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teach me ~ sang jae
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teach me ~ sang jae | Mer 13 Sep - 1:15
t’as besoin de prendre l’air, de bouger un peu. t’as l’impression d’étouffer à l’intérieur du dortoir pyo alors que tu n’es là-bas que depuis quelques mois. mais depuis que tu as revu yury et tadashi, tous tes souvenirs sont revenus en masse et t’as pas les épaules pour penser à min hee et à toute la peine que tu ressens à chaque fois que quelqu’un la mentionne ou que tu penses à elle. pourtant, c’est toi qui l’a voulu, c’est toi qui les a cherché dans tout le campus pour que vous parliez à nouveau ensemble, que vous essayez, à défaut de redevenir aussi proches qu’avant, de vus voir plus souvent et de vous soutenir. sauf que t’as pas trop eu les résultats escomptés et ça te brise le cœur. en même temps, tu t’attendais à quoi ? en sept ans, vous avez tous les trois changés, en bien comme en mal. vous n’êtes plus des adolescents, mais des adultes et vous n’êtes presque plus que des étrangers les uns pour les autres. c’est comme ça que tu l’as ressenti et ça te peine énormément. tu te demandes ce que min hee aurait pensé de cette situation si elle avait été là. t’es sûre que ça ne serait pas arrivé, parce qu’elle était l’aimant qui vous liait tous. elle était le centre de votre relation. c’est donc normal que tout se soit cassé la gueule quand elle a quitté ce monde. tu soupires légèrement, une cigarette glissée entre tes lèvres. tu sais pas si revenir à séoul ait été une bonne idée en vrai. tu regrettes presque tes choix. t’aurais du rester loin de cette ville, loin de tout ce qui te rappelle de près ou de loin ta meilleure amie. t’es revenue parce que tu te pensais guérie, que tu avais fait ton deuil, et que t’étais certaine que tu ne toucherais plus jamais de drogue. sauf que t’as eu tort. tu n’es pas guérie, tu ne vas pas mieux et tu sais que tu n’es pas loin de replonger. tout ça parce que tu as voulu jouer avec ton passé. t’aurais du aller de l’avant, sans te retourner et les laisser vivre leur vie sans toi. nouveau soupir qui franchit tes lèvres et tu relèves la tête que tu avais jusqu’à maintenant laissé sur le sol et tes pieds. tu ne reconnais pas les lieux. tu t’es trop éloigné de ton dortoir. tu hausses les épaules, jettes ton mégot dans les buissons derrière toi, avant de sortir ton téléphone pour mettre le gps afin de rentrer mais tu n’as pas le temps de le faire que tu entends des cris, des exclamations. tu fronces les sourcils curieuse. tu t’approches alors du son et tu es le témoin d’un combat de rue. tu ouvres la bouche surprise et tu ne décolles pas ton regard de la scène qui se déroule sous tes yeux. les coups pleuvent et les visages des deux adversaires se tordent dans des grimaces toutes plus moches les unes que les autres. tu entends les cris de la foule qui encourage les deux combattants et toi t’es fascinée. fascinée parce que tu les vois souffrir. toi la douleur physique, tu ne connais pas. tu n’as jamais goûté à ça parce que ta maladie t’en empêche. tu ne connaitras jamais la douleur alors, quand tu vois les autres souffrir, tu te demandes ce que ça fait. le combat continue et la violence progresse petit à petit jusqu’à ce que l’un des deux tombe à terre. tu lances un coup d’œil au vainqueur et tu l’as déjà vu. ça remonte à loin, très loin. c’était bien après la mort de min hee. une période de ta vie que tu voudrais oublier. mais à croire que ton passé continue de te poursuivre. en plus de ça, tu l’as également déjà aperçu au dortoir des pyos plusieurs fois mais également au côté de ce mec handicapé à qui tu n’as jamais parlé. tu crois, t’es pas sûr, qu’ils sont ensemble. et s’ils ne le sont pas, ils couchent ensemble, c’est sûr. y a des comportements qui ne trompent pas. t’as même entendu une ou deux conversations entre eux au détour d’un couloir. le plus petit voulait qu’il arrête ces combats. tu comprends mieux de quoi il parlait maintenant. tu t’approches alors de lui et tu lui tends un mouchoir. « t’as l’arcade qui saigne. » que tu dis en guise de salutations avant de lui offrir une clope et de reprendre la parole. « il est au courant ton mec que t’es là ? » tu souffles parce que t’es curieuse mais aussi parce que ça t’amuse de foutre les gens en colère.
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sangjae & mihee
t’as besoin de prendre l’air, de bouger un peu. t’as l’impression d’étouffer à l’intérieur du dortoir pyo alors que tu n’es là-bas que depuis quelques mois. mais depuis que tu as revu yury et tadashi, tous tes souvenirs sont revenus en masse et t’as pas les épaules pour penser à min hee et à toute la peine que tu ressens à chaque fois que quelqu’un la mentionne ou que tu penses à elle. pourtant, c’est toi qui l’a voulu, c’est toi qui les a cherché dans tout le campus pour que vous parliez à nouveau ensemble, que vous essayez, à défaut de redevenir aussi proches qu’avant, de vus voir plus souvent et de vous soutenir. sauf que t’as pas trop eu les résultats escomptés et ça te brise le cœur. en même temps, tu t’attendais à quoi ? en sept ans, vous avez tous les trois changés, en bien comme en mal. vous n’êtes plus des adolescents, mais des adultes et vous n’êtes presque plus que des étrangers les uns pour les autres. c’est comme ça que tu l’as ressenti et ça te peine énormément. tu te demandes ce que min hee aurait pensé de cette situation si elle avait été là. t’es sûre que ça ne serait pas arrivé, parce qu’elle était l’aimant qui vous liait tous. elle était le centre de votre relation. c’est donc normal que tout se soit cassé la gueule quand elle a quitté ce monde. tu soupires légèrement, une cigarette glissée entre tes lèvres. tu sais pas si revenir à séoul ait été une bonne idée en vrai. tu regrettes presque tes choix. t’aurais du rester loin de cette ville, loin de tout ce qui te rappelle de près ou de loin ta meilleure amie. t’es revenue parce que tu te pensais guérie, que tu avais fait ton deuil, et que t’étais certaine que tu ne toucherais plus jamais de drogue. sauf que t’as eu tort. tu n’es pas guérie, tu ne vas pas mieux et tu sais que tu n’es pas loin de replonger. tout ça parce que tu as voulu jouer avec ton passé. t’aurais du aller de l’avant, sans te retourner et les laisser vivre leur vie sans toi. nouveau soupir qui franchit tes lèvres et tu relèves la tête que tu avais jusqu’à maintenant laissé sur le sol et tes pieds. tu ne reconnais pas les lieux. tu t’es trop éloigné de ton dortoir. tu hausses les épaules, jettes ton mégot dans les buissons derrière toi, avant de sortir ton téléphone pour mettre le gps afin de rentrer mais tu n’as pas le temps de le faire que tu entends des cris, des exclamations. tu fronces les sourcils curieuse. tu t’approches alors du son et tu es le témoin d’un combat de rue. tu ouvres la bouche surprise et tu ne décolles pas ton regard de la scène qui se déroule sous tes yeux. les coups pleuvent et les visages des deux adversaires se tordent dans des grimaces toutes plus moches les unes que les autres. tu entends les cris de la foule qui encourage les deux combattants et toi t’es fascinée. fascinée parce que tu les vois souffrir. toi la douleur physique, tu ne connais pas. tu n’as jamais goûté à ça parce que ta maladie t’en empêche. tu ne connaitras jamais la douleur alors, quand tu vois les autres souffrir, tu te demandes ce que ça fait. le combat continue et la violence progresse petit à petit jusqu’à ce que l’un des deux tombe à terre. tu lances un coup d’œil au vainqueur et tu l’as déjà vu. ça remonte à loin, très loin. c’était bien après la mort de min hee. une période de ta vie que tu voudrais oublier. mais à croire que ton passé continue de te poursuivre. en plus de ça, tu l’as également déjà aperçu au dortoir des pyos plusieurs fois mais également au côté de ce mec handicapé à qui tu n’as jamais parlé. tu crois, t’es pas sûr, qu’ils sont ensemble. et s’ils ne le sont pas, ils couchent ensemble, c’est sûr. y a des comportements qui ne trompent pas. t’as même entendu une ou deux conversations entre eux au détour d’un couloir. le plus petit voulait qu’il arrête ces combats. tu comprends mieux de quoi il parlait maintenant. tu t’approches alors de lui et tu lui tends un mouchoir. « t’as l’arcade qui saigne. » que tu dis en guise de salutations avant de lui offrir une clope et de reprendre la parole. « il est au courant ton mec que t’es là ? » tu souffles parce que t’es curieuse mais aussi parce que ça t’amuse de foutre les gens en colère. #kerushirei
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Re: teach me ~ sang jae | Sam 30 Sep - 19:42
Sang Jae frappe. Plus fort encore que les autres fois. Il est heureux avec Soon Young. Mais il y a cette part en lui qui se cesse de grossir et de lui rappeler combien il n’y a pas droit. Il s’interdit le bonheur Sang Jae et il faudrait des années de psychanalyse pour réellement comprendre pourquoi … Il crache le sang qui coule de sa bouche et ramasse les billets sans amabilité des mains du connard qui pariait toujours gros sur lui. Il n’était pas certains de ramasser la totalité des gains mais c’était suffisant pour bouffer et payer son loyer. Il attrape son sac et s’agenouille le bander sa cheville qui lui faisait un mal de chien. Il y a toujours un connard qui vient le saouler après ses combats. Certains sont des fans qui sont extasié devant sa technique, d’autres des fils de chiens qui préfèrent s’amuser à le menacer mais qui partent la queue entre les jambes dès l’instant où il se redresse menaçant. C’était toujours e même schéma alors il supposait qu’aujourd’hui ne serait pas une exception à la règle. Quand il sent une présence à ses côtés il ne relève même pas la tête et continue ce qu’il était en train de faire. La vox féminine lui était déjà désagréable. Pourquoi les gens se sentait-il obligé de venir lui parler ? N’était-ce pas évident qu’il était associable et renfermé sur lui-même ? Il enfile sa chaussure qu’il lace une fois que sa cheville est bien maintenue. Tu ignores ce mouchoir qu’elle te tend et te redresse avant de mettre ta capuche sur ta tête. « Qu’est-ce que ça peut te foutre ? » grogne-t-il en la regardant à peine, pourtant les traits de son visage ont le don de lui coller des sueurs. Sang Jae reste toujours maitre de ses émotions mais il faut avouer que cette fille … c’est une part de son passé qu’il préférerait oublier … c’est celle qui l’a fait flancher. C’est trop de souvenirs qu’il souhaiterait n’avoir eu. Alors quand il l’a vu à la fraternité de son petit ami il a cru revivre son passé. Il a l’impression de se noyer dans un mensonge perpétuel sans trop savoir comment sortir la tête hors de l’eau. Au moins ça le conforte dans son idée que le bonheur lui est interdit. Chaque fois qu’il est heureux, il peut s’assurer qu’une merde lui arrivera. Et cette fille était le parfait exemple des emmerdes qu’il avait dans la vie. Il attrape sa serviette et la place sur son arcade avant de sortir de la ruelle pour aller à la pharmacie la plus proche et prendre de quoi se soigner. Il espérait juste que la gosse ne le suive pas et qu’il puisse être tranquille. Il n’avait rien dit à Soon Young, le laissant se concentrer sur ses examens. Et chaque fois que le plus jeune lui laissait plus de liberté l’étudiant en profitait pour se détruire un peu plus.
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sangjae & mihee
Sang Jae frappe. Plus fort encore que les autres fois. Il est heureux avec Soon Young. Mais il y a cette part en lui qui se cesse de grossir et de lui rappeler combien il n’y a pas droit. Il s’interdit le bonheur Sang Jae et il faudrait des années de psychanalyse pour réellement comprendre pourquoi … Il crache le sang qui coule de sa bouche et ramasse les billets sans amabilité des mains du connard qui pariait toujours gros sur lui. Il n’était pas certains de ramasser la totalité des gains mais c’était suffisant pour bouffer et payer son loyer. Il attrape son sac et s’agenouille le bander sa cheville qui lui faisait un mal de chien. Il y a toujours un connard qui vient le saouler après ses combats. Certains sont des fans qui sont extasié devant sa technique, d’autres des fils de chiens qui préfèrent s’amuser à le menacer mais qui partent la queue entre les jambes dès l’instant où il se redresse menaçant. C’était toujours e même schéma alors il supposait qu’aujourd’hui ne serait pas une exception à la règle. Quand il sent une présence à ses côtés il ne relève même pas la tête et continue ce qu’il était en train de faire. La vox féminine lui était déjà désagréable. Pourquoi les gens se sentait-il obligé de venir lui parler ? N’était-ce pas évident qu’il était associable et renfermé sur lui-même ? Il enfile sa chaussure qu’il lace une fois que sa cheville est bien maintenue. Tu ignores ce mouchoir qu’elle te tend et te redresse avant de mettre ta capuche sur ta tête. « Qu’est-ce que ça peut te foutre ? » grogne-t-il en la regardant à peine, pourtant les traits de son visage ont le don de lui coller des sueurs. Sang Jae reste toujours maitre de ses émotions mais il faut avouer que cette fille … c’est une part de son passé qu’il préférerait oublier … c’est celle qui l’a fait flancher. C’est trop de souvenirs qu’il souhaiterait n’avoir eu. Alors quand il l’a vu à la fraternité de son petit ami il a cru revivre son passé. Il a l’impression de se noyer dans un mensonge perpétuel sans trop savoir comment sortir la tête hors de l’eau. Au moins ça le conforte dans son idée que le bonheur lui est interdit. Chaque fois qu’il est heureux, il peut s’assurer qu’une merde lui arrivera. Et cette fille était le parfait exemple des emmerdes qu’il avait dans la vie. Il attrape sa serviette et la place sur son arcade avant de sortir de la ruelle pour aller à la pharmacie la plus proche et prendre de quoi se soigner. Il espérait juste que la gosse ne le suive pas et qu’il puisse être tranquille. Il n’avait rien dit à Soon Young, le laissant se concentrer sur ses examens. Et chaque fois que le plus jeune lui laissait plus de liberté l’étudiant en profitait pour se détruire un peu plus. #kerushirei
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Re: teach me ~ sang jae | Lun 9 Oct - 11:01
t’es fascinée par les grimaces de douleur qui déforment leurs visages à chaque nouveau coup. toi t’as jamais connu ça. on a beau te frapper, c’est simplement comme si on t’effleurait. ta maladie est une vraie plaie, même si dans quelques situations ça peut être utile. mais tu n’as aucun sens du danger. c’est sûrement pour cette raison que tu t’approches de sang jae, parce que tu sais que même s’il te frappe, tu ne sentiras rien. tu n’as aucun instinct de préservation. alors, tu t’avances vers le jeune homme, tendant ton mouchoir dans le vide parce qu’il ne le prend pas. tant pis. tu le ranges, sans être vexée ou en colère. après tout, s’il a envie que le sang continue de couler, c’est son problème pas le tien. tu le provoques ensuite par rapport à son mec et sa réponse te fait sourire narquoisement. et tu vois dans ses yeux qu’il te reconnait, qu’il se rappelle de qui tu es. ton sourire s’agrandit et alors que tu t’apprêtes à lui répondre, il se lève pour juste partir. tu ris en le voyant fuir. mais il n’a pas compris que tu ne le lâcherais pas ? pourquoi tu fais ça ? tu sais pas vraiment. sûrement que t’as envie de voir jusqu’où tu peux encaisser les coups et voir si tu peux avoir mal. alors, tu le suis, sortant également de la ruelle à sa suite. « tu sais moi ça me fait rien que tu te battes comme ça… » tu commences, laissant planer un silence après tes mots que tu romps en reprenant. « mais ton petit ami, j’suis pas sûre qu’il apprécie non. » menace à peine voilée. tu sais qu’il comprendra le double sens de tes mots. tu lui fais comprendre que tu ne le lâcheras pas. t’as rien à gagner, ni même à perdre. c’est juste parce que ce soir, t’as envie de tester les limites de ta maladie, et que sang jae fait partie de ton passé, passé que tu voudrais oublier mais que tu t’obstines à malgré tout garder près de toi. la preuve en est le jeune homme, là. t’aurais pu continuer ton chemin et ne pas lui parler, mais c’était plus fort que toi. « après tout il t’a bien demandé d’arrêter non ? » et tu le rattrapes, te mettant face à lui pour imiter soon young, ce pyo que tu as vu plusieurs fois au dortoir et en sa compagnie. tu joues avec le feu, mais t’aimes ça. pour cette raison sûrement que tu laisses un sourire moqueur s’afficher sur tes lèvres alors que ton regard ne quitte pas le sien.
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t’es fascinée par les grimaces de douleur qui déforment leurs visages à chaque nouveau coup. toi t’as jamais connu ça. on a beau te frapper, c’est simplement comme si on t’effleurait. ta maladie est une vraie plaie, même si dans quelques situations ça peut être utile. mais tu n’as aucun sens du danger. c’est sûrement pour cette raison que tu t’approches de sang jae, parce que tu sais que même s’il te frappe, tu ne sentiras rien. tu n’as aucun instinct de préservation. alors, tu t’avances vers le jeune homme, tendant ton mouchoir dans le vide parce qu’il ne le prend pas. tant pis. tu le ranges, sans être vexée ou en colère. après tout, s’il a envie que le sang continue de couler, c’est son problème pas le tien. tu le provoques ensuite par rapport à son mec et sa réponse te fait sourire narquoisement. et tu vois dans ses yeux qu’il te reconnait, qu’il se rappelle de qui tu es. ton sourire s’agrandit et alors que tu t’apprêtes à lui répondre, il se lève pour juste partir. tu ris en le voyant fuir. mais il n’a pas compris que tu ne le lâcherais pas ? pourquoi tu fais ça ? tu sais pas vraiment. sûrement que t’as envie de voir jusqu’où tu peux encaisser les coups et voir si tu peux avoir mal. alors, tu le suis, sortant également de la ruelle à sa suite. « tu sais moi ça me fait rien que tu te battes comme ça… » tu commences, laissant planer un silence après tes mots que tu romps en reprenant. « mais ton petit ami, j’suis pas sûre qu’il apprécie non. » menace à peine voilée. tu sais qu’il comprendra le double sens de tes mots. tu lui fais comprendre que tu ne le lâcheras pas. t’as rien à gagner, ni même à perdre. c’est juste parce que ce soir, t’as envie de tester les limites de ta maladie, et que sang jae fait partie de ton passé, passé que tu voudrais oublier mais que tu t’obstines à malgré tout garder près de toi. la preuve en est le jeune homme, là. t’aurais pu continuer ton chemin et ne pas lui parler, mais c’était plus fort que toi. « après tout il t’a bien demandé d’arrêter non ? » et tu le rattrapes, te mettant face à lui pour imiter soon young, ce pyo que tu as vu plusieurs fois au dortoir et en sa compagnie. tu joues avec le feu, mais t’aimes ça. pour cette raison sûrement que tu laisses un sourire moqueur s’afficher sur tes lèvres alors que ton regard ne quitte pas le sien.#kerushirei
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