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moon shinhye ▬ eat, pray, love
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moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 14:48 Citer EditerSupprimer
Moon Shin Hye
Sing as if no one were listening, dance as if no one were watching, live like there's no tomorrow
#FRANCHISE | #MANQUE DE TACT | #LUCIDITE | #LOYAUTE | #CHARISME |
#ENTÊTEMENT | #ENERGIE | #AUTORITE | #VOLONTE | #AMBITION |
NOM : moon. PRÉNOM : shinhye. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : l'âge d'une dame, ça ne se demande pas. ORIGINES : gwanju, corée. NATIONALITÉ : coréenne. CLASSE SOCIALE : aisée. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. MÉTIER : rédactrice en chef d'un magazine de mode [ r u n w a y ] ; professeur de journalisme. CODE :nicki minaj [c'est la première fois de ma vie que je tape ces mots, vous vous rendez même pas compte de la révolution que c'est oO].
TU VEUX T'INVESTIR? : je me contenterais de vous surveiller, bande de petits chenapans
“ Rumour has it :Les multiples mariages et divorces de Shin Hye sont de notoriété publique. Quand la jeune femme était encore mannequin, ses déboires amoureux faisaient souvent la une de la presse à scandale. + Bien que l'ex-icône ait aujourd'hui plus de trente ans, sa réputation sulfureuse la suit et lui colle à la peau. Selon la rumeur, Shin Hye aurait régulièrement des aventures avec des hommes plus jeunes qu'elle, voire avec des mineurs.+ Ce serait d'ailleurs de peur qu'une de ces histoires ne s'ébruitent que la célèbre fashionista qu'elle est laisserait temporairement de côté le magazine de mode qu'elle a fondé. + Beaucoup s'étonnent de cette subite de sa soudaine reconversion dans l'enseignement et s'offusquent de fait que l'on puisse cette écrivaillone qui ne fait que parler chiffons ait pu obtenir un poste aussi haut placé. D'aucuns la soupçonnent d'avoir couché pour atteindre une telle dignité. + D'autres langues de vipères disent d'elle qu'elle n'est qu'une sorcière et qu'elle a sans doute drogué le doyen de l'université avec une de ces potions dont elle seule aurait le secret. + Les plus réalistes pensent que son seul élixir magique est la vodka-citron dont elle a tendance à un trop abuser. + Mais derrière ces airs de mauvaise fée, il est possible que se cache une personne sensible et vulnérable qui ne sait pas bien exprimer les émotions qu'il lui arrive d'éprouver.
“ Rumour has it :Les multiples mariages et divorces de Shin Hye sont de notoriété publique. Quand la jeune femme était encore mannequin, ses déboires amoureux faisaient souvent la une de la presse à scandale. + Bien que l'ex-icône ait aujourd'hui plus de trente ans, sa réputation sulfureuse la suit et lui colle à la peau. Selon la rumeur, Shin Hye aurait régulièrement des aventures avec des hommes plus jeunes qu'elle, voire avec des mineurs.+ Ce serait d'ailleurs de peur qu'une de ces histoires ne s'ébruitent que la célèbre fashionista qu'elle est laisserait temporairement de côté le magazine de mode qu'elle a fondé. + Beaucoup s'étonnent de cette subite de sa soudaine reconversion dans l'enseignement et s'offusquent de fait que l'on puisse cette écrivaillone qui ne fait que parler chiffons ait pu obtenir un poste aussi haut placé. D'aucuns la soupçonnent d'avoir couché pour atteindre une telle dignité. + D'autres langues de vipères disent d'elle qu'elle n'est qu'une sorcière et qu'elle a sans doute drogué le doyen de l'université avec une de ces potions dont elle seule aurait le secret. + Les plus réalistes pensent que son seul élixir magique est la vodka-citron dont elle a tendance à un trop abuser. + Mais derrière ces airs de mauvaise fée, il est possible que se cache une personne sensible et vulnérable qui ne sait pas bien exprimer les émotions qu'il lui arrive d'éprouver.
“ Caractère :
J’ai trente-deux ans. Alors forcément, à chaque nouvelle entrevue avec le miroir, je grimace devant les marques que le temps a laissées sur mon visage – devant ce grain de peau qui n’est plus aussi fin qu’auparavant, devant ses paupières qui se relâchent peu à peu, devant ces cosmétiques dont l’application est désormais une nécessité. Soupir, yeux levés au ciel. Mes amies me reprochent souvent de trop me plaindre – quand on a encore la taille fine et que l’on entre dans les robes de ses 25 ans, on devrait encore s’estimer heureuse. Certes… mais ne pas pouvoir sortir sans maquillage et devoir surveiller tout ce que l’on mange pour maintenir cette ligne tanne un peu. Beaucoup. Gagner en âge a cependant ses avantages : la coquetterie en devient plus aisée : la trentaine passée, sans enfant, ni famille nombreuse, que voulez-vous que je fasse de mon salaire ? A part le consacrer à des œuvres humanitaires. Car mon nom est Moon Shin Hye, pas Mère Thérésa. Donc centres commerciaux à dévaliser et soins de plusieurs heures chez le coiffeur… Venez voir Maman. Oui, je suis vaine. Mais c’est pour ça que l’on m’aime, n’est-ce pas ?
J’ai trente-deux ans. A cet âge, il est dérisoire de vouloir brosser un portrait complet de soi. Les années se sont assez succédé pour nous dévoiler les innombrables facettes qu’il nous arrive d’arborer. Omma aime répéter que j’étais une enfant vive et sans peur, un brin garçon manqué sur les bords. Au sortir du lycée, l’ « optimisme de la jeunesse me porte », et le monde me paraît à conquérir. La vingtaine largement passée, j’abandonne mes rêves pour embrasser mes ambitions – cela fait plus chic, plus mûr, plus professionnel. Aujourd’hui encore, sous des airs supposément réfléchis et posés, je joue les femmes du monde sophistiquées, carriéristes à souhait, pragmatique à en faire pâlir un politique. Quelques traits cyniques et secs ; voilà que tout le monde se prend au jeu. Il serait facile de dire que j’ai grandi, que j’ai évolué le long de cette ligne bien nette qui relie l’avant à l’après, le jadis au naguère, me défaisant ainsi de bien vaines illusions.
Mais il suffit d’effleurer ce vernis pourtant si précautionneusement déposé, et déjà la façade s’effrite. Derrière les apparences soignées, se terrent encore des bouffées de candeur et des élans de confiance en l’avenir. Certains jours, le soleil brille, et ce simple fait me met de bonne humeur. Même quand les conditions atmosphériques laissent à désirer, il se trouve toujours à ma disposition quelque drama mièvre ou livre à l’eau de rose pour me redonner le sourire Les pots de glace et les kilos de chocolat engloutis à cette occasion participent efficacement à l’ouvrage.
Bien sûr, ces regains d’idéalisme n’effacent pas les leçons du temps qui passe. « L’expérience » m’a appris que, dans une vie, les gens vont et viennent, que les amitiés éternelles se révèlent souvent chimères ; et assurément, sept divorces aident à prouver que le prince charmant ne se trouve pas si aisément ? Franchement, de tels constats n’enchantent pas plus que cela. Et si vous voulez une confidence (ou pas d’ailleurs), quand on s’aperçoit de tout cela, on se sent seule – terriblement seule. Il y a toujours les autres – les connaissances de longue date, les collègues bien gentils, les relations passagères… mais ce n’est jamais assez pour combler ce grand creux.
Avec les années, on apprend à faire abstraction, à « s’accepter d’abord soi-même » - parce qu’il ne se trouvera pas nécessairement quelque tierce personne pour le faire à votre place. Pour l’orgueil, pareille démarche s’avère enrichissante. Puis voilà qui vient nuancer le ton désabusé que je force un peu depuis le début. Quand on s’estime davantage, on transige bien moins – la révolte et les accents radicaux de la jeunesse reviennent. Qu’on me traite de haut ou me manque de respect, je m’énerve de suite. Parce que c’est fatigant d’attendre qu’untel se rende compte de ses erreurs et s’en excuse. Lui en vouloir et tout faire pour qu’on vienne obtenir votre pardon à genou est plus pratique – ou plutôt, moins ennuyant. Rancunière ? très. Vindicative même. Quand on n’espère plus lutter pour de grandes causes, la moindre altercation devient moyen de s’affirmer, de montrer que l’on n’a pas tout perdu. Batailler pour obtenir un dossier au bureau ou se battre pour le même article au super marché… peu importe, je prends et je charge. Oui, c’est puéril.
Parce que, finalement, les « contradictions »… il n’y a que ça de vrai. Lunatique, j’ai mes sautes d’humeur. Des poussées d’affections me soulèvent parfois ; puis il y a cette rencontre avec l’autre prétentieux ou ce môme qui braille et qui bave pour me dégoûter momentanément de l’humanité. Les baisses de moral entrecoupent de longues et persistantes espérances. Il y a du blanc et du noir, du gris et des couleurs. Il y a des hauts et des bas. Et la vie qui continue. Parce que je n’ai que trente-deux ans.
J’ai trente-deux ans. A cet âge, il est dérisoire de vouloir brosser un portrait complet de soi. Les années se sont assez succédé pour nous dévoiler les innombrables facettes qu’il nous arrive d’arborer. Omma aime répéter que j’étais une enfant vive et sans peur, un brin garçon manqué sur les bords. Au sortir du lycée, l’ « optimisme de la jeunesse me porte », et le monde me paraît à conquérir. La vingtaine largement passée, j’abandonne mes rêves pour embrasser mes ambitions – cela fait plus chic, plus mûr, plus professionnel. Aujourd’hui encore, sous des airs supposément réfléchis et posés, je joue les femmes du monde sophistiquées, carriéristes à souhait, pragmatique à en faire pâlir un politique. Quelques traits cyniques et secs ; voilà que tout le monde se prend au jeu. Il serait facile de dire que j’ai grandi, que j’ai évolué le long de cette ligne bien nette qui relie l’avant à l’après, le jadis au naguère, me défaisant ainsi de bien vaines illusions.
Mais il suffit d’effleurer ce vernis pourtant si précautionneusement déposé, et déjà la façade s’effrite. Derrière les apparences soignées, se terrent encore des bouffées de candeur et des élans de confiance en l’avenir. Certains jours, le soleil brille, et ce simple fait me met de bonne humeur. Même quand les conditions atmosphériques laissent à désirer, il se trouve toujours à ma disposition quelque drama mièvre ou livre à l’eau de rose pour me redonner le sourire Les pots de glace et les kilos de chocolat engloutis à cette occasion participent efficacement à l’ouvrage.
Bien sûr, ces regains d’idéalisme n’effacent pas les leçons du temps qui passe. « L’expérience » m’a appris que, dans une vie, les gens vont et viennent, que les amitiés éternelles se révèlent souvent chimères ; et assurément, sept divorces aident à prouver que le prince charmant ne se trouve pas si aisément ? Franchement, de tels constats n’enchantent pas plus que cela. Et si vous voulez une confidence (ou pas d’ailleurs), quand on s’aperçoit de tout cela, on se sent seule – terriblement seule. Il y a toujours les autres – les connaissances de longue date, les collègues bien gentils, les relations passagères… mais ce n’est jamais assez pour combler ce grand creux.
Avec les années, on apprend à faire abstraction, à « s’accepter d’abord soi-même » - parce qu’il ne se trouvera pas nécessairement quelque tierce personne pour le faire à votre place. Pour l’orgueil, pareille démarche s’avère enrichissante. Puis voilà qui vient nuancer le ton désabusé que je force un peu depuis le début. Quand on s’estime davantage, on transige bien moins – la révolte et les accents radicaux de la jeunesse reviennent. Qu’on me traite de haut ou me manque de respect, je m’énerve de suite. Parce que c’est fatigant d’attendre qu’untel se rende compte de ses erreurs et s’en excuse. Lui en vouloir et tout faire pour qu’on vienne obtenir votre pardon à genou est plus pratique – ou plutôt, moins ennuyant. Rancunière ? très. Vindicative même. Quand on n’espère plus lutter pour de grandes causes, la moindre altercation devient moyen de s’affirmer, de montrer que l’on n’a pas tout perdu. Batailler pour obtenir un dossier au bureau ou se battre pour le même article au super marché… peu importe, je prends et je charge. Oui, c’est puéril.
Parce que, finalement, les « contradictions »… il n’y a que ça de vrai. Lunatique, j’ai mes sautes d’humeur. Des poussées d’affections me soulèvent parfois ; puis il y a cette rencontre avec l’autre prétentieux ou ce môme qui braille et qui bave pour me dégoûter momentanément de l’humanité. Les baisses de moral entrecoupent de longues et persistantes espérances. Il y a du blanc et du noir, du gris et des couleurs. Il y a des hauts et des bas. Et la vie qui continue. Parce que je n’ai que trente-deux ans.
“ Once upon a time :
« Shin Hye-ah ? C’est ma petite princesse, le rayon de soleil qui illumine mes journées et…. Aish. Yeobo, ne lève pas les yeux au ciel comme ça. Tu sais bien que c’est toi que j’aime le plus au monde ? Seulement, ta gamine, je l’apprécie comme si c’était la mienne. J’ai beau n’être que son cinquième beau-père ; j’irai quand même décrocher la lune pour elle. Mais non, je ne la gâte pas trop. Cette voiture que je lui ai offerte était un cadeau entièrement justifié. Oui, parfaitement, même si elle n’avait que douze ans quand je la lui ai achetée. Oh, et tu te souviens quand elle m’a convaincu d’acheter un chiot alors que tu y étais formellement opposée. Ah, cette môme a toujours su trouver les mots qu’il fallait. Et ce, depuis le tout début. Quand je l’ai rencontrée pour la première fois, j’avais vraiment une peur bleue. La boule au ventre et tout le reste. C’était un peu ridicule – quand on a la cinquantaine, on n’est pas terrifié par une fillette de huit ans. Mais qu’est-ce que j’y pouvais ? Pour épouser ma Min Young-sshi, il me fallait bien l’approbation de son enfant. Alors voilà que j’entre dans le restaurant où l’on a prévu de se rencontrer. Quand on se salue, je tremble presque. Mais là, Shin Hye se tourne vers moi avec sa bouille d’ange, et… Et tu te souviens de ce qu’elle me dit ? « Ajusshi, vous êtes sûrement très gentil. J’espère que vous resterez longtemps, loooongtemps avec Omma. En attendant… vous m’offrez des profiteroles ? » Ah. Chipie. Elle a toujours d’abord pensé avec son estomac. Aish. C’est d’ailleurs ce qui m’inquiétait quand elle a commencé le mannequinat ; son agent voulait l’astreindre à un régime draconien, surveiller tous ces repas, limiter au centième près le nombre de calories qu’elle avalait. A celui-là… je lui aurais bien dévissé la tête. Mais la petite ne m’en a pas laissé le temps ; elle les a vite envoyé paître, lui et ses fascicules sur les 1001 façons de maigrir. C’est qu’elle a un sacré caractère. Et c’est pour cela que je l’aime si fort. Parce que notre Shin Hye, c’est ma princesse. »
« Oui, on a été marié. Pendant trois mois. Comment cela a commencé, comment cela s’est terminé… à dire vrai, je ne saurais trop vous l’expliquer. Tout s’est passé si vite. J’étais à Paris pour la Fashion Week. Je la rencontre entre deux défilés ; évidemment, elle me plaît, je lui plais. D’une manière ou d’une autre, trois jours plus tard, on est fiancés. Le mariage a lieu la semaine d’après. Pour ce qui est du divorce… cela s’est déroulé tout aussi rapidement. C’est assez drôle parce que l’on s’entendait plutôt bien. Mais un jour, Shin Hye quitte la chambre que l’on occupe ensemble à Venise, et les mots sortent à toute vitesse. On a agi sur un coup de tête, c’était une erreur de jugement ; ça, c’est tout elle, se laisser emporter par la magie du moment pour finalement être rattrapée par sa peur de l’engagement. De son déluge de paroles, je ne comprends que la conclusion : on se sépare, et elle se chargera de la paperasse puis que c’est son quatrième divorce international. Sous le coup de la surprise, je me suis contenté de hocher la tête. Mais honnêtement… je trouve ça un peu dommage. Je l’aimais bien. Enfin… c’est la vie. Au moins, on est resté en bons termes. Pas comme avec son sixième mari… A chaque fois qu’ils se croisent, la troisième guerre mondiale est sur le point d’éclater. »
« Moon Shin Hye est une esclavagiste. Ne me dites pas le contraire, cela fait huit ans que je suis à son service. Cette femme est un bourreau de travail. Un jour, elle a même travaillé 23 heures d’affilée – ce n’est même pas une exagération rhétorique. Elle est toujours levée aux aurores et couchée, alors que la nuit s’achève presque. Bien entendu, les mêmes tendances masochistes sont exigées de ces employés. Et toute la journée, ça n’arrête pas : un ordre à suivre par là, un dossier à compléter par ci. Avant moi, trois secrétaires sont parties en dépression nerveuse ; et aujourd’hui, les autorités coréennes songent à me remettre une médaille pour mon endurance. Enfin… presque. Je sais. Vous allez me demander pourquoi je n’ai pas encore rendu mon tablier ? Eh bien, cela va vous surprendre. Mais derrière sous ses airs de carriériste endurcie, se cache quelqu’un de bien. Moon Shin Hye est quand même assez douée ; mannequin, elle aurait pu n’être que l’une de ces jolies femmes à la plastique parfaite. Celles-ci courent les pages de magazine, mais leurs visages restent de papier glacé ; il ne s’agit jamais que de froides beautés vite remplacées, puis aussitôt oubliées. Shin Hye a su rester. Même avec les années, les contrats ne se sont que très lentement taris. Et quand ils ont finalement cessé d’affluer, elle n’a pas pour autant quitter le devant de la scène. La revue de mode qu’elle a lancée il y a quelques années a tout de suite rencontré beaucoup de succès. Les mauvaises langues ont d’abord vitupéré, mais son style percutant les a très vite anesthésiées si bien qu’aujourd’hui, elle est une des critiques les plus influentes dans le monde du mannequinat. Aujourd’hui, elle ajoute une corde à son arc en acceptant le poste d’enseignante qu’une université lui a proposé. C’est… peut-être, éventuellement, sait-on jamais impressionnant. Mais il n’y a pas que cela… parfois… c’est aussi une femme comme une autre. Je ne suis pas censée vous le répéter, mais dans son bureau, depuis plusieurs années, s’entassent des cadeaux pour son fils. A mon avis, elle ne lui offre jamais parce que le petit ne l’appelle pas Omma ; il la connaît à peine, puis sa belle-mère, la deuxième femme du père, s’occupe de lui. Triste histoire. Mais voilà qui rend Moon Shin Hye un peu plus humaine. Avec ses problèmes et ses maladresses… Oui. Quelqu’un de bien. Quand elle ne m’appelle pas à quatre heures du matin pour boucler un projet. »
Shim Young Shik, scénariste, 75 ans.
« Oui, on a été marié. Pendant trois mois. Comment cela a commencé, comment cela s’est terminé… à dire vrai, je ne saurais trop vous l’expliquer. Tout s’est passé si vite. J’étais à Paris pour la Fashion Week. Je la rencontre entre deux défilés ; évidemment, elle me plaît, je lui plais. D’une manière ou d’une autre, trois jours plus tard, on est fiancés. Le mariage a lieu la semaine d’après. Pour ce qui est du divorce… cela s’est déroulé tout aussi rapidement. C’est assez drôle parce que l’on s’entendait plutôt bien. Mais un jour, Shin Hye quitte la chambre que l’on occupe ensemble à Venise, et les mots sortent à toute vitesse. On a agi sur un coup de tête, c’était une erreur de jugement ; ça, c’est tout elle, se laisser emporter par la magie du moment pour finalement être rattrapée par sa peur de l’engagement. De son déluge de paroles, je ne comprends que la conclusion : on se sépare, et elle se chargera de la paperasse puis que c’est son quatrième divorce international. Sous le coup de la surprise, je me suis contenté de hocher la tête. Mais honnêtement… je trouve ça un peu dommage. Je l’aimais bien. Enfin… c’est la vie. Au moins, on est resté en bons termes. Pas comme avec son sixième mari… A chaque fois qu’ils se croisent, la troisième guerre mondiale est sur le point d’éclater. »
Louis Desportes, ex-mannequin, 36 ans.
« Moon Shin Hye est une esclavagiste. Ne me dites pas le contraire, cela fait huit ans que je suis à son service. Cette femme est un bourreau de travail. Un jour, elle a même travaillé 23 heures d’affilée – ce n’est même pas une exagération rhétorique. Elle est toujours levée aux aurores et couchée, alors que la nuit s’achève presque. Bien entendu, les mêmes tendances masochistes sont exigées de ces employés. Et toute la journée, ça n’arrête pas : un ordre à suivre par là, un dossier à compléter par ci. Avant moi, trois secrétaires sont parties en dépression nerveuse ; et aujourd’hui, les autorités coréennes songent à me remettre une médaille pour mon endurance. Enfin… presque. Je sais. Vous allez me demander pourquoi je n’ai pas encore rendu mon tablier ? Eh bien, cela va vous surprendre. Mais derrière sous ses airs de carriériste endurcie, se cache quelqu’un de bien. Moon Shin Hye est quand même assez douée ; mannequin, elle aurait pu n’être que l’une de ces jolies femmes à la plastique parfaite. Celles-ci courent les pages de magazine, mais leurs visages restent de papier glacé ; il ne s’agit jamais que de froides beautés vite remplacées, puis aussitôt oubliées. Shin Hye a su rester. Même avec les années, les contrats ne se sont que très lentement taris. Et quand ils ont finalement cessé d’affluer, elle n’a pas pour autant quitter le devant de la scène. La revue de mode qu’elle a lancée il y a quelques années a tout de suite rencontré beaucoup de succès. Les mauvaises langues ont d’abord vitupéré, mais son style percutant les a très vite anesthésiées si bien qu’aujourd’hui, elle est une des critiques les plus influentes dans le monde du mannequinat. Aujourd’hui, elle ajoute une corde à son arc en acceptant le poste d’enseignante qu’une université lui a proposé. C’est… peut-être, éventuellement, sait-on jamais impressionnant. Mais il n’y a pas que cela… parfois… c’est aussi une femme comme une autre. Je ne suis pas censée vous le répéter, mais dans son bureau, depuis plusieurs années, s’entassent des cadeaux pour son fils. A mon avis, elle ne lui offre jamais parce que le petit ne l’appelle pas Omma ; il la connaît à peine, puis sa belle-mère, la deuxième femme du père, s’occupe de lui. Triste histoire. Mais voilà qui rend Moon Shin Hye un peu plus humaine. Avec ses problèmes et ses maladresses… Oui. Quelqu’un de bien. Quand elle ne m’appelle pas à quatre heures du matin pour boucler un projet. »
Park Yun Ah, assistante, 24 ans.
abby.
case une citation de ton choix juste ici
Bonjour à tous ^.^ Il y a quelques moi, un des personnages prédéfinis qu'un membre avait créé ici m'avait séduite. J'avais débarqué avec mes gros sabots, mais prise par le temps, je n'avais pas pu terminer ma fiche. Mais cette fois, c'est la bonne ! Pour l'occasion, je ressors de mes tiroirs un personnage que j'ai créé il y a pue près trois ans ; j'y tenais vraiment beaucoup, mais à chaque fois que j'ai tenté de le jouer, les forums sur lesquels j'étais plantaient. Ohmygawd, je vais vous porter la poisse >.< Ou alors nan, vous êtes plus ça que cela. Tenez-bon ! Sinon, je vais passer vite fait sur les détails de ma vie. Peut-être que certains me connaissent déjà et savent que j'ai tendance à pondre des pavés, que j'ai du mal à écrire un paragraphes si mes fins de phrases ne riment pas (mais là, je fais quoi ? rime ! /mur/), que je peux poster trois fois par jour puis disparaître dans la nature pendant des mois - promis, cette fois, je fais des efforts pour que ce soit pas le cas !
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼LEE HYORI ✎ moon shin hye
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
▲▼
- Code:
[url=http://shaketheworld.tropfun.net/u178][b]▲[/b][/url]▼ <taken>LEE HYORI</taken> ✎ moon shin hye
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Re: moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 14:49 Citer EditerSupprimer
Bonjour madame. Je t'agite ma paluche. Même mes dessous de bras transpirent d'amour pour toi. J'ai pas pour habitude de m'emballer forcément sur une fiche, mais tu as trouvé mon point sensible, mon point faible, et en même temps le meilleur point qui soit.
OHMYFUCKINGGOD. FAUT QUE CA SORTE J'AI RÉUSSI A ECRIRE DES LIGNES SANS M'EXCITER MAIS LA JE TIENS PLUS DEMANDE A AHRIM COMMENT J’ÉTAIS INTENABLE. J’ÉTAIS TEL LE STALKER A SUIVRE TA FICHE, A ATTENDRE QU'ELLE SOIT POSTÉE POUR ETRE LE PREMIER OH MON DIEU.
J'te vois là, en train de te demander pourquoi je te demanderais presque en mariage alors qu'on a pas grand chose en commun . Laisse moi éclairer ta lanterne, ma sublime, ma scooterina, ma divine, ma crousti-fondante.
Rien que quand j'ai vu ton nom je me sentais plus de joie parce que j'adoooore ce name, et que j'ai de très bons souvenirs avec c'était le premier bon point dans ta poche. Alors après, quand j'ai vu l'avatar, j'ai décédé.
HYORI EST LA FEMME DE MA VIE, LA MOITIE DE MON CŒUR, LA DAME A QUI J'ENVERRAIS MES ORGANES SI ELLE ME LE DEMANDAIS, MON TOUT MON TOI. T'as vu le topo ? Je m'excite rarement comme ça en plus mais cette femme est juste ma queen .
Après l'avatar fait pas tout. J'étais tel la puce surexcité en train d'être gentiment atteint du syndrome allumage quand je me suis dit qu'il fallait au moins que le personnage soit au niveau de l'avatar, auquel cas ( ça n'a rien de personnel ) j'aurais pleuré les larmes de mon corps.
Troisième bon point : tu déchires. Genre dans ta totalité. Je t'aime je me sens plus de joie, je meurs je jouis je décède.
Je m'arrête là parce que sinon on va me prendre pour le taré que je suis pas :hairflip: . Tout ça nous vaudra un joli lien, même si je sais pas encore sur quoi on peut se baser. Je suis pas compliqué, si je t'ai fais peur avec mon pavé, si tu m'aimes pas ou si t'aimes pas ma gueule, alors on aura un négatif si tu le décides tant qu'il est bien tourné
Keur keur du love des bisous de l'amour des chocolatines et tout ce qui peut te faire plaisir en ce bas monde.
- En fait j'avais pas fini:
:bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :bang: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :god: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: :blink:
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Re: moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 14:56 Citer EditerSupprimer
NOUS FAIS PAS CA, J'TE TUE SINON.mais à chaque fois que j'ai tenté de le jouer, les forums sur lesquels j'étais plantaient.
BIENVENUE FEMME PARFAITE. j'ai miss korea en tête, maintenant.
du love sur tes joues.
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Re: moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 14:59 Citer EditerSupprimer
LEE HYORI OMG
bienvenue, sublime déesse qui donne envie de prendre des cours de journalisme
bienvenue, sublime déesse qui donne envie de prendre des cours de journalisme
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Re: moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 15:11 Citer EditerSupprimer
ABBYYYYY je suis trop contente de te revoir, j'étais trop triste en voyant que t'avais pas finis ta fiche mais cette fois ci c'est la bonne promet moi ! en plus ton personnage est parfait, je l'aime d'amour et on va pouvoir avoir un super lien puisque je suis étudiante en journalisme et mannequin hâte de te voir en jeu avec cette déesse
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Re: moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 16:02 Citer EditerSupprimer
Tasyr > J'allais aussi me la jouer cool. Fermer le pc, prendre un verre de lait et manger des oreos. Voire ouvrir le bouquin qui traîne sur mon bureau depuis ce matin et réviser. Puis trois secondes sont passées, et je me suis dit: fuck! Parce que toi, oui, toi là, c'est à cause de toi que je suis là éwè Ca t'en bouche sûrement ne coin, mais je suis sympa, je vais pas te laisser sur le cul, je te raconte toute l'histoire : il y a quelques jours, je zonais et je regardais les pvs. Je tombe sur celui de Hansa, plusieurs trucs font clic - le journalisme, Kim Boa des SPICA... ça m'inspire, ça m'excite, ça rend toute chose. Mais la fiche est pas terminée, j'essais donc d'oublier. Mais voilà que je me mets à cogiter, rassembler mes idées, et paf, hier, à trois heures du mat, tout se met en place. Donc sans le savoir, t'es ma muse, l'éclair de génie dans mes nuits, la cause de mes insomnies ; je t'aime déjà à la folie (et me lance même pas sur Hyori, je spazze depuis des heures). Donc un peu qu'on va avoir un lien, je suis prête à aller au Pérou à dos de chameau s'il le faut, mais dans tous les cas, je te laisse pas filer. Trop d'amour pour toi!
Celestine > Mais moi, j'te dis, voodooise le forum, hein. Parce que je porte la poisse, genre vraiment. Au fait, tu savais que le réchauffement climatique et l'extinction des pandas, c'était moi aussi ? (a') J'espère que tu m'aimeras quand même /keur/
Hae Jin > T'es pas mal non plus, tu sais ^.^ Puis viens en journalisme, t'auras peut-être des cours particuliers <3
Moeko > OIGNON! Mais oooooooui, je sais ! Je gère pas T.T Mais promis, cette fois, je sors les chaînes et les menottes, puis je m'accroche. Puis nos personnages sont raccord, c'est trop un signe du destin *o* Puis me laisse pas partir cette fois <3
Celestine > Mais moi, j'te dis, voodooise le forum, hein. Parce que je porte la poisse, genre vraiment. Au fait, tu savais que le réchauffement climatique et l'extinction des pandas, c'était moi aussi ? (a') J'espère que tu m'aimeras quand même /keur/
Hae Jin > T'es pas mal non plus, tu sais ^.^ Puis viens en journalisme, t'auras peut-être des cours particuliers <3
Moeko > OIGNON! Mais oooooooui, je sais ! Je gère pas T.T Mais promis, cette fois, je sors les chaînes et les menottes, puis je m'accroche. Puis nos personnages sont raccord, c'est trop un signe du destin *o* Puis me laisse pas partir cette fois <3
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Re: moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 16:05 Citer EditerSupprimer
omg. *heartbreaker*
Viens j't'entraîne et on visite le pays de kirikou à dos de chameau véloce
je t'aimerais jamais assez.
jamais.
Viens j't'entraîne et on visite le pays de kirikou à dos de chameau véloce
je t'aimerais jamais assez.
jamais.
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Re: moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 16:07 Citer EditerSupprimer
- J'aime tout l'monde, t'inquiètes, même si tu fais couler le fo, j'te noierais sous mon amour!
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Re: moon shinhye ▬ eat, pray, love | Sam 15 Nov - 16:15 Citer EditerSupprimer
Sujin > Merciii.
Tasyr > Je n'ai qu'une chose à dire, une seule :
Celestine > Yaaay ! Du coup, c'est cool, il y aura encore au moins une personne qui m'appréciera quand le Bangladesh sera complètement englouti par la mer à cause de moi ^.^ /hug/
Tasyr > Je n'ai qu'une chose à dire, une seule :
- Spoiler:
Celestine > Yaaay ! Du coup, c'est cool, il y aura encore au moins une personne qui m'appréciera quand le Bangladesh sera complètement englouti par la mer à cause de moi ^.^ /hug/
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