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working together? ft saeyeon
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working together? ft saeyeon | Dim 27 Aoû - 21:16
Le théâtre était pour Somin, ce que le chant ou la danse était pour d'autres. C'était ses parents qui l'avait inscrite dans un club de théâtre lorsqu'elle devait avoir une dizaine d'années. À cette époque les parents de Somin, ou plutôt Rachel, n'avaient pas fait cela pour le bien de leur fille mais parce que le groupe des parents de la société avait tous mis leur enfant dans ce club de théâtre. Au départ Somin avait participé au cours sans réelle envie, juste parce qu'elle était obligée et qu'elle ne pouvait pas désobéir à ses parents. C'est quand elle avait passé une mauvaise journée et qu'elle avait décidé de vraiment prendre possession du personnage qu'elle devait interpréter qu'elle avait découvert toute la libération que provoquer le théâtre. On entrait dans un rôle, dans un corps et dans un esprit ce qui permettait de quitter le sien le temps d'un instant. Somin avait compris ça et elle n'a plus jamais voulu arrêter. Ses parents n'avaient jamais compris et quand la mode du théâtre fut passée ils avaient obligé Somin d'arrêter. Ce qu'ils n'ont jamais su c'est qu'en cachette Somin prenait des cours particuliers. Quand elle a quitté l'Amérique son seul vrai souci a été de se demander comment elle allait faire pour le théâtre. Qu'elle fut sa surprise quand on lui avait annoncé qu'a sa nouvelle université il y avait une potion théâtre, la brune avait sauté sur l'occasion. Elle venait tout juste de s’installer et de faire ses marques à la Yonsei et elle n'avait qu'une hâte, c'était de monter sur les planches pour se vider de sa colère contre le monde entier. C'était sans problème que l'américaine avait trouvé le théâtre. C'était une grande pièce où le son se répercutait à merveille on pouvait entendre la respiration de quelqu'un qui se trouvait à dix mètres. Somin respira en ouvrant la poitrine et en fermant les yeux. Elle avait presque un sourire aux lèvres, un vrai sourire, celui qui sort du cœur. Ici elle se sentait à sa place, elle n'avait pas ressenti ça depuis un long moment. Elle était venue un peu en avance, il y avait déjà quelques étudiants qui discutaient entre eux, un café à la main. Somin alla s'appuyer contre un mur un peu à l'écart et elle regarda ce groupe d'amis avec un soupçon d'envie dans le regard. Elle n'avait connu la vraie amitié qu'une seule fois et maintenant elle connaissait la solitude. Peu à peu les autres élèves arrivaient au compte goutte, personne ne venait près de Somin et c'était tant mieux. Le professeur fit enfin son entrée, tout de suite Somin fut en admiration, cet homme avait une prestance et un charisme qui faisait qu'on ne pouvait pas le lâcher du regard. L'homme introduisit son cours et tous les élèves étaient accrochés à ses lèvres. Même Somin, c'était pour dire. Il commença à parler de devoir, ce fut à ce moment que Somin fronça les sourcils. Un devoir ? Et pas de pratique ? Le professeur continua sur sa lancée, Somin écoutait jusqu'à ce qu'il prononce le mot « binôme ». Les devoirs seraient faits en binôme, les binômes tout comme les sujets seront tirés au sort. Dans la classe on pouvait entendre quelques murmurs de joie et d'autres un peu moins ravis par cette annonce, comme c'était le cas de Somin. Le professeur avait déjà préparé son matériel et il commençait déjà à tirer les noms au sort. Les élèves faisaient déjà des prévisions comme au loto. Finalement le nom de la brune emplit l'espace. « Kim Somin avec... Oh Saeyeon. Votre sujet sont les tragédies du 16e. » Somin soupira avant de chercher la personne qu'elle allait devoir supporter pour se travaille. Lorsqu'elle remarqua une fille au visage enfantin la regarder fixement Somin s'avança jusqu'à elle est glissa ses lunettes, qui n'étaient que des accessoires de mode, sur son nez et regarda par-dessus avec un visage sans émotion et un soupire franchissant une fois de plus ses lèvres. « C'est toi Saeyeon ? »
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saeyeon & somin
Le théâtre était pour Somin, ce que le chant ou la danse était pour d'autres. C'était ses parents qui l'avait inscrite dans un club de théâtre lorsqu'elle devait avoir une dizaine d'années. À cette époque les parents de Somin, ou plutôt Rachel, n'avaient pas fait cela pour le bien de leur fille mais parce que le groupe des parents de la société avait tous mis leur enfant dans ce club de théâtre. Au départ Somin avait participé au cours sans réelle envie, juste parce qu'elle était obligée et qu'elle ne pouvait pas désobéir à ses parents. C'est quand elle avait passé une mauvaise journée et qu'elle avait décidé de vraiment prendre possession du personnage qu'elle devait interpréter qu'elle avait découvert toute la libération que provoquer le théâtre. On entrait dans un rôle, dans un corps et dans un esprit ce qui permettait de quitter le sien le temps d'un instant. Somin avait compris ça et elle n'a plus jamais voulu arrêter. Ses parents n'avaient jamais compris et quand la mode du théâtre fut passée ils avaient obligé Somin d'arrêter. Ce qu'ils n'ont jamais su c'est qu'en cachette Somin prenait des cours particuliers. Quand elle a quitté l'Amérique son seul vrai souci a été de se demander comment elle allait faire pour le théâtre. Qu'elle fut sa surprise quand on lui avait annoncé qu'a sa nouvelle université il y avait une potion théâtre, la brune avait sauté sur l'occasion. Elle venait tout juste de s’installer et de faire ses marques à la Yonsei et elle n'avait qu'une hâte, c'était de monter sur les planches pour se vider de sa colère contre le monde entier. C'était sans problème que l'américaine avait trouvé le théâtre. C'était une grande pièce où le son se répercutait à merveille on pouvait entendre la respiration de quelqu'un qui se trouvait à dix mètres. Somin respira en ouvrant la poitrine et en fermant les yeux. Elle avait presque un sourire aux lèvres, un vrai sourire, celui qui sort du cœur. Ici elle se sentait à sa place, elle n'avait pas ressenti ça depuis un long moment. Elle était venue un peu en avance, il y avait déjà quelques étudiants qui discutaient entre eux, un café à la main. Somin alla s'appuyer contre un mur un peu à l'écart et elle regarda ce groupe d'amis avec un soupçon d'envie dans le regard. Elle n'avait connu la vraie amitié qu'une seule fois et maintenant elle connaissait la solitude. Peu à peu les autres élèves arrivaient au compte goutte, personne ne venait près de Somin et c'était tant mieux. Le professeur fit enfin son entrée, tout de suite Somin fut en admiration, cet homme avait une prestance et un charisme qui faisait qu'on ne pouvait pas le lâcher du regard. L'homme introduisit son cours et tous les élèves étaient accrochés à ses lèvres. Même Somin, c'était pour dire. Il commença à parler de devoir, ce fut à ce moment que Somin fronça les sourcils. Un devoir ? Et pas de pratique ? Le professeur continua sur sa lancée, Somin écoutait jusqu'à ce qu'il prononce le mot « binôme ». Les devoirs seraient faits en binôme, les binômes tout comme les sujets seront tirés au sort. Dans la classe on pouvait entendre quelques murmurs de joie et d'autres un peu moins ravis par cette annonce, comme c'était le cas de Somin. Le professeur avait déjà préparé son matériel et il commençait déjà à tirer les noms au sort. Les élèves faisaient déjà des prévisions comme au loto. Finalement le nom de la brune emplit l'espace. « Kim Somin avec... Oh Saeyeon. Votre sujet sont les tragédies du 16e. » Somin soupira avant de chercher la personne qu'elle allait devoir supporter pour se travaille. Lorsqu'elle remarqua une fille au visage enfantin la regarder fixement Somin s'avança jusqu'à elle est glissa ses lunettes, qui n'étaient que des accessoires de mode, sur son nez et regarda par-dessus avec un visage sans émotion et un soupire franchissant une fois de plus ses lèvres. « C'est toi Saeyeon ? »#kerushirei
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Re: working together? ft saeyeon | Mar 29 Aoû - 20:48
Avec joie, j'entrai dans la salle, bien préparée pour ce cours qui me plaisait tant. J'allais assister à un cours de théâtre. J'adorais le théâtre. Le fait qu'on puisse jouer quelqu'un d'autre, et happer tout le monde dans ce rôle m'émerveillait. Petite, je n'avais jamais pu connaître cette joie. Ce n'était qu'au collège que j'avais appris à découvrir ce qu'était le théâtre. Lorsque je l'avais découvert, je regrettais de ne pas l'avoir découvert plus tôt. Si j'avais pu, j'en aurais joué depuis bien plus longtemps. Peut-être que ça aurait même pu me permettre d'éviter toutes ces moqueries. Rien qu'en me montrant joyeuse et de bonne humeur, tout le monde me pensait joyeuse et de bonne humeur. Cette croyance n'était qu'une preuve pour me dire que j'étais douée au théâtre. J'étais particulièrement douée pour revêtir ce masque tous les jours, et mentir aux autres. C'était mon seul talent. J'en profitais tous les jours, et, ce qui était drôle, c'était que personne ne savait l'existence même de ce masque. On croyait tous en la Saeyeon qui était confiante et audacieuse, pas en la Saeyeon anxieuse et peureuse. A l'époque, le théâtre m'avait sauvée de ce monde si sombre. Je le remerciais énormément. Sans le théâtre, je ne serais rien. Peut-être aurais-je même quitté ce monde depuis longtemps puisque je n'aurais pas pu supporter les moqueries incessantes. Je remerciais chaleureusement le théâtre, et c'était bien pour ça que je l'adorais. A peine arrivée que je saluai d'autres étudiants, et les rejoignis avec un grand sourire. Une nouvelle fois, c'était parti pour revêtir ce masque. Je souriais et riais avec eux, mais ils ne savaient rien de mon secret. En effet, je ne les voyais pas comme les autres. Les autres voyaient peut-être la couleur de leurs vêtements, mais pas moi. Moi, je ne voyais que des nuances de gris. Voici mon secret : j'étais atteinte de l'achromatopsie. Selon moi, c'était quelque chose qui ne devrait jamais être découvert. A l'époque, en primaire, j'avais été victime de moqueries. Ce n'était pas normal de ne pas voir les couleurs, alors j'avais été la première victime. Ça n'avait jamais arrêté jusqu'au collège, où j'avais réussi à prendre confiance en moi grâce au théâtre. Enfin, cette confiance n'était que erronée. En réalité, j'étais toujours la Saeyeon peureuse qui avait peur des moqueries. Si je n'en avais plus peur, j'aurais déjà jeté ce masque depuis longtemps, et assumé mon handicap. Cependant, si je ne le faisais pas, c'était bien parce que j'avais encore peur du regard des autres. C'était bien plus simple de jouer un faux rôle pour s'intégrer aux autres plutôt que de rester à l'écart et d'assumer. Je n'aimais pas du tout la solitude, et la dernière chose que je voudrais qu'il m'arrive, c'était bien de rester seule. Seule, je me sentais impuissante. Alors il m'arrivait de respecter ceux qui arrivaient à rester seuls sans ressentir la moindre peur ni gêne. Ces personnes-là devaient être fortes mentalement. Je me demandais bien si un jour, j'arriverais à assumer mon complexe. Le professeur arriva, ce qui ne me laissa pas la chance de donner suite à mes pensées, et je me concentrai dans le cours. Cet homme maîtrisait parfaitement la beauté qu'était le théâtre, c'était ce qui me donnait encore plus envie de l'admirer. Il arrivait à happer toute l'attention des élèves en un mot. C'était ça, le pouvoir de la maîtrise du théâtre. On finissait par savoir quel comportement adapter face à telle personne, à force de jouer différentes personnes. C'était comme si nous, les acteurs, finissions par avoir plusieurs personnalités à force d'en jouer énormément. Chaque personne nous restait ancré dans la peau, et ne nous quittait plus. C'était l'une des facettes que j'aimais du théâtre. Cependant, à l'instant même où j'entendis le mot « exposé », ma bonne humeur retomba. Un exposé ? Je préférais nettement la pratique aux écrits ou oraux. On pouvait très bien apprendre le théâtre en pratiquant, mais on ne pouvait pas apprendre le théâtre en se renseignant dessus. Pour savoir comment pratiquer le théâtre, il fallait le pratiquer, c'était logique ! Le savoir dessus viendra naturellement avec. Alors pourquoi bon dieu nous demandait-il de faire un exposé ? Et par binôme, en plus ? Je me demandais avec qui j'allais finir... Je voulais au moins être avec une personne gentille. Je soupirai alors que d'autres s'extasiaient, puis les noms tirés au sort sortirent par deux peu à peu. J'appris ainsi que j'étais avec une certaine Kim Somin, et que nous travaillerons sur les tragédies du 16e. Le sujet ne me déplaisait pas, c'était du théâtre après tout, mais... Je connaissais Somin. Du moins, de nom. Et je savais qu'elle n'était pas quelqu'un connue pour être sympa. Elle était toujours vue seule, et lorsqu'on lui adressait la parole, on se faisait toujours rejeter par ses mots hautains et froids. Cependant, c'était ça qui m'avait attirée chez elle. J'étais devenue rapidement curieuse sur elle. Pourquoi est-ce qu'une personne pouvait vouloir être seule ? Si ça se trouvait, elle ne voulait pas être seule, mais son comportement l'obligeait. Je voulais vérifier ça... Et justement, j'en avais enfin l'occasion ! Ce qui m'avait semblé être un calvaire quelques secondes plus tôt ne l'était plus, d'un coup. Je la vis s'avancer vers moi avec une prestance qui lui appartenait, puis se poster devant moi. Elle glissa ses lunettes, l'air ennuyée, comme si ma compagnie n'allait que la déranger, puis me demanda si j'étais Saeyeon. Avec un grand sourire, je hochai ma tête. J'allais enfin en découvrir plus sur elle.
« Oui, c'est moi ! Enchantée Somin. Dis-moi, tu as déjà des idées sur les tragédies du 16e ? »
Je penchai légèrement ma tête d'un air innocent en la regardant, toute souriante.
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saeyeon & somin
Avec joie, j'entrai dans la salle, bien préparée pour ce cours qui me plaisait tant. J'allais assister à un cours de théâtre. J'adorais le théâtre. Le fait qu'on puisse jouer quelqu'un d'autre, et happer tout le monde dans ce rôle m'émerveillait. Petite, je n'avais jamais pu connaître cette joie. Ce n'était qu'au collège que j'avais appris à découvrir ce qu'était le théâtre. Lorsque je l'avais découvert, je regrettais de ne pas l'avoir découvert plus tôt. Si j'avais pu, j'en aurais joué depuis bien plus longtemps. Peut-être que ça aurait même pu me permettre d'éviter toutes ces moqueries. Rien qu'en me montrant joyeuse et de bonne humeur, tout le monde me pensait joyeuse et de bonne humeur. Cette croyance n'était qu'une preuve pour me dire que j'étais douée au théâtre. J'étais particulièrement douée pour revêtir ce masque tous les jours, et mentir aux autres. C'était mon seul talent. J'en profitais tous les jours, et, ce qui était drôle, c'était que personne ne savait l'existence même de ce masque. On croyait tous en la Saeyeon qui était confiante et audacieuse, pas en la Saeyeon anxieuse et peureuse. A l'époque, le théâtre m'avait sauvée de ce monde si sombre. Je le remerciais énormément. Sans le théâtre, je ne serais rien. Peut-être aurais-je même quitté ce monde depuis longtemps puisque je n'aurais pas pu supporter les moqueries incessantes. Je remerciais chaleureusement le théâtre, et c'était bien pour ça que je l'adorais. A peine arrivée que je saluai d'autres étudiants, et les rejoignis avec un grand sourire. Une nouvelle fois, c'était parti pour revêtir ce masque. Je souriais et riais avec eux, mais ils ne savaient rien de mon secret. En effet, je ne les voyais pas comme les autres. Les autres voyaient peut-être la couleur de leurs vêtements, mais pas moi. Moi, je ne voyais que des nuances de gris. Voici mon secret : j'étais atteinte de l'achromatopsie. Selon moi, c'était quelque chose qui ne devrait jamais être découvert. A l'époque, en primaire, j'avais été victime de moqueries. Ce n'était pas normal de ne pas voir les couleurs, alors j'avais été la première victime. Ça n'avait jamais arrêté jusqu'au collège, où j'avais réussi à prendre confiance en moi grâce au théâtre. Enfin, cette confiance n'était que erronée. En réalité, j'étais toujours la Saeyeon peureuse qui avait peur des moqueries. Si je n'en avais plus peur, j'aurais déjà jeté ce masque depuis longtemps, et assumé mon handicap. Cependant, si je ne le faisais pas, c'était bien parce que j'avais encore peur du regard des autres. C'était bien plus simple de jouer un faux rôle pour s'intégrer aux autres plutôt que de rester à l'écart et d'assumer. Je n'aimais pas du tout la solitude, et la dernière chose que je voudrais qu'il m'arrive, c'était bien de rester seule. Seule, je me sentais impuissante. Alors il m'arrivait de respecter ceux qui arrivaient à rester seuls sans ressentir la moindre peur ni gêne. Ces personnes-là devaient être fortes mentalement. Je me demandais bien si un jour, j'arriverais à assumer mon complexe. Le professeur arriva, ce qui ne me laissa pas la chance de donner suite à mes pensées, et je me concentrai dans le cours. Cet homme maîtrisait parfaitement la beauté qu'était le théâtre, c'était ce qui me donnait encore plus envie de l'admirer. Il arrivait à happer toute l'attention des élèves en un mot. C'était ça, le pouvoir de la maîtrise du théâtre. On finissait par savoir quel comportement adapter face à telle personne, à force de jouer différentes personnes. C'était comme si nous, les acteurs, finissions par avoir plusieurs personnalités à force d'en jouer énormément. Chaque personne nous restait ancré dans la peau, et ne nous quittait plus. C'était l'une des facettes que j'aimais du théâtre. Cependant, à l'instant même où j'entendis le mot « exposé », ma bonne humeur retomba. Un exposé ? Je préférais nettement la pratique aux écrits ou oraux. On pouvait très bien apprendre le théâtre en pratiquant, mais on ne pouvait pas apprendre le théâtre en se renseignant dessus. Pour savoir comment pratiquer le théâtre, il fallait le pratiquer, c'était logique ! Le savoir dessus viendra naturellement avec. Alors pourquoi bon dieu nous demandait-il de faire un exposé ? Et par binôme, en plus ? Je me demandais avec qui j'allais finir... Je voulais au moins être avec une personne gentille. Je soupirai alors que d'autres s'extasiaient, puis les noms tirés au sort sortirent par deux peu à peu. J'appris ainsi que j'étais avec une certaine Kim Somin, et que nous travaillerons sur les tragédies du 16e. Le sujet ne me déplaisait pas, c'était du théâtre après tout, mais... Je connaissais Somin. Du moins, de nom. Et je savais qu'elle n'était pas quelqu'un connue pour être sympa. Elle était toujours vue seule, et lorsqu'on lui adressait la parole, on se faisait toujours rejeter par ses mots hautains et froids. Cependant, c'était ça qui m'avait attirée chez elle. J'étais devenue rapidement curieuse sur elle. Pourquoi est-ce qu'une personne pouvait vouloir être seule ? Si ça se trouvait, elle ne voulait pas être seule, mais son comportement l'obligeait. Je voulais vérifier ça... Et justement, j'en avais enfin l'occasion ! Ce qui m'avait semblé être un calvaire quelques secondes plus tôt ne l'était plus, d'un coup. Je la vis s'avancer vers moi avec une prestance qui lui appartenait, puis se poster devant moi. Elle glissa ses lunettes, l'air ennuyée, comme si ma compagnie n'allait que la déranger, puis me demanda si j'étais Saeyeon. Avec un grand sourire, je hochai ma tête. J'allais enfin en découvrir plus sur elle.« Oui, c'est moi ! Enchantée Somin. Dis-moi, tu as déjà des idées sur les tragédies du 16e ? »
Je penchai légèrement ma tête d'un air innocent en la regardant, toute souriante.
#kerushirei
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Re: working together? ft saeyeon | Jeu 31 Aoû - 23:20
Oh Saeyeon et son air joyeux qui ne la quittait jamais. Oh Saeyeon et son visage enfantin, mignon. Oh Saeyeon était le genre de fille que Somin n'aimait pas. C'était le genre de fille trop joyeuse, trop tout. Somin sentait que la jeune femme en face d'elle avait cet air un peu niais mais qu'au fond elle était très intelligente, en tout cas elle espérait parce que sinon il allait être compliqué de travailler avec elle. Mais ça devait être le cas sinon elle ne serait pas là. Somin ne pouvait pas le supporter. Elle ne connaissait pas cette fille mais elle sentait qu'elle allait passer des mauvais moments avec elle. La brune avait peur pour son secret, et si la femme qui lui faisait face oserait toucher Somin, même par inadvertance ? Somin allait devoir faire bien attention si elle ne voulait pas encore tout reprendre à zéro. Elle avait revêtu alors son masque le plus hautain et glacial qu'elle avait en réserve en espérant qu'elle effraierait la petite brebis en face d'elle.
Saeyeon sourit bêtement sans faire attention au regard givrant de Somin, très bien Rachel allait devoir trouver une autre technique pour que la dénommée Saeyeon ne la regarde plus avec ce regard plein de douceur. Elle était décidément le total opposé de notre brune. L'autre la sortie de ses pensées lorsqu'elle parla, Somin remarqua tout de suite que sa voix était bienveillante, tout comme la plupart des choses chez elle. Comment est-ce qu'on pouvait être aussi gentille sans avoir peur que les autres se servent de nous ? Somin ne pourrait jamais être aussi gentille, d'une part à cause de sa peur et ensuite parce qu'elle savait pertinemment ce qu'il arrivait aux gens trop gentils. Ils étaient mangés par les plus gros, ceux qui comme les parents de Somin n'avaient aucune pitié. Au fond, une étincelle se créa en Somin, elle avait envie de protéger Saeyeon de tous ces gens mais bien vite elle étouffa cette naissance de faiblesse à grands seaux d'eau. Elle commença alors à exprimer quelques idées que leur sujet lui inspirait. En réalité Somin adorait pratiquer le théâtre mais elle ne s'était jamais vraiment intéressée à l'histoire même de son option. Elle en avait juste entendu parler durant des cours. Ça allait être une bonne occasion pour enrichir sa culture. En se retournant Somin vit les autres groupes qui commençaient déjà à se mettre au travail et presque immédiatement l'esprit de compétition pris place chez Somin. Je te préviens tu as intérêt à travailler, on doit être les premières, c'est clair ? Somin regarda son binôme avec un air des plus sérieux. Elle ne rigolait jamais pour les études, elle devait être première dans toutes les matières, d'une pour faire enrager tous les petits intellos binoclards et ensuite pour prouver à tout le monde qu'elle n'était pas une cruche comme la plupart des filles des riches. Alors toi tu t'occupes du début du 16e et moi de la fin, mais si tu préfères on peut tout faire ensemble. On fait une synthèse à la fin de l'heure, tu me donneras aussi ton numéro. Elle était autoritaire la brune mais elle était tellement prise dans sa volonté de réussir qu'elle avait oublié son masque de glace, ce ne fut qu'instant et elle se dépêcha de redevenir la Somin détestable. Elle alla chercher un ordinateur portable et tous les livres qui parlaient des 16e siècles avant de tout poser sur une table. La salle de théâtre était assez grande pour être munie d'une bibliothèque et de tables. Sans plus attendre Somin commença à lire les articles sur les tragédies en prenant des notes, elle était concentrée sur sa recherche. De temps en temps Somin regardait Saeyeon, elle n'avait rien à redire mais elle s'imaginait mal discutait avec cette fille plus longtemps que deux minutes et même si c'était à propos de l'exposé, non pas parce que la jeune fille avait inintéressante mais parce que Somin était incapable de tenir une conversation. Soudain une peur la pris. Attends mais ça veut dire qu'on va devoir se voir en dehors des cours ? Ne crois pas que tu viendras dans ma chambre. On ira à la bibliothèque.
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saeyeon & somin
Oh Saeyeon et son air joyeux qui ne la quittait jamais. Oh Saeyeon et son visage enfantin, mignon. Oh Saeyeon était le genre de fille que Somin n'aimait pas. C'était le genre de fille trop joyeuse, trop tout. Somin sentait que la jeune femme en face d'elle avait cet air un peu niais mais qu'au fond elle était très intelligente, en tout cas elle espérait parce que sinon il allait être compliqué de travailler avec elle. Mais ça devait être le cas sinon elle ne serait pas là. Somin ne pouvait pas le supporter. Elle ne connaissait pas cette fille mais elle sentait qu'elle allait passer des mauvais moments avec elle. La brune avait peur pour son secret, et si la femme qui lui faisait face oserait toucher Somin, même par inadvertance ? Somin allait devoir faire bien attention si elle ne voulait pas encore tout reprendre à zéro. Elle avait revêtu alors son masque le plus hautain et glacial qu'elle avait en réserve en espérant qu'elle effraierait la petite brebis en face d'elle.Saeyeon sourit bêtement sans faire attention au regard givrant de Somin, très bien Rachel allait devoir trouver une autre technique pour que la dénommée Saeyeon ne la regarde plus avec ce regard plein de douceur. Elle était décidément le total opposé de notre brune. L'autre la sortie de ses pensées lorsqu'elle parla, Somin remarqua tout de suite que sa voix était bienveillante, tout comme la plupart des choses chez elle. Comment est-ce qu'on pouvait être aussi gentille sans avoir peur que les autres se servent de nous ? Somin ne pourrait jamais être aussi gentille, d'une part à cause de sa peur et ensuite parce qu'elle savait pertinemment ce qu'il arrivait aux gens trop gentils. Ils étaient mangés par les plus gros, ceux qui comme les parents de Somin n'avaient aucune pitié. Au fond, une étincelle se créa en Somin, elle avait envie de protéger Saeyeon de tous ces gens mais bien vite elle étouffa cette naissance de faiblesse à grands seaux d'eau. Elle commença alors à exprimer quelques idées que leur sujet lui inspirait. En réalité Somin adorait pratiquer le théâtre mais elle ne s'était jamais vraiment intéressée à l'histoire même de son option. Elle en avait juste entendu parler durant des cours. Ça allait être une bonne occasion pour enrichir sa culture. En se retournant Somin vit les autres groupes qui commençaient déjà à se mettre au travail et presque immédiatement l'esprit de compétition pris place chez Somin. Je te préviens tu as intérêt à travailler, on doit être les premières, c'est clair ? Somin regarda son binôme avec un air des plus sérieux. Elle ne rigolait jamais pour les études, elle devait être première dans toutes les matières, d'une pour faire enrager tous les petits intellos binoclards et ensuite pour prouver à tout le monde qu'elle n'était pas une cruche comme la plupart des filles des riches. Alors toi tu t'occupes du début du 16e et moi de la fin, mais si tu préfères on peut tout faire ensemble. On fait une synthèse à la fin de l'heure, tu me donneras aussi ton numéro. Elle était autoritaire la brune mais elle était tellement prise dans sa volonté de réussir qu'elle avait oublié son masque de glace, ce ne fut qu'instant et elle se dépêcha de redevenir la Somin détestable. Elle alla chercher un ordinateur portable et tous les livres qui parlaient des 16e siècles avant de tout poser sur une table. La salle de théâtre était assez grande pour être munie d'une bibliothèque et de tables. Sans plus attendre Somin commença à lire les articles sur les tragédies en prenant des notes, elle était concentrée sur sa recherche. De temps en temps Somin regardait Saeyeon, elle n'avait rien à redire mais elle s'imaginait mal discutait avec cette fille plus longtemps que deux minutes et même si c'était à propos de l'exposé, non pas parce que la jeune fille avait inintéressante mais parce que Somin était incapable de tenir une conversation. Soudain une peur la pris. Attends mais ça veut dire qu'on va devoir se voir en dehors des cours ? Ne crois pas que tu viendras dans ma chambre. On ira à la bibliothèque.
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Re: working together? ft saeyeon | Dim 3 Sep - 15:41
Je l'écoutai attentivement quand elle exposa quelques idées. Au moins, elle savait de quoi elle parlait. Ça me rassurait, elle connaissait au moins le sujet. Elle en avait l'air bien passionnée, j'en étais sûre. Elle ne connaîtrait pas ces quelques idées, sinon. J'en avais vu, des gens dans le cursus qui n'en étaient même pas passionnés. Au moins, Somin l'était, et c'était ce qui me dérangeait le moins pour travailler avec elle. Peu importe à quel point elle serait froide, je serais toujours gentille et souriante avec elle. Il n'était pas question d'être aussi froide qu'elle. Pour comparer notre situation, je dirais que Somin était un glaçon qui avait gelé en son intérieur un diamant. Si j'étais aussi un glaçon, je n'allais jamais pouvoir briser sa glace, et au final, peut-être que je me briserais à mon tour, et que rien n'allait bien se finir. Mais si j'étais au contraire de la chaleur, la glace de Somin fondrait, et elle me révélerait ce qu'elle avait au fond de son cœur. Parce que j'en étais sûre : Somin avait beau se montrer froide, j'étais certaine qu'elle cachait une vraie personnalité au fond d'elle. Personne ne pouvait vivre ainsi, sans amis. Elle devait souffrir de la solitude, et à moins d'être un sociopathe, personne n'aimait pas la solitude. Elle pouvait peut-être s'en convaincre, ce n'était pas vrai, elle ne pouvait tout simplement pas rester seule pour toujours. C'était pourquoi j'avais bien envie d'être avec elle pour assister à une Somin qui sortirait de sa glace. Enfin, ça... Je n'en étais même pas sûre. Je ne savais pas à quoi sa vraie personnalité ressemblait, et puis surtout, je ne pouvais pas lui en vouloir de cacher sa personnalité. Après tout, je faisais la même chose. Je me montrais en tant qu'une fille courageuse et toujours souriante, alors que ce n'était pas le cas. J'étais très anxieuse et stressée, j'avais toujours peur qu'on découvre quoi que ce soit à propos de mes yeux. C'était pourquoi je comprenais Somin. Enfin, peut-être que Somin n'était pas comme moi, et qu'elle ne cachait rien. De toute façon, même si c'était le cas, j'aurais quand même connu une nouvelle personne. Il n'y avait donc que des bénéfices pour moi à essayer de découvrir qui était Kim Somin, celle connue pour être toujours seule et hautaine. Justement, sa phrase qu'elle me lança de nulle part me le confirma. J'esquissai un petit sourire. Pour qui me prenait-elle ? En voyant les autres binômes se mettre au travail, j'avais aussi cette flamme qui venait de naître dans mon regard. Je voulais être première, surtout que ça concernait le théâtre. Autant, les autres matières, je n'en avais pas grand chose à faire de ma place dans le classement, autant, le théâtre, c'était différent. C'était ce qui me maintenait en vie, alors je voulais être première. Je partageais donc son idée.
« C'est bien clair. » répliquai-je, confiante.
Elle me donna ensuite l'ordre de m'occuper du début du 16e sicèle, ce qui ne me déplaisait pas tant que ça. Faire les choses ensembles nous ralentirait, j'en étais certaine. Dans les groupes, il valait mieux faire une partie de son côté puis tout mettre ensemble, et voir les possibles erreurs qu'on aurait pu commettre. J'acquiesçai en tant que réponse.
« Ok, faisons ça. Je peux te donner maintenant mon numéro si tu veux, on risquera pas d'oublier comme ça. »
Juste après ça, je sortis aussi mon ordinateur et quelques affaires pour travailler. Somin étai déjà allée chercher tous les livres de la bibliothèque qui parlait du 16e, je supposai que ça ne servait à rien que j'aille en chercher d'autres, ce serait une perte de temps. Somin ne dit plus un mot, et comme on était censées travailler, je n'en dis pas un autre non plus. J'avais bien envie d'être première avec Somin aussi, alors je devais me concentrer sur ma tâche. Heureusement que certains articles avaient des nuances qui contrastaient, sinon je serais incapable de les lire. Je commençai alors à prendre des notes à mon tour, occupée à travailler. Je n'avais aucune remarque à faire à Somin, elle travaillait et je travaillais aussi. J'aurais bien envie de discuter avec elle, mais je savais que ce n'était pas le bon moment, et que je ferais mieux de travailler. A ma grande surprise, Somin éleva la voix pour dire une remarque qui me fit éclater de rire.
« Pourquoi, qu'est-ce qu'il y a dans ta chambre ? Tu as un secret ? » la taquinai-je.
working together ?
saeyeon & somin
Je l'écoutai attentivement quand elle exposa quelques idées. Au moins, elle savait de quoi elle parlait. Ça me rassurait, elle connaissait au moins le sujet. Elle en avait l'air bien passionnée, j'en étais sûre. Elle ne connaîtrait pas ces quelques idées, sinon. J'en avais vu, des gens dans le cursus qui n'en étaient même pas passionnés. Au moins, Somin l'était, et c'était ce qui me dérangeait le moins pour travailler avec elle. Peu importe à quel point elle serait froide, je serais toujours gentille et souriante avec elle. Il n'était pas question d'être aussi froide qu'elle. Pour comparer notre situation, je dirais que Somin était un glaçon qui avait gelé en son intérieur un diamant. Si j'étais aussi un glaçon, je n'allais jamais pouvoir briser sa glace, et au final, peut-être que je me briserais à mon tour, et que rien n'allait bien se finir. Mais si j'étais au contraire de la chaleur, la glace de Somin fondrait, et elle me révélerait ce qu'elle avait au fond de son cœur. Parce que j'en étais sûre : Somin avait beau se montrer froide, j'étais certaine qu'elle cachait une vraie personnalité au fond d'elle. Personne ne pouvait vivre ainsi, sans amis. Elle devait souffrir de la solitude, et à moins d'être un sociopathe, personne n'aimait pas la solitude. Elle pouvait peut-être s'en convaincre, ce n'était pas vrai, elle ne pouvait tout simplement pas rester seule pour toujours. C'était pourquoi j'avais bien envie d'être avec elle pour assister à une Somin qui sortirait de sa glace. Enfin, ça... Je n'en étais même pas sûre. Je ne savais pas à quoi sa vraie personnalité ressemblait, et puis surtout, je ne pouvais pas lui en vouloir de cacher sa personnalité. Après tout, je faisais la même chose. Je me montrais en tant qu'une fille courageuse et toujours souriante, alors que ce n'était pas le cas. J'étais très anxieuse et stressée, j'avais toujours peur qu'on découvre quoi que ce soit à propos de mes yeux. C'était pourquoi je comprenais Somin. Enfin, peut-être que Somin n'était pas comme moi, et qu'elle ne cachait rien. De toute façon, même si c'était le cas, j'aurais quand même connu une nouvelle personne. Il n'y avait donc que des bénéfices pour moi à essayer de découvrir qui était Kim Somin, celle connue pour être toujours seule et hautaine. Justement, sa phrase qu'elle me lança de nulle part me le confirma. J'esquissai un petit sourire. Pour qui me prenait-elle ? En voyant les autres binômes se mettre au travail, j'avais aussi cette flamme qui venait de naître dans mon regard. Je voulais être première, surtout que ça concernait le théâtre. Autant, les autres matières, je n'en avais pas grand chose à faire de ma place dans le classement, autant, le théâtre, c'était différent. C'était ce qui me maintenait en vie, alors je voulais être première. Je partageais donc son idée.« C'est bien clair. » répliquai-je, confiante.
Elle me donna ensuite l'ordre de m'occuper du début du 16e sicèle, ce qui ne me déplaisait pas tant que ça. Faire les choses ensembles nous ralentirait, j'en étais certaine. Dans les groupes, il valait mieux faire une partie de son côté puis tout mettre ensemble, et voir les possibles erreurs qu'on aurait pu commettre. J'acquiesçai en tant que réponse.
« Ok, faisons ça. Je peux te donner maintenant mon numéro si tu veux, on risquera pas d'oublier comme ça. »
Juste après ça, je sortis aussi mon ordinateur et quelques affaires pour travailler. Somin étai déjà allée chercher tous les livres de la bibliothèque qui parlait du 16e, je supposai que ça ne servait à rien que j'aille en chercher d'autres, ce serait une perte de temps. Somin ne dit plus un mot, et comme on était censées travailler, je n'en dis pas un autre non plus. J'avais bien envie d'être première avec Somin aussi, alors je devais me concentrer sur ma tâche. Heureusement que certains articles avaient des nuances qui contrastaient, sinon je serais incapable de les lire. Je commençai alors à prendre des notes à mon tour, occupée à travailler. Je n'avais aucune remarque à faire à Somin, elle travaillait et je travaillais aussi. J'aurais bien envie de discuter avec elle, mais je savais que ce n'était pas le bon moment, et que je ferais mieux de travailler. A ma grande surprise, Somin éleva la voix pour dire une remarque qui me fit éclater de rire.
« Pourquoi, qu'est-ce qu'il y a dans ta chambre ? Tu as un secret ? » la taquinai-je.
#kerushirei
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Re: working together? ft saeyeon | Sam 23 Sep - 22:47
Elle n'en avait plus l'habitude. De travailler en groupe. De partager ses connaissances avec quelqu’un. Elle était coupée. Couper des autres. Elle savait que comme ça elle ça t’ira la haine des autres. Mais elle avait l’habitude. Elle pouvait faire avec. Tant que personne ne s’approchait d’elle tout ira bien. Elle avait proposé son téléphone, la mignonne. Elle en avait pas envie, Somin. Mais c’était pour un devoir. Pour être les premières. Elle ferait un effort cette fois-ci elle ferait avec. tant pis. Alors elle hocha la tête.Elle change d'avis. elle va donne son numéro. Ce sera plus simple. Un papier entre les doigts elle écrivit de son écriture soignée son numéro.« Tiens. Et le perd pas. »Elle ne la regardait pas. Elle ne voulait pas s’attarder sur elle. Elle ne voulait pas lui apporter de l’importance. Une fois cette parenthèse fermée semaine se remit à travailler. Les pages défilaient entre ses doigts. Elle n’avait pas de mal pour lire vite. Elle avait l’habitude. Le travail était important chez elle, une valeur familiale. Sans mal elle a cumulé les connaissances et annoté tous les petits détails qu'elle pensait intéressants. Elle avait sur son visage cette expression. Celle du travail. Celle de la concentration. Les sourcils foncés . Les lèvres pincées. Elle arrivait à faire abstraction des bruits autour d'elle. Elle était plongée dans un autre monde. Il n’y avait plus qu'elle est le théâtre. Elle s'y voyait. Elle était dans un théâtre italien. Elle avait des habits d'époque. Elle était sur scène. Il n'y a qu'elle. Elle et le vide. Elle et la liberté. Elle ressent tout. Ses poumons se gonflent d'un air saint. Un air nouveau. Elle n'est pas elle. Pas Somin. Elle dans un personnage. Celui d'une comédienne du 16e. En faisant ça elle gratte sur le papier. Elle n'arrête pas. Elle note tout ce que pourrait ressentir une comédienne. Elle est fière d'elle. Elle sait que ces détails vont lui rapporter des points. Mais est-ce que son binôme y arrive aussi ? Elle se laissa aller. Et elle lui adressa la parole.Elle avait trouvé l'excuse de la chambre. Elle ne savait même pas pourquoi elle avait fait ça. Une première pour Somin. Plus jamais elle ne le referai. L'autre avait ris. Elle fronça les sourcils Somin. Vexée. Elle ne pris même pas la peine de répondre à la question. « Tu ferai mieux de travailler au lieu de rire comme une idiote. » La revoilà. La vipère. Même si elle ne veut pas. Elle la regarde. Elle lui apporte de l'importance. La mignonne a l'air concentrée. Tant mieux. Elle est aussi plongée dans un bouquin. Somin l'observe. Elle la détaille. Elle essaie de la comprendre. Pourquoi la brune en face d'elle sourit constamment ? Pourquoi ça a l'air si naturel chez elle ? Somin ne sourit jamais. Elle ne la comprend pas. Alors pour oublier qu'elle elle n'ait pas capable de faire ne serait-ce qu'un simple sourire parce qu'elle a peur, elle regarde les pages du livre que survole Saeyeon. Elle les regarde tellement qu'elle ne s'occupe plus de sa partie. Elle est dans le vide. Sans vraiment penser à quelque chose. Alors une image s’insère dans son champ de vision. Dans un réflexe elle plaque sa main sur cette page. Pour que la brune ne la tourne pas.« ça. Ce n'est pas mal. On pourrait parler du contraste des couleurs. T'en pense quoi . Je suis sûre que si on trouve une peinture d'un théâtre moderne ça nous rapporterai pas mal de points. Par contre je suis pas bonne pour tout ce qui description des teintes. Est-ce que tu pourrais le faire? » Somin n'avoue jamais ses défauts normalement. Mais elle a été prise dans le fil de ses actions. Elle n'a pas réfléchi. Elle fait comme si de rien n'était pour que Saeyeon ne remarque pas as gène. Elle attend simplement sa réponse. Qui tarde à venir.
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saeyeon & somin
Elle n'en avait plus l'habitude. De travailler en groupe. De partager ses connaissances avec quelqu’un. Elle était coupée. Couper des autres. Elle savait que comme ça elle ça t’ira la haine des autres. Mais elle avait l’habitude. Elle pouvait faire avec. Tant que personne ne s’approchait d’elle tout ira bien. Elle avait proposé son téléphone, la mignonne. Elle en avait pas envie, Somin. Mais c’était pour un devoir. Pour être les premières. Elle ferait un effort cette fois-ci elle ferait avec. tant pis. Alors elle hocha la tête.Elle change d'avis. elle va donne son numéro. Ce sera plus simple. Un papier entre les doigts elle écrivit de son écriture soignée son numéro.« Tiens. Et le perd pas. »Elle ne la regardait pas. Elle ne voulait pas s’attarder sur elle. Elle ne voulait pas lui apporter de l’importance. Une fois cette parenthèse fermée semaine se remit à travailler. Les pages défilaient entre ses doigts. Elle n’avait pas de mal pour lire vite. Elle avait l’habitude. Le travail était important chez elle, une valeur familiale. Sans mal elle a cumulé les connaissances et annoté tous les petits détails qu'elle pensait intéressants. Elle avait sur son visage cette expression. Celle du travail. Celle de la concentration. Les sourcils foncés . Les lèvres pincées. Elle arrivait à faire abstraction des bruits autour d'elle. Elle était plongée dans un autre monde. Il n’y avait plus qu'elle est le théâtre. Elle s'y voyait. Elle était dans un théâtre italien. Elle avait des habits d'époque. Elle était sur scène. Il n'y a qu'elle. Elle et le vide. Elle et la liberté. Elle ressent tout. Ses poumons se gonflent d'un air saint. Un air nouveau. Elle n'est pas elle. Pas Somin. Elle dans un personnage. Celui d'une comédienne du 16e. En faisant ça elle gratte sur le papier. Elle n'arrête pas. Elle note tout ce que pourrait ressentir une comédienne. Elle est fière d'elle. Elle sait que ces détails vont lui rapporter des points. Mais est-ce que son binôme y arrive aussi ? Elle se laissa aller. Et elle lui adressa la parole.Elle avait trouvé l'excuse de la chambre. Elle ne savait même pas pourquoi elle avait fait ça. Une première pour Somin. Plus jamais elle ne le referai. L'autre avait ris. Elle fronça les sourcils Somin. Vexée. Elle ne pris même pas la peine de répondre à la question. « Tu ferai mieux de travailler au lieu de rire comme une idiote. » La revoilà. La vipère. Même si elle ne veut pas. Elle la regarde. Elle lui apporte de l'importance. La mignonne a l'air concentrée. Tant mieux. Elle est aussi plongée dans un bouquin. Somin l'observe. Elle la détaille. Elle essaie de la comprendre. Pourquoi la brune en face d'elle sourit constamment ? Pourquoi ça a l'air si naturel chez elle ? Somin ne sourit jamais. Elle ne la comprend pas. Alors pour oublier qu'elle elle n'ait pas capable de faire ne serait-ce qu'un simple sourire parce qu'elle a peur, elle regarde les pages du livre que survole Saeyeon. Elle les regarde tellement qu'elle ne s'occupe plus de sa partie. Elle est dans le vide. Sans vraiment penser à quelque chose. Alors une image s’insère dans son champ de vision. Dans un réflexe elle plaque sa main sur cette page. Pour que la brune ne la tourne pas.« ça. Ce n'est pas mal. On pourrait parler du contraste des couleurs. T'en pense quoi . Je suis sûre que si on trouve une peinture d'un théâtre moderne ça nous rapporterai pas mal de points. Par contre je suis pas bonne pour tout ce qui description des teintes. Est-ce que tu pourrais le faire? » Somin n'avoue jamais ses défauts normalement. Mais elle a été prise dans le fil de ses actions. Elle n'a pas réfléchi. Elle fait comme si de rien n'était pour que Saeyeon ne remarque pas as gène. Elle attend simplement sa réponse. Qui tarde à venir. #kerushirei
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Re: working together? ft saeyeon | Mer 4 Oct - 16:13
Somin était quelqu'un de bien mystérieux. Elle se montrait toujours aussi froide et distante, et elle ne semblait pas avoir d'amis. Comme si elle n'avait aucun proche. C'était étrange, je voulais dire, comment était-ce possible de vivre sans avoir quelqu'un à qui parler ? Si je n'avais pas mes amis, je ne sais pas comment est-ce que je pourrais vivre dans cette solitude. Je comprenais bien qu'il y avait des personnes fonctionnant différemment de moi, mais le phénomène qu'était Somin m'intéressait. Travailler avec elle était donc un véritable plaisir, pour moi. Il ne semblait pas que ma coéquipière partageait ce plaisir, mais qu'importe. Bientôt, elle allait prendre du plaisir à passer du temps avec moi. Du moins, je l'espérai. Lorsque je lui demandais son numéro de téléphone, elle sembla me le tendra à contre cœur, comme si cela la gênait. D'un air glacial que seule elle maîtrisait à la perfection, elle m'ordonna de ne pas le perdre. J'esquissai un petit sourire en entendant ces mots, prenant son papier du bout des doigts.
« Pour qui me prends-tu ? Je ne vais pas perdre un papier aussi facilement que ça. »
En vérité, que je le perde ou non n'avait pas vraiment d'importance. Je sortis mon téléphone portable pour enregistrer son numéro avant de lui envoyer un message, la prévenant que c'était de ma part. Voilà, ainsi, je n'avais pas besoin de m'inquiéter de ne pas savoir quel était son numéro de portable. Je glissai tout de même le petit bout de papier dans ma poche avant de continuer à travailler. Je rentrai alors dans une phase de concentration : j'étais concentrée dans ma tâche, et je n'avais aucune autre préoccupation. Somin ne me faisait aucune remarque et moi non plus, et jusque là, tout allait bien. J'aurais aimé lui parler un peu plus, mais je ne devais pas, nous travaillions. De plus, elle voulait une bonne note, et moi aussi. Non, en réalité, nous voulions plus que ça. Nous voulions être les premières. C'était pour atteindre ce but que j'étais aussi concentrée. Cependant, ce fut Somin qui me coupa dans ma concentration en posant une question qui me fit rire. J'en profitai pour la taquiner comme j'en avais l'habitude de faire, mais je savais bien qu'elle ne me répondrait jamais sur le même ton. La preuve, elle venait de me faire une remarque glaciale. Je ne répondis rien à sa réponse, me contentant de sourire en biais. Je repris alors mon travail, regardant les différentes pages du livre que je consultais. Rien d'intéressant à noter ici... Je tournai la page. Ah, ça, ça pouvait être intéressant... Je le notai avant de passer à une autre page. Je lus le texte sans prêter attention aux images, puis amorçai le mouvement pour tourner la page. Seulement, Somin m'arrêta soudainement. Je fus surprise, relevant le regard sur elle. Je me glaçai lorsqu'elle prononça soudainement le mot « couleurs ». Pourquoi était-elle intéressée dans une image ? Cela n'allait rien apporter d'intéressant à notre exposé. Et pourquoi n'était-elle pas douée pour décrire les contrastes entre les couleurs ? Elle qui voyait la couleur, pourquoi ne savait-elle pas décrire ce qu'elle voyait ? C'était totalement absurde. Elle devait savoir comment décrire cette image. Alors, était-ce un piège qu'elle me tendait ? Savait-elle déjà le mal qui me rongeait ? N'importe quoi. Je l'avais tellement bien caché qu'elle ne pouvait pas le savoir. Surtout qu'elle ne me prêtait nullement attention. Ici, personne ne le savait. Dans cette classe, personne ne le savait. Somin ne pouvait pas le savoir. Elle n'était certainement pas du type à être curieuse sur les autres. Mais alors, que me faisait-elle là ? C'était un piège. J'en étais certaine. Je pris une large inspiration avant de soupirer par les narines. Si on me tendait un piège, c'était certain que je ne tomberai pas à l'intérieur. Je m'armai alors de mon sourire naturel en la regardant.
« C'est vrai, ça pourrait être sympa, mais, franchement, moi non plus je ne suis pas douée... Mais alors là, vraiment pas ! Il n'y a pas pire que moi pour ça. Alors, je sais que tu n'es pas très bonne, mais je suis sûre que tu ferais mieux que moi. Je préfère que ce soit toi qui le fasses... Il vaut mieux pour nous deux qu'on ait une bonne note, alors c'est mieux que ce soit toi qui t'en occupes. »
Je continuai à sourire à la fin de ma phrase. Elle n'avait aucune raison de refuser de faire ça.
working together ?
saeyeon & somin
Somin était quelqu'un de bien mystérieux. Elle se montrait toujours aussi froide et distante, et elle ne semblait pas avoir d'amis. Comme si elle n'avait aucun proche. C'était étrange, je voulais dire, comment était-ce possible de vivre sans avoir quelqu'un à qui parler ? Si je n'avais pas mes amis, je ne sais pas comment est-ce que je pourrais vivre dans cette solitude. Je comprenais bien qu'il y avait des personnes fonctionnant différemment de moi, mais le phénomène qu'était Somin m'intéressait. Travailler avec elle était donc un véritable plaisir, pour moi. Il ne semblait pas que ma coéquipière partageait ce plaisir, mais qu'importe. Bientôt, elle allait prendre du plaisir à passer du temps avec moi. Du moins, je l'espérai. Lorsque je lui demandais son numéro de téléphone, elle sembla me le tendra à contre cœur, comme si cela la gênait. D'un air glacial que seule elle maîtrisait à la perfection, elle m'ordonna de ne pas le perdre. J'esquissai un petit sourire en entendant ces mots, prenant son papier du bout des doigts.« Pour qui me prends-tu ? Je ne vais pas perdre un papier aussi facilement que ça. »
En vérité, que je le perde ou non n'avait pas vraiment d'importance. Je sortis mon téléphone portable pour enregistrer son numéro avant de lui envoyer un message, la prévenant que c'était de ma part. Voilà, ainsi, je n'avais pas besoin de m'inquiéter de ne pas savoir quel était son numéro de portable. Je glissai tout de même le petit bout de papier dans ma poche avant de continuer à travailler. Je rentrai alors dans une phase de concentration : j'étais concentrée dans ma tâche, et je n'avais aucune autre préoccupation. Somin ne me faisait aucune remarque et moi non plus, et jusque là, tout allait bien. J'aurais aimé lui parler un peu plus, mais je ne devais pas, nous travaillions. De plus, elle voulait une bonne note, et moi aussi. Non, en réalité, nous voulions plus que ça. Nous voulions être les premières. C'était pour atteindre ce but que j'étais aussi concentrée. Cependant, ce fut Somin qui me coupa dans ma concentration en posant une question qui me fit rire. J'en profitai pour la taquiner comme j'en avais l'habitude de faire, mais je savais bien qu'elle ne me répondrait jamais sur le même ton. La preuve, elle venait de me faire une remarque glaciale. Je ne répondis rien à sa réponse, me contentant de sourire en biais. Je repris alors mon travail, regardant les différentes pages du livre que je consultais. Rien d'intéressant à noter ici... Je tournai la page. Ah, ça, ça pouvait être intéressant... Je le notai avant de passer à une autre page. Je lus le texte sans prêter attention aux images, puis amorçai le mouvement pour tourner la page. Seulement, Somin m'arrêta soudainement. Je fus surprise, relevant le regard sur elle. Je me glaçai lorsqu'elle prononça soudainement le mot « couleurs ». Pourquoi était-elle intéressée dans une image ? Cela n'allait rien apporter d'intéressant à notre exposé. Et pourquoi n'était-elle pas douée pour décrire les contrastes entre les couleurs ? Elle qui voyait la couleur, pourquoi ne savait-elle pas décrire ce qu'elle voyait ? C'était totalement absurde. Elle devait savoir comment décrire cette image. Alors, était-ce un piège qu'elle me tendait ? Savait-elle déjà le mal qui me rongeait ? N'importe quoi. Je l'avais tellement bien caché qu'elle ne pouvait pas le savoir. Surtout qu'elle ne me prêtait nullement attention. Ici, personne ne le savait. Dans cette classe, personne ne le savait. Somin ne pouvait pas le savoir. Elle n'était certainement pas du type à être curieuse sur les autres. Mais alors, que me faisait-elle là ? C'était un piège. J'en étais certaine. Je pris une large inspiration avant de soupirer par les narines. Si on me tendait un piège, c'était certain que je ne tomberai pas à l'intérieur. Je m'armai alors de mon sourire naturel en la regardant.
« C'est vrai, ça pourrait être sympa, mais, franchement, moi non plus je ne suis pas douée... Mais alors là, vraiment pas ! Il n'y a pas pire que moi pour ça. Alors, je sais que tu n'es pas très bonne, mais je suis sûre que tu ferais mieux que moi. Je préfère que ce soit toi qui le fasses... Il vaut mieux pour nous deux qu'on ait une bonne note, alors c'est mieux que ce soit toi qui t'en occupes. »
Je continuai à sourire à la fin de ma phrase. Elle n'avait aucune raison de refuser de faire ça.
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