i love your tattoos w/ shin kalaya
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i love your tattoos w/ shin kalaya | Lun 17 Avr - 16:01 Citer EditerSupprimer
Dans un des musées de Digital City débutait une exposition temporaire nommée la joie et la tristesse. Je ne suis pas adepte à toute la culture artistique et je n'aurais jamais pensé mettre dans un endroit pareil. J'ai la matinée de libre, et j'ai décidé de m'instruire et de faire le déplacement. Après tout, pourquoi pas ? Alimenté ma culture artistique ne me ferait pas de mal, bien au contraire. Ainsi, sans même connaître le thème, l'époque ou une quelconque information à propos de cette exposition. J'avais la ferme intention de découvrir un peu plus sur le monde de la peinture.
Ce n'est pas une chose qui m'intéresse en soi, je suis plus accès sur la littérature et la chanson, mais je vais imaginer ce que certains tableaux représente. De plus, je pouvais imaginer que c'est inspiré d'une œuvre littéraire. Il y a beaucoup d'artistes qui s'inspirent d'écrivains, de chanteurs ou autre. Je ne sais pas si je vais être la seule jeune, mais j'ai bien l'intention de questionner le peintre avec deux ou trois questions.
J'arrive sur les lieux et je remarque une jeune femme tatouée. J'ai l'impression qu'elle est perdue. Je me dirige vers elle, et je commence à lui parler. « Vous êtes perdue ? » Wow, qu'elle est belle avec les tatouages. C'est elle l'œuvre d'art.
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Re: i love your tattoos w/ shin kalaya | Lun 17 Avr - 21:55 Citer EditerSupprimer
Il est très rare pour ma personne d’avoir un temps libre depuis quelque temps. Entre les études et ma carrière de mannequin, la vie n’est pas toujours aussi facile. Il faut dire que lorsqu’un de mes enseignants nous propose pour un travail l’étude de l’art, je ne suis pas heureuse. Il faut étudier l’énergie émotionnelle transmise par l’art. Il est soi-disant dit que lors d’une création un artiste transmet une émotion par son art. On peut même y retrouver une fissure dans celle-ci. On pourrait décrire par les couleurs, les symboles et les formes si l’artiste ressentait un sentiment de regret ou d’amour. Il est vrai que cette méthode est utilisée par de nombreux psychologues qui appliquent leurs remèdes par l’art, mais je ne croyais aucunement à cette méthode. Peut-être pour la simple et unique raison que je ne portais aucun amour aux peintures, sculptures et autres. Donc être debout devant ce tableau ne me portait aucune joie ni tristesse. Pour moi, cette chose qui valait tout l’or du monde n’avait aucune beauté.
J’étais là debout sans même réagir. Je gribouillais quelques petits dessins sur dans livres de note en cherchant à comprendre la logique de cette œuvre. Que peut-il avoir en commun entre une toile affichant diverses formes géométriques et la psychologie ? Je ne comprenais rien ! Je ne voulais qu’une chose et rien d’autre ! Finir ce travail pour l’oublier et ne plus jamais en attendre parler !
Mais, alors que j’étais prise dans mes pensées, une petite voix vient m’interpeler. Je descends mon regard sur cette jeune demoiselle au visage de poupée. Elle croyait que je m’étais égarée ? Je laissais mes lèvres s’étirer pour former un sourire avant de laisser sortir un petit rire.
« Je ne suis pas perdue ! Ni même égarer, mais je ne vais jamais comprendre cette peinture. »
Je la regardais de plus près en souriant de nouveau. Qui viendrait seul dans un musée si ce n’est pas une amatrice d’art.
« Mais, tu pourrais peut-être m’aider… »