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Zhou Jie Lun • 周杰倫
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Zhou Jie Lun • 周杰倫 | Sam 19 Aoû - 17:58 Citer EditerSupprimer
nom : Zhou 周 prénom : Jie Lun 杰倫 âge : 21 ans jeune et con date et lieu de naissance : le 6 juin 1996 = 666 et à Beijing origines : chinois nationalité : chinois cursus universitaire : troisième année ingénierie avionique et mécanique aéronautique métier : Barista à Starbuck orientation sexuelle : il ne s'en cache pas, les courbes féminines le font littéralement vibrer classe sociale : pauvre code du règlement : Ok par MOGO tu veux t'investir ? si les gumihos le veulent bien alors oui
Des images me reviennent comme un souvenir tendre d'une ancienne ritournelle, autrefois en décembre. Je me souviens il me semble des jeux qu'on inventait ensemble. Je retrouve dans un sourire la flamme de mes souvenirs. Doucement, un écho comme une braise sous la cendre. Un murmure à mi-mots que mon coeur veut comprendre. la noirceur de la cendre qui flotte devant ses yeux enfantins, la chaleur étouffante, sa gorge brûlante et cette sensation de fatigue qui le pousse à s'allonger contre le sol, la fumée le recouvrant lentement jusqu'à ce qu'il ne soit plus.
Deux corps sans vie ont été dégagés en fin de matinée des décombres d’une maison qui a brûlé dans la nuit de mercredi 11 juillet au jeudi 12 juillet à Beijing, a annoncé le procureur de la République.
Les corps sont ceux d’un couple âgé d’une vingtaine d’années a précisé le procureur Li Ping Yu.Lorsque les pompiers sont arrivés sur place vers 2h40, le feu faisait déjà rage, avec des flammes s’élevant au-dessus de cette habitation en bois de trois étages, située dans le quartier de Xilou Hutong. Une torchère de plusieurs mètres de haut a contrarié les efforts des pompiers pour tenter de réduire le sinistre, qui a aussi provoqué une fuite de gaz qui s’est ensuite embrasée. « L’entrée (de l’habitation) s’est fortement embrasée, ses occupants n’ont pas pu s’échapper », a indiqué le procureur Li Ping Yu. Selon le procureur de la République, « aucune cause n’est privilégiée pour l’instant ». Mais selon les secours , il s’agirait d’un compteur à gaz qui aurait pris feu. Selon des riverains, le feu aurait débuté dans une poubelle et se serait propagé à ce compteur.
Le fils unique de cinq ans du couple aurait cependant était sauvé par les secours et serait actuellement dans un état critique. Son sauvetage revient entièrement au jeune berger allemand récemment accueillir et entraîné au sein de la caserne de pompier du district. La maison, qui aurait été édifiée dans les années 1970-1980, a été presque entièrement détruite par le sinistre, selon les témoins présents sur les lieux. La toiture s’est complètement effondrée, de même que des pans entiers de murs.
- China Daily, Le 12juillet 2001
«Parfois, il est préférable de ne rien dire et de laisser le silence s'occuper des choses.» Jamais il n'avait lu une quelconque tristesse dans les yeux ridées qu'elle posait sur lui. au fin fond de lui, il savait qu'il ne reverrait jamais ses parents mais il voulait croire en les paroles de sa grand-mère, celle lui affirmant qu'il les reverrait un jour, là haut, dans les cieux. mais jielun n'a jamais cru en l'au delà; pourquoi y croire? elle était son exemple, sa motivation, sa raison de rire. elle le guidait, le sermonnait et le consolait, et ce malgré son vieil âge. elle était sa seule attache, ce qu'il possédait de plus précieux. si au début elle s'occupait de lui, au fil des années il avait appris à prendre soin d'elle, à l'aider à marcher, manger, nettoyer. Jusqu'à ses onze ans, jielun était un enfant sans problème. une bonne éducation, une bonne attitude, aimé des ses enseignants, de ses camarades. un enfant quelque peu introverti mais intelligent, talentueux. il aimait le sourire fière qu'elle affichait lorsqu'il ramenait des bonnes notes, il aimait lorsqu'elle lui faisait des massages pour le féliciter puis lui demandait gentiment de brosser ses cheveux gris. puis un jour, elle n'eût plus aucun cheveux, son regard se fit vide et voilé et sans même qu'il ne comprenne pourquoi, le cancer l'avait emporté, elle aussi, dans l'au delà.
rien n'était plus vivant que son souvenir, ses fossettes creusées, son regard fatigués, son crâne chauve mais ce sourire, ce sourire plein de vie. et voici que du jour au lendemain elle n'était plus. le jeune pré-adolescent n'eût guère le temps d'affronter le choc de son décès qu'il était placé le jour même dans une famille d'accueil. une famille modeste, une famille accueillante, mais une famille qu'il ne désirait guère. des sourires qui n'étaient pas aussi naturels que les siens, des regards curieux, des paroles maladroites. on lui demandait de parler de sa peine, le prenait en pitié, tentait de le consoler lorsque tout ce qu'il désirait c'était la voir une dernière fois. " jielun, on pense que ce n'est pas une bonne idée, tu devrais garder les souvenirs d'elle vivante, la voir n'arrangera rien à ta peine. nous ne voulons pas de cela. " silence. la douleur, la tristesse et la colère étaient bien trop intenses pour qu'il n'eût envie de partager celles-ci avec des inconnus qui décidaient d'hors et déjà de sa vie, sa vie. il avait fuis, deux jours après, le jour de l'enterrement. il voulait y être présent et ce malgré la distance. lui qui avait grandis à Beijing et que l'on avait emmené à Hong Kong. il avait marché des heures, du haut de ses onze ans. déterminé. avant qu'il ne finisse par être répété par une patrouille et ramener chez des "parents" inquiets et tétanisés. il les haïssait. les détestait de le priver de ce deuil dont il avait tant besoin. et ce fut le début, le début de sa descente en enfer.
jielun ne parlait que le mandarin; et le coréen enseigné par son père biologique puis sa grand mère et langue que maitrisait visiblement sa nouvelle famille. on lui avait fait comprendre qu'il n'avait guère atterris ici par hasard, qu'il s'agissait du désir de sa grand-mère mais il n'avait jamais voulus y croire ou peut-être était-ce bien trop dur d'accepter le fait qu'elle ai pu le placer chez des inconnus qui lui avaient arraché négligemment son droit de deuil. à l'école les enfants parlaient cantonais entre eux, langue principale à Hong Kong, une langue qui lui était inconnue. le renfermant un peu plus sur lui même, la langue se nouant. une enfant silencieux, introverti et en difficulté. ses notes étaient abominables, non pas parcequ'il ne comprenait guère mais bien parcequ'il refusait de travailler, passer les tests, répondre aux questions. il ignorait les personnes qui l'entouraient, pseudo famille, camarades de classe et enseignants. son monde se refermait sur lui et il n'y voyait aucun mal. les persécutions commencèrent à l'adolescence, enfin, les tentatives de persécution.
il se souvient du bien fou qu'il éprouva la première fois; lorsque son arcade se fissura, du sang s'écoulant de ses narines alors qu'il souriait, sarcastique. " c'est tout ce que t'as ? " avait-il lâché du haut de ses seize ans, prétentieux, imbus de sa personne. il se souvenait de l'adrénaline qui coulait dans ses veines, cette sensation de se sentir vivant et cette envie que cela recommence. il se sentait vivant, mais pire, il se sentait respecté, il avait l'impression d'être quelqu'un. et c'est à ce moment que les choses s'envenimèrent. fugue, bagarre, vol, insultes, menaces. toujours introverti, il avait finis par ne plus accepter les moqueries, les regards déplacés, les paroles déplacés, les attitudes déplacés, les règles qu'on lui imposait ... il n'était pas une brute pour autant, il ne frappait pas pour frapper, n'insultait pas pour insulter. il punissait; régler leur compte à ces personnes qui osaient le déranger, entrer dans son espace personnel, lui manquer de respect.
son impulsivité et son attitude sauvage eurent raison des efforts de sa famille adoptive, les poussant à adopter une nouvelle tactique. toujours contre son grès. La Corée du Sud. Une opportunité professionnelle pour le père de famille; une chance de mettre un terme aux excès du jeune asiatique. la yonsei. des études qui lui plairaient et pour une fois ils ne s'étaient guère trompé. il n'aimait pas le fait que l'on choisisse pour lui, ni le fait qu'on le trimballe dans un pays qu'il ne connaissait guère. il voulait faire sa vie, voyager en solitaire, n'écouter que ses propres désirs. il aimait les cours à la Yonsei; ça lui plaisait quand bien même il avait toujours été flemmard en terme d'étude. mais les étudiants ici, n'étaient guère différent des étudiants de Hong Kong. Des grandes gueules à la recherche de reconnaissance. en soit il n'avait jamais demandé grand chose, juste qu'on lui foute la paix. cependant il fallait croire que même dans un autre pays il devait se salir les mains.
jusqu'au jour où il fut stoppé; alors qu'il s'apprêtait à assener un énième coup à ce fils de chien qui avait cru bon de lui cracher sa fumée au visage. ils les auraient bien défoncés ces deux imbéciles aussi. toujours à se mêler des histoires d'autrui mais allez savoir pourquoi il s'était retenus. surprise, méfiance; peut-être. tout ce qu'il sait c'est que ce jour marqua le commencement; celui d'un jielun bien plus extraverti, confiant et détraqué. celui d'un jeune homme certes impulsif mais qui avait finis par quitter quelque peu des yeux les bagarres pour venir les poser sur les formes délicieuses de la gente féminine. l'amitié, c'est pouvoir enfin s'ouvrir sans craindre de n'être rejeté, pouvoir parler sans être jugé, faire l'idiot et voir que cela fait rire, faire des erreurs tout en sachant qu'il y aura toujours quelqu'un pour vous aider à vous relever. l'amitié c'est être soi-même sans crainte, sans honte, tout naturellement.
Zhou Jie Lun
préjugés vains et fallacieux
Déterminé (★★★★✰) | Sauvage (★★★✰✰) | Loyal (★★★★★) | Impulsif (★★★★★) | Protecteur (★★★✰✰) |
Mythomane (★★★★✰) | Observateur (★★★★✰) | Excessif (★★★★★) | Méthodique (★★★✰✰) | Joueur (★★★★✰) |
Rumour has it... il paraît que la nuit, c’est une vraie bétonnière. Il souffre d’une déviation de la cloison nasale depuis tout petit, de ce fait, il dort souvent seul car il est impossible de supporter ses ronflements + on dit qu’il a sauté à peu près la moitié des filles du campus, les filles n’arrivent pas à résister à son sourire fou, ça s’explique pas + elles lui donnent toutes leurs numéros pour qu’il les rappelle, mais il n’a pas assez de place sur son répertoire alors il ne les enregistre pas + c’est un génie des sciences mais il est un peu feignant sur les bords, il force pas trop. Par contre, il est vraiment nul à chier en langues vivantes. Lui et l’anglais ça fait 2 + il rêverait de devenir ingénieur aéronautique pour travailler à Eurocopter, ce qui lui permettrait de retourner en Chine + il fume depuis qu’il a 16 ans + avant, il ne tenait pas un brin d’alcool, mais depuis qu’il a rencontré Jasun et Taehyun, c’est devenu un professionnel + c’est un jeune à la recherche de sensations fortes, de ce fait, il a eu son permis voiture du premier coup et il est en train de passer son permis moto + c’est un menteur invétéré, il ne souhaite pas que les gens sachent ce qu’il a vraiment vécu + c’est un bastoneur né, au collège déjà, il organisait secrètement des tournois de bagarre à la récréation. Or, il a été renvoyé 2 semaines après parce que l’un des gamins s’était fait péter le nez + il est allergique aux poils de chats et de chiens + il est grand, il mesure pas loin de 1m85 + il est athée + il est fan de rap US + son casier judiciaire est vierge mais peut-être plus pour longtemps + pendant presque 10 ans, il a joué dans la ligue junior foot en Chine, autant vous dire que c’est un cador du ballon rond + il aimerait faire le tour du monde seul + Survole l'avatar, petit coquin. | My character « Suivez le chemin du penseur hasardeux et indépendant. Exposez vos idées aux dangers de la controverse. Dites ce que vous pensez et ayez moins de crainte pour l’étiquette de « fêlé » que pour le stigmate de la conformité. Et en ce qui concerne les questions qui vous semblent importantes, défendez votre position et affirmez-vous quel qu’en soit le prix. » L’avocat du diable - Jielun est ce que l'on nommerait un ENTP. Fréquemment décrits comme futé, rapide dans la réflexion et dans la conversation, enthousiaste, ouvert, innovant, flexible, loyal et plein de ressources. Il est motivé par le désir constant de comprendre . Précis lorsqu'il s'agit de classer et de comprendre une situation, il peut cependant développer un sens de l'humour sarcastique ou tenir le rôle de l'avocat du diable. Jielun est un jeune homme ingénieux et habile à mener adéquatement une relation avec autrui, sans perdre de vue ni la fin ni les moyens. Il favorise les solutions nouvelles et inattendues pour résoudre des problèmes. Toutefois, il est moins intéressé par les stratégies détaillées que par des idées générales ou des possibilités futures. Le jeune homme voit généralement les commentaires du type « c'est impossible à faire » comme un défi personnel, et, s'il est assez motivé pour cela, fera le maximum d'efforts pour trouver une solution. Il lui arrive généralement d'être lointain, il semble souvent qu’il ne fait pas attention à ce qui se passe. Pendant une conversation, Jielun est du genre à jouer avec des objets, comme un stylo par exemple et gesticule fréquemment en racontant une histoire passionnante. Jielun n'a jamais réellement su comment garder de la distance psychologique avec les gens. Un jour, il peut être sympathique et le lendemain, il est complètement à l’opposé. Il se comporte souvent sans ménagement. Points forts -Enthousiaste, optimiste et populaire -Peut être très charmant -Excellentes compétences en communication -Extrêmement intéressé par le développement de leurs relations -Flexible et accessible -Plein d'idées, toujours prêt à travailler sur un grand projet ou une idée -Doué pour faire de l'argent, mais pas pour le gérer -Prend ses engagements et ses relations très au sérieux -Rebondit après avoir cessé une relation Points faibles -Peut changer de partenaires souvent -Tendance à ne pas donner suite à ses plans et idées -Son amour du débat peut amener à la provocation -Prend des risques avec l'argent et le dépense -Tendance à abandonner les relations qui n'offrent plus de possibilités de développement. |
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Des images me reviennent comme un souvenir tendre d'une ancienne ritournelle, autrefois en décembre. Je me souviens il me semble des jeux qu'on inventait ensemble. Je retrouve dans un sourire la flamme de mes souvenirs. Doucement, un écho comme une braise sous la cendre. Un murmure à mi-mots que mon coeur veut comprendre. la noirceur de la cendre qui flotte devant ses yeux enfantins, la chaleur étouffante, sa gorge brûlante et cette sensation de fatigue qui le pousse à s'allonger contre le sol, la fumée le recouvrant lentement jusqu'à ce qu'il ne soit plus.
Deux corps sans vie ont été dégagés en fin de matinée des décombres d’une maison qui a brûlé dans la nuit de mercredi 11 juillet au jeudi 12 juillet à Beijing, a annoncé le procureur de la République.
Les corps sont ceux d’un couple âgé d’une vingtaine d’années a précisé le procureur Li Ping Yu.Lorsque les pompiers sont arrivés sur place vers 2h40, le feu faisait déjà rage, avec des flammes s’élevant au-dessus de cette habitation en bois de trois étages, située dans le quartier de Xilou Hutong. Une torchère de plusieurs mètres de haut a contrarié les efforts des pompiers pour tenter de réduire le sinistre, qui a aussi provoqué une fuite de gaz qui s’est ensuite embrasée. « L’entrée (de l’habitation) s’est fortement embrasée, ses occupants n’ont pas pu s’échapper », a indiqué le procureur Li Ping Yu. Selon le procureur de la République, « aucune cause n’est privilégiée pour l’instant ». Mais selon les secours , il s’agirait d’un compteur à gaz qui aurait pris feu. Selon des riverains, le feu aurait débuté dans une poubelle et se serait propagé à ce compteur.
Le fils unique de cinq ans du couple aurait cependant était sauvé par les secours et serait actuellement dans un état critique. Son sauvetage revient entièrement au jeune berger allemand récemment accueillir et entraîné au sein de la caserne de pompier du district. La maison, qui aurait été édifiée dans les années 1970-1980, a été presque entièrement détruite par le sinistre, selon les témoins présents sur les lieux. La toiture s’est complètement effondrée, de même que des pans entiers de murs.
- China Daily, Le 12juillet 2001
«Parfois, il est préférable de ne rien dire et de laisser le silence s'occuper des choses.» Jamais il n'avait lu une quelconque tristesse dans les yeux ridées qu'elle posait sur lui. au fin fond de lui, il savait qu'il ne reverrait jamais ses parents mais il voulait croire en les paroles de sa grand-mère, celle lui affirmant qu'il les reverrait un jour, là haut, dans les cieux. mais jielun n'a jamais cru en l'au delà; pourquoi y croire? elle était son exemple, sa motivation, sa raison de rire. elle le guidait, le sermonnait et le consolait, et ce malgré son vieil âge. elle était sa seule attache, ce qu'il possédait de plus précieux. si au début elle s'occupait de lui, au fil des années il avait appris à prendre soin d'elle, à l'aider à marcher, manger, nettoyer. Jusqu'à ses onze ans, jielun était un enfant sans problème. une bonne éducation, une bonne attitude, aimé des ses enseignants, de ses camarades. un enfant quelque peu introverti mais intelligent, talentueux. il aimait le sourire fière qu'elle affichait lorsqu'il ramenait des bonnes notes, il aimait lorsqu'elle lui faisait des massages pour le féliciter puis lui demandait gentiment de brosser ses cheveux gris. puis un jour, elle n'eût plus aucun cheveux, son regard se fit vide et voilé et sans même qu'il ne comprenne pourquoi, le cancer l'avait emporté, elle aussi, dans l'au delà.
rien n'était plus vivant que son souvenir, ses fossettes creusées, son regard fatigués, son crâne chauve mais ce sourire, ce sourire plein de vie. et voici que du jour au lendemain elle n'était plus. le jeune pré-adolescent n'eût guère le temps d'affronter le choc de son décès qu'il était placé le jour même dans une famille d'accueil. une famille modeste, une famille accueillante, mais une famille qu'il ne désirait guère. des sourires qui n'étaient pas aussi naturels que les siens, des regards curieux, des paroles maladroites. on lui demandait de parler de sa peine, le prenait en pitié, tentait de le consoler lorsque tout ce qu'il désirait c'était la voir une dernière fois. " jielun, on pense que ce n'est pas une bonne idée, tu devrais garder les souvenirs d'elle vivante, la voir n'arrangera rien à ta peine. nous ne voulons pas de cela. " silence. la douleur, la tristesse et la colère étaient bien trop intenses pour qu'il n'eût envie de partager celles-ci avec des inconnus qui décidaient d'hors et déjà de sa vie, sa vie. il avait fuis, deux jours après, le jour de l'enterrement. il voulait y être présent et ce malgré la distance. lui qui avait grandis à Beijing et que l'on avait emmené à Hong Kong. il avait marché des heures, du haut de ses onze ans. déterminé. avant qu'il ne finisse par être répété par une patrouille et ramener chez des "parents" inquiets et tétanisés. il les haïssait. les détestait de le priver de ce deuil dont il avait tant besoin. et ce fut le début, le début de sa descente en enfer.
jielun ne parlait que le mandarin; et le coréen enseigné par son père biologique puis sa grand mère et langue que maitrisait visiblement sa nouvelle famille. on lui avait fait comprendre qu'il n'avait guère atterris ici par hasard, qu'il s'agissait du désir de sa grand-mère mais il n'avait jamais voulus y croire ou peut-être était-ce bien trop dur d'accepter le fait qu'elle ai pu le placer chez des inconnus qui lui avaient arraché négligemment son droit de deuil. à l'école les enfants parlaient cantonais entre eux, langue principale à Hong Kong, une langue qui lui était inconnue. le renfermant un peu plus sur lui même, la langue se nouant. une enfant silencieux, introverti et en difficulté. ses notes étaient abominables, non pas parcequ'il ne comprenait guère mais bien parcequ'il refusait de travailler, passer les tests, répondre aux questions. il ignorait les personnes qui l'entouraient, pseudo famille, camarades de classe et enseignants. son monde se refermait sur lui et il n'y voyait aucun mal. les persécutions commencèrent à l'adolescence, enfin, les tentatives de persécution.
il se souvient du bien fou qu'il éprouva la première fois; lorsque son arcade se fissura, du sang s'écoulant de ses narines alors qu'il souriait, sarcastique. " c'est tout ce que t'as ? " avait-il lâché du haut de ses seize ans, prétentieux, imbus de sa personne. il se souvenait de l'adrénaline qui coulait dans ses veines, cette sensation de se sentir vivant et cette envie que cela recommence. il se sentait vivant, mais pire, il se sentait respecté, il avait l'impression d'être quelqu'un. et c'est à ce moment que les choses s'envenimèrent. fugue, bagarre, vol, insultes, menaces. toujours introverti, il avait finis par ne plus accepter les moqueries, les regards déplacés, les paroles déplacés, les attitudes déplacés, les règles qu'on lui imposait ... il n'était pas une brute pour autant, il ne frappait pas pour frapper, n'insultait pas pour insulter. il punissait; régler leur compte à ces personnes qui osaient le déranger, entrer dans son espace personnel, lui manquer de respect.
son impulsivité et son attitude sauvage eurent raison des efforts de sa famille adoptive, les poussant à adopter une nouvelle tactique. toujours contre son grès. La Corée du Sud. Une opportunité professionnelle pour le père de famille; une chance de mettre un terme aux excès du jeune asiatique. la yonsei. des études qui lui plairaient et pour une fois ils ne s'étaient guère trompé. il n'aimait pas le fait que l'on choisisse pour lui, ni le fait qu'on le trimballe dans un pays qu'il ne connaissait guère. il voulait faire sa vie, voyager en solitaire, n'écouter que ses propres désirs. il aimait les cours à la Yonsei; ça lui plaisait quand bien même il avait toujours été flemmard en terme d'étude. mais les étudiants ici, n'étaient guère différent des étudiants de Hong Kong. Des grandes gueules à la recherche de reconnaissance. en soit il n'avait jamais demandé grand chose, juste qu'on lui foute la paix. cependant il fallait croire que même dans un autre pays il devait se salir les mains.
jusqu'au jour où il fut stoppé; alors qu'il s'apprêtait à assener un énième coup à ce fils de chien qui avait cru bon de lui cracher sa fumée au visage. ils les auraient bien défoncés ces deux imbéciles aussi. toujours à se mêler des histoires d'autrui mais allez savoir pourquoi il s'était retenus. surprise, méfiance; peut-être. tout ce qu'il sait c'est que ce jour marqua le commencement; celui d'un jielun bien plus extraverti, confiant et détraqué. celui d'un jeune homme certes impulsif mais qui avait finis par quitter quelque peu des yeux les bagarres pour venir les poser sur les formes délicieuses de la gente féminine. l'amitié, c'est pouvoir enfin s'ouvrir sans craindre de n'être rejeté, pouvoir parler sans être jugé, faire l'idiot et voir que cela fait rire, faire des erreurs tout en sachant qu'il y aura toujours quelqu'un pour vous aider à vous relever. l'amitié c'est être soi-même sans crainte, sans honte, tout naturellement.
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Re: Zhou Jie Lun • 周杰倫 | Sam 19 Aoû - 18:00 Citer EditerSupprimer
T'es beau frère :nabilla:
EDIT:
j'sais même pas pourquoi je pleure, michi qui dc parce qu'elle est faible déjà?
ET LSDMKFKMSLFFPOF TROP CONTENTE QUE TU TENTES NOTRE PV JPPPPPPPPP LMFSLMFS
Changkyun... bordel.... CHANGKYUN
TKT AVEC JAJA ON VA PRENDRE SOIN DE TOI (sauf quand tu feras trop chier jvais gentiment te claquer)
MAIS JTM
EDIT:
j'sais même pas pourquoi je pleure, michi qui dc parce qu'elle est faible déjà?
ET LSDMKFKMSLFFPOF TROP CONTENTE QUE TU TENTES NOTRE PV JPPPPPPPPP LMFSLMFS
Changkyun... bordel.... CHANGKYUN
TKT AVEC JAJA ON VA PRENDRE SOIN DE TOI (sauf quand tu feras trop chier jvais gentiment te claquer)
MAIS JTM
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Re: Zhou Jie Lun • 周杰倫 | Sam 19 Aoû - 18:04 Citer EditerSupprimer
ça ramène la perfection de im comme ça
bon choix de pv
bon choix de pv
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Re: Zhou Jie Lun • 周杰倫 | Sam 19 Aoû - 18:13 Citer EditerSupprimer
jtm petit frère, de tout mon coeur
(même si tu fais le con des fois)
(même si tu fais le con des fois)
- Spoiler:
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Re: Zhou Jie Lun • 周杰倫 | Sam 19 Aoû - 18:19 Citer EditerSupprimer
Ah ouais d'accord, omg
Changkyun
Ce pv aussi
& michi derrière
Pardon u.u
Rebienvenuuuue & bon courage pour la suite
Changkyun
Ce pv aussi
& michi derrière
Pardon u.u
Rebienvenuuuue & bon courage pour la suite
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Re: Zhou Jie Lun • 周杰倫 | Sam 19 Aoû - 18:37 Citer EditerSupprimer
Oooh un PV Tu fais plaisir à certains
Re et bon courage pour la suite de ta fiche
Re et bon courage pour la suite de ta fiche
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Re: Zhou Jie Lun • 周杰倫 | Sam 19 Aoû - 21:31 Citer EditerSupprimer
Alors, non, j'veux pas de toi chez les Gumiho parce que tu es après moi dans l'alphabet, ça va me perturber :bago:
Mais bon, puisque c'est toi, je devrais réussir à m'y faire
Bon courage pour ta fiche
Alors, non, j'veux pas de toi chez les Gumiho parce que tu es après moi dans l'alphabet, ça va me perturber :bago:
Mais bon, puisque c'est toi, je devrais réussir à m'y faire
Bon courage pour ta fiche
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Re: Zhou Jie Lun • 周杰倫 | Dim 20 Aoû - 12:53 Citer EditerSupprimer
YOLOLOOOOOO
REBIENVENUE TOI
L'avatar est beau je
Bonne continuation pour ta fiche
Zhou Jie Lun a écrit:date et lieu de naissance : le 6 juin 1996 = 666
YOLOLOOOOOO
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L'avatar est beau je
Bonne continuation pour ta fiche
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