BANG KELSEY HARU
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BANG KELSEY HARU | Ven 3 Mar - 2:58 Citer EditerSupprimer
nom : bang. prénom : kelsey mais pour des raisons de prononciation et d'intégration, elle se fait appeler Haru en Corée. âge : 21 ans. date et lieu de naissance : états-unis, 28 août 1995 . origines : père américain, mère d'origine argentine mais de nationalité américaine. nationalité : américaine, dossier de naturalisation coréenne en cours. cursus universitaire : 3ème année de droit. métier : danseuse à la YG. orientation sexuelle : hétérosexuelle. classe sociale : too much money. code du règlement : ok. tu veux t'investir ? gumi
Bang (Kelsey) Haru
PUT'EM'UP
ENERGIQUE (★★★★★) | IMPRUDENTE (★★★✰✰) | SOURIANTE (★★★★★) | PERFECTIONNISTE (★★★✰✰) | TALENTUEUSE (★★★★★) |
RANCUNIERE (★✰✰✰✰) | SOCIABLE (★★★✰✰) | OBSTINEE (★★★★★) | PETILLANTE (★★★★★) | NAIVE (★★✰✰✰) |
Rumour has it... elle passe sa vie à sécher, elle va rater son année (faux, ses absences sont justifiées par son travail, elle rattrape tout ses cours) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Haru est ce rayon de ciel qui viendra égayer votre vie bien qu’il pleut dans la sienne. Elle viendra vous parler spontanément, rire et plaisanter avec vous-même si vous ne la connaissez pas ou pas tellement. Pas timide pour un sous et dévouée : Elle pense aux autres avant de penser à elle, est intimement persuadée qu’il est important de rendre les gens autour d’elle heureux avec des petites attentions. Elle vous sourira toujours, rira sûrement constamment à vos blagues l’air de rien mais pourtant, elle a parfois quelques moments de faiblesses que vous ne soupçonnait pas. Parfois elle se met à penser beaucoup trop, au point à se faire du mal et à rechercher des solutions qu’elle n’a pas. Elle finit par s’arracher les cheveux, à se mettre à pleurer de rage et de colère. C’est peut-être pour cela qu’elle est bavarde, ce genre de fille qui ne vous en laisse pas placer une quitte à dire n’importe quoi, trop angoissée par ce silence qu’elle connait destructeur et c'est pour cette même raison qu'elle cherche constamment de la compagnie. Bien sûr qu’elle pourrait en parler, évidemment qu’elle a des amis à qui elle pourrait se confier, pourtant elle ne le fait pas. Elle est trop fière, souhaite se montrer assez forte pour supporter le problème de ses ami(e)s et n’est pas ce genre de personne qui se plaint car après tout, il y aura toujours plus malheureux qu'elle. Autant lorsqu’il s’agit de sa joie, des sentiments positif qu’elle ressent, elle est très extravertie allant jusqu’à pouvoir le crier partout, mais alors lorsqu’il s’agit de peine, elle n’est plus de la partie. Mais n'allait pas croire qu'elle est ce genre de personne qui voit le monde en noir: Haru peint elle même son monde de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel à coups de rires sincères et de sourires immenses. Comme dans les montagnes russes, la montée se fait aussi rapide que la descente. Son père lui a également appris la détermination et cet esprit compétitif qu’elle possède. Il lui a appris à aller au bout de ses rêves, que dans la vie il faut être le meilleur. Même la seconde place est un échec. Sans cet apprentissage, aujourd’hui, Haru doute de pouvoir être arrivée là où elle en est. Il n’y a pas que sa passion sans fin pour la danse qui l’a aidée, mais aussi le travail, l’acharnement : toutes ses heures à répéter sans cesse, encore et encore au point de s’endormir sur le planché. Elle n’est pas peu fière d’être professionnelle et d’exercer au sein de l’immense label qu’est la YG. |
This is my story
citation de ton choix
Quatre heures et treize minutes. C’est ce qu’affiche le réveil posé sur la table de nuit, près du lit. Ses yeux papillonnent doucement lourds de sommeil, piquants de fatigue et tiraillés par l’insomnie qui la ronge depuis une bonne partie de la nuit maintenant. Son corps se détend. Elle a la douce impression de se fondre dans ses draps. Ses muscles semblent finalement lâcher prise, se décontractent. Son esprit semble comme s’envoler, s’envoler lentement dans les bras de Morphée.
Perdant toute notion du temps, ne percevant presque plus rien autour d’elle, elle ne peut cependant pas ignorer le bruit fracassant à la porte d’entrée. Elle se lève dans un bond aussi puissant que celui de son cœur. Les cheveux en bataille, le pyjama mal ajusté, elle accourt dans le salon voir ce qui se passe. La lumière artificielle lui brûle un peu la rétine, elle met sa main pâle devant ses yeux le temps que sa vue s’y adapte. Une dizaine d’homme en noir grouillent dans la pièce, saccages tout ou du moins ils en avaient l’air. Ils vident tous les tiroirs, démontent le canapé comme à la recherche de quelque chose. Comme si ils étaient dans une fourmilière, ils viennent et sortent de chaque pièce de la maison familiale. « Maman qu’est ce qui se passe ? » Lance-t-elle la voix tremblante de panique à l’intention de cette femme au milieu du salon qui ne semble rien comprendre non plus. Elle n’obtient aucune réponse. Complètement perdue, elle a beau se tourner et se retourner, elle ne semble plus retrouver de repères rassurant, pas même dans les murs témoins de son enfance. Son corps semble vide, dépourvu de toute force que la peur lui a ôté. Ils grouillent de partout comme cette angoisse qui grignote ses pensées, elle a du mal à respirer, elle se sent terriblement oppressée. A la recherche d’une figure rassurante, elle croise le regard de son père. Elle voulut courir le rejoindre, lui demander ses bras dans lesquels elle a longtemps cru qu’il ne lui arrivera rien mais un homme en noir l’en empêcha au premier mouvement. Il lui demande à la suivre pour prendre sa version, lui poser quelques questions ? « Quoi ? » Elle bégaye un peu, ne comprenant pas un seul mot. Elle gigote un peu, cherche toujours à attirer l’attention de son père pendant que l’homme tente de l’en empêcher la faisant reculer pour entrer dans une pièce. Son regard descend rencontrer ses mains menottées. C’est une lame qui s’enfonce dans son cœur, encore et encore au fur et à mesure qu’elle s’éloigne de lui. Des larmes se forment aux coins de ses joues. Elle se tourne et s’engouffre dans cette pièce où l’homme l’emmène. Tout y est noir, tout y est sombre bien même qu’elle n’est pas entendu la porte se fermer. Il y fait un silence glacial, dangereux. Ses oreilles sifflent un peu, son cœur se met à battre à une vitesse folle dans sa poitrine. Le bruit fatal du marteau du juge frappant résonne dans toute la pièce, la voix de ce dernier annonçant l’emprisonnement de son père pour une durée de dix ans pour escroquerie et tentative d'homicide semble l’achever.
Elle se lève dans un bond, réveillée et agitée par ses sentiments qui viennent creuser son ventre. Elle met quelques minutes à reprendre ses esprits. Petit à petit elle redécouvre sa chambre d’étudiante, comprend que son cerveau a décidé de lui faire revivre à nouveau ce souvenir douloureux. Elle essuie les larmes qui coulaient sur ses joues comme à chaque fois que ce cauchemar revient. La jeune femme regarde à nouveau l’heure : six heures et demie. Elle prend l’initiative de se lever tout de suite pour se préparer, éteignant son réveil afin de ne pas réveiller ses colocataires. D’un pas lent elle se dirige vers la salle de bain se répétant mentalement que tout finira par aller. Pour s’en persuader, elle repense à toutes les bonnes choses qui composent sa vie. Aujourd’hui elle allait exercer sa passion avec sa voiture luxueuse à l’image de tous les caprices que ses parents lui cédaient depuis sa naissance. Elle n’avait qu’à ouvrir la bouche et dans l’heure son vœu était exaucé. Entendu comme cela on pourrait immédiatement lui donner l’image d’une jeune fille pourrie gâtée qui n’a nullement connaissance de la valeur de l’argent. Cela a longtemps été vrai durant son enfance ainsi qu’une partie son adolescence mais fort heureusement ses parents ont su rectifiés le tir. Elle a conscience qu’elle ne pourra pas se reposer éternellement sur leur fortune qui a faiblit aujourdhui suite à l’emprisonnement du paternel et qu’elle devait se construire un empire à elle. Elle a choisi de vivre de sa passion depuis ses huit ans maintenant, poursuivant même lorsqu'ils ont emménagés en Corée pour affaires : la danse. Cela ne durera pas éternellement même si elle s’applique à garder un corps sain, elle compte bien en profiter au maximum.
Son reflet de passage devant le miroir et sans même qu'elle ne s'en rende compte, un sourire s'est inscrit sur son visage.
Perdant toute notion du temps, ne percevant presque plus rien autour d’elle, elle ne peut cependant pas ignorer le bruit fracassant à la porte d’entrée. Elle se lève dans un bond aussi puissant que celui de son cœur. Les cheveux en bataille, le pyjama mal ajusté, elle accourt dans le salon voir ce qui se passe. La lumière artificielle lui brûle un peu la rétine, elle met sa main pâle devant ses yeux le temps que sa vue s’y adapte. Une dizaine d’homme en noir grouillent dans la pièce, saccages tout ou du moins ils en avaient l’air. Ils vident tous les tiroirs, démontent le canapé comme à la recherche de quelque chose. Comme si ils étaient dans une fourmilière, ils viennent et sortent de chaque pièce de la maison familiale. « Maman qu’est ce qui se passe ? » Lance-t-elle la voix tremblante de panique à l’intention de cette femme au milieu du salon qui ne semble rien comprendre non plus. Elle n’obtient aucune réponse. Complètement perdue, elle a beau se tourner et se retourner, elle ne semble plus retrouver de repères rassurant, pas même dans les murs témoins de son enfance. Son corps semble vide, dépourvu de toute force que la peur lui a ôté. Ils grouillent de partout comme cette angoisse qui grignote ses pensées, elle a du mal à respirer, elle se sent terriblement oppressée. A la recherche d’une figure rassurante, elle croise le regard de son père. Elle voulut courir le rejoindre, lui demander ses bras dans lesquels elle a longtemps cru qu’il ne lui arrivera rien mais un homme en noir l’en empêcha au premier mouvement. Il lui demande à la suivre pour prendre sa version, lui poser quelques questions ? « Quoi ? » Elle bégaye un peu, ne comprenant pas un seul mot. Elle gigote un peu, cherche toujours à attirer l’attention de son père pendant que l’homme tente de l’en empêcher la faisant reculer pour entrer dans une pièce. Son regard descend rencontrer ses mains menottées. C’est une lame qui s’enfonce dans son cœur, encore et encore au fur et à mesure qu’elle s’éloigne de lui. Des larmes se forment aux coins de ses joues. Elle se tourne et s’engouffre dans cette pièce où l’homme l’emmène. Tout y est noir, tout y est sombre bien même qu’elle n’est pas entendu la porte se fermer. Il y fait un silence glacial, dangereux. Ses oreilles sifflent un peu, son cœur se met à battre à une vitesse folle dans sa poitrine. Le bruit fatal du marteau du juge frappant résonne dans toute la pièce, la voix de ce dernier annonçant l’emprisonnement de son père pour une durée de dix ans pour escroquerie et tentative d'homicide semble l’achever.
Elle se lève dans un bond, réveillée et agitée par ses sentiments qui viennent creuser son ventre. Elle met quelques minutes à reprendre ses esprits. Petit à petit elle redécouvre sa chambre d’étudiante, comprend que son cerveau a décidé de lui faire revivre à nouveau ce souvenir douloureux. Elle essuie les larmes qui coulaient sur ses joues comme à chaque fois que ce cauchemar revient. La jeune femme regarde à nouveau l’heure : six heures et demie. Elle prend l’initiative de se lever tout de suite pour se préparer, éteignant son réveil afin de ne pas réveiller ses colocataires. D’un pas lent elle se dirige vers la salle de bain se répétant mentalement que tout finira par aller. Pour s’en persuader, elle repense à toutes les bonnes choses qui composent sa vie. Aujourd’hui elle allait exercer sa passion avec sa voiture luxueuse à l’image de tous les caprices que ses parents lui cédaient depuis sa naissance. Elle n’avait qu’à ouvrir la bouche et dans l’heure son vœu était exaucé. Entendu comme cela on pourrait immédiatement lui donner l’image d’une jeune fille pourrie gâtée qui n’a nullement connaissance de la valeur de l’argent. Cela a longtemps été vrai durant son enfance ainsi qu’une partie son adolescence mais fort heureusement ses parents ont su rectifiés le tir. Elle a conscience qu’elle ne pourra pas se reposer éternellement sur leur fortune qui a faiblit aujourdhui suite à l’emprisonnement du paternel et qu’elle devait se construire un empire à elle. Elle a choisi de vivre de sa passion depuis ses huit ans maintenant, poursuivant même lorsqu'ils ont emménagés en Corée pour affaires : la danse. Cela ne durera pas éternellement même si elle s’applique à garder un corps sain, elle compte bien en profiter au maximum.
Son reflet de passage devant le miroir et sans même qu'elle ne s'en rende compte, un sourire s'est inscrit sur son visage.
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je suis blonde, je suis picarde et j'ai déjà des comptes ici, JE SUIS JE SUIS JE SUIS?
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Re: BANG KELSEY HARU | Ven 3 Mar - 2:59 Citer EditerSupprimer
PREUMS DE L'AMOUR KESKYA
Je reviens keumem edit pck wllh comment t'es trop la plus belle
T'es trop la botey parfaite ohlalala
Bon reboot futur bebe de moi que j'aime déjà a la folie
:
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Re: BANG KELSEY HARU | Ven 3 Mar - 7:30 Citer EditerSupprimer
Jr suis tristesse et colère . Je editerais plus tard
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Re: BANG KELSEY HARU | Ven 3 Mar - 10:00 Citer EditerSupprimer
'tain t'as tellement de comptes j'ai perdu le fil j'ai même pas rencontré Haru avant son reboot la TEU-HON !!
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La Doyenne
★★★★★ CROWNED SHAKER
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Re: BANG KELSEY HARU | Ven 3 Mar - 16:23 Citer EditerSupprimer
Wonderland is straight right
Ta fiche est validée !
Tu l'as fait ! Tu as réussi ! Bravo
Coucou ! Si tu lis ce message de love c'est que ta fiche m'a fait tourner dans le vide :04:
Bienvenue surTa première mission, si tu l'acceptes, c'est de POSTER TON ACTIVITÉ RP pour qu'on puisse bien s'assurer que tu bootyshakes avec nous suffisamment régulièrement pour pas qu'on se sente trop paro sans toi... Ensuite t'auras le droit d'aller te chercher quelques potos ICI mais n'attends pas que les gens viennent te proposer de faire boum boum boum. Si tu viens à eux c'est encore mieux ! Vaut mieux que tu passes PAR LÀ aussi, c'est pour ton bien ! Et tu peux aussi nous montrer ta vie sur ton GNS avec les photos que t'as prises sur ton TÉLÉPHONE trop stylé. Et si t'es trop timide pour demander le numéro du canon qui était juste en face de toi en cours, tu peux le faire anonymement sur TWITTER ! Maintenant que t'es en règle, tu peux aller FLOODER comme le fifou que tu es.SHAKE THE WORLD et plus précisément chez lesgumiho !
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