matsuda kota + take an angel by the wings

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matsuda kota + take an angel by the wings | Jeu 17 Aoû 2017 - 16:39

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Matsuda Kota

you can do anything

Généreux (★★★✰✰)	Naïf (★★★✰✰)	Passionné (★★★✰✰)	Insouciant (★★★✰✰)	Audacieux (★★★✰✰)
Peureux (★★★★✰)	Taquin (★★★✰✰)	Têtu (★★★✰✰)	Curieux (★★★✰✰)	Rêveur (★★★✰✰)

nom : Matsuda. prénom : Kota. âge : il a dix-huit ans et se sent déjà grand. date et lieu de naissance : le 23 avril 1999 dans la charmante Osaka, au Japon. Il n’y a vécu que cinq ans avant de s'envoler pour le continent voisin. origines : purement nippones et ce depuis des générations, il paraît. nationalité : japonaise. cursus universitaire : il a choisi d’étudier les arts plastiques, il est en première année. métier : aucun, il fait du bénévolat dans une SPA quand il a du temps. orientation sexuelle : il n’en sait pas grand-chose au fond étant donné le peu d’intérêt qu’il porte à la question. Indécis, donc. classe sociale : plutôt aisée. code du règlement : OK par Mogo.tu veux t'investir ? oui

Rumour has it...

on dit qu’il est vulnérable sans son frère (v. & f. il est juste plus rassuré en sa présence) et qu’il aurait été harcelé au lycée (v.), ce qui en fait un petit fragile (non *sighs*) + on dit qu'il aurait offert quelques faveurs à ses camarades pour couler des jours tranquilles (f. et il n'aime pas ces sous-entendus..) + ce serait un otaku (v. il a toute une collection de mangas) doublé d'un geek (v. mais un peu moins que Shiro quand même) + il a un petit problème de prononciation (v. il a du mal avec les syllabes en "s", il zozote un peu quoi) + on dit qu'il aime montrer son fric (f. il est juste maladroit quand il veut être généreux...) + il a la phobie des clowns (v. jusqu'à en faire des cauchemars) + il croit souvent tout ce qu'on lui dit (v. malheureusement) + il aurait une trouille bleue des chiens (f. et même qu'il adore les plus gros) + lui et son frère seraient sortis avec la même fille (?) en même temps (??) pour se jouer d'elle, de petits manipulateurs bien cachés (archi f. et ça doit venir de cette soit-disant pote qu'il a recalé au début de l'été, tss) +

Survole l'avatar, petit coquin.

My character

Il y a d'abord Kota l'artiste.
De la peinture sur ses doigts, ses bras et même ses joues ; Kota aurait quelques toiles à vous montrer et tout autant de planches de dessins, pour le futur mangaka qu'il rêve de devenir. Coups de pinceaux ou de crayons, il a sa propre vision de l'art, subjectif à chacun et ses œuvres sont souvent très colorées. Elles reflètent sans aucun doute le garçon trop gentil aux sourires permanents, qui observe la vie avec curiosité et ne se lasse pas d'apprendre. Il est généreux, prêt à donner de sa personne pour les autres ou juste partager son affection débordante. Il transpire l'innocence et la naïveté, crédule et influençable, petit enfant qui veut devenir grand et qui bombe le torse quand on le défie. Il est pourtant loin de la témérité de son frère, plus craintif, mais pas moins courageux,

car Kota, c'est aussi l'insouciance.
Des maladresses dont il ne se rend pas toujours compte, du manque de tact et de ses actes qu'on qualifie d'arrogants. Une vantardise qu'on lui reproche et qu'il ne comprend pas ; il peut bien inviter tout le monde ce soir, maman lui a donné son argent de poche, et il peut bien t'avancer un peu, ça ne le dérangera pas même si tu ne le rembourses pas. Tu sais, il veut juste aider, Kota et voir les sourires dominer sur le visage de ses potes. Il veut escalader des murs lui aussi, monter à l'arrière d'une moto, traîner tard le soir et tester ses limites. Il rit d'un rien et tolère bien des choses, mais pas trop. Quand les moqueries se tournent vers la personne à qui il tient le plus, il ne rigole plus beaucoup,

parce qu'il est imprévisible, parfois.
Il ne cognera pas, mais il a plus de mordant qu'on ne le croit et il suffit de lui en donner les raisons. Imprévisible, lorsqu'il aime prendre une voix plus sûre et se prétendre Shiro le temps d'une heure, taquin et farceur, s'il trouve une bonne raison de vous ennuyer il le fera. Imprévisible, lorsqu'il a peur et que ses réactions peuvent aussi bien être irréfléchies que disproportionnées. On ne se découvre parfois du courage que lorsqu'on nous l'impose et s'il y a bien une chose qu'il a appris récemment, c'est que lorsqu'il aime, ce n'est pas à moitié. Il n'est qu'un jeune homme qui a peur de se retrouver seul, peur de grandir et de devoir laisser le petit garçon derrière lui. Alors non, il n'est pas franchement des plus matures, mais il s'en fiche pas mal.

Finalement, c'est toujours l'insouciance qui guide ses pas, demain est incertain, mais lui préfère profiter d'aujourd'hui, et c'est très bien comme ça.

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Son frère jumeau est un repère important pour lui, il craint de le perdre comme son cousin a perdu sa jumelle + il ne supporte plus la fumée ni son odeur depuis qu'un incendie a touché sa maison, et qu'il en garde de mauvais souvenirs + il a une tâche de naissance sur l'omoplate gauche, détail qui pourrait le différencier de Shiro + il a une oreille percée avec quatre trous, deux au lobe et deux à l'hélix + Iron Man est son super-héros préféré + il ne sait absolument pas chanter + il adore l'orage, même s'il en a peur lorsqu'il est dehors #logique + il ne sait pas nager.

This is my story

citation de ton choix

« Hé t’as perdu ta langue, nabot ? Il est où ton chien de garde ? » On ne le pousse pas si fort contre les casiers des vestiaires et personne ne les regarde, parce qu’on ne se mêlera pas de ça et qu’entre garçons, ça arrive… C’est normal, c’est amical qu’ils se disent et même Kota y a cru parfois. « L’appelle pas comme ça.. » Un coup sur l’épaule, puis la main du gaillard appuie sur son torse pour mieux le maintenir contre l’acier qui meurtrit son dos, mais il ne se plaint pas Kota, ne geignit pas et encore moins ne le suppliera pour se dégager. « Ah t’as raison… c’est plutôt toi le toutou, perdu sans son maître. » Il rigole et ses amis suivent alors que le frêle, pris au piège, ne fait que plisser les yeux en voulant répliquer, mais il préfère se taire au risque d’aggraver son cas. Kota déteste les cours de sport. Il a reçu des balles dans la tête plusieurs fois, des maladresses déguisées et autres gênes qui les ont toujours amusés. Au moins, on le laisse tranquille dans les couloirs et pour cause, Shiro les traverse aussi. Shiro à qui il ne dit rien, pour avoir l’air fort lui aussi – et parce qu’il est borné. Shiro qu’il veut rendre fier, en sachant qu’il s’en sort bien sans lui – balivernes. ///•/// « C’est décidé, vous serez séparés dès cette année et je ne veux rien entendre. » Le ton ferme, l’homme surplombe ses fils avec un regard satisfait et Kota se triture les doigts en osant quand même, parce que … ça lui fait un peu peur. Il a toujours fait ses rentrées avec son frère, toujours dans la même classe, toujours complices et voilà qu’aujourd’hui les choses vont changer sans leur accord. « Attends, et si je- » « Non ! Soyez bien heureux que je vous laisse dans le même établissement. » Et le plus jeune baisse les yeux. C’est quoi le but au juste ? « Il est temps de couper le cordon. » Il sent le regard de son père brûler sur sa peau, mais il a gardé les yeux baissés de honte et de compréhension jusqu’à ce qu’on les relâche. Shiro s’est énervé et s’en est beaucoup plaint sous les regards dubitatifs de Kota, qui n’a même pas osé s’offusquer devant lui. Son père a sûrement raison, même s’il n’aime pas ça non plus. ///•/// « Hé, Matsuda ! Qu’est-ce que tu lis ? » Rien, il a juste emporté un de ses mangas pour s’en inspirer et redessiner certaines scènes en plus grand. Le fait est qu’il lit de tout Kota et qu’il a peut-être un penchant pour les romances. « Woah… c’est mignon. » L’autre garçon se penche au-dessus du bureau et sans crier gare, lui arrache son brouillon pour attirer l’attention de sa classe. Hé, il assume ses goûts et il ne rougit qu’un peu lorsqu’on expose sa sensibilité. « Va te faire voir. Rends-moi ça ! Ta mère a oublié de t’éduquer ?! » Il sait prendre un air suffisant quand on le met en rogne, mais son audace résulte en une chaise malmenée par son camarade et son dessin déchiré puis froissé en boule. « Ça aurait pu être ta tête. » Quelques filles tentent de s’interposer pour les calmer alors que les garçons s’en amusent – un peu d’action. Le gaillard attrape le manga et s’approche de la fenêtre avant de le balancer au plus loin qu’il peut. « Cours chercher, toutou. » Mais quel con ! Kota le frapperait bien, mais il n’a pas ce cran et il se contente de serrer les dents. « T’es vraiment con Jae. » Hyejin est gentille et les filles la suivent souvent alors que ledit Jae hausse les épaules, puis retourne à sa place ; le professeur ne va pas tarder à se montrer et une fois de plus Kota s’écrase. Il passera l’heure du cours à compter les minutes. Son père avait tort. Pas seulement à propos de ses fils d’ailleurs, si même leur mère a fini par casser son mariage. Leur mère qui sait, elle, qu’ils sont plus forts à deux.

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La chaleur est étouffante, mais pas autant que les nuages de fumée qui les entourent et noircissent peu à peu le plafond et les murs. Les flammes se sont propagées à une vitesse folle et Kota est toujours dans la salle de bain où il s’est enfermé dès qu’il a entendu sa mère crier. Ce n’était pas la meilleure chose à faire, mais pris de panique, il n’a pas voulu courir vers l’entrée sans Shiro. Son frère est toujours dans leur chambre et il attend, l’oreille plaquée contre la porte, d’entendre celle d’en face céder. Pourquoi son frère ne sort pas ? La fumée s’infiltre sous le pas de sa porte et s’il se croyait en sécurité ici, il comprend vite qu’il a eu tort et qu’il finira asphyxié ou pire, s’il laisse l’incendie bloquer toutes les sorties avant qu’il n’ait eu la chance de sortir. C’est presque irréel… quand il ouvre la porte et que sa peau brûle aussitôt, même à plusieurs mètres des flammes les plus proches. Il couvre son nez et sa bouche avec ses manches et s’arrête devant la chambre. « Shiro ?! Ouvre la porte ! Sors de là ! » Un coup le fait sursauter et les mots de son frère trouvent leur chemin jusqu’à lui, qui tourne alors la tête vers les escaliers. Il ne peut pas le voir, mais les rideaux sont en feu et les flammes grignotent déjà le canapé, les meubles en bois, les plantes vertes qui égayaient la maison… et ses yeux s’écarquillent au son des crépitements. « Non non non, viens avec moi. Viens maintenant ! Aller, Shirooo !! » Il s’acharne à son tour sur la poignée, frappe le bois quelquefois et tousse après avoir inhalé l’air épais qui circule dans le couloir. Tout s’accélère, de sa respiration aux battements de son cœur qui se serre à l’idée qu’ils puissent rester coincés là, lui le plus stupide des deux, Shiro le plus malchanceux. Il ne réfléchit pas Kota, il veut juste voir la porte s’ouvrir, mais sa vue se brouille et s’embue de larmes aussi bien à cause de la fumée que des craintes qui le submergent. « Non. » Ses genoux faiblissent et frappent le sol quand le garçon s’y laisse tomber, ses doigts toujours accrochés sur la poignée. Il ne veut pas mourir, non, mais la peur le paralyse et il aurait bien besoin de son frère. Il a toujours besoin de lui et non, il ne veut pas l’abandonner même s’il fait une grosse connerie et qu’un craquement proche l’oblige finalement à lâcher prise. Il se traîne un peu plus loin, mais il n’a toujours pas la force de se relever. Il fait bien trop chaud et tout ce à quoi il pense, c’est Shiro enfermé, c’est son frère qu’il risque de perdre comme ça, stupidement et il en pleure Kota. Il ne sent pas tout de suite les bras forts qui le redressent, l’uniforme rugueux qui frotte contre sa joue alors qu’on le protège, ni n’entend la voix grave et rassurante de son sauveur. Ce n’est qu’une fois dehors, lorsque ses oreilles bourdonnent et que l’air frais fouette sa peau rougie, qu’on le relâche et qu’il s’effondre à nouveau dans les bras plus familiers de sa mère qu’il comprend. Il a voulu crier que son frère est toujours coincé, mais… « On en a un ici ! » La force retrouvée dans ses jambes, Kota se dégage et suit les hommes en courant jusqu’à Shiro, visiblement en peine, mais bien en vie alors qu’il a sauté par la fenêtre. Il l’a rejoint, comme promis et le corps du plus jeune lâche à nouveau. Il a avalé bien trop de fumée et devra, lui aussi, passer quelques temps dans une chambre blanche avant de pouvoir étouffer son frère dans un de ses câlins. Ils sauront plus tard, que l’incendie venait de leur installation électrique. Impossible à prévoir, mais ce n’était pas non plus une erreur de leur mère, qui l’a longtemps cru et s’est blâmée d’avoir failli perdre ses deux garçons.