Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi
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Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi | Mar 25 Juil - 10:33 Citer EditerSupprimer
Et maintenant, on met le dentifrice sur le brosse à dent comme ça J'explique comment se brosser les dents comme il faut à un groupe homogène devant moi. Ça me fait toujours tout drôle de voir des enfants m'écouter comme Eun Mi. La même lueur dans leur regard, c'est fou comme ils me font penser à elle au même âge. Je me retourne une fraction de seconde pour regarder celle à qui je pense par la fenêtre entrain de jouer dehors. D'ici quelques instant, nous allons aller les rejoindre, mais garder nos groupes respectifs. Devant moi, ceux qui sont intéressés à faire du sport. Et c'est pour ça mon explication sur comment bien se brosser les dents, juste pour une hygiène de vie. Je passe à côté d'eux, attendant que la musique de trois minutes s'arrête. Et maintenant vous rincez. Je dis ça en crachant dans le lavabo avant de prendre un peu d'eau dans ma bouche. Ils le font tous sans se poser de questions. Adorable. Ceux qui sont pas encore en tenu de sport, allez y. Les autres ont va dehors.. Au début, ils courraient tous quand je leur informais qu'on allait dehors. Maintenant, après un mois et un jour par semaine, ils ont comprit que ça ne servait à rien de se précipiter. Je les regarde fièrement s'installer de notre côté de la courre alors que je vais près de ma cousine voir si elle s'en sort avec les plus jeunes. Devine qui sait Mes mains devant ses yeux, je me colle à elle, alors que je lui murmure cette question, juste pour l'entendre rire, car j'aime son rire cristallin qui résonne à mes oreilles à chaque fois. Et jamais je ne pourrai m'en passer.
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Re: Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi | Mer 2 Aoû - 21:19 Citer EditerSupprimer
Ils couraient, dans les rires et dans la bonne humeur. Celle qui leur faisait pourtant défaut la plupart du temps, mais ce matin-là, ils débordaient d’énergie, de cette lueur brillante qui se reflétait dans leurs iris. « Attention Sung Ho, tu vas te faire mal ! » Le rire trahit l’inquiétude alors que je savais pertinemment que même une égratignure ne saurait en venir à bout. J’aimais cette vitalité, j’aimais le simple fait qu’ils puissent éprouver tout un tas d’émotions en même temps, des sensations qui leur faisait oublier la tristesse d’une vie d’orphelin. J’avais beau me montrer empathique, j’ignorais ce qu’ils vivaient, j’avais grandi aimée et choyée, la petite dernière d’une fratrie soudée, un petit bijou à protéger. Mes yeux glissèrent sur les plus jeunes dont j’avais la garde dans la cours pour s’attarder sur l’une des fenêtres. Théo était à l’intérieur, expliquant à son petit groupe les bons gestes d’hygiène, et cette vue m’arracha un sourire heureux. J’étais la mieux placée pour savoir qu’il mettait du cœur à l’ouvrage, qu’il aimait passer du temps avec eux, et qu’ils le lui rendaient bien. Mais je fus arraché à la contemplation de ce tableau par l’un des enfants à la recherche d’un trésor dans les méandres de la boue du jardin. Il ne fallut que quelques minutes pour que des mains se glissent sur mes yeux, obstruant ma vue alors même que j’étais sûre de leur propriétaire, et le rire se fit de nouveau entendre, éclatant avec joie, résonnant avec ceux des enfants que j’entendais courir autour de nous. « Qui ? Hmmmm... le Pape ? » clamai-je avant de me retourner pour lui offrir un sourire sincère. « Tu n’as pas autre chose à faire que d’embêter ta cousine ? » Mais mon attention fut retenue par deux bagarreurs derrière Théo. « Oppa… je pense qu’il faut que tu interviennes ! »
Ils couraient, dans les rires et dans la bonne humeur. Celle qui leur faisait pourtant défaut la plupart du temps, mais ce matin-là, ils débordaient d’énergie, de cette lueur brillante qui se reflétait dans leurs iris. « Attention Sung Ho, tu vas te faire mal ! » Le rire trahit l’inquiétude alors que je savais pertinemment que même une égratignure ne saurait en venir à bout. J’aimais cette vitalité, j’aimais le simple fait qu’ils puissent éprouver tout un tas d’émotions en même temps, des sensations qui leur faisait oublier la tristesse d’une vie d’orphelin. J’avais beau me montrer empathique, j’ignorais ce qu’ils vivaient, j’avais grandi aimée et choyée, la petite dernière d’une fratrie soudée, un petit bijou à protéger. Mes yeux glissèrent sur les plus jeunes dont j’avais la garde dans la cours pour s’attarder sur l’une des fenêtres. Théo était à l’intérieur, expliquant à son petit groupe les bons gestes d’hygiène, et cette vue m’arracha un sourire heureux. J’étais la mieux placée pour savoir qu’il mettait du cœur à l’ouvrage, qu’il aimait passer du temps avec eux, et qu’ils le lui rendaient bien. Mais je fus arraché à la contemplation de ce tableau par l’un des enfants à la recherche d’un trésor dans les méandres de la boue du jardin. Il ne fallut que quelques minutes pour que des mains se glissent sur mes yeux, obstruant ma vue alors même que j’étais sûre de leur propriétaire, et le rire se fit de nouveau entendre, éclatant avec joie, résonnant avec ceux des enfants que j’entendais courir autour de nous. « Qui ? Hmmmm... le Pape ? » clamai-je avant de me retourner pour lui offrir un sourire sincère. « Tu n’as pas autre chose à faire que d’embêter ta cousine ? » Mais mon attention fut retenue par deux bagarreurs derrière Théo. « Oppa… je pense qu’il faut que tu interviennes ! »
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Re: Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi | Dim 6 Aoû - 16:48 Citer EditerSupprimer
Ceux qui doivent aller se changer, vont dans leur chambre, alors que les autres vont rejoindre les plus jeunes que Eun Mi s'occupent. Et moi, je les suis. Pire, je décidé d'embêter ma cousine. Mes mains sur ses yeux, je me colle à son dos, tout en lui demandant qui sait. Les enfants rigolent, et moi, je souris. Ou plutôt, mon sourire se perd. Le pape franchement? Je réponds à son sourire tout en secouant la tête. J'attends les retardataires. Je dis ça en mettant mon visage au niveau du sien prêt à lui faire une pitchounette sur son front. Mais un bruit attiré notre intention derrière moi. Je me souviens pas d'avoir été aussi bagarreur à leur âge. Ou pas. Et elle risque de pas apprécier ma boutade sur mon comportement à six ans. Je m'approche d'eux et les attrapes par le colle de leur t-shirt. Mais qu'avons nous là ? Je me retourne vers Eun Mi. Ma chère, il y a l'un des tient. Puis je le punir aussi ? Je cligne des yeux sachant très bien qu'elle va me laisser faire ce que je veux.
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Re: Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi | Mer 30 Aoû - 23:04 Citer EditerSupprimer
« Oui le pape ! Pourquoi, tu n’y crois pas ? » riai-je sans toutefois oublier de le réprimander au passage. Nous avions la garde d’une ribambelle d’enfants qui avaient, pour la plupart, une envie folle de s’amuser et de se défouler. Et ils semblaient d’ailleurs en proie à une folie particulière pour finalement se battre comme des chiffonniers, un fait que je ne manquais pas de faire relever à mon cousin. Théo souriait, s’occuper de ces petites têtes brunes n’avais jamais été une corvée pour moi, et pour lui non plus, mais lorsqu’il fallait faire appliquer l’ordre, je le laissais faire preuve d’une autorité qui me laissait fière. Il était ma chair et mon sang, et rien ne me faisait plus plaisir que de partager cette passion avec lui. Il attrapa le col des deux bagarreurs pour les forcer à retrouver leur calme avant de me les présenter. « Hmmm… ça ne va pas du tout ça ! Depuis quand est-ce que tu ne m’écoutes plus petit coquin ? » Je n’aimais pas particulièrement reprocher à ces orphelins, un comportement presque normal. Ils se bagarraient et après ? Tous les petits garçons faisaient preuve de plus ou moins de cette volonté à s’imposer non ? Je coulais un regard vers mon petit protégé en lui offrant un clin d’œil pour le rassurer. « Le punir ? C’est un peu radical ! Et si on faisait un jeu pour canaliser toute cette énergie ailleurs ? » « MERCI NOONA ! » J’offrais un regard contrit à Théo avant que les deux garçons ne prennent la poudre d’escampette avant d’entamer une nouvelle partie de cache-cache géante. « Désolée oppa, je ne voulais pas interférer, mais un cache-cache, c’est mieux non ? » Je rassemblais alors le reste des troupes pour donner les instructions et ainsi tirer à la courte-paille, celui qui aurait la lourde tâche de compter et chercher dans le domaine, ceux qui auraient trouvé les meilleures cachettes. « Tu te prêtes au jeu oppa ?! »
« Oui le pape ! Pourquoi, tu n’y crois pas ? » riai-je sans toutefois oublier de le réprimander au passage. Nous avions la garde d’une ribambelle d’enfants qui avaient, pour la plupart, une envie folle de s’amuser et de se défouler. Et ils semblaient d’ailleurs en proie à une folie particulière pour finalement se battre comme des chiffonniers, un fait que je ne manquais pas de faire relever à mon cousin. Théo souriait, s’occuper de ces petites têtes brunes n’avais jamais été une corvée pour moi, et pour lui non plus, mais lorsqu’il fallait faire appliquer l’ordre, je le laissais faire preuve d’une autorité qui me laissait fière. Il était ma chair et mon sang, et rien ne me faisait plus plaisir que de partager cette passion avec lui. Il attrapa le col des deux bagarreurs pour les forcer à retrouver leur calme avant de me les présenter. « Hmmm… ça ne va pas du tout ça ! Depuis quand est-ce que tu ne m’écoutes plus petit coquin ? » Je n’aimais pas particulièrement reprocher à ces orphelins, un comportement presque normal. Ils se bagarraient et après ? Tous les petits garçons faisaient preuve de plus ou moins de cette volonté à s’imposer non ? Je coulais un regard vers mon petit protégé en lui offrant un clin d’œil pour le rassurer. « Le punir ? C’est un peu radical ! Et si on faisait un jeu pour canaliser toute cette énergie ailleurs ? » « MERCI NOONA ! » J’offrais un regard contrit à Théo avant que les deux garçons ne prennent la poudre d’escampette avant d’entamer une nouvelle partie de cache-cache géante. « Désolée oppa, je ne voulais pas interférer, mais un cache-cache, c’est mieux non ? » Je rassemblais alors le reste des troupes pour donner les instructions et ainsi tirer à la courte-paille, celui qui aurait la lourde tâche de compter et chercher dans le domaine, ceux qui auraient trouvé les meilleures cachettes. « Tu te prêtes au jeu oppa ?! »
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Re: Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi | Mar 5 Sep - 12:04 Citer EditerSupprimer
Le pape vraiment? Ok... Donc ça doit faire longtemps que je ne lui ai pas présenté une potentielle future madame Kang. Je ne peux voir que ça comme raison . Les bras croisés, je lance un regard annonçant une punition grave à la cadette ce soir, des chatouilles. Sauf que Eun Mi c'est Eun Mi, même en jouant, car c'est un jeu, elle arrive à me reprimander. Moment que deux des petits ont décidé d'utiliser pour se battre. Très vite, je les sépare. Mieux, je fais du charme à ma cousine pour qu'elle me laisse le punir. J'ouvre la bouche en grand. Traîtresse. Elle n'a même pas levé les yeux vers moi. Un cache cache ? Et mon autorité suppreme là ? Tel un enfant, je croise les bras. Ceux que je m'occupe disent bien entendu qu'ils veulent jouer aussi. Mais nous, on est des ninjas leur dis-je avant de reporter mon attention sur ma cadette. Bon, allez. Je vais jusqu'au mur pour compter. Ceux qui sont pas cachés seront mangés tout cru. Même encore maintenant, Eun Mi réussit à me faire faire n'importe quoi. Son regard innocent et son sourire auront un jour raison de moi. Un Je les entends tous courir en criant, ce qui m'arrache un sourire. Est-ce que j'aurai été près à jouer à cache cache si je n'avais pas changé et rencontrer celui qui m'a poussé à faire de l'art martiaux quand j'étais ado ? Dix Eun Mi, c'est pour elle que j'étais devenu un voyoux pour que les autres ne l'embête pas. Ma cousine si rêveuse, si innocente. Comme le grand frère que je suis pour elle, je compte qu'elle le reste encore longtemps. Une petite voix me dit que je dois recommencer à compter car j'ai oublié le quinze. Ce qui m'arrache un rire. Et sans me soucier, je prends la petite fille de six ans dans mes bras pour qu'elle m'aide à compter jusqu'à cent.
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Re: Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi | Mer 6 Sep - 21:35 Citer EditerSupprimer
Croisant les bras, il affichait une moue déterminé. « Des ninjas ? Je demande à voir ! » Il avait l’imagination sans doute aussi débordante que la mienne, et je le remerciais d’un regard de laisser les chahuteurs profiter d’un nouveau moment de complicité. « Tout cru ? » Je fis mine d’être terrorisée par cette annonce avant de laisser mon cousin se charger de la lourde tâche qu’imposait le jeu : compter et attendre. J’attrapais les mains des enfants les plus proches pour les entrainer à l’intérieur et l’excitation qui faisait luire leurs prunelles se traduisait notamment par une terrible envie de courir à tout va, comme si échapper au démon Théo était devenu le but d’une vie. J’aidais, un à un, les bambins à se trouver une cachette, non sans lutter contre leur envie de courir, avant de passer le grand couloir vitré. J’observais Théo qui avait fait appel à un joker de six ans et aux couettes brunes pour l’accompagner dans cette mission. Mais lorsque je les vis s’agiter, je savais que mon temps était compté, et comme une enfant, je courus à la recherche d’un endroit où me faire discrète. Derrière l’un des rideaux épais de l’une des pièces, j’avais en face de moi l’un des orphelins qui me fit de grands signes. Chuuuuuut D’un index sur mes lèvres, je l’incitais à garder le silence et à rester à l’abri des regards. Dans un langage des signes approximatif, je lui intimais de ne plus bouger, mais le sourire qui étirait mes lèvres ne l’incitait pas à se calmer. Plus il gesticulait et plus je riais. La main bloquant mon souffle je tentais de garder une certaine contenance, mais lorsque Théo ouvrit le rideau pour dévoiler ma cachette, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire. « Oups ! » Néanmoins, si j’avais été débusquée, mon acolyte était resté introuvé et je prenais soin d’orienter mon cousin bien loin de sa cachette. « Bravo ! Tu as trouvé la plus grande, c’était presque trop facile ! » pouffai-je. « Allons chercher ailleurs ! » D’un regard entendu, je l’enjoignais à sortir de la pièce, à la recherche des enfants perdus.
Croisant les bras, il affichait une moue déterminé. « Des ninjas ? Je demande à voir ! » Il avait l’imagination sans doute aussi débordante que la mienne, et je le remerciais d’un regard de laisser les chahuteurs profiter d’un nouveau moment de complicité. « Tout cru ? » Je fis mine d’être terrorisée par cette annonce avant de laisser mon cousin se charger de la lourde tâche qu’imposait le jeu : compter et attendre. J’attrapais les mains des enfants les plus proches pour les entrainer à l’intérieur et l’excitation qui faisait luire leurs prunelles se traduisait notamment par une terrible envie de courir à tout va, comme si échapper au démon Théo était devenu le but d’une vie. J’aidais, un à un, les bambins à se trouver une cachette, non sans lutter contre leur envie de courir, avant de passer le grand couloir vitré. J’observais Théo qui avait fait appel à un joker de six ans et aux couettes brunes pour l’accompagner dans cette mission. Mais lorsque je les vis s’agiter, je savais que mon temps était compté, et comme une enfant, je courus à la recherche d’un endroit où me faire discrète. Derrière l’un des rideaux épais de l’une des pièces, j’avais en face de moi l’un des orphelins qui me fit de grands signes. Chuuuuuut D’un index sur mes lèvres, je l’incitais à garder le silence et à rester à l’abri des regards. Dans un langage des signes approximatif, je lui intimais de ne plus bouger, mais le sourire qui étirait mes lèvres ne l’incitait pas à se calmer. Plus il gesticulait et plus je riais. La main bloquant mon souffle je tentais de garder une certaine contenance, mais lorsque Théo ouvrit le rideau pour dévoiler ma cachette, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire. « Oups ! » Néanmoins, si j’avais été débusquée, mon acolyte était resté introuvé et je prenais soin d’orienter mon cousin bien loin de sa cachette. « Bravo ! Tu as trouvé la plus grande, c’était presque trop facile ! » pouffai-je. « Allons chercher ailleurs ! » D’un regard entendu, je l’enjoignais à sortir de la pièce, à la recherche des enfants perdus.
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Re: Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi | Jeu 7 Sep - 11:12 Citer EditerSupprimer
Ouais, tout cru Les petits se cachent les un derrière les autres à l'entende de mon affirmation. Ils savent que je les attrape pour les chatouiller. Mais bon joueur ou plutôt bonne poire, je vais de moi-même au mur pour commencer à compter. Enfin, je ne suis pas seul,
je la sens près de moi ma future amoureuse. C'est ce qu'elle a dit à Eun Mi ce matin, qu'elle voulait se marier avec moi quand elle sera plus vieille. Alors je le fais exprès de d'oublier des nombres dans mon comptage pour qu'elle participe aussi au jeu. Car la petite est assez timide et fuit le plus souvent les activités, c'est ce qu'on a comprit en lisant son dossier. Une vrai petite Kang au faite. Timide, douce et rêveuse, comme ma fée qui essaye de calmer les cries de joies des autres enfants. On recommence à compter tout les deux, et je constate à son grand désarroi que je compte étrangement jusqu'à cent. Pour finir la petite à décidée de le faire toute seule pour m'apprendre. Arrivé à cent. Je la pose à terre et lui attrape la main. CACHÉ OU PAS J'ARRIVE. Et les cries qui accompagnent mon annonce me fait rire. On jette un coup d'oeil autour de nous avant qu'elle me tire à l'intérieur de l'orohelinat. Ses pas me conduise devant un rideau où une paire de basket dépasse. J'ai bien vu qu'il y avait un enfant aussi mais il faut leur faire croire qu'ils sont bien caché sinon au bout de dix minutes le jeu est terminé. Oui, oups. Elle rigole et adore se son.
Sa prouve que j'ai fait du bon travail avec elle. Fallait te trouver une meilleure cachette aussi. La petite reprend ma main et me tire hors de la salle pour entrer dans une autre salle. Et là, j'ai l'idée de tricher un peu. Donc si on les trouve pas, on a leur quatre heure rien que pour nous ? Je propose qu'on arrête de les chercher et qu'on aille dans la cuisine. Cinq protestations se font entendre dans trois armoires différentes que la petite va ouvrir. J'hausse un sourcil en regardant Eun Mi avant de prendre un air coupable. Tu crois que c'était de la triche? Est-ce que j'ai déjà triche? Quoi sur la question était posé à ma camarade de jeu de mon enfance, bien entendu j'ai déjà triché et trop souvent à goût de la demoiselle. Donc nous avons déjà six prisonniers que je vais pouvoir manger.
je la sens près de moi ma future amoureuse. C'est ce qu'elle a dit à Eun Mi ce matin, qu'elle voulait se marier avec moi quand elle sera plus vieille. Alors je le fais exprès de d'oublier des nombres dans mon comptage pour qu'elle participe aussi au jeu. Car la petite est assez timide et fuit le plus souvent les activités, c'est ce qu'on a comprit en lisant son dossier. Une vrai petite Kang au faite. Timide, douce et rêveuse, comme ma fée qui essaye de calmer les cries de joies des autres enfants. On recommence à compter tout les deux, et je constate à son grand désarroi que je compte étrangement jusqu'à cent. Pour finir la petite à décidée de le faire toute seule pour m'apprendre. Arrivé à cent. Je la pose à terre et lui attrape la main. CACHÉ OU PAS J'ARRIVE. Et les cries qui accompagnent mon annonce me fait rire. On jette un coup d'oeil autour de nous avant qu'elle me tire à l'intérieur de l'orohelinat. Ses pas me conduise devant un rideau où une paire de basket dépasse. J'ai bien vu qu'il y avait un enfant aussi mais il faut leur faire croire qu'ils sont bien caché sinon au bout de dix minutes le jeu est terminé. Oui, oups. Elle rigole et adore se son.
Sa prouve que j'ai fait du bon travail avec elle. Fallait te trouver une meilleure cachette aussi. La petite reprend ma main et me tire hors de la salle pour entrer dans une autre salle. Et là, j'ai l'idée de tricher un peu. Donc si on les trouve pas, on a leur quatre heure rien que pour nous ? Je propose qu'on arrête de les chercher et qu'on aille dans la cuisine. Cinq protestations se font entendre dans trois armoires différentes que la petite va ouvrir. J'hausse un sourcil en regardant Eun Mi avant de prendre un air coupable. Tu crois que c'était de la triche? Est-ce que j'ai déjà triche? Quoi sur la question était posé à ma camarade de jeu de mon enfance, bien entendu j'ai déjà triché et trop souvent à goût de la demoiselle. Donc nous avons déjà six prisonniers que je vais pouvoir manger.
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Re: Leçon n°1, les filles peuvent faire mal {Eun Mi | Dim 31 Déc - 9:58 Citer EditerSupprimer
Si mon rire retentissait dans la pièce, des échos se firent entendre et je fis mine de ne pas les entendre, laissant la chance aux enfants de rester caché un peu plus longtemps. Je savais déjà que la tension et l’excitation les faisait trembler d’anticipation. « Parce que c’est ma faute de ne pas avoir su trouver une cachette maintenant ?! » arguai-je faisant mine d’être offensée. Mais si j’avais dans l’optique de trouver les bambins un peu plus tard, Théo lui usait de la ruse pour les forcer à se montrer. « Quoi ? Hey ! Mais c’est pas du jeu ça ! » Sa supercherie eut l’effet escompté et les protestations outrées se firent entendre avant que les têtes brunes ne s’extirpent de leur cachette pour se plaindre de la menace honteuse qu’il venait de prononcer. « Oh que oui tu as déjà triché ! Tu ne sais pas jouer selon les règles oppa ! » Je fis mine de bouder, affichant une moue un semblant triste sur mon visage avant d’emmener les quelques victimes de sa tromperie. « Puisque c’est comme ça, je les emmène d’abord, fais donc ton travail et trouves les derniers réfugiés… sans les manger ! » Sans lui laisser le temps de répondre, je fonçais vers la cuisine, entrainant mes rescapés avec moi. J’entamais la préparation massive des goûters avec l’aide de mes quelques assistants, et ne relevais les yeux que lorsque toute la tribut passa enfin la porte vitrée. « J’espère que vous avez faim ! Pas pour toi Oppa, tu n’as pas été assez sage ! » Les rires cristallins se firent à nouveau entendre, et les moqueries fusèrent alors que je cachais sa part dans mon dos.
Si mon rire retentissait dans la pièce, des échos se firent entendre et je fis mine de ne pas les entendre, laissant la chance aux enfants de rester caché un peu plus longtemps. Je savais déjà que la tension et l’excitation les faisait trembler d’anticipation. « Parce que c’est ma faute de ne pas avoir su trouver une cachette maintenant ?! » arguai-je faisant mine d’être offensée. Mais si j’avais dans l’optique de trouver les bambins un peu plus tard, Théo lui usait de la ruse pour les forcer à se montrer. « Quoi ? Hey ! Mais c’est pas du jeu ça ! » Sa supercherie eut l’effet escompté et les protestations outrées se firent entendre avant que les têtes brunes ne s’extirpent de leur cachette pour se plaindre de la menace honteuse qu’il venait de prononcer. « Oh que oui tu as déjà triché ! Tu ne sais pas jouer selon les règles oppa ! » Je fis mine de bouder, affichant une moue un semblant triste sur mon visage avant d’emmener les quelques victimes de sa tromperie. « Puisque c’est comme ça, je les emmène d’abord, fais donc ton travail et trouves les derniers réfugiés… sans les manger ! » Sans lui laisser le temps de répondre, je fonçais vers la cuisine, entrainant mes rescapés avec moi. J’entamais la préparation massive des goûters avec l’aide de mes quelques assistants, et ne relevais les yeux que lorsque toute la tribut passa enfin la porte vitrée. « J’espère que vous avez faim ! Pas pour toi Oppa, tu n’as pas été assez sage ! » Les rires cristallins se firent à nouveau entendre, et les moqueries fusèrent alors que je cachais sa part dans mon dos.
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