisait et déchirait en petit morceaux. Il n’a pas été le seul. On pourrait penser qu’une fois c’est suffisant pour comprendre, pour ne pas recommencer l’erreur de fréquenter ce genre de personne. Mais j’avais l’impression d’avoir un écriteau au-dessus de ma tête. « Cette fille a été violée, servez-vous ». J’ai rencontré deux autres hommes. Deux qui ne savaient pas demander non plus. Alors oui, trois agressions quotidiennes c’était beaucoup, trop même, mais à l’époque je pensais que c’était normal. Je pensais qu’un couple devait passer par ces phases d’accord forcées. Je me détestais. Je ne supportais plus mon reflet, ma voix, mon corps, et j’étais laissée à l’abandon. Eux ? Ils avaient eu ce qu’ils voulaient, une poupée capable de les satisfaire même sous la pression. J’avais été possédée et la seule responsable de ce massacre, c’était moi.
*** ‘Cause I’ll be strong again ***
J’ai attenté à ma vie. J’ai voulu en finir en engloutissant les premiers flacons de médicaments qui croisaient mon regard. Je n’ai pas réussi. J’ai fait un séjour à l’hôpital et dans un centre psychiatrique avant de leur dire ce qu’ils voulaient entendre. Quand j’ai pu sortir, reprendre ma vie en main, j’ai changé mon comportement. Les mots de ma mère résonnaient dans ma tête, ce jour où j’avais tenté de lui demander de l’aide. “Tu n’es qu’une trainée, ne t’étonne pas!”. Alors j’avais décidé de vivre comme une trainée. J’avais commencé à séduire, à donner mon corps à ceux qui m’intéressaient, mais je gardais le contrôle. Hors de question d’être une nouvelle fois soumise, j’étais aux commandes et jamais je ne baisserais ma garde. La séduction était devenu un jeu, une drogue de plus, et le contrôle était un moyen pour moi de reprendre ma vie en main. J’avais tort. Cette douleur me procure encore aujourd’hui des cauchemars, que ce soit la nuit ou pleinement éveillée, je revivais ces moments de terreurs. Les coups, la pression, la séquestration… Je me réfugiais dans tout ce qui était nocif, juste pour me redonner la sensation d’exister. Baisser les bras semblait une solution trop facile, alors je me battais, contre mon quotidien, contre mes émotions, et contre la peur qui me paralysait chaque fois que la violence se reflétait dans mes iris.
Wang Bao Hai
Whatever you do, never run back to what broke you ...
FORTE (★★★★✰) | PEU SÛRE D’ELLE (★★★★✰) | SPONTANÉE (★★★★★) | CALCULATRICE (★★✰✰✰) | SÉDUCTRICE (★★★✰✰) |
SOLITAIRE (★★★★✰) | INDÉPENDANTE (★★★✰✰) | MÉFIANTE (★★★✰✰) | OPTIMISTE (malgré tout) (★★★★✰) | DOMINATRICE (★★★★✰) |
Rumour has it... Survole l'avatar, petit coquin. | My character "Les apparences sont trompeuses"... Je ne suis pas celle que vous voyez. Je renvoi une image très négative et j'en suis parfaitement consciente. Quelques fois j'aimerais m'en défaire, mais c'est comme une seconde peau, c'est devenu un besoin viscéral. Je me comporte comme une trainée parce que c'est l'image qu'on m'a donné, n'en déplaise à certains d'ailleurs. J'ai beau paraitre froide et distante, lorsque je m'attache à une personne je lui donnerais mon coeur sans concession, mon corps lui n'est que le théâtre d'une perte de contrôle dissimulée sous un masque de domination. Mon passé est aussi sombre que les ténèbres, et je ne souhaite à personne d'y plonger, ou d'y jeter un regard ne serait-ce que pour quelques instants. Mais c'est ce passé qui m'a forgé telle que je suis. J'ai beau me montrer forte, je réagis mal à la violence, tout simplement parce que des années précieuses de ma vie en sont nimbées. Et pourtant, quel paradoxe de ne répondre que par des mots ou des actes blessants. J'ai grandi à Jiufen, dans les montagnes de Taïwan, portée par une bande de copains, pour la plupart des délinquants, ou simplement des jeunes qui erraient comme moi. Ils m'ont toujours protégé, ne me considérant pas comme une fille fragile, je faisais mon bout de chemin avec eux. Ma ville natale est une bouffée d'air, et pourtant, c'est là bas que tout à commencé. J'ai beaucoup de mal à exprimer mes sentiments, je préfère les longs silences à des paroles vides de sens. Il n'y a qu'un seul garçon pour qui je ressens un profond attachement. Il résiste à mes caprices quand il faut mais cède quand tout mon être cri ce besoin de me laisser aller, il me soutien et m'apporte des rires et des larmes. Mon Hai Ze (sale gosse). Je ne mens pas, j'omets la vérité. Je peux paraitre grossière, mal élevée, mais encore une fois, mon armure demeure infaillible, je ne veux plus être la fille de qui on se moque, je ne veux plus servir, et par dessus tout je ne veux pas être utilisée. Pourtant, j'ai compris depuis bien longtemps que je suis recyclable. Je n'ai pas vraiment l'impression de vivre, mais plutôt de survivre. Laisse moi te montrer, combien il est facile de détester, combien il est simple de plonger ton regard dans mes yeux noir pour t'y perdre, je te ferais découvrir des plaisirs insoupçonnés, mais je ne te ferais pas m'aimer. |
This is my story
citation de ton choix
Je gambadais, du haut de mes quatre ans, je ne marchais pas, je ne courrais pas, je gambadais, trottinant joyeusement d’un bout à l’autre du petit appartement dans lequel je vivais avec ma mère. Je ne comprenais pas les larmes qui mouillaient ses joues du matin au soir. Je ne savais pas pourquoi celui qu’on me demandait d’appeler papa était parti. Ce n’est que bien plus tard que j’ai appris qu’il avait préféré les instants charnels d’une femme plus jeune à la routine d’un foyer. J’étais coincée avec ma génitrice, celle qui me reprochait d’avoir brisé sa vie et son couple. Et pourtant, elle ne m’a jamais abandonné. Elle aurait peut-être mieux fait. J’imaginais que rejoindre un orphelinat aurait été plus simple, moins dut psychologiquement. Mais elle n’en a rien fait. Au fond, je pense qu’elle m’aimait, mais elle n’avait pas appris à le montrer correctement. Et malheureusement elle m’inculquait à son tour ces comportements. En grandissant je rêvais de plus, je ressentais ce manque d’amour qui compressait ma poitrine, et j’avais décidé que je serais différente. Et même si je n’avais pour amis, que des délinquants, même si j’étais garçon manqué, je ne manquerais pas d’amour. J’irais le chercher, quitte à me battre. Je pense qu’à ce moment j’ignorais ce que cela impliquait, que de donner sans compter pouvait me détruire.
Le lycée, ce champ de bataille, cette guerre de tous les instants. J’avais mon Hai Ze à mes côtés, mais ça ne suffisait pas. Je ne m’entendais pas avec les pimbêches qui empruntaient les mêmes couloirs, mais depuis quelques temps, j’avais trouvé l’amour. Un garçon pour qui je donnais tout. Chaque jour passé avec lui était comme un miracle, j’étais aimée pour ce que j’étais et j’en étais comblée. Et pourtant… J’avais grandi en pensant que je ne serais pas comme mes parents, que j’arriverais à trouver quelqu’un qui saurait me comprendre et que je chérirais pour l’éternité. Mais avec lui ma vie a pris un tournant. Ils étaient loin les premiers jours romantiques, ceux dont je me languissais en sortant de cours. Il m’amenait des roses, déclarait son amour pour moi presque quotidiennement et ouvertement, il m’appelait sa « femme ». Puis un jour, tout a changé. Je n’étais plus suffisante, je n’étais plus assez belle, assez intéressante. Je ne faisais pas assez comme les autres filles, je n’étais pas assez féminine, ni dévouée. Les humiliations pleuvaient. J’appréhendais chaque jour, et pourtant, je l’aimais. J’aurais dû fuir. J’aurais pu me remettre de ces faux semblants, j’aurais pu me relever après des insultes et des reproches. Nous étions proches, et comme tous les couples nous avions des moments intimes. Il avait arrêté de demandé. Vous pensez que ça se passe dans une ruelle sombre, par un parfait inconnu ? Vous avez tort. Le lit conjugal est la pire des prisons, quelques fois sous la contrainte physique, d’autre sous la pression psychologique, il prenait, sans demander, sans se soucier de mon être qu’il brisait et déchirait en petit morceaux. Il n’a pas été le seul. On pourrait penser qu’une fois c’est suffisant pour comprendre, pour ne pas recommencer l’erreur de fréquenter ce genre de personne. Mais j’avais l’impression d’avoir un écriteau au-dessus de ma tête. « Cette fille a été violée, servez-vous ». J’ai rencontré deux autres hommes. Deux qui ne savaient pas demander non plus. Alors oui, trois agressions quotidiennes c’était beaucoup, trop même, mais à l’époque je pensais que c’était normal. Je pensais qu’un couple devait passer par ces phases d’accord forcées. Je me détestais. Je ne supportais plus mon reflet, ma voix, mon corps, et j’étais laissée à l’abandon. Eux ? Ils avaient eu ce qu’ils voulaient, une poupée capable de les satisfaire même sous la pression. J’avais été possédée et la seule responsable de ce massacre, c’était moi.
J’ai attenté à ma vie. J’ai voulu en finir en engloutissant les premiers flacons de médicaments qui croisaient mon regard. Je n’ai pas réussi. J’ai fait un séjour à l’hôpital et dans un centre psychiatrique avant de leur dire ce qu’ils voulaient entendre. Quand j’ai pu sortir, reprendre ma vie en main, j’ai changé mon comportement. Les mots de ma mère résonnaient dans ma tête, ce jour où j’avais tenté de lui demander de l’aide. “Tu n’es qu’une trainée, ne t’étonne pas!”. Alors j’avais décidé de vivre comme une trainée. J’avais commencé à séduire, à donner mon corps à ceux qui m’intéressaient, mais je gardais le contrôle. Hors de question d’être une nouvelle fois soumise, j’étais aux commandes et jamais je ne baisserais ma garde. La séduction était devenu un jeu, une drogue de plus, et le contrôle était un moyen pour moi de reprendre ma vie en main. J’avais tort. Cette douleur me procure encore aujourd’hui des cauchemars, que ce soit la nuit ou pleinement éveillée, je revivais ces moments de terreurs. Les coups, la pression, la séquestration… Je me réfugiais dans tout ce qui était nocif, juste pour me redonner la sensation d’exister. Baisser les bras semblait une solution trop facile, alors je me battais, contre mon quotidien, contre mes émotions, et contre la peur qui me paralysait chaque fois que la violence se reflétait dans mes iris.
About me
Mes petits chats ... j'ai faibli ...
Vérifié, validé et tamponné sur la fesse droite par le second membre de la team Boulet, j'ai nommé Mallau d'amûûûûûr
Je suis...
Michi
Mes petits chats ... j'ai faibli ...
Vérifié, validé et tamponné sur la fesse droite par le second membre de la team Boulet, j'ai nommé Mallau d'amûûûûûr
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/t11727-wang-bao-hai-i-was-quiet-but-not-blind][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>Kim Yu Bin (YUBIN, WONDER GIRLS)</upper></taken> ✎ <lower>Wang Bao Hai</lower>
Supprimez le code inutile
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 14:21 Citer EditerSupprimer
- Spoiler:
- :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2: :bang2:
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 14:25 Citer EditerSupprimer
HIHIHIHIHIHIHIIHIHIHIHIHIHIHIHI
les mots m'échappent
i love you you know dat
les mots m'échappent
i love you you know dat
- Spoiler:
- :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago: :bago:
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 14:31 Citer EditerSupprimer
@Je Ha :
@Dodo : J'te kif' aussi, tu sais ce qui t'attend ... :heh:
- Spoiler:
- :heh:
@Dodo : J'te kif' aussi, tu sais ce qui t'attend ... :heh:
- Spoiler:
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 14:52 Citer EditerSupprimer
bienvenue ma belle & bonne chance pour ta fiche
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 14:58 Citer EditerSupprimer
(re?)bienvenue par ici
Bon courage pour ta fiche, have fun surtout
Bon courage pour ta fiche, have fun surtout
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 15:03 Citer EditerSupprimer
t bone t ki
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 15:07 Citer EditerSupprimer
@Seo Jun : Merci
@Ji Hoon : Who knows ...
Merci en tout cas
@Jin Kyung : Hey Korean rocco ...
Tu veux vraiment savoir ? Viens dans mon lit je vais te le susurrer ...
@Ji Hoon : Who knows ...
Merci en tout cas
@Jin Kyung : Hey Korean rocco ...
Tu veux vraiment savoir ? Viens dans mon lit je vais te le susurrer ...
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 16:58 Citer EditerSupprimer
mais qui est donc cette beauté fatale ?
(j'aime bien draguer avec mon perso le moins dragueur, ça m'donne un genre, m'voyez )
bienvenue ici, et au plaisir de pouvoir te lécher la joue
(j'aime bien draguer avec mon perso le moins dragueur, ça m'donne un genre, m'voyez )
bienvenue ici, et au plaisir de pouvoir te lécher la joue
Invité
Invité
Re: Wang Bao Hai ▬ I was quiet, but not blind | Lun 27 Fév - 18:15 Citer EditerSupprimer
@Syu : Dragues moi, viens me lécher la joue, et quand tu auras fini, je te tendrais l'autre
J'ai mis quelques News, suis-je toujours un mystère ?
J'ai mis quelques News, suis-je toujours un mystère ?
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3