n o t s o r r y ▬ kyuxash
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n o t s o r r y ▬ kyuxash | Jeu 9 Mar - 16:51 Citer EditerSupprimer
forgot about missing you
moon kyu x ashvin
I been knocked down, but every time I rose, 'cause I can move a mountain with my bare hands. just need a fair chance, I never let 'em down. I never settled down, I came to get the crown.
outfit ▬ A écrire et écrire sur un papier ce qui était censé dessiner son avenir, la journée se faisait d’un ennui à rendre les morts désespérés. Le plus blond de la promo soupirait, la tête tenue par la paume de sa main, calée sur un coin de sa table, n’écoutait même plus ce qu’il se passait devant lui et avait même renoncé à écrire son dernier cours de la journée. Il jetait un œil sur toutes les personnes, concentrées, elles, sur les paroles de leur professeur de droit international, et il finit par donner un coup de coude à son voisin. « T’as pas envie qu’on se barre là ? » Un soupire à sa réponse et le russe comprit qu’il serait le seul à partir aussi tôt ce soir-là, alors Ashvin prit ses affaires et se leva de sa nonchalance légendaire, dérangea toutes les personnes de sa rangée par la même occasion et ne fit aucun effort pour ne pas se faire remarquer. Il traversa l’amphithéâtre sans vraiment se presser mais n’oublia pas sa politesse provocante en saluant le professeur avant de passer la double porte. Il savait que plusieurs personnes auraient soupiré à son départ, le branleur au sourire perçant sur les lèvres aimait inutilement cette idée.
Ashvin se dirigea alors vers le pôle santé pour sortir de la fac, traversa un couloir avant de se retrouver dans celui des casiers. Démêlant ses écouteurs sortis de la poche de son pull, son attention fut attirée par une silhouette qu’il aurait reconnue entre mille. Un sourire, presque espiègle, presque vicieux, sa journée navrante allait tourner en quelque chose de bien plus captivant, presque enivrant. Et quelques pas lui suffirent pour se mettre derrière la porte du casier ouverte, il remit ses écouteurs à leur place, bien moins inspirant que sa nouvelle proie du jour. La porte métallique finit par claquer et Ashvin arbora un de ses sourires dont il en avait le secret. « Salut kyu-ah, ça fait longtemps. » adossé aux autres casiers, il détailla le visage de son opposant pour que les souvenirs reviennent alors qu’il avait presque oublié ses traits. « Comment tu vas ? » l’orage allait bientôt le frapper de sa foudre et le russe allait se sentir un peu plus vivant, un peu plus grand alors que ses yeux pétillaient d’une lueur malsaine qui le caractérisait si bien. Son cœur et son âme brûlaient un peu plus, avaient gagné en enthousiasme et son sourire ne le quittait désormais plus, juste pour lui, juste pour sa rage.
Ashvin se dirigea alors vers le pôle santé pour sortir de la fac, traversa un couloir avant de se retrouver dans celui des casiers. Démêlant ses écouteurs sortis de la poche de son pull, son attention fut attirée par une silhouette qu’il aurait reconnue entre mille. Un sourire, presque espiègle, presque vicieux, sa journée navrante allait tourner en quelque chose de bien plus captivant, presque enivrant. Et quelques pas lui suffirent pour se mettre derrière la porte du casier ouverte, il remit ses écouteurs à leur place, bien moins inspirant que sa nouvelle proie du jour. La porte métallique finit par claquer et Ashvin arbora un de ses sourires dont il en avait le secret. « Salut kyu-ah, ça fait longtemps. » adossé aux autres casiers, il détailla le visage de son opposant pour que les souvenirs reviennent alors qu’il avait presque oublié ses traits. « Comment tu vas ? » l’orage allait bientôt le frapper de sa foudre et le russe allait se sentir un peu plus vivant, un peu plus grand alors que ses yeux pétillaient d’une lueur malsaine qui le caractérisait si bien. Son cœur et son âme brûlaient un peu plus, avaient gagné en enthousiasme et son sourire ne le quittait désormais plus, juste pour lui, juste pour sa rage.
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Re: n o t s o r r y ▬ kyuxash | Dim 30 Avr - 21:06 Citer EditerSupprimer
forgot about missing you
moon kyu x ashvin
I been knocked down, but every time I rose, 'cause I can move a mountain with my bare hands. just need a fair chance, I never let 'em down. I never settled down, I came to get the crown.
outfit ▬ La fatigue l'assomme, réduit à néant toutes ses tentatives de concentration sur le cours qui ne parvient à ses tympans que comme un bruit de fond neutralisant tout le sens des mots de son professeur. Ses paupières affrontent son courage, gagnent la partie lorsqu'elles réussissent à se fermer pour de bon, que son visage jusque là appuyé dans un équilibre instable contre la paume de sa main s'échoue finalement sur son bureau. Gamin qui fait soupirer son enseignant, qui reçoit les remarques négatives des autres élèves. Qu'importe, l'inconscience l'a emporté là où il ne peut les entendre. Elle gagne un peu plus de terrain chaque jour la narcolepsie, le déconnecte du monde de plus en plus régulièrement malgré les traitements, malgré les précautions. Il n'en guérira pas, après tout.
Et puis une sonnerie. Stridente, qui agresse ses oreilles et l'extirpe de force de sa bulle d'apaisement. Un grognement, un second, des yeux rougis par la fatigue qui peinent à s'ouvrir, un cou douloureux qui craque lorsqu'il se redresse, lance un regard neutre à son professeur avant de ranger ses affaires puis de quitter la pièce sans demander le cours. À quoi bon après tout, puisque l'abandon de ses études est si proche. Alors Kyu il longe le mur du couloir, prêt à s'y appuyer si jamais ses jambes refusent de le porter encore, et puis il sort son téléphone de sa poche, envoie un rapide message à son copain qu'il doit retaper plusieurs fois tant sa vue lui fait défaut. Et la rangée de casiers se dessine enfin face à lui pendant qu'il se traine jusqu'au sien, le déverrouille d'un coup sec et se débarrasse de ses livres abîmés.
La porte se verrouille à nouveau, et le son désagréable du métal est englouti par une voix plus aggressive encore pour ses tympans. Tout son corps frissonne, sursaute, toute sa fatigue disparaît pour être remplacée par une rage qui croît rapidement, crispe sa mâchoire et le pousse à bousculer ce corps qu'il connaît trop bien (qu'il connaît par coeur). Toute la haine du monde teinte ses iris plantés directement dans celles du plus grand qu'il maintient contre le métal froid. « J't'ai déjà dit de plus m'appeler comme ça putain. » Il se fout bien des élèves qui les entourent, ne voit que le blond qui le met hors de lui, simplement avec ce surnom et ce rictus suffisant dessiné sur ses lèvres qu'il a autrefois tant embrassées. Et ah, comment ont-ils pu en arriver là ? La pression exercée sur son col se relâche subitement, et le môme est presque contraint de se rattraper au plus grand à cause de la baisse de tonus qui arrive au plus mauvais moment. « Fous moi la paix bordel c'est pas compliqué, j'veux plus te voir. »
Et puis une sonnerie. Stridente, qui agresse ses oreilles et l'extirpe de force de sa bulle d'apaisement. Un grognement, un second, des yeux rougis par la fatigue qui peinent à s'ouvrir, un cou douloureux qui craque lorsqu'il se redresse, lance un regard neutre à son professeur avant de ranger ses affaires puis de quitter la pièce sans demander le cours. À quoi bon après tout, puisque l'abandon de ses études est si proche. Alors Kyu il longe le mur du couloir, prêt à s'y appuyer si jamais ses jambes refusent de le porter encore, et puis il sort son téléphone de sa poche, envoie un rapide message à son copain qu'il doit retaper plusieurs fois tant sa vue lui fait défaut. Et la rangée de casiers se dessine enfin face à lui pendant qu'il se traine jusqu'au sien, le déverrouille d'un coup sec et se débarrasse de ses livres abîmés.
La porte se verrouille à nouveau, et le son désagréable du métal est englouti par une voix plus aggressive encore pour ses tympans. Tout son corps frissonne, sursaute, toute sa fatigue disparaît pour être remplacée par une rage qui croît rapidement, crispe sa mâchoire et le pousse à bousculer ce corps qu'il connaît trop bien (qu'il connaît par coeur). Toute la haine du monde teinte ses iris plantés directement dans celles du plus grand qu'il maintient contre le métal froid. « J't'ai déjà dit de plus m'appeler comme ça putain. » Il se fout bien des élèves qui les entourent, ne voit que le blond qui le met hors de lui, simplement avec ce surnom et ce rictus suffisant dessiné sur ses lèvres qu'il a autrefois tant embrassées. Et ah, comment ont-ils pu en arriver là ? La pression exercée sur son col se relâche subitement, et le môme est presque contraint de se rattraper au plus grand à cause de la baisse de tonus qui arrive au plus mauvais moment. « Fous moi la paix bordel c'est pas compliqué, j'veux plus te voir. »
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Re: n o t s o r r y ▬ kyuxash | Mer 3 Mai - 14:09 Citer EditerSupprimer
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outfit ▬ Cramé à la recherche du vice, aux insultes, à l’appel de son corps qui demandait, qui criait aux sévices et à leurs amis pour danser sur la corde de raide, pour ressentir plus, mieux, pour souffrir et surtout survivre. Parce qu’il la cherchait la souffrance, la cherchait quand il ne savait plus ressentir le mal le prendre jusqu’aux tripes, quand il n’arrivait qu’à sourire à la démence lorsqu’on les doigts se serraient sur sa gorge. Et il l’aimait cette lueur qui animait les yeux de l’australien, il aimait voir la furie se mouvoir au rythme des battements de son cœur jusqu’à l’emmener dans un autre monde, celui dans lequel il se sentait chez lui, là où il pouvait sourire même quand l’opposant l’attaquait, surtout quand l’opposant l’attaquait.
Et il s’écrasa contre l’un des casiers, le russe, y alla de tout son poids avec enjouement, avec ce sourire répugnant. Auparavant, Kyu le poussait pour mieux l’embrasser, pour mieux dévorer la brutalité de leurs échanges précieux, jusqu’à déposer des marques sur sa peau pâle, violacées, rougeâtres, morsures, griffures et parfois même, quand il arrivait à ce regard dans un miroir, il y voyait encore le souvenir de certains ébats trop violents, trop intenses pour deux corps aussi frêles que les leurs. Et ça le faisait toujours plus sourire, Ash, de se rappeler, de les imaginer avant qu’il ne détruise le plus jeune pour que sa lueur se forme en quelque chose de bien plus excitant, de plus attrayant, qu’il voulait attraper, provoquer pour mieux le sentir contre son visage.
La délectation dessinait la courbe de ses yeux lorsque Kyu ouvrit la bouche, et il fut tenté de recommencer, à prononcer le surnom maudit, celui qui était la clef de ses vices les plus profonds, qui aurait pu le faire jouir d’une sensation bien trop forte, bien trop puissante qu’il lui aurait donné trop de grandeur pour son âme miteuse. Sourire vicieux qui ne fut pas surpris lorsque la pression s’enleva de son col pour que l’être qui lui faisait face cède à sa fatigue, à sa faiblesse. « J’avais t’ramener chez toi, Kyu-ah. » et pour une fois, il était sérieux, Ash, pour une fois, il le retint par le bras pour ne pas le laisser tomber (pas comme il avait si bien su le faire autrefois) – mais les deux syllabes lui échappèrent presque innocemment, presque inconsciemment mais par égoïsme certain, il ne regrettait aucunement que sa langue ait fourché parce qu’il savait les conséquences qu’elles pouvaient avoir, ces deux petites syllabes, insignifiantes pour certains, brûlantes et acérées pour un, pour lui.
Et il s’écrasa contre l’un des casiers, le russe, y alla de tout son poids avec enjouement, avec ce sourire répugnant. Auparavant, Kyu le poussait pour mieux l’embrasser, pour mieux dévorer la brutalité de leurs échanges précieux, jusqu’à déposer des marques sur sa peau pâle, violacées, rougeâtres, morsures, griffures et parfois même, quand il arrivait à ce regard dans un miroir, il y voyait encore le souvenir de certains ébats trop violents, trop intenses pour deux corps aussi frêles que les leurs. Et ça le faisait toujours plus sourire, Ash, de se rappeler, de les imaginer avant qu’il ne détruise le plus jeune pour que sa lueur se forme en quelque chose de bien plus excitant, de plus attrayant, qu’il voulait attraper, provoquer pour mieux le sentir contre son visage.
La délectation dessinait la courbe de ses yeux lorsque Kyu ouvrit la bouche, et il fut tenté de recommencer, à prononcer le surnom maudit, celui qui était la clef de ses vices les plus profonds, qui aurait pu le faire jouir d’une sensation bien trop forte, bien trop puissante qu’il lui aurait donné trop de grandeur pour son âme miteuse. Sourire vicieux qui ne fut pas surpris lorsque la pression s’enleva de son col pour que l’être qui lui faisait face cède à sa fatigue, à sa faiblesse. « J’avais t’ramener chez toi, Kyu-ah. » et pour une fois, il était sérieux, Ash, pour une fois, il le retint par le bras pour ne pas le laisser tomber (pas comme il avait si bien su le faire autrefois) – mais les deux syllabes lui échappèrent presque innocemment, presque inconsciemment mais par égoïsme certain, il ne regrettait aucunement que sa langue ait fourché parce qu’il savait les conséquences qu’elles pouvaient avoir, ces deux petites syllabes, insignifiantes pour certains, brûlantes et acérées pour un, pour lui.
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Re: n o t s o r r y ▬ kyuxash | Lun 10 Juil - 23:54 Citer EditerSupprimer
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outfit ▬ Kyu il avait promis d'apprendre à se contrôler, il avait promis de ne plus écouter ses pulsions, son agressivité . Il avait promis de le plus lever le poing, de ne plus laisser la rage bouillir jusqu'à prendre le dessus sur sa raison. Et Kyu il n'a pas menti, pas vraiment. Parce qu'il essaye, il y met tout son coeur pour ne plus rentrer chez lui (chez eux) couvert de bleus, de tâches pourpres sur ses vêtements abîmés. Mais le môme a encore du mal, c'est qu'on efface pas cinq ans d'habitudes d'un revers de main. Et devant Ash il ne peut opposer aucune résistance face à sa haine, son envie de sentir ses os craquer sous la force de ses coups. Il y avait cette époque pourtant, celle où ils ne se sentaient vivant qu'entre les bras de l'autre, qu'ils ne trouvaient leur souffle qu'en allant voler celui du second directement à ses lippes. Kyu avait eu besoin de lui, de son arrogance, de cette relation-poison, de ses baisers presque morsures, de son corps dont il connaissait chaque angle, chaque courbe. Et ils étaient sans doute trop similaires, probablement trop tout. Ça n'aurait pas pu bien se terminer, ils ne peuvent définitivement pas simplement laisser le passé au passé. Ou du moins, l'Australien lui en est incapable, et son vis-à-vis s'en amuse beaucoup trop à son goût. Mais il y a Jay qui s'ajoute à l'équation, et il est hors de question que le blond ne découvre son existence. Pas parce que Kyu n'assume pas sa relation ou en a honte, simplement parce qu'il craint qu'Ash ne s'en prenne au garçon qu'il aime ou ne tente de les séparer.
Alors son envie -non, son besoin de le massacrer ne cesse de s'accroître, et il se fout bien de se faire remarquer ou même de se faire renvoyer par un professeur qui passerait par là. Tout ce qu'il veut c'est faire ravaler ce sourire à son propriétaire. Mais Kyu est faible, et Kyu est si peu crédible lorsque ses muscles lui font défaut et qu'il doit presque s'accrocher à son aîné dans un réflexe incontrôlé. Il voudrait réagir, s'éloigner, le frapper jusqu'à en avoir lui-même mal aux phalanges mais il est à peine capable de serrer les dents dans une tentative désespérée pour reprendre le contrôle de son corps qui refuse de lui obéir convenablement. Et le gosse parvient à se redresser, aidé malgré lui par le plus grand qu'il s'empresse de repousser dès que ses muscles répondent assez. « Mais putain j't'ai dit de me laisser ! » Hors de question qu'il ne vienne à son appartement, hors de question qu'il n'entre chez lui comme il le faisait autre fois. Jamais il ne sera autorisé à venir. C'est leur cocon, à Jay et lui. Pas le studio où étaient éparpillés les affaires du russes, ça c'est terminé. « Tu m'ramèneras nulle part t'as compris ? J'ai plus rien à faire avec toi, t'es rien Ash, rien du tout. » Il recule de quelques pas pour s'éloigner de lui, pas par peur, uniquement par dégout. Et pour se maintenir debout en s'appuyant contre les casiers tant ses jambes tremblent de fatigue. « Sérieusement, tu crois que j'vais t'faire confiance ? Pourquoi tu t'fatigues à jouer au mec attentionné hein ? J'pense avoir assez de preuves du contraire. Maintenant casse toi, et m'appelle plus jamais comme ça connard. »
Alors son envie -non, son besoin de le massacrer ne cesse de s'accroître, et il se fout bien de se faire remarquer ou même de se faire renvoyer par un professeur qui passerait par là. Tout ce qu'il veut c'est faire ravaler ce sourire à son propriétaire. Mais Kyu est faible, et Kyu est si peu crédible lorsque ses muscles lui font défaut et qu'il doit presque s'accrocher à son aîné dans un réflexe incontrôlé. Il voudrait réagir, s'éloigner, le frapper jusqu'à en avoir lui-même mal aux phalanges mais il est à peine capable de serrer les dents dans une tentative désespérée pour reprendre le contrôle de son corps qui refuse de lui obéir convenablement. Et le gosse parvient à se redresser, aidé malgré lui par le plus grand qu'il s'empresse de repousser dès que ses muscles répondent assez. « Mais putain j't'ai dit de me laisser ! » Hors de question qu'il ne vienne à son appartement, hors de question qu'il n'entre chez lui comme il le faisait autre fois. Jamais il ne sera autorisé à venir. C'est leur cocon, à Jay et lui. Pas le studio où étaient éparpillés les affaires du russes, ça c'est terminé. « Tu m'ramèneras nulle part t'as compris ? J'ai plus rien à faire avec toi, t'es rien Ash, rien du tout. » Il recule de quelques pas pour s'éloigner de lui, pas par peur, uniquement par dégout. Et pour se maintenir debout en s'appuyant contre les casiers tant ses jambes tremblent de fatigue. « Sérieusement, tu crois que j'vais t'faire confiance ? Pourquoi tu t'fatigues à jouer au mec attentionné hein ? J'pense avoir assez de preuves du contraire. Maintenant casse toi, et m'appelle plus jamais comme ça connard. »
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