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i used to call it stroking the salami ☾ le crewstillant croupion
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i used to call it stroking the salami ☾ le crewstillant croupion | Mer 29 Mar - 10:34
Avec une frénésie presque aussi destructrice que le manque de soin dont je fais preuve, j’appuie sans relâche sur la touche échap de mon ordinateur. Même Ctrl+Alt Suppr. Putain, je savais que j’aurais pas dû acheter un ordi de prolo et opter pour quelque chose de plus hype et overrated comme un mac, histoire de pas perdre ma vie avec un virus de merde de mes deux couilles. Toshiba, j’vous jure plus jamais. C’est quoi cette merde encore. Une merde japonaise non ? C’est bien les japonais ça, à faire de la qualité de- Je cligne des yeux. Mais non, n’importe quoi. Le Japon a produit la plus belle créature de cette somptueuse planète, la plus douce, la plus merveilleuse…
Ma Nana. C’est d’ailleurs devant elle que je me retrouve quelques longues minutes plus tard après avoir abandonné mon ordinateur pourri dans ma chambre. Après lui avoir rappelé notre meeting exceptionnel plus tard dans l’après-midi, j’aborde ce petit problème d’ordinateur telle une douce et délicate fleur. Je la supplie et lui fais les yeux doux pour qu’elle accepte de me le prêter. Je veux être attentif en cours lui dis-je ; excuse un peu bidon il faut dire, surtout lorsqu’une fois dans cet amphi inutile, je me rends compte que je n’ai rien mis dans le Cloud, donc qu’au final je n’ai plus aucun document, donc que j’ai dérangé Nana pour rien. Je soupire. Bon. Je me casse, tant pis. Dire que pour une fois j’avais réussi mes négociations. Et parce que je suis quelqu’un d’exceptionnellement occupé et studieux, je décide de me rendre dans la chambre de mon autre déesse ; l’atmosphère y sera beaucoup plus folle et excitante et l’aura de ma douce Olympe qui emplira la pièce sera, je n’en doute point, un stimulant neurologique des plus goûtu. Espérons juste que ces teubés de Sango ne me bloquent pas à l’extérieur avec toutes leurs histoires d’attaques foireuses. Je pourrais leur apprendre deux trois trucs sur le talent Gumiho/Jeongal mais je pense que je me ferais tuer 1000 fois si j’essayais de relever le niveau… Heureusement que mes petits bébés sont là pour les rendre à peu près décents. C’est d’ailleurs avec une joie sans nom que j’aperçois mon fidèle comparse au loin, près à rentrer dans l’enceinte de leur piteux dortoir. « YO, MON GLAND. » Il est effectivement plus grand que moi mais pourquoi annihiler toute estime de moi-même en mettant cet attribut physique en exergue ? J’aime mon gland aussi fort que ma vie, normal qu’un autre amour de ma vie ait droit à ce nom des plus affectueux non ? Je cours pour arriver rapidement à sa hauteur et j’enfouis ma main dans ses cheveux pour les ébouriffer. J’espère que tu voulais pas avoir l’air beau gosse avec moi frère parce que c’est raté. Quoique. Le style tout-juste-sorti-du-lit, je suis sûr que ça doit exciter deux trois pucelles. « Alors je t’ai pas trop manqué ma puce ? » J’ai songé à dire mon prépuce mais finalement ça ferait trop de références à mes couilles et ma bite en deux secondes. Mais bon il connait les noms de code maintenant, ça l'aurait pas plus choqué que ça j'imagine. « Je suis bien content de te croiser, tu vas m’accompagner jusque dans la chambre divine. » Olympe, Olympie, Mont Olympe, dieux grecs, bref on comprend le business.
I have to admit, I did the fair bit of... masturbating when I was a little younger. I used to call it stroking the salami, yeah, you know, pounding the old pud.
Feat le crew-stillant ♥
Avec une frénésie presque aussi destructrice que le manque de soin dont je fais preuve, j’appuie sans relâche sur la touche échap de mon ordinateur. Même Ctrl+Alt Suppr. Putain, je savais que j’aurais pas dû acheter un ordi de prolo et opter pour quelque chose de plus hype et overrated comme un mac, histoire de pas perdre ma vie avec un virus de merde de mes deux couilles. Toshiba, j’vous jure plus jamais. C’est quoi cette merde encore. Une merde japonaise non ? C’est bien les japonais ça, à faire de la qualité de- Je cligne des yeux. Mais non, n’importe quoi. Le Japon a produit la plus belle créature de cette somptueuse planète, la plus douce, la plus merveilleuse…Ma Nana. C’est d’ailleurs devant elle que je me retrouve quelques longues minutes plus tard après avoir abandonné mon ordinateur pourri dans ma chambre. Après lui avoir rappelé notre meeting exceptionnel plus tard dans l’après-midi, j’aborde ce petit problème d’ordinateur telle une douce et délicate fleur. Je la supplie et lui fais les yeux doux pour qu’elle accepte de me le prêter. Je veux être attentif en cours lui dis-je ; excuse un peu bidon il faut dire, surtout lorsqu’une fois dans cet amphi inutile, je me rends compte que je n’ai rien mis dans le Cloud, donc qu’au final je n’ai plus aucun document, donc que j’ai dérangé Nana pour rien. Je soupire. Bon. Je me casse, tant pis. Dire que pour une fois j’avais réussi mes négociations. Et parce que je suis quelqu’un d’exceptionnellement occupé et studieux, je décide de me rendre dans la chambre de mon autre déesse ; l’atmosphère y sera beaucoup plus folle et excitante et l’aura de ma douce Olympe qui emplira la pièce sera, je n’en doute point, un stimulant neurologique des plus goûtu. Espérons juste que ces teubés de Sango ne me bloquent pas à l’extérieur avec toutes leurs histoires d’attaques foireuses. Je pourrais leur apprendre deux trois trucs sur le talent Gumiho/Jeongal mais je pense que je me ferais tuer 1000 fois si j’essayais de relever le niveau… Heureusement que mes petits bébés sont là pour les rendre à peu près décents. C’est d’ailleurs avec une joie sans nom que j’aperçois mon fidèle comparse au loin, près à rentrer dans l’enceinte de leur piteux dortoir. « YO, MON GLAND. » Il est effectivement plus grand que moi mais pourquoi annihiler toute estime de moi-même en mettant cet attribut physique en exergue ? J’aime mon gland aussi fort que ma vie, normal qu’un autre amour de ma vie ait droit à ce nom des plus affectueux non ? Je cours pour arriver rapidement à sa hauteur et j’enfouis ma main dans ses cheveux pour les ébouriffer. J’espère que tu voulais pas avoir l’air beau gosse avec moi frère parce que c’est raté. Quoique. Le style tout-juste-sorti-du-lit, je suis sûr que ça doit exciter deux trois pucelles. « Alors je t’ai pas trop manqué ma puce ? » J’ai songé à dire mon prépuce mais finalement ça ferait trop de références à mes couilles et ma bite en deux secondes. Mais bon il connait les noms de code maintenant, ça l'aurait pas plus choqué que ça j'imagine. « Je suis bien content de te croiser, tu vas m’accompagner jusque dans la chambre divine. » Olympe, Olympie, Mont Olympe, dieux grecs, bref on comprend le business.
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Re: i used to call it stroking the salami ☾ le crewstillant croupion | Dim 23 Avr - 20:55
Pourquoi ne l’avait-on pas encore répéré dans la rue ? Une moue déçue se forma sur son visage alors qu’il se promenait, fabuleux, comme à son habitude. Fabulous. Il avait un accent anglais génial, il pourrait faire la communication à l’international. Pourquoi personne n’y pensait ? Il brillerait de mille feux, serait tellement talentueux ! Pas plus tard que ce matin même, quelqu’un avait complimenté son rap et sa voix ! Bon, cette personne avait dit qu’il était préférable d’entendre ça que d’être sourd, mais il trouvait ça bien ! Cela signifiait bien ce que cela signifiait. Cette personne avait aimé l’écouter et oui, Min Hyuk croyait donc totalement en lui. Il était l’étoile montante de ce pays, G Dragon, un pouilleux de bas étage à côté de lui. Il avait presque de la pitié pour lui, qu’allait-il devenir une fois qu’il serait, lui, sur le devant de la scène ?
Un jour, on s’en rendre compte. Remontant son sac avec détermination, il hocha la tête dans le vide. Ouais, un jour, ce serait une super idole, mondialement reconnu, on allait l’adorer. Il avait tellement de charisme, un truc qu’on ne pouvait nier. Qui pouvait nier ? PERSONNE. Il se demandait même pourquoi il y avait encore autant de fraternité, ils devraient tous être derrière lui. Il était encore sympa avec les Sango, il voulait bien laisser à ce petit Min Soo la place de président. Ça lui faisait plaisir. Lui n’avait pas l’étoffe, il ne brillait pas. A la fin de ses études, il ne lui restera que ça, alors qu’à Min Hyuk, il y avait cet avenir radieux ! Si sa mère le disait, c’était forcément vrai ok ?
Une voix le sortie de ses rêves de strasse et paillette et un gigantesque sourire se forma sur ses lèvres. Il ne se formalisa pas sur le fait de faire partie de son anatomie. Il trouvait ça cool. Min Hyuk adorait son gland. Enfin, le sien, celui qu’il avait lui, pas forcément celui de Jun Ha. Pas du tout celui de Jun Ha. Bon, peu importe, là n’était absolument pas la question. « Tu sais que tu me manques toujours, Hyung ! ♥ » Et en plus, c’était vrai. Toujours. Chaque jour de la semaine. Avec Olympe et Nana. Il se sentait toujours bien avec eux, comme une vraie petite famille.
« La chambre divine… ? » Il allait le violer. Min Hyuk pinça les lèvres en baissant les yeux vers lui. Il savait que ce jour finirait par arriver, il l’avait prédit. Après tout, il était beau, il devait plaire autant aux femmes qu’aux hommes. Mais Jun Ha n’aimait pas les hommes… ? Et alors ?! Il était beau, forcément, qu’il pouvait faire virer un homme de camp. « Pour faire quoi ? » Il gardait son regard innocent, malgré tout. Il voulait toujours passer du temps avec lui, et il devait un peu relativiser la situation et ça lui faisait vraiment du bien de le voir.
I have to admit, I did the fair bit of... masturbating when I was a little younger. I used to call it stroking the salami, yeah, you know, pounding the old pud.
Feat le crew-stillant ♥
Pourquoi ne l’avait-on pas encore répéré dans la rue ? Une moue déçue se forma sur son visage alors qu’il se promenait, fabuleux, comme à son habitude. Fabulous. Il avait un accent anglais génial, il pourrait faire la communication à l’international. Pourquoi personne n’y pensait ? Il brillerait de mille feux, serait tellement talentueux ! Pas plus tard que ce matin même, quelqu’un avait complimenté son rap et sa voix ! Bon, cette personne avait dit qu’il était préférable d’entendre ça que d’être sourd, mais il trouvait ça bien ! Cela signifiait bien ce que cela signifiait. Cette personne avait aimé l’écouter et oui, Min Hyuk croyait donc totalement en lui. Il était l’étoile montante de ce pays, G Dragon, un pouilleux de bas étage à côté de lui. Il avait presque de la pitié pour lui, qu’allait-il devenir une fois qu’il serait, lui, sur le devant de la scène ?Un jour, on s’en rendre compte. Remontant son sac avec détermination, il hocha la tête dans le vide. Ouais, un jour, ce serait une super idole, mondialement reconnu, on allait l’adorer. Il avait tellement de charisme, un truc qu’on ne pouvait nier. Qui pouvait nier ? PERSONNE. Il se demandait même pourquoi il y avait encore autant de fraternité, ils devraient tous être derrière lui. Il était encore sympa avec les Sango, il voulait bien laisser à ce petit Min Soo la place de président. Ça lui faisait plaisir. Lui n’avait pas l’étoffe, il ne brillait pas. A la fin de ses études, il ne lui restera que ça, alors qu’à Min Hyuk, il y avait cet avenir radieux ! Si sa mère le disait, c’était forcément vrai ok ?
Une voix le sortie de ses rêves de strasse et paillette et un gigantesque sourire se forma sur ses lèvres. Il ne se formalisa pas sur le fait de faire partie de son anatomie. Il trouvait ça cool. Min Hyuk adorait son gland. Enfin, le sien, celui qu’il avait lui, pas forcément celui de Jun Ha. Pas du tout celui de Jun Ha. Bon, peu importe, là n’était absolument pas la question. « Tu sais que tu me manques toujours, Hyung ! ♥ » Et en plus, c’était vrai. Toujours. Chaque jour de la semaine. Avec Olympe et Nana. Il se sentait toujours bien avec eux, comme une vraie petite famille.
« La chambre divine… ? » Il allait le violer. Min Hyuk pinça les lèvres en baissant les yeux vers lui. Il savait que ce jour finirait par arriver, il l’avait prédit. Après tout, il était beau, il devait plaire autant aux femmes qu’aux hommes. Mais Jun Ha n’aimait pas les hommes… ? Et alors ?! Il était beau, forcément, qu’il pouvait faire virer un homme de camp. « Pour faire quoi ? » Il gardait son regard innocent, malgré tout. Il voulait toujours passer du temps avec lui, et il devait un peu relativiser la situation et ça lui faisait vraiment du bien de le voir.