Dirty Work ft Saeyeon
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Dirty Work ft Saeyeon | Jeu 27 Juil - 15:28 Citer EditerSupprimer
" L'avare est comme ces amants qu'un excès d'amour empêche de jouir." Les pire clients n'étaient guère les plus jeunes, bien au contraire. Il s'agissait d'hommes expérimentés, mâture et d'un certain âge; des hommes dont les femmes avaient finis par ennuyer, l'âge ayant diminué la libido ou n'étant tout simplement non-disposé à satisfaire leurs fantasmes les plus tordus. C'était ces hommes aux apparences mondaines et décentes qui représentaient les clients les plus difficile à " La Fleur Blanche ". Avarice et gourmandise, deux pêchés autant complémentaire que contradictoire. Clients à la recherche de jeunes demoiselles capable de satisfaire leur appétit et flatter leur égo. mais cela ne suffisait jamais, soit les filles n'acceptaient guère de réaliser les fantasmes morbides de ces clients, soit elles n'étaient pas à leur goût ou plutôt plus à leur goût. les clients étaint demandeur de nouveautés, ils désiraient de la chair fraîche, de nouvelles petites servantes, plus dociles. Certains désiraient des demoiselles à l'apparence enfantine, d'autres recherchaient aux contraire des femmes qui sachent les dominer. Diverses fantaisies, divers fantasmes que le jeune homme tentait de satisfaire. Mais les femmes disposées à vendre leur corps et leur services n'étaient pas choses courantes, et il devenait difficile pour Yohan de trouver des employées sans risquer de mettre en péril son petit business.
Assis nonchalamment sur l'un des canapés du bar, il observe les clients, pour la plupart des jeunes étudiants. Au fond il se demandait ce que cela faisait d'être jeune et con, de dépendre de ses parents, aucune responsabilité, jeunesse insouciante et frivole. Il ne regrettait en rien sa vie, le moindre que l'on puisse dire c'est qu'il en profitait à deux cent pourcent, mais il y avait toujours ce petit grain de curiosité. et si... samedi soir, soirée chargée, toutes les filles étaient d'hors et déjà occupées à servir leur client, et étaient déjà réservées pour la prochaine session. il fallait l'avouer, dix filles ce n'était clairement plus assez pour satisfaire les clients de la digital city. s'emparant de son verre de bourbon, il le porte à ses lèvres, penseur. il lui fallait trouver un moyen d'attirer plus de jeunes femmes, augmentation salariale ou aménagement. il s'assurait d'hors et déjà de leur sécurité physique et mentale mais parfois l'appel de l'argent n'était pa suffisament fort, pas au point de s'abaisser au rang d'objets. peut-être se tourner vers les hommes, certains clients en très étaient demandeurs, une chance d'agrandir l'offre et de diminuer le travail de ces deux hommes. il inspire profondément, son regard perdu finissant par se poser sur une douce silhouette faminilière. saeyeon.
Quel plaisir de voir cette demoiselle au sein de son bar, une demoiselle caractérielle qu'il connaissait maintenant depuis plusieurs années. Relation de mafia en mafia, membre d'un clan relativement proche de celui auquel il appartenait. ils s'était côtoyé lors d'affaires, de trafic mais aussi lors de repas avec son père adoptif et celui de la demoiselle. ils partageait le même milieu, les mêmes emmerdes et cela faisait déjà un moment qu'il s'était mis en tête de la faire bosser pour lui. Saeyeon était une magnifique jeune femme aux traits mâtures qui saurait sans aucun doute satisfaire les quelques clients difficiles du jeune homme. Peut-être y prendrait-elle même son pied. " Saeyeon. " l'interpelle t-il, sourire aux lèvres, levant sa main droite pour lui faire signe. le business man faisait son apparition, soudainement optimiste. " Quel plaisir de te voir à la fleur blanche, qu'est-ce qui t'amène par ici? et je t'en prie prend place c'est la maison qui offre. " il se relève de sorte à lui intimer de s'asseoir tout en servant un verre de bourbon à la demoiselle, pas sûr qu'elle apprécie l'élixir, il suffirait juste de réclamer un cocktail au barman si jamais cela ne satisfaisait guère le palais de sa partenaire. " tu es très embellie ce soir dis-moi. tu es venu avec un jeune homme ou tu es là pour le business. " Toujours s'intéresser à son interlocuteur en premier lieu, ne pas dévoiler toutes ses cartes, écouter, observer, analyser pour mieux abattre ses cartes. Saeyeon en valait la chandelle, prendre le temps de la convaincre n'était donc pas une perte de temps aux yeux du jeune asiatique.
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Dirty work
ft. saeyeon
" L'avare est comme ces amants qu'un excès d'amour empêche de jouir." Les pire clients n'étaient guère les plus jeunes, bien au contraire. Il s'agissait d'hommes expérimentés, mâture et d'un certain âge; des hommes dont les femmes avaient finis par ennuyer, l'âge ayant diminué la libido ou n'étant tout simplement non-disposé à satisfaire leurs fantasmes les plus tordus. C'était ces hommes aux apparences mondaines et décentes qui représentaient les clients les plus difficile à " La Fleur Blanche ". Avarice et gourmandise, deux pêchés autant complémentaire que contradictoire. Clients à la recherche de jeunes demoiselles capable de satisfaire leur appétit et flatter leur égo. mais cela ne suffisait jamais, soit les filles n'acceptaient guère de réaliser les fantasmes morbides de ces clients, soit elles n'étaient pas à leur goût ou plutôt plus à leur goût. les clients étaint demandeur de nouveautés, ils désiraient de la chair fraîche, de nouvelles petites servantes, plus dociles. Certains désiraient des demoiselles à l'apparence enfantine, d'autres recherchaient aux contraire des femmes qui sachent les dominer. Diverses fantaisies, divers fantasmes que le jeune homme tentait de satisfaire. Mais les femmes disposées à vendre leur corps et leur services n'étaient pas choses courantes, et il devenait difficile pour Yohan de trouver des employées sans risquer de mettre en péril son petit business.
Assis nonchalamment sur l'un des canapés du bar, il observe les clients, pour la plupart des jeunes étudiants. Au fond il se demandait ce que cela faisait d'être jeune et con, de dépendre de ses parents, aucune responsabilité, jeunesse insouciante et frivole. Il ne regrettait en rien sa vie, le moindre que l'on puisse dire c'est qu'il en profitait à deux cent pourcent, mais il y avait toujours ce petit grain de curiosité. et si... samedi soir, soirée chargée, toutes les filles étaient d'hors et déjà occupées à servir leur client, et étaient déjà réservées pour la prochaine session. il fallait l'avouer, dix filles ce n'était clairement plus assez pour satisfaire les clients de la digital city. s'emparant de son verre de bourbon, il le porte à ses lèvres, penseur. il lui fallait trouver un moyen d'attirer plus de jeunes femmes, augmentation salariale ou aménagement. il s'assurait d'hors et déjà de leur sécurité physique et mentale mais parfois l'appel de l'argent n'était pa suffisament fort, pas au point de s'abaisser au rang d'objets. peut-être se tourner vers les hommes, certains clients en très étaient demandeurs, une chance d'agrandir l'offre et de diminuer le travail de ces deux hommes. il inspire profondément, son regard perdu finissant par se poser sur une douce silhouette faminilière. saeyeon.
Quel plaisir de voir cette demoiselle au sein de son bar, une demoiselle caractérielle qu'il connaissait maintenant depuis plusieurs années. Relation de mafia en mafia, membre d'un clan relativement proche de celui auquel il appartenait. ils s'était côtoyé lors d'affaires, de trafic mais aussi lors de repas avec son père adoptif et celui de la demoiselle. ils partageait le même milieu, les mêmes emmerdes et cela faisait déjà un moment qu'il s'était mis en tête de la faire bosser pour lui. Saeyeon était une magnifique jeune femme aux traits mâtures qui saurait sans aucun doute satisfaire les quelques clients difficiles du jeune homme. Peut-être y prendrait-elle même son pied. " Saeyeon. " l'interpelle t-il, sourire aux lèvres, levant sa main droite pour lui faire signe. le business man faisait son apparition, soudainement optimiste. " Quel plaisir de te voir à la fleur blanche, qu'est-ce qui t'amène par ici? et je t'en prie prend place c'est la maison qui offre. " il se relève de sorte à lui intimer de s'asseoir tout en servant un verre de bourbon à la demoiselle, pas sûr qu'elle apprécie l'élixir, il suffirait juste de réclamer un cocktail au barman si jamais cela ne satisfaisait guère le palais de sa partenaire. " tu es très embellie ce soir dis-moi. tu es venu avec un jeune homme ou tu es là pour le business. " Toujours s'intéresser à son interlocuteur en premier lieu, ne pas dévoiler toutes ses cartes, écouter, observer, analyser pour mieux abattre ses cartes. Saeyeon en valait la chandelle, prendre le temps de la convaincre n'était donc pas une perte de temps aux yeux du jeune asiatique.
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Re: Dirty Work ft Saeyeon | Ven 1 Sep - 14:42 Citer EditerSupprimer
Perchée sur une chaise haute, accoudée à un bar et sirotant un cocktail dont les effluves fruitées caressaient mes narines sans pour autant m'enivrer, je soupirais. Soufflant un air chaud et las, fatiguée d'être sur le pied de guerre, d'attendre que mon père, ce fier guerrier, ce fin négociateur ait terminé de discuter avec les gorilles d'une organisation avec laquelle il tentait de se lier depuis quelques temps. À quoi est-ce que je servais ? Si je répondais que je n'en avais aucune idée, me croiriez-vous ? Je n'étais que l'appât, la vitrine d'un cartel d'escroc qui enflait à mesure que les bafoués et les désespérés rejoignaient les rangs. D'un calme implacable, je rechignais pourtant à tourner le regard vers ces filles qui se déhanchaient au rythme d'une musique lancinante. Je percevais néanmoins l'aura qu'elles dégageaient, ces travailleuses de la nuit. Glissant leurs doigts manucurés sur les torses déjà bouillant, susurrant quelques paroles au creux des oreilles déjà bourdonnante, taquinant d'un toucher accidentel les virilités dressées de ces messieurs aux pensées voluptés. Elles étaient belles dans leurs bustiers de soie, perchées sur des talons vertigineux pour allonger des jambes galbées aux muscles travaillés. Elles resplendissaient et pourtant, à maintes reprise on m'avait proposé de faire partie de ce groupe soudé, d'offrir plus qu'une simple accolade en guise de remerciement, mais elles avaient beau être belles, je n'étais pas comme elles. Si mon passé était marqué par la douleur et le désir de vengeance, si mon futur promettais de mettre un point sur une carrière de criminelle, je refusais que mon présent sois empreint de cette volonté d'autodestruction inconsciente qui me consumait. Je glissais les doigts dans ma pochette pour en retirer mon téléphone et d'une pression, je vis s'afficher l'heure tardive. Le soupire m'échappa alors que j'envisageais de retourner dans ma modeste chambre d'étudiante, et d'un geste, je quittais ma chaise pour mettre à exécution mes projets. Rien ne me ressemblait dans ce lieu de la débauche, et hormis mon père, ce héro pour lequel j'avais accepté de devenir démon, rien ne pourrait m'empêcher de partir. Mais j'avais mal jugé mon ennemi. Il prononça mon nom d'une voix suave et rauque, un appel loin de ressembler au chant d'une sirène. Loin de m'attirer, il ne me permettait pas non plus de passer la tête haute. « Yo Han... » répondis-je. Un salut courtois mais que je voulais sans appel mais il en fallait plus au patron de ces dames pour me laisser filer alors que je me jetais dans la gueule du loup en me montrant dans un bâtiment qui lui appartenait. À contrecœur, je le rejoignis. Que pouvais-je faire de plus ? Mon père vaquait à ses affaires et le propriétaire des lieux dans lesquelles se déroulait la réunion semblait me vouloir à son côté. Une poupée qu'il se plait à exhiber. « Comment vas-tu ? » Une question teintée d'hypocrisie plus que de courtoisie. « Embellie ? As-tu seulement jeté un regard à tes employées ? Elles resplendissent ! » raillai-je. La flatterie ne mène nulle part disait-on ? Mais les compliments soufflés par une bouche bien dessinée résonnaient toujours comme des louanges. « Je te laisse deviner, mais tu sais aussi bien que moi que la compagnie masculine n'est pas ce qui m'attire habituellement ! » Je jouais et abusais de séduction, de paroles douces aux accents sucrés, juste pour pouvoir m'échapper plus rapidement. « La maison qui offre dis-tu ? » Le barman déposa un cocktail au parfum acre devant moi alors que je m'asseyais à côté de mon recruteur favori, mais si je ne refusais pas un verre, le bourbon était un alcool qui me rebutait. « Yo Han... » D'un claquement de langue, je lui signifiais mon mécontentement. « Tu ne connais pas mes goûts depuis tout ce temps ? Ou ton bar n'a plus de bières en réserves ? » Je savais très bien où il voulait en venir, et j’attendais, patiemment que l’homme d’affaire tente une nouvelle fois une proposition foireuse que je me ferais un plaisir de décliner.
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ft. yohan
Perchée sur une chaise haute, accoudée à un bar et sirotant un cocktail dont les effluves fruitées caressaient mes narines sans pour autant m'enivrer, je soupirais. Soufflant un air chaud et las, fatiguée d'être sur le pied de guerre, d'attendre que mon père, ce fier guerrier, ce fin négociateur ait terminé de discuter avec les gorilles d'une organisation avec laquelle il tentait de se lier depuis quelques temps. À quoi est-ce que je servais ? Si je répondais que je n'en avais aucune idée, me croiriez-vous ? Je n'étais que l'appât, la vitrine d'un cartel d'escroc qui enflait à mesure que les bafoués et les désespérés rejoignaient les rangs. D'un calme implacable, je rechignais pourtant à tourner le regard vers ces filles qui se déhanchaient au rythme d'une musique lancinante. Je percevais néanmoins l'aura qu'elles dégageaient, ces travailleuses de la nuit. Glissant leurs doigts manucurés sur les torses déjà bouillant, susurrant quelques paroles au creux des oreilles déjà bourdonnante, taquinant d'un toucher accidentel les virilités dressées de ces messieurs aux pensées voluptés. Elles étaient belles dans leurs bustiers de soie, perchées sur des talons vertigineux pour allonger des jambes galbées aux muscles travaillés. Elles resplendissaient et pourtant, à maintes reprise on m'avait proposé de faire partie de ce groupe soudé, d'offrir plus qu'une simple accolade en guise de remerciement, mais elles avaient beau être belles, je n'étais pas comme elles. Si mon passé était marqué par la douleur et le désir de vengeance, si mon futur promettais de mettre un point sur une carrière de criminelle, je refusais que mon présent sois empreint de cette volonté d'autodestruction inconsciente qui me consumait. Je glissais les doigts dans ma pochette pour en retirer mon téléphone et d'une pression, je vis s'afficher l'heure tardive. Le soupire m'échappa alors que j'envisageais de retourner dans ma modeste chambre d'étudiante, et d'un geste, je quittais ma chaise pour mettre à exécution mes projets. Rien ne me ressemblait dans ce lieu de la débauche, et hormis mon père, ce héro pour lequel j'avais accepté de devenir démon, rien ne pourrait m'empêcher de partir. Mais j'avais mal jugé mon ennemi. Il prononça mon nom d'une voix suave et rauque, un appel loin de ressembler au chant d'une sirène. Loin de m'attirer, il ne me permettait pas non plus de passer la tête haute. « Yo Han... » répondis-je. Un salut courtois mais que je voulais sans appel mais il en fallait plus au patron de ces dames pour me laisser filer alors que je me jetais dans la gueule du loup en me montrant dans un bâtiment qui lui appartenait. À contrecœur, je le rejoignis. Que pouvais-je faire de plus ? Mon père vaquait à ses affaires et le propriétaire des lieux dans lesquelles se déroulait la réunion semblait me vouloir à son côté. Une poupée qu'il se plait à exhiber. « Comment vas-tu ? » Une question teintée d'hypocrisie plus que de courtoisie. « Embellie ? As-tu seulement jeté un regard à tes employées ? Elles resplendissent ! » raillai-je. La flatterie ne mène nulle part disait-on ? Mais les compliments soufflés par une bouche bien dessinée résonnaient toujours comme des louanges. « Je te laisse deviner, mais tu sais aussi bien que moi que la compagnie masculine n'est pas ce qui m'attire habituellement ! » Je jouais et abusais de séduction, de paroles douces aux accents sucrés, juste pour pouvoir m'échapper plus rapidement. « La maison qui offre dis-tu ? » Le barman déposa un cocktail au parfum acre devant moi alors que je m'asseyais à côté de mon recruteur favori, mais si je ne refusais pas un verre, le bourbon était un alcool qui me rebutait. « Yo Han... » D'un claquement de langue, je lui signifiais mon mécontentement. « Tu ne connais pas mes goûts depuis tout ce temps ? Ou ton bar n'a plus de bières en réserves ? » Je savais très bien où il voulait en venir, et j’attendais, patiemment que l’homme d’affaire tente une nouvelle fois une proposition foireuse que je me ferais un plaisir de décliner.
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Re: Dirty Work ft Saeyeon | Mer 25 Oct - 16:49 Citer EditerSupprimer
les soirées se succédaient les unes après les autres, similaires voir identiques et quand bien même le jeune homme aimait cette vie nocture emplie d'aventures et de rebondissements, il devait l'avouer, la routine qui s'installait n'était guère quelque chose qu'il appréciait. les filles se montraient professionnelles, il n'avait pas à se plaindre de ce côté là, il était d'ailleurs rare qu'il ai à leur remonter les bretelles. il faut dire qu'il ne les traitait guère comme de vulgaires objects,même si, d'un point de vue extérieur c'est ce que les activistes pensaient. la vie qu'il leur donnait était sans aucun doute meilleure que dans les bordels du sud de la ville. aucun service rendu en dehors de son établissement, les demoiselles avaient le droit de stopper à n'importe quel moment si le client se révélait violent ou avait des penchants indésirables. Ajouté à cela les soins médicaux, les protections fournis et le confort des lieux. Non, sincérement il n'avait rien à se reprocher, il ne prenait même pas la peine de 'tester la marchandise' tel que le faisait généralement les proxénètes. Yohan n'était qu'un patron, elles travaillaient pour lui et il les payait, aucun bonus aditionnel qui se révélerait indésirable pour les jeunes demoiselles. Et c'était justement ce genre de surprise qui savait égayer ses soirées; des rencontres innatendues et donc délectables. il était légérement têtus dans son genre et cela était relativement masochiste d'oser vouloir impliquer la fille d'un homme si puissant dans son réseaux de prostitution; mais en soit il n'exigeait pas à tout prix qu'elle vende son corps, simplement qu'elle aguiche, qu'elle fasse en sorte que ces hommes aux faibles moeurs dépensent un maximum au sein de son bar, que ce soit dans les boissons ou dans les autres filles. un appât en quelque sorte, une associé en d'autres termes. sourire en coin, il savoure l'expression qui se dessine sur le visage de la jeune femme, l'hypocrisie était coutume courant dans le milieu, inutile d'être aveugle pour comprendre qu'elle aurait préféré ne pas avoir à le croiser. et il trouvait cela divertissant, tel une souris tentant de s'enfuir des griffes d'un gros vilain matou.
" elles le sont en effet. Femmes heureuses femmes resplendissantes. " Prononce t'il de sa voix grave jetant un coup d'oeil à ses filles minutieusement occupées avec des clients de son établissement. on pouvait presque diceler un étincelle de fierté traverser son regard. " serais-tu en train de faire un coming out ? je ne me souviens guère que la belle saeyeon préfère les femmes; mais si c'est réellement le cas je me ferais un plaisir de te présenter certaines de nos filles. " il lui lance un léger regard taquin avant de ne porter son verre de bourbon à ses lèvres en dégustant une grande gorgée et ce tout en observant la demoiselle. " mmh si la bière te semble mieux pas de soucis par contre tu feras gaffe, tu sais ce qu'on dit de la bière. " il lâche un léger rire moqueur en pointant le ventre (pour l'instant inexistant) de la demoiselle. " apportes nous une bière pression s'il te plait " se contente t'il de formuler au serveur avant de ne faire signe à la demoiselle de prendre place. " ne me dis pas que tu es déjà pressé de me quitter, cela risquerait de m'offusquer saeyeon. " il fait tourbillonner le liquide brûnatre dans son verre, son regard narquois posé sur la jeune femme. " je suis décidément curieux. si tu n'es pas venus pour t'amuser ni même pour me rendre visite pourquoi es-tu là ? un rendez-vous ? ton père est aussi ici ? ou tu es venus pour jeter un coup d'oeil à mon business pour ensuite pouvoir en faire un compte rendus à tes supérieurs ? mmh ? " il arque un sourcil, mordillant sa lèvres inférieure tout en l'observant. Songe aux prédateurs. Les plus efficaces ne sont pas nécessairement ceux qui se jettent sur leur proie pour la capturer de force. Ils la traquent, l’appâtent et parfois la séduisent.
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ft. saeyeon
les soirées se succédaient les unes après les autres, similaires voir identiques et quand bien même le jeune homme aimait cette vie nocture emplie d'aventures et de rebondissements, il devait l'avouer, la routine qui s'installait n'était guère quelque chose qu'il appréciait. les filles se montraient professionnelles, il n'avait pas à se plaindre de ce côté là, il était d'ailleurs rare qu'il ai à leur remonter les bretelles. il faut dire qu'il ne les traitait guère comme de vulgaires objects,même si, d'un point de vue extérieur c'est ce que les activistes pensaient. la vie qu'il leur donnait était sans aucun doute meilleure que dans les bordels du sud de la ville. aucun service rendu en dehors de son établissement, les demoiselles avaient le droit de stopper à n'importe quel moment si le client se révélait violent ou avait des penchants indésirables. Ajouté à cela les soins médicaux, les protections fournis et le confort des lieux. Non, sincérement il n'avait rien à se reprocher, il ne prenait même pas la peine de 'tester la marchandise' tel que le faisait généralement les proxénètes. Yohan n'était qu'un patron, elles travaillaient pour lui et il les payait, aucun bonus aditionnel qui se révélerait indésirable pour les jeunes demoiselles. Et c'était justement ce genre de surprise qui savait égayer ses soirées; des rencontres innatendues et donc délectables. il était légérement têtus dans son genre et cela était relativement masochiste d'oser vouloir impliquer la fille d'un homme si puissant dans son réseaux de prostitution; mais en soit il n'exigeait pas à tout prix qu'elle vende son corps, simplement qu'elle aguiche, qu'elle fasse en sorte que ces hommes aux faibles moeurs dépensent un maximum au sein de son bar, que ce soit dans les boissons ou dans les autres filles. un appât en quelque sorte, une associé en d'autres termes. sourire en coin, il savoure l'expression qui se dessine sur le visage de la jeune femme, l'hypocrisie était coutume courant dans le milieu, inutile d'être aveugle pour comprendre qu'elle aurait préféré ne pas avoir à le croiser. et il trouvait cela divertissant, tel une souris tentant de s'enfuir des griffes d'un gros vilain matou.
" elles le sont en effet. Femmes heureuses femmes resplendissantes. " Prononce t'il de sa voix grave jetant un coup d'oeil à ses filles minutieusement occupées avec des clients de son établissement. on pouvait presque diceler un étincelle de fierté traverser son regard. " serais-tu en train de faire un coming out ? je ne me souviens guère que la belle saeyeon préfère les femmes; mais si c'est réellement le cas je me ferais un plaisir de te présenter certaines de nos filles. " il lui lance un léger regard taquin avant de ne porter son verre de bourbon à ses lèvres en dégustant une grande gorgée et ce tout en observant la demoiselle. " mmh si la bière te semble mieux pas de soucis par contre tu feras gaffe, tu sais ce qu'on dit de la bière. " il lâche un léger rire moqueur en pointant le ventre (pour l'instant inexistant) de la demoiselle. " apportes nous une bière pression s'il te plait " se contente t'il de formuler au serveur avant de ne faire signe à la demoiselle de prendre place. " ne me dis pas que tu es déjà pressé de me quitter, cela risquerait de m'offusquer saeyeon. " il fait tourbillonner le liquide brûnatre dans son verre, son regard narquois posé sur la jeune femme. " je suis décidément curieux. si tu n'es pas venus pour t'amuser ni même pour me rendre visite pourquoi es-tu là ? un rendez-vous ? ton père est aussi ici ? ou tu es venus pour jeter un coup d'oeil à mon business pour ensuite pouvoir en faire un compte rendus à tes supérieurs ? mmh ? " il arque un sourcil, mordillant sa lèvres inférieure tout en l'observant. Songe aux prédateurs. Les plus efficaces ne sont pas nécessairement ceux qui se jettent sur leur proie pour la capturer de force. Ils la traquent, l’appâtent et parfois la séduisent.
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Re: Dirty Work ft Saeyeon | Sam 18 Nov - 18:31 Citer EditerSupprimer
J’aurais dû me douter que le prédateur qu’il était n’attendait qu’un seul faux pas, ou dans ce cas-ci, une seule fausse parole pour rebondir dessus et planter ses griffes acérées sur la jeune femme que j’étais et qui se refusait pourtant toujours à collaborer avec lui. « Oh … Yo Han… je te pensais plus intelligent que ça ! » riai-je. Je ne fus pas heurtée par sa plaisanterie à l’humour douteux, je savais parfaitement où se dirigeait mon intérêt. Il me suffisait de penser à ce grand brun pour comprendre, il n’y avait que lui. Jamais aucun homme n’avait réussi à attirer autant mon attention que lui, et Yo Han aurait pu danser nu devant moi que je n’aurais sans aucun doute pas réagit. « Dois-je vraiment te réexpliquer pourquoi je ne tiens pas à rencontrer d’hommes ? » Aucun ne saurait jamais être à la hauteur. Aucun ne pourrais jamais prétendre trouver grâce à mes yeux. « Je pense donc que tu peux éviter de déranger tes employées apparemment très occupées ! » ajoutai-je en tournant les yeux vers ces redoutables prédatrices aux yeux de biche. Si ignorer le patron des lieux semblait mission impossible, lui faire changer le cap de ses pensées était une tâche encore plus ardue. « Ce qu’on dit ? Ah… tu t’inquiètes donc que je ne perde la ligne ? » Je savais qu’il ne se souciait pas de moi par simple bonté d’âme, mais plutôt qu’il veillait sur ce qu’il pouvait utiliser à bon escient pour son business qui, même s’il me dégoutait, prospérait et semblait bien plus lucratif d’année en année. Je n’étais pourtant pas surprise, le monde était peuplé d’hommes qui ne désiraient qu’une nuit avec une jolie demoiselle pour oublier un peu la vie matrimoniale ennuyante qui les attendait. Les hommes les plus importants foulaient le sol de ce bouge sans aucun remord… et il voulait que je fasse partie de ce gang aux mœurs dégradantes ? J’avais beau faire partie d’un cartel d’escroc, si j’usais de charmes pour obtenir la sympathie de ces hommes à la richesse honteuse, mon travail s’arrêtait dès lors qu’ils attendaient autre chose qu’un repas en tête à tête. J’attrapais le verre que me tendait le barman, mes pensées encore et toujours tournées vers celui qui avait pourtant été clair. C’était fini, sans même avoir commencé. « Te quitter ? Mais quelle femme serais-je si je venais à offusquer le grand Yo Han ? » J’avais pourtant l’envie irrépressible de quitter le bar, mais rien ni personne ne m’attendait en dehors de ces murs. Je cherchais une raison de continuer à respirer, outre mon père, rien ne semblait me retenir davantage, plus depuis qu’il m’avait poignardé en plein cœur. Je souriais face à ses questions. « N’ai-je pas le droit de venir boire un verre dans le bar d’un ami ? » Ses gestes se faisaient plus lents, plus langoureux encore, faisant tourner le verre entre ses doigts, mordant son inférieure. Tentait-il encore une fois de me rallier à sa cause en parodiant comme je savais si bien le faire. Si tu penses que je vais tomber dans le panneau… Je connaissais ses astuces bien mieux que lui, et s’il voulait jouer, alors je lui montrerais comment le faire dans les règles de l’art. Après tout… je n’avais plus rien à perdre. Je venais replacer mes longues mèches brunes de sorte à dévoiler ma nuque, croisant les jambes sur lesquelles ma robe se relevait davantage. J’avalais une gorgée de bière avant de tourner de nouveau mon regard accentué par le maquillage savamment appliqué avant de lui offrir un sourire entendu. « Un compte rendu à mes supérieurs ? Aurais-tu peur que mon père ne souhaite racheter ton commerce ? » Tu ne gagneras pas cette manche… J’attrapais une olive dans l’un des bocaux qui trônaient sur le comptoir pour la glisser nonchalamment entre les lèvres de mon vis à vis. Plongeant mes iris noirs dans ceux de Yo Han. « Tu es bien trop curieux à mon sujet. À quoi te servirait de savoir pourquoi je suis ici ? Tu n’as qu’à penser que je suis là pour toi ? » Si j’usais de séduction à outrance, je ne l’appréciais pourtant pas davantage. « Soit, si tu veux savoir. » Je rompis le contact en me replaçant sur ma chaise avant de continuer. « Je répondrais à tes questions si tu m’expliques pourquoi tu tiens tant à ce que je figure sur la liste de tes employées. Mais attention, je ne répondrais que si j’estime la question intéressante, lors choisis bien ! » Je pinçais de nouveau le verre entre mes lèvres, soutenant le regard sombre du patron de ces dames. Je savais qu’il aimait jouer et il savait aussi que j’aimais le fuir, espérant ainsi lui prouver une nouvelle fois que sa proposition n’était qu’une vaste blague.
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Dirty work
ft. yohan
J’aurais dû me douter que le prédateur qu’il était n’attendait qu’un seul faux pas, ou dans ce cas-ci, une seule fausse parole pour rebondir dessus et planter ses griffes acérées sur la jeune femme que j’étais et qui se refusait pourtant toujours à collaborer avec lui. « Oh … Yo Han… je te pensais plus intelligent que ça ! » riai-je. Je ne fus pas heurtée par sa plaisanterie à l’humour douteux, je savais parfaitement où se dirigeait mon intérêt. Il me suffisait de penser à ce grand brun pour comprendre, il n’y avait que lui. Jamais aucun homme n’avait réussi à attirer autant mon attention que lui, et Yo Han aurait pu danser nu devant moi que je n’aurais sans aucun doute pas réagit. « Dois-je vraiment te réexpliquer pourquoi je ne tiens pas à rencontrer d’hommes ? » Aucun ne saurait jamais être à la hauteur. Aucun ne pourrais jamais prétendre trouver grâce à mes yeux. « Je pense donc que tu peux éviter de déranger tes employées apparemment très occupées ! » ajoutai-je en tournant les yeux vers ces redoutables prédatrices aux yeux de biche. Si ignorer le patron des lieux semblait mission impossible, lui faire changer le cap de ses pensées était une tâche encore plus ardue. « Ce qu’on dit ? Ah… tu t’inquiètes donc que je ne perde la ligne ? » Je savais qu’il ne se souciait pas de moi par simple bonté d’âme, mais plutôt qu’il veillait sur ce qu’il pouvait utiliser à bon escient pour son business qui, même s’il me dégoutait, prospérait et semblait bien plus lucratif d’année en année. Je n’étais pourtant pas surprise, le monde était peuplé d’hommes qui ne désiraient qu’une nuit avec une jolie demoiselle pour oublier un peu la vie matrimoniale ennuyante qui les attendait. Les hommes les plus importants foulaient le sol de ce bouge sans aucun remord… et il voulait que je fasse partie de ce gang aux mœurs dégradantes ? J’avais beau faire partie d’un cartel d’escroc, si j’usais de charmes pour obtenir la sympathie de ces hommes à la richesse honteuse, mon travail s’arrêtait dès lors qu’ils attendaient autre chose qu’un repas en tête à tête. J’attrapais le verre que me tendait le barman, mes pensées encore et toujours tournées vers celui qui avait pourtant été clair. C’était fini, sans même avoir commencé. « Te quitter ? Mais quelle femme serais-je si je venais à offusquer le grand Yo Han ? » J’avais pourtant l’envie irrépressible de quitter le bar, mais rien ni personne ne m’attendait en dehors de ces murs. Je cherchais une raison de continuer à respirer, outre mon père, rien ne semblait me retenir davantage, plus depuis qu’il m’avait poignardé en plein cœur. Je souriais face à ses questions. « N’ai-je pas le droit de venir boire un verre dans le bar d’un ami ? » Ses gestes se faisaient plus lents, plus langoureux encore, faisant tourner le verre entre ses doigts, mordant son inférieure. Tentait-il encore une fois de me rallier à sa cause en parodiant comme je savais si bien le faire. Si tu penses que je vais tomber dans le panneau… Je connaissais ses astuces bien mieux que lui, et s’il voulait jouer, alors je lui montrerais comment le faire dans les règles de l’art. Après tout… je n’avais plus rien à perdre. Je venais replacer mes longues mèches brunes de sorte à dévoiler ma nuque, croisant les jambes sur lesquelles ma robe se relevait davantage. J’avalais une gorgée de bière avant de tourner de nouveau mon regard accentué par le maquillage savamment appliqué avant de lui offrir un sourire entendu. « Un compte rendu à mes supérieurs ? Aurais-tu peur que mon père ne souhaite racheter ton commerce ? » Tu ne gagneras pas cette manche… J’attrapais une olive dans l’un des bocaux qui trônaient sur le comptoir pour la glisser nonchalamment entre les lèvres de mon vis à vis. Plongeant mes iris noirs dans ceux de Yo Han. « Tu es bien trop curieux à mon sujet. À quoi te servirait de savoir pourquoi je suis ici ? Tu n’as qu’à penser que je suis là pour toi ? » Si j’usais de séduction à outrance, je ne l’appréciais pourtant pas davantage. « Soit, si tu veux savoir. » Je rompis le contact en me replaçant sur ma chaise avant de continuer. « Je répondrais à tes questions si tu m’expliques pourquoi tu tiens tant à ce que je figure sur la liste de tes employées. Mais attention, je ne répondrais que si j’estime la question intéressante, lors choisis bien ! » Je pinçais de nouveau le verre entre mes lèvres, soutenant le regard sombre du patron de ces dames. Je savais qu’il aimait jouer et il savait aussi que j’aimais le fuir, espérant ainsi lui prouver une nouvelle fois que sa proposition n’était qu’une vaste blague.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: Dirty Work ft Saeyeon | Sam 9 Déc - 15:35 Citer EditerSupprimer
un prédateur, homme s'enrichissant au dépens des autres. cela qualifiait à la perfection le jeune asiatique, il ne s'en cachait guère et nombreux étaient ceux qui avaient conscience de l'aspect manipulateur du jeune homme. et pourtant, aussi incroyable que cela pouvait paraître, le jeune homme se révélait constamment sollicité par ces mêmes personnes, qui finissaient par trouver une intérêt à la fréquenter. l'hypocrisie était une caractéristiques commune de l'être humain, s'adapter, se soumettre, simuler pour mieux satisfaire ses propres intérêts. il ne possédait peut être aucun diplôme et pouvait facilement passer pour un gangster bénin mais le jeune byun était loin d'être idiot. il n'était clairement pas bien difficile de percevoir l'agacement chez la demoiselle, la présence du jeune patron l'importunant bien plus que ce qu'elle laissait transparaitre et en soit, il pouvait le concevoir après tout c'est ce qu'il aimait tant chez elle, la savoir aussi ennuyé par ses tentatives vaines de l'intégrer à son business mais ne pas être capable de le remettre à sa place une bonne fois pour toute. qu'est-ce qui la retenait de le renvoyer chier, lui qui semblait si petit en comparaison du père de la jeune femme. que craignait-elle qui fasse qu'elle ne passait guère la limite de l'acceptable ? " sauves ta salive, j'ai déjà entendu cette histoire des dizaine de fois, toi et ton grand chevalier brunâtre, en attendant je me demande bien où il se trouve ce monsieur. " il lui adresse un sourire sarcastique l'écoutant réagir presque trop facilement à ses propos à croire qu'elle plongé tête la première sans se rendre compte que plus elle réagirait de la sorte plus elle le divertissait. il manque d'ailleurs de s'étouffer face aux propos de la demoiselle dont l'hypocrisie en ferait crisser plus d'un. un ami ? quelle belle comédie était-elle en train de lui feinter ? " tu peux me rendre visiter quand bon te semble et tu le sais parfaitement. " ami ou pas ami d'ailleurs, yohan ne considérait que très peu de personnes comme étant ses amis pour ne pas dire qu'il n'en considérait que trois, son frère, miah et srey nullement plus. il n'éprouvait guère le besoin de s'entourer de personnes qui deviendrait suffisamment importantes pour le poignarder dans le dos sans même qu'il ne s'en rende compte. " racheter mon commerce ? non je n'en ai pas peur, si celui-ci l'intéresserait cela ferait bien longtemps qu'il l'aurait acheté. par contre se renseigner sur la nature de mon business ainsi que mes chiffres d'affaires et mes relations professionnels pourraient éventuellement lui bénéficier mais soit, quelqu'un d'aussi futile que ma personne ne devrait pas intéresser le grand homme qu'est ton père n'est-ce pas ? " il lui adresse un clin d'oeil tout en se resservant un verre de whisky. c'est fou la simplicité à laquelle il était de sous estimer autrui sur la base de l'âge et de l'expérience, l'être humain vivant constamment dans le passé incapable de voir que la société avancé bien plus vite qu'eux. " question de logique, mon bar il semble donc normal de désirer savoir ce que tu fais ici vu qu'il est clair et net que ce n'est pas pour moi. " ne pouvions nous donc pas faire plus clair que cela ? était-ce si complexe à comprendre ? il n'était d'ailleurs guère nécessaire de feinter la sympathie avec lui, cela n'avait jamais réellement marché et ne faisait que réduire le peu d'estime qu'il pouvait avoir pour son interlocutrice, qu'elle lui montre sa véritable nature voyons, il ne demandait que cela yohan. " marché conclus même si je doute que tu tiennes ta paroles. " c'était un fait, si elle avait passé autant de temps à soigneusement repousser ses avances ce n'était clairement pas pour satisfaire ses attentes aussi aisément.encore une fois il était ambitieux mais pas idiot. "c'est pourtant simple à comprendre. regardes, si tu deviens l'une de mes filles, disons plutôt que tu viens travailler ici, quand bien même tu n'es pas une escort girl et te contentes juste de gérer les filles, cela attirera forcément de la clientèle. il s'agit certes d'une raison à caractère marketing mais vois-tu les clients ont besoin de renouveau, une femme avec de la prestance ça donne bien plus envie. les filles sont très subtiles et soumises, les clients ne sont pas habitués à voir des femmes caractérielles. le simple fait de regarder sans même toucher sauraient les satisfaire. " pour faire court utiliser l'image de la demoiselle pour accroître sa clientèle, rien de bien complexe bien qu'il se doutait fortement que cela ne fonctionnerait guère, trop caractérielle la jeune femme et surement bien trop difficile à gérer pour qu'il en soit satisfait sur le long terme. mais qu'est-ce que cela le divertissait d'essayer de la convaincre à chaque fois.
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Dirty work
ft. saeyeon
un prédateur, homme s'enrichissant au dépens des autres. cela qualifiait à la perfection le jeune asiatique, il ne s'en cachait guère et nombreux étaient ceux qui avaient conscience de l'aspect manipulateur du jeune homme. et pourtant, aussi incroyable que cela pouvait paraître, le jeune homme se révélait constamment sollicité par ces mêmes personnes, qui finissaient par trouver une intérêt à la fréquenter. l'hypocrisie était une caractéristiques commune de l'être humain, s'adapter, se soumettre, simuler pour mieux satisfaire ses propres intérêts. il ne possédait peut être aucun diplôme et pouvait facilement passer pour un gangster bénin mais le jeune byun était loin d'être idiot. il n'était clairement pas bien difficile de percevoir l'agacement chez la demoiselle, la présence du jeune patron l'importunant bien plus que ce qu'elle laissait transparaitre et en soit, il pouvait le concevoir après tout c'est ce qu'il aimait tant chez elle, la savoir aussi ennuyé par ses tentatives vaines de l'intégrer à son business mais ne pas être capable de le remettre à sa place une bonne fois pour toute. qu'est-ce qui la retenait de le renvoyer chier, lui qui semblait si petit en comparaison du père de la jeune femme. que craignait-elle qui fasse qu'elle ne passait guère la limite de l'acceptable ? " sauves ta salive, j'ai déjà entendu cette histoire des dizaine de fois, toi et ton grand chevalier brunâtre, en attendant je me demande bien où il se trouve ce monsieur. " il lui adresse un sourire sarcastique l'écoutant réagir presque trop facilement à ses propos à croire qu'elle plongé tête la première sans se rendre compte que plus elle réagirait de la sorte plus elle le divertissait. il manque d'ailleurs de s'étouffer face aux propos de la demoiselle dont l'hypocrisie en ferait crisser plus d'un. un ami ? quelle belle comédie était-elle en train de lui feinter ? " tu peux me rendre visiter quand bon te semble et tu le sais parfaitement. " ami ou pas ami d'ailleurs, yohan ne considérait que très peu de personnes comme étant ses amis pour ne pas dire qu'il n'en considérait que trois, son frère, miah et srey nullement plus. il n'éprouvait guère le besoin de s'entourer de personnes qui deviendrait suffisamment importantes pour le poignarder dans le dos sans même qu'il ne s'en rende compte. " racheter mon commerce ? non je n'en ai pas peur, si celui-ci l'intéresserait cela ferait bien longtemps qu'il l'aurait acheté. par contre se renseigner sur la nature de mon business ainsi que mes chiffres d'affaires et mes relations professionnels pourraient éventuellement lui bénéficier mais soit, quelqu'un d'aussi futile que ma personne ne devrait pas intéresser le grand homme qu'est ton père n'est-ce pas ? " il lui adresse un clin d'oeil tout en se resservant un verre de whisky. c'est fou la simplicité à laquelle il était de sous estimer autrui sur la base de l'âge et de l'expérience, l'être humain vivant constamment dans le passé incapable de voir que la société avancé bien plus vite qu'eux. " question de logique, mon bar il semble donc normal de désirer savoir ce que tu fais ici vu qu'il est clair et net que ce n'est pas pour moi. " ne pouvions nous donc pas faire plus clair que cela ? était-ce si complexe à comprendre ? il n'était d'ailleurs guère nécessaire de feinter la sympathie avec lui, cela n'avait jamais réellement marché et ne faisait que réduire le peu d'estime qu'il pouvait avoir pour son interlocutrice, qu'elle lui montre sa véritable nature voyons, il ne demandait que cela yohan. " marché conclus même si je doute que tu tiennes ta paroles. " c'était un fait, si elle avait passé autant de temps à soigneusement repousser ses avances ce n'était clairement pas pour satisfaire ses attentes aussi aisément.encore une fois il était ambitieux mais pas idiot. "c'est pourtant simple à comprendre. regardes, si tu deviens l'une de mes filles, disons plutôt que tu viens travailler ici, quand bien même tu n'es pas une escort girl et te contentes juste de gérer les filles, cela attirera forcément de la clientèle. il s'agit certes d'une raison à caractère marketing mais vois-tu les clients ont besoin de renouveau, une femme avec de la prestance ça donne bien plus envie. les filles sont très subtiles et soumises, les clients ne sont pas habitués à voir des femmes caractérielles. le simple fait de regarder sans même toucher sauraient les satisfaire. " pour faire court utiliser l'image de la demoiselle pour accroître sa clientèle, rien de bien complexe bien qu'il se doutait fortement que cela ne fonctionnerait guère, trop caractérielle la jeune femme et surement bien trop difficile à gérer pour qu'il en soit satisfait sur le long terme. mais qu'est-ce que cela le divertissait d'essayer de la convaincre à chaque fois.
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