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Nam Hyun Ki - come back home
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Nam Hyun Ki - come back home | Mar 25 Juil - 19:39 Citer EditerSupprimer
nom : Kim, un nom passe-partout que portent beaucoup de coréens sans forcément être de la même famille. Un nom que l’on peut qualifier d’insignifiant, tout comme l’est devenu son père à ses yeux. C’est d’ailleurs de celui-ci qu’il tient ce nom de famille. Nam, le nom de jeune fille de sa mère qu’il a décidé d’adopter il y a plus d’un an. Symbole d’une rupture définitive avec tout lien en rapport avec son père. prénom : Hyo Jin est le prénom que ma mère, Nam Hi m’avait donné. Elle n’a jamais caché qu’elle aurait désiré une fille, mais ce n’est pas pour autant qu’elle n’aimait pas son fils. Au contraire, elle répétait souvent que j’étais son petit trésor. Et que je pourrais faire de ce prénom féminin, une force à toute épreuve. Hyo signifiant dévouement, efficacité alors que Jin, dragon et vérité. Des traits de caractères qui me correspondaient plutôt bien au final, et à qui j’essayais de faire honneur. Hyun Ki, le prénom que je portais depuis un an pour des raisons de sécurité. Pourquoi ce prénom ? Simplement parce que c’était ma petit Dambi qui l’avait choisi. âge, date et lieu de naissance: j’ai poussé mon premier cri il y a 26 ans, un deux juillet 1991 à l’hôpital de Séoul. origines : : principalement coréennes, mais ils se pourraient qu’il y ait du sang chinois coulant dans mes veines. nationalité : : coréenne depuis ma tendre enfance, et chinoise pour mon nouveau boulot. cursus universitaire : obtention d’un diplôme en médecine spécialisé en chirurgie du cerveau + diplômé d’urgentiste. métier : ex-gérant de la bijouterie Su&Jin (actuellement fermé depuis un an), il travaille actuellement en tant que chirurgien à l’hôpital de Séoul, mais également en tant que médecin attitré à la famille Rhee pour qui il joue les espions de la mafia dans un cadre personnel. + garde du corps occasionnel pour les filles Rhee. . orientation sexuelle : je ne suis attiré que par les jeunes femmes, on pourrait même dire que je suis quelque peu homophobe. . classe sociale : Je dirais de classe moyenne. Je vie bien, pas dans le grand luxe, mais ma famille ne manque de rien. code du règlement : Ok par iMked. tu veux t'investir ? citizen, c'est fini les études pour lui.
Nam Hyun Ki
Quand l'appel de la maison résonne
PERFECTIONNISTE (★★★✰✰) | PATERNEL (★★★✰✰) | BORNE (★★★✰✰) | MACHISTE (★★★✰✰) | TENDRE (★★★✰✰) |
PROTECTEUR (★★★★✰) | ARROGANT (★★★✰✰) | JALOUX (★★★✰✰) | CREATIF (★★★✰✰) | INTELLIGENT (★★★✰✰) |
Rumour has it... il parait qu'il est marié (vrai, mais il n'a pas vu sa femme depuis plus d'un an, et leur mariage est surtout au niveau administratif, leur vie sentimentale étant au niveau néant.) Survole l'avatar, petit coquin. | My character « Cela fait longtemps que je ne l’ai plus vu mais … Hyo Jin c’est un peu le cliché du Prince Charmant, mais version humaine (avec des défauts quoi). Derrière ses airs bougons, c’est un philanthrope, et sa générosité m’a littéralement sauvée. Bien sûr, ce serait mentir que de prétendre qu’il est parfait, même s’il l’était à mes yeux. Il a notamment tendance à surprotéger les gens, et surtout les femmes. Son machisme n’est pas feint, et c’est sans doute ce que je lui reproche le plus. Pourtant, ce n’est pas à défaut d’avoir été entouré de femmes de caractère … sans doute les réminiscences d’une éducation inadéquate. De là probablement découle également un perfectionnisme à tout épreuve … comment sinon aurait-il pu devenir chirurgien après tout ? » -Témoignage de son premier amour - Lui Sae Hee (25 ans)- « Hyo Jin … Je dirais que le premier mot qui me vient à l’esprit c’est la confiance … Loyal, bourré de valeurs … Je dois avouer que sa disparation me déroute et m’a sûrement un peu brisé le cœur mais je sais aussi que les hommes comme lui ont toujours une bonne raison pour agir comme ils le font. C’est peut-être parce que je sais ça, que je le connais assez, pour ne pas lui en vouloir. Hyo Jin est un homme d’honneur que la vie a souvent blessé. Il reste pourtant droit et continue d’avancer. Le monde manque d’homme de sa trempe et s’il … s’il a pu faire des erreurs elles … Disons, qu’il aurait mieux valu ne pas le pousser à bout. Il ne donne jamais le premier coup. Pas le Hyo Jin que je connais.» -Témoignage de la femme avec qui il est mariée Cho Su Nah (25 ans)- « Papa, il n’est pas souvent présent. Son travail l’occupe beaucoup, du coup, on reste souvent à la maison avec notre nounou, ou chez les Rhee. Il est toujours fatigue quand il rentre. Il faisait semblant que non, mais moi, je vois bien que si. Pourtant, il trouve encore le temps de nous faire à manger, de jouer avec nous, et même de nous border et de nous lire notre histoire préférée. Jamais il ne s’énerve avec nous. Il est patient, même quand on fait un bêtise. Ce qui n’est pas le cas avec tout le monde. Je l’ai déjà vu hurler sur des hommes qui viennent parfois le voir la nuit et qui ne font pas bien leur boulot. Papa est juste notre papa qu’on aime très fort. » -Témoignage de sa fille adoptive Kim Dambi (9 ans)- « Hyun Ki ? Il est assez inaccessible comme mec. J’ai eu la chance de le rencontrer lors d’une soirée. Il disait être de service à son boulot. J’ai cru qu’il était flic ou une connerie du genre. Ca me faisait pas pour autant peur. Il avait cet air arrogant marqué sur son visage qui le rendait attirant. Il était diffèrent des autres hommes. Il n’essayant pas de me mettre la main au cul ou quoi que ce soit d’autres d’ailleurs. C’est avec insistance qu’il a fini par céder. Ce fut rapide, mais intense. Il a l’air sage le bougre comme cela, mais il a un tempérament fougueux. Il aime clairement être le dominant. C’est excitant le temps d’une nuit, mais il ne doit pas être facile à vivre tous les jours si vous voulez mon avis. » -Témoignage d'une aventure d'une nuit (23 ans)- « Je connais ce gamin depuis à peine un an … peut-être même un peu moins ! J’ai rarement vu une montée aussi fulgurante au sein de notre communauté. Il n’est pas très haut dans la hiérarchie, mais il a réussi à mettre le fils du chef dans sa poche. Ces deux-là sont comme les deux doigts de la main, pour ne pas dire insérable. Hyun Ki est sorti de nulle part un beau jour, et à fait son nid, pénard. Même si je reste méfiant envers lui, la loyauté par ici, on respecte. Et j’ai rarement vu quelqu’un d’aussi fidèle… a moins qu’il joue un double jeu… ce serait un véritable conard de manipulateur. Même si il nous cache certaines choses, le Hyun Ki que je connais est sincère. Ca j’en suis certain. Nous sommes deux-trois à s’être mis à son service, déduit par son aura de leader. Et quand il joue les leaders, faites-moi confiance, vous n’avez pas intérêt à faire un pas de travers, sinon, le gamin, il lance sa foudre sans un regard en arrière… un sacré tempérament le petit gars… » -Témoignage d'un de ses sbires de la mafia chinois (35 ans)- « Le docteur Nam ?... c’est un véritable petit ange. J’ai rarement vu un patient si compréhensif et patient. Vous savez, à mon âge, on entend plus très bien. Il prend pourtant la peine de répéter plus d’une fois s’il le faut, sans s’énerver. Il simplifie même les mots pour que je comprenne bien en quoi consiste l’opération que je dois subir. Vous savez, si ca ne tenait qu’à moi, je n’aurais rien fait, mais il a réussi à me persuader au plus grand soulagement de mes enfants. Il est fabuleux … » -Témoignage d'une de ses patientes (72 ans)- |
This is my story
citation de ton choix
Je suis né dans une famille heureuse, enfin je suppose qu’elle a dû l’être à un moment où un autre pour décider de concevoir un gosse. Mon père était un ancien militaire reconverti dans les finances et ma mère, une bijoutière. Quoi qu’il ait bien pu se passer, mes parents décidèrent de divorcer quand j’avais l’âge de 3 ans. Je grandis auprès de mon père, bien que je voie ma mère de temps à autre, lors d’un weekend ou pendant les vacances scolaires. J’étais jeune, mais j’avais plutôt bien vécu leur séparation. J’avais autant d’affection pour l’un que pour l’autre, peut être un chouia en plus pour ma mère.
Tout allait bien jusqu’à ce que mon père adopte ma cousine. Elle avait 5 ans et moi 6, à l’époque. Je ne sais pourquoi, d’un coup, mon père s’est mis à s’occuper d’elle. Pas comme un père le ferait pour son enfant, il n’était pas avec moi comme il était avec elle. Il lui faisait mener la vie dure, lui parlait comme à un chien, lui apprenant à se battre et à manier les armes dès son plus jeune âge. N’ayant connu que le machisme de mon père, je cru qu’il était normal de parler ainsi aux femmes. C’était donc de la même manière qu’il le faisait que je la malmenais. Elle n’était donc pas aussi bien traitée que moi, mais mon père passait tout son temps avec elle, à l’entrainer. Et moi ? Je me sentais délaissé. C’était pour cela qu’un jour, je lui avais demandé s’il ne pouvait pas m’apprendre les arts martiaux et le maniement des armes à moi aussi. Il m’avait répondu d’un non catégorique avant de me faire promettre de ne plus lui reparler de cela et de me renvoyer dans ma chambre. Depuis ce jour, je m’entraine seul et en secret dans l’unique but d’attirer les louanges de mon père. Bon, je ne suis pas le meilleur des combattants, mais je sais tenir la cadence. Sans doute que si je défiais Hans, elle aurait facilement le dessus sur moi. Elle a eu de meilleurs professeurs que moi après tout. Cependant, je me révélais un excellent tireur et ça, avec n’importe quelle arme.
J’étais au courant des magouilles dans lesquelles mon père s’embarquait avec ces dites finances, bien que je n’y ai jamais été impliqué. Je ne voulais pas toucher à cet argent sale. Hans n’y avait pas droit ? Je survivrais sans aussi. J’avais commencé par des petits boulots par ci par là le soir après l’école avant de trouver quelque chose de stable.
Quant à ma mère, elle n’était pas d’accord avec tout cela, mais elle n’avait pas son mot à dire. C’est grâce à elle si aujourd’hui, je ne traite pas toutes les femmes comme je l’ai fait avec ma cousine ou ma demi-sœur, comme vous préféré. Il est trop tard pour que je change de comportement vis-à-vis d’elle de toute manière. Ces vieilles habitudes étaient trop profondément ancrées en moi pour ça. Cependant, cela ne m’empêche pas de continuer à penser que les femmes sont le sexe faible. Ma mère était sans doute la seule femme que j’ai réellement aimée et respectée dans ma vie jusqu’à maintenant, même si ce fut trop court. C’était une vraie combattante qui se cachait derrière un sourire jovial et réconfortant. Lors de mon adolescence, il m’arrivait souvent de sortir en douce pour me rendre chez elle ~ mon père ne s’en rendait pas compte trop occuper par ma demi-sœur. Je la retrouvais souvent dans son atelier, à l’arrière de sa bijouterie où elle inventait de nouveaux design de bijoux et où elle m’apprenait aussi tout son savoir, me répétant que j’avais un vrai don pour cela.
Elle m’a longtemps caché qu’elle était atteinte d’un cancer du sein et qu’elle devait subir le traitement de chimio seule. Elle se décidait à me dire la vérité que quand le médecin lui avait annoncé qu’elle était condamnée. Tous les jours, j’ai fait des aller-retour de chez mon père à chez elle. De jour en jour, je la voyais dépérir, petit à petit. Alors que je paniquais de la perdre, elle, elle me souriait. Je passais le plus temps que je pus à ces côtés, la soutenant, ~c’était la seule chose que je pouvais faire~ jusqu’au jour fatidique.
L’entrée à l’université fut parsemée d’embuches. C’était un nouveau départ marqué par mon indépendance. J’avais repris la bijouterie à mon compte, jonglant entre mes études et mon nouveau travail. Les deux étant guidés par une seule et même envie : que le souvenir de ma mère perdure. Les valeurs qu’elle m’avait transmises toujours ancrée dans la peau, je jouais les bons samaritains. C’est ainsi que je la rencontrais, dormant dans la rue. Au départ, je voulais juste l’aider, mais les sentiments étaient vite apparus, laissant mon premier amour naitre. Une idylle court, mais puissants de par ses émotions au point que j’avais cru en faire ma future femme. Trop rapide, j’étais certaine que c’était elle l’élue de mon cœur. Je n’avais jamais ressenti cela pour quelqu’un auparavant. Rien d’aussi fort. Une rapidité qui m’avait couté son amour encore trop fragile. Son cœur n’était pas guéri, il pensait encore à un autre, mais je m’en étais aperçu trop tard. La première fois que je l’avais surpris lors d’un acte adultère, j’avais fermé les yeux, pardonnant son erreur. La discussion était close. Pourtant, le geste se reproduit une deuxième fois… une erreur fatale pour le jeune couple que nous étions. Brisé, je la laissais partir, disparaissant de ma vie, marquant mon âme d’une blessure saisissante…
Ce nouveau départ m’avait laissé son lot de misère, mais aussi de belles rencontres. Il y avait cette jeune femme qui était devenue mon apprentie alors que j’avais été charmé par son petit stand de bijoux fait main. Je m’étais pourtant promis de ne pas prendre d’apprenti, ne pas me submerger de boulot inutile déjà bien présent. Elle est pourtant entrée dans ma vie, travaillant à mes côtés d’abord comme vendeuse, ensuite comme apprentie, pour terminer co-gérante. Avec le temps nous avions même renommé la boutique Su&Jin pour célébrer officiellement notre collaboration professionnelle, mais aussi personnelle. Elle avait réussi à panser les blessures de mon cœur, m’apprenant à nouveau à croire en l’amour. Cependant, encore une fois, je m’étais emballé trop vite. J’avais la manie de penser que amour rimait avec mariage. Je voulais réussi là où mes parents avaient échoués. Néanmoins, mes efforts n’avaient pas été plus glorieux que les leurs. Elle avait dû prendre peur, tout comme la première, car un homme de son passé rodait toujours dans les parages. Le passé finissait toujours par nous rattraper n’est-ce pas ? Je l’avais appris à mes dépends… Je fermais pourtant à nouveau les yeux.
Cette même année, Séoul fut frappé d’un terrible tremblement de terre. Ayant été formé à prodiguer les premiers soins, je m’étais porté volontaire pour aider les survivants. Pour la première fois depuis longtemps, je revis ma cousine, Hansa, qui, en dépit de ce que mes souvenirs me faisaient penser d’elle, aider également les blessés. Ensemble, nous avons sauvé une petite fille des gravas qui avaient perdu ses parents dans ce terrible accident : Dambi. Elle deviendra plus tard ma fille adoptive. C’est ainsi que je renouais avec mon passé moi aussi, réparant mes erreurs envers Hansa. Notre lien s’en était d’ailleurs renforcé, apprenant à nous connaitre doucement, même à s’apprécier. Des retrouvailles de courtes de durée, car je retrouvais la jeune femme étendue sur un brancard aux urgences lors d’un de mes services : mort par balle. Je crois que c’est à partir de ce moment-là que tout se mit à déraper…
Cette petite fille que j’avais aidé, symbole important de ma vie, de la voir seule à l’orphelinat me rendait dingue. Au point que je me servis de la femme que j’aimais pour mettre tout en œuvre pour pouvoir l’accueillir, mettant de côté nos sentiments réciproques, il n’y avait plus que Dambi qui comptait à mes yeux. Je l’épousais, proposant un milieu stable aux services sociaux pour qu’ils acceptent l’adoption. On jouait au couple parfait, alors qu’il n’y avait rien qui allait. Entre temps, j’avais reçu l’appel d’un notaire qui s’occupait du testament de Hansa me révélant qu’elle avait laissé une clef à mon nom. Curieux, je m’y rendis. Il s’avérait que cette clef menait à un coffre dans une banque où reposait un amas de documentation et des notes personnelles qu’elle avait recueillie. La suite était claire. Il fallait que quelqu’un poursuive ce qu’elle avait commencé. Cette vengeance inachevée devait se terminer. Je fermais la bijouterie un soir, prenant Dambi avant moi, et je disparus pendant pendant plus d’un an. Ne donnant aucune nouvelle, aucun signe de vie. Je changeais de nom pour être certain qu’on ne me retrouve pas. Et je fis en sorte de me faire engager en tant que garde du corps auprès de la famille que menait les résultats obtenus par les recherches de ma cousine. Tout conduisait à la famille Rhee. Je me devais de commencer par cela.
Au fil de cette année écoulée, je me liais d’amitié avec cette famille que j’appris à aimer. Il s’est avéré qu’elle n’était en rien pour la suppression des parents de Hansa. Il s’agissait d’une autre branche de cette famille. je partageais mes soupçons avec la matriarche qui me donna un coup de main en échange de mes services. Elle me donnait les informations nécessaires pour entrer dans cette mafia chinoise, et en contrepartie, je jouais les espions. Bien entendu, elle m’offrait la sécurité nécessaire pour protéger ma fille, sans quoi, je ne me serais jamais lancé dans cette aventure. J’étais devenu médecin pour mafieux. Un comble, mais je le supportais. Il y avait cet homme, un jeune père qui s’occupait seul de son fils de trois ans alors que la mère était morte lors d’un braquage de banque qui avait tournée en fusillade générale. Elle était flic. Lui, mafieux. Ce n’était pas un mauvais bougre, je l’aimais bien. Il s’était égaré en chemin, mais il faisait tout pour élever son fils sans accroc. Un soir, il avait débarqué chez moi alors qu’il pissait le sang. Il avait été touché par une balle. Et malgré mes connaissances en médecine, je n’avais pu le sauver. Encore une fois, une personne qui m’était proche s’éteignait sans que je ne puisse rien y faire. Il me fit par ailleurs promettre de prendre soin de son fils comme si c’était le mien. Promesse que je m’avérais à tenir …
Mon état actuel ? Je travaille en tant que chirurgien à l’hôpital de Séoul, mais ce n’est qu’une façade pour cacher mon travail au sein d’une branche de la mafia chinoise sévissant en Corée. Espion pour une des familles, père de deux enfants à protéger, marié à une femme que je n’ai plus vu depuis plus d’un an, je suis à la conquête d’une vengeance inachevée.
Tout allait bien jusqu’à ce que mon père adopte ma cousine. Elle avait 5 ans et moi 6, à l’époque. Je ne sais pourquoi, d’un coup, mon père s’est mis à s’occuper d’elle. Pas comme un père le ferait pour son enfant, il n’était pas avec moi comme il était avec elle. Il lui faisait mener la vie dure, lui parlait comme à un chien, lui apprenant à se battre et à manier les armes dès son plus jeune âge. N’ayant connu que le machisme de mon père, je cru qu’il était normal de parler ainsi aux femmes. C’était donc de la même manière qu’il le faisait que je la malmenais. Elle n’était donc pas aussi bien traitée que moi, mais mon père passait tout son temps avec elle, à l’entrainer. Et moi ? Je me sentais délaissé. C’était pour cela qu’un jour, je lui avais demandé s’il ne pouvait pas m’apprendre les arts martiaux et le maniement des armes à moi aussi. Il m’avait répondu d’un non catégorique avant de me faire promettre de ne plus lui reparler de cela et de me renvoyer dans ma chambre. Depuis ce jour, je m’entraine seul et en secret dans l’unique but d’attirer les louanges de mon père. Bon, je ne suis pas le meilleur des combattants, mais je sais tenir la cadence. Sans doute que si je défiais Hans, elle aurait facilement le dessus sur moi. Elle a eu de meilleurs professeurs que moi après tout. Cependant, je me révélais un excellent tireur et ça, avec n’importe quelle arme.
J’étais au courant des magouilles dans lesquelles mon père s’embarquait avec ces dites finances, bien que je n’y ai jamais été impliqué. Je ne voulais pas toucher à cet argent sale. Hans n’y avait pas droit ? Je survivrais sans aussi. J’avais commencé par des petits boulots par ci par là le soir après l’école avant de trouver quelque chose de stable.
Quant à ma mère, elle n’était pas d’accord avec tout cela, mais elle n’avait pas son mot à dire. C’est grâce à elle si aujourd’hui, je ne traite pas toutes les femmes comme je l’ai fait avec ma cousine ou ma demi-sœur, comme vous préféré. Il est trop tard pour que je change de comportement vis-à-vis d’elle de toute manière. Ces vieilles habitudes étaient trop profondément ancrées en moi pour ça. Cependant, cela ne m’empêche pas de continuer à penser que les femmes sont le sexe faible. Ma mère était sans doute la seule femme que j’ai réellement aimée et respectée dans ma vie jusqu’à maintenant, même si ce fut trop court. C’était une vraie combattante qui se cachait derrière un sourire jovial et réconfortant. Lors de mon adolescence, il m’arrivait souvent de sortir en douce pour me rendre chez elle ~ mon père ne s’en rendait pas compte trop occuper par ma demi-sœur. Je la retrouvais souvent dans son atelier, à l’arrière de sa bijouterie où elle inventait de nouveaux design de bijoux et où elle m’apprenait aussi tout son savoir, me répétant que j’avais un vrai don pour cela.
Elle m’a longtemps caché qu’elle était atteinte d’un cancer du sein et qu’elle devait subir le traitement de chimio seule. Elle se décidait à me dire la vérité que quand le médecin lui avait annoncé qu’elle était condamnée. Tous les jours, j’ai fait des aller-retour de chez mon père à chez elle. De jour en jour, je la voyais dépérir, petit à petit. Alors que je paniquais de la perdre, elle, elle me souriait. Je passais le plus temps que je pus à ces côtés, la soutenant, ~c’était la seule chose que je pouvais faire~ jusqu’au jour fatidique.
L’entrée à l’université fut parsemée d’embuches. C’était un nouveau départ marqué par mon indépendance. J’avais repris la bijouterie à mon compte, jonglant entre mes études et mon nouveau travail. Les deux étant guidés par une seule et même envie : que le souvenir de ma mère perdure. Les valeurs qu’elle m’avait transmises toujours ancrée dans la peau, je jouais les bons samaritains. C’est ainsi que je la rencontrais, dormant dans la rue. Au départ, je voulais juste l’aider, mais les sentiments étaient vite apparus, laissant mon premier amour naitre. Une idylle court, mais puissants de par ses émotions au point que j’avais cru en faire ma future femme. Trop rapide, j’étais certaine que c’était elle l’élue de mon cœur. Je n’avais jamais ressenti cela pour quelqu’un auparavant. Rien d’aussi fort. Une rapidité qui m’avait couté son amour encore trop fragile. Son cœur n’était pas guéri, il pensait encore à un autre, mais je m’en étais aperçu trop tard. La première fois que je l’avais surpris lors d’un acte adultère, j’avais fermé les yeux, pardonnant son erreur. La discussion était close. Pourtant, le geste se reproduit une deuxième fois… une erreur fatale pour le jeune couple que nous étions. Brisé, je la laissais partir, disparaissant de ma vie, marquant mon âme d’une blessure saisissante…
Ce nouveau départ m’avait laissé son lot de misère, mais aussi de belles rencontres. Il y avait cette jeune femme qui était devenue mon apprentie alors que j’avais été charmé par son petit stand de bijoux fait main. Je m’étais pourtant promis de ne pas prendre d’apprenti, ne pas me submerger de boulot inutile déjà bien présent. Elle est pourtant entrée dans ma vie, travaillant à mes côtés d’abord comme vendeuse, ensuite comme apprentie, pour terminer co-gérante. Avec le temps nous avions même renommé la boutique Su&Jin pour célébrer officiellement notre collaboration professionnelle, mais aussi personnelle. Elle avait réussi à panser les blessures de mon cœur, m’apprenant à nouveau à croire en l’amour. Cependant, encore une fois, je m’étais emballé trop vite. J’avais la manie de penser que amour rimait avec mariage. Je voulais réussi là où mes parents avaient échoués. Néanmoins, mes efforts n’avaient pas été plus glorieux que les leurs. Elle avait dû prendre peur, tout comme la première, car un homme de son passé rodait toujours dans les parages. Le passé finissait toujours par nous rattraper n’est-ce pas ? Je l’avais appris à mes dépends… Je fermais pourtant à nouveau les yeux.
Cette même année, Séoul fut frappé d’un terrible tremblement de terre. Ayant été formé à prodiguer les premiers soins, je m’étais porté volontaire pour aider les survivants. Pour la première fois depuis longtemps, je revis ma cousine, Hansa, qui, en dépit de ce que mes souvenirs me faisaient penser d’elle, aider également les blessés. Ensemble, nous avons sauvé une petite fille des gravas qui avaient perdu ses parents dans ce terrible accident : Dambi. Elle deviendra plus tard ma fille adoptive. C’est ainsi que je renouais avec mon passé moi aussi, réparant mes erreurs envers Hansa. Notre lien s’en était d’ailleurs renforcé, apprenant à nous connaitre doucement, même à s’apprécier. Des retrouvailles de courtes de durée, car je retrouvais la jeune femme étendue sur un brancard aux urgences lors d’un de mes services : mort par balle. Je crois que c’est à partir de ce moment-là que tout se mit à déraper…
Cette petite fille que j’avais aidé, symbole important de ma vie, de la voir seule à l’orphelinat me rendait dingue. Au point que je me servis de la femme que j’aimais pour mettre tout en œuvre pour pouvoir l’accueillir, mettant de côté nos sentiments réciproques, il n’y avait plus que Dambi qui comptait à mes yeux. Je l’épousais, proposant un milieu stable aux services sociaux pour qu’ils acceptent l’adoption. On jouait au couple parfait, alors qu’il n’y avait rien qui allait. Entre temps, j’avais reçu l’appel d’un notaire qui s’occupait du testament de Hansa me révélant qu’elle avait laissé une clef à mon nom. Curieux, je m’y rendis. Il s’avérait que cette clef menait à un coffre dans une banque où reposait un amas de documentation et des notes personnelles qu’elle avait recueillie. La suite était claire. Il fallait que quelqu’un poursuive ce qu’elle avait commencé. Cette vengeance inachevée devait se terminer. Je fermais la bijouterie un soir, prenant Dambi avant moi, et je disparus pendant pendant plus d’un an. Ne donnant aucune nouvelle, aucun signe de vie. Je changeais de nom pour être certain qu’on ne me retrouve pas. Et je fis en sorte de me faire engager en tant que garde du corps auprès de la famille que menait les résultats obtenus par les recherches de ma cousine. Tout conduisait à la famille Rhee. Je me devais de commencer par cela.
Au fil de cette année écoulée, je me liais d’amitié avec cette famille que j’appris à aimer. Il s’est avéré qu’elle n’était en rien pour la suppression des parents de Hansa. Il s’agissait d’une autre branche de cette famille. je partageais mes soupçons avec la matriarche qui me donna un coup de main en échange de mes services. Elle me donnait les informations nécessaires pour entrer dans cette mafia chinoise, et en contrepartie, je jouais les espions. Bien entendu, elle m’offrait la sécurité nécessaire pour protéger ma fille, sans quoi, je ne me serais jamais lancé dans cette aventure. J’étais devenu médecin pour mafieux. Un comble, mais je le supportais. Il y avait cet homme, un jeune père qui s’occupait seul de son fils de trois ans alors que la mère était morte lors d’un braquage de banque qui avait tournée en fusillade générale. Elle était flic. Lui, mafieux. Ce n’était pas un mauvais bougre, je l’aimais bien. Il s’était égaré en chemin, mais il faisait tout pour élever son fils sans accroc. Un soir, il avait débarqué chez moi alors qu’il pissait le sang. Il avait été touché par une balle. Et malgré mes connaissances en médecine, je n’avais pu le sauver. Encore une fois, une personne qui m’était proche s’éteignait sans que je ne puisse rien y faire. Il me fit par ailleurs promettre de prendre soin de son fils comme si c’était le mien. Promesse que je m’avérais à tenir …
Mon état actuel ? Je travaille en tant que chirurgien à l’hôpital de Séoul, mais ce n’est qu’une façade pour cacher mon travail au sein d’une branche de la mafia chinoise sévissant en Corée. Espion pour une des familles, père de deux enfants à protéger, marié à une femme que je n’ai plus vu depuis plus d’un an, je suis à la conquête d’une vengeance inachevée.
About me
Je suis...
Inu
Je suis obligé d'encore me présenter ? le dc est autorisé par ma bae mallau
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u1275][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>LEE MIN HO (ACTEUR)</upper></taken> ✎ <lower>nam hyun ki</lower>
PV pris
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://URLDELAFICHEPV]▼[/url] <taken><upper>NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE)</upper></taken> ✎ <lower>pseudo membre</lower>
Supprimez le code inutile
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Re: Nam Hyun Ki - come back home | Mar 25 Juil - 19:43 Citer EditerSupprimer
ON M'A VOLE LA SECONDE PLACE .
il est canon le bff .
rebienvenue .
il est canon le bff .
rebienvenue .
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Re: Nam Hyun Ki - come back home | Mar 25 Juil - 19:45 Citer EditerSupprimer
Ouuuuuh qu'elle est contente la Inu !!!
J'peux vous dire qu'elle me comptait les rps qui lui restaient pr le faire enfin hihi
Son bébé est de retouuuuur ! Profite bien de lui
J'peux vous dire qu'elle me comptait les rps qui lui restaient pr le faire enfin hihi
Son bébé est de retouuuuur ! Profite bien de lui
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Re: Nam Hyun Ki - come back home | Mar 25 Juil - 19:48 Citer EditerSupprimer
Rebienvenue petite boulimique
Bon courage pour ta fiche
Bon courage pour ta fiche
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Re: Nam Hyun Ki - come back home | Mar 25 Juil - 19:55 Citer EditerSupprimer
yooo
rebienvenue éclate toi bien avec ce nouveau perso
fighting! :bib:
rebienvenue éclate toi bien avec ce nouveau perso
fighting! :bib:
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Re: Nam Hyun Ki - come back home | Mar 25 Juil - 20:00 Citer EditerSupprimer
salut
on se connait jcrois
rebienvenue bon courage pour ta fiche
on se connait jcrois
rebienvenue bon courage pour ta fiche
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Re: Nam Hyun Ki - come back home | Mar 25 Juil - 20:34 Citer EditerSupprimer
Ce retour de fou
Rebienvenue avec ton bb q ui t'as fait craquer haha
Le retour de l'enfant prodige
Rebienvenue avec ton bb q ui t'as fait craquer haha
Le retour de l'enfant prodige
Invité
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Re: Nam Hyun Ki - come back home | Mar 25 Juil - 21:44 Citer EditerSupprimer
INUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU
AVEC LEE MIN HO JPP
TU SAIS QUE T ES SEXY ?
ON VA SE CALMER LA
AVEC LEE MIN HO JPP
TU SAIS QUE T ES SEXY ?
ON VA SE CALMER LA
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