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what do we do now? ── ft. ayame.
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what do we do now? ── ft. ayame. | Lun 29 Mai - 17:02
Quelques minutes avant la panique générale, avant l'écran bleu de la mort. Son sommeil est réparateur, lourd et à vrai dire, ça faisait même un moment qu'il n'avait pas dormi comme ça, un vrai bébé. Sa respiration est régulière, lente, calme. Y'a que les rayons du soleil qui viennent dans sa tronche qui viennent perturber tout c'bien-être. Ses paupières s’entrouvrent p'tit à p'tit, la vision d'son plafond blanc avant de les refermer, comme dans un espoir de se rendormir, mais au fond d'lui, il sait que c'est plus la peine. Sa migraine ne tarde pas à faire surface sur ses déboires de la veille, quelle idée. Jun il tenait pas tant qu'ça l'alcool, ça l'rendait un peu con, ça l'rendait un peu trop con par moment. Il étend ses bras, s'étire de toute sa longueur en grognant lorsque le soleil vient l'éblouir, il s'tourne de l'autre côté et là... Là, c'est la merde. Gros sursaut. 404 error not found, tout ce que vous voulez, mais y'a. Une. Fille. Alors qu'il tente de se remémorer les conneries qu'il a pu faire une fois redressé sur son lit. Ses mains passent sur son crâne, il aurait pu crier sur l'coup.
Non, non, non, non, non. Il s'est jamais redressé aussi vite avant d'enfiler un sous-vêtement, le grand débile. Jun c'est l'gars qui va stresser un peu pour rien, mais là, c'était pas rien, il s'retrouvait avec une fille,heureusement quand même, dans son lit. Il tourne en rond dans l'coin d'sa chambre avant d'jeter un coup d'oeil vers elle. Allez, reste serein gamin. Parce que dans un sens, il avait tout d'même cette once de fierté, quand son regard trace ses courbes, un sourcil légèrement arqué. C'est qu'un homme Jun, après tout. Il alterne entre deux réactions, la panique totale, et cette sensation d'fierté à s'dire "c'est moi qui l'ai ramené, wah" et p'tit à p'tit, c'est plus la deuxième option qui s'installe. Mais Jun serait pas Jun sans un retournement de situation, sans un moment où il s'dit que c'est encore plus la merde que ça l'était avant, vous m'suivez ? Elle bouge, ou du moins elle a bougé, assez pour le faire partir au quart de tour. Le nippon pense presque à se cacher derrière ses rideaux avant de s'dire que c'est n'importe quoi, alors il décide de prendre la fuite à pas qui se veulent assurés, se réfugier dans sa cuisine pour faire du café. Pendant qu'il allume sa tablette, parce que faute de savoir si elle sait signer, il suppose qu'elle sait au moins lire, ses dents torturent sa lèvre inférieure pour calmer sa nervosité alors qu'ses doigts tapotent sur le plan de travail. Y'a ces quelques souvenirs d'hier qui reviennent petit à petit et il s'cogne la tête contre le placard du haut. C'est qu'un rêve, tu vas t'réveiller.
can we panic now
ayame & jun
Quelques minutes avant la panique générale, avant l'écran bleu de la mort. Son sommeil est réparateur, lourd et à vrai dire, ça faisait même un moment qu'il n'avait pas dormi comme ça, un vrai bébé. Sa respiration est régulière, lente, calme. Y'a que les rayons du soleil qui viennent dans sa tronche qui viennent perturber tout c'bien-être. Ses paupières s’entrouvrent p'tit à p'tit, la vision d'son plafond blanc avant de les refermer, comme dans un espoir de se rendormir, mais au fond d'lui, il sait que c'est plus la peine. Sa migraine ne tarde pas à faire surface sur ses déboires de la veille, quelle idée. Jun il tenait pas tant qu'ça l'alcool, ça l'rendait un peu con, ça l'rendait un peu trop con par moment. Il étend ses bras, s'étire de toute sa longueur en grognant lorsque le soleil vient l'éblouir, il s'tourne de l'autre côté et là... Là, c'est la merde. Gros sursaut. 404 error not found, tout ce que vous voulez, mais y'a. Une. Fille. Alors qu'il tente de se remémorer les conneries qu'il a pu faire une fois redressé sur son lit. Ses mains passent sur son crâne, il aurait pu crier sur l'coup.Non, non, non, non, non. Il s'est jamais redressé aussi vite avant d'enfiler un sous-vêtement, le grand débile. Jun c'est l'gars qui va stresser un peu pour rien, mais là, c'était pas rien, il s'retrouvait avec une fille,
#kerushirei
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Re: what do we do now? ── ft. ayame. | Mar 30 Mai - 13:11
Elle dormait si bien. L’alcool engorgé la veille devant tres certainement aider. Ayame possedeait cette chance de pouvoir boire en grande quantité sans tomber malade le lendemain. Cela accentuait simplement son coté marmotte. Mais a vrai dire, cela n’était pas l’unique raison a son état de Belle au bois dormant. Oh non. Il fallait remercier son partenaire du soir pour cela. Il n’avait qu’a regarder leur corps décorés de quelqes marques propres a l’acte sexuel et le sol de la chambre ou tronaient fierement quelques perservatifs usagés. Si on dit que les hommes s’endorment comme des bébés apres l’amour, c’est tout aussi vrai pour la japonaise. Néanmoins, son calmesommeil fut dérangé par la fuite de sa source de chaleur, c’est a dire, son amant. Grognant, faute d’etre frustrée, il fallait bien l’avouer, ayame tourna quelques instants dans ce lit qui n’était pas le sien, cherchant en vain a retrouver une position adéquate pour reprendre sa nuit. Un lourd soupire quitta ses levres quand elle réalisa que c'était peine perdue. Se redressant donc, Ayame s’ étira longuement, tel un chat, faisant légerement craquer son dos au passage. Les cheveux en bataille, elle se frotta les yeux et chercha alors du regard le propriétaire de cet appartement. Mh ? Ce fut le bruit de la machine a café qui l’interpella. Bon, au moins, il était toujours la. Quelle heure pouvait-il bien etre ? Se massant le visage et remettant rapidement sa chevelure en place, la demoiselle sortit enfin du lit. Ses vetements ? La moitié était éparpillée dans la chambre. Mollement, elle se saisit de son string et d’un tshirt qui trainait –merci monsieur-, pour les enfiler. Lentement, elle rejoignit le presque inconnu a la cuisine. Lui adressant un léger mais doux sourire, elle s’étira de nouveau, dévoilant son sous-vetement. Elle n’était pas pudique. Et puis, ils venaient visiblement de passer une nuit torride, alors pourquoi s’en faire ? Posant ses petites fesses sur le rebord de la table, Ayame posa enfin ses yeux sur son hote du jour. « Jun, c’est ca ? Tu fais toujours du café pour tes invitées ? ». Elle avait utilisé sa langue maternelle, le japonais. Pourquoi ? Car elle se rappelait que ce beau gosse –appelons un chat un chat- était un compatriote du pays du Soleil Levant. Autant en profiter, non ? « Elle est ou ta poubelle ? On a deux trois trucs a jeter je crois bien. ». Un tendre rire s’ échappa de ses levres. Un peu d’humour, c’était toujours bon pour briser un possible malaise suite a one-night, non ?
can we panic now
jun & ayame
Elle dormait si bien. L’alcool engorgé la veille devant tres certainement aider. Ayame possedeait cette chance de pouvoir boire en grande quantité sans tomber malade le lendemain. Cela accentuait simplement son coté marmotte. Mais a vrai dire, cela n’était pas l’unique raison a son état de Belle au bois dormant. Oh non. Il fallait remercier son partenaire du soir pour cela. Il n’avait qu’a regarder leur corps décorés de quelqes marques propres a l’acte sexuel et le sol de la chambre ou tronaient fierement quelques perservatifs usagés. Si on dit que les hommes s’endorment comme des bébés apres l’amour, c’est tout aussi vrai pour la japonaise. Néanmoins, son calmesommeil fut dérangé par la fuite de sa source de chaleur, c’est a dire, son amant. Grognant, faute d’etre frustrée, il fallait bien l’avouer, ayame tourna quelques instants dans ce lit qui n’était pas le sien, cherchant en vain a retrouver une position adéquate pour reprendre sa nuit. Un lourd soupire quitta ses levres quand elle réalisa que c'était peine perdue. Se redressant donc, Ayame s’ étira longuement, tel un chat, faisant légerement craquer son dos au passage. Les cheveux en bataille, elle se frotta les yeux et chercha alors du regard le propriétaire de cet appartement. Mh ? Ce fut le bruit de la machine a café qui l’interpella. Bon, au moins, il était toujours la. Quelle heure pouvait-il bien etre ? Se massant le visage et remettant rapidement sa chevelure en place, la demoiselle sortit enfin du lit. Ses vetements ? La moitié était éparpillée dans la chambre. Mollement, elle se saisit de son string et d’un tshirt qui trainait –merci monsieur-, pour les enfiler. Lentement, elle rejoignit le presque inconnu a la cuisine. Lui adressant un léger mais doux sourire, elle s’étira de nouveau, dévoilant son sous-vetement. Elle n’était pas pudique. Et puis, ils venaient visiblement de passer une nuit torride, alors pourquoi s’en faire ? Posant ses petites fesses sur le rebord de la table, Ayame posa enfin ses yeux sur son hote du jour. « Jun, c’est ca ? Tu fais toujours du café pour tes invitées ? ». Elle avait utilisé sa langue maternelle, le japonais. Pourquoi ? Car elle se rappelait que ce beau gosse –appelons un chat un chat- était un compatriote du pays du Soleil Levant. Autant en profiter, non ? « Elle est ou ta poubelle ? On a deux trois trucs a jeter je crois bien. ». Un tendre rire s’ échappa de ses levres. Un peu d’humour, c’était toujours bon pour briser un possible malaise suite a one-night, non ?#kerushirei
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Re: what do we do now? ── ft. ayame. | Jeu 8 Juin - 11:29
Il aurait voulu se secouer lui-même ou bien s'éclater la tête contre ce qui lui traînait sous la main, mais pourtant, une part de lui est assez fier. C'est qu'un homme Jun, après tout. Son regard se dirige rapidement vers elle en premier temps pour s'échapper presque immédiatement et revenir, comme s'il osait à peine le soutenir en premier temps. Son esquisse s'élargit et il note presque immédiatement sur sa tablette. Ça le change d'écrire enfin en japonais, ça lui fait même du bien, ça l'fait se sentir moins seul. «Pas souvent. Combien de sucres ? Ou du thé ?» Mais sa nervosité s'accroît au moment où il remarque qu'elle sait son nom. Mais lui, ce con, il fouille dans sa mémoire, proposant des noms à lui-même comme pour vérifier si ça lui colle bien ou non et d'un ton presque hésitant, il l'observe, les épaules légèrement haussés tant il appréhende sa réaction, d'une voix rauque, mais il peut au moins remettre ça sur le fait qu'il vient de se réveiller. «Aya..me ?» Le japonais se racle la gorge. Quel gros blaireau oublie le nom d'une fille comme ça même ? Personne. Bah si, Jun.
S'il était du genre à rougir, c'est certain qu'il aurait été rouge pivoine, littéralement parlant quand elle fait illusion à tout ce bordel dans sa chambre. Heureusement pour lui, il s'contente de pincer ses lèvres entre elles, les yeux un peu plus ronds qu'auparavant. Sa main s'glisse dans le fouillis qui se devait d'être ses cheveux avant d'se saisir de sa tablette, comme un bouclier. Ok Chevalier Samsung, calme ta joie. «Je vais ranger, sers toi de c'que tu veux dans la cuisine. Je vais te chercher des vêtements si tu veux, j'sais pas si ça t'ira parce que...» D'un signe d'la main, il la pose sur son crâne, elle est vraiment toute p'tite et ça l'fait sourire. Ça pourrait presque faire croire qu'il se fout d'elle, mais pas tant que ça -un peu-, c'est plus attendrissant qu'autre chose. Il l'imagine déjà galérer à attraper des trucs en hauteur et il s'éclipse dans la chambre pour éviter de laisser échapper un p'tit rire.
Son regard balaye la chambre et il observe le bordel qu'ils ont pu faire, des images lui reviennent et il les chasse pour ne pas se déconcentrer pendant qu'il range. Elle est restée, il sait pas trop pourquoi, mais ça lui fait plaisir. Elle a pas l'air gênée, son regard se dirige discrètement vers elle pendant qu'il y pense, y'a son sourire encore dans sa mémoire et sa bonne humeur est contagieuse. Les vêtements de la demoiselle maintenant repliés, il en profite pour enfiler lui-même un jeans qu'il prend au hasard dans son armoire et remettre quelques livres tombés au sol par l'opération du Saint Esprit -on y croit tous-. De retour dans la cuisine, ses vêtements dans les mains, il arrive derrière elle calmement en regardant par dessus son épaule. «Eh.»
can we panic now
ayame & jun
Il aurait voulu se secouer lui-même ou bien s'éclater la tête contre ce qui lui traînait sous la main, mais pourtant, une part de lui est assez fier. C'est qu'un homme Jun, après tout. Son regard se dirige rapidement vers elle en premier temps pour s'échapper presque immédiatement et revenir, comme s'il osait à peine le soutenir en premier temps. Son esquisse s'élargit et il note presque immédiatement sur sa tablette. Ça le change d'écrire enfin en japonais, ça lui fait même du bien, ça l'fait se sentir moins seul. «Pas souvent. Combien de sucres ? Ou du thé ?» Mais sa nervosité s'accroît au moment où il remarque qu'elle sait son nom. Mais lui, ce con, il fouille dans sa mémoire, proposant des noms à lui-même comme pour vérifier si ça lui colle bien ou non et d'un ton presque hésitant, il l'observe, les épaules légèrement haussés tant il appréhende sa réaction, d'une voix rauque, mais il peut au moins remettre ça sur le fait qu'il vient de se réveiller. «Aya..me ?» Le japonais se racle la gorge. Quel gros blaireau oublie le nom d'une fille comme ça même ? Personne. Bah si, Jun. S'il était du genre à rougir, c'est certain qu'il aurait été rouge pivoine, littéralement parlant quand elle fait illusion à tout ce bordel dans sa chambre. Heureusement pour lui, il s'contente de pincer ses lèvres entre elles, les yeux un peu plus ronds qu'auparavant. Sa main s'glisse dans le fouillis qui se devait d'être ses cheveux avant d'se saisir de sa tablette, comme un bouclier. Ok Chevalier Samsung, calme ta joie. «Je vais ranger, sers toi de c'que tu veux dans la cuisine. Je vais te chercher des vêtements si tu veux, j'sais pas si ça t'ira parce que...» D'un signe d'la main, il la pose sur son crâne, elle est vraiment toute p'tite et ça l'fait sourire. Ça pourrait presque faire croire qu'il se fout d'elle, mais pas tant que ça -un peu-, c'est plus attendrissant qu'autre chose. Il l'imagine déjà galérer à attraper des trucs en hauteur et il s'éclipse dans la chambre pour éviter de laisser échapper un p'tit rire.
Son regard balaye la chambre et il observe le bordel qu'ils ont pu faire, des images lui reviennent et il les chasse pour ne pas se déconcentrer pendant qu'il range. Elle est restée, il sait pas trop pourquoi, mais ça lui fait plaisir. Elle a pas l'air gênée, son regard se dirige discrètement vers elle pendant qu'il y pense, y'a son sourire encore dans sa mémoire et sa bonne humeur est contagieuse. Les vêtements de la demoiselle maintenant repliés, il en profite pour enfiler lui-même un jeans qu'il prend au hasard dans son armoire et remettre quelques livres tombés au sol par l'opération du Saint Esprit -on y croit tous-. De retour dans la cuisine, ses vêtements dans les mains, il arrive derrière elle calmement en regardant par dessus son épaule. «Eh.»
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Re: what do we do now? ── ft. ayame. | Jeu 8 Juin - 13:42
Elle ne restait pas tout le temps chez ses amants. A vrai dire, cela variait en fonction de son état post-coucherie. Si son –ou sa- partenaire avait été mauvais(e), alors elle prenait la fuite dès l’autre partit dans le monde des reves. Ou alors, si elle sentait que la personne serait du genre a s’attacher a elle, a vouloir la rejoindre, a etre du style pot de colle, c’était pareil. Elle optait pour la fuite. Alors, ce gars, Jun, il avait de la chance. Il lui plaisait. Elle se sentait bien. Avec lui, et ici, dans cet appartement. Leur nationnalité commune jouant très probablement dans cet état de bien etre. Dans tous les cas, se fut avec un sourire qu’elle le rejoignit dans la cuisine, d’une facon presque naturelle, comme si ce n’était pas leur première fois. Pourtantm le regard fuyant du jeune homme, qu’elle avait remarqué, trahissait bien leur situation actuelle. Passant ses mains dans ses cheveux longs, Ayame leva un sourcil en le voyant se saisir de la tablette pour ensuite la lui montrer. Mh ? Etait-il muet ? Non, il lui semblait bien avoir entendu sa voix la nuit dernière. Avait-il un probleme de sociabilisation ? Du genre, phobie de parler a des inconnus ? Tout ce dont elle était sure, c’était que son intéret pour le japonais ne faisait que s’accentuer. « Je préfererai du thé, si ca ne te dérange pas. ». Gardant son sourire, elle lu de nouveau ce qu’il venait de lui écrire. « Ok, c’est gentil ! Et pour les vetements, t’en fais pas, je suis bien comme c-... ». Elle fut coupée par l’action de Jun. C’était quoi ca ? Il comparait leurs tailles ? Certes, elle lui arrivait au menton, mais tout de meme, elle n’ était pas si minuscule au point de possiblement flotter dans ses fringues ! Le laissant retourner a la chambre, Ayame se mit donc a la recherche de quelque chose pour caler cette petite faim qui commencait a prendre place dans son ventre. Se mettant sur la pointe des pieds pour ouvrir un placard, elle attrapa du bout des doigts un sachet de gateaux. Mais celui-ci prit son envol dans la pièce faute d’un trop fort sursaut, qui laissa meme un petit cri quitter ses lèvres. La raison ? Son camarade nippon qui était revenu et avait eut la bonne idée d’apparaitre dans son dos sans s’annoncer. « P-Pardon ! Je ne t’avais pas entendu ! ». Une main sur le coeur, les joues légerement rougies par la gene, elle se baissa pour ramasser le sachet, avant de regarder les vetements dans la main du jeune homme. « Avant d’enfiler des vetements propres, j’pense qu’une douche serait une bonne idée. ». Un sourire amusé sur le visage, Ayame lui glissa un gateau dans la bouche. « Faut qu’on reprenne des forces ! ». Un petit clin d’oeil voulant en dire long sur cette simple phrase en réalité pleine de sous-entendus, elle s’appuya contre le rebord du plan de travail, détaillant alors enfin son hote, tout en grignotant. Il était beau. Plus que ses souvenirs embrumés ne lui avaient laissés croire. « Tu viens d’ou ? Pas de chez moi en tout cas. J’connais pas cet accent. Faut dire que j’ai pas beaucoup bougé en dehors de mon ile, Tokyo et Hiroshima. ». Ce qu’elle regrettait. En réalité elle ne connaissait pas grande chose sur son pays. Alors, quand les gens lui posait des questions, elle détestait ce sentiment qui s’emparait d’elle, faute de ne pas savoir répondre. Elle était une sorte de fausse japonaise aux yeux des autres...
can we panic now
jun & ayame
Elle ne restait pas tout le temps chez ses amants. A vrai dire, cela variait en fonction de son état post-coucherie. Si son –ou sa- partenaire avait été mauvais(e), alors elle prenait la fuite dès l’autre partit dans le monde des reves. Ou alors, si elle sentait que la personne serait du genre a s’attacher a elle, a vouloir la rejoindre, a etre du style pot de colle, c’était pareil. Elle optait pour la fuite. Alors, ce gars, Jun, il avait de la chance. Il lui plaisait. Elle se sentait bien. Avec lui, et ici, dans cet appartement. Leur nationnalité commune jouant très probablement dans cet état de bien etre. Dans tous les cas, se fut avec un sourire qu’elle le rejoignit dans la cuisine, d’une facon presque naturelle, comme si ce n’était pas leur première fois. Pourtantm le regard fuyant du jeune homme, qu’elle avait remarqué, trahissait bien leur situation actuelle. Passant ses mains dans ses cheveux longs, Ayame leva un sourcil en le voyant se saisir de la tablette pour ensuite la lui montrer. Mh ? Etait-il muet ? Non, il lui semblait bien avoir entendu sa voix la nuit dernière. Avait-il un probleme de sociabilisation ? Du genre, phobie de parler a des inconnus ? Tout ce dont elle était sure, c’était que son intéret pour le japonais ne faisait que s’accentuer. « Je préfererai du thé, si ca ne te dérange pas. ». Gardant son sourire, elle lu de nouveau ce qu’il venait de lui écrire. « Ok, c’est gentil ! Et pour les vetements, t’en fais pas, je suis bien comme c-... ». Elle fut coupée par l’action de Jun. C’était quoi ca ? Il comparait leurs tailles ? Certes, elle lui arrivait au menton, mais tout de meme, elle n’ était pas si minuscule au point de possiblement flotter dans ses fringues ! Le laissant retourner a la chambre, Ayame se mit donc a la recherche de quelque chose pour caler cette petite faim qui commencait a prendre place dans son ventre. Se mettant sur la pointe des pieds pour ouvrir un placard, elle attrapa du bout des doigts un sachet de gateaux. Mais celui-ci prit son envol dans la pièce faute d’un trop fort sursaut, qui laissa meme un petit cri quitter ses lèvres. La raison ? Son camarade nippon qui était revenu et avait eut la bonne idée d’apparaitre dans son dos sans s’annoncer. « P-Pardon ! Je ne t’avais pas entendu ! ». Une main sur le coeur, les joues légerement rougies par la gene, elle se baissa pour ramasser le sachet, avant de regarder les vetements dans la main du jeune homme. « Avant d’enfiler des vetements propres, j’pense qu’une douche serait une bonne idée. ». Un sourire amusé sur le visage, Ayame lui glissa un gateau dans la bouche. « Faut qu’on reprenne des forces ! ». Un petit clin d’oeil voulant en dire long sur cette simple phrase en réalité pleine de sous-entendus, elle s’appuya contre le rebord du plan de travail, détaillant alors enfin son hote, tout en grignotant. Il était beau. Plus que ses souvenirs embrumés ne lui avaient laissés croire. « Tu viens d’ou ? Pas de chez moi en tout cas. J’connais pas cet accent. Faut dire que j’ai pas beaucoup bougé en dehors de mon ile, Tokyo et Hiroshima. ». Ce qu’elle regrettait. En réalité elle ne connaissait pas grande chose sur son pays. Alors, quand les gens lui posait des questions, elle détestait ce sentiment qui s’emparait d’elle, faute de ne pas savoir répondre. Elle était une sorte de fausse japonaise aux yeux des autres...#kerushirei
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