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[-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro
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[-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Mer 26 Avr - 12:46 Citer EditerSupprimer
Girl use me while you can... I'm a toy.
bae sam yong & atkins robin
Journée morose, ennui certain… Mes yeux cerclés de noir attestaient de la fatigue résiduelle accumulée au fil des jours sans pour autant que je cherche à me reposer. Comme testant mes limites, cherchant le bout… M’écroulerai-je en plein jour ? Ou finirai-je avalée par les abysses de la trouée nocturne ? Ma vie n’était qu’un perpétuel pari dont je fixais les règles sans en déterminer le champ. Jouant avec le feu, malmenant mon corps, survivant dans la douleur… Car seuls les maux physiques réussissaient à pallier ceux de l’âme ébranlée. Errant tel un fantôme vidée de toute texture, ma peau d’ordinaire halée semblait blafarde et mon sourire éteint, mes commissures trop lourdes pour en esquisser la délicieuse courbe. Avais-je trop tiré sur les cordes ? A découcher sans cesse, me repaître dans des draps inconnus, braver les insomnies et rentrer à pas d’heures… Je plaignais le pauvre patient qui pourrait avoir à passer entre mes mains. Quoique… En avais-je seulement quelque chose à faire ? Je n’avais de pitié que pour les âmes égarées dans les affres de l’amour… Illusion sordide au goût de fer et de sang dans la bouche. Je me fichais des autres autant que de moi-même, prenant la vie telle quelle et me laissant porter par son courant… Avide de la cascade qui secouerait mon être avant de l’éteindre.
Ma conscience se ralluma au son régulier d’un ballon frappant le sol et mes pupilles se focalisèrent sur l’espace qui m’entourait pour en déterminer la localisation. Le gymnase. Haussant un sourcil, légèrement surprise d’avoir fini dans un lieu qu’il ne m’était pas vraiment coutume de fréquenter, je me faufilais sans bruit jusqu’à l’entrée pour y jeter un œil. Une silhouette se dessina sur le terrain, mouvante et indéfinissable, la luminosité se jouant de mes rétines. Je slalomais alors entre les gradins, profitant qu’il soit concentré pour ne pas me faire repérer. Aussi habile qu’un félin, aussi silencieuse qu’un spectre... Le contre jour fut brisé, ma curiosité assouvie. Sam Yong. Simple coïncidence ou volonté cachée ? On me murmurait d’un côté que je n’aurais jamais su le trouver, de l’autre… Que c’était chose aisée. Mon esprit fini par chasser ces questions, détritus inutiles polluant la raison, et je m'asseyais un instant, le regardant se mouvoir avec habileté, une lueur fauve dans le regard. Je ne comptais pas le nombre de semaines qui nous avaient séparées, n’ayant jamais regardé quant à la fréquence de nos entrevues ni cherché à le voir à un moment donné. N’avait-il pas toujours le don d’apparaître au moment où on s’y attendait le moins ? Un soupir passa la barrière de mes lèvres, chassant la lassitude pour y ancrer la satisfaction. Et alors que mes iris se régalaient de ses courbes à la musculature fine dont la sueur perlait, je me levais finalement. Le spectacle était divertissant, mais pourquoi ne pas y mettre une nouvelle touche d’action pour pallier à la frustration ? Vicieuse, je m’avançais sur le terrain, toujours masquée à sa vue, mes dents mordant la chair de mes lèvres, preuve d’un désir montant qui ravivait les couleurs de mes traits. La fatigue s’estompa, comme piquée par l’adrénaline et le toucher m’électrifia. La pulpe de mes doigts navigua sur son bras, suivant le tracé sinueux d’une veine avant de s’étaler sur ses hanches, mon buste rencontrant son dos. Lentement, je passais mes mains sous son haut, un sourire gourmand et vil s’esquissant sur mes lippes tandis que j’effleurai ses abdos. L’arrête de mon nez vint caresser dans le même temps sa nuque avant que mes lèvres ne viennent chatouiller son oreille pour y murmurer un « je t’ai manqué ? » suave et amusé. Mais au fond, qu’importait la réponse ? La proie coincée dans mes filets pourrait se débattre autant qu’elle voulait… Au final, je la tenais.
Ma conscience se ralluma au son régulier d’un ballon frappant le sol et mes pupilles se focalisèrent sur l’espace qui m’entourait pour en déterminer la localisation. Le gymnase. Haussant un sourcil, légèrement surprise d’avoir fini dans un lieu qu’il ne m’était pas vraiment coutume de fréquenter, je me faufilais sans bruit jusqu’à l’entrée pour y jeter un œil. Une silhouette se dessina sur le terrain, mouvante et indéfinissable, la luminosité se jouant de mes rétines. Je slalomais alors entre les gradins, profitant qu’il soit concentré pour ne pas me faire repérer. Aussi habile qu’un félin, aussi silencieuse qu’un spectre... Le contre jour fut brisé, ma curiosité assouvie. Sam Yong. Simple coïncidence ou volonté cachée ? On me murmurait d’un côté que je n’aurais jamais su le trouver, de l’autre… Que c’était chose aisée. Mon esprit fini par chasser ces questions, détritus inutiles polluant la raison, et je m'asseyais un instant, le regardant se mouvoir avec habileté, une lueur fauve dans le regard. Je ne comptais pas le nombre de semaines qui nous avaient séparées, n’ayant jamais regardé quant à la fréquence de nos entrevues ni cherché à le voir à un moment donné. N’avait-il pas toujours le don d’apparaître au moment où on s’y attendait le moins ? Un soupir passa la barrière de mes lèvres, chassant la lassitude pour y ancrer la satisfaction. Et alors que mes iris se régalaient de ses courbes à la musculature fine dont la sueur perlait, je me levais finalement. Le spectacle était divertissant, mais pourquoi ne pas y mettre une nouvelle touche d’action pour pallier à la frustration ? Vicieuse, je m’avançais sur le terrain, toujours masquée à sa vue, mes dents mordant la chair de mes lèvres, preuve d’un désir montant qui ravivait les couleurs de mes traits. La fatigue s’estompa, comme piquée par l’adrénaline et le toucher m’électrifia. La pulpe de mes doigts navigua sur son bras, suivant le tracé sinueux d’une veine avant de s’étaler sur ses hanches, mon buste rencontrant son dos. Lentement, je passais mes mains sous son haut, un sourire gourmand et vil s’esquissant sur mes lippes tandis que j’effleurai ses abdos. L’arrête de mon nez vint caresser dans le même temps sa nuque avant que mes lèvres ne viennent chatouiller son oreille pour y murmurer un « je t’ai manqué ? » suave et amusé. Mais au fond, qu’importait la réponse ? La proie coincée dans mes filets pourrait se débattre autant qu’elle voulait… Au final, je la tenais.
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Dim 30 Avr - 17:38 Citer EditerSupprimer
Girl use me while you can... I'm a toy.
bae sam yong & atkins robin
Encore une magnifique journée qui s'annonce… Mon regard était projeté au-delà de l'horizon, vers la fenêtre qui était à coté de moi. Bien assis, le crayon en main, je me demandais comment je pourrais m'occuper aujourd'hui. Le professeur explique une nouvelle leçon, je vire mon regard sérieux sur le tableau puis sur mon professeur. C'était mon dernier cours de la journée et vivement que cela se termine. L'heure passe à la vitesse d'un escargot, j'avais tout simplement hâte de retourner à l'entraînement. Un cahier devant moi, je note ce que mon enseignant dit et je prends la peine de faire quelques calculs… Vous avez sûrement deviné, j'avais un cours de mathématiques. Je soupire en regardant mon livre ouvert. Je finis enfin mes exercices et la cloche sonne. Ma journée de cours est finie… Il était temps ! Je n'avais pas de devoir, alors j'allais en profiter pour m'entraîner en solo. Je suis tout d'abord rentré au dortoir des Neugdae afin de pouvoir poser mes affaires de cours afin de prendre mon sac de sport. Je ne voulais pas être encombré par deux sacs. Je quitte ma chambre pour retourner sur le campus. Il est temps pour moi de rejoindre l'odeur du gymnase.
Un léger sourire s'affiche sur mes lèvres lorsque je rentre enfin à l'intérieur du gymnase. Il devait être vingt-heures à ce moment-là, et j'ai l'intention de rester ici jusqu'à très tard. Je suis parti dans les vestiaires pour me mettre mes vêtements de sport. Je laisse mes affaires pour ensuite rejoindre le local où il y a les ballons de basket. Je traîne le sac et je le pose directement au milieu du terrain. Je commence à faire des échauffements pendant deux bonnes petites heures pour éviter de me blesser bêtement. Une fois que je me suis bien échauffé, je fais quelques tirs à trois points pour dégager toute ma frustration. Je suis perdu depuis quelques jours. Je ressentais quelque chose pour Robin et il y avait l'histoire avec ce mec qui pouvait me faire gagner de l'argent si je faisais perdre mon équipe. J'ai besoin de cet argent, j'ai besoin d'aider mon père, mais est-ce vraiment raisonnable d'accepter sa proposition ? Je ne veux pas m'attirer la foudre de mes coéquipiers et encore moins des médias, ils sont sur mon dos en ce moment. Je loupe des paniers à cause de toutes ses pensées négatives. « Putain. » dis-je d'un ton froid. Le concierge ouvre la porte et me demande si je reste encore un peu et je lui fais un signe positif de la tête puis il s'en va comme-ci de rien était. Je suppose qu'il m'a entendu crier ce beau mot. La balle de basket raisonne dans tout le gymnase, je continuais de m'entraîner, j'essayais de franchir la limite mais elle ne voulait pas venir. Je voulais que quelque chose m'arrête, qu'un mur se dresse face à moi. Je n'arrive à rien faire. Pourquoi je pense à tous mes petits soucis ? Je commence à courir vers le panier et je tente un petit dunk, mais je me retrouve les fesses sur le sol. Ma main frappe le parquet du gymnase, et je laisse quelques insultes sortir de ma bouche. Je récupère un ballon et je dribble en essayant de trouver le bon angle de tir. Il fallait que je réussisse à le mettre… Cependant, une personne m'arrête. Je sors de mes pensées un instant lorsque je sens des mains venir sous mon haut. Je ne pouvais pas me retourner, j'avais l'impression d'être un prisonnier. Je frissonne légèrement… Je connaissais cette voix féminine. Est-elle connectée à mon cerveau pour savoir que je pense à elle ? « Que fais-tu ici ? » demandai-je d'une voix basse en collant ma tête contre la sienne. Je suis perdu, je ne voulais pas lui dire ce que je ressentais. J'avais peur qu'elle joue avec moi, j'avais peur de devenir son jouet préféré. J'avais peur qu'elle me torture au point d'aimer ça. « Je pense que c'est à moi de poser cette question, tu ne crois pas ? » Je me retourne pour venir mordre sa joue. Je me demande bien comment elle a su que je me trouvais dans cet endroit.
Un léger sourire s'affiche sur mes lèvres lorsque je rentre enfin à l'intérieur du gymnase. Il devait être vingt-heures à ce moment-là, et j'ai l'intention de rester ici jusqu'à très tard. Je suis parti dans les vestiaires pour me mettre mes vêtements de sport. Je laisse mes affaires pour ensuite rejoindre le local où il y a les ballons de basket. Je traîne le sac et je le pose directement au milieu du terrain. Je commence à faire des échauffements pendant deux bonnes petites heures pour éviter de me blesser bêtement. Une fois que je me suis bien échauffé, je fais quelques tirs à trois points pour dégager toute ma frustration. Je suis perdu depuis quelques jours. Je ressentais quelque chose pour Robin et il y avait l'histoire avec ce mec qui pouvait me faire gagner de l'argent si je faisais perdre mon équipe. J'ai besoin de cet argent, j'ai besoin d'aider mon père, mais est-ce vraiment raisonnable d'accepter sa proposition ? Je ne veux pas m'attirer la foudre de mes coéquipiers et encore moins des médias, ils sont sur mon dos en ce moment. Je loupe des paniers à cause de toutes ses pensées négatives. « Putain. » dis-je d'un ton froid. Le concierge ouvre la porte et me demande si je reste encore un peu et je lui fais un signe positif de la tête puis il s'en va comme-ci de rien était. Je suppose qu'il m'a entendu crier ce beau mot. La balle de basket raisonne dans tout le gymnase, je continuais de m'entraîner, j'essayais de franchir la limite mais elle ne voulait pas venir. Je voulais que quelque chose m'arrête, qu'un mur se dresse face à moi. Je n'arrive à rien faire. Pourquoi je pense à tous mes petits soucis ? Je commence à courir vers le panier et je tente un petit dunk, mais je me retrouve les fesses sur le sol. Ma main frappe le parquet du gymnase, et je laisse quelques insultes sortir de ma bouche. Je récupère un ballon et je dribble en essayant de trouver le bon angle de tir. Il fallait que je réussisse à le mettre… Cependant, une personne m'arrête. Je sors de mes pensées un instant lorsque je sens des mains venir sous mon haut. Je ne pouvais pas me retourner, j'avais l'impression d'être un prisonnier. Je frissonne légèrement… Je connaissais cette voix féminine. Est-elle connectée à mon cerveau pour savoir que je pense à elle ? « Que fais-tu ici ? » demandai-je d'une voix basse en collant ma tête contre la sienne. Je suis perdu, je ne voulais pas lui dire ce que je ressentais. J'avais peur qu'elle joue avec moi, j'avais peur de devenir son jouet préféré. J'avais peur qu'elle me torture au point d'aimer ça. « Je pense que c'est à moi de poser cette question, tu ne crois pas ? » Je me retourne pour venir mordre sa joue. Je me demande bien comment elle a su que je me trouvais dans cet endroit.
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Mar 23 Mai - 18:58 Citer EditerSupprimer
Girl use me while you can... I'm a toy.
bae sam yong & atkins robin
Je n’avais pas réfléchi, encore moins cherché à réfreiner une envie. J’avais juste agit, comme à chaque fois. Femme d’instinct au masque calculateur, je n’avais jamais eu besoin de pousser le vice pour faire tomber Sam Yong dans mes filets. Parce qu’il ne se cachait pas des envies qu’il avait, comme je savais parfaitement que mon corps était loin de le rendre indifférent. C’était simple et clair. Aucune ambiguïté. Du moins je le croyais. A croire que parfois, il était plus simple d’être aveugle… Préférant continuer à me repaître de ses bras sans avoir aucune contrainte. Fuyant l’amour comme la peste mais ne voulant pas me détacher au fond de ces entrevues secrètes. Car s’il ne m’était pas indispensable, un seul homme ayant droit à ce statut pour des raisons toutes autres, les sensations qu’il me procurait étaient indéniables. Sûrement était-ce pourquoi il était un des rares à pouvoir goûter plus d’une fois à ma peau… Sans contrepartie derrière.
Je ne savais ce qui m’avait poussé à me lever plutôt que de rester là à le contempler. Mais je me refusais à penser que ce fût pour l’aider. Pour l’arrêter. Parce qu’aucun homme ne méritait mon attention, comme aucun n’avait le droit de faire pousser une quelconque inquiétude en mon sein. Certes, son image avait semblé vulnérable. Paumée. Et ce sourire qu’il affichait d’ordinaire s’était flétri. Mais ne l’avais-je pas toujours haït ? Cet excès de bonne humeur, ce rayonnement de fraîcheur, cet assaut de sincérité qui perçait mes poumons telle une tumeur. Ouais, il puait la joie et suintait le bonheur. Deux sentiments désormais inconnus que je répugnais tout autant que le reste. Était-ce malsain de vouloir lui arracher ? De préférer ses grimaces et sa folie sous l’assaut de mon corps au reste ? Je n’en avais cure. Au contraire, avoir ce pouvoir sur lui me donnait des ailes. Faisait bouillir mes ténèbres et fleurir le plus vil des sourires sur mes lippes pleines. Car j’aimais avoir le contrôle plus que tout autre chose. Savoir que j’étais celle qui dupais et non le contraire. Arquant un sourcil face à sa question, j’haussais les épaules, joueuse, avant qu’un rire amusé et mélodieux ne fuit d’entre mes lèvres. « Tu poses beaucoup trop de questions, tu ne crois pas ? ~ » Questions dont la réponse ne le satisferait de toute façon pas, alors à quoi bon lui en donner ? Rester évasive, un bon moyen de se défiler. « Si tu veux me manquer, fais en sorte de me marquer. » Et pas simplement la chair, mais l’esprit aussi. Chose auquel je ne croyais guère, simple provocation auquel je savais qu’il répondrait. Désormais face à moi, mon sourire se fait narquois tandis que je me rapproche pour me coller à lui, plaquant ma poitrine contre son torse et venant lécher son cou avant de le mordre. « Tu préfères quoi, ton ballon… Ou moi ? » Continuer de jouer, ou t’occuper de mon cas ? Encore une question dont je ne lui laissais pas vraiment le choix. Mes doigts quittèrent lentement ses abdos parfaitement dessinés, les effleurant au passage tandis que je me reculais, sournoise. Je me baissais alors pour ramasser la balle qui avait roulé, laissant à sa vue la courbe délicieuse de mes jambes et de mon fessier, avant d’hausser un sourcil provocateur en lui lançant son bien. « A moins que tu veuilles les deux ? » Après tout, j’étais ouverte à n’importe quel jeu. Et plus je faisais languir, plus j’attisais la flamme… Plus j’aimais ça. Mes doigts vinrent jouer avec mon haut, faisant mine de le soulever sans jamais vraiment rien révéler, et je continuais avec cette même moue provocante. « A chaque panier marqué, l’adversaire enlève un vêtement. » Facile pour lui, non ? La balle était dans son camp.
Je ne savais ce qui m’avait poussé à me lever plutôt que de rester là à le contempler. Mais je me refusais à penser que ce fût pour l’aider. Pour l’arrêter. Parce qu’aucun homme ne méritait mon attention, comme aucun n’avait le droit de faire pousser une quelconque inquiétude en mon sein. Certes, son image avait semblé vulnérable. Paumée. Et ce sourire qu’il affichait d’ordinaire s’était flétri. Mais ne l’avais-je pas toujours haït ? Cet excès de bonne humeur, ce rayonnement de fraîcheur, cet assaut de sincérité qui perçait mes poumons telle une tumeur. Ouais, il puait la joie et suintait le bonheur. Deux sentiments désormais inconnus que je répugnais tout autant que le reste. Était-ce malsain de vouloir lui arracher ? De préférer ses grimaces et sa folie sous l’assaut de mon corps au reste ? Je n’en avais cure. Au contraire, avoir ce pouvoir sur lui me donnait des ailes. Faisait bouillir mes ténèbres et fleurir le plus vil des sourires sur mes lippes pleines. Car j’aimais avoir le contrôle plus que tout autre chose. Savoir que j’étais celle qui dupais et non le contraire. Arquant un sourcil face à sa question, j’haussais les épaules, joueuse, avant qu’un rire amusé et mélodieux ne fuit d’entre mes lèvres. « Tu poses beaucoup trop de questions, tu ne crois pas ? ~ » Questions dont la réponse ne le satisferait de toute façon pas, alors à quoi bon lui en donner ? Rester évasive, un bon moyen de se défiler. « Si tu veux me manquer, fais en sorte de me marquer. » Et pas simplement la chair, mais l’esprit aussi. Chose auquel je ne croyais guère, simple provocation auquel je savais qu’il répondrait. Désormais face à moi, mon sourire se fait narquois tandis que je me rapproche pour me coller à lui, plaquant ma poitrine contre son torse et venant lécher son cou avant de le mordre. « Tu préfères quoi, ton ballon… Ou moi ? » Continuer de jouer, ou t’occuper de mon cas ? Encore une question dont je ne lui laissais pas vraiment le choix. Mes doigts quittèrent lentement ses abdos parfaitement dessinés, les effleurant au passage tandis que je me reculais, sournoise. Je me baissais alors pour ramasser la balle qui avait roulé, laissant à sa vue la courbe délicieuse de mes jambes et de mon fessier, avant d’hausser un sourcil provocateur en lui lançant son bien. « A moins que tu veuilles les deux ? » Après tout, j’étais ouverte à n’importe quel jeu. Et plus je faisais languir, plus j’attisais la flamme… Plus j’aimais ça. Mes doigts vinrent jouer avec mon haut, faisant mine de le soulever sans jamais vraiment rien révéler, et je continuais avec cette même moue provocante. « A chaque panier marqué, l’adversaire enlève un vêtement. » Facile pour lui, non ? La balle était dans son camp.
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Dim 11 Juin - 10:09 Citer EditerSupprimer
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bae sam yong & atkins robin
Mon père m'a toujours dit : quand tu trouveras l'amour, le grand amour. Celui qu'on écrit avec un A majuscule, celui dont on ne se débarrasse jamais, qui vous colle à la peau pour toute votre vie, ça ne se passait pas comme dans les films. Car vraiment, qui peut prétendre tout savoir d'une autre personne au premier regard ? Le coup de foudre, ça n'existait vraiment que dans les contes de fées. Certes l'attirance pour un autre au premier regard c'était possible, mais ça ne construisait pas une relation sur le long terme. Le véritable amour, on ne le voyait pas s'approcher. Il s'immisçait dans votre vie sans faire de vagues. Et puis un jour vous vous réveillez et vous vous rendez compte que cette personne qui vous fait rire, qui vous fait pleurer, qui vous fait vous sentir bien d'un seul sourire est la personne qu'il vous faut. La personne qui vous supportera jusque dans vos vieux jour… et quand vous le réaliserez, il n'y aura plus possibilité de faire marche arrière.
En toute honnêteté, mon père est un doux rêveur. Pour une sorte de poète qui embellissait juste sa propre histoire avec son ex femme. Mais maintenant que je me trouve dans cette situation, je comprends avec une clarté déconcertante qu'il avait tout à fait raison. Lorsque l'on parle de tomber amoureux, le sentiment est toujours décrit comme quelque chose de soudain, d'abrupte. Mais en fait, c'est plus comme une longue pente, qui vous conduit à votre destination finale. Me voilà qui me met à parler comme mon père. Heureusement pour moi la personne de mon affection ne pouvait pas lire dans mes pensées, car je serais très certainement appelé par l'hôpital psychiatrique le plus proche si elle avait su tout ce qui se passait dans ma tête.
Je suis venu au gymnase pour libérer toute cette frustration, toute cette rage que j'avais en moi. Je pouvais être tranquille en étant dans mon élément, mais cette personne pour qui je ressens des sentiments a réussi à me trouver, je ne sais comment. Qu'est-ce qu'elle fiche ici ? Qu'est-ce qu'elle me voulait ? Je voulais éviter de la voir pendant quelques semaines afin que mes sentiments rejoignent le néant. « Je n'ai pas le droit de te marquer, c'est dans notre contrat. » lançai-je en lui faisant un regard provocateur. Je frisonne lorsqu'elle vient lécher et mordre mon cou. A quoi elle joue ? J'ai l'impression qu'elle veut jouer avec ce que je ressens. J'arque un sourcil lorsqu'elle me demande qui je préfère entre mon ballon et elle. « Les deux ? » Je ne comprenais pas trop sa question. Elle a un complexe d'infériorité ? Mon ballon est mon meilleur ami, il est normal qu'il soit constamment avec moi. Visiblement, elle voulait jouer à un jeu, alors qu'elle va perdre dans tous les cas. Je prends la balle puis je tire directement dans la zone des trois points. Sans aucune surprise, le ballon rentre facilement. « Le point compte triple, tu dois tout enlever. » dis-je en venant mordre sa joue.
En toute honnêteté, mon père est un doux rêveur. Pour une sorte de poète qui embellissait juste sa propre histoire avec son ex femme. Mais maintenant que je me trouve dans cette situation, je comprends avec une clarté déconcertante qu'il avait tout à fait raison. Lorsque l'on parle de tomber amoureux, le sentiment est toujours décrit comme quelque chose de soudain, d'abrupte. Mais en fait, c'est plus comme une longue pente, qui vous conduit à votre destination finale. Me voilà qui me met à parler comme mon père. Heureusement pour moi la personne de mon affection ne pouvait pas lire dans mes pensées, car je serais très certainement appelé par l'hôpital psychiatrique le plus proche si elle avait su tout ce qui se passait dans ma tête.
Je suis venu au gymnase pour libérer toute cette frustration, toute cette rage que j'avais en moi. Je pouvais être tranquille en étant dans mon élément, mais cette personne pour qui je ressens des sentiments a réussi à me trouver, je ne sais comment. Qu'est-ce qu'elle fiche ici ? Qu'est-ce qu'elle me voulait ? Je voulais éviter de la voir pendant quelques semaines afin que mes sentiments rejoignent le néant. « Je n'ai pas le droit de te marquer, c'est dans notre contrat. » lançai-je en lui faisant un regard provocateur. Je frisonne lorsqu'elle vient lécher et mordre mon cou. A quoi elle joue ? J'ai l'impression qu'elle veut jouer avec ce que je ressens. J'arque un sourcil lorsqu'elle me demande qui je préfère entre mon ballon et elle. « Les deux ? » Je ne comprenais pas trop sa question. Elle a un complexe d'infériorité ? Mon ballon est mon meilleur ami, il est normal qu'il soit constamment avec moi. Visiblement, elle voulait jouer à un jeu, alors qu'elle va perdre dans tous les cas. Je prends la balle puis je tire directement dans la zone des trois points. Sans aucune surprise, le ballon rentre facilement. « Le point compte triple, tu dois tout enlever. » dis-je en venant mordre sa joue.
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Jeu 15 Juin - 20:53 Citer EditerSupprimer
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bae sam yong & atkins robin
Provocation. Jeu. Tension sexuelle. Il en avait toujours été ainsi entre nous, m’amusant à le rendre fou. Possédant son corps et son esprit et m’en repaissant. Je n’aimais pas la routine, encore moins les câlins ou la douceur. Je voulais de la folie, lire les pulsions sauvages qui s’afficheraient dans ses prunelles fauves. Me repaître d’une envie indicible que je ferais naître en lui. J’aimais être indispensable sans m’attacher jamais. Car contrôler les hommes était un plaisir qui me nourrissait. Une vengeance amère que j’effectuais. Plus aucun ne me ferait tourner la tête. Pourtant, moi j’en faisais tourner, des têtes. Sans jamais les faire rouler au sol, malheureusement. Reine parmi les hommes, je rendais ce qu’on me donnait. M’amusais, également. Car la vie n’avait d’exaltant que ce qui était mal vu ou interdit. Son corps était un appel à la tentation, morceau de chair agréablement dessiné qu’il agitait sous ma vue. Comment simplement passer mon chemin sans y goûter ? L’idée ne m’avait même pas effleurée.
Dans notre contrat ? La surprise se lisit dans mes pupilles chocolat avant qu’un sourire narquois ne maquille mes lèvres, soupirant comme désabusée d’entendre une telle nouvelle. « Désolé de te l’apprendre, mais nous n’avons aucun contrat. J’aime pas signer de la paperasse, encore moins me faire niquer par les ptits caractères illisibles. » Nous ne nous étions jamais rien dit, comme si tout avait été clair dès la première fois. A la différence près qu’il n’était pas prévu au départ que nous replongions plusieurs fois. Mais qu’importe au fond ? Il était un jouet de qualité dont j’aimais abuser. Le séduire et le perdre dans mes envies et réflexions était une habitude. Pourtant, à chaque fois, il tombait dans le panneau. Ne semblant pas comprendre ce que je désirais. Non, je n’étais pas jalouse d’une pauvre balle. Mais savoir que mon corps lui était aussi indispensable que sa passion à l’heure actuelle… Alimentait un ego déjà disproportionné. Nourrissait ce besoin de lire dans les prunelles de ma proie à quel point il avait envie de moi. Sans surprise, je le vis tirer et marquer, la satisfaction marquant mes traits avant de rire complètement prise de court face à sa réflexion. « Tout enlever ? » Dans ses bras, ma joue prise en otage, c’est sa lèvre inférieure que je vins mordre à mon tour avant de le pousser légèrement pour pouvoir me détacher de l’emprise de son torse. « Tu rêves ! J’ai dit un panier, un vêtement, qu’importe le nombre de points qu’il donne. Les règles, c’est moi qui les créer. ~ » A quoi bon finir un jeu en un essai ? Autant ne pas jouer, il ne fallait pas abuser. Baissant le regard sur mes habits j’haussais un sourcil interrogateur avant de finalement décider du fameux qui rejoindrait la saleté et la sueur au sol. Mes bras passèrent à l’intérieur de mon débardeur blanc, et sans le retirer ou laisser visible un quelconque morceau de peau, je m’affairais à enlever mon soutien-gorge. Une fois la mission accomplie, mes bras rejoignirent l’extérieur du débardeur, laissant à sa vue… La courbe naturelle de ma poitrine dont les tétons légèrement durcis se devinaient aisément sous le haut légèrement transparent. Le sous-vêtement rejoignit le parquet, preuve que je respectais le contrat et j’attrapais la balle dans un sourire satisfait. « A mon tour maintenant, si tu veux bien ? » Pourtant, au lieu de me rapprocher du panier, je revenais vers lui, collant mon dos contre son torse et mon fessier contre ses hanches, laissant sa vue plonger dans mon décolleté s’il le désirait. Mes mains cherchèrent ses bras que je plaçais sur les miens, et d’un regard innocent, je me plaquais davantage. « Tu m’aides ? » Pour tirer. Qui avait dit que je ne tenterai rien ? Après tout, il était largement avantagé sur moi. Pourtant, ne sachant pas s’il avait réellement voulu m’aider ou m’handicaper, le panier ne rentra pas. Je ne perdis pour le moins pas mon sourire, lui rendant la balle. J’aurais pu le laisser tranquillement marquer… Mais je ne pus m’y résoudre, la tentation de le déstabiliser trop forte pour ne pas l’écouter. Alors une fois de plus, je me laissais à mes pulsions, ma poitrine aux tétons durcis par l’envie se collant de nouveau contre son dos tandis que ma langue et mes dents s’amusaient à torturer son oreille, ma main… Descendant dangereusement jusqu’à venir caresser son entrejambe par dessus les vêtements. « Bah alors… Tu tires ? » lui demandais-je dans un souffle chaud.
Dans notre contrat ? La surprise se lisit dans mes pupilles chocolat avant qu’un sourire narquois ne maquille mes lèvres, soupirant comme désabusée d’entendre une telle nouvelle. « Désolé de te l’apprendre, mais nous n’avons aucun contrat. J’aime pas signer de la paperasse, encore moins me faire niquer par les ptits caractères illisibles. » Nous ne nous étions jamais rien dit, comme si tout avait été clair dès la première fois. A la différence près qu’il n’était pas prévu au départ que nous replongions plusieurs fois. Mais qu’importe au fond ? Il était un jouet de qualité dont j’aimais abuser. Le séduire et le perdre dans mes envies et réflexions était une habitude. Pourtant, à chaque fois, il tombait dans le panneau. Ne semblant pas comprendre ce que je désirais. Non, je n’étais pas jalouse d’une pauvre balle. Mais savoir que mon corps lui était aussi indispensable que sa passion à l’heure actuelle… Alimentait un ego déjà disproportionné. Nourrissait ce besoin de lire dans les prunelles de ma proie à quel point il avait envie de moi. Sans surprise, je le vis tirer et marquer, la satisfaction marquant mes traits avant de rire complètement prise de court face à sa réflexion. « Tout enlever ? » Dans ses bras, ma joue prise en otage, c’est sa lèvre inférieure que je vins mordre à mon tour avant de le pousser légèrement pour pouvoir me détacher de l’emprise de son torse. « Tu rêves ! J’ai dit un panier, un vêtement, qu’importe le nombre de points qu’il donne. Les règles, c’est moi qui les créer. ~ » A quoi bon finir un jeu en un essai ? Autant ne pas jouer, il ne fallait pas abuser. Baissant le regard sur mes habits j’haussais un sourcil interrogateur avant de finalement décider du fameux qui rejoindrait la saleté et la sueur au sol. Mes bras passèrent à l’intérieur de mon débardeur blanc, et sans le retirer ou laisser visible un quelconque morceau de peau, je m’affairais à enlever mon soutien-gorge. Une fois la mission accomplie, mes bras rejoignirent l’extérieur du débardeur, laissant à sa vue… La courbe naturelle de ma poitrine dont les tétons légèrement durcis se devinaient aisément sous le haut légèrement transparent. Le sous-vêtement rejoignit le parquet, preuve que je respectais le contrat et j’attrapais la balle dans un sourire satisfait. « A mon tour maintenant, si tu veux bien ? » Pourtant, au lieu de me rapprocher du panier, je revenais vers lui, collant mon dos contre son torse et mon fessier contre ses hanches, laissant sa vue plonger dans mon décolleté s’il le désirait. Mes mains cherchèrent ses bras que je plaçais sur les miens, et d’un regard innocent, je me plaquais davantage. « Tu m’aides ? » Pour tirer. Qui avait dit que je ne tenterai rien ? Après tout, il était largement avantagé sur moi. Pourtant, ne sachant pas s’il avait réellement voulu m’aider ou m’handicaper, le panier ne rentra pas. Je ne perdis pour le moins pas mon sourire, lui rendant la balle. J’aurais pu le laisser tranquillement marquer… Mais je ne pus m’y résoudre, la tentation de le déstabiliser trop forte pour ne pas l’écouter. Alors une fois de plus, je me laissais à mes pulsions, ma poitrine aux tétons durcis par l’envie se collant de nouveau contre son dos tandis que ma langue et mes dents s’amusaient à torturer son oreille, ma main… Descendant dangereusement jusqu’à venir caresser son entrejambe par dessus les vêtements. « Bah alors… Tu tires ? » lui demandais-je dans un souffle chaud.
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Lun 3 Juil - 22:20 Citer EditerSupprimer
Girl use me while you can... I'm a toy.
bae sam yong & atkins robin
Sam, tu te souviens de cette voix qu'on appelle ‘‘conscience'' qui te disait de ne plus t'accrocher à une personne ? Que tu allais toujours souffrir ? Elle te disait de ne plus tomber amoureux d'une fille pour que tu restes concentrer dans ton futur parcours professionnel. Tu connais également ton inconscience puisque c'était moi. Ta conscience, je l'ai bien baisée vu que tu es tombé amoureux de Robin et grâce à cette personne, je suis devenu ta conscience. Les pensées que j'ai actuellement pour avouer mes sentiments pour cette jeune femme sont extrêmement ridicules. La vie est parfois cruelle. Mon père m'avait prévenu que j'allais tomber amoureux un jour ou l'autre, je ne pouvais pas rester seul pendant toute mon existence. J'ai commencé à détester les femmes lorsqu'une personne s'est foutu de ma gueule. Cette connasse m'a abandonné en ayant aucun argument puisqu'elle ne m'a pas prévenue qu'elle se barrée loin d'ici. Après tout, j'en n'ai plus rien à foutre, je n'ai pas que cela à faire de m'apitoyer sur mon sort.
Je regarde la blonde avec un air blasé lorsqu'elle m'annonce que nous n'avons aucun contrat. La semence que je verse en elle, n'en est pas un ? Je ne comprendrai jamais les femmes. Un petit sourire s'affiche sur mes lèvres avant de prendre la parole. « A force, j'avais compris que tu as l'habitude de te faire niquer par de grosses choses. » Une provocation a toujours une réponse provocante. Il est évident que je ne considère pas cette jeune demoiselle comme une vulgaire pute. C'est un plan cul. Un plan cul dont je me suis attaché, malheureusement. Pourquoi est-elle venue jusqu'à moi ? Pourquoi le destin me joue des tours ? Je voulais m'entraîner toute la nuit afin d'éviter son regard, ses lèvres, son corps. Je hais cet ‘‘effet papillon'', il ne pouvait pas me laisser tranquille pendant un instant ? Quand nous commencions le petit jeu, un panier = un vêtement d'enlever, je savais que nous allions coucher ensemble. Elle savait que je suis l'un des meilleurs tireurs de mon équipe de basketball, c'était perdu d'avance pour elle et elle le savait très bien. C'est sans doute pour cela qu'elle m'avait proposé ce petit jeu. Mon corps lui manquait tant que ça ? ou est-ce ma présence qui lui manquait ? « Les règles sont faites pour être contournés. On se ferait tellement chier si nous devions les respecter tout le temps. » Je laisse Robin retirer son soutient-gorge. Elle avait de la chance d'être une femme. La prochaine étape, elle va commencer à enlever ses chaussettes pour faire durer ce jeu complètement débile. Je ne pouvais pas m'empêcher de mater ses courbes. Rien que pour m'embêter, elle revenait vers moi. Elle s'est collée contre moi pour lui venir ‘‘en aide.'' « Depuis quand tu as besoin d'aide ? » Je lui ai bien placé ses mains sur le ballon pour qu'elle puisse marquer facilement, mais elle n'a pas pu réussir son shoot puisqu'elle ne m'est pas la puissance qu'il faut. Elle revient vers moi avec la balle de basket. Je me concentre pour pouvoir mettre le panier, mais celle-ci me déconcentre lorsqu'elle me caresse mon membre par-dessus short. « Comment veux-tu que je tire lorsqu'il y a cette jeune femme qui essaye de faire perdre son adversaire ? » demandai-je en me retournant pour voler ses lippes. Je lance la balle tout en continuant de l'embrasser. J'en ai plus rien à foutre, il y est, il n'y est pas, ce n'est pas ça l'important. Je la soulève par les cuisses pour venir la coller contre la porte du vestiaire. « Je te veux. » lançai-je froidement.
Je regarde la blonde avec un air blasé lorsqu'elle m'annonce que nous n'avons aucun contrat. La semence que je verse en elle, n'en est pas un ? Je ne comprendrai jamais les femmes. Un petit sourire s'affiche sur mes lèvres avant de prendre la parole. « A force, j'avais compris que tu as l'habitude de te faire niquer par de grosses choses. » Une provocation a toujours une réponse provocante. Il est évident que je ne considère pas cette jeune demoiselle comme une vulgaire pute. C'est un plan cul. Un plan cul dont je me suis attaché, malheureusement. Pourquoi est-elle venue jusqu'à moi ? Pourquoi le destin me joue des tours ? Je voulais m'entraîner toute la nuit afin d'éviter son regard, ses lèvres, son corps. Je hais cet ‘‘effet papillon'', il ne pouvait pas me laisser tranquille pendant un instant ? Quand nous commencions le petit jeu, un panier = un vêtement d'enlever, je savais que nous allions coucher ensemble. Elle savait que je suis l'un des meilleurs tireurs de mon équipe de basketball, c'était perdu d'avance pour elle et elle le savait très bien. C'est sans doute pour cela qu'elle m'avait proposé ce petit jeu. Mon corps lui manquait tant que ça ? ou est-ce ma présence qui lui manquait ? « Les règles sont faites pour être contournés. On se ferait tellement chier si nous devions les respecter tout le temps. » Je laisse Robin retirer son soutient-gorge. Elle avait de la chance d'être une femme. La prochaine étape, elle va commencer à enlever ses chaussettes pour faire durer ce jeu complètement débile. Je ne pouvais pas m'empêcher de mater ses courbes. Rien que pour m'embêter, elle revenait vers moi. Elle s'est collée contre moi pour lui venir ‘‘en aide.'' « Depuis quand tu as besoin d'aide ? » Je lui ai bien placé ses mains sur le ballon pour qu'elle puisse marquer facilement, mais elle n'a pas pu réussir son shoot puisqu'elle ne m'est pas la puissance qu'il faut. Elle revient vers moi avec la balle de basket. Je me concentre pour pouvoir mettre le panier, mais celle-ci me déconcentre lorsqu'elle me caresse mon membre par-dessus short. « Comment veux-tu que je tire lorsqu'il y a cette jeune femme qui essaye de faire perdre son adversaire ? » demandai-je en me retournant pour voler ses lippes. Je lance la balle tout en continuant de l'embrasser. J'en ai plus rien à foutre, il y est, il n'y est pas, ce n'est pas ça l'important. Je la soulève par les cuisses pour venir la coller contre la porte du vestiaire. « Je te veux. » lançai-je froidement.
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Mar 4 Juil - 12:09 Citer EditerSupprimer
Girl use me while you can... I'm a toy.
bae sam yong & atkins robin
Lui et moi, c’était un jeu sans fin. Pas parce que nous n’en voulions pas, de fin, mais plutôt parce que nous voulions chacun le dernier mot. Sauf que cela ne pouvait être possible. On ne pouvait avoir tous deux raison. Comme on ne pouvait tous deux dominer l’autre. C’était un combat infini dans lequel on se complaisait. Une débauche attirante et sensuelle dans laquelle je me perdais, m’y jetant tête baissée. Parce qu’étrangement, je n’avais pas la moindre peur de m’y brûler. A vrai dire, il était impossible d’expliquer la relation que nous entretenions. On pouvait parler des heures comme ne rien dire. Se sauter dessus comme se faire languir. Mais dans tous les cas, il y avait cette tension sexuelle qui brûlait dans nos veines et nous faisait tourner la tête. Il ravivait mes sens un court instant, les faisant renaître et les affolant en même temps. Et lorsque je pensais à mourir, il était cette étincelle qui déclenchait l’incendie dans mon être. Celui qui me hurlait que j’étais en vie. Celui qui me faisait toucher du bout des doigts le ciel.
Un rire s’échappa d’entre mes lippes, geste qui n’était pourtant pas instinctif, face à sa pique. Alors comme ça, j’avais l’habitude de me faire niquer par des grosses choses ? Ce n’était pas totalement faux à dire vrai. Bien qu’elles ne soient pas toutes grosses, malheureusement. « Jaloux ? » De savoir qu’il n’était pas le seul à profiter de moi. De ne pas savoir si je prenais plus mon pied ailleurs. J’aurais pu le titiller davantage. Réveiller le loup et le rendre fou. Voir s’allumer dans ses pupilles cette étincelle de folie. M’amuser de ses réactions et le voir péter les plombs. Mais je n’étais pas venue pour ça, une autre idée titillant un esprit perverti. A quoi bon l’énerver ? J’avais bien d’autres moyens de réveiller la sauvagerie qui sommeillait en lui. Et il faut croire que ça marchait plutôt bien vu qu’il voulait déjà me trouver nue. Pourtant je ne lui obéissais pas, continuant de le chercher sans jamais réellement le trouver, me déshabillant un peu, me frottant et lui tournant autour… Sans jamais lui donner satisfaction. Car celui qui perdrait les pédales en premier perdrait la partie. « Je ne respecte aucune règle, mais tu es dans l’obligation de respecter les miennes. Et toute reine a besoin de sujets pour lui venir en aide, non ? » Sourire provoquant tandis que je tirais mon panier raté, me fichant de le frustrer ou quoi que ce soit. Parce qu’au final, je savais que je le tenais. Il m’appartenait. Qu’on me traite de garce ou de ce qu’on voulait, je m’en fichais. Je n’avais ni foi, ni loi. Et alors que plus tôt je parlais de règles, maintenant, je trichais. Ma main caressant son membre sans vraiment y aller franchement. Le déconcentrant et l’électrisant. « Démerdes t- » Phrase que je n’eu pas le temps de finir, restant en suspens sous l’assaut de ses lèvres qui volait les miennes sauvagement. Mes bras entourèrent ses épaules, mes ongles griffant la chair de sa nuque et je me collais à lui, m’hissant contre ses hanches tandis qu’il emprisonnait mes cuisses. Mon dos rencontra violemment la porte des vestiaires laissant échapper d’entre mes lippes un gémissement de douleur. Mais je m’en foutais. Il avait craqué. Il avait perdu. Et c’était tout ce que je retenais. « En manque de moi ? » Question futile, réponse certaine. Pourtant je voulais l’entendre. Le forcer à le dire. Comme pour lui montrer à quel point il était dépendant. Comme pour me prouver que j’avais une quelconque valeur. Ma bouche embrassa la sienne, descendant pour mordre sa mâchoire, marquant son cou de façon éphémère. Mes hanches prirent possession des siennes, se frottant contre un membre déjà durci par l’envie, l’incitant à goûter au fruit interdit. « Montres moi cette grosse chose que je suis sensée aimée. » Souffle chaud contre son oreille que je viens lécher, ma main descend lentement le long de son dos en une griffure grisante avant d’empoigner son fessier. « Montres moi à quel point je t’ai manqué. » Plus qu’une demande, c’était un ordre.
Un rire s’échappa d’entre mes lippes, geste qui n’était pourtant pas instinctif, face à sa pique. Alors comme ça, j’avais l’habitude de me faire niquer par des grosses choses ? Ce n’était pas totalement faux à dire vrai. Bien qu’elles ne soient pas toutes grosses, malheureusement. « Jaloux ? » De savoir qu’il n’était pas le seul à profiter de moi. De ne pas savoir si je prenais plus mon pied ailleurs. J’aurais pu le titiller davantage. Réveiller le loup et le rendre fou. Voir s’allumer dans ses pupilles cette étincelle de folie. M’amuser de ses réactions et le voir péter les plombs. Mais je n’étais pas venue pour ça, une autre idée titillant un esprit perverti. A quoi bon l’énerver ? J’avais bien d’autres moyens de réveiller la sauvagerie qui sommeillait en lui. Et il faut croire que ça marchait plutôt bien vu qu’il voulait déjà me trouver nue. Pourtant je ne lui obéissais pas, continuant de le chercher sans jamais réellement le trouver, me déshabillant un peu, me frottant et lui tournant autour… Sans jamais lui donner satisfaction. Car celui qui perdrait les pédales en premier perdrait la partie. « Je ne respecte aucune règle, mais tu es dans l’obligation de respecter les miennes. Et toute reine a besoin de sujets pour lui venir en aide, non ? » Sourire provoquant tandis que je tirais mon panier raté, me fichant de le frustrer ou quoi que ce soit. Parce qu’au final, je savais que je le tenais. Il m’appartenait. Qu’on me traite de garce ou de ce qu’on voulait, je m’en fichais. Je n’avais ni foi, ni loi. Et alors que plus tôt je parlais de règles, maintenant, je trichais. Ma main caressant son membre sans vraiment y aller franchement. Le déconcentrant et l’électrisant. « Démerdes t- » Phrase que je n’eu pas le temps de finir, restant en suspens sous l’assaut de ses lèvres qui volait les miennes sauvagement. Mes bras entourèrent ses épaules, mes ongles griffant la chair de sa nuque et je me collais à lui, m’hissant contre ses hanches tandis qu’il emprisonnait mes cuisses. Mon dos rencontra violemment la porte des vestiaires laissant échapper d’entre mes lippes un gémissement de douleur. Mais je m’en foutais. Il avait craqué. Il avait perdu. Et c’était tout ce que je retenais. « En manque de moi ? » Question futile, réponse certaine. Pourtant je voulais l’entendre. Le forcer à le dire. Comme pour lui montrer à quel point il était dépendant. Comme pour me prouver que j’avais une quelconque valeur. Ma bouche embrassa la sienne, descendant pour mordre sa mâchoire, marquant son cou de façon éphémère. Mes hanches prirent possession des siennes, se frottant contre un membre déjà durci par l’envie, l’incitant à goûter au fruit interdit. « Montres moi cette grosse chose que je suis sensée aimée. » Souffle chaud contre son oreille que je viens lécher, ma main descend lentement le long de son dos en une griffure grisante avant d’empoigner son fessier. « Montres moi à quel point je t’ai manqué. » Plus qu’une demande, c’était un ordre.
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Ven 21 Juil - 18:48 Citer EditerSupprimer
Girl use me while you can... I'm a toy.
bae sam yong & atkins robin
« Non. » Oui, je suis jaloux. J'ai horreur qu'un autre homme pose la main sur toi. Je veux que tu sois mienne, je te veux pour moi... rien que pour moi. Pourquoi suis-je tombé sous ton charme ? Pourquoi tu en profites ? Toutes ses questions me brûlaient mes lèvres... Je devais me taire pour son bien et pour mon bien. J'ai cette impression que je ne pourrai jamais parvenir à me détacher d'elle. Elle n'a aucune emprise sur moi, mais j'ai besoin de sa présence, de sa chaleur... Robin arrive à me faire évader du quotidien. Elle me fait vivre. Je suis clairement amoureux de toi. Cette phrase voulait sortir. Je la laisse au fond de mon âme afin qu'elle ne remarque pas cette chose qu'on s'était promis. On ne devait pas s'attacher. Je suis son jouet. Elle le sait et elle en profite. Chose tout à fait logique. Je veux me défaire de cette toile qui empêche mon coeur de battre dans un rythme normal. Je veux qu'elle le prenne et qu'elle me dise '' je t'aime ". Je demande l'impossible. J'en ai marre d'être cet homme faible, je veux prendre les commandes. Sauf que je ne peux pas. Elle tire les ficelles comme un marionnettiste. Je suis son pantin. Elle peut jouer avec moi jusqu'à ce qu'elle se lasse. Brise-moi, casse-moi en deux si ça te chante. Je veux seulement être près de toi. « Ta gueule. » Elle sait... elle sait qu'elle m'a manqué. Je suis trahi par mes propres gestes. Si ça se trouve, elle avait conscience de mes sentiments. Cette jeune femme est très maligne. Elle avait ce don que personne n'a... ce don qui vous permet de lire les pensées rien qu'en voyant nos gestes, notre regard. Je t'aime, je te déteste, je te hais. Je passe dans toutes les phases possibles lorsque je pense à elle. Elle m'énerve. Je n'ai plus le contrôle de mon corps. Ma main se faufile à l'intérieur de son bas pour venir caresser son entrejambe. Mes lèvres s'emparent des siennes jusqu'à couper notre respiration. Elle a beau parlé, je ne l'écoute plus. Je veux seulement profiter d'elle. Me sentir en elle, sentir qu'elle m'appartient encore pour cette nuit. Robin n'a pas besoin d'ordonner des choses qu'elle souhaite, elle peut les avoir en me regardant droit dans les yeux. Je peux comprendre l'envie dont elle souhaite acquérir. Nos vêtements s'enlèvent sans difficulté. J'ai l'emprise sur elle. L'occidentale est bloquée contre la porte du vestiaire. Elle ne pouvait pas se défaire. Mes doigts s'amusaient avec sa partie intime. Je vais la faire craquer, je vais lui montrer de quoi je suis capable...
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Sam 22 Juil - 13:26 Citer EditerSupprimer
Girl use me while you can... I'm a toy.
bae sam yong & atkins robin
Ça avait commencé. La chasse était ouverte. Ma proie bien empêtrée dans mes filets, croyant pouvoir garder un contrôle dont je ne lui laissais de toute évidence pas le loisir. Mais lui faire croire qu’il avait un quelconque pouvoir sur moi pour ensuite lui prouver le contraire… Était un sentiment encore plus jouissif. Cette impression de possession, cette poigne qui pouvait comprimer si on décidait de la resserrer… Je savais qu’il était mal de jouer, mais j’étais incapable du contraire. Pourquoi se priver d’apprécier ? J’avais piégé un loup, et j’en étais fière. Même si je ne me rendais pas pleinement compte d’à quel point je le tenais. Qu’importe au final ? Les sentiments n’avaient pas la place dans mes actions. Seul le plaisir et le désir gouvernaient, le sadisme maquillant mes traits. Ses réponses étaient bien trop courtes, bien trop directes… Froides et hargneuses, comme se voulant détachées… Alors que j’avais réveillé la bête. Il n’était pas jaloux ? Je ne lui avais pas manqué ? Beaux mensonges qui se dessinaient sous mes yeux, son corps et ses expressions démentissant chaque fait tandis que ses actions m’hurlaient ce que je voulais entendre. « Tu devrais savoir qu’il est aussi vain de mentir que de m’échapper. » Parce que non, je n’arrêterai pas de parler. Et oui, je tendais à le rendre complètement barge. En fait non, je ne le convoitais pas… Je savais que j’y arriverai. Mes cuisses glissent de sur ses hanches, mes pieds retrouvant le sol et mon corps se cambre violemment en sentant la caresse de ses doigts se glissant sous mon sous-vêtement. D’un geste vif, je griffe son dos, enfonçant mes ongles dans sa chair tandis que de l’autre je l’attire encore plus contre moi, collant nos torses nus et y écrasant ma poitrine. Nos baisers s'entrelacent, de plus en plus long et je manque d’air. Pourtant je ne me laisse pas faire, venant agripper et mordre son inférieure tandis que ma main fait glisser short et caleçon sans même lui laisser le temps de comprendre. Un rire fluide et fier s’échappe d’entre mes lippes et mon sourire se fait vil et sournois tandis que mes doigts viennent caresser l’objet du désir le serrant de plus en plus fort alors que les mouvements se font plus rapides, me délectant de ses expressions et de ses bruits à chaque va et vient. « Bah alors, on est faible ? » Il n’avait pas besoin de me plaquer contre la porte, je ne comptais pas m’enfuir. A vrai dire, c’était lui qui était prisonnier, relié à des fils invisibles de la toile que j’avais préalablement tissé. « Tu es sûr ? Je ne t’ai pas manqué ? » Question que je ne posais pas dans le vent, fléchissant mes genoux et glissant le long de son corps jusqu’à me retrouver à genoux, ma langue s’étalant sur un membre gonflé par l’envie. S’il ne comptait pas le dire, je le forcerai, qu’importe le moyen. Mon muscle humide continuant de s’amuser avec son érection, se baladant le long de son entrejambe et venant titiller son gland, je lui faisais finalement grâce en le mettant en bouche, me mouvant sans difficulté tandis que j’agrippais ses fesses pour le faire prisonnier. Je voulais l’entendre crier. Je voulais sentir ses jambes se dérober.
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Re: [-18] Girl use me while you can... I'm a toy. ∞ Samro | Sam 22 Juil - 20:59 Citer EditerSupprimer
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