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moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony
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moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 15:24 Citer EditerSupprimer
nom : moon. prénom : hyunsoo. âge : 25 ans. date et lieu de naissance : 26.08.1992. origines : coréennes. nationalité : coréenne. cursus universitaire : deux années de formation dans une école de cuisine parisienne. métier : restaurateur. orientation sexuelle : hétérosexuel. classe sociale : d'un milieu initialement modeste, hyunsoo a su bâtir sa propre sa fortune - il ne roule toujours pas sur l'or, mais plusieurs années d'un travail acharné lui ont permis de rassembler assez de fonds pour ouvrir un restaurant assez select dans les beaux quartiers la ville. code du règlement : Ok par MOGO. tu veux t'investir ? je voudrais faire partie des citizen ♥
Moon Hyun Soo
hungry heart
TRAVAILLEUR (★★★★✰) | POSSESSIF (★★★✰✰) | DETERMINE (★★★★★) | JALOUX (★★★✰✰) | PERFECTIONNISTE (★★★✰✰) |
MANIPULATEUR (★★★★✰) | CHARMEUR (★★★✰✰) | COLERIQUE (★★★✰✰) | MÛR (★★★★★) | VIOLENT (★★★✰✰) |
Rumour has it... si tu t'es marié si tôt, c'est parce que ta trop jeune fiancée attendait un bébé (si seulement...) Survole l'avatar, petit coquin. | My character T’es un café noir, sans sucre et bien serré. Tu ne connais que l’amertume et le fiel du ressentiment. Dès le biberon, tu as pu goûter aux disputes de tes parents et aux paroles acides qu’ils se balançaient. Leur aigreur t’a empoisonné. A cause d’eux, tu es toujours sur la défensive, prêt à faire ravaler ses mots à la première personne qui aurait l’idée de te contrarier. Tu te méfies de tout et de tous. Même quand la vie se montre un peu plus douce avec toi, tes sourcils demeurent froncés, et tes yeux se mettent à guetter ce qui va venir te voler ce bonheur que tu as à peine eu le temps de savourer. Tu ne te reposes jamais sur tes lauriers ; tu travailles toujours d’arrache-pied de peur de voir tout ce que tu as construit s’effondrer. Perfectionniste, tu ne te rends pas compte que le mieux peut être l’ennemi du bien. Tu en veux toujours plus, et tes exigences insatiables finissent toujours par fatiguer ceux qui t’entourent. Incapables de se plier à ce que tu attends d’eux, ils veulent alors t’échapper. Mais pour toi, il n’est pas question de les laisser s’en tirer ; on t’a déjà suffisamment abandonné. Tu les retiens donc contre leur volonté. Ils se débattent, mais tu sais leur ôter l’envie de lutter. Habile manipulateur, tu susurres à leur oreille les mots qu’ils ont envie d’entendre. Ta voix suave et le miel de tes promesses enrobent l’âcre venin que tu distilles dans leurs veines. Vidés de leurs forces et de leur sève, ils se rendent enfin. Mais ne va pas te leurrer : tu les écœures bien plus que tu ne possèdes leurs cœurs. |
This is my story
thirsty for your love
I.
Ce soir-là, quand tu rentres de l’école, la table a déjà été dressée. Tous tes plats préférés la recouvrent, servis dans la plus belle vaisselle que vous possédez. Avant de partir, ta mère a tenu à te préparer le repas de famille dont tu as toujours rêvé. Mais elle a oublié que, pour que tout soit parfait, il te fallait des parents, assis à tes côtés. Peut-être qu’elle s’en souviendra, peut-être qu’elle reviendra… Tu te le répètes tellement que tu finis par y croire. Tu attends donc. La soupe refroidit, le riz devient sec et perd sa saveur. Tu attends encore. La chair des fruits brunit et pourrit, des mouches se mettent à tourner autour. Tu te dis quand même que tout espoir n’est pas perdu. Ce n’est qu’aux premières lueurs de l’aube que tu te rends. Tu retournes en cours sans rien avaler, le ventre vide et le cœur plein de colère. Tout ceci te donne tellement la nausée que tu es obligé de revenir en milieu de journée. Cette fois, ton père est là. Il est assis dans la pénombre, les yeux rivés sur le festin gâché. Il laisse les aliments se décomposer comme il a laissé son mariage s’étioler. Tu ne sais pas ce qui te donne le plus envie de gerber : la nourriture avariée ou l’impuissance grotesque de ton géniteur. Dans tous les cas, tu en veux terriblement à ce dernier. Toi aussi, si tu le pouvais, tu quitterais cette bicoque de pêcheur où tout empeste l’alcool et la marée.
D’ailleurs, quelques années plus tard, alors que tu viens tout juste de souffler sur ta treizième bougie, tu fais ton sac et décides de te barrer. Mais alors que tu t’apprêtes à passer la porte, une voix s’élève dans la chambre d’à-côté. C’est l’autre imbécile qui, dans son sommeil, appelle le nom de la femme qui l’a brisé. La rage cède le pas à la pitié. Tu restes, mais tu te jures de ne pas finir comme lui. Tandis qu’il s’enfonce dans le désespoir, tu reprends la maison en main. Tu n’es encore qu’un gamin, mais c’est bientôt toi qui fais tout sous ce toit : courses, lessive, ménage… Tu t’occupes même des repas. Mais ton géniteur, manger, cela ne l’intéresse pas. Il préfère boire. Alors, tandis qu’il se noie dans son chagrin et dans son verre, tu retournes à table, seul – encore et toujours seul.
II.
Avec le temps, tu t’habitues à dîner en n’ayant pour compagnie que le silence et des chaises qui restent désespérément vides. Néanmoins, tu envies toujours tous ces couples et ces familles qui fréquentent le restaurant où tu travailles comme serveur. Tu aimerais faire partie de ces cercles fermés dans lesquels on rit et on converse avec légèreté, sans voir le temps passer… Mais soudain, un ordre que ton supérieur aboie te ramène à la réalité. Tu n’es pas là pour rêvasser. Combien de fois faudra-t-il donc te le répéter ? Tu reprends ton plateau, mais dans la précipitation, tu manques de le renverser. Décidemment, en salle, tu es une vraie calamité. Heureusement que le gérant te connaît depuis longtemps ; ton paternel est l’un de ses fournisseurs. Au lieu de te virer, il te fait passer en cuisine. Et, ô surprise, c’est là que tu te révèles. Tu n’aurais jamais cru qu’être derrière les fourneaux te plairait. Mais quand, dans l’entrebâillement de la porte, tu vois des personnes entamer une assiette que tu as composées, tu as un peu l’impression que leur sourire t’est adressé.
Tu progresses si vite qu’un jour, le chef te fait une proposition que tu n’aurais jamais osé imaginer : le suivre à Paris pendant deux ans, pour te former. Tu sautes l’occasion ; toi qui pensais ne jamais pouvoir quitter cette île où tu étouffes, tu vas enfin pouvoir découvrir le monde. Même si, de la ville des lumières et de l’amour, tu ne vois pas grand-chose tant tu restes dans ta cuisine. Bourreau de travail, tu veux te montrer à la hauteur de la chance qui t’est donnée. Levé à cinq heures du matin pour courir les marchés, couché à deux heures après avoir lavé le four jusqu’à ce qu’il étincèle… tu te mets beaucoup la pression. Trop, peut-être. Tu prends quelques mauvaises habitudes : une cigarette par-ci, trois-quatre verres de vin par-là.
III.
Mais ce n’est ainsi que tu peux goûter au succès. Lorsque tu reviens sur ton caillou, tu deviens sous-chef dans l’un des hôtels les plus prestigieux de la ville. Tu es très fier de toi, mais il manque quelque chose pour faire ton bonheur. Quelqu’un. Elle s’appelle Ha Young. Ses baisers sont doux et sucrés. Tu ne sais pas pourquoi tu t’attaches à elle plutôt qu’à une autre. Peut-être est-ce parce que, toute en candeur et en naïveté, elle te rappelle l’enfant que tu n’as jamais pu être. Tu t’éprends de sa pureté. Rien ne doit pouvoir venir l’altérer ou la corrompre. Tu es là pour la protéger, la gardant jalousement à tes côtés. Tout va très vite : la demande en mariage, l’emménagement dans votre premier appartement, les projets d’avenir… Les autres disent que vous ne devriez pas être aussi pressés. Mais toi, tu t’en fous des autres. Tout ce qui t’intéresse, c’est cette famille que vous êtes en train de fonder. Avec Ha Young, tu as enfin un foyer, un point d’attache, une personne qui t’attend, le soir. Cette fille représente tout pour toi – tout ce dont t’as toujours rêvé, tout ce que tu n’osais même plus espérer.
Cependant, son monde à elle, lui, ne se résume pas qu’à toi. Autour d’elle, il y a ses parents et le reste de sa famille. Et surtout, ce presque frère dont le regard ne la quitte jamais : Tae Woong – il s’agit de quelqu’un que tu connais (car, après tout, sur cette motte de terre lâché au beau milieu de l’océan, tout le monde se connaît) ; il s’agit même d’un môme que tu appréciais. Mais à force de le voir avec Ha Young, tu finis par le détester. Quand ils sont tous les deux, tu sens bien qu’ils te mettent de côté. Mais t’es fatigué de voir les gens que tu aimes t’abandonner ; cette fois, tu vas t’accrocher. Lorsque votre première dispute éclate à ce sujet, tu attrapes Ha Young par le poignet. Elle dit qu’elle a mal, mais ton étreinte se fait plus étroite encore. Tes ongles s’enfoncent dans sa peau jusqu’à y laisser ta marque.
Parfois, tu demandes si tu n’as pas tout gâché. Tu regardes les bleus qui recouvrent ce corps frêle et autrefois immaculé. Est-ce donc toi qui l’as souillé ainsi ? Non, ce sont tes mains. Non, ce sont des poings. Ils ont agi contre volonté. Et puis, tu t’es excusé, tu t’es mis à genoux et tu l’as promis que, plus jamais, cela ne se reproduirait. Tu lui as juré que cette fois, tout allait vraiment s’arranger. Elle devait te pardonner. Elle te pardonnait toujours. Ou du moins, est-ce ce dont tu es persuadé. C’est la raison ce soir-là, assis devant le dîner aux chandelles que tu as préparées pour te racheter, tu commences par te dire qu’elle va bien finir par arriver. Elle sait pourtant bien que tu n’aimes pas attendre ; néanmoins, tu veux bien lui donner une chance. Tu rallumes la flamme que le vent a à nouveau soufflé. Les heures passent. Les bougies ne cessent de diminuer, de la cire coule sur la nappe. Ce n’est que lorsque le noir complet se fait que tu comprends qu’elle aussi, elle s’est en allée…
Ce soir-là, quand tu rentres de l’école, la table a déjà été dressée. Tous tes plats préférés la recouvrent, servis dans la plus belle vaisselle que vous possédez. Avant de partir, ta mère a tenu à te préparer le repas de famille dont tu as toujours rêvé. Mais elle a oublié que, pour que tout soit parfait, il te fallait des parents, assis à tes côtés. Peut-être qu’elle s’en souviendra, peut-être qu’elle reviendra… Tu te le répètes tellement que tu finis par y croire. Tu attends donc. La soupe refroidit, le riz devient sec et perd sa saveur. Tu attends encore. La chair des fruits brunit et pourrit, des mouches se mettent à tourner autour. Tu te dis quand même que tout espoir n’est pas perdu. Ce n’est qu’aux premières lueurs de l’aube que tu te rends. Tu retournes en cours sans rien avaler, le ventre vide et le cœur plein de colère. Tout ceci te donne tellement la nausée que tu es obligé de revenir en milieu de journée. Cette fois, ton père est là. Il est assis dans la pénombre, les yeux rivés sur le festin gâché. Il laisse les aliments se décomposer comme il a laissé son mariage s’étioler. Tu ne sais pas ce qui te donne le plus envie de gerber : la nourriture avariée ou l’impuissance grotesque de ton géniteur. Dans tous les cas, tu en veux terriblement à ce dernier. Toi aussi, si tu le pouvais, tu quitterais cette bicoque de pêcheur où tout empeste l’alcool et la marée.
D’ailleurs, quelques années plus tard, alors que tu viens tout juste de souffler sur ta treizième bougie, tu fais ton sac et décides de te barrer. Mais alors que tu t’apprêtes à passer la porte, une voix s’élève dans la chambre d’à-côté. C’est l’autre imbécile qui, dans son sommeil, appelle le nom de la femme qui l’a brisé. La rage cède le pas à la pitié. Tu restes, mais tu te jures de ne pas finir comme lui. Tandis qu’il s’enfonce dans le désespoir, tu reprends la maison en main. Tu n’es encore qu’un gamin, mais c’est bientôt toi qui fais tout sous ce toit : courses, lessive, ménage… Tu t’occupes même des repas. Mais ton géniteur, manger, cela ne l’intéresse pas. Il préfère boire. Alors, tandis qu’il se noie dans son chagrin et dans son verre, tu retournes à table, seul – encore et toujours seul.
II.
Avec le temps, tu t’habitues à dîner en n’ayant pour compagnie que le silence et des chaises qui restent désespérément vides. Néanmoins, tu envies toujours tous ces couples et ces familles qui fréquentent le restaurant où tu travailles comme serveur. Tu aimerais faire partie de ces cercles fermés dans lesquels on rit et on converse avec légèreté, sans voir le temps passer… Mais soudain, un ordre que ton supérieur aboie te ramène à la réalité. Tu n’es pas là pour rêvasser. Combien de fois faudra-t-il donc te le répéter ? Tu reprends ton plateau, mais dans la précipitation, tu manques de le renverser. Décidemment, en salle, tu es une vraie calamité. Heureusement que le gérant te connaît depuis longtemps ; ton paternel est l’un de ses fournisseurs. Au lieu de te virer, il te fait passer en cuisine. Et, ô surprise, c’est là que tu te révèles. Tu n’aurais jamais cru qu’être derrière les fourneaux te plairait. Mais quand, dans l’entrebâillement de la porte, tu vois des personnes entamer une assiette que tu as composées, tu as un peu l’impression que leur sourire t’est adressé.
Tu progresses si vite qu’un jour, le chef te fait une proposition que tu n’aurais jamais osé imaginer : le suivre à Paris pendant deux ans, pour te former. Tu sautes l’occasion ; toi qui pensais ne jamais pouvoir quitter cette île où tu étouffes, tu vas enfin pouvoir découvrir le monde. Même si, de la ville des lumières et de l’amour, tu ne vois pas grand-chose tant tu restes dans ta cuisine. Bourreau de travail, tu veux te montrer à la hauteur de la chance qui t’est donnée. Levé à cinq heures du matin pour courir les marchés, couché à deux heures après avoir lavé le four jusqu’à ce qu’il étincèle… tu te mets beaucoup la pression. Trop, peut-être. Tu prends quelques mauvaises habitudes : une cigarette par-ci, trois-quatre verres de vin par-là.
III.
Mais ce n’est ainsi que tu peux goûter au succès. Lorsque tu reviens sur ton caillou, tu deviens sous-chef dans l’un des hôtels les plus prestigieux de la ville. Tu es très fier de toi, mais il manque quelque chose pour faire ton bonheur. Quelqu’un. Elle s’appelle Ha Young. Ses baisers sont doux et sucrés. Tu ne sais pas pourquoi tu t’attaches à elle plutôt qu’à une autre. Peut-être est-ce parce que, toute en candeur et en naïveté, elle te rappelle l’enfant que tu n’as jamais pu être. Tu t’éprends de sa pureté. Rien ne doit pouvoir venir l’altérer ou la corrompre. Tu es là pour la protéger, la gardant jalousement à tes côtés. Tout va très vite : la demande en mariage, l’emménagement dans votre premier appartement, les projets d’avenir… Les autres disent que vous ne devriez pas être aussi pressés. Mais toi, tu t’en fous des autres. Tout ce qui t’intéresse, c’est cette famille que vous êtes en train de fonder. Avec Ha Young, tu as enfin un foyer, un point d’attache, une personne qui t’attend, le soir. Cette fille représente tout pour toi – tout ce dont t’as toujours rêvé, tout ce que tu n’osais même plus espérer.
Cependant, son monde à elle, lui, ne se résume pas qu’à toi. Autour d’elle, il y a ses parents et le reste de sa famille. Et surtout, ce presque frère dont le regard ne la quitte jamais : Tae Woong – il s’agit de quelqu’un que tu connais (car, après tout, sur cette motte de terre lâché au beau milieu de l’océan, tout le monde se connaît) ; il s’agit même d’un môme que tu appréciais. Mais à force de le voir avec Ha Young, tu finis par le détester. Quand ils sont tous les deux, tu sens bien qu’ils te mettent de côté. Mais t’es fatigué de voir les gens que tu aimes t’abandonner ; cette fois, tu vas t’accrocher. Lorsque votre première dispute éclate à ce sujet, tu attrapes Ha Young par le poignet. Elle dit qu’elle a mal, mais ton étreinte se fait plus étroite encore. Tes ongles s’enfoncent dans sa peau jusqu’à y laisser ta marque.
Parfois, tu demandes si tu n’as pas tout gâché. Tu regardes les bleus qui recouvrent ce corps frêle et autrefois immaculé. Est-ce donc toi qui l’as souillé ainsi ? Non, ce sont tes mains. Non, ce sont des poings. Ils ont agi contre volonté. Et puis, tu t’es excusé, tu t’es mis à genoux et tu l’as promis que, plus jamais, cela ne se reproduirait. Tu lui as juré que cette fois, tout allait vraiment s’arranger. Elle devait te pardonner. Elle te pardonnait toujours. Ou du moins, est-ce ce dont tu es persuadé. C’est la raison ce soir-là, assis devant le dîner aux chandelles que tu as préparées pour te racheter, tu commences par te dire qu’elle va bien finir par arriver. Elle sait pourtant bien que tu n’aimes pas attendre ; néanmoins, tu veux bien lui donner une chance. Tu rallumes la flamme que le vent a à nouveau soufflé. Les heures passent. Les bougies ne cessent de diminuer, de la cire coule sur la nappe. Ce n’est que lorsque le noir complet se fait que tu comprends qu’elle aussi, elle s’est en allée…
About me
Je suis...
blues.
Coucou ! Il n'y a pas grand-chose à dire à mon sujet ^___^ J'ai 26 ans, j'aime beaucoup écrire. Je rôde souvent sur les forums à la recherche du pv qui fera chavirer mon coeur (je préfère jouer les pv parce que sinon, je me sens trop inutile ToT), et je suis tomber sur le scénario de Hae Young et Tae Woon, et j'ai pas pu résister. J'espère que vous m'aimerez quand même, même si Hyun Soo est retors et méchant. Promis, il n'a pas (complètement) mauvais fond.
Célébrité prise
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE)</upper></taken> ✎ <lower>pseudo membre</lower>
PV pris
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t14203-hwang-min-hyun-minhyun-nu-est-moon-hyun-soo]▼[/url] <taken><upper>HWANG MIN HYUN (NU'EST, WANNA ONE)</upper></taken> ✎ <lower>moon hyun soo</lower>
Supprimez le code inutile ♥
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 15:38 Citer EditerSupprimer
bien le bonjour monsieur et forcément t'as pris le pv elles vont être heureuses ravies de t'avoir parmi nous en tout cas jeune plante ! et bon courage pour la fin de ta fiche je vois que c'est déjà bien avancé tout ça !
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 15:42 Citer EditerSupprimer
OKAY J'ESPERE QUE T'ES PRET A TE FAIRE PETER LES DENTS :comeatme:. on touche pas à mon chaton sans en payer les conséquences .
en vrai, j'suis trop heureuse que tu prennes ce pv . bon, ça me fait genre extrêmement chier parce que c'est minhyun . mais bon, il colle trop au perso . la joueuse de hayoung a mis longtemps pour me le faire accepter dans ce rôle . j'ai pleuré .
j'ai hâte de jouer avec toi . bienvenue . et bon courage pour ta fiche
en vrai, j'suis trop heureuse que tu prennes ce pv . bon, ça me fait genre extrêmement chier parce que c'est minhyun . mais bon, il colle trop au perso . la joueuse de hayoung a mis longtemps pour me le faire accepter dans ce rôle . j'ai pleuré .
j'ai hâte de jouer avec toi . bienvenue . et bon courage pour ta fiche
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 16:00 Citer EditerSupprimer
et j'suis même pas co sous taehyun pour ramener le bodyguard numéro 2 d'hayoung :comeatme:
jpp tu fais des heureuses avec ce pv! trop contente que tu ais craqué
du coup.. BIENVENUE SUR LE FORUM !
bon courage pour l'écriture de ta fichette, hâte d'en lire plus
ps: MOI JE TAIME DEJA QUAND MÊME VUI NON MAIS
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 16:13 Citer EditerSupprimer
ceux qui prennent des pv, c'est forcément des gens bien
ptn tu fais des heureuses en plus
bienvenue par ici, tu vas être cajoler ici
ptn tu fais des heureuses en plus
bienvenue par ici, tu vas être cajoler ici
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 16:23 Citer EditerSupprimer
Bienvenue Fighting pour ta fiche et bon choix de pv
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 16:31 Citer EditerSupprimer
bienvenue parmi nous avec ce super pv ! tu fais pleins pleins d'heureux lààà !!!!
bonne chance pour ta fiche, hâte de lire tout ça
bonne chance pour ta fiche, hâte de lire tout ça
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 19:36 Citer EditerSupprimer
COMMENT JE SUIS TROP CONTENTE ça va être trop bien à jouer tout ça, j'ai hâte !
merci encore de d'intéresser au pv, et puis au petit triangle
bon courage pour ta fiche, j'aime déjà ce que je lis
merci encore de d'intéresser au pv, et puis au petit triangle
bon courage pour ta fiche, j'aime déjà ce que je lis
t'as quand même dit qu'il était parfait pour le rôle après avoir lu le scénarioOh Tae Woong a écrit:en vrai, j'suis trop heureuse que tu prennes ce pv . bon, ça me fait genre extrêmement chier parce que c'est minhyun . mais bon, il colle trop au perso . la joueuse de hayoung a mis longtemps pour me le faire accepter dans ce rôle . j'ai pleuré .
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 19:54 Citer EditerSupprimer
minhyun :nabilla: :nabilla: :nabilla:
j'veux être pd avec toi :nabilla: :nabilla: :nabilla:
bienvenue sur stw !! bon choix de pv, je te souhaite bon courage pour ta fiche
j'veux être pd avec toi :nabilla: :nabilla: :nabilla:
bienvenue sur stw !! bon choix de pv, je te souhaite bon courage pour ta fiche
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Re: moon hyun soo ⚡︎ bittersweet symphony | Lun 11 Sep - 19:57 Citer EditerSupprimer
oui c'est ce que j'ai dit que j'aimais le perso après . mais ça me fait toujours mal au coeur parce que c'est minhyun .
je sors même mon minhyun parce que nu'est quoi .
Lee Ha Young a écrit:t'as quand même dit qu'il était parfait pour le rôle après avoir lu le scénarioOh Tae Woong a écrit:en vrai, j'suis trop heureuse que tu prennes ce pv . bon, ça me fait genre extrêmement chier parce que c'est minhyun . mais bon, il colle trop au perso . la joueuse de hayoung a mis longtemps pour me le faire accepter dans ce rôle . j'ai pleuré .
oui c'est ce que j'ai dit que j'aimais le perso après . mais ça me fait toujours mal au coeur parce que c'est minhyun .
je sors même mon minhyun parce que nu'est quoi .
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