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im eui geon ~ we can skydive, free fall
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im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 21:35 Citer EditerSupprimer
Im Eui Geon
et là une petite citation...
IDENTITY CARD |
Il parait que... il parait que ta copine t'a quitté parce que tu te tapais ta belle-mère. (f. c'est na rae qui t'a trompé et tu l'as laissé tombé parce que tu ne supportes pas d'être trahi de cette façon. tu ne donnes pas de seconde chance.) | Dis nous qui tu es ! FIDELE & LOYAL : c'est ce qu'on retient le plus souvent de toi quand on te connait. que ce soit en amour ou en amitié tu es fidèle. tu fais passer les gens que tu aimes avant tout. s'ils ont un soucis, tu laisses tomber tout ce que tu fais pour aller les voir. tu ne supportes pas que quelque chose arrive. ta fidélité en amour n'est différente pas vraiment. tu ferais tout pour cette personne et quand tu es amoureux, il n'y a plus qu'elle. c'est la reine de ton monde, la princesse de tes nuits et la déesse de tes draps. tu ne vois qu'elle, tu ne jures que par elle et toutes les autres femmes te semblent fades comparées à elle. du coup, tu essaies le moins possible de tomber amoureux, parce que ce genre de sentiments, ça fait mal quand tu tombes... tu en as fait les frais avec na rae. ARROGANT & VANTARD : t'as du fric, t'es beau gosse, ton géniteur a une entreprise de cosmétiques qui fonctionnent très bien et ta belle-mère est égérie d'une marque française en corée. alors ouais t'as toutes les raisons de te montrer arrogant et d'être vantard. tu joues de cette image de connard qu'on te donne pour ne pas que les gens s'attachent à toi par intérêt. les grapes sous, tu les détestes et tu leur craches même à la gueule. tu te moques de ce qu'on pense de toi et de ce que tu dis/fais. tu ne peux cependant pas t'empêcher de devenir encore plus abruti si on te cherche. sauf que tout ça n'est qu'une image, le reflet de toi que tu renvois à la société. le vrai eui geon n'est absolument pas comme ça. GENTIL & CALME : t'es gentil eui geon, sûrement trop d'ailleurs. tu te faisais souvent avoir lorsque tu étais plus jeune. mais avec le temps t'as appris de tes erreurs et si tu vois encore le bon chez les gens, tu n'es plus aussi naïf qu'avant. t'es gentil mais pas naïf. t'es aussi un faux calme. faut pas t'emmerder, sinon tu joues de tes poings. t'as pas l'air comme ça mais t'es plutôt balaise. tu fais genre que tu ne t'énerves pas, mais au fond de toi, tu bouillonnes. tu gardes tout enfermé en toi et le jour où ça explose, c'est comme une cocotte minute, tu laisses tout sortir d'un coup, sans filtre et jusqu'à ce que tu aies vidé tout ton sac. vaut mieux pas être avec toi à ce moment là, parce que l'expression être là au mauvais endroit, au mauvais moment prend alors tout son sens. BORNE & IMPATIENT : t'es pas le mec le plus patient de la planète, clairement pas même. quand tu veux quelque chose, tu le veux sur le champ. t'aimes pas attendre du tout et ça te donne des envies de meurtre quand tu dois attendre quelques minutes. de ce fait, tu es un mec très ponctuel, voire même trop. t'as toujours dix minutes d'avance. on ne sait jamais ce qui peut arriver et vu que tu détestes ne pas être à l'heure tu te stresses tout seul. de cette façon, toutes tes montres avancent de vingt minutes et ton réveil de trente. t'es sûr de pas être en retard du coup. t'es aussi également très borné. quand t'as décidé quelque chose, il est très difficile de te faire revenir en arrière. t'es pire qu'un âne. c'est pour ça que tu es rancunier et que tu n'accordes pas de seconde chance.t'accordes déjà très difficilement ta confiance, si en plus on la brise, c'est fini. SOIGNEUX & ATTENTIONNE : tu prends soin de tes affaires et sans être un maniaque de la propreté, tu aimes que tout soit à sa place, rangé et nettoyé. t'aimes les tâches ménagères malgré que tu n'en aies pas l'air. tu ne supportes pas vraiment le bordel et donc, au lieu d'attendre que les autres le fassent, tu le fais. tu es aussi attentionné même si tu le fais passer derrière ton attitude de macho. du coup, tes actions ne sont jamais vues et ça te convient. t'aimes pas être sur les devants de la scène. tu préfères faire les choses par derrière et de manière discrète. MESQUIN & JOUEUR : t'es le premier à répondre à l'appel s'il y a des défis à relever. t'aimes jouer, beaucoup trop surtout. ton nouveau jeu c'est d'allumer un feu entre les jambes de cette petite stripteaseuse lili. tu aimes voir son regard fougueux dans le tien alors que tu as l'ascendant sur elle. tu aimes dominé en toute circonstance. en plus de jouer, tu es très mesquin. ça n'est jamais bien méchant, mais tu aimes attiser la colère chez les gens et jouer de leur réaction. |
MARION c'est un reboot . on dit au revoir à jisoo pour dire bonjour à euigeon . mogo a dit oui .
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It's my life...
et là une petite citation...
« eui geon, viens près de moi. » tu relèves la tête de ton livre consacré aux rapaces, avec un sourire, alors que ton regard se pose sur ta mère. depuis quelques semaines, elle passe son temps dans son lit et tu sais pas pourquoi. du coup, au lieu d’aller jouer dehors avec les autres enfants du quartier, tu restes avec ta mère. tu te fous de ne pas avoir de vie sociale, tu t’inquiètes simplement pour ta mère. et puis, toi tu préfères rester dans ta chambre à lire tes livres sur les oiseaux. t’es pas comme les autres, alors ils te fuient. mais t’es bien chez toi, avec ta mère. tu grimpes alors sur le lit essayant de ne pas lui faire de mal et quand tu es enfin près d’elle, elle te prend dans ses bras et dépose un baiser sur ton front. tu la regardes étonné. c’est pas la première fois qu’elle te prend dans ses bras, mais y a souvent une raison, tu t’es fait mal, tu as eu une mauvaise note à l’école ect… ce n’est jamais aussi aléatoire. alors, tu gardes ton regard sur elle et tu attends ce qu’elle a à te dire parce que tu peux le sentir qu’elle a quelque chose à dire. « tu dois te demander pourquoi je reste dans ce lit, pas vrai ? » tu hoches la tête toujours sans parler parce que tu ne veux pas la couper mais aussi parce que du haut de tes dix ans, tu ne sais pas vraiment quoi dire ou faire dans cette situation. ta mère te rapproche encore plus d’elle, posant ta tête contre son cœur. tu peux entendre et sentir le battement et tu passes tes mains dans son dos pour enlacer. « je suis malade eui gon… » qu’elle souffle entre deux caresses et tu sens ton corps qui se tend contre elle. si elle est malade, ça ne veut pas dire qu’elle va mourir pas vrai. mais même si tu n’as que dix ans, tu vois les choses. elle n’est plus aussi énergique qu’avant, elle passe son temps entre l’hôpital et son lit et tu vois bien que son sourire s’efface avec le temps. « c’est une maladie très grave. je peux en mourir. » t’arrives pas à croire ce que tu entends. tu ne veux pas de ça. alors, tu secoues la tête fort, très fort contre la poitrine de ta mère. « tu ne mourras pas maman. je te l’interdis. tu peux pas m’abandonner. » que tu dis en relevant la tête vers elle, les yeux remplit de larmes. tu ne veux pas la voir quitter ta vie jamais. sauf que tu sais que ce n’est pas possible, qu’un jour, elle va vraiment partir, vraiment te laisser seul.
« eui geon, rentrons. » tu entends la voix de ton père, mais tu ne bouges pas. tu ne peux pas bouger, pas maintenant, ni même jamais. elle t’a abandonné, elle est partie te laissant seul. t’es à genoux sous la pluie, tout le monde est déjà parti mais tu t’en fous. t’arrives pas à te résoudre à faire face à la réalité. ça fait trop mal, beaucoup trop mal. tu ne sais pas depuis combien de temps tu fixes cette tombe, sans réaction, sans expression. c’est comme si ta vie avait quitté ton corps à la minute même où ta mère était emportée par la leucémie, cette foutue maladie. pendant cinq ans, elle s’est battue pour toi, pour rester avec toi le plus possible. les médecins ne lui avaient donné que trois mois. ils avaient été estomaqués de voir qu’elle s’était accrochée. c’était rare ce genre de cas. et puis elle a rendu les armes et t’as laissé seul. tu ne sais pas quand ta belle-mère arrive près de toi avec ton père et que le parapluie apparait au-dessus de ta tête. tu ne les remarques pas au début. ce n’est que lorsque ton géniteur pose sa main sur ton épaule que tu sursautes et que tu te lèves précipitamment en enlevant sa main. son contact te dégoûte. son existence même te dégoûte. dès que tu vois son visage t’as envie de gerber et de lui cracher à la gueule. « me touche pas. » que tu viens siffler entre tes dents, alors que tu te retournes vers eux. ta belle-mère a un air horrifié sur le visage à cause de la façon dont tu as parlé et ton père est impassible. ça a le don de te foutre encore plus en rogne. « fais pas comme si je t’avais choqué. » ta voix est froide, glaciale même et ton regard n’est pas plus chaleureux. tu l’aimes pas cette femme et tu ne l’aimeras probablement jamais. elle a séduit ton père alors que ta mère était sur son lit de mort. elle a obligé ton père a divorcé de ta mère pour se marier avec elle alors qu’elle était l’infirmière de ta mère, la personne en qui elle avait le plus confiance. « je te prierai de ne pas lui parler sur ce ton eui geon. c’est ta belle-mère et nous sommes une famille maintenant. » cette fois, c’est sur ton géniteur que tu dardes ton regard froid, prêt à lui sauter à la gorge. tu ne supportes pas ses mots. « fais pas genre qu’on est une famille. ma seule famille, je viens de l’enterrer aujourd’hui. ma seule famille c’est cette femme dans le cercueil. c’est ma mère. » plus tu parles et plus tu hurles. les gens autour de vous, votre famille, vos amis, tout le monde se concentre sur vous. t’en as rien à foutre. après tout, t’as besoin de sortir tout ce que tu penses. tu gardes trop de truc en toi depuis trop longtemps. « elle, » dis-tu en la pointant du doigt, « c’était juste ton vide couilles parce que maman pouvait plus rien faire… et tu l’as épousé. » la gifle part avant même que tu ne puisses la prédire. tu regardes ton père, les yeux remplis de rage et de larmes d’humiliation. tu te tiens la joue à cause de la douleur cuisante. « ne t’avises plus jamais de me toucher. » tu répètes cette fois sous fond de menace. tu sais que tu pourrais le faire. tu décides de quitter les yeux avant que tu ne le tues sous les yeux de tout le monde. tu les bouscules en partant et ta belle-mère perd l’équilibre pour tomber dans la boue. c’est pas grand-chose, mais ça suffit à te faire sourire narquoisement un petit peu.
« eui geon, je t’ai trompé. » ces mots résonnent dans ta tête alors que tu ouvres la fenêtre pour allumer une clope. en ce moment, tu fumes plus que d’ordinaire parce que tu es stressé. cette histoire avec na rae te stresse. tu n’arrives pas à remonter la pente. après deux semaines, c’est comme si elle était encore là chez toi, chez vous. tout te rappelle sa présence et t’as beau avoir lavé les draps des dizaines de fois, t’as toujours l’impression d’avoir son odeur dessus. tu pousses un soupir alors que tu t’installes sur le rebord de la fenêtre et que tu admires la rue en bas. ta vie est finie maintenant que na rae n’est plus avec toi. tu avais même prévu de la demander en mariage, pour dire à quel point tu l’aimais. tu te voyais vieillir avec elle, avoir des enfants et regarder vos petits-enfants dans une maison traditionnelle coréenne. t’avais tout prévu. c’était ce que tu voulais et tu pensais que c’était son cas aussi. mais apparemment non puisqu’elle t’a dit que tu lui avais fait peur. elle a eu peur de votre relation et est partie voir ailleurs. tu penses pas que tu t’en remettras. soupir qui s’échappe de tes lèvres alors qu’un pigeon passe près de toi. tu souris. les oiseaux, même après des années, sont toujours autant fascinant pour toi. t’as même fait ton cursus à l’université en fonction d’eux et tu ne le regrettes absolument pas du tout. « mec, putain fais pas le con. saute pas ! » tu sursautes en entendant des voix familières et tu te retournes vers eux les yeux écarquillés de les voir. y a tae hyun, jasun, evan et soon young. « yah ! c’est vous qu’êtes con. j’ai failli tomber par votre faute. » tu descends du rebord de la fenêtre, lâchant ton mégot par la fenêtre. il s’est consumé tout seul sans que tu ne fasses rien, écho de ta propre vie. « qu’est-ce que vous foutez là ? comment vous êtes rentrés ? » tu demandes et jasun expose fièrement le double de tes clés. c’est vrai, tu leur as donné à tous un double si jamais y a un soucis pour qu’ils viennent chez toi. ton appartement est devenu votre QG et ça ne t’a jamais dérangé. « on s’inquiétait pour toi. tu répondais plus aux appels et messages. on a pensé qu’il t’était arrivé quelque chose. » ils sont sympa et t’as un début de sourire qui s’affiche sur tes lèvres. c’est vrai que t’as séché les cours, que t’as éteins ton téléphone. tu ne voulais voir personne et c’est encore le cas maintenant. mais t’as pas le cœur à les foutre à la porte. « na rae m’a trompé et je l’ai quitté. » silence de plomb qui te répond sûrement le temps qu’ils assimilent ce que tu viens de dire. après tout, na rae et toi ça faisait des années que vous étiez ensemble presque six ans. ça fait un choc de savoir que tu as été cocu. « allez déprime pas. t’sais qu’on dit. une de perdue, dis de retrouvées. » tu pouffes. c’est plus fort que toi parce que cet adage est tellement pourri. tu veux pas des dix autres filles. il n’y a que na rae dans ton esprit. « arrête de faire la gueule… et dépêche-toi de relever le dernier défi. c’est un truc parfait pour toi. » tu lèves les yeux au ciel, un sourire sur les lèvres. ils ont raison, tu peux pas déprimer toute ta vie, tu dois aller de l’avant. la douleur est et sera toujours présente, mais faut que tu vives avec. « j’suis sûr c’est encore un truc de merde et c’est moi qui vais me le taper. » t’as l’habitude depuis le lycée de te taper tous les défis de merde, tous les trucs impossibles. tu sais pas combien de fois tu as répété « non mais j’vais pas faire ça » pour au final le faire quand même et réussir. tu crois que c’est ça le pire, tu réussis. et cette fois encore, tu réussiras.
« très bien, elle sera à vous et seulement à vous. » tu souris en donnant une liasse de billets au patron du babylon. tu lui graisses la patte assez régulièrement parce que tu ne veux qu’elle et que pour toi. t’es pas partageur et tu ne le sauras probablement jamais. ce qui est à toi est à toi et c’est exactement ce que tu as ressenti la première fois que tu as mis les pieds ici. ça partait d’un défi débile. tu devais ramener le string d’une des stripteaseuses et c’est là qu’elle est apparu dans ton champ de vision : lili ou plutôt malia. tu sais pas pourquoi c’est elle qui t’a attiré la première fois que t’es venu ici. mais depuis tu ne viens que pour elle. tu ne sais plus combien tu as dépensé sur elle ni même combien tu continueras de flamber. mais tu as ce besoin irrépressible de la posséder, d’en faire ta propriété, comme si elle était un animal qui t’appartenait. ouais dis comme ça, ça donne l’impression que tu ne la respectes pas, mais c’est tout le contraire. tu la respectes en tant que femme et en tant qu’être humain. c’est juste une lubie comme quand un joueur a envie d’acheter un jeu. c’est le même genre de sentiment qui t’habite quand tu penses à la jeune femme. c’est un jeu avec lequel tu veux jouer comme un enfant capricieux. tu vas donc t’asseoir dans le carré vip et t’attends qu’on vienne te servir. ce n’est pas malia mais une autre fille. tu ne lui accordes qu’un vague hochement de tête sans regard alors que tu la paies gracieusement pour la boisson, les yeux rivés sur la jeune femme que tu convoites. ses courbes ont été créer pour appâter le mâle humain, t’en es persuadé et t’as bien envie de les goûter. sauf que tu ne peux pas et ne veux pas. ce n’est pas drôle si vous succomber. t’aimes votre petit jeu sensuel, vous vous provoquer, vous vous chercher sans jamais vous trouver. la tension sexuelle est palpable entre vous et tu veux attiser le feu entre ses jambes pour ensuite être celui qui l’éteint. t’as envie d’elle, tu ne le cacheras pas, mais tu ne craqueras pas le premier. tu croises le regard du patron et tu lui fais un signe de tête. c’est votre code secret. il s’avance vers lili et doit sûrement lui dire que tu la veux. son regard te foudroie et tu souris malicieusement avant de te lever. t’as besoin d’intimité parce que tu ne peux pas que son corps soit exposé. elle est à toi, rien qu’à toi.
« eui geon, rentrons. » tu entends la voix de ton père, mais tu ne bouges pas. tu ne peux pas bouger, pas maintenant, ni même jamais. elle t’a abandonné, elle est partie te laissant seul. t’es à genoux sous la pluie, tout le monde est déjà parti mais tu t’en fous. t’arrives pas à te résoudre à faire face à la réalité. ça fait trop mal, beaucoup trop mal. tu ne sais pas depuis combien de temps tu fixes cette tombe, sans réaction, sans expression. c’est comme si ta vie avait quitté ton corps à la minute même où ta mère était emportée par la leucémie, cette foutue maladie. pendant cinq ans, elle s’est battue pour toi, pour rester avec toi le plus possible. les médecins ne lui avaient donné que trois mois. ils avaient été estomaqués de voir qu’elle s’était accrochée. c’était rare ce genre de cas. et puis elle a rendu les armes et t’as laissé seul. tu ne sais pas quand ta belle-mère arrive près de toi avec ton père et que le parapluie apparait au-dessus de ta tête. tu ne les remarques pas au début. ce n’est que lorsque ton géniteur pose sa main sur ton épaule que tu sursautes et que tu te lèves précipitamment en enlevant sa main. son contact te dégoûte. son existence même te dégoûte. dès que tu vois son visage t’as envie de gerber et de lui cracher à la gueule. « me touche pas. » que tu viens siffler entre tes dents, alors que tu te retournes vers eux. ta belle-mère a un air horrifié sur le visage à cause de la façon dont tu as parlé et ton père est impassible. ça a le don de te foutre encore plus en rogne. « fais pas comme si je t’avais choqué. » ta voix est froide, glaciale même et ton regard n’est pas plus chaleureux. tu l’aimes pas cette femme et tu ne l’aimeras probablement jamais. elle a séduit ton père alors que ta mère était sur son lit de mort. elle a obligé ton père a divorcé de ta mère pour se marier avec elle alors qu’elle était l’infirmière de ta mère, la personne en qui elle avait le plus confiance. « je te prierai de ne pas lui parler sur ce ton eui geon. c’est ta belle-mère et nous sommes une famille maintenant. » cette fois, c’est sur ton géniteur que tu dardes ton regard froid, prêt à lui sauter à la gorge. tu ne supportes pas ses mots. « fais pas genre qu’on est une famille. ma seule famille, je viens de l’enterrer aujourd’hui. ma seule famille c’est cette femme dans le cercueil. c’est ma mère. » plus tu parles et plus tu hurles. les gens autour de vous, votre famille, vos amis, tout le monde se concentre sur vous. t’en as rien à foutre. après tout, t’as besoin de sortir tout ce que tu penses. tu gardes trop de truc en toi depuis trop longtemps. « elle, » dis-tu en la pointant du doigt, « c’était juste ton vide couilles parce que maman pouvait plus rien faire… et tu l’as épousé. » la gifle part avant même que tu ne puisses la prédire. tu regardes ton père, les yeux remplis de rage et de larmes d’humiliation. tu te tiens la joue à cause de la douleur cuisante. « ne t’avises plus jamais de me toucher. » tu répètes cette fois sous fond de menace. tu sais que tu pourrais le faire. tu décides de quitter les yeux avant que tu ne le tues sous les yeux de tout le monde. tu les bouscules en partant et ta belle-mère perd l’équilibre pour tomber dans la boue. c’est pas grand-chose, mais ça suffit à te faire sourire narquoisement un petit peu.
« eui geon, je t’ai trompé. » ces mots résonnent dans ta tête alors que tu ouvres la fenêtre pour allumer une clope. en ce moment, tu fumes plus que d’ordinaire parce que tu es stressé. cette histoire avec na rae te stresse. tu n’arrives pas à remonter la pente. après deux semaines, c’est comme si elle était encore là chez toi, chez vous. tout te rappelle sa présence et t’as beau avoir lavé les draps des dizaines de fois, t’as toujours l’impression d’avoir son odeur dessus. tu pousses un soupir alors que tu t’installes sur le rebord de la fenêtre et que tu admires la rue en bas. ta vie est finie maintenant que na rae n’est plus avec toi. tu avais même prévu de la demander en mariage, pour dire à quel point tu l’aimais. tu te voyais vieillir avec elle, avoir des enfants et regarder vos petits-enfants dans une maison traditionnelle coréenne. t’avais tout prévu. c’était ce que tu voulais et tu pensais que c’était son cas aussi. mais apparemment non puisqu’elle t’a dit que tu lui avais fait peur. elle a eu peur de votre relation et est partie voir ailleurs. tu penses pas que tu t’en remettras. soupir qui s’échappe de tes lèvres alors qu’un pigeon passe près de toi. tu souris. les oiseaux, même après des années, sont toujours autant fascinant pour toi. t’as même fait ton cursus à l’université en fonction d’eux et tu ne le regrettes absolument pas du tout. « mec, putain fais pas le con. saute pas ! » tu sursautes en entendant des voix familières et tu te retournes vers eux les yeux écarquillés de les voir. y a tae hyun, jasun, evan et soon young. « yah ! c’est vous qu’êtes con. j’ai failli tomber par votre faute. » tu descends du rebord de la fenêtre, lâchant ton mégot par la fenêtre. il s’est consumé tout seul sans que tu ne fasses rien, écho de ta propre vie. « qu’est-ce que vous foutez là ? comment vous êtes rentrés ? » tu demandes et jasun expose fièrement le double de tes clés. c’est vrai, tu leur as donné à tous un double si jamais y a un soucis pour qu’ils viennent chez toi. ton appartement est devenu votre QG et ça ne t’a jamais dérangé. « on s’inquiétait pour toi. tu répondais plus aux appels et messages. on a pensé qu’il t’était arrivé quelque chose. » ils sont sympa et t’as un début de sourire qui s’affiche sur tes lèvres. c’est vrai que t’as séché les cours, que t’as éteins ton téléphone. tu ne voulais voir personne et c’est encore le cas maintenant. mais t’as pas le cœur à les foutre à la porte. « na rae m’a trompé et je l’ai quitté. » silence de plomb qui te répond sûrement le temps qu’ils assimilent ce que tu viens de dire. après tout, na rae et toi ça faisait des années que vous étiez ensemble presque six ans. ça fait un choc de savoir que tu as été cocu. « allez déprime pas. t’sais qu’on dit. une de perdue, dis de retrouvées. » tu pouffes. c’est plus fort que toi parce que cet adage est tellement pourri. tu veux pas des dix autres filles. il n’y a que na rae dans ton esprit. « arrête de faire la gueule… et dépêche-toi de relever le dernier défi. c’est un truc parfait pour toi. » tu lèves les yeux au ciel, un sourire sur les lèvres. ils ont raison, tu peux pas déprimer toute ta vie, tu dois aller de l’avant. la douleur est et sera toujours présente, mais faut que tu vives avec. « j’suis sûr c’est encore un truc de merde et c’est moi qui vais me le taper. » t’as l’habitude depuis le lycée de te taper tous les défis de merde, tous les trucs impossibles. tu sais pas combien de fois tu as répété « non mais j’vais pas faire ça » pour au final le faire quand même et réussir. tu crois que c’est ça le pire, tu réussis. et cette fois encore, tu réussiras.
« très bien, elle sera à vous et seulement à vous. » tu souris en donnant une liasse de billets au patron du babylon. tu lui graisses la patte assez régulièrement parce que tu ne veux qu’elle et que pour toi. t’es pas partageur et tu ne le sauras probablement jamais. ce qui est à toi est à toi et c’est exactement ce que tu as ressenti la première fois que tu as mis les pieds ici. ça partait d’un défi débile. tu devais ramener le string d’une des stripteaseuses et c’est là qu’elle est apparu dans ton champ de vision : lili ou plutôt malia. tu sais pas pourquoi c’est elle qui t’a attiré la première fois que t’es venu ici. mais depuis tu ne viens que pour elle. tu ne sais plus combien tu as dépensé sur elle ni même combien tu continueras de flamber. mais tu as ce besoin irrépressible de la posséder, d’en faire ta propriété, comme si elle était un animal qui t’appartenait. ouais dis comme ça, ça donne l’impression que tu ne la respectes pas, mais c’est tout le contraire. tu la respectes en tant que femme et en tant qu’être humain. c’est juste une lubie comme quand un joueur a envie d’acheter un jeu. c’est le même genre de sentiment qui t’habite quand tu penses à la jeune femme. c’est un jeu avec lequel tu veux jouer comme un enfant capricieux. tu vas donc t’asseoir dans le carré vip et t’attends qu’on vienne te servir. ce n’est pas malia mais une autre fille. tu ne lui accordes qu’un vague hochement de tête sans regard alors que tu la paies gracieusement pour la boisson, les yeux rivés sur la jeune femme que tu convoites. ses courbes ont été créer pour appâter le mâle humain, t’en es persuadé et t’as bien envie de les goûter. sauf que tu ne peux pas et ne veux pas. ce n’est pas drôle si vous succomber. t’aimes votre petit jeu sensuel, vous vous provoquer, vous vous chercher sans jamais vous trouver. la tension sexuelle est palpable entre vous et tu veux attiser le feu entre ses jambes pour ensuite être celui qui l’éteint. t’as envie d’elle, tu ne le cacheras pas, mais tu ne craqueras pas le premier. tu croises le regard du patron et tu lui fais un signe de tête. c’est votre code secret. il s’avance vers lili et doit sûrement lui dire que tu la veux. son regard te foudroie et tu souris malicieusement avant de te lever. t’as besoin d’intimité parce que tu ne peux pas que son corps soit exposé. elle est à toi, rien qu’à toi.
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 21:37 Citer EditerSupprimer
edit: vends nous du rêve comme d'habitude avec cette bouille parfaite
"mogo a dit oui ." "MOGO DIT OUI A TOUT CEST UNE FILLE FACILE
BON REBOOT EN TOUT CAS
JE NE SUIS QU'EMOTION
"mogo a dit oui ." "MOGO DIT OUI A TOUT CEST UNE FILLE FACILE
BON REBOOT EN TOUT CAS
JE NE SUIS QU'EMOTION
- Spoiler:
- zinzin aime picsou très fort
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 21:37 Citer EditerSupprimer
FALLL FALLL FALLLLLL
Reeeee. Bon courage pour ton reboot
Reeeee. Bon courage pour ton reboot
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 21:38 Citer EditerSupprimer
J'AIME BIEN LE PRENOM
C'est pas commun, j'aime bien le prononcer
un rien m'amuse je sais
BON REBOOT
C'est pas commun, j'aime bien le prononcer
BON REBOOT
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 21:45 Citer EditerSupprimer
IL EST LÀ MON NOUVEL APPRENTI !
Bon reboot ma belle, courage pour cette fiche et ta place d'apprenti est bien au chaud !
Comme mvdd, j'aime trop le prénom, mais pour le coup je sais pas le prononcer
Bon reboot ma belle, courage pour cette fiche et ta place d'apprenti est bien au chaud !
Comme mvdd, j'aime trop le prénom, mais pour le coup je sais pas le prononcer
Invité
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 21:53 Citer EditerSupprimer
merci à vous toutes .
sae yeon : j'pense qu'on va bien s'amuser avec eux .
pour le prénom, je saurais pas vous dire . tout ce que je sais c'est que c'est le nom de naissance de daniel de wanna one (mon bb taewoong ) et qu'il fallait que je l'utilise quelque part .
sae yeon : j'pense qu'on va bien s'amuser avec eux .
pour le prénom, je saurais pas vous dire . tout ce que je sais c'est que c'est le nom de naissance de daniel de wanna one (mon bb taewoong ) et qu'il fallait que je l'utilise quelque part .
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 21:56 Citer EditerSupprimer
baekhyun bon choix !!
et surtout BON REBOOT !
ce prénom il me tue
et surtout BON REBOOT !
ce prénom il me tue
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 22:00 Citer EditerSupprimer
t'es parfaite
rebienvenue
rebienvenue
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 22:06 Citer EditerSupprimer
merci vous deux .
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Re: im eui geon ~ we can skydive, free fall | Mer 13 Sep - 22:17 Citer EditerSupprimer
re j'vais jamais réussir à prononcer correctement le prénom
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