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Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥]
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Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Mar 12 Sep - 15:18
Un bruit assourdissant résonne dans le compartiment, réveillant quelques personnes s'étant assoupies sur les sièges du métro et faisant sursauter plus d'un. Les yeux écarquillés comme des billes, les mains protégeant mon corps, principalement ma poitrine, je regarde d'un air affreusement dégoûtée l'homme qui se trouve à mes côtés, le scrutant de haut en bas. « MAIS CA NE VA PAS !! Espèce de pervers » dis-je en lui criant dessus, ahurie par un tel comportement, alertant alors toutes les personnes autour de moi, dévisageant à leur tour cet inconnu étrange, le considérant alors comme un potentiel prédateur. Je n'arrive pas à croire que cet homme ait osé agir de cette manière, de si bon matin, et dans le métro qui plus est, entouré de tous ces témoins. Pourtant, je ne suis franchement pas une potentielle proie, au vu de ma tenue vestimentaire. Je n'ai pas de jupe courte, pas de décolleté plongeant, rien qui puisse attirer la main de cet étranger sur mon postérieur. Certes je dois avoir une belle silhouette, une poitrine voluptueuse néanmoins cachée par des vêtements trop larges, des jambes grandes et somptueuses, mais tout de même, ce n'est pas une raison pour attirer un pervers. Quoique je doute qu'il existe dans ce monde une raison d'en attirer un. Enfin qu'importe, cet homme a osé poser le doigt sur moi, touchant mon derrière avec ses mains sales. Je pointe brusquement mon doigt vers lui, l'air menaçante, « yaaahhhhhh ! Est-ce que je vous ai donné l'autorisation de toucher mes fesses, je ne crois pas non. C'est honteux! Comment est-ce que vous pouvez agir de la sorte avec une femme innocente et pure comme moi ! », personne présent dans le compartiment qui me connaît pour démentir un tel fait ? C'est parfait. « Je devrai donner votre alerte pour que vous ne recommenciez plus ». Et sans même attendre une réponse de sa part ou même une quelconque intervention, je lui assène d'un violent coup de sac sur sa tête . . . puis deux . . . puis trois. Je m'arrête tout de même avant de l’assommer totalement. « Si je vous revoie dans les parages vous êtes un homme mort, ok ? Vous avez compris ? ». Je le regarde d’un air particulièrement menaçant, lui faisant ainsi comprendre qu’il est dans ton intérêt de ne pas croiser de nouveau mon chemin, pour peu que je le signale à la police, ce que je risque tout de même de faire. Il ne faudrait pas qu’il y ait d’autres victimes. Encore une fois je ne lui laisse pas le temps de se défendre ou autre puisque pile au moment où je finis ma phrase, j’arrive à ma gare de destination, prête à sortir. Mais . . . cet homme, malgré mes menaces, semble vouloir me suivre, puisqu’il s’apprête à descendre à la même gare que moi. Suis-je en plein rêve ? Ou plutôt en plein cauchemar ? En plus d’être un pervers, c’est un stalkeur, il ne manquait plus que ça ! Je suis servie !!
Un pervers, un stalkeur et . . . son idole
Feat Seyong ♥
Un bruit assourdissant résonne dans le compartiment, réveillant quelques personnes s'étant assoupies sur les sièges du métro et faisant sursauter plus d'un. Les yeux écarquillés comme des billes, les mains protégeant mon corps, principalement ma poitrine, je regarde d'un air affreusement dégoûtée l'homme qui se trouve à mes côtés, le scrutant de haut en bas. « MAIS CA NE VA PAS !! Espèce de pervers » dis-je en lui criant dessus, ahurie par un tel comportement, alertant alors toutes les personnes autour de moi, dévisageant à leur tour cet inconnu étrange, le considérant alors comme un potentiel prédateur. Je n'arrive pas à croire que cet homme ait osé agir de cette manière, de si bon matin, et dans le métro qui plus est, entouré de tous ces témoins. Pourtant, je ne suis franchement pas une potentielle proie, au vu de ma tenue vestimentaire. Je n'ai pas de jupe courte, pas de décolleté plongeant, rien qui puisse attirer la main de cet étranger sur mon postérieur. Certes je dois avoir une belle silhouette, une poitrine voluptueuse néanmoins cachée par des vêtements trop larges, des jambes grandes et somptueuses, mais tout de même, ce n'est pas une raison pour attirer un pervers. Quoique je doute qu'il existe dans ce monde une raison d'en attirer un. Enfin qu'importe, cet homme a osé poser le doigt sur moi, touchant mon derrière avec ses mains sales. Je pointe brusquement mon doigt vers lui, l'air menaçante, « yaaahhhhhh ! Est-ce que je vous ai donné l'autorisation de toucher mes fesses, je ne crois pas non. C'est honteux! Comment est-ce que vous pouvez agir de la sorte avec une femme innocente et pure comme moi ! », personne présent dans le compartiment qui me connaît pour démentir un tel fait ? C'est parfait. « Je devrai donner votre alerte pour que vous ne recommenciez plus ». Et sans même attendre une réponse de sa part ou même une quelconque intervention, je lui assène d'un violent coup de sac sur sa tête . . . puis deux . . . puis trois. Je m'arrête tout de même avant de l’assommer totalement. « Si je vous revoie dans les parages vous êtes un homme mort, ok ? Vous avez compris ? ». Je le regarde d’un air particulièrement menaçant, lui faisant ainsi comprendre qu’il est dans ton intérêt de ne pas croiser de nouveau mon chemin, pour peu que je le signale à la police, ce que je risque tout de même de faire. Il ne faudrait pas qu’il y ait d’autres victimes. Encore une fois je ne lui laisse pas le temps de se défendre ou autre puisque pile au moment où je finis ma phrase, j’arrive à ma gare de destination, prête à sortir. Mais . . . cet homme, malgré mes menaces, semble vouloir me suivre, puisqu’il s’apprête à descendre à la même gare que moi. Suis-je en plein rêve ? Ou plutôt en plein cauchemar ? En plus d’être un pervers, c’est un stalkeur, il ne manquait plus que ça ! Je suis servie !!Invité
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Mar 12 Sep - 15:52
Debout dans le métro, une main tenant le journal du jour devant mes yeux, l'autre tenant fermement les espèces de choses qui permet à ceux qui sont debout à rester debout. Je vois pas trop ce qui se passe autour de moi. Les faits de société me donnant de l'inspiration pour ce que j'écris pour l'instant. Enfin, je serai encore entrain d'écrire si ma sœur ne m'avait pas envoyé un message deux heures plutôt pour que je lui apporte son sac rose. Bien entendu, elle a choisit le jour où la voiture est enentretien. C'est ainsi que je devais supporter le métro. Je replis le journal, prêt à descendre quand le mec à côté de moi bouge. Il me donne même l'impression de fuite. Je le suis du regard avant qu'une voix se fasse entendre à côté de moi. Comme tout le monde, je cherche à qui s'adresse cette fille. Avant de comprendre que c'est à moi. Quoi que surpris, je me montre du doigt. Il me faut du temps pour comprendre de quoi elle parle. Fesse et pervers. À la place d'essayer de lui faire comprendre que c'est un sous entendu, je souris. Non mais ok ! Je suis certainement en manque mais la fille ressemble à un sac poubelle. Je sais que j'ai des goûts étrange, Seah me le dit souvent mais quand même. Au faite, je sais pas pourquoi mais je me marre sous ses paroles. Moi, un pervers? Je peux être tout sur ça. Même au lycée, je espionnais pas les filles dans le vestiaires comme mes amis. Un coup de sac, deux coups, trois coups... Mes mains et le journal au-dessus de ma tête pour me protéger. Alors qu'elle reprend, m'annonçant que si je la suis, comme si j'allais la suivre vraiment. Je serai un homme mort. Ok... Je suis surpris. Et pas le temps de dire quoi que ce soit, qu'on arrive à mon arrêt. Elle sort et moi aussi. Je me dépêche de passer à côté d'elle pour aller poser le sac de ma crevette où elle me l'a demandé.
Un quart d'heure après, je suis dans la file d'attente pour me prendre un café tout en continuant la lecture du journal,source d'inspiration pour un écrivain. Tout se passe bien tranquille et tout. Jusqu'à ce que je me sente pousser en avant, et que j'ai la décence de me retenir à la première chose à ma porté. Mes mains les tiennent à pleine mains. Je les sens même très bien. Gêné, je lève la tête pour m'excuser en rougissant quand mon regard tombe dans celui d'une jeune femme qui me dit quelque chose. Je la quitte pas des yeux alors que mes mains sont toujours sur sa poitrine. Je deglutis difficilement, avant de les enlever. Désolé je jette un coup d'oeil dans la file mais je suis le seul qui a faillit tomber. Super! C'est ma journée. On m'a poussé et ... J'ai la bonne idée de faire un geste devant mon torse de mes deux mains pour parler de ses seins. Oui mais non. Ça va pas. On m'a vraiment poussé. Veine tentative pour me justifier. Je recule d'un pas, l'attendant à tout. Surtout qu'un policier se trouve dans le café et nous regarde. Avez-vous un soucis, mademoiselle?
Un pervers, un stalkeur et . . . son idole
Feat Seyong ♥
Debout dans le métro, une main tenant le journal du jour devant mes yeux, l'autre tenant fermement les espèces de choses qui permet à ceux qui sont debout à rester debout. Je vois pas trop ce qui se passe autour de moi. Les faits de société me donnant de l'inspiration pour ce que j'écris pour l'instant. Enfin, je serai encore entrain d'écrire si ma sœur ne m'avait pas envoyé un message deux heures plutôt pour que je lui apporte son sac rose. Bien entendu, elle a choisit le jour où la voiture est enentretien. C'est ainsi que je devais supporter le métro. Je replis le journal, prêt à descendre quand le mec à côté de moi bouge. Il me donne même l'impression de fuite. Je le suis du regard avant qu'une voix se fasse entendre à côté de moi. Comme tout le monde, je cherche à qui s'adresse cette fille. Avant de comprendre que c'est à moi. Quoi que surpris, je me montre du doigt. Il me faut du temps pour comprendre de quoi elle parle. Fesse et pervers. À la place d'essayer de lui faire comprendre que c'est un sous entendu, je souris. Non mais ok ! Je suis certainement en manque mais la fille ressemble à un sac poubelle. Je sais que j'ai des goûts étrange, Seah me le dit souvent mais quand même. Au faite, je sais pas pourquoi mais je me marre sous ses paroles. Moi, un pervers? Je peux être tout sur ça. Même au lycée, je espionnais pas les filles dans le vestiaires comme mes amis. Un coup de sac, deux coups, trois coups... Mes mains et le journal au-dessus de ma tête pour me protéger. Alors qu'elle reprend, m'annonçant que si je la suis, comme si j'allais la suivre vraiment. Je serai un homme mort. Ok... Je suis surpris. Et pas le temps de dire quoi que ce soit, qu'on arrive à mon arrêt. Elle sort et moi aussi. Je me dépêche de passer à côté d'elle pour aller poser le sac de ma crevette où elle me l'a demandé. Un quart d'heure après, je suis dans la file d'attente pour me prendre un café tout en continuant la lecture du journal,source d'inspiration pour un écrivain. Tout se passe bien tranquille et tout. Jusqu'à ce que je me sente pousser en avant, et que j'ai la décence de me retenir à la première chose à ma porté. Mes mains les tiennent à pleine mains. Je les sens même très bien. Gêné, je lève la tête pour m'excuser en rougissant quand mon regard tombe dans celui d'une jeune femme qui me dit quelque chose. Je la quitte pas des yeux alors que mes mains sont toujours sur sa poitrine. Je deglutis difficilement, avant de les enlever. Désolé je jette un coup d'oeil dans la file mais je suis le seul qui a faillit tomber. Super! C'est ma journée. On m'a poussé et ... J'ai la bonne idée de faire un geste devant mon torse de mes deux mains pour parler de ses seins. Oui mais non. Ça va pas. On m'a vraiment poussé. Veine tentative pour me justifier. Je recule d'un pas, l'attendant à tout. Surtout qu'un policier se trouve dans le café et nous regarde. Avez-vous un soucis, mademoiselle?
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Mar 12 Sep - 18:24
J'avance rapidement pour essayer de fuir cet étranger qui, depuis tout à l'heure, semble aller dans la même direction que moi. Pour le moment je ne risque rien puisque je suis entourée de plusieurs personnes et surtout je ne me retrouve pas encore seule, dans une petite ruelle. Bien sûr je sais pertinemment me défendre, surtout qu'il n'a pas l'air de pouvoir réellement se défendre. Pourtant la silhouette de cet homme est plutôt élancé et imposante, je suis certaine qu'il peut devenir un grand champion de boxe s'il s'y met. Je chasse cette idée de ma tête qui est totalement hors contexte et me concentre sur ma fuite. Je tente de faire quelques feintes sans savoir que je suis un peu la seule à le faire et qu'au final j'ai l'air d'une idiote aux yeux des autres. Fort heureusement je parviens, par miracle à m'échapper de lui en entrant dans un café quelque peu bondé de monde. Il ne pourra plus me suivre, c'est certain. Mais . . . à mon grand désespoir je le retrouve, encore, et pour la même situation, mais cette fois-ci sur mes seins. Je le reconnais de suite et mon visage rougit violemment, gênée par un tel touché, sentant la colère qui gronde en moi. C'est définitif, cet homme est un homme mort. Alors que je m'apprête à répliquer, il tente, maladroitement, de s'excuser, enfin le terme juste est plutôt de trouver une excuse. Je pousse un soupir désespéré, et passe une main dans ma chevelure, levant les yeux au ciel. Il va me faire croire qu'un . . . fantôme l'a poussé, et que dans le métro aussi quelqu'un l'avait poussé, mais bien sûr. Ça fait beaucoup de coïncidence en si peu de temps. Et je ne suis certainement pas née de la dernière pluie. Cet homme est un pervers, qui me suit en plus de cela. Ce n'est vraiment pas mon jour de chance aujourd'hui, quand j'ai la poisse je l'ai jusqu'au bout. Heureusement pour lui un policier intervient avant que je ne devienne une véritable furie et lui explose la tête. « Oh ben vous tombez bien Monsieur le policer. Cet homme » dis-je en pointant violemment mon doigt vers lui, « est un pervers, doublé d'un stalkeur. Voyez-vous Monsieur le policier, j'étais dans le métro, quelques minutes avant, quand cet homme m'a touché les fesses. Bien sûr, bonne samaritaine que je suis, je lui ai laissé une seconde chance, tout en le menaçant, je n'aurai pas dû ». Je monte légèrement le ton, lançant un regard de feu à cet homme. « Et voilà qu'il me suit jusqu'ici et qu'il OSE toucher mes seins. Des témoins affirmeront mes dires », je regarde les personnes présentes, en les montrant du menton, sachant pertinemment qu'ils pourront attester de son geste, tout en menaçant du poing l'étranger. « Vraiment il vous a fait ça ? » dit le policier en me scrutant de haut en bas, l'air de me juger. Certes je ne suis pas sous mon meilleur jour mais justement, cela veut dire que cet homme est un véritable pervers qu'il faut enfermer au plus vite. « Mais si je vous le dis. J'ai l'air d'être une mytho ? Si vous ne me croyez pas demandez aux personnes, elles ont tout vu ». Je croise les doigts, quelques personnes osant hocher discrètement de la tête. « Je souhaite porter plainte contre cet homme. Allons donc à votre . . . commissariat ! ». Je prends violemment l'homme en question et le policier pour me rendre au commissariat qui est, fort heureusement, la rue à côté. « Séoul devient une véritable ville à déchets » dis-je entre mes dents tout en marchant vite.
Un pervers, un stalkeur et . . . son idole
Feat Seyong ♥
J'avance rapidement pour essayer de fuir cet étranger qui, depuis tout à l'heure, semble aller dans la même direction que moi. Pour le moment je ne risque rien puisque je suis entourée de plusieurs personnes et surtout je ne me retrouve pas encore seule, dans une petite ruelle. Bien sûr je sais pertinemment me défendre, surtout qu'il n'a pas l'air de pouvoir réellement se défendre. Pourtant la silhouette de cet homme est plutôt élancé et imposante, je suis certaine qu'il peut devenir un grand champion de boxe s'il s'y met. Je chasse cette idée de ma tête qui est totalement hors contexte et me concentre sur ma fuite. Je tente de faire quelques feintes sans savoir que je suis un peu la seule à le faire et qu'au final j'ai l'air d'une idiote aux yeux des autres. Fort heureusement je parviens, par miracle à m'échapper de lui en entrant dans un café quelque peu bondé de monde. Il ne pourra plus me suivre, c'est certain. Mais . . . à mon grand désespoir je le retrouve, encore, et pour la même situation, mais cette fois-ci sur mes seins. Je le reconnais de suite et mon visage rougit violemment, gênée par un tel touché, sentant la colère qui gronde en moi. C'est définitif, cet homme est un homme mort. Alors que je m'apprête à répliquer, il tente, maladroitement, de s'excuser, enfin le terme juste est plutôt de trouver une excuse. Je pousse un soupir désespéré, et passe une main dans ma chevelure, levant les yeux au ciel. Il va me faire croire qu'un . . . fantôme l'a poussé, et que dans le métro aussi quelqu'un l'avait poussé, mais bien sûr. Ça fait beaucoup de coïncidence en si peu de temps. Et je ne suis certainement pas née de la dernière pluie. Cet homme est un pervers, qui me suit en plus de cela. Ce n'est vraiment pas mon jour de chance aujourd'hui, quand j'ai la poisse je l'ai jusqu'au bout. Heureusement pour lui un policier intervient avant que je ne devienne une véritable furie et lui explose la tête. « Oh ben vous tombez bien Monsieur le policer. Cet homme » dis-je en pointant violemment mon doigt vers lui, « est un pervers, doublé d'un stalkeur. Voyez-vous Monsieur le policier, j'étais dans le métro, quelques minutes avant, quand cet homme m'a touché les fesses. Bien sûr, bonne samaritaine que je suis, je lui ai laissé une seconde chance, tout en le menaçant, je n'aurai pas dû ». Je monte légèrement le ton, lançant un regard de feu à cet homme. « Et voilà qu'il me suit jusqu'ici et qu'il OSE toucher mes seins. Des témoins affirmeront mes dires », je regarde les personnes présentes, en les montrant du menton, sachant pertinemment qu'ils pourront attester de son geste, tout en menaçant du poing l'étranger. « Vraiment il vous a fait ça ? » dit le policier en me scrutant de haut en bas, l'air de me juger. Certes je ne suis pas sous mon meilleur jour mais justement, cela veut dire que cet homme est un véritable pervers qu'il faut enfermer au plus vite. « Mais si je vous le dis. J'ai l'air d'être une mytho ? Si vous ne me croyez pas demandez aux personnes, elles ont tout vu ». Je croise les doigts, quelques personnes osant hocher discrètement de la tête. « Je souhaite porter plainte contre cet homme. Allons donc à votre . . . commissariat ! ». Je prends violemment l'homme en question et le policier pour me rendre au commissariat qui est, fort heureusement, la rue à côté. « Séoul devient une véritable ville à déchets » dis-je entre mes dents tout en marchant vite. Invité
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Mer 13 Sep - 21:01
De toutes les personnes, il a fallut que je retombe sur celle qui m'a traité de pervers. Karma à chier. Mes mains tenant en pleine main sa poitrine, le rouge aux joues. Me voilà essayant de m'expliquer. Quelqu'un m'a poussé sauf qu'ils sont tous droit dans la file. Personne qui regarde ailleurs gêné. Ce serait le genre de chose que ma sœur pourrait faire, juste pour que je me retrouve dans une situation délicate. Enfin, j'ai quand même le réflexe de la lâcher au bout d'un certain temps. Elle soupire, passe sa main dans les cheveux et moi, je deglutis. Je Pour pas arranger les choses, un policier s'approche de nous lui demandant si elle a besoin d'aide. Honteux, je baisse la tête regardant mes chaussures. Elle parle, m'accuse de chose que je n'ai pas fait comme ce matin. Je vous dis qu'on m'a poussé. Et les autres ne prennent même pas me défense. Les femmes me lancent un regard peut amen. Les hommes regardent ailleurs. Bande de traite. Quoi que la situation me donne une idée pour une fanfiction. Mettre mon alter ego dans une situation aussi embarrassante. Oui, c'est une idée. Elle ne me laisse pas en placé une, disant même qu'elle veut porter plainte. Mon regard horrifié passe sur le policier, il va quand même pas croire que ... Il l'a bien regardé ? Comme si... Sans trop savoir comment, elle me tire vers le commissariat et l'homme me lance un regard désolé.
Installé sur une chaise devant le bureau, l'inspecteur résume la situation. Mais vous n'y êtes pas. Dans le métro, je n'ai rien fait. Je montre la fille à côté de moi, d'un coup de tête. Elle m'a agraisser en m'acussant de pervers et taper avec son sac. Je croise les bras, soupirant. Il prend note de ma déposition avant de me demander mon nom. Seyong, No Seyong. Et là, il arrête d'écrire me dévisageant. Franchement, je déteste cette situation. Tenez mon portefeuille. Je le sors de ma poche, laissant tomber des bouts de papier qui m'ont servis à noter mes idées pour la tome 6 en préparation.
Un pervers, un stalkeur et . . . son idole
Feat Seyong ♥
De toutes les personnes, il a fallut que je retombe sur celle qui m'a traité de pervers. Karma à chier. Mes mains tenant en pleine main sa poitrine, le rouge aux joues. Me voilà essayant de m'expliquer. Quelqu'un m'a poussé sauf qu'ils sont tous droit dans la file. Personne qui regarde ailleurs gêné. Ce serait le genre de chose que ma sœur pourrait faire, juste pour que je me retrouve dans une situation délicate. Enfin, j'ai quand même le réflexe de la lâcher au bout d'un certain temps. Elle soupire, passe sa main dans les cheveux et moi, je deglutis. Je Pour pas arranger les choses, un policier s'approche de nous lui demandant si elle a besoin d'aide. Honteux, je baisse la tête regardant mes chaussures. Elle parle, m'accuse de chose que je n'ai pas fait comme ce matin. Je vous dis qu'on m'a poussé. Et les autres ne prennent même pas me défense. Les femmes me lancent un regard peut amen. Les hommes regardent ailleurs. Bande de traite. Quoi que la situation me donne une idée pour une fanfiction. Mettre mon alter ego dans une situation aussi embarrassante. Oui, c'est une idée. Elle ne me laisse pas en placé une, disant même qu'elle veut porter plainte. Mon regard horrifié passe sur le policier, il va quand même pas croire que ... Il l'a bien regardé ? Comme si... Sans trop savoir comment, elle me tire vers le commissariat et l'homme me lance un regard désolé. Installé sur une chaise devant le bureau, l'inspecteur résume la situation. Mais vous n'y êtes pas. Dans le métro, je n'ai rien fait. Je montre la fille à côté de moi, d'un coup de tête. Elle m'a agraisser en m'acussant de pervers et taper avec son sac. Je croise les bras, soupirant. Il prend note de ma déposition avant de me demander mon nom. Seyong, No Seyong. Et là, il arrête d'écrire me dévisageant. Franchement, je déteste cette situation. Tenez mon portefeuille. Je le sors de ma poche, laissant tomber des bouts de papier qui m'ont servis à noter mes idées pour la tome 6 en préparation.
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Jeu 5 Oct - 19:18
Les jambes ne cessant de s’agiter, je regarde autour de moi, les yeux quelques peu émerveillés par l’atmosphère qui règne dans ce commissariat. Je ne me suis jamais réellement retrouvée dans un tel lieu et autant dire que ça ne me déplait pas. Il y règne une atmosphère pesante, mais aussi très mystérieuse qui me donne une certaine adrénaline. Pourtant je ne devrai pas. Je risque peut-être de me retrouver face à un meurtrier, muni d’un couteau, et pour une raison quelconque, il peut me planter sa lame dans le ventre, pour . . . Je reviens rapidement sur terre en entendant le policier qui m’interpelle depuis quelques secondes, « oui, mais oui ! ». Je ne suis pas là pour rêvasser mais pour un véritable problème, me touchant directement. « Puisque je vous dis qu’il m’a touché, dans le métro et dans le café, ça fait beaucoup pour une coïncidence » dis-je en le regardant de travers. J’ouvre en grand la bouche quand il ose dire que je l’ai agressé. Certes je l’ai fait, mais « c’est de la légitime défense. Je n’allais quand même pas vous laisser me beloter plus longtemps. Les femmes se laissent déjà assez bien marcher dessus ici, mais le monde se modernise, Monsieur », j’insiste sur le monsieur en le maintenant plusieurs secondes. « Pervers, stalkeur et menteur, j’ai eu la totale ». Je grince des dents, m’enfonçant dans mon siège, les bras croisés. Pour se faire bien voir il sort une identité qui m’interpelle de suite, faisant tresser mes cheveux, « ouaaah daebbaaakk ! » j’applaudis dans mes mains, en me mettant à rire. Je donne un coup de poing sur la table du policier, « vous voyez !! Il me suit, je ne sais pas depuis quand MAIS IL ME SUIT ! Il aurait pu donner n’importe quelle identité, il faut qu’il donne celle de mon auteur préféré ! Pf ! ». Comment sait-il que j’aime l’auteur No Seyong ? Ce n’est pas un hasard. Et je doute que mon auteur préféré ressemble à . . . ça et qu’il soit un pervers. Jamais. Je refuse. Je lui donne alors un petit coup sur la tête avec mon doigt, le poussant légèrement, « vous n’avez pas honte de prendre l’identité d’un auteur connu et mon préféré en plus. Vous savez que c’est une fraude et que vous risquez encore plus la prison. Même si vous avez une carte avec son nom qui nous dit que c’est bien vous. Qui nous dit que ce n’est pas une fausse ». Je lui arrache presque son portefeuille des mains et sors la carte d’identité où il y a en effet marqué ce prénom. Je grince des dents, soufflant sur les quelques mèches présentes sur mon visage. « Vous êtes fort quand même ! Vous êtes très fort », je regarde le policier et lui tends d’une manière ridicule la carte d’identité, « est-ce que vous pensez sincèrement qu’un auteur comme No Seyong est un pervers ? Cet homme se fait passer pour lui, je suis sûre. Vous devez l’emprisonner au plus vite. C’est un fou ! ». Je fais des gestes avec mes doigts pour appuyer mes dires.
Un pervers, un stalkeur et . . . son idole
Feat Seyong 
Les jambes ne cessant de s’agiter, je regarde autour de moi, les yeux quelques peu émerveillés par l’atmosphère qui règne dans ce commissariat. Je ne me suis jamais réellement retrouvée dans un tel lieu et autant dire que ça ne me déplait pas. Il y règne une atmosphère pesante, mais aussi très mystérieuse qui me donne une certaine adrénaline. Pourtant je ne devrai pas. Je risque peut-être de me retrouver face à un meurtrier, muni d’un couteau, et pour une raison quelconque, il peut me planter sa lame dans le ventre, pour . . . Je reviens rapidement sur terre en entendant le policier qui m’interpelle depuis quelques secondes, « oui, mais oui ! ». Je ne suis pas là pour rêvasser mais pour un véritable problème, me touchant directement. « Puisque je vous dis qu’il m’a touché, dans le métro et dans le café, ça fait beaucoup pour une coïncidence » dis-je en le regardant de travers. J’ouvre en grand la bouche quand il ose dire que je l’ai agressé. Certes je l’ai fait, mais « c’est de la légitime défense. Je n’allais quand même pas vous laisser me beloter plus longtemps. Les femmes se laissent déjà assez bien marcher dessus ici, mais le monde se modernise, Monsieur », j’insiste sur le monsieur en le maintenant plusieurs secondes. « Pervers, stalkeur et menteur, j’ai eu la totale ». Je grince des dents, m’enfonçant dans mon siège, les bras croisés. Pour se faire bien voir il sort une identité qui m’interpelle de suite, faisant tresser mes cheveux, « ouaaah daebbaaakk ! » j’applaudis dans mes mains, en me mettant à rire. Je donne un coup de poing sur la table du policier, « vous voyez !! Il me suit, je ne sais pas depuis quand MAIS IL ME SUIT ! Il aurait pu donner n’importe quelle identité, il faut qu’il donne celle de mon auteur préféré ! Pf ! ». Comment sait-il que j’aime l’auteur No Seyong ? Ce n’est pas un hasard. Et je doute que mon auteur préféré ressemble à . . . ça et qu’il soit un pervers. Jamais. Je refuse. Je lui donne alors un petit coup sur la tête avec mon doigt, le poussant légèrement, « vous n’avez pas honte de prendre l’identité d’un auteur connu et mon préféré en plus. Vous savez que c’est une fraude et que vous risquez encore plus la prison. Même si vous avez une carte avec son nom qui nous dit que c’est bien vous. Qui nous dit que ce n’est pas une fausse ». Je lui arrache presque son portefeuille des mains et sors la carte d’identité où il y a en effet marqué ce prénom. Je grince des dents, soufflant sur les quelques mèches présentes sur mon visage. « Vous êtes fort quand même ! Vous êtes très fort », je regarde le policier et lui tends d’une manière ridicule la carte d’identité, « est-ce que vous pensez sincèrement qu’un auteur comme No Seyong est un pervers ? Cet homme se fait passer pour lui, je suis sûre. Vous devez l’emprisonner au plus vite. C’est un fou ! ». Je fais des gestes avec mes doigts pour appuyer mes dires. Invité
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Jeu 5 Oct - 20:23
Non mais franchement, c'est qui cette fille? Les bras croisés, je regarde le policier l'appeler plusieurs. Elle rêve ou quoi? Et moi, je dis que c'est un malheureux concours de circonstance. Elle est bouchée cette fille. Je croise les bras, tape du pied sur le sol. Le policier nous demande nos identités, ce que je donne en me la jouant à James Bond. Et, voilà qu'elle recommence. Je soupire, passe une main dans mes cheveux. Qui dit que c'est pas toi qui me suits. Non mais voilà, elle se dit fan de moi. La bonne blague. Si ils sont tous comme elle... Un frisson me parcourt le dos. Non, pas moyen. Elle serait capable de... Comme si je te suivrais. Tu t'es vu ? Voilà, c'est dit. Même si elle a un joli visage et que ce que j'ai touché était pas si mal sous mes mains. Voilà, je rougis de nouveau. Et elle recommence. Déjà, je ne suis pas un pervers ! Si je ne bois pas, mais ça, ils sont qu'une poignée à connaître ce côté là de ma personnalité. Usurpateur maintenant. Mais tu es dingue ma parole. Alors je sors mon telephone, demandant au policier si je peux prouver que c'est moi. Il hoche la tête. Twitter, lancé. J'écris Au commissariat avec une folle. #folle #prison Et hop, envoyer. Si elle est une de mes fans, j'espère qu'elle me suit.
Un pervers, un stalkeur et . . . son idole
Feat Seyong
Non mais franchement, c'est qui cette fille? Les bras croisés, je regarde le policier l'appeler plusieurs. Elle rêve ou quoi? Et moi, je dis que c'est un malheureux concours de circonstance. Elle est bouchée cette fille. Je croise les bras, tape du pied sur le sol. Le policier nous demande nos identités, ce que je donne en me la jouant à James Bond. Et, voilà qu'elle recommence. Je soupire, passe une main dans mes cheveux. Qui dit que c'est pas toi qui me suits. Non mais voilà, elle se dit fan de moi. La bonne blague. Si ils sont tous comme elle... Un frisson me parcourt le dos. Non, pas moyen. Elle serait capable de... Comme si je te suivrais. Tu t'es vu ? Voilà, c'est dit. Même si elle a un joli visage et que ce que j'ai touché était pas si mal sous mes mains. Voilà, je rougis de nouveau. Et elle recommence. Déjà, je ne suis pas un pervers ! Si je ne bois pas, mais ça, ils sont qu'une poignée à connaître ce côté là de ma personnalité. Usurpateur maintenant. Mais tu es dingue ma parole. Alors je sors mon telephone, demandant au policier si je peux prouver que c'est moi. Il hoche la tête. Twitter, lancé. J'écris Au commissariat avec une folle. #folle #prison Et hop, envoyer. Si elle est une de mes fans, j'espère qu'elle me suit.Invité
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Mar 10 Oct - 19:43
Je pousse un long soupir regardant ironiquement l’homme qui se tient à mes côtés. « Désolée mais je ne crois pas à la théorie de votre ‘’malheureux concours de circonstances’’, ça en fait beaucoup des circonstances quand même ». Cet homme nie jusqu’au bout mais je ne compte pas le laisser faire. Il est bien loin de savoir qui je suis et surtout de savoir jusqu’à quel point je suis têtue. Je passe une main dans mes cheveux, rigolant sarcastiquement alors qu’il insinue que c’est moi la fille qui le suit. « Mais oui bien sûr . . . manquerait plus que ça. Et comme par hasard je me suis retrouvée devant toi dans ce café. Je savais comme par magie que tu allais venir ici, à ce moment précis ». Je rigole encore et réalise alors qu’il m’a tutoyé et que je l’ai fait aussi par automatisme. « Et puis d’abord qui t’a donné l’autorisation de me tutoyer. On ne se connait même pas. Ne crois pas m’amadouer avec tes grands mots ». Je croise les bras, prête à mordre encore plus, lui lançant un regard meurtrier. Le gendarme quant à lui se contente de nous regarder ne sachant même pas quoi dire, ne trouvant sûrement pas les mots. Il faut dire que tous les deux nous donnons l’impression d’être seuls à nous disputer, à essayer de démentir les propos de l’un comme de l’autre, de quoi en devenir dingue. J’inspire profondément, attendant que le gendarme décide de l’enfermer, mais au même moment je reçois une notification sur mon téléphone me signalant un nouveau post de mon auteur préféré dans une . . . gendarmerie. J’écarquille les yeux et pointe du doigt mon téléphone, me levant subitement de mon siège. « Daeebbaaaakk !! Ce mec est fort. Il est très fort, je n’ai jamais vu de psychopathe aussi doué que lui. Il vient de pirater le compte de cet auteur ». Je le regarde de haut en bas, un petit air dégouté sur le visage. « T’es sacrément doué quand même. Au moins je ne suis pas face à un idiot. T’es assez intelligent dans ton genre ». Le gendarme se met alors à donner un coup de poing contre son bureau, nous mitraillant du regard, « bon écoutez les jeunes, je n’ai pas que ça à faire. Cette histoire tourne au ridicule. Et vous Mademoiselle, vous ne trouvez pas que vous abusez un peu ? Il a raison vous n’avez rien de . . . », je lui lance un regard noir avant qu’il n’en dise plus. Oui je sais que je ressemble à un véritable déchet et alors ? Ce n’est qu’en apparence. « Enfin bref, en tout cas, ça fait beaucoup de coïncidence et je doute que cet homme mente. C’est peut-être juste un quiproquo ». J’ouvre ma bouche ne sachant pas quoi dire de plus et me tourne vers l’homme en question, le fusillant du regard, « si tu es vraiment qui tu prétends être, je veux une autre preuve de ta soi-disant identité. Je ne lâcherai pas l’affaire ! », même si à vrai dire, il m’a déjà donné de nombreuses preuves.
Un pervers, un stalkeur et . . . son idole
Feat Seyong
Je pousse un long soupir regardant ironiquement l’homme qui se tient à mes côtés. « Désolée mais je ne crois pas à la théorie de votre ‘’malheureux concours de circonstances’’, ça en fait beaucoup des circonstances quand même ». Cet homme nie jusqu’au bout mais je ne compte pas le laisser faire. Il est bien loin de savoir qui je suis et surtout de savoir jusqu’à quel point je suis têtue. Je passe une main dans mes cheveux, rigolant sarcastiquement alors qu’il insinue que c’est moi la fille qui le suit. « Mais oui bien sûr . . . manquerait plus que ça. Et comme par hasard je me suis retrouvée devant toi dans ce café. Je savais comme par magie que tu allais venir ici, à ce moment précis ». Je rigole encore et réalise alors qu’il m’a tutoyé et que je l’ai fait aussi par automatisme. « Et puis d’abord qui t’a donné l’autorisation de me tutoyer. On ne se connait même pas. Ne crois pas m’amadouer avec tes grands mots ». Je croise les bras, prête à mordre encore plus, lui lançant un regard meurtrier. Le gendarme quant à lui se contente de nous regarder ne sachant même pas quoi dire, ne trouvant sûrement pas les mots. Il faut dire que tous les deux nous donnons l’impression d’être seuls à nous disputer, à essayer de démentir les propos de l’un comme de l’autre, de quoi en devenir dingue. J’inspire profondément, attendant que le gendarme décide de l’enfermer, mais au même moment je reçois une notification sur mon téléphone me signalant un nouveau post de mon auteur préféré dans une . . . gendarmerie. J’écarquille les yeux et pointe du doigt mon téléphone, me levant subitement de mon siège. « Daeebbaaaakk !! Ce mec est fort. Il est très fort, je n’ai jamais vu de psychopathe aussi doué que lui. Il vient de pirater le compte de cet auteur ». Je le regarde de haut en bas, un petit air dégouté sur le visage. « T’es sacrément doué quand même. Au moins je ne suis pas face à un idiot. T’es assez intelligent dans ton genre ». Le gendarme se met alors à donner un coup de poing contre son bureau, nous mitraillant du regard, « bon écoutez les jeunes, je n’ai pas que ça à faire. Cette histoire tourne au ridicule. Et vous Mademoiselle, vous ne trouvez pas que vous abusez un peu ? Il a raison vous n’avez rien de . . . », je lui lance un regard noir avant qu’il n’en dise plus. Oui je sais que je ressemble à un véritable déchet et alors ? Ce n’est qu’en apparence. « Enfin bref, en tout cas, ça fait beaucoup de coïncidence et je doute que cet homme mente. C’est peut-être juste un quiproquo ». J’ouvre ma bouche ne sachant pas quoi dire de plus et me tourne vers l’homme en question, le fusillant du regard, « si tu es vraiment qui tu prétends être, je veux une autre preuve de ta soi-disant identité. Je ne lâcherai pas l’affaire ! », même si à vrai dire, il m’a déjà donné de nombreuses preuves. Invité
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Lun 16 Oct - 12:01
Fière de moi, j'envois le tweet avec ça, elle va me croire. Je lui lance un sourire en coin, sourire qui s'agrandit en entendant qu'elle a reçu une notif. Sourire qui disparait à sa tirade. Piraté le compte ?!? Je me laisse tomber dans la chaise. Non mais elle est folle. Complètement timbrée. Est-ce que j'ai l'air de quelqu'un qui s'y connait en piratage. C'est ma sœur qui doit m'expliquer comment fonctionne toutes les applications de mon téléphone. J'ai assez avec word sur mon ordi et encore, j'utilise la machine à écrire le plus souvent. C'est pas compliqué ma photo de profil est Papillon, mon poussin de compagnie. Il est même devenu la mascotte de mon fan club car tout mes profils sont avec lui en photo. Mais il te faut quoi comme preuve? Le policier nous lance un regard noir commençant doucement à perdre patience, et franchement moi aussi. Ok, tu vas en avoir des preuves. Je cherche après des photos de mon poussin et le lui met sous le nez. Là, heureuse? Je te présente Papillon, le meilleur poussin de garde de tout le pays. Il a même son propre snapchat. Et là, c'est ma petite sœur lui faisant prendre un bain. Là, c'est lui dormant sur moi. Alors suis-je moi? Fier, je bombe le torse attendant une réaction de sa part. Alors? Suis-je No Seyong, l'écrivain à succès ?
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Fière de moi, j'envois le tweet avec ça, elle va me croire. Je lui lance un sourire en coin, sourire qui s'agrandit en entendant qu'elle a reçu une notif. Sourire qui disparait à sa tirade. Piraté le compte ?!? Je me laisse tomber dans la chaise. Non mais elle est folle. Complètement timbrée. Est-ce que j'ai l'air de quelqu'un qui s'y connait en piratage. C'est ma sœur qui doit m'expliquer comment fonctionne toutes les applications de mon téléphone. J'ai assez avec word sur mon ordi et encore, j'utilise la machine à écrire le plus souvent. C'est pas compliqué ma photo de profil est Papillon, mon poussin de compagnie. Il est même devenu la mascotte de mon fan club car tout mes profils sont avec lui en photo. Mais il te faut quoi comme preuve? Le policier nous lance un regard noir commençant doucement à perdre patience, et franchement moi aussi. Ok, tu vas en avoir des preuves. Je cherche après des photos de mon poussin et le lui met sous le nez. Là, heureuse? Je te présente Papillon, le meilleur poussin de garde de tout le pays. Il a même son propre snapchat. Et là, c'est ma petite sœur lui faisant prendre un bain. Là, c'est lui dormant sur moi. Alors suis-je moi? Fier, je bombe le torse attendant une réaction de sa part. Alors? Suis-je No Seyong, l'écrivain à succès ?Invité
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Jeu 2 Nov - 19:49
Malgré tous les détails qu’il me donne, les informations pourtant si visibles, concernant son identité, j’ai du mal à le croire. Je ne sais pas si je ne veux pas le croire parce que j’ai peur qu’il ait finalement raison ou si c’est parce que je ne veux pas avoir l’image de mon auteur préféré être entaché et conservé cette image de pervers ou si c’est seulement parce que je suis certaine d’avoir raison. Aucune des réponses ne me vient à l’esprit, du moins pas encore. J’arque un sourcil, prête à démonter chacun de ses arguments, certaine qu’il ne peut trouver autre chose, prouvant davantage sa culpabilité. « J’attends » dis-je en faisant mine de regarder l’heure. Mais à peine ai-je prononcé ces mots que le coup fatal me tombe dessus, me faisant légèrement tremblée, ouvrant en grand ma bouche et me faisant écarquiller les yeux. Cette fois-ci je le sais, je ne peux plus le contredire. C’est fini . . . Je dois me rendre à l’évidence. Cet homme, en face de moi, est réellement celui qu’il dit être. Il est vraiment cet auteur que j’apprécie tant. Il est réellement mon auteur préféré. En personne. Et depuis le début je ne cesse de démontrer le contraire. Je me fige quelques secondes, clignant rapidement des cils, le fixant intensément, oubliant même où je suis, pourquoi je suis ici. Je ne sais plus rien. Je reprends quelques secondes après mes esprits, secouant brusquement mon visage. « Que . . . vrai . . . VRAIMENT ?? ». Je crie tellement fort que je fais sursauter le policier en face de nous. « T’es . . . enfin vous . . . vous êtes vraiment LUIIII ??? ». Je ne sais pas ce que je dois faire. Je ne sais pas si je dois fuir de suite, si je dois prendre mes jambes à mon cou ou bien demander un autographe et le valoriser. Doucement je m’approche de lui et dépose le bout de mon doigt sur son épaule, vérifiant qu’il est bien en chair et en os. « Oh my . . . ». Je pose mes mains contre ma bouche, « ça veut dire que mon auteur préféré est un pervers ? Et qu’en plus . . . je viens de l’amener à la police ?? ». Je suis en plein cauchemar, « Je suis tellement . . . mais en même temps . . . et puis . . . ». Je grince des dents, « elle est où la sortie » dis-je soudainement au policier qui suit la scène depuis tout à l’heure. Ou même quelque chose pour se pendre . . . ça fera l’affaire.
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Malgré tous les détails qu’il me donne, les informations pourtant si visibles, concernant son identité, j’ai du mal à le croire. Je ne sais pas si je ne veux pas le croire parce que j’ai peur qu’il ait finalement raison ou si c’est parce que je ne veux pas avoir l’image de mon auteur préféré être entaché et conservé cette image de pervers ou si c’est seulement parce que je suis certaine d’avoir raison. Aucune des réponses ne me vient à l’esprit, du moins pas encore. J’arque un sourcil, prête à démonter chacun de ses arguments, certaine qu’il ne peut trouver autre chose, prouvant davantage sa culpabilité. « J’attends » dis-je en faisant mine de regarder l’heure. Mais à peine ai-je prononcé ces mots que le coup fatal me tombe dessus, me faisant légèrement tremblée, ouvrant en grand ma bouche et me faisant écarquiller les yeux. Cette fois-ci je le sais, je ne peux plus le contredire. C’est fini . . . Je dois me rendre à l’évidence. Cet homme, en face de moi, est réellement celui qu’il dit être. Il est vraiment cet auteur que j’apprécie tant. Il est réellement mon auteur préféré. En personne. Et depuis le début je ne cesse de démontrer le contraire. Je me fige quelques secondes, clignant rapidement des cils, le fixant intensément, oubliant même où je suis, pourquoi je suis ici. Je ne sais plus rien. Je reprends quelques secondes après mes esprits, secouant brusquement mon visage. « Que . . . vrai . . . VRAIMENT ?? ». Je crie tellement fort que je fais sursauter le policier en face de nous. « T’es . . . enfin vous . . . vous êtes vraiment LUIIII ??? ». Je ne sais pas ce que je dois faire. Je ne sais pas si je dois fuir de suite, si je dois prendre mes jambes à mon cou ou bien demander un autographe et le valoriser. Doucement je m’approche de lui et dépose le bout de mon doigt sur son épaule, vérifiant qu’il est bien en chair et en os. « Oh my . . . ». Je pose mes mains contre ma bouche, « ça veut dire que mon auteur préféré est un pervers ? Et qu’en plus . . . je viens de l’amener à la police ?? ». Je suis en plein cauchemar, « Je suis tellement . . . mais en même temps . . . et puis . . . ». Je grince des dents, « elle est où la sortie » dis-je soudainement au policier qui suit la scène depuis tout à l’heure. Ou même quelque chose pour se pendre . . . ça fera l’affaire. Invité
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Re: Un pervers, un stalkeur et . . . son idole [Feat. Seyong♥] | Dim 5 Nov - 10:38
Elle dit être une fan, et m'accuse de ... Je hais les réseaux sociaux même si j'ai des comptes car c'est bon pour l'image. Mais ça lui convient pas encore comme preuve. Il lui faut quoi à la fin? Rentrer dans ma vie privée ? C'est ce que je vais faire pour lui prouver que je suis moi ! Le dossier Papillon qui est sa propre vedette, et je fais défiler des photos de lui et moi devant ses yeux. Et là, elle parfait surprise. Elle hurle au début. Je remonte le col de ma chemise pour me cacher, faudrait pas en plus qu'elle réussisse à attirer une émeute. Oui, je suis moi. Le seul et l'unique. Le policier se pince l'arrete du nez attendant la suite. Il vient de comprendre que la demoiselle ne va pas porter plainte. Elle va enfin comprendre que tout ça n'est qu'une grossière erreur. MAIS JE NE SUIS PAS UN PERVERS! Elle va pas recommencer. Elle commence à paniquer et veux sortir. Le policier me montre la porte et j'acquieces. Allez viens, je crois qu'on a plus rien à faire ici. Disons qu'il nous regarde comme si il allait nous arrêtée pour lui faire perdre son temps. Je peux t'expliquer que je suis pas un pervers ou te dédicacer ce que tu veux. C'est une fan, doit avoir moyen qu'elle se sorte cette idée grotesque de sa tête. Si au moins,elle était potable, je serai d'accord mais elle est....
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Elle dit être une fan, et m'accuse de ... Je hais les réseaux sociaux même si j'ai des comptes car c'est bon pour l'image. Mais ça lui convient pas encore comme preuve. Il lui faut quoi à la fin? Rentrer dans ma vie privée ? C'est ce que je vais faire pour lui prouver que je suis moi ! Le dossier Papillon qui est sa propre vedette, et je fais défiler des photos de lui et moi devant ses yeux. Et là, elle parfait surprise. Elle hurle au début. Je remonte le col de ma chemise pour me cacher, faudrait pas en plus qu'elle réussisse à attirer une émeute. Oui, je suis moi. Le seul et l'unique. Le policier se pince l'arrete du nez attendant la suite. Il vient de comprendre que la demoiselle ne va pas porter plainte. Elle va enfin comprendre que tout ça n'est qu'une grossière erreur. MAIS JE NE SUIS PAS UN PERVERS! Elle va pas recommencer. Elle commence à paniquer et veux sortir. Le policier me montre la porte et j'acquieces. Allez viens, je crois qu'on a plus rien à faire ici. Disons qu'il nous regarde comme si il allait nous arrêtée pour lui faire perdre son temps. Je peux t'expliquer que je suis pas un pervers ou te dédicacer ce que tu veux. C'est une fan, doit avoir moyen qu'elle se sorte cette idée grotesque de sa tête. Si au moins,elle était potable, je serai d'accord mais elle est....Contenu sponsorisé
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