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Mad world — ft. Bao Hai [PEGI 18]
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Mad world — ft. Bao Hai [PEGI 18] | Mar 5 Sep - 20:05
Voilà un moment que le téléphone de Dahye n'a pas sonné ainsi à une heure plutôt tardive. La jeune femme vit une vie plutôt calme et tente de son mieux de ne pas faire de vague, même si parfois, ce n'est pas l'envie qui lui manque. C'est plus fort qu'elle. C'est dans ses veines. Comme la magie d'une sorcière, se chercher des ennuis est inné chez la jeune coréenne. Il faut dire que Théo fait un très bon travail et la mène de son mieux dans le droit chemin, bien qu'il soit souvent nécessaire de la prendre par la main pour lui éviter de dévier à nouveau. La plupart du temps, ça marche, mais il arrive qu'elle se dévie de sa route. Comme ce soir-là.
Euh, non, désolée Bao. Je peux vraiment pas ce soir. J'ai un truc à faire.
Un truc à faire. Da Hye ne s'exprime jamais de la sorte et ne cache pas non plus ses activités à sa douce. Elle est consciente que son comportement était plus que douteux. Malheureusement Bao Hai l'a prise de court et la jeune femme s'est retrouvée sans excuse convaincante. Il était clair, dans le ton que Bao Hai a pris pour lui répondre par la suite, qu'elle ne croyait pas un mot de ce qu'elle disait, mais Da Hye n'avait pas eu le temps de s'en soucier. Les deux jeunes femmes ont raccroché et celle qui ne faisait pas partie d'une fraternité a commencé à se préparer.
Après s'être douchée, elle revêt une robe rouge courte à outrance. La robe étant uniquement faite de dentelles, elle porte déjà en-dessous un body corset noir qui révèle parfaitement ses formes pulpeuses. Elle porte des bottines noires au talon vertigineux. Ses cheveux d'une couleur chocolat noir cascadent sur ses épaules et elle n'a qu'un trait d'eyeliner, du mascara et du rouge sur les lèvres. Malgré tout, elle est aussi sulfureuse qu'une femme fatale sortie tout droit d'un polar des années cinquante. Sa tenue ne lui convient pas et l'envie de se vomir la prend à la gorge, mais elle n'a pas le choix. Le travail n'est pas éreintant et paye bien, beaucoup mieux que son pauvre job de serveuse à l'Epsilon. Elle a casé son téléphone portable et son porte-monnaie dans un petit sac assorti à sa robe et quitte son appartement en direction d'un club huppé, quelques blocs plus loin. Le New Generation. Un des clubs les plus select de la Digital City. C'est là que son client l'attend.
Voilà un de ses dérapages. Se laisser exploiter par un petit gang de quartier traitant néanmoins avec des clients plus ou moins importants. Ce gang l'a recrutée presque exclusivement pour cela, les divertir, passer la soirée ou la nuit avec eux. Sans obligation ou engagement, lui a-t-on dit. Elle en doute mais peu lui importe. Elle n'hésite pas à entrer au New Generation, sans vraiment s'assurer que personne de ses connaissances l'ait repérée. Pourquoi s'en soucierait-elle, de toute façon ? Il n'y a aucun risque, right ? C'est ce qu'elle se dit en s'engouffrant à l'intérieur du bar. Elle a tout juste passé le vestiaire que quelqu'un l'attrape par le bras et la tire en arrière, dans ledit vestiaire. Elle lâche un petit cri de surprise. Bao !? Qu'est-ce que tu fais ici !?
It's a very mad world
Feat Bao Hai
Voilà un moment que le téléphone de Dahye n'a pas sonné ainsi à une heure plutôt tardive. La jeune femme vit une vie plutôt calme et tente de son mieux de ne pas faire de vague, même si parfois, ce n'est pas l'envie qui lui manque. C'est plus fort qu'elle. C'est dans ses veines. Comme la magie d'une sorcière, se chercher des ennuis est inné chez la jeune coréenne. Il faut dire que Théo fait un très bon travail et la mène de son mieux dans le droit chemin, bien qu'il soit souvent nécessaire de la prendre par la main pour lui éviter de dévier à nouveau. La plupart du temps, ça marche, mais il arrive qu'elle se dévie de sa route. Comme ce soir-là.
Euh, non, désolée Bao. Je peux vraiment pas ce soir. J'ai un truc à faire.
Un truc à faire. Da Hye ne s'exprime jamais de la sorte et ne cache pas non plus ses activités à sa douce. Elle est consciente que son comportement était plus que douteux. Malheureusement Bao Hai l'a prise de court et la jeune femme s'est retrouvée sans excuse convaincante. Il était clair, dans le ton que Bao Hai a pris pour lui répondre par la suite, qu'elle ne croyait pas un mot de ce qu'elle disait, mais Da Hye n'avait pas eu le temps de s'en soucier. Les deux jeunes femmes ont raccroché et celle qui ne faisait pas partie d'une fraternité a commencé à se préparer.
Après s'être douchée, elle revêt une robe rouge courte à outrance. La robe étant uniquement faite de dentelles, elle porte déjà en-dessous un body corset noir qui révèle parfaitement ses formes pulpeuses. Elle porte des bottines noires au talon vertigineux. Ses cheveux d'une couleur chocolat noir cascadent sur ses épaules et elle n'a qu'un trait d'eyeliner, du mascara et du rouge sur les lèvres. Malgré tout, elle est aussi sulfureuse qu'une femme fatale sortie tout droit d'un polar des années cinquante. Sa tenue ne lui convient pas et l'envie de se vomir la prend à la gorge, mais elle n'a pas le choix. Le travail n'est pas éreintant et paye bien, beaucoup mieux que son pauvre job de serveuse à l'Epsilon. Elle a casé son téléphone portable et son porte-monnaie dans un petit sac assorti à sa robe et quitte son appartement en direction d'un club huppé, quelques blocs plus loin. Le New Generation. Un des clubs les plus select de la Digital City. C'est là que son client l'attend.
Voilà un de ses dérapages. Se laisser exploiter par un petit gang de quartier traitant néanmoins avec des clients plus ou moins importants. Ce gang l'a recrutée presque exclusivement pour cela, les divertir, passer la soirée ou la nuit avec eux. Sans obligation ou engagement, lui a-t-on dit. Elle en doute mais peu lui importe. Elle n'hésite pas à entrer au New Generation, sans vraiment s'assurer que personne de ses connaissances l'ait repérée. Pourquoi s'en soucierait-elle, de toute façon ? Il n'y a aucun risque, right ? C'est ce qu'elle se dit en s'engouffrant à l'intérieur du bar. Elle a tout juste passé le vestiaire que quelqu'un l'attrape par le bras et la tire en arrière, dans ledit vestiaire. Elle lâche un petit cri de surprise. Bao !? Qu'est-ce que tu fais ici !?
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Re: Mad world — ft. Bao Hai [PEGI 18] | Mer 6 Sep - 10:38
Sans un regard pour l’horloge accrochée au mur, j’attrapais mon téléphone en quête de compagnie pour la soirée. Et qui de mieux que la jolie coréenne aux courbes douces et généreuses pour occuper un esprit et un corps qui ne demandaient qu'à être torturés de la façon la plus envoûtante. « Un truc ? Depuis quand les trucs passent avant ? » La jalousie et la frustration teintaient les mots qui passaient la barrière de mes lèvres de façon abrupte et froide. Je ne voulais pas lui cracher ma déception, mais j'étais une piètre menteuse et la spontanéité m'avait toujours fait défaut. « Très bien, à plus tard. » lâchai-je sans même paraître aimable. Je ne réagissais que sous l'impulsion du moment, ignorant ses projets. Elle comptait faire autre chose de sa soirée, soit ! Je ferais de même. J'enfilais tout ce qui me passait sous la main, ne prêtant pas une seconde attention une seule seconde aux tissus que j'attrapais. J'enfilais un pull noir et un jean délavé bien trop large, et je quittais le dortoir que les étudiants avaient déjà déserté. Je m’en voulais d’avoir réagi avec autant de colère, mais je ne contrôlais pas. Elle était mon expérience, et je refusais l’idée que quelqu’un d’autre puisse la possédez alors que j’estimais devoir être la seule à pouvoir profiter de ses courbes. Tu es déraisonnable Bao... Qui étais-je pour en faire ma propriété alors que moi-même je fuyais cet aspect des relations humaines. L'esprit torturé, j'avançais dans l'obscurité de la nuit pour arriver jusqu'à cette boite huppée. Les vieilles habitudes ont la vie dure... je savais que ce coin était devenu le territoire d'une bande de petites frappes qui se revendiquaient déjà comme les prochains maîtres du monde. Je passais sans les voir, bravant la foule amassée devant l'entrée pour les doubler aussi furtivement qu'efficacement. Mais mes pensées furent balayées par un corps coincé dans une robe bien trop moulante dont le rouge appelait à plus qu'un simple regard. Je reconnaissais entre mille ces hanches voluptueuses et cette taille fine sur laquelle j'avais souvent glissé mes mains impatientes. Elle se fout de ma gueule ?! D'un geste, je l'attrapais pour l'attirer vers moi, vers le vestiaire qui se trouvait juste à côté. « Ce que je fais ici ? Et toi alors ? C'est ça ton truc ? » Si la robe la mettait en valeur, elle n’attisait en moi que la colère d’avoir été trompée. « Tu peux m’expliquer ce que tu fous ici, et dans cette tenue ? » Croisant les bras sur ma poitrine, elle savait aussi bien que moi que je ne la laisserais pas partir aussi facilement.
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Feat Da Hye
Sans un regard pour l’horloge accrochée au mur, j’attrapais mon téléphone en quête de compagnie pour la soirée. Et qui de mieux que la jolie coréenne aux courbes douces et généreuses pour occuper un esprit et un corps qui ne demandaient qu'à être torturés de la façon la plus envoûtante. « Un truc ? Depuis quand les trucs passent avant ? » La jalousie et la frustration teintaient les mots qui passaient la barrière de mes lèvres de façon abrupte et froide. Je ne voulais pas lui cracher ma déception, mais j'étais une piètre menteuse et la spontanéité m'avait toujours fait défaut. « Très bien, à plus tard. » lâchai-je sans même paraître aimable. Je ne réagissais que sous l'impulsion du moment, ignorant ses projets. Elle comptait faire autre chose de sa soirée, soit ! Je ferais de même. J'enfilais tout ce qui me passait sous la main, ne prêtant pas une seconde attention une seule seconde aux tissus que j'attrapais. J'enfilais un pull noir et un jean délavé bien trop large, et je quittais le dortoir que les étudiants avaient déjà déserté. Je m’en voulais d’avoir réagi avec autant de colère, mais je ne contrôlais pas. Elle était mon expérience, et je refusais l’idée que quelqu’un d’autre puisse la possédez alors que j’estimais devoir être la seule à pouvoir profiter de ses courbes. Tu es déraisonnable Bao... Qui étais-je pour en faire ma propriété alors que moi-même je fuyais cet aspect des relations humaines. L'esprit torturé, j'avançais dans l'obscurité de la nuit pour arriver jusqu'à cette boite huppée. Les vieilles habitudes ont la vie dure... je savais que ce coin était devenu le territoire d'une bande de petites frappes qui se revendiquaient déjà comme les prochains maîtres du monde. Je passais sans les voir, bravant la foule amassée devant l'entrée pour les doubler aussi furtivement qu'efficacement. Mais mes pensées furent balayées par un corps coincé dans une robe bien trop moulante dont le rouge appelait à plus qu'un simple regard. Je reconnaissais entre mille ces hanches voluptueuses et cette taille fine sur laquelle j'avais souvent glissé mes mains impatientes. Elle se fout de ma gueule ?! D'un geste, je l'attrapais pour l'attirer vers moi, vers le vestiaire qui se trouvait juste à côté. « Ce que je fais ici ? Et toi alors ? C'est ça ton truc ? » Si la robe la mettait en valeur, elle n’attisait en moi que la colère d’avoir été trompée. « Tu peux m’expliquer ce que tu fous ici, et dans cette tenue ? » Croisant les bras sur ma poitrine, elle savait aussi bien que moi que je ne la laisserais pas partir aussi facilement.
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Re: Mad world — ft. Bao Hai [PEGI 18] | Mer 6 Sep - 10:57
Idiote qu'elle était, Dahye n'a pas réfléchi avant d'entrer dans ce bar. Elle aurait du vérifier que personne n'aurait pu l'y voir mais, comme toujours, elle a agi avec ses jambes au lieu de réfléchir avec sa tête en premier. Et à nouveau, cela lui porte préjudice car elle se retrouve avec la femme qu'elle avait éconduit un peu plus tôt dans la soirée, toutes deux serrées comme deux sardines dans un vestiaire un peu trop intimiste. De même, elle aurait du réfléchir avant de sauter avec autant d'agressivité sur Bao car cette attitude ne la mènera nulle part avec la blondie. Cependant, Dahye panique à l'idée que son client s'impatiente et ne la paie pas bien, ainsi que des conséquences de ses actions auprès des membres du gang. Ceci dit, elle a un avantage sur eux, ils ne savent rien d'elle. Ni son vrai nom, ni l'endroit où elle vit. Au besoin, elle pourra retourner aux dortoirs de l'université et ils ne la retrouveront jamais. Mais à ce moment précis, sa principale source d'inquiétude ne concerne pas ces types mais bel et bien la belle blonde, garçon manqué sur les bords, qui se tient devant elle, bras croisés, et la sermonne comme si Dahye lui appartenait. Cette pensée rend la jeune femme furieuse. Elle n'appartient à personne. Quoi ? Je n'ai pas le droit d'avoir déjà des choses prévues !? fait-elle avec provocation, adoptant la même posture que sa douce à ce moment-là. Ce que je fais ici ? Je gagne du fric. Tu vois le vieux assis tout seul à sa table ? C'est mon client. Je lui tiens compagnie quelques heures, je le fais boire et dépenser des sous pour moi, puis je me casse. Cette robe, c'est juste pour lui faire miroiter ce qu'il n'aura pas. A tout bien y réfléchir, Dahye ne comprend même pas pourquoi elle trouve le besoin de se justifier. Peut-être car en son for intérieur, elle ne veut pas que Bao Hai soit en colère après elle et tente d'apaiser les tensions, malgré le ton agressif sur lequel elle parle. Elle espère que ces explications contenteront la demoiselle mais c'est alors que lui vient une idée qui la fait sourire. Certes, c'est mal d'escroquer de l'argent à qui que ce soit, mais ce type est clairement plein aux as et un petit trou dans son compte en banque ne lui ferait strictement rien. Son sourire en dit bien long tandis qu'elle passe une main à l'arrière de la nuque de sa belle, afin de l'attirer à elle, pressant leurs lèvres les unes contre les autres en un doux baiser qui se prolonge lorsqu'elle saisit la taille de Bao Hai de sa main libre. Lorsqu'elle s'écarte, elle ne manque pas de prendre sa main délicatement, puis se penche à nouveau pour pouvoir observer l'homme qui l'attend toujours. Que dirais-tu de profiter avec moi de la générosité de ce type ? propose-t-elle à son amie avec un sourire diabolique, révélant sans mal toutes ses intentions.
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Feat Bao Hai
Idiote qu'elle était, Dahye n'a pas réfléchi avant d'entrer dans ce bar. Elle aurait du vérifier que personne n'aurait pu l'y voir mais, comme toujours, elle a agi avec ses jambes au lieu de réfléchir avec sa tête en premier. Et à nouveau, cela lui porte préjudice car elle se retrouve avec la femme qu'elle avait éconduit un peu plus tôt dans la soirée, toutes deux serrées comme deux sardines dans un vestiaire un peu trop intimiste. De même, elle aurait du réfléchir avant de sauter avec autant d'agressivité sur Bao car cette attitude ne la mènera nulle part avec la blondie. Cependant, Dahye panique à l'idée que son client s'impatiente et ne la paie pas bien, ainsi que des conséquences de ses actions auprès des membres du gang. Ceci dit, elle a un avantage sur eux, ils ne savent rien d'elle. Ni son vrai nom, ni l'endroit où elle vit. Au besoin, elle pourra retourner aux dortoirs de l'université et ils ne la retrouveront jamais. Mais à ce moment précis, sa principale source d'inquiétude ne concerne pas ces types mais bel et bien la belle blonde, garçon manqué sur les bords, qui se tient devant elle, bras croisés, et la sermonne comme si Dahye lui appartenait. Cette pensée rend la jeune femme furieuse. Elle n'appartient à personne. Quoi ? Je n'ai pas le droit d'avoir déjà des choses prévues !? fait-elle avec provocation, adoptant la même posture que sa douce à ce moment-là. Ce que je fais ici ? Je gagne du fric. Tu vois le vieux assis tout seul à sa table ? C'est mon client. Je lui tiens compagnie quelques heures, je le fais boire et dépenser des sous pour moi, puis je me casse. Cette robe, c'est juste pour lui faire miroiter ce qu'il n'aura pas. A tout bien y réfléchir, Dahye ne comprend même pas pourquoi elle trouve le besoin de se justifier. Peut-être car en son for intérieur, elle ne veut pas que Bao Hai soit en colère après elle et tente d'apaiser les tensions, malgré le ton agressif sur lequel elle parle. Elle espère que ces explications contenteront la demoiselle mais c'est alors que lui vient une idée qui la fait sourire. Certes, c'est mal d'escroquer de l'argent à qui que ce soit, mais ce type est clairement plein aux as et un petit trou dans son compte en banque ne lui ferait strictement rien. Son sourire en dit bien long tandis qu'elle passe une main à l'arrière de la nuque de sa belle, afin de l'attirer à elle, pressant leurs lèvres les unes contre les autres en un doux baiser qui se prolonge lorsqu'elle saisit la taille de Bao Hai de sa main libre. Lorsqu'elle s'écarte, elle ne manque pas de prendre sa main délicatement, puis se penche à nouveau pour pouvoir observer l'homme qui l'attend toujours. Que dirais-tu de profiter avec moi de la générosité de ce type ? propose-t-elle à son amie avec un sourire diabolique, révélant sans mal toutes ses intentions.Invité
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Re: Mad world — ft. Bao Hai [PEGI 18] | Mer 6 Sep - 12:20
J’agissais de manière déplacée et certainement puérile, mais je me fichais de ce qu’elle pouvait penser. Je prenais son mensonge pour une trahison et d’autant plus lorsqu'elle osait s'afficher dans une tenue des plus provocantes en m'évinçant aussi lâchement qu'avec pour seule raison un truc à faire. « Ne me prends pas pour une imbécile ! » Et en plus elle croisait les bras de manière effrontée, mais c'était elle la fautive ! « Tu gagnes du fric ? Tu te prostitues maintenant ?! » Le monde prit soudain une teinte plus sombre encore que la faible lueur des néons qui clignotaient au-dessus de nos têtes. Si j'avais envisagé d'en venir à cette activité il y a quelques années, je m'étais vite rendue compte que satisfaire des hommes aux regards lubriques et obéir à des ordres qui sonnaient comme des menaces étaient loin d'être un modèle de réussite. La dominatrice que j'étais ne savait rester en retrait et la soif de ce pouvoir que je me plaisais à exercer sur les hommes restait insatiable. Imaginer Da Hye dans cette situation, happée par un monde bien plus obscur que les paillettes qui luisaient sur sa robe, bien loin de ce monde étudiant dans lequel nous avions décidé d'évoluer malgré tout.... non. Je répugnais à l'idée que ce vieux rabougri qui l'attendait la bave aux lèvres ne puisse poser un doigt sur elle. « Tu imagines qu'il te laisseras partir avec quelques beaux sourires ? » N'était-elle pas consciente de ce dans quoi elle s'engageait ? « Tu as perdu l'esprit ! Je ne vois pas d'autres explications ! » La colère disparue au profit d’un sourire que je ne lui connaissais que trop bien et qui masquait à peine un esprit presque aussi perverti que le mien. Je n’y répondis pas, la laissant user de ses charmes pour venir habiller mes lèvres des siennes. Elle taquinait de sa langue une bouche qui céda trop facilement pour goûter ce nectar avec lequel j’aimais m’enivrer. La chaleur de sa paume se répandit sur ma taille alors qu’elle décidait de rompre un baiser que j’aurais voulu continuer. La coréenne aux yeux sombres avait d’autres plans, et d’une moue provocatrice, elle dévoila des pensées que j’aurais dû deviner. « Da Hye… » soupirai-je « Premièrement je n’ai aucune intention de faire du charme à un vieil homme, et ensuite… regardes moi ! Je suis loin de convenir aux standards de ce richard décérébré ! » Mais on ne retient pas le vent, et Da Hye était surement aussi insaisissable que l’air qui filait entre mes doigts. « Vas, mais je reste à distance pour intervenir si besoin ! » Je lui accordais une liberté relative, je me connaissais suffisamment pour savoir que je ne resterais pas assise bien longtemps.
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Feat Da Hye
J’agissais de manière déplacée et certainement puérile, mais je me fichais de ce qu’elle pouvait penser. Je prenais son mensonge pour une trahison et d’autant plus lorsqu'elle osait s'afficher dans une tenue des plus provocantes en m'évinçant aussi lâchement qu'avec pour seule raison un truc à faire. « Ne me prends pas pour une imbécile ! » Et en plus elle croisait les bras de manière effrontée, mais c'était elle la fautive ! « Tu gagnes du fric ? Tu te prostitues maintenant ?! » Le monde prit soudain une teinte plus sombre encore que la faible lueur des néons qui clignotaient au-dessus de nos têtes. Si j'avais envisagé d'en venir à cette activité il y a quelques années, je m'étais vite rendue compte que satisfaire des hommes aux regards lubriques et obéir à des ordres qui sonnaient comme des menaces étaient loin d'être un modèle de réussite. La dominatrice que j'étais ne savait rester en retrait et la soif de ce pouvoir que je me plaisais à exercer sur les hommes restait insatiable. Imaginer Da Hye dans cette situation, happée par un monde bien plus obscur que les paillettes qui luisaient sur sa robe, bien loin de ce monde étudiant dans lequel nous avions décidé d'évoluer malgré tout.... non. Je répugnais à l'idée que ce vieux rabougri qui l'attendait la bave aux lèvres ne puisse poser un doigt sur elle. « Tu imagines qu'il te laisseras partir avec quelques beaux sourires ? » N'était-elle pas consciente de ce dans quoi elle s'engageait ? « Tu as perdu l'esprit ! Je ne vois pas d'autres explications ! » La colère disparue au profit d’un sourire que je ne lui connaissais que trop bien et qui masquait à peine un esprit presque aussi perverti que le mien. Je n’y répondis pas, la laissant user de ses charmes pour venir habiller mes lèvres des siennes. Elle taquinait de sa langue une bouche qui céda trop facilement pour goûter ce nectar avec lequel j’aimais m’enivrer. La chaleur de sa paume se répandit sur ma taille alors qu’elle décidait de rompre un baiser que j’aurais voulu continuer. La coréenne aux yeux sombres avait d’autres plans, et d’une moue provocatrice, elle dévoila des pensées que j’aurais dû deviner. « Da Hye… » soupirai-je « Premièrement je n’ai aucune intention de faire du charme à un vieil homme, et ensuite… regardes moi ! Je suis loin de convenir aux standards de ce richard décérébré ! » Mais on ne retient pas le vent, et Da Hye était surement aussi insaisissable que l’air qui filait entre mes doigts. « Vas, mais je reste à distance pour intervenir si besoin ! » Je lui accordais une liberté relative, je me connaissais suffisamment pour savoir que je ne resterais pas assise bien longtemps.
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Re: Mad world — ft. Bao Hai [PEGI 18] | Mer 6 Sep - 14:30
La prostitution, un bien grand mot. Dahye lève les yeux au ciel avec un petit sourire. Si seulement Bao Hai savait. Alors que son alter ego blond s'évertue à s'énerver pour des broutilles, Da Hye l'observe avec un petit sourire en coin. Tu t'inquiètes pour rien, Bao. Ils me laissent tous repartir avec un joli sourire. Tous. Preuve qu'elle n'en est pas à son premier client. Pour l'instant, bien que ça soit dans son contrat, elle n'a jamais eu à passer la nuit avec ses clients et compte bien continuer sur cette lancée. Cependant, il n'est pas rare qu'ils l'emmènent faire du shopping dans les boutiques ouvertes même la nuit et c'est à ce moment-là qu'elle en profite. Néanmoins, elle sait que cela ne serait pas suffisant pour convaincre son amie alors elle abandonne juste le débat. Qu'elle pense ce qui lui chante. Écoute, fais ce que tu veux, mais ne fait pas de vague, sinon l'argent va me passer sous le nez. Après avoir déposer un doux baiser sur la joue de sa belle, Da Hye se remet en route. Son client n'a pas l'air particulièrement embêté de la voir en retard et la salue poliment. Contrairement à d'autres, il est très réservé, plutôt gentleman, jusqu'à faire en sorte que Dahye se demande pourquoi il a demandé ces services, jusqu'à ce qu'il se dévoile lui-même. Il voulait simplement de la compagnie après une longue réunion et ne veut rien de plus d'elle que sa présence pour la soirée. Malgré la tenue outrancière de Dahye, il la regarde toujours droit dans les yeux. Il n'est pas aussi vieux que le disait Bao et si c'est le cas, il se porte particulièrement bien. Tandis que Dahye jette de temps à autres des regards rassurants en direction de son amie qui s'est assise pas trop loin, l'homme ne semble même pas le remarquer. Au bout d'un moment, elle n'y tient plus. Je m'excuse une minute, je reviens. Sur ce, elle se lève et tire sur sa robe avant de s'avancer en direction de Bao Hai. Mais au lieu de lui parler directement, elle lui sourit et se dirige derrière elle vers les toilettes pour femmes. C'est là-dedans qu'elle attend son ami en rigolant. Cela fait une bonne heure qu'elle est avec cet homme et aucun autre n'a été aussi galant que lui. A l'instant même où Bao Hai passe l'entrée des toilettes, elle attrape sa belle et la pousse dans une cabine, tournant le verrou. Alors ? Rassurée ? demande-t-elle et s'adossant au mur de la cabine.
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La prostitution, un bien grand mot. Dahye lève les yeux au ciel avec un petit sourire. Si seulement Bao Hai savait. Alors que son alter ego blond s'évertue à s'énerver pour des broutilles, Da Hye l'observe avec un petit sourire en coin. Tu t'inquiètes pour rien, Bao. Ils me laissent tous repartir avec un joli sourire. Tous. Preuve qu'elle n'en est pas à son premier client. Pour l'instant, bien que ça soit dans son contrat, elle n'a jamais eu à passer la nuit avec ses clients et compte bien continuer sur cette lancée. Cependant, il n'est pas rare qu'ils l'emmènent faire du shopping dans les boutiques ouvertes même la nuit et c'est à ce moment-là qu'elle en profite. Néanmoins, elle sait que cela ne serait pas suffisant pour convaincre son amie alors elle abandonne juste le débat. Qu'elle pense ce qui lui chante. Écoute, fais ce que tu veux, mais ne fait pas de vague, sinon l'argent va me passer sous le nez. Après avoir déposer un doux baiser sur la joue de sa belle, Da Hye se remet en route. Son client n'a pas l'air particulièrement embêté de la voir en retard et la salue poliment. Contrairement à d'autres, il est très réservé, plutôt gentleman, jusqu'à faire en sorte que Dahye se demande pourquoi il a demandé ces services, jusqu'à ce qu'il se dévoile lui-même. Il voulait simplement de la compagnie après une longue réunion et ne veut rien de plus d'elle que sa présence pour la soirée. Malgré la tenue outrancière de Dahye, il la regarde toujours droit dans les yeux. Il n'est pas aussi vieux que le disait Bao et si c'est le cas, il se porte particulièrement bien. Tandis que Dahye jette de temps à autres des regards rassurants en direction de son amie qui s'est assise pas trop loin, l'homme ne semble même pas le remarquer. Au bout d'un moment, elle n'y tient plus. Je m'excuse une minute, je reviens. Sur ce, elle se lève et tire sur sa robe avant de s'avancer en direction de Bao Hai. Mais au lieu de lui parler directement, elle lui sourit et se dirige derrière elle vers les toilettes pour femmes. C'est là-dedans qu'elle attend son ami en rigolant. Cela fait une bonne heure qu'elle est avec cet homme et aucun autre n'a été aussi galant que lui. A l'instant même où Bao Hai passe l'entrée des toilettes, elle attrape sa belle et la pousse dans une cabine, tournant le verrou. Alors ? Rassurée ? demande-t-elle et s'adossant au mur de la cabine.Invité
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Re: Mad world — ft. Bao Hai [PEGI 18] | Mer 6 Sep - 15:10
Je la regardais me fuir pour se retrouver seule avec un homme au teint gris. Il avait l'air las et fatigué, mais je ne me fiais pas à son apparent état vaseux, sous les regards vitreux pouvaient se cacher bien plus qu'une lueur éteinte. Je le savais par expérience, que dès l'instant où la vulnérabilité semblait pourtant réelle. Ses paroles rassurantes ne trouvèrent pas le chemin d'un cœur inquiet pour cette coréenne dont je m'étais éprise. Je l'aimais, d'un amour limité certes, mais je portais une affection particulière à celle à qui j'avais ouvert une voix interdite. De ces ébats qui nous avaient rapprochés pour finalement nous lier bien plus que ce que j'avais prévu. « Je ferais des vagues si j'en ai envie. » marmonnai-je. Je n'adressai ce discours qu'à moi-même, ne voulant pas non plus faire fuir la coréenne plus qu'elle ne le faisait déjà. Et non loin du lieu de son rendez-vous, je prenais place. M'asseyant seule à une table, mon regard glissait à intervalles réguliers vers Da Hye, souriante et pimpante, elle semblait distraire l'homme d'affaire à la perfection. Et une nouvelle fois, la jalousie frappa, faisant battre mes tempes, tordant un estomac affamé d'un appétit que je savais comment combler, je la regardais jouer de ses charmes pour obtenir un sourire avec une facilité déconcertante. Elle m'épatait presque. Je fus néanmoins surprise de la voir interrompre ce moment de complicité forcée pour passer à côté de moi en me gratifiant d'une simple moue satisfaite. Il ne me fallut qu'une fraction de secondes pour me lever à mon tour et suivre ces hanches qui se balançaient à un rythme calme et régulier jusqu'à disparaître dans les toilettes, ce temple de l'intimité. La commissure de mes lèvres frémit, affichant un plaisir mutin sur un visage soudainement éclairé par le désir. Je poussais le battant pour me faire enlever aussitôt la porte passée et me retrouver prise au piège par cette coréenne décidément bien trop joueuse pour que je puisse lui en vouloir plus longtemps. « Rassurée ? » La tension enflammait un corps déjà échauffé, n'attendant qu'un geste, qu'un mot de sa part pour s'enliser dans ce brasier qu'elle provoquait. « As-tu seulement conscience de ce que tu me fais ? » Elle taquinait cette appétence qu'elle connaissait si bien, mais je dominais encore et toujours. L'impatience était une habitude et l'impulsivité fut jouée par une main que je fis glisser sur sa taille. « Tu risques d'avoir à nouveau du retard ! » Je vins mordre la chair fine et délicate de son cou en y plantant des baisers assoiffés, quand d'une main je fis descendre la glissière d'une robe qu'elle devrait abandonner. Dévoilant une dentelle noire sous laquelle se cachait le vice d'une brune aux allures de poupée, je marquais une pause. Si elle voulait jouer, elle n'était pas la seule.
It's a very mad world
Feat Da Hye
Je la regardais me fuir pour se retrouver seule avec un homme au teint gris. Il avait l'air las et fatigué, mais je ne me fiais pas à son apparent état vaseux, sous les regards vitreux pouvaient se cacher bien plus qu'une lueur éteinte. Je le savais par expérience, que dès l'instant où la vulnérabilité semblait pourtant réelle. Ses paroles rassurantes ne trouvèrent pas le chemin d'un cœur inquiet pour cette coréenne dont je m'étais éprise. Je l'aimais, d'un amour limité certes, mais je portais une affection particulière à celle à qui j'avais ouvert une voix interdite. De ces ébats qui nous avaient rapprochés pour finalement nous lier bien plus que ce que j'avais prévu. « Je ferais des vagues si j'en ai envie. » marmonnai-je. Je n'adressai ce discours qu'à moi-même, ne voulant pas non plus faire fuir la coréenne plus qu'elle ne le faisait déjà. Et non loin du lieu de son rendez-vous, je prenais place. M'asseyant seule à une table, mon regard glissait à intervalles réguliers vers Da Hye, souriante et pimpante, elle semblait distraire l'homme d'affaire à la perfection. Et une nouvelle fois, la jalousie frappa, faisant battre mes tempes, tordant un estomac affamé d'un appétit que je savais comment combler, je la regardais jouer de ses charmes pour obtenir un sourire avec une facilité déconcertante. Elle m'épatait presque. Je fus néanmoins surprise de la voir interrompre ce moment de complicité forcée pour passer à côté de moi en me gratifiant d'une simple moue satisfaite. Il ne me fallut qu'une fraction de secondes pour me lever à mon tour et suivre ces hanches qui se balançaient à un rythme calme et régulier jusqu'à disparaître dans les toilettes, ce temple de l'intimité. La commissure de mes lèvres frémit, affichant un plaisir mutin sur un visage soudainement éclairé par le désir. Je poussais le battant pour me faire enlever aussitôt la porte passée et me retrouver prise au piège par cette coréenne décidément bien trop joueuse pour que je puisse lui en vouloir plus longtemps. « Rassurée ? » La tension enflammait un corps déjà échauffé, n'attendant qu'un geste, qu'un mot de sa part pour s'enliser dans ce brasier qu'elle provoquait. « As-tu seulement conscience de ce que tu me fais ? » Elle taquinait cette appétence qu'elle connaissait si bien, mais je dominais encore et toujours. L'impatience était une habitude et l'impulsivité fut jouée par une main que je fis glisser sur sa taille. « Tu risques d'avoir à nouveau du retard ! » Je vins mordre la chair fine et délicate de son cou en y plantant des baisers assoiffés, quand d'une main je fis descendre la glissière d'une robe qu'elle devrait abandonner. Dévoilant une dentelle noire sous laquelle se cachait le vice d'une brune aux allures de poupée, je marquais une pause. Si elle voulait jouer, elle n'était pas la seule.
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