roll with it ☾ ft. matsuoka ayame
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roll with it ☾ ft. matsuoka ayame | Mar 23 Mai - 23:59 Citer EditerSupprimer
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ayame ♡ mi ran
Entre deux épisodes d’animés, je me décide enfin à décoller mon derrière du canapé trop douillet qu’on a dans le salon des Sango. « J’te quitte Olympe ! Mais non pleure pas… pour une fois que j’bosse pas le soir ! Faudrait quand même que je pense à faire autre chose de ma journée. » Elle a pas l’air de trouver ça très pertinent comme argument mais de toute façon j’ai déjà d’autres plans. Et puis de toute façon, dès que l’épisode suivant s’est lancé elle m’a totalement oubliée, jusqu’à mon prénom, jusqu’à ce que je foutais là. Que j’me dis parfois, vive l’amitié.
Je pourrais me préparer pendant des heures et me demander quelle jupe enfiler et faire un sondage sur la couleur qui va le mieux à mon teint de pêche aujourd’hui. Mais je sais que c’est peine perdue parce qu’en allant voir Ayame, elle remarquera même pas tous les efforts que j’aurais pu faire pour elle ! Que je mette la dernière pièce à la mode dans mon armoire ou le premier pull que ma grand-mère m’a fabriqué, elle me saluerait de la même manière et dans le fond, c’est pour ça que je l’aime bien. Alors j’enfile un pull ! Mon super pull rouge pâle, que tout de même je l’aime beaucoup ce pull même s’il est trop grand (c’est sans doute parce qu’il appartenait à mon frère mais que la machine l’a un peu rétréci – j’avoue j’ai volontairement interféré sur le cycle de lavage, motus et bouche cousue.) Je noue mes cheveux en une jolie queue de cheval et j’essaye de donner un peu de volume à ma frange. J’intercepte Yu Na au passage ! Elle prend sa voiture pour se rendre en ville et ça tombe bien, j’avais pas envie d’attendre le bus trois heures à l’arrêt et ça, ma Yu Na elle le comprend mieux que personne.
SB Ride. Aya m’en a beaucoup parlé ! C’est là qu’elle travaille et ça lui va tellement bien, de s’entourer de skateboards pour bosser. On s’est dit un peu plus dans la journée, qu’elle et moi on irait boire un verre dans la soirée, parce que c’est le weekend et que j’aimerais bien, au moins pour aujourd’hui, rester loin, très loin de mes révisions de médecine qui me plombent les neurones.
L’heure de fermeture est proche et pourtant il y a encore pas mal de monde dans la boutique. Le genre de moment qui te donnerait envie de virer à coup de pieds dans les fesses les derniers clients qui traînent à se décider. (J’en connais un rayon, je travaille au 7Eleven depuis deux mois et entre ça et ceux qui te laissent leur petite monnaie, merci bien.) Mais alors moi je prends tout à l’envers. Il y a marqué « close » sur la vitrine et je rentre en faisant comme chez moi. Enfin je me rends bien vite compte que j’suis pas chez moi, j’pourrais faire la connaisseuse, c’est marqué en police 24 sur mon front que j’y connais pas un grain sur les sports de glisse. Je repère Ayame dans un coin de la boutique. J’attrape une casquette sur un présentoir et la pose sur ma tête en approchant. « Bonjour madame, auriez-vous des luges ? » Je sais pas, quand c’est avec elle, j’arrive pas à dire bonjour normalement.
Je pourrais me préparer pendant des heures et me demander quelle jupe enfiler et faire un sondage sur la couleur qui va le mieux à mon teint de pêche aujourd’hui. Mais je sais que c’est peine perdue parce qu’en allant voir Ayame, elle remarquera même pas tous les efforts que j’aurais pu faire pour elle ! Que je mette la dernière pièce à la mode dans mon armoire ou le premier pull que ma grand-mère m’a fabriqué, elle me saluerait de la même manière et dans le fond, c’est pour ça que je l’aime bien. Alors j’enfile un pull ! Mon super pull rouge pâle, que tout de même je l’aime beaucoup ce pull même s’il est trop grand (c’est sans doute parce qu’il appartenait à mon frère mais que la machine l’a un peu rétréci – j’avoue j’ai volontairement interféré sur le cycle de lavage, motus et bouche cousue.) Je noue mes cheveux en une jolie queue de cheval et j’essaye de donner un peu de volume à ma frange. J’intercepte Yu Na au passage ! Elle prend sa voiture pour se rendre en ville et ça tombe bien, j’avais pas envie d’attendre le bus trois heures à l’arrêt et ça, ma Yu Na elle le comprend mieux que personne.
SB Ride. Aya m’en a beaucoup parlé ! C’est là qu’elle travaille et ça lui va tellement bien, de s’entourer de skateboards pour bosser. On s’est dit un peu plus dans la journée, qu’elle et moi on irait boire un verre dans la soirée, parce que c’est le weekend et que j’aimerais bien, au moins pour aujourd’hui, rester loin, très loin de mes révisions de médecine qui me plombent les neurones.
L’heure de fermeture est proche et pourtant il y a encore pas mal de monde dans la boutique. Le genre de moment qui te donnerait envie de virer à coup de pieds dans les fesses les derniers clients qui traînent à se décider. (J’en connais un rayon, je travaille au 7Eleven depuis deux mois et entre ça et ceux qui te laissent leur petite monnaie, merci bien.) Mais alors moi je prends tout à l’envers. Il y a marqué « close » sur la vitrine et je rentre en faisant comme chez moi. Enfin je me rends bien vite compte que j’suis pas chez moi, j’pourrais faire la connaisseuse, c’est marqué en police 24 sur mon front que j’y connais pas un grain sur les sports de glisse. Je repère Ayame dans un coin de la boutique. J’attrape une casquette sur un présentoir et la pose sur ma tête en approchant. « Bonjour madame, auriez-vous des luges ? » Je sais pas, quand c’est avec elle, j’arrive pas à dire bonjour normalement.
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Re: roll with it ☾ ft. matsuoka ayame | Mar 30 Mai - 11:59 Citer EditerSupprimer
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mi ran ♡ ayame
Elle avait beau etre de fermeture, cela ne la dérangeait pas le moins du monde. Ayame aimait son petit boulot. Travailler au SB Ride était une réelle aubaine pour cette fan de glisse. Et grace a son look un peu street et garcon manqué, elle ne faisait pas du tout tache dans la boutique. Il faut dire que la japonaise ne risquait pas de se casser un ongle, et c’était tant mieux. Alors oui, a ses premiers jours, les clients étaient surpris. Et ils devaient très probablement avoir des appréhensions, des clichés. Mais bien vite, tout comme ses collègues, ils se sont habitués a la demoiselle, qui apportait sa petite touche de folie et de bonne humeur. Enfin bref. Ce jour-la encore, elle travaillait avec plaisir, d’autant plus qu’elle allait avoir une belle récompense a la fin. Effectivement, Mi Ran lui avait promis d’enfin passer la voir. Et Ayame était tout excitée de voir la bouille adorable de son amie dans cet endroit qui, n’allons pas le cacher, n’ était pas vraiment du style de la plus jeune.
Ne voyant pas le temps passer, la japonaise nettoyait du matériel de glisse tout en révassant un peu quand une douce voix qu’elle connaissait si bien lui vint aux oreilles. Un sourire amuse étira alors ses levres. « Désolée mademoiselle, nous ne faisons pas les modèles pour enfants ici ! ». Se pincant les levres pour se retenir de rire, fiere de sa connerie, elle se retourna et finalement, éclata de rire a la vue de Mi Ran. « T’as beaucoup a apprendre Mikan ! C’est pas comme ca qu’on porte les casquettes ici ! ». Trop mignonne cette petite. Prenant alors l’accessoire, elle la lui reposa gentiment sur la tete, a l’envers. Apres quelques meches replacées, elle lui tira gentiment les joues. « Et voila ! ». Ayame lui adressa un sourire remplit de tendresse, avant de jeter un coup d’oeil a l’horloge. Nice. Plus que quelques maigres minutes. « Je reviens, sois sage ! ». Adressant un clin d’oeil a sa complice de connerie, la nippone rejoignit la caisse pour encaisser et conseiller les derniers clients. Apres tout, de base, elle était toujours en service ! Les saluant poliment, la jeune femme s’ étire longuement, tel un chat, une fois la derniere personne sortie. « Waaaah, on a eu un monde aujourd’hui, ca faisait longtemps ! Ca se voit que le beau temps est revenu ! ». Sortant un bonbon de sa poche, elle le débala pour aller le glisser dans la bouche de Mi Ran, sans meme lui demander son avis. A force, elle connaissait les gouts de son amie, pas de crainte donc ! « Et toi, ca va ? Les cours, c’était pas trop chiant aujourd’hui ? Ca te plait du coup ici ? T’étais vraiment jamais venue ? Ah, si t’aimes pas la musique je peux aller l’éteindre si tu veux ! On mets du rnb ou de la hiphop pour rester dans le mood. ». Un moulin a paroles, comme toujours.
Ne voyant pas le temps passer, la japonaise nettoyait du matériel de glisse tout en révassant un peu quand une douce voix qu’elle connaissait si bien lui vint aux oreilles. Un sourire amuse étira alors ses levres. « Désolée mademoiselle, nous ne faisons pas les modèles pour enfants ici ! ». Se pincant les levres pour se retenir de rire, fiere de sa connerie, elle se retourna et finalement, éclata de rire a la vue de Mi Ran. « T’as beaucoup a apprendre Mikan ! C’est pas comme ca qu’on porte les casquettes ici ! ». Trop mignonne cette petite. Prenant alors l’accessoire, elle la lui reposa gentiment sur la tete, a l’envers. Apres quelques meches replacées, elle lui tira gentiment les joues. « Et voila ! ». Ayame lui adressa un sourire remplit de tendresse, avant de jeter un coup d’oeil a l’horloge. Nice. Plus que quelques maigres minutes. « Je reviens, sois sage ! ». Adressant un clin d’oeil a sa complice de connerie, la nippone rejoignit la caisse pour encaisser et conseiller les derniers clients. Apres tout, de base, elle était toujours en service ! Les saluant poliment, la jeune femme s’ étire longuement, tel un chat, une fois la derniere personne sortie. « Waaaah, on a eu un monde aujourd’hui, ca faisait longtemps ! Ca se voit que le beau temps est revenu ! ». Sortant un bonbon de sa poche, elle le débala pour aller le glisser dans la bouche de Mi Ran, sans meme lui demander son avis. A force, elle connaissait les gouts de son amie, pas de crainte donc ! « Et toi, ca va ? Les cours, c’était pas trop chiant aujourd’hui ? Ca te plait du coup ici ? T’étais vraiment jamais venue ? Ah, si t’aimes pas la musique je peux aller l’éteindre si tu veux ! On mets du rnb ou de la hiphop pour rester dans le mood. ». Un moulin a paroles, comme toujours.
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Re: roll with it ☾ ft. matsuoka ayame | Dim 4 Juin - 0:36 Citer EditerSupprimer
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ayame ♡ mi ran
Elle peut se montrer vraiment cruelle quand elle le veut ! Comme si me faire passer pour une demi-portion à taille réduite ne suffisait pas, ma mâchoire s’est de toute façon suffisamment décrochée pour marquer toute ma stupeur, voilà qu’en plus je me fais corriger sur ma façon pas assez « tendance » d’enfiler une casquette tssssss. « Ya ! Tu insultes le client ? » Elle tapote sur mes joues, tire un peu dessus et puis finalement ajuste la casquette en la pivotant, visière tirée à l’arrière et quelques mèches de cheveux qui encadrent mon visage. Je m’adoucis un peu le temps qu’elle s’éclipse s’occuper d’un client. Je trouve que le style me va bien dans le miroir à l’autre bout de la pièce ! Mais le signe Peace avec les avant-bras croisés contre la poitrine et la lèvre supérieure un peu relevée, beaucoup moins. Et je juge que c’est le bon moment pour arrêter de me ridiculiser en public et plutôt partir en expédition dans les rayons pour saisir l’étendue des subtilités dont regorge le magasin.
J’entends le carillon dans l’entrée tinter pour la dernière fois et quand j’débarque au bout d’un rayon, voilà que mon papillon se met à me gaver comme une oie d’un bonbon que j’ai même pas vu venir. (Mais c’est un bonbon alors en vrai je me plains pas ! Plus ils sont pétillants et plus j’aime.) Mais je me rends rapidement compte qu’il s’agissait seulement d’une diversion pour monopoliser la parole ! A mâchouiller sur la friandise je peux pas en place une seule et elle se saisit de l’opportunité pour me poser tellement de questions qu’au bout du compte, je doute même de me souvenir comment je m’appelle. Et je fais un hold-up pour la liberté d’expression en plaquant la paume de ma main contre sa bouche parce que si quelqu’un ne l’arrête pas, alors elle qui sait, peut-être qu’elle ne s’arrêtera jamais, qu’elle finira en surchauffe et qu’elle implosera dans ce magasin ! Disons que je viens un peu de nous sauver la vie. « T’es au courant que si tu fais pas de pause entre tes phrases j’peux pas répondre à tes questions ? » Et comme j’ai pas une bonne mémoire (même à court terme, c’est terrifiant) j’ai tout oublié et je fais une moue boudeuse, la même bouille chouineuse que j’ai gardé depuis mes cinq ans et qui n’as pas bougé. C’est vrai que je ressemble à s’y méprendre à une enfant, triste réalité. « J’ai fait du skate une fois, au lycée ! T’avais mon meilleur pote à vélo et j’me suis accrochée à l’arrière avec une corde, un genre de ski nautique mais sans ski et… pas nautique. » Elémentaire. « On s’était bien mis d’accord pour aller tout droit mais cet idiot il a pris le virage ! Et moi j’suis restée en ligne droite. » Je raconte ça comme une grande épopée dont tout le monde connaît l’issue : égratignures et bleus. Mais je suis tellement une warrior que j’survie. J’ai vu tellement pire que de manger une sortie de route que ça compte même pas dans le top de mes pires volées. « Ok pour la musique ! Mais pour rester dans le mood, viens plutôt me conseiller un skate ! » Vu l’expérience que je viens de lui raconter, pas sûr que le timing de ma requête soit très sérieux mais je connais Ayame et je sais qu’elle s’attachera pas aux formalités. « Promis, je serai une bonne élève ! » Je trace une auréole imaginaire au-dessus de ma tête puis joint les mains comme le petit ange que je ne suis pas.
J’entends le carillon dans l’entrée tinter pour la dernière fois et quand j’débarque au bout d’un rayon, voilà que mon papillon se met à me gaver comme une oie d’un bonbon que j’ai même pas vu venir. (Mais c’est un bonbon alors en vrai je me plains pas ! Plus ils sont pétillants et plus j’aime.) Mais je me rends rapidement compte qu’il s’agissait seulement d’une diversion pour monopoliser la parole ! A mâchouiller sur la friandise je peux pas en place une seule et elle se saisit de l’opportunité pour me poser tellement de questions qu’au bout du compte, je doute même de me souvenir comment je m’appelle. Et je fais un hold-up pour la liberté d’expression en plaquant la paume de ma main contre sa bouche parce que si quelqu’un ne l’arrête pas, alors elle qui sait, peut-être qu’elle ne s’arrêtera jamais, qu’elle finira en surchauffe et qu’elle implosera dans ce magasin ! Disons que je viens un peu de nous sauver la vie. « T’es au courant que si tu fais pas de pause entre tes phrases j’peux pas répondre à tes questions ? » Et comme j’ai pas une bonne mémoire (même à court terme, c’est terrifiant) j’ai tout oublié et je fais une moue boudeuse, la même bouille chouineuse que j’ai gardé depuis mes cinq ans et qui n’as pas bougé. C’est vrai que je ressemble à s’y méprendre à une enfant, triste réalité. « J’ai fait du skate une fois, au lycée ! T’avais mon meilleur pote à vélo et j’me suis accrochée à l’arrière avec une corde, un genre de ski nautique mais sans ski et… pas nautique. » Elémentaire. « On s’était bien mis d’accord pour aller tout droit mais cet idiot il a pris le virage ! Et moi j’suis restée en ligne droite. » Je raconte ça comme une grande épopée dont tout le monde connaît l’issue : égratignures et bleus. Mais je suis tellement une warrior que j’survie. J’ai vu tellement pire que de manger une sortie de route que ça compte même pas dans le top de mes pires volées. « Ok pour la musique ! Mais pour rester dans le mood, viens plutôt me conseiller un skate ! » Vu l’expérience que je viens de lui raconter, pas sûr que le timing de ma requête soit très sérieux mais je connais Ayame et je sais qu’elle s’attachera pas aux formalités. « Promis, je serai une bonne élève ! » Je trace une auréole imaginaire au-dessus de ma tête puis joint les mains comme le petit ange que je ne suis pas.
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Re: roll with it ☾ ft. matsuoka ayame | Jeu 8 Juin - 12:19 Citer EditerSupprimer
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mi ran ♡ ayame
Faute d’etre elle meme pas très grande –elle dit souvent qu’elle fait aux alentours d’un mètre soixante-dix alors qu’en réalité elle avoisine plutot le mètre soixante-, se moquer de son amie qui était dans le meme cas qu’elle était naturel pour la japonaise. Elles se comprenaient, et au fond, ce n’était que de l’auto-dérision. Mi Ran était très bien comme elle était. « Ce n’était pas une insulte. Juste un constat de la réalité ! ». S’enfuyant en riant, ne voulant pas se faire frapper a cause de cette énième provocation, Ayame s’occupa donc des derniers vrais clients. Et comme a son habitude, elle revint a la charge avec un débit de parole impressionannt. Des questions, des remarques, toujours plus. La nippone était intelligente. Pour pouvoir monopoliser la conversation -enfin, si seulement on pouvait appeler ca ainsi-, elle avait glissé un bonbon dans la bouche de Mi Ran, pour ainsi l’occuper. Mais son amie n’était pas du genre a se laisser faire. En effet, bien vite elle se retrouva avec une petite main plaquée sur sa bouche. Ok, elle avait comprit le message. La voyant afficher cette petite moue adorable d’enfant a la fois tristoune et boudeur, Ayame leva les yeux au ciel. Trop mignonne cette fille. Vraiment trop mignonne. « C’est parce que je suis contente que tu sois ici... ». Depuis le temps qu’elle lui parlait de cet endroit. Ecoutant alors avec attention l’histoire idiote mais amusante de Mi Ran, la sango ne put s’empecher d’imaginer la scène. C’était si... prévisible quand on connaissait la cadette ! « Promis, je vais prendre soin de toi, et tu rentreras sans aucun bobo ! ». Hochant la tete pour approuver ses dires, Ayame alla donc éteindre la musique, tout en réfléchissant a quel skate elle allait choisir. En effet, des tailles différentes existaient, non seulement pour l’usage qu’on souhaite faire, mais aussi pour s’accorder au physique et la morphologie de l’utilisateur. Un homme de presque deux mètres chaussant du 48 ne peut utiliser le meme qu’une jeune fille d’un petit mètre cinquante chaussant du 37. Lui demandant de la rejoindre au milieu de la boutique, devant le comptoir, pour qu’elles aient ainsi plus de place, la japonaise posa une plante de taille moyenne au sol, dont le motif représentait un hotdog. Oui oui, un hotdog. Elle adorait ce genre de design décalé. « Commencons par la base : comment tenir sur un skate sans prerdre son équilibre. ». Pour montrer l’exemple, elle placa lentement ses pieds sur la planche, tout en lui expliquant comment trouver son point d’équilibre. Une fois les pieds de nouveau au sol, elle tendit les mains vers Mi Ran, pour lui proposer un point d’appui pour le début. « A ton tour ! Vas y lentement, pas besoin de se presser. C’est un peu comme marcher avec des talons : si tu réfléchis trop a comment te mettre, te tenir, tu vas t’auto-bloquer, perdre ton équilibre, et tomber. ». Ayame ne savait pas vraiment si elle était une bonne professeur, mais elle y mettait du coeur, voulant réellement partager sa passion avec son amie.
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Re: roll with it ☾ ft. matsuoka ayame | Mer 14 Juin - 19:17 Citer EditerSupprimer
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ayame ♡ mi ran
Je sais pas trop si je dois saluer sa perspicacité ou lui pincer le bras parce qu’elle se fiche vraiment de moi. « Je vais t’en donner des constats moi ! » Je retire ma casquette et tend le bras pour la fouetter avec mais elle est déjà partie à la rencontre de ses derniers clients. Quant à moi, je n’ai pas l’intention de bouger : tout ici m’attire et me demande d’y prêter de l’attention. Il y a les couleurs et puis les roulettes. Je perds mon temps du côté des rollers et je me demande depuis combien de temps je n’en ai pas fait. Je ne sais même pas si ma dernière paire de rollers me va encore, il faudrait vraiment que je les essaye quand je retournerai chez mes parents à Busan. Et plus vite que de raison, je traîne du côté des skates et je me mets à imaginer l’allure que je pourrais avoir sur l’un d’entre eux. Ça me ramène à des souvenirs, faut dire que j’ai grandi avec trois grands frères alors, avec ma petite sœur on n’était pas en reste niveau « jeux de garçons. » C’est ce que les filles disaient à l’école, que c’était pas très féminin mais je m’en fichais tellement. A cet âge-là j’étais déjà championne de taekwondo chez les minimes alors, la fine ligne entre les trucs de garçon et les trucs de fille, qu’est-ce que je m’en tamponnais. « Oh tu sais. J’ai repéré une petite pharmacie au bout de la rue, je pourrais toujours y faire un saut et m’acheter des pansements. » Je plaisante puis elle me ramène une planche méga gourmande. Comme si elle avait devinait qu’une planche classique m’aurait un peu rendue jalouse de tous les modèles que propose la boutique. « HEOL !… daebak. » Mais je peux pas sauter dessus avant qu’elle ait terminé de tout bien m’expliquer. « Oui oui oui ! » C’est à mon tour de me montrer pressée mais faut dire que vu comme ça, ça ne m’a pas l’air bien compliqué. Je sais bien que c’est un leurre parce que j’ai en tête les figures de skateurs confirmés et que la maîtrise d’un art, ça passe surtout par l’habileté à faire croire que c’est simple alors que l’effort est réel. Mais je suis une grande aventurière ! En vrai ça me fait pas peur de me m’exploser au sol et de me faire mal (pourvu que je m’en relève.)
Je retiens bien tout ce qu’elle me dit. Quoi que faut dire avec la sale mémoire que j’me paye y’a de fortes chances pour que j’ai déjà oublié la moitié des règles de sécurité mais qu’importe ! c’est mon moment pour briller. « T’as vraiment pas choisi le bon exemple, je mets si peu de talons que j’ai plus de chance de m’en sortir à skate que perchée sur quinze centimètres ! » Je lui fais remarquer d’une voix amusée mais j’me fais pas prier : quand faut y aller…
Réussite : quel talent, c’est inouï ! je me tiens grande et forte, les mains sur les hanches en fixant droit devant moi comme une super héroïne (et j’en profite même pour tapoter sur le haut du crâne d’aya parce que j’ai gagné quelques centimètres et que je suis plus grande qu’elle #payback)
Echec : j’avais pas capté que ça glissait autant, le skate pars dans une direction et moi dans l’autre (un peu comme la saucisse du hot dog quand tu croques dedans et qu’il te reste plus que le pain en main.)
Je retiens bien tout ce qu’elle me dit. Quoi que faut dire avec la sale mémoire que j’me paye y’a de fortes chances pour que j’ai déjà oublié la moitié des règles de sécurité mais qu’importe ! c’est mon moment pour briller. « T’as vraiment pas choisi le bon exemple, je mets si peu de talons que j’ai plus de chance de m’en sortir à skate que perchée sur quinze centimètres ! » Je lui fais remarquer d’une voix amusée mais j’me fais pas prier : quand faut y aller…
Réussite : quel talent, c’est inouï ! je me tiens grande et forte, les mains sur les hanches en fixant droit devant moi comme une super héroïne (et j’en profite même pour tapoter sur le haut du crâne d’aya parce que j’ai gagné quelques centimètres et que je suis plus grande qu’elle #payback)
Echec : j’avais pas capté que ça glissait autant, le skate pars dans une direction et moi dans l’autre (un peu comme la saucisse du hot dog quand tu croques dedans et qu’il te reste plus que le pain en main.)
La Doyenne
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Re: roll with it ☾ ft. matsuoka ayame | Mer 14 Juin - 19:17 Citer EditerSupprimer
Le membre 'Lee Mi Ran' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'ACTION & ATTAQUE !' :
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Ton pire cauchemar mais en pire.
'ACTION & ATTAQUE !' :
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Re: roll with it ☾ ft. matsuoka ayame | Mar 27 Juin - 11:47 Citer EditerSupprimer
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mi ran ♡ ayame
Elle n’était surement pas la meilleure professeur qui existe, faute de ne pas vraiment avoir un caractere calme et qui sait attendre. Ayame aime que les choses aillent vite, ou tout du moins, que ca aille a son rythme. Elle est active, peut-etre trop, mais elle ne peut et me sait faire autrement. Mais la, il s’agissait de Mi Ran. Sa petite boule de cute qu’elle aimait tant. Alors, elle ferait un effort, et allait prendre sur elle. D’autant plus que si elle voulait toucher la plus jeune avec sa passion et pourquoi pas tenter de la lui transmettre, il fallait bien qu’elle se montre persuasive ! « Bah vas y, dis le que tu n’as pas confiance en moi, pff ! En réalité, les gros bobos, on se les fait soit en se réceptionannt mal sur les poignets ou quand on teste des figures. Donc pas de soucis, on fera rien de spectaculaire, et mes bras musclés seront la pour te rattraper Mikan ! ». Tout en disant cela, la japonaise contracta ses bras pour tenetr de faire ressortir ses muscles. Elle en avait plus qu’une fille normale, grace au baseball, mais elle n’était pas Rocky non plus. Lui apportant la fameuse planche au design original, son sourire s’ étira. Bingo. Celle-ci plaisait a sa cadette, elle avait visé juste. A force de trainer ensemble, elle avait bien analysé les gouts de Mi Ran. Sauf que cette derniere, visiblement bien trop excitée face a cette nouvelle expérience, ne l’attendit meme pas pour grimpée sur le skateboard. « Yah ! Sois une éleve sage et attentive ! J’veux bien te protéger au cas ou, mais c’est pas une raison ! Donnes y du tiens, tss ! ». Tendrement, Ayame tira la joue de son amie comme on le ferait a un enfant. Puis, voyant qu’elle arrivait a ne pas tanguer, la nippone se recula d’un pas, histoire de tester la jeunette. Parfait ! Elle avait réussit de suite a trouver le bon équilibre. Les yeux brillants de fierté tel un parent, elle l’applaudit légerement avant de l’aider a redescendre apres son petit tapotement de tete. « Passons a l’étape suivante ! C’est a dire, avancer en ligne droite ! ». Lui adressant un doux sourire, Ayame s’éclipsa un court instant pour aller chercher sa propre planche dans l’arriere boutique. Elle en gardait toujours une au magasin, au cas ou un client lui demanderait une démonstration ou tout simplement de l’aide. Une fois de nouveau en compagnie Mi Ran, elle posa son skateboard au sol, au niveau du comptoir. « Regardes comment je place mes pieds. ». Posant le droit sur la planche, elle se donna un peu d’élan avec le gauche avant que celui-ci ne rejoigne son camarade. Les genoux légerement pliés, elle gardait une ligne droite jusqu’a la porte, ou elle fit un demi tour avant de s’arreter. « Je te remontre dans ce sens. ». Et hop, meme chose mais cette fois-ci pour retourner avec son amie. « Et voila ! Tu veux que je te tienne, ou tu veux de suite essayer seule ? ».
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Re: roll with it ☾ ft. matsuoka ayame | Jeu 6 Juil - 11:49 Citer EditerSupprimer
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ayame ♡ mi ran
Ce qu’elle est susceptible, ça n’a rien à voir avec une question de confiance ! Je lui confierai ma vie à Ayame s’il le fallait. Enfin ma vie. Si ma vie dépendait d’une planche de skate, d’une roue de vélo ou d’un frein de roller, je la lui confierais les yeux fermés ! Pour le reste, je suis pas encore folle et je préfère me débrouiller par moi-même. Je tente de lui mordre la main qu’elle me présente. Comme si j’étais un bébé, je sais bien que mes joues donnent envie de tirer dessus mais c’est pas une raison. D’ailleurs… je me demande si c’est pas un cercle vicieux. Plus les gens tirent dessus et plus le rebond se conserve et s’accentue. Je tapote sur mes deux joues et je gigote sur le skateboard dans tous les sens en essayant d’avancer sans mettre un pied à terre. « Quoi, pourquoi ! Alors tu vas rien m’apprendre ? Juste à tenir debout sur une planche et à savoir faire un petit parcours de santé ? Je demande à être remboursée. Et en plus, avec tes tous petits bras là, comment tu veux que j’me sente en sécurité ? » Je croise les miens de bras et je boude quelques secondes après avoir exprimé l’étendu de mon mécontentement et de mes revendications. Au même moment je me fais gronder parce que je l’attends pas et je l’écoute pas quand elle parle. J’ai peut-être une très mauvaise mémoire mais je suis une élève très assidue et je vais le lui montrer ! Rien qu’un peu pressée, c’est tout…
Mais à peine je suis montée là-haut qu’il faut que j’en redescende. Alors là je suis perdue. Moi j’étais prête à ouvrir un parcours de skarting dans la boutique (notez la contraction de skate + karting) et slalomer comme une pro comme dans les vidéos ! Ok je suis pas dingue. Je sais que j’y arriverai pas du premier coup, que j’y arriverai peut-être même pas aujourd’hui ni demain la veille. Mais dans le sport, on n’arrive à rien si on n’y croit pas. C’est une philosophie qui m’a toujours servie depuis que je suis gamine. Du coup, je vais pas me refaire taxer d’élève dissipée auprès de ma professeure et je repose un pied au sol. Elle dégaine sa planche et en avant pour une démonstration. C’est pas d’une technicité de pointe du coup, j’aurais tendance à me dire que c’est simple. Mais je sais que c’est du travail et que si Aya elle le fait aussi bien, c’est parce qu’elle maîtrise son élément. Moi par contre, ça va être autre chose… « Je veux essayer ! Toute seule. » Ca me ferait mal au cœur de réussir avec son aide, c’est comme faire du vélo avec des petites roues arrières et j’ai comme l’impression que j’ai passé l’âge pour ça. « Je prends appuie avec le pieds gauche par contre, j’me sens plus à l’aise, c’est ok ? » Je prends pas cent ans à me lancer. En soi, et comme je l’ai déjà dit, je l’ai déjà fait plusieurs fois, que ce soit avec mes frères ou avec mes meilleurs amis. Du coup je maîtrise à peu près le dossier. Ah c’est sûr que j’ai pas une ligne droite aussi nette que celle de mon amie, la mienne ressemble plutôt à une fine courbe et j’atterris pas du tout là où j’avais prévu mais… j’y arrive et c’est déjà ça. « ALLEZ SALUUUUUUUUT ! » Je suis tellement bien partie dans mon virage que plutôt que de tenter le demi-tour qu’elle m’a montré (et que je sais même pas comment je pourrais faire sans me rétamer de tout mon long) que je décide prendre à droite et de continuer en faisant un petit tour de la boutique. Je manque à deux reprises de me planter, la première fois dans le présentoir à casquettes, la deuxième fois dans l’allée des vélos mais O.K.L.M. je gère et j’me prive pas pour le faire remarquer à Ayame avec mes petites exclamations en temps réel. « RIEN DE CASSE, TOUT VA BIEN ! » Je lui fais un coucou de la main et je rempile pour un deuxième tour. « Je me sens comme un canard en plastique dans une pêche à la ligne… » Sauf que je navigue pas sur un petit fleuve tranquille. De mon côté c’est plutôt des arrêts saccadés et des petits coups de pieds au sol comme si j’étais en trottinette. Mais j’m’éclate hein, pas de soucis.
Mais à peine je suis montée là-haut qu’il faut que j’en redescende. Alors là je suis perdue. Moi j’étais prête à ouvrir un parcours de skarting dans la boutique (notez la contraction de skate + karting) et slalomer comme une pro comme dans les vidéos ! Ok je suis pas dingue. Je sais que j’y arriverai pas du premier coup, que j’y arriverai peut-être même pas aujourd’hui ni demain la veille. Mais dans le sport, on n’arrive à rien si on n’y croit pas. C’est une philosophie qui m’a toujours servie depuis que je suis gamine. Du coup, je vais pas me refaire taxer d’élève dissipée auprès de ma professeure et je repose un pied au sol. Elle dégaine sa planche et en avant pour une démonstration. C’est pas d’une technicité de pointe du coup, j’aurais tendance à me dire que c’est simple. Mais je sais que c’est du travail et que si Aya elle le fait aussi bien, c’est parce qu’elle maîtrise son élément. Moi par contre, ça va être autre chose… « Je veux essayer ! Toute seule. » Ca me ferait mal au cœur de réussir avec son aide, c’est comme faire du vélo avec des petites roues arrières et j’ai comme l’impression que j’ai passé l’âge pour ça. « Je prends appuie avec le pieds gauche par contre, j’me sens plus à l’aise, c’est ok ? » Je prends pas cent ans à me lancer. En soi, et comme je l’ai déjà dit, je l’ai déjà fait plusieurs fois, que ce soit avec mes frères ou avec mes meilleurs amis. Du coup je maîtrise à peu près le dossier. Ah c’est sûr que j’ai pas une ligne droite aussi nette que celle de mon amie, la mienne ressemble plutôt à une fine courbe et j’atterris pas du tout là où j’avais prévu mais… j’y arrive et c’est déjà ça. « ALLEZ SALUUUUUUUUT ! » Je suis tellement bien partie dans mon virage que plutôt que de tenter le demi-tour qu’elle m’a montré (et que je sais même pas comment je pourrais faire sans me rétamer de tout mon long) que je décide prendre à droite et de continuer en faisant un petit tour de la boutique. Je manque à deux reprises de me planter, la première fois dans le présentoir à casquettes, la deuxième fois dans l’allée des vélos mais O.K.L.M. je gère et j’me prive pas pour le faire remarquer à Ayame avec mes petites exclamations en temps réel. « RIEN DE CASSE, TOUT VA BIEN ! » Je lui fais un coucou de la main et je rempile pour un deuxième tour. « Je me sens comme un canard en plastique dans une pêche à la ligne… » Sauf que je navigue pas sur un petit fleuve tranquille. De mon côté c’est plutôt des arrêts saccadés et des petits coups de pieds au sol comme si j’étais en trottinette. Mais j’m’éclate hein, pas de soucis.
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