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Kim Min Hyuk - 독기
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Kim Min Hyuk - 독기 | Dim 20 Aoû - 21:11 Citer EditerSupprimer ost j'ai la flemme de mettre un mp3 player yeah:
https://www.youtube.com/watch?v=baYaaSz-2_w
nom : Kim. prénom : Min Hyuk. âge : 26 ans. date et lieu de naissance : Busan, en 1990, là, 9 Novembre j'crois. origines : Coréen. nationalité : Coréen. cursus universitaire : Management. métier : Auteur/compositeur/arrangeur/producteur/rapstar. orientation sexuelle : bisexuel. classe sociale : élevée. code du règlement : j'suis pas vnu pour souffrir moi. tu veux t'investir ? panthère wsh
https://www.youtube.com/watch?v=baYaaSz-2_w
Kim Minyhuk
I told you i'm a monster
GÉNÉREUX (★★★✰✰) | NAÏF (★★★✰✰) | ATTENTIONNÉ (★★★✰✰) | LENT A LA DÉTENTE (★★★✰✰) | DÉVOUÉ (★★★✰✰) |
LUNATIQUE (★★★★✰) | APPLIQUÉ (★★★✰✰) | EMMERDEUR (★★★✰✰) | INSPIRÉ (★★★✰✰) | LÂCHE (★★★✰✰) |
Rumour has it... Survole l'avatar, petit coquin. | My character ENT J > Leader Entreprendre un projet et le réaliser jusqu'au bout, c'est son point fort. Il possède cette assurance et ces ambitions qui lui permettent d'arriver au bout de ce qu'il commence, entrainant, de par son enthousiasme, d'autres personnes avec lui. Néanmoins, il reste une personne qui préfère travailler seule, pour lui-même, plutôt que mener un groupe. > Orateur Sur scène comme en groupe, Minhyuk sait prendre la parole sans avoir la voix qui tremble. Il sait attirer l'attention de son public et possède un certain charisme qui pousse généralement les autres à l'écouter, lorsqu'il s'exprime. Il adore aussi amuser la foule. > Lunatique Il y a des matins où il ne parlera pas du tout, où il ignorera ce qu'on lui dira et où il enverra balader tout le monde. D'autres où il sera simplement d'excellente humeur, prêt à mordre la journée à pleines dents. Difficile de savoir s'il se lèvera du pied droit où gauche... mais dites vous juste qu'il est toujours plongé dans ses pensées, son esprit vaquant systématiquement dieu sait où. Parfois, les idées déprimantes prennent ainsi le dessus sur les autres et à moins de très bien le connaître, vous ne pourrez pas empêcher ses moments de blues. Ah... et il a horreur qu'on essaye de lui parler pour 'relativiser les choses', dans ces instants-là, car il ne supporte pas qu'on lui 'dise quoi faire' ou ce qui serait bien pour lui. Meilleure solution: faites lui un câlin, mettez-le devant un film et restez avec lui jusqu'à ce qu'il se sente mieux. Un contact physique et une présence vaudront mille et un mots. Peut-être qu'ensuite, il s'ouvrira de lui-même. > Easy-going Pour vexer le bonhomme, il faudra vous lever de bonne heure. Il a beaucoup d'auto-dérision et s'adapte facilement à ses interlocuteurs, que vous soyez insultants ou juste un peu trop curieux, voir familiers. Même s'il pense qu'il est important d'avoir de bonnes manières, il n'accorde pas trop d'importances aux codes sociaux du type "hyung, noona, blahblahblah". > Sûr de lui Comme il le dit si bien, "j'ai passé l'âge de me préoccuper de ce que les gens pensent de moi". Ça traduit sa manière de réfléchir et de vivre en général. Il fait ce qu'il a à faire et ne s'intéresse pas au jugement qu'on peut avoir sur sa personne. Les critiques constructives sur son travail, il les accepte néanmoins volontiers pour s'améliorer... et fait de même avec les autres. Si quelque chose ne va pas, il le dit, puis c'est tout. Pas besoin de se vexer, monsieur ne cherche jamais à être méchant, même s'il teste parfois les gens en les taquinant. |
This is my story
citation de ton choix
Applaudissements, cris et sourires sur les visages. Lumières multicolores, baffles et scènes. Voyages, studios, albums. Public, médias, travail, opportunités. Argent, pouvoir, influence, reconnaissance. Amitiés restreintes, méfiance, isolement affectif.
Vous m'auriez dit, il y a vingt ans, que j'en serais là, à donner des concerts et à sortir des MV à 5 millions de vues sur youtube, je ne vous aurais pas vraiment crus. Un gamin de la banlieue de Séoul, c'était pas censé réussir dans la vie... surtout pas quand la préoccupation principale de sa famille consistait à savoir si oui ou non il y aurait de quoi faire trois repas le lendemain pour tout le monde. Quand je dis en interview que je sais ce que c'est d'être pauvre, les amis, je ne plaisante pas. J'ai eu le ventre vide, j'ai ressenti la peur de perdre le toit de ma maison le jour où mon père s'est fait renvoyer de son travail, j'ai déjà envisagé la possibilité d'aller en établissement social pour enfants et de quitter ainsi mes parents pour les soulager financièrement. Ce sont des expériences dont je n'aime pas vraiment parler, mais je crois que sans ça, je n'aurais jamais eu le déclic de me dire « plus jamais ». Plus jamais, d'être crève la faim... plus jamais d'être sans le sou. Ce qui a sorti ma famille de cette situation, c'est le fait qu'un jour, je décide d'auditionner pour une agence d'entertainment, sait-on jamais que ça puisse rapporter un peu d'argent. Je devais avoir dans les onze ans, quelque chose comme ça, à l'époque, et mon gars, je ne m'attendais absolument pas à être retenu... pourtant, c'est ce qui est arrivé... ma bonne étoile, sans doutes. Du jour au lendemain, je me suis donc retrouvé à vivre dans un dortoir avec d'autres gars, au rythme d'entrainements divers qui nous ont emmené, petit à petit, au fil des années, à faire nos débuts en tant que groupe. L'éclate totale ! Dès que j'ai mis les pieds sur la scène, j'ai tout de suite su que rien ne me ferait quitter cet endroit sacré. L'énergie du public, la musique, tout... il y avait des inconvénients aussi, certes, mais ils n'étaient rien en comparaison de tout le bien que j'ai pu retirer de mes premières expériences. Croyez-moi... toucher à un petit bout de gloire, c'était aussitôt en vouloir beaucoup plus... et même en tant que maknae dans mon band, je m'étais mis en tête, il y a dix ans environ, de ne pas me satisfaire des miettes des autres, « au cas où le groupe ne tiendrait pas ».
Sur ce coup-là, mon intuition avait été bonne également. Après quelques années de carrière, les gars avaient commencé à quitter le bateau un par un. Chacun avait ses raisons, dira-t-on, mais perso... ça m'avait enragé. On était a deux doigts de sortir un nouvel album lorsque certains décidèrent de partir à l'armée, d'autres dans leurs pays d'origines, et puis les dernier de lâcher le morceau tout court. Ne restait donc plus que moi et ma gueule, à devoir trouver quoi faire pour continuer à tourner dans l'industrie.
À l'époque, ces départs à gauche et à droite m'avaient tellement rendu dingue en me laissant avec un gros sentiment de trahison dans le bide, que je me suis mis à devenir hyperproductif au niveau musical et dans les médias. Ca m'avait vraiment pris aux tripes... je voulais quelque part leur montrer, aux gars, qu'ils avaient eu tort de se barrer en « me lâchant » tous et c'est à cette période-ci que je fis des rencontres professionnelles qui me permirent d'avoir mes tremplins pour l'avenir. Exit la chanson et bonjour le rap. Pas que j'étais un mauvais vocaliste, loin de là, mais j'avais quand même besoin de quelque chose de plus fort que le chant pour m'exprimer... et cracher des paroles dans un micro en rythme, ça semblait être une belle porte d'ouverture. Malgré le succès obtenu suite à ce changement de direction, car j'avais consciencieusement préparé le terrain auprès du public pour être soutenu, une fois soliste, je me rendis néanmoins compte que j'allais désormais faire face à un soucis de taille : ne pas aimer la solitude, mais me retrouver seul.
Au début, quand tu bosses et que t'es a fond dans ton travail, ça va, ça te touche pas trop. T'as des amis, quand même, t'as tes collègues et tes objectifs, sans compter tes fans. Ca va... et puis plus le temps passe, plus ta situation se stabilise d'un point de vue pro et plus t'as ces angoisses qui viennent. Pis tu te sens triste, sans trop pouvoir t'expliquer pourquoi. L'appart est vide quand tu rentre chez toi, donc t'achètes un chien et tu retourne au dortoir de ta fraternité, parce que t'as prolongé tes études et que ça te donne un pass pour la confrérie. T'en profites. Des jours, ça va, d'autres jours, tu parles à personne et t'ignores les gens qui te mettent alors automatiquement dans la case « connard hautain ». J'ai commencé à comprendre de quoi certains me parlaient, lorsqu'ils me disaient que le problème principal du métier, c'était que tout le monde te connaissait, mais que toi, tu ne connaissait personne. Ca m'a posé quelques soucis avec une ou deux nanas avec qui je suis sorti, tiens... elles se faisaient une image de moi qui était pas forcément vraie, ce qui m'a vite déçu. J'ai jamais su tenir une relation, du coup... et j'ai de moins en moins fais confiance aux autres, aussi.
M'enfin, je vais pas me plaindre, hein ! J'ai tout ce qu'il me faut et je peux entretenir mes parents confortablement, aujourd'hui. Actuellement, je quitte un peu les grandes scènes pour revenir a des trucs un peu plus underground, histoire d'avoir plus de proximité avec les gens, mais pour autant, je sais que je dois quand même continuer a faire gagner du fric a mon producteur ainsi qu'à moi-même, donc je collabore avec beaucoup d'autres artistes pour étendre mon réseau.
J'ai pas une vie idéale, même si on pourrait le penser, mais j'ai pas la pire existence non plus. Je dirais... que c'est juste parfois difficile de me sentir si seul, une chose que ma situation de 'star' impose, malheureusement.
Vous m'auriez dit, il y a vingt ans, que j'en serais là, à donner des concerts et à sortir des MV à 5 millions de vues sur youtube, je ne vous aurais pas vraiment crus. Un gamin de la banlieue de Séoul, c'était pas censé réussir dans la vie... surtout pas quand la préoccupation principale de sa famille consistait à savoir si oui ou non il y aurait de quoi faire trois repas le lendemain pour tout le monde. Quand je dis en interview que je sais ce que c'est d'être pauvre, les amis, je ne plaisante pas. J'ai eu le ventre vide, j'ai ressenti la peur de perdre le toit de ma maison le jour où mon père s'est fait renvoyer de son travail, j'ai déjà envisagé la possibilité d'aller en établissement social pour enfants et de quitter ainsi mes parents pour les soulager financièrement. Ce sont des expériences dont je n'aime pas vraiment parler, mais je crois que sans ça, je n'aurais jamais eu le déclic de me dire « plus jamais ». Plus jamais, d'être crève la faim... plus jamais d'être sans le sou. Ce qui a sorti ma famille de cette situation, c'est le fait qu'un jour, je décide d'auditionner pour une agence d'entertainment, sait-on jamais que ça puisse rapporter un peu d'argent. Je devais avoir dans les onze ans, quelque chose comme ça, à l'époque, et mon gars, je ne m'attendais absolument pas à être retenu... pourtant, c'est ce qui est arrivé... ma bonne étoile, sans doutes. Du jour au lendemain, je me suis donc retrouvé à vivre dans un dortoir avec d'autres gars, au rythme d'entrainements divers qui nous ont emmené, petit à petit, au fil des années, à faire nos débuts en tant que groupe. L'éclate totale ! Dès que j'ai mis les pieds sur la scène, j'ai tout de suite su que rien ne me ferait quitter cet endroit sacré. L'énergie du public, la musique, tout... il y avait des inconvénients aussi, certes, mais ils n'étaient rien en comparaison de tout le bien que j'ai pu retirer de mes premières expériences. Croyez-moi... toucher à un petit bout de gloire, c'était aussitôt en vouloir beaucoup plus... et même en tant que maknae dans mon band, je m'étais mis en tête, il y a dix ans environ, de ne pas me satisfaire des miettes des autres, « au cas où le groupe ne tiendrait pas ».
Sur ce coup-là, mon intuition avait été bonne également. Après quelques années de carrière, les gars avaient commencé à quitter le bateau un par un. Chacun avait ses raisons, dira-t-on, mais perso... ça m'avait enragé. On était a deux doigts de sortir un nouvel album lorsque certains décidèrent de partir à l'armée, d'autres dans leurs pays d'origines, et puis les dernier de lâcher le morceau tout court. Ne restait donc plus que moi et ma gueule, à devoir trouver quoi faire pour continuer à tourner dans l'industrie.
À l'époque, ces départs à gauche et à droite m'avaient tellement rendu dingue en me laissant avec un gros sentiment de trahison dans le bide, que je me suis mis à devenir hyperproductif au niveau musical et dans les médias. Ca m'avait vraiment pris aux tripes... je voulais quelque part leur montrer, aux gars, qu'ils avaient eu tort de se barrer en « me lâchant » tous et c'est à cette période-ci que je fis des rencontres professionnelles qui me permirent d'avoir mes tremplins pour l'avenir. Exit la chanson et bonjour le rap. Pas que j'étais un mauvais vocaliste, loin de là, mais j'avais quand même besoin de quelque chose de plus fort que le chant pour m'exprimer... et cracher des paroles dans un micro en rythme, ça semblait être une belle porte d'ouverture. Malgré le succès obtenu suite à ce changement de direction, car j'avais consciencieusement préparé le terrain auprès du public pour être soutenu, une fois soliste, je me rendis néanmoins compte que j'allais désormais faire face à un soucis de taille : ne pas aimer la solitude, mais me retrouver seul.
Au début, quand tu bosses et que t'es a fond dans ton travail, ça va, ça te touche pas trop. T'as des amis, quand même, t'as tes collègues et tes objectifs, sans compter tes fans. Ca va... et puis plus le temps passe, plus ta situation se stabilise d'un point de vue pro et plus t'as ces angoisses qui viennent. Pis tu te sens triste, sans trop pouvoir t'expliquer pourquoi. L'appart est vide quand tu rentre chez toi, donc t'achètes un chien et tu retourne au dortoir de ta fraternité, parce que t'as prolongé tes études et que ça te donne un pass pour la confrérie. T'en profites. Des jours, ça va, d'autres jours, tu parles à personne et t'ignores les gens qui te mettent alors automatiquement dans la case « connard hautain ». J'ai commencé à comprendre de quoi certains me parlaient, lorsqu'ils me disaient que le problème principal du métier, c'était que tout le monde te connaissait, mais que toi, tu ne connaissait personne. Ca m'a posé quelques soucis avec une ou deux nanas avec qui je suis sorti, tiens... elles se faisaient une image de moi qui était pas forcément vraie, ce qui m'a vite déçu. J'ai jamais su tenir une relation, du coup... et j'ai de moins en moins fais confiance aux autres, aussi.
M'enfin, je vais pas me plaindre, hein ! J'ai tout ce qu'il me faut et je peux entretenir mes parents confortablement, aujourd'hui. Actuellement, je quitte un peu les grandes scènes pour revenir a des trucs un peu plus underground, histoire d'avoir plus de proximité avec les gens, mais pour autant, je sais que je dois quand même continuer a faire gagner du fric a mon producteur ainsi qu'à moi-même, donc je collabore avec beaucoup d'autres artistes pour étendre mon réseau.
J'ai pas une vie idéale, même si on pourrait le penser, mais j'ai pas la pire existence non plus. Je dirais... que c'est juste parfois difficile de me sentir si seul, une chose que ma situation de 'star' impose, malheureusement.
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Re: Kim Min Hyuk - 독기 | Dim 20 Aoû - 21:15 Citer EditerSupprimer
Ilhoon te veut pour un rp en mate ! Welcome back bro
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Re: Kim Min Hyuk - 독기 | Dim 20 Aoû - 21:16 Citer EditerSupprimer
yeah yeah thanks les garrrrrrs rp of couuurse
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Re: Kim Min Hyuk - 독기 | Dim 20 Aoû - 21:25 Citer EditerSupprimer
j'viens te voir avec minhyun parce qu'il est dans l'industrie musicale aussi . nous faudra un petit lien .
rebienvenue du coup .
rebienvenue du coup .
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Re: Kim Min Hyuk - 독기 | Dim 20 Aoû - 21:52 Citer EditerSupprimer
Minhyun: Ah ouii c'est toi qui fais partie du groupe, c'est ça? bah écoute, c'est avec grannnnd plaisir, on va surement trouver un truc, mon perso est un ex-idol.
Skylaaaaaaaa ... je l'appelle en arrivant hehe.
Thanks a vous, coréenne du nord
Skylaaaaaaaa ... je l'appelle en arrivant hehe.
Thanks a vous, coréenne du nord
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Re: Kim Min Hyuk - 독기 | Dim 20 Aoû - 22:25 Citer EditerSupprimer
c'est ça, c'est moi . et futur pyo aussi .
je viendrai te harceler pour un lien du coup
je viendrai te harceler pour un lien du coup
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Re: Kim Min Hyuk - 독기 | Lun 21 Aoû - 0:10 Citer EditerSupprimer
d'où tu me zappes fdp ALORS QUE JE TE COMMENTE
toujours je pense à toi et toi tu fais rien je me casse
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