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kool & the gang
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kool & the gang | Dim 2 Avr - 14:39
Sur le rythme funky d'un de ses groupes préférés, kouji range les derniers vinyls qu'il à dégoté sur internet pour les revendre ici. En fait, depuis qu'il bosse là c'est devenu un peu une collection personnelle. souvent, il fini par acheter les vinyls qu'il fait venir pour la boutique. le p'tit vieux propriétaire s'en fou de toute façon, quand ils se croisent, ils discutent, chantent, font de la guitare, mais parlent très peu chiffre et affaire. Entre les 33 tours et les cds, kouji nage dans un melting pot de musique qu'il adore. Il à même glissé deux trois cds de the and qu'ils avaient fait faire.
Le garçon siffle en retournant derrière le comptoir ou il à installé son ordi pour pouvoir bosser en même temps sur son entreprise de webdesign. En fait, comme ça à vu d'oeil, on dirait que kouji est un grand glandeur, pas loin d'être fusionné avec un paresseux (un peu hyperactif), mais l'ambiance du disquaire lui permet d'avoir sa créativité et concentration au maximum. deux boulots en un sans avoir à travailler trop chez lui, c'était parfait, le rêve, l'éclate, l'extase. loin de l'ambiance glauque qu'il connaissait en bossant dans le club d'hôte pour gagner des thunes vite pour l'hôpital. là on parle plaisir, passion, et putain qu'c'est bon.
la petite cloche de la porte retentit alors kouji relève la tête de son pc, assis en tailleur derrière. Il relève ses lunettes de travail sur sa tête et affiche un doux sourire en voyant meina se glisser entre les rayons. « ola chiquita, como esta ? » Kouji pose son menton dans ses deux mains sur le comptoir en fixant avec un sourire de benêt son amie.
kool & the gang is my jam
mei na ♡ kouji
Sur le rythme funky d'un de ses groupes préférés, kouji range les derniers vinyls qu'il à dégoté sur internet pour les revendre ici. En fait, depuis qu'il bosse là c'est devenu un peu une collection personnelle. souvent, il fini par acheter les vinyls qu'il fait venir pour la boutique. le p'tit vieux propriétaire s'en fou de toute façon, quand ils se croisent, ils discutent, chantent, font de la guitare, mais parlent très peu chiffre et affaire. Entre les 33 tours et les cds, kouji nage dans un melting pot de musique qu'il adore. Il à même glissé deux trois cds de the and qu'ils avaient fait faire. Le garçon siffle en retournant derrière le comptoir ou il à installé son ordi pour pouvoir bosser en même temps sur son entreprise de webdesign. En fait, comme ça à vu d'oeil, on dirait que kouji est un grand glandeur, pas loin d'être fusionné avec un paresseux (un peu hyperactif), mais l'ambiance du disquaire lui permet d'avoir sa créativité et concentration au maximum. deux boulots en un sans avoir à travailler trop chez lui, c'était parfait, le rêve, l'éclate, l'extase. loin de l'ambiance glauque qu'il connaissait en bossant dans le club d'hôte pour gagner des thunes vite pour l'hôpital. là on parle plaisir, passion, et putain qu'c'est bon.
la petite cloche de la porte retentit alors kouji relève la tête de son pc, assis en tailleur derrière. Il relève ses lunettes de travail sur sa tête et affiche un doux sourire en voyant meina se glisser entre les rayons. « ola chiquita, como esta ? » Kouji pose son menton dans ses deux mains sur le comptoir en fixant avec un sourire de benêt son amie.
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Re: kool & the gang | Dim 2 Avr - 15:14
Elle arpente les rues sans trop savoir où aller, sans trop savoir ce qu’elle fait là. Elle a juste besoin de s’évader, de s’éloigner de la fac, de se perdre dans la foule et passer inaperçue, elle qui, d’habitude, ne demande qu’à attirer les regards. Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui, ça fait quatre ans qu’elle a quitté le Japon, quatre ans qu’elle a tout laissé derrière elle, quatre ans qu’elle essaie de se faire à cette vie nouvelle. C’est dur et comme aujourd’hui, elle y arrive plus. Alors elle erre sans but, discrète avec ses cheveux couleur ébène, son visage d’enfant, presque angélique, dépourvu de tout artifice. Elle ne veut plus faire semblant aujourd’hui, elle n’y arrive plus.
Elle ne prend même plus plaisir à observer les autres de son regard hautain et plein d’assurance, n’imagine plus les vices que chaque passant cache derrière un sourire, un regard, ça l’intéresse plus. Peut-être demain. Ou peut-être pas. Ses pieds la portent dans une rue familière puis jusque devant la devanture d’un disquaire. Et elle rigole car son corps, lui, semblait savoir ce dont elle avait besoin : une petite bulle d’oxygène. Sans plus attendre, elle pousse la porte, le son des clochettes l’accueillant. En temps normal, elle aurait trouvé ça énervant mais aujourd’hui, ce petit tintement la rassure.
Elle pénètre dans ce sanctuaire musical et l’esquisse d’un sourire se dessine sur ses lèvres. Elle cherche de ses petits yeux sombres ce visage amical mais c’est sa voix qu’elle entend d’abord. Elle finit par le trouver derrière le comptoir, cet air d’imbécile heureux encré sur le visage tandis que la petite le dévisage. « Tu sais, j’ai encore du mal à parler coréen alors si tu te mets à une autre langue, la communication va être compliquée ». Elle s’approche et s’accoude à son tour. « Salut l’ancêtre » lui dit l’effrontée avec ce sourire redéfini. « Qu’est-ce que tu trafiques dans ton coin ? ».
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Elle arpente les rues sans trop savoir où aller, sans trop savoir ce qu’elle fait là. Elle a juste besoin de s’évader, de s’éloigner de la fac, de se perdre dans la foule et passer inaperçue, elle qui, d’habitude, ne demande qu’à attirer les regards. Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui, ça fait quatre ans qu’elle a quitté le Japon, quatre ans qu’elle a tout laissé derrière elle, quatre ans qu’elle essaie de se faire à cette vie nouvelle. C’est dur et comme aujourd’hui, elle y arrive plus. Alors elle erre sans but, discrète avec ses cheveux couleur ébène, son visage d’enfant, presque angélique, dépourvu de tout artifice. Elle ne veut plus faire semblant aujourd’hui, elle n’y arrive plus. Elle ne prend même plus plaisir à observer les autres de son regard hautain et plein d’assurance, n’imagine plus les vices que chaque passant cache derrière un sourire, un regard, ça l’intéresse plus. Peut-être demain. Ou peut-être pas. Ses pieds la portent dans une rue familière puis jusque devant la devanture d’un disquaire. Et elle rigole car son corps, lui, semblait savoir ce dont elle avait besoin : une petite bulle d’oxygène. Sans plus attendre, elle pousse la porte, le son des clochettes l’accueillant. En temps normal, elle aurait trouvé ça énervant mais aujourd’hui, ce petit tintement la rassure.
Elle pénètre dans ce sanctuaire musical et l’esquisse d’un sourire se dessine sur ses lèvres. Elle cherche de ses petits yeux sombres ce visage amical mais c’est sa voix qu’elle entend d’abord. Elle finit par le trouver derrière le comptoir, cet air d’imbécile heureux encré sur le visage tandis que la petite le dévisage. « Tu sais, j’ai encore du mal à parler coréen alors si tu te mets à une autre langue, la communication va être compliquée ». Elle s’approche et s’accoude à son tour. « Salut l’ancêtre » lui dit l’effrontée avec ce sourire redéfini. « Qu’est-ce que tu trafiques dans ton coin ? ».
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Re: kool & the gang | Dim 2 Avr - 15:31
tout en la regardant, kouji bouge de gauche à droite sur un air de funk sa tête d'imbécile heureux, appréciant la venue de sa petite protégée préférée. Elle avait petite mine, un peu comme d'habitude, mais kouji voyait en elle cette douceur et ce besoin de calme. Il la fixe approcher sans bouger et fait une petite grimace du bout du nez en l'entendant l'affronter. « j'fait mon malin mais j'sais dire que ça et j'ai besoin du petit coin, c'est pas fameux j'avoue tout. » Entre eux c'est toujours simple, kouji se contente d'être kouji et meina à tout le loisir de n'être que ce qu'elle à envie. Il se redresse un peu en souriant et viens ébouriffer les cheveux d'ébène de la plus jeune avant de prendre une mine de grand architecte, lever le nez en l'air et de continuer dans son japonais de chartier de tokyo « figure toi demoiselle que je met à jour le site de vogue korea, alors fait pas la maligne hein ! j'suis un vrai moi ! » il lui montre un bout de l'écran en rigolant et se lève, s'étire de tout son long en dévoilant son trop grand pull qui tombe sur son jean tout cassé. « tu veux boire quelque chose gamine ? » qu'il dit comme l'ancêtre qu'il est à ses yeux en allant dans la toute petite arrière salle se faire un thé. « j'ai trouvé une nouvelle pépite pour toi, t'aimes la funk ? » Avec mei na, kouji savait qu'il ne fallait pas réellement lui demander comment elle allait ou ce qu'il se passait dans sa vie. Elle avait seulement besoin de voir autre chose, de se caler, et kouji avait pris l'habitude de la voir lire ou étudier, ou ne rien faire à regarder la pluie par la fenêtre un thé dans les mains. même le pépé de la boutique s'était pris d'affection pour l'enfant, lui laissant souvent dans l'arrière boutique des plats préparés par sa femme. Si le calme de la campagne coréenne se retrouvait quelque part mélangés avec la turbulence du rock'n'roll, c'était bien dans ce petit commerce.
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mei na ♡ kouji
tout en la regardant, kouji bouge de gauche à droite sur un air de funk sa tête d'imbécile heureux, appréciant la venue de sa petite protégée préférée. Elle avait petite mine, un peu comme d'habitude, mais kouji voyait en elle cette douceur et ce besoin de calme. Il la fixe approcher sans bouger et fait une petite grimace du bout du nez en l'entendant l'affronter. « j'fait mon malin mais j'sais dire que ça et j'ai besoin du petit coin, c'est pas fameux j'avoue tout. » Entre eux c'est toujours simple, kouji se contente d'être kouji et meina à tout le loisir de n'être que ce qu'elle à envie. Il se redresse un peu en souriant et viens ébouriffer les cheveux d'ébène de la plus jeune avant de prendre une mine de grand architecte, lever le nez en l'air et de continuer dans son japonais de chartier de tokyo « figure toi demoiselle que je met à jour le site de vogue korea, alors fait pas la maligne hein ! j'suis un vrai moi ! » il lui montre un bout de l'écran en rigolant et se lève, s'étire de tout son long en dévoilant son trop grand pull qui tombe sur son jean tout cassé. « tu veux boire quelque chose gamine ? » qu'il dit comme l'ancêtre qu'il est à ses yeux en allant dans la toute petite arrière salle se faire un thé. « j'ai trouvé une nouvelle pépite pour toi, t'aimes la funk ? » Avec mei na, kouji savait qu'il ne fallait pas réellement lui demander comment elle allait ou ce qu'il se passait dans sa vie. Elle avait seulement besoin de voir autre chose, de se caler, et kouji avait pris l'habitude de la voir lire ou étudier, ou ne rien faire à regarder la pluie par la fenêtre un thé dans les mains. même le pépé de la boutique s'était pris d'affection pour l'enfant, lui laissant souvent dans l'arrière boutique des plats préparés par sa femme. Si le calme de la campagne coréenne se retrouvait quelque part mélangés avec la turbulence du rock'n'roll, c'était bien dans ce petit commerce. Invité
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Re: kool & the gang | Dim 2 Avr - 16:04
Et elle se sent toujours bien ici quand elle vient. La première fois qu’elle était venue, elle débarquait de nulle part, petite brebis perdue dans un monde qui n’est pas fait pour les petites filles comme elle. Elle avait trouvé ce petit coin par hasard, en errant comme aujourd’hui entre les corps et si au début, elle ne faisait que s’arrêter devant la vitrine, après plusieurs mois, elle avait franchi le seuil. La musique, c’était son échappatoire. Elle se souvient des nuits où le sommeil ne venait pas, où le marchand de sable avait oublié de passer dans son horrible maison et qu’elle se faufilait dans la chambre commune, se blottissait contre Akiko (Rubis pour les intimes) et lui piquait son lecteur cd. Et elle s’endormait, paisible avant d’affronter la cruelle réalité. Alors quand elle était rentrée la première fois, elle s’était sentie presque nostalgique de ces nuits. Et puis, elle avait détalé en voyant débarquer le proprio, comme un faon apeuré.
Aujourd’hui, tout le monde la connait ici, elle est même heureuse (mais ne le dira jamais) de pouvoir dire qu’elle se sent comme chez elle la gamine, elle qui n’avait jamais eu de vraie maison, d’endroit à elle. Ici, c’était sa bulle, son cocon de sureté. Et Kouji en était le gardien. « Crâneur », dit-elle en rigolant la brunette. Elle le taquine, ils se chamaillent comme deux enfants mais ça lui fait du bien. Elle se sent bien. Elle affiche un air faussement impressionné quand elle jette un œil sur l’écran du plus vieux et lui tapote brièvement l’épaule comme pour lui dire qu’il a fait du bon travail. « Elles mesurent combien ces dindes ? », qu’elle lui demande de but en blanc, sans filtre, sans gêne. Elle, elle est pas bien grande la gamine alors elle rigole un peu des grandes asperges des magazines. Et elle lève les yeux vers son benêt d’ami, se hisse sur la pointe de ses pieds. « T’es trop grand ». Et c’est pas elle qui est trop petite, c’est toujours la faute des autres.
Elle se débarrasse de son manteau, se met à l’aise et flâne entre les vinyles. « Un thé, s’il te plait ». Elle est toujours polie l’enfant mais pas avec tout le monde. Il y a ceux qui le méritent et les autres. « Je sais pas, fais écouter et je te dirai ». Il y a pleins de choses qu’elle connait pas l’étrangère, pleins de choses qu’elle n’a jamais vu ou entendu, elle qui était perdue dans un monde d’adultes pervertis. Elle n’a pas grandi comme les autres mais Kouji l’aide à se rattraper. Il est le grand frère qu’elle aurait bien aimé avoir, celui qui l’aurait sûrement aimé, aidé à devenir quelqu’un de bien, qui l’aurait protégé de ce monde horrible.
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Et elle se sent toujours bien ici quand elle vient. La première fois qu’elle était venue, elle débarquait de nulle part, petite brebis perdue dans un monde qui n’est pas fait pour les petites filles comme elle. Elle avait trouvé ce petit coin par hasard, en errant comme aujourd’hui entre les corps et si au début, elle ne faisait que s’arrêter devant la vitrine, après plusieurs mois, elle avait franchi le seuil. La musique, c’était son échappatoire. Elle se souvient des nuits où le sommeil ne venait pas, où le marchand de sable avait oublié de passer dans son horrible maison et qu’elle se faufilait dans la chambre commune, se blottissait contre Akiko (Rubis pour les intimes) et lui piquait son lecteur cd. Et elle s’endormait, paisible avant d’affronter la cruelle réalité. Alors quand elle était rentrée la première fois, elle s’était sentie presque nostalgique de ces nuits. Et puis, elle avait détalé en voyant débarquer le proprio, comme un faon apeuré.Aujourd’hui, tout le monde la connait ici, elle est même heureuse (mais ne le dira jamais) de pouvoir dire qu’elle se sent comme chez elle la gamine, elle qui n’avait jamais eu de vraie maison, d’endroit à elle. Ici, c’était sa bulle, son cocon de sureté. Et Kouji en était le gardien. « Crâneur », dit-elle en rigolant la brunette. Elle le taquine, ils se chamaillent comme deux enfants mais ça lui fait du bien. Elle se sent bien. Elle affiche un air faussement impressionné quand elle jette un œil sur l’écran du plus vieux et lui tapote brièvement l’épaule comme pour lui dire qu’il a fait du bon travail. « Elles mesurent combien ces dindes ? », qu’elle lui demande de but en blanc, sans filtre, sans gêne. Elle, elle est pas bien grande la gamine alors elle rigole un peu des grandes asperges des magazines. Et elle lève les yeux vers son benêt d’ami, se hisse sur la pointe de ses pieds. « T’es trop grand ». Et c’est pas elle qui est trop petite, c’est toujours la faute des autres.
Elle se débarrasse de son manteau, se met à l’aise et flâne entre les vinyles. « Un thé, s’il te plait ». Elle est toujours polie l’enfant mais pas avec tout le monde. Il y a ceux qui le méritent et les autres. « Je sais pas, fais écouter et je te dirai ». Il y a pleins de choses qu’elle connait pas l’étrangère, pleins de choses qu’elle n’a jamais vu ou entendu, elle qui était perdue dans un monde d’adultes pervertis. Elle n’a pas grandi comme les autres mais Kouji l’aide à se rattraper. Il est le grand frère qu’elle aurait bien aimé avoir, celui qui l’aurait sûrement aimé, aidé à devenir quelqu’un de bien, qui l’aurait protégé de ce monde horrible.
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Re: kool & the gang | Lun 3 Avr - 15:34
le gosse la regarde avec ses vingt centimètres en plus et rigole doucement en faisant l'air de rien. « et encore, j'ai déjà croisée une fille dans les bureaux plus grande que moi! t'imagines ? la meuf elle ressemblait presque à un titan tu sais du manga la... chaud quoi. » il rigole comme un benêt en retournant dans la petite cuisine pour lui faire le thé juste comme elle aime. ils avaient pris des habitudes, tranquilles et simple, pleine de soleil. Il reviens avec les deux tasses et les pose sur le comptoir avant d'aller farfouiller dans une pile monstrueuse de vinyles à côté de son ordi. Il trouve la petite perle de funk de kool & the gang et place avec cette passion et cet amour du vieux cd sur le tourne disque et monte les basses, le son et se relève dés les premières notes pour s'enjailler, comme à son habitude. De sa grande carcasse, il bouge avec plaisir en tapant le rythme sur son torse, faisant quelques pas de danses en s'approchant de mei na en chantant. « get down on it, get down on iiiit! » la musique, de n'importe quel pays et de n'importe quel style, à le pouvoir de guérir les coeurs, et pour kouji, la funk rentre dans les chef d'oeuvres de la société. C'est que dans son propre groupe, il arrive à insuffler un peu de blues, un peu de funk dans leurs morceaux déjà bien reggea dub. Kouji affiche un joli sourire satisfait en s'approchant de mei na, attrapant ses épaules de ses grandes mains pour la faire bouger un peu, l'obliger à danser tout en chantant les paroles de la chanson. « Alors ça fait pas groover ça ? » Il fait volte face et retourne au comptoir en dansant, fait un petit enregistrement de sa page htlm avant de mettre en veille l'ordi pour profiter du moment. « peut-être tu vas kiffer la version la plus récente, c'est une nana qui mix sur séoul qui l'as reprise, euhhhh, nina j'sais pas quoi. bref elle l'as repris tu veux écouter ? » Si il pouvait raconter des trucs aussi passionnants qu'intéressant, kouji se rend pas forcément compte qu'il parle, parle, et parle.
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le gosse la regarde avec ses vingt centimètres en plus et rigole doucement en faisant l'air de rien. « et encore, j'ai déjà croisée une fille dans les bureaux plus grande que moi! t'imagines ? la meuf elle ressemblait presque à un titan tu sais du manga la... chaud quoi. » il rigole comme un benêt en retournant dans la petite cuisine pour lui faire le thé juste comme elle aime. ils avaient pris des habitudes, tranquilles et simple, pleine de soleil. Il reviens avec les deux tasses et les pose sur le comptoir avant d'aller farfouiller dans une pile monstrueuse de vinyles à côté de son ordi. Il trouve la petite perle de funk de kool & the gang et place avec cette passion et cet amour du vieux cd sur le tourne disque et monte les basses, le son et se relève dés les premières notes pour s'enjailler, comme à son habitude. De sa grande carcasse, il bouge avec plaisir en tapant le rythme sur son torse, faisant quelques pas de danses en s'approchant de mei na en chantant. « get down on it, get down on iiiit! » la musique, de n'importe quel pays et de n'importe quel style, à le pouvoir de guérir les coeurs, et pour kouji, la funk rentre dans les chef d'oeuvres de la société. C'est que dans son propre groupe, il arrive à insuffler un peu de blues, un peu de funk dans leurs morceaux déjà bien reggea dub. Kouji affiche un joli sourire satisfait en s'approchant de mei na, attrapant ses épaules de ses grandes mains pour la faire bouger un peu, l'obliger à danser tout en chantant les paroles de la chanson. « Alors ça fait pas groover ça ? » Il fait volte face et retourne au comptoir en dansant, fait un petit enregistrement de sa page htlm avant de mettre en veille l'ordi pour profiter du moment. « peut-être tu vas kiffer la version la plus récente, c'est une nana qui mix sur séoul qui l'as reprise, euhhhh, nina j'sais pas quoi. bref elle l'as repris tu veux écouter ? » Si il pouvait raconter des trucs aussi passionnants qu'intéressant, kouji se rend pas forcément compte qu'il parle, parle, et parle. Invité
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Re: kool & the gang | Lun 3 Avr - 17:15
Elle a jamais eu besoin de lui dire quoi que ce soit à Kouji, il a pas eu besoin de savoir d’où elle venait, ce qu’elle avait traversé. Il l’avait accueilli comme elle était, avec son caractère de fausse adulte qui emmerde la terre entière, avec son petit cœur noirci. Il l’avait accepté même si au début, elle l’envoyait voir ailleurs, ne lui adressait à peine un regard, un mot jusqu’à ce qu’il l’apprivoise. Il est toujours allé à son rythme, n’insistait jamais après un premier refus parce qu’il comprenait. Il la comprenait. Il lui demandait pas d’afficher un sourire forcé sur son visage, lui demandait pas de faire la belle et de se taire. Lui il voulait simplement qu’elle soit elle. Mais elle sait plus trop la gamine comme faire pour être elle, habituée à toujours être quelqu’un d’autre pour qu’on la regarde et la désire même si ce n’est que pour une nuit. Ici elle n’était que Mei Na, une gamine qui vient à peine d’avoir vingt-ans et qui ne sait pas ce que c’est de vivre quand toute ce qu’elle a fait, c’est survivre. « Un jour, la mode, ce sera pour les petites, tu verras ». Même si elle s’en fout en réalité. Elle aime bien les fringues mais elle a appris à faire avec ce qu’elle avait, c’est-à-dire pas grand-chose. Et elle relève la référence au manga parce qu’elle la connait pas. Alors elle hausse discrètement les épaules en attendant que son ami revienne et lance la musique. Le thé prêt, elle englobe la tasse entre ses petits doigts et soupire heureuse, au contact de la chaleur qui chatouille ses paumes. Elle souffle sur la surface, créant de petites vagues. Elle est jamais allée à la mer. Cette pensée lui échappe quand les premières notes de musique s’invitent entre eux. D’abord, timide, seul son idex bat la mesure contre la céramique. Puis elle observe son imbécile d’ami et sourit, rigole même. Puis son pied rejoint l’orchestre, suivi de petits mouvements de tête, discrète. Et elle pose sa tasse, se laissant entrainer par les mains sur ses épaules. Et elle danse, n’importe comment mais c’est pas grave, elle s’amuse à la mesure de son sourire, du rythme qu’elle inspire, du bonheur qu’elle expire. Et elle s’arrête presque gênée mais sourit toujours l’enfant. « C’est cool ouais », qu’elle répond sans trop s’étendre. « Vas-y, mets ». Elle s’assoit sur le comptoir et reprend sa tasse dans le creux de ses mains. « Alors, ça fait quoi de plus être à la fac ? ». Elle, elle arrive tout juste dans ce monde, un peu paumée. « Moi, je sais pas si j’y ai ma place … ».
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Elle a jamais eu besoin de lui dire quoi que ce soit à Kouji, il a pas eu besoin de savoir d’où elle venait, ce qu’elle avait traversé. Il l’avait accueilli comme elle était, avec son caractère de fausse adulte qui emmerde la terre entière, avec son petit cœur noirci. Il l’avait accepté même si au début, elle l’envoyait voir ailleurs, ne lui adressait à peine un regard, un mot jusqu’à ce qu’il l’apprivoise. Il est toujours allé à son rythme, n’insistait jamais après un premier refus parce qu’il comprenait. Il la comprenait. Il lui demandait pas d’afficher un sourire forcé sur son visage, lui demandait pas de faire la belle et de se taire. Lui il voulait simplement qu’elle soit elle. Mais elle sait plus trop la gamine comme faire pour être elle, habituée à toujours être quelqu’un d’autre pour qu’on la regarde et la désire même si ce n’est que pour une nuit. Ici elle n’était que Mei Na, une gamine qui vient à peine d’avoir vingt-ans et qui ne sait pas ce que c’est de vivre quand toute ce qu’elle a fait, c’est survivre. « Un jour, la mode, ce sera pour les petites, tu verras ». Même si elle s’en fout en réalité. Elle aime bien les fringues mais elle a appris à faire avec ce qu’elle avait, c’est-à-dire pas grand-chose. Et elle relève la référence au manga parce qu’elle la connait pas. Alors elle hausse discrètement les épaules en attendant que son ami revienne et lance la musique. Le thé prêt, elle englobe la tasse entre ses petits doigts et soupire heureuse, au contact de la chaleur qui chatouille ses paumes. Elle souffle sur la surface, créant de petites vagues. Elle est jamais allée à la mer. Cette pensée lui échappe quand les premières notes de musique s’invitent entre eux. D’abord, timide, seul son idex bat la mesure contre la céramique. Puis elle observe son imbécile d’ami et sourit, rigole même. Puis son pied rejoint l’orchestre, suivi de petits mouvements de tête, discrète. Et elle pose sa tasse, se laissant entrainer par les mains sur ses épaules. Et elle danse, n’importe comment mais c’est pas grave, elle s’amuse à la mesure de son sourire, du rythme qu’elle inspire, du bonheur qu’elle expire. Et elle s’arrête presque gênée mais sourit toujours l’enfant. « C’est cool ouais », qu’elle répond sans trop s’étendre. « Vas-y, mets ». Elle s’assoit sur le comptoir et reprend sa tasse dans le creux de ses mains. « Alors, ça fait quoi de plus être à la fac ? ». Elle, elle arrive tout juste dans ce monde, un peu paumée. « Moi, je sais pas si j’y ai ma place … ». Invité
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Re: kool & the gang | Jeu 13 Avr - 11:42
Kouji couvait mei na du regard, elle était finalement comme une petite soeur. En s'approchant à nouveau de son bureau avec ce sourire de benet au visage, il enlève avec douceur le disque du tourne disque, le range en sifflotant les notes avant de s'affaler sur sa chaise et ouvrir soundclound pour chercher la version 2017 qu'il met en fond sonore pour répondre tranquillement à la plus jeune. « Tu sais après neuf ans, j'en avait un peu marre, ça a été long pour moi ! du coup j'suis content que ce soir terminé, j'peux enfin profiter pour faire de la musique, j'ai tout mon temps de me concentrer sur ce job là - il tapote l'ordi avec un petit sourire - puis prendre soin de kelea sans avoir à penser à mes notes qui dégringolent. » pour sa belle, kouji avait arrêter la fac plusieurs fois et laissés traîner ses études en longueur. Rien de toute façon ne valait plus que la vie de son amoureuse, de sa femme. Kouji vint poser sa tête contre sa main tout en regardant le fond de sa tasse avec un air penseur. « la fac, c'est pas fait pour tout le monde... au fait, t'y étudies quoi toi ? c'est une sacré industrie ce gros bâtiment là ! » Le garçon porte à ses lèvres le thé qu'il sirote avec plaisir avant de relever les yeux vers la plus jeune et lui sourire gentiment, il se voulait motivant (rassurant?) le grand frère! « y'as de belles choses à vivre pendant les années fac. »
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mei na ♡ kouji
Kouji couvait mei na du regard, elle était finalement comme une petite soeur. En s'approchant à nouveau de son bureau avec ce sourire de benet au visage, il enlève avec douceur le disque du tourne disque, le range en sifflotant les notes avant de s'affaler sur sa chaise et ouvrir soundclound pour chercher la version 2017 qu'il met en fond sonore pour répondre tranquillement à la plus jeune. « Tu sais après neuf ans, j'en avait un peu marre, ça a été long pour moi ! du coup j'suis content que ce soir terminé, j'peux enfin profiter pour faire de la musique, j'ai tout mon temps de me concentrer sur ce job là - il tapote l'ordi avec un petit sourire - puis prendre soin de kelea sans avoir à penser à mes notes qui dégringolent. » pour sa belle, kouji avait arrêter la fac plusieurs fois et laissés traîner ses études en longueur. Rien de toute façon ne valait plus que la vie de son amoureuse, de sa femme. Kouji vint poser sa tête contre sa main tout en regardant le fond de sa tasse avec un air penseur. « la fac, c'est pas fait pour tout le monde... au fait, t'y étudies quoi toi ? c'est une sacré industrie ce gros bâtiment là ! » Le garçon porte à ses lèvres le thé qu'il sirote avec plaisir avant de relever les yeux vers la plus jeune et lui sourire gentiment, il se voulait motivant (rassurant?) le grand frère! « y'as de belles choses à vivre pendant les années fac. »Invité
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Re: kool & the gang | Mar 18 Avr - 22:24
Elle a jamais su trouvé sa place la gamine. Enfant non désirée, paumée dans un monde de camés, où les va-et-vient sous les draps sont aussi nombreux que ceux des hommes dans les couloirs. Ado perturbée, préférant la mort à la vie sombre qu’on lui destinait. Tout juste vingt ans, la fleur de l’âge comme le disent tous les adultes et pourtant, fleur fanée, déracinée. Peut-être qu’elle ne la trouvera jamais cette place. Peut-être qu’elle est fait pour aucune place. Même si Kouji lui donne envie d’y croire. Même s’il lui donne l’impression qu’elle y a le droit elle aussi. « Neuf ans, c’est super long, je sais pas comment t'as fait pour tenir tout ce temps. Si j’arrive à tenir une année, décerne-moi une médaille ». Elle coince une jambe sous l’autre, moitié en tailleur avant de reprendre sa tasse entre ses petites mains, la rapproche de son visage pour se réchauffer le bout du nez. Elle reste ainsi un moment, écoute la musique qui les enveloppe doucement, les berce. Elle est bien ici Mei Na, elle voudrait y rester dans sa petite bulle. Mais elle sait qu’elle peut pas, qu’elle devra la quitter, s’en aller pour repartir dehors, ailleurs. L’ailleurs qu’elle aime pas. « Lettres classiques et modernes » qu’elle répond presque timidement en se cachant derrière la vapeur de son thé. La fac, elle a toujours pensé que c’était pas pour elle, qu’elle vivrait de toute façon pas assez longtemps pour aller jusque là. Qu’elle ne voulait pas vivre de toute façon. « Des belles choses ? Comme quoi ? Me sors pas que je vais faire pleins d’amis qui le resteront jusqu’à la fin de mes jours ou que je vais y rencontrer le grand amour, celui avec un grand A parce que je te croirais pas. Ça m’arrivera jamais, tu le sais ça ? ». Mais peut-être qu’elle en a envie de tout ça. Peut-être.
kool & the gang is my jam
mei na ♡ kouji
Elle a jamais su trouvé sa place la gamine. Enfant non désirée, paumée dans un monde de camés, où les va-et-vient sous les draps sont aussi nombreux que ceux des hommes dans les couloirs. Ado perturbée, préférant la mort à la vie sombre qu’on lui destinait. Tout juste vingt ans, la fleur de l’âge comme le disent tous les adultes et pourtant, fleur fanée, déracinée. Peut-être qu’elle ne la trouvera jamais cette place. Peut-être qu’elle est fait pour aucune place. Même si Kouji lui donne envie d’y croire. Même s’il lui donne l’impression qu’elle y a le droit elle aussi. « Neuf ans, c’est super long, je sais pas comment t'as fait pour tenir tout ce temps. Si j’arrive à tenir une année, décerne-moi une médaille ». Elle coince une jambe sous l’autre, moitié en tailleur avant de reprendre sa tasse entre ses petites mains, la rapproche de son visage pour se réchauffer le bout du nez. Elle reste ainsi un moment, écoute la musique qui les enveloppe doucement, les berce. Elle est bien ici Mei Na, elle voudrait y rester dans sa petite bulle. Mais elle sait qu’elle peut pas, qu’elle devra la quitter, s’en aller pour repartir dehors, ailleurs. L’ailleurs qu’elle aime pas. « Lettres classiques et modernes » qu’elle répond presque timidement en se cachant derrière la vapeur de son thé. La fac, elle a toujours pensé que c’était pas pour elle, qu’elle vivrait de toute façon pas assez longtemps pour aller jusque là. Qu’elle ne voulait pas vivre de toute façon. « Des belles choses ? Comme quoi ? Me sors pas que je vais faire pleins d’amis qui le resteront jusqu’à la fin de mes jours ou que je vais y rencontrer le grand amour, celui avec un grand A parce que je te croirais pas. Ça m’arrivera jamais, tu le sais ça ? ». Mais peut-être qu’elle en a envie de tout ça. Peut-être. Contenu sponsorisé