Crazy in love ft. Yeolito
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Crazy in love ft. Yeolito | Lun 17 Avr - 15:50 Citer EditerSupprimer
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MACFLY
crazy in love
ft. yeolito
« Femme Taureau : cette journée risque d'être forte en émotions » L'horoscope ne m'avait pas menti. L'horoscope disait toujours la vérité pas vrai ? Journée riche en émotions. Nuit remplie de frissons. Pour lui c'était Homme Cancer. Mais l'homme cancer je m'en fichais grandement. A part se faire malmener par la femme Taureau, je pense qu'il n'était d'aucune utilité.
C'est donc dans un dernier soupir, et quelques mots baragouinés en Anglais que je me sentie enfin libre. Le cœur battant encore. Il le fallait bien. Il n'avait pas chômer le Cancer. Il avait pris possession de mon corps durant des heures, se l'était approprié, et me laissait enfin me reposer un peu. Il devait être épuisé lui aussi, alors je lui accordai un beau sourire, et une caresse dans les cheveux. Ma manière à moi de dire merci. Ou du moins de le féliciter. A quoi ça servait de dire merci pour quelque chose qu'on méritait après tout ? A rien. Il était beau mon Cancer. Grand, jeune, vivant, et extrêmement beau. On avait sans doute du se rencontrer dans les couloirs. Entre deux casiers et quelques dossiers, en vrai je m'en rappelais plus et je m'en fichais. Ce qui comptait désormais, c'était de le sentir contre moi, dans mes draps, de sentir ses lèvres, sa langue et son visage, même ses mains, le sentir entier contre moi. Je fermai les yeux, attendant que tout mon corps puisse enfin se remettre à bouger. J'avais encore cette sensation, si particulière de plénitude. Et il fallait que je redescende. Doucement mais sûrement. « Bon...c'était pas mal cette fois-ci! » dis-je avant de me redresser d'un coup en lui faisant un clin d'oeil, les cheveux en pagailles, lui offrant une pleine vue sur ma poitrine. J'étais pas super canon à voir dans un état pareil mais au moins il avait de quoi mater. Ma poitrine m'avait pas coûté autant de fric pour qu'aucun homme ne la regarde. «L'horoscope dit toujours que le Taureau et le Cancer s'entendent très bien au lit ! Maintenant j'y crois de plus en plus...En tout cas ça sera toujours mieux qu'une relation Taureau, Sagittaire » (petit clin d'oeil à mon ex mari), ajoutai-je en me levant soudainement du lit, attrapant un oreiller pour me cacher l'entrejambe. Certes c'était inutile, vu le face à face qu'il avait eu la chance d'obtenir avec le saint minou quelques temps avant mais par principe j'avais pas envie d'avoir froid. Puis une douche aussi serait pas mal... « Il est quelle heure au fait ? » demandai-je en ouvrant mon dressing d'une main. C'était le bordel là-dedans. Trop d'affaires, pas assez de place. Bon...Une nouvelle serviette pour se laver...non. Ça c'est les draps, eux aussi fallait les changer. Et...ah voilà... « Oh ! Il est quelle heure !? » répétai-je avant de lui envoyer soudainement mon coussin dans la tête. «Fuck...mais tu dors ?? Tu te touches ? Tu fais quoi ? » Sans plus attendre je chargeai tel mon signe, vers le lit pour sauter sur ledit Jun et venir l'embrasser. «T'as pas le droit de dormir...T'as qu'à mettre du netflix mais tu dors pas... » J'avais envie qu'il recommence. J'étais faussement fatiguée. C'était la fatigue de celle qu'à pas fait grand chose. Celle qui s'est contentée de gémir, à chaque petit coups de langue. A chaque va et viens, a chaque frisson. C'était la fatigue de celle qui s'était prise pour une amazone pour dominer le monde, son monde. C'était pas de la fatigue. J'en en voulais encore. Je les avais sous-estimés ces Coréens. Moi qui avait passé 25 ans de ma vie à me dire qu'ils ne valaient rien, qu'ils étaient juste des saletés d'asiatiques avec des crevettes entre les cuisses. Et pourtant. Fallait bien avouer que depuis que j'avais rencontré mon mari, enfin mon ex-mari, j'avais du revoir un peu mes manières de noter. Et ce Jun, ce Yeol Jun, celui sur lequel j'étais actuellement écrasée, m'en faisait voir de toutes les couleurs. Il était, un bon sexfriend. Parfois plus sex que friend d'ailleurs. .
C'est donc dans un dernier soupir, et quelques mots baragouinés en Anglais que je me sentie enfin libre. Le cœur battant encore. Il le fallait bien. Il n'avait pas chômer le Cancer. Il avait pris possession de mon corps durant des heures, se l'était approprié, et me laissait enfin me reposer un peu. Il devait être épuisé lui aussi, alors je lui accordai un beau sourire, et une caresse dans les cheveux. Ma manière à moi de dire merci. Ou du moins de le féliciter. A quoi ça servait de dire merci pour quelque chose qu'on méritait après tout ? A rien. Il était beau mon Cancer. Grand, jeune, vivant, et extrêmement beau. On avait sans doute du se rencontrer dans les couloirs. Entre deux casiers et quelques dossiers, en vrai je m'en rappelais plus et je m'en fichais. Ce qui comptait désormais, c'était de le sentir contre moi, dans mes draps, de sentir ses lèvres, sa langue et son visage, même ses mains, le sentir entier contre moi. Je fermai les yeux, attendant que tout mon corps puisse enfin se remettre à bouger. J'avais encore cette sensation, si particulière de plénitude. Et il fallait que je redescende. Doucement mais sûrement. « Bon...c'était pas mal cette fois-ci! » dis-je avant de me redresser d'un coup en lui faisant un clin d'oeil, les cheveux en pagailles, lui offrant une pleine vue sur ma poitrine. J'étais pas super canon à voir dans un état pareil mais au moins il avait de quoi mater. Ma poitrine m'avait pas coûté autant de fric pour qu'aucun homme ne la regarde. «L'horoscope dit toujours que le Taureau et le Cancer s'entendent très bien au lit ! Maintenant j'y crois de plus en plus...En tout cas ça sera toujours mieux qu'une relation Taureau, Sagittaire » (petit clin d'oeil à mon ex mari), ajoutai-je en me levant soudainement du lit, attrapant un oreiller pour me cacher l'entrejambe. Certes c'était inutile, vu le face à face qu'il avait eu la chance d'obtenir avec le saint minou quelques temps avant mais par principe j'avais pas envie d'avoir froid. Puis une douche aussi serait pas mal... « Il est quelle heure au fait ? » demandai-je en ouvrant mon dressing d'une main. C'était le bordel là-dedans. Trop d'affaires, pas assez de place. Bon...Une nouvelle serviette pour se laver...non. Ça c'est les draps, eux aussi fallait les changer. Et...ah voilà... « Oh ! Il est quelle heure !? » répétai-je avant de lui envoyer soudainement mon coussin dans la tête. «Fuck...mais tu dors ?? Tu te touches ? Tu fais quoi ? » Sans plus attendre je chargeai tel mon signe, vers le lit pour sauter sur ledit Jun et venir l'embrasser. «T'as pas le droit de dormir...T'as qu'à mettre du netflix mais tu dors pas... » J'avais envie qu'il recommence. J'étais faussement fatiguée. C'était la fatigue de celle qu'à pas fait grand chose. Celle qui s'est contentée de gémir, à chaque petit coups de langue. A chaque va et viens, a chaque frisson. C'était la fatigue de celle qui s'était prise pour une amazone pour dominer le monde, son monde. C'était pas de la fatigue. J'en en voulais encore. Je les avais sous-estimés ces Coréens. Moi qui avait passé 25 ans de ma vie à me dire qu'ils ne valaient rien, qu'ils étaient juste des saletés d'asiatiques avec des crevettes entre les cuisses. Et pourtant. Fallait bien avouer que depuis que j'avais rencontré mon mari, enfin mon ex-mari, j'avais du revoir un peu mes manières de noter. Et ce Jun, ce Yeol Jun, celui sur lequel j'étais actuellement écrasée, m'en faisait voir de toutes les couleurs. Il était, un bon sexfriend. Parfois plus sex que friend d'ailleurs. .
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Re: Crazy in love ft. Yeolito | Lun 17 Avr - 23:28 Citer EditerSupprimer
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ft. london
Heureusement que ce n'est pas ta prof. Seigneur. Tu ne sais pas exactement comment tu aurais pris la chose si tu devais survivre à deux ou trois heures de cours par semaine avec elle, tout en devant résister et ne pas lui sauter dessus. Elle a le don de te rendre fou, cette femme. Tu ne l'aimes pas, cette femme. Il n'y a pas de sentiment entre vous à part une étrange amitié et un possible attachement. Pourtant au lit, vous vous entendez comme de vraies âmes soeurs. Et elle, là, toujours à parler de son horoscope. Pire que Madame Irma. Alors qu'elle qualifie vos ébats de "pas mal", tu lui adresses un sourire patient et dépose un baiser sur sa magnifique — quoi que totalement refaite, tu n'es pas si naïf — poitrine et t'allonges sur le dos à côté d'elle. Ah mais toi et ton horoscope, fermez-la. Parfois, il t'arrive de te dire qu'elle est beaucoup plus belle quand elle se tait mais très rapidement, tu admets que London ne serait pas London si elle n'avait pas une aussi grande gueule et qu'elle ne racontait pas tellement de choses dont tu te fous éperdument. Lorsqu'elle se lève, tu ne peux empêcher ton regard de parcourir ses courbes gracieuses se déhancher dans sa chambre. Il ne te vient pas à l'idée que c'est à toi en particulier qu'elle demande l'heure et tu ne prends pas la peine de répondre jusqu'à ce qu'elle insiste et s'énerve contre toi. Mais tu te contentes de lui sourire et de l'accueillir dans tes bras, une main sur sa tête pour l'empêcher de se cogner. Ta main court dans ses cheveux tandis que tu lui rends son baiser aussi doux que sensuel.
Tu as tôt fait de la renverser sur le lit et de t'aventurer sur elle, inondant son visage et son cou de baiser tandis que tes mains courent sur son corps de déesse. Inexplicablement, tu aimes l'entendre crier ton nom. Comme tu le lui as dit la première fois, tu as fait en sorte que les voisins connaissent ton nom. Qui t'a dit que j'avais envie de dormir, London ? Tu relèves ton visage d'entre sa douce poitrine et lui souris de manière à la fois innocente et séductrice. Sans attendre, tu enroules tes bras autour de sa taille de guêpe et replonge entre ses seins. Tu n'as pas pour bute de l'exciter de nouveau cette fois, mais juste de lui faire du bien. Mine de rien, tu aimes par-dessus tout la voir sourire de plaisir et détendue entre tes bras. Tes lèvres parcourent sa poitrine pour lentement remonter vers sa gorge, y laissant sans le moindre scrupule une marque bleutée. Comme ça, tes élèves auront de quoi parler, tout à l'heure... Tu ricanes et presses un doux baiser sur sa joue.
Tu as tôt fait de la renverser sur le lit et de t'aventurer sur elle, inondant son visage et son cou de baiser tandis que tes mains courent sur son corps de déesse. Inexplicablement, tu aimes l'entendre crier ton nom. Comme tu le lui as dit la première fois, tu as fait en sorte que les voisins connaissent ton nom. Qui t'a dit que j'avais envie de dormir, London ? Tu relèves ton visage d'entre sa douce poitrine et lui souris de manière à la fois innocente et séductrice. Sans attendre, tu enroules tes bras autour de sa taille de guêpe et replonge entre ses seins. Tu n'as pas pour bute de l'exciter de nouveau cette fois, mais juste de lui faire du bien. Mine de rien, tu aimes par-dessus tout la voir sourire de plaisir et détendue entre tes bras. Tes lèvres parcourent sa poitrine pour lentement remonter vers sa gorge, y laissant sans le moindre scrupule une marque bleutée. Comme ça, tes élèves auront de quoi parler, tout à l'heure... Tu ricanes et presses un doux baiser sur sa joue.
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